YESTERDAY'S NEWS |48
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quand les loups sont de sortie
ft. @Sven Kaplov
Le ciel encore terni par les houleuses vagues et l’eau souillée par les débris du voilier, en plus des restes d’Ivan et ses hommes laissaient un goût amer à Ksenia mais qui fut rapidement éjectée dans cette réalité fugace par les mots de Sven. Lui décochant un sourire des plus malsains, elle ajouta à voix haute, comme pour couvrir l’angoisse naissante sur le navire rebaptisé Titanic : « Oui, maître, vos désirs sont des autres. Les incapables sombreront, ça aussi c’est remplaçable ! » Les vies humaines ne comptaient que peu pour la belle, leurs plus proches éléments sauraient trouver une solution pour sortir de cette galère alors que parmi les conquérants, seul le russe à la tête de leur empire comptait. Aucun homme ne l’égalerait jamais et si elle devait en sacrifier d’autres pour lui, elle n’éprouverait pas la moindre forme de regret. Le temps passe mais seuls les braves subsistent ! Répondant par l’affirmative à la suggestion du roi des flots, elle s’avança vers le bord du ponton pour enfourcher cette bête qui, même en étant différente de celle avec laquelle elle avait joué auparavant, lui procurait une autre sorte d’adrénaline. Ancrant son regard dans celui de son amant, elle démarra l’engin pour que celui-ci la porte sur les vagues environnantes et qu’ils atteignent ce morceau de terre alors que les derniers fragments de leur nuit s’envolaient, emportés par les remous des flots et que les cris de leurs hommes leur parvenaient, coupés par le vent qui se levait. On ne distinguait quasiment rien mais son cœur se serra tandis qu’elle cria à l’attention de Sven, feignant cette innocence qui la caractérise : « Je suis triste pour ce voilier, il emporte avec lui des souvenirs que j’aimerais garder toute ma vie. » Il en déduirait ce qu’il voudrait mais déjà ils étaient à proximité de la plage, était-ce un coin de reculé de Westside Beach ? Ou le bateau avait-il dérivé jusqu’en des terres obscures ? Ses yeux étaient embués par les larmes qui montaient, la rage la consumait, celle de perdre le témoin des sentiments du bellâtre pour la douce.
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- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Messages : 204
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Scott Eastwood
Crédits : feu ardent ♥
Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
La perte du voilier te faisais aussi un peu de peine, il allait sombrer et emporter avec lui de beaux souvenirs mais au fond de toi tu savais que malgré sa perte, ce brave habitat flottant vous avez permit de dire de belles vérités qui allaient rester encrer dans ta mémoire.
« Je t'offrirais des souvenirs plus beau encore, crois moi. »
Sourire aux lèvres, tu la dévorait du regard comme tu l'avais toujours fait.
Bien vite tu posas pied à terre, délaissant ton véhicule sur la plage, te rapprochant de ta chère et tendre, peu à peu tu voyais certains de tes hommes revenir, tu patientas cinq minutes pas une de plus, t'étais un chef dur tout autant que l'était Ksenia mais c'est ce qui faisait de vous des personnes respectés, c'est ce qui faisait la qualité de vos hommes.
« Je te suis Ksenia, tes sens sont plus affûtés que les miens. »
Tu dégainais ton couteau, ôtant ta veste au passage, la soirée ne cessait d'être pleine de rebondissement, de bons comme de mauvais, plus que jamais tu avançais sur tes gardes suivant de prêt ta belle.
Vous n'étiez désormais plus qu'une petite escouade perdu sur une parcelle de terre inconnue, soldats d'élite, tous vos hommes avaient été formés en suivant le même entraînement, la partie de Ksenia mettait leur esprit à l'épreuve tandis que la tienne était plus physique, quelque soit le domaine vous étiez au final deux parties qui formaient un tout, le yin et le yang.
T'étais satisfait du chemin accompli et tu dressais un sourire sur ton visage inconsciemment signe de satisfaction, du chemin que vous aviez fait ce soir.
« Est ce qu'on braquerait pas une petite caisse comme au bon vieux temps. »
Durant vos jeunes années vous aviez braqué plus d'un véhicule de la manière forte et bruyante à la plus silencieuse, devenu des as dans bien des domaines, ce soir semblait être le soir parfait pour tout mettre en pratique et démontrez vos talents au peu des soldats qui vous restez.
Ce soir ton regard portait encore en direction de ta belle, tu l'observais tentant d'apprendre à être aussi discret d'elle, Ksenia avait son style, silencieux et mortel, et il te faisait toujours rêver, peut-être allais-tu être encore ébloui ce soir.
Pyphi(lia)« Je t'offrirais des souvenirs plus beau encore, crois moi. »
Sourire aux lèvres, tu la dévorait du regard comme tu l'avais toujours fait.
Bien vite tu posas pied à terre, délaissant ton véhicule sur la plage, te rapprochant de ta chère et tendre, peu à peu tu voyais certains de tes hommes revenir, tu patientas cinq minutes pas une de plus, t'étais un chef dur tout autant que l'était Ksenia mais c'est ce qui faisait de vous des personnes respectés, c'est ce qui faisait la qualité de vos hommes.
« Je te suis Ksenia, tes sens sont plus affûtés que les miens. »
Tu dégainais ton couteau, ôtant ta veste au passage, la soirée ne cessait d'être pleine de rebondissement, de bons comme de mauvais, plus que jamais tu avançais sur tes gardes suivant de prêt ta belle.
Vous n'étiez désormais plus qu'une petite escouade perdu sur une parcelle de terre inconnue, soldats d'élite, tous vos hommes avaient été formés en suivant le même entraînement, la partie de Ksenia mettait leur esprit à l'épreuve tandis que la tienne était plus physique, quelque soit le domaine vous étiez au final deux parties qui formaient un tout, le yin et le yang.
T'étais satisfait du chemin accompli et tu dressais un sourire sur ton visage inconsciemment signe de satisfaction, du chemin que vous aviez fait ce soir.
« Est ce qu'on braquerait pas une petite caisse comme au bon vieux temps. »
Durant vos jeunes années vous aviez braqué plus d'un véhicule de la manière forte et bruyante à la plus silencieuse, devenu des as dans bien des domaines, ce soir semblait être le soir parfait pour tout mettre en pratique et démontrez vos talents au peu des soldats qui vous restez.
Ce soir ton regard portait encore en direction de ta belle, tu l'observais tentant d'apprendre à être aussi discret d'elle, Ksenia avait son style, silencieux et mortel, et il te faisait toujours rêver, peut-être allais-tu être encore ébloui ce soir.
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quand les loups sont de sortie
ft. @Sven Kaplov
Décochant un sourire au bellâtre, tout en dévoilant ses dents blanches empruntées aux plus belles actrices des publicités goldgate, la donzelle s’aventura, les talons s’enfonçant dans le sable fin, sur ces terres inconnues où ils devraient se repérer afin d’en réchapper. L’aventure était grisante puisque qu’une poignée d’homme les suivait mais c’est la main de Sven qu’elle frôla de la sienne comme pour satisfaire un besoin, cette envie d’être avec lui. « J’observe et tu dégaines, comme toujours notre alliance est infaillible » ajouta-t-elle alors qu’une branche la fit s’arrêter un instant pour qu’elle l’enjambe et fasse signe à leurs hommes d’être prudents. Dès lors, une route se dessinait au loin avec le bruit de quelques automobiles passantes alors que les feuilles se densifiaient et le paysage changeait. Seule le reflet de la lune éclairait leur voie mais la proposition de Sven la séduit ouvertement puisqu’elle accéléra le pas, laissant de côté leur escouade, préférant la tête de file où, s’arrêtant, Ksenia se retrouva face à face avec une route bien typée américaine aux airs sauvages, à la végétation absente et pour seul décor que les rocheuses à perte de vue. La ligne droite qu’offrait le dessin de cette route la laissait songeuse quant à la destination. Rejetant sa crinière de lionne derrière ses épaules, se parant d’un sourire espiègle et remontant quelque peu sa chemise pour y faire un nœud et découvrir son ventre parfait sous sa veste en cuir, elle s’approcha de la bordure de la route et pencha son corps vers l’avant, le pouce levé, afin que le prochain véhicule soit enchanté de la prendre ou de l’écraser si une femme venait à être cette future victime. Adressant un clin d’œil au dandy russe, elle laissa échapper un petit rire et lui dit : « Je te suis où tu veux et dans ce que tu veux mon homme russe, j’appâte et tu fais le reste ? j’aime quand tu déloges le conducteur, c’est toujours très drôle ! » mentionna-t-elle en faisant courir sa langue sur sa lèvre. Puisse-t-il être mister univers qu’elle s’en moque royalement, seul lui importait l’homme de la situation, celui qui seul pouvait glisser ses doigts sur son corps et en réponse à ses caresses, son être tout entier se consumait, comme avec nul autre. Son roi au regard de braise et aux traits obscurs, son justicier vengeur. Les avengers auraient dû les recruter pour leur malice et fourberie, ils auraient brillé à l’écran.
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- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
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Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
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Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Les yeux rivés sur Ksenia tu observes cette femme si unique, une beauté sans pareille cachant un démon que tu chéris, elle à cette capacité à être cette meneuse de troupe, elle sait diriger tes hommes, ses hommes, d'une main de fer. Tu sais pertinemment que beaucoup l'observe, la regarde, mais comment pourrais tu les en blâmer, elle est ce diamant d'une perfection rare, seul habilité à pouvoir déposer tes doigts sur ce corps si parfait tu es un homme comblé chaque jour et aujourd'hui un peu plus qu'hier.
« Je suis tes moindres signes prêt à liquider toute menace. »
Cela faisait bien longtemps que tu n'avais pas eu l'occasion de faire des coups comme ça, de voir ta belle charmeuse entrer en action pour faire plier quelques fous, se faire piéger par Ksenia était comme se prendre un couteau dans la poitrine, comment continuer à se regarder dans un miroir quand vous comprenez à quel point on à joué avec vos désirs, vos pulsions, vos sentiments.
« Sache que tant que tu es là, qu'il y'a de l'action, des morts et du cash, je suis au septième ciel ma douce vipère. »
Sourire que tu dresses instantanément sur tes lèvres.
« Ca m'avait manqué, le pauvre homme va s'en mordre les doigts, poser le regard sur ton corps si parfait c'est comme entendre le chant d'une sirène, et je suis prêt à le faire sortir de ses songes avec mes deux mains. »
Regard posé sur cette femme que tu ne quitteras jamais des yeux, entouré de tes hommes auxquels tu ne porte pas vraiment d'attention, tu attends patiemment que la victime pointe le bout de son nez.
La proie arrive dans son jolie cabriolet rouge, sûrement une personne soit disant riche, une qui pense pouvoir tout acheter et qui va s'en mordre les doigts, tu laisses ta belle opérer de son charme, tu observes son jeu d'acteur, sa façon de se mouvoir et de parler, chaque mouvement qu'elle exécute dans le but précis de charmer sa cible.
Puis doucement, tu te rapproches, à pas de loup comme tu l'as toujours fait dans des situations de ce genre, ton arme blanche préférée entre tes mains, tu te faufiles jusqu'au niveau de la voiture, tu te redresses, t'apparaît derrière ta belle et sans lui laisser le temps de comprendre, t'ouvre sa portière, ton couteau vient se loger sur sa poitrine, tu lui dessines une jolie ligne le long de son torse, quelques mots pour lui faire comprendre qu'il n'a pas intérêt à faire de bêtises puis tu l’assommes d'un violent coup sur sa nuque.
T'as envie d'être plus intelligent que d'habitude Sven, alors tu sors un peu de poudre que t'avais sur toi, tu la planque dans le veston du mec et t'appelle les flics pour signaler un homme à terre, au moins t'es sûr comme ça qu'il n'y aura pas de problème, après tout qui préféreraient-ils croire entre un gérant de night club réputé et un petit mec aisé qui se drogue.
« Une affaire parfaite, je te laisses conduire ce petit bijoux ma belle, j'aime quand tu diriges. »
Sourire en coin que tu lances avant de saisir subtilement ses lèvres pour lui voler un énième baiser et de rejoindre le siège passager, tu laisses tes hommes se débrouiller seuls après tout ils sont assez bien formé pour rentrer eux mêmes au bercail pour le moment tu vas juste profiter de la présence de ta belle, du soleil et de cette petite virée magnifique.
Pyphi(lia)« Je suis tes moindres signes prêt à liquider toute menace. »
Cela faisait bien longtemps que tu n'avais pas eu l'occasion de faire des coups comme ça, de voir ta belle charmeuse entrer en action pour faire plier quelques fous, se faire piéger par Ksenia était comme se prendre un couteau dans la poitrine, comment continuer à se regarder dans un miroir quand vous comprenez à quel point on à joué avec vos désirs, vos pulsions, vos sentiments.
« Sache que tant que tu es là, qu'il y'a de l'action, des morts et du cash, je suis au septième ciel ma douce vipère. »
Sourire que tu dresses instantanément sur tes lèvres.
« Ca m'avait manqué, le pauvre homme va s'en mordre les doigts, poser le regard sur ton corps si parfait c'est comme entendre le chant d'une sirène, et je suis prêt à le faire sortir de ses songes avec mes deux mains. »
Regard posé sur cette femme que tu ne quitteras jamais des yeux, entouré de tes hommes auxquels tu ne porte pas vraiment d'attention, tu attends patiemment que la victime pointe le bout de son nez.
La proie arrive dans son jolie cabriolet rouge, sûrement une personne soit disant riche, une qui pense pouvoir tout acheter et qui va s'en mordre les doigts, tu laisses ta belle opérer de son charme, tu observes son jeu d'acteur, sa façon de se mouvoir et de parler, chaque mouvement qu'elle exécute dans le but précis de charmer sa cible.
Puis doucement, tu te rapproches, à pas de loup comme tu l'as toujours fait dans des situations de ce genre, ton arme blanche préférée entre tes mains, tu te faufiles jusqu'au niveau de la voiture, tu te redresses, t'apparaît derrière ta belle et sans lui laisser le temps de comprendre, t'ouvre sa portière, ton couteau vient se loger sur sa poitrine, tu lui dessines une jolie ligne le long de son torse, quelques mots pour lui faire comprendre qu'il n'a pas intérêt à faire de bêtises puis tu l’assommes d'un violent coup sur sa nuque.
T'as envie d'être plus intelligent que d'habitude Sven, alors tu sors un peu de poudre que t'avais sur toi, tu la planque dans le veston du mec et t'appelle les flics pour signaler un homme à terre, au moins t'es sûr comme ça qu'il n'y aura pas de problème, après tout qui préféreraient-ils croire entre un gérant de night club réputé et un petit mec aisé qui se drogue.
« Une affaire parfaite, je te laisses conduire ce petit bijoux ma belle, j'aime quand tu diriges. »
Sourire en coin que tu lances avant de saisir subtilement ses lèvres pour lui voler un énième baiser et de rejoindre le siège passager, tu laisses tes hommes se débrouiller seuls après tout ils sont assez bien formé pour rentrer eux mêmes au bercail pour le moment tu vas juste profiter de la présence de ta belle, du soleil et de cette petite virée magnifique.
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quand les loups sont de sortie
ft. @Sven Kaplov
La situation restait cocasse alors qu’une légère brise faisait voler quelques mèches rebelles à l’avant de son visage. Les mots de Sven couraient encore sur ses lèvres, sur ses bras et sur sa peau dénudée à certains endroits pour venir mourir lorsque l’action prit le pas sur l’addiction. Se voiler la face aurait été plus aisé mais elle n’y parvenait qu’à moitié car il avait tenu ce discours qui l’avait chamboulée, chose qu’elle n’avait osé montrer à son partenaire, trop blessée par la vie pour savoir quoi faire. Néanmoins l’heure n’est point aux regrets mais à l’appât. Logeant sur ses lèvres un sourire des plus candides lorsque la fenêtre côté conducteur se baissa, Ksenia souffla quelques brèves paroles. « Ma voiture est plus loin et en panne, seriez-vous assez aimable pour me raccompagner au moins jusqu’à la prochaine ville ? » Jolies paroles qui furent accompagnées de l’arrivée du bellâtre qui, tel un lion, roi parmi les faibles, ouvrit cette portière où elle s’était accoudée il y a quelques instants. Les yeux de sa compagne suivent le moindre de ses faits et gestes, spectacle des plus captivants surtout et exclusivement parce qu’il en est l’acteur principal. Chaque mouvement est contrôlé, chaque coup est calculé. Avançait-il ses pions comme il jouait avec elle ? Jamais elle ne l’aurait juré, elle le sentait vrai en sa présence et sincère avec elle mais elle s’est retrouvée tant de fois meurtrie que lorsqu’il apposa ses lèvres sur les siennes, ce fut le paradis qui se dessina derrière ses paupières closes, chassant les nuages du passé. « Tu as une destination préférée ? Ou alors je suis la route jusqu’à qu’on ne puisse plus avancer ? » Connaissant quasiment déjà la réponse, elle s’assit sur le siège passager dans cette voiture des plus propres et dotées de beaucoup d’accessoires. Posant une main sur le volant et une sur la boite de vitesse, faisant tourner la clef pour démarrer ce bijou, la donzelle joua de ses pieds pour faire vibrer le moteur qui semblait en avoir sous le capot. « Je serai votre chauffeur attitré monsieur Kaplov. Je suis là pour satisfaire le moindre de vos désirs » ajouta-t-elle en éclatant de rire, lui laissant un sourire espiègle avant de faire courir ses doigts sur la cuisse du russe tandis que la voiture avançait, quittant les lieux de leurs méfaits, voguant vers ceux de leur future expédition. Ils furent seuls un moment, longeant la côte et s’enfonçant peu à peu dans les terres sans que pour autant elle reconnaisse vraiment le paysage. Les yeux fixés sur l’horizon, elle osa cette question qui lui brûlait les lèvres et qu’elle savait pertinente mais potentiellement dangereuse, car ferait douter Sven quant à ses intentions. « Tu as dit que tu m’aimais…comment m’aimes-tu Sven ? Pourquoi ? » Ses orbes ne purent lâcher l’horizon car exprimant trop d’émotions à la fois pour qu’il parvienne à en saisir une tant elles sont fugaces et se battent en duel. Ses mains étaient crispées sur le volant alors qu’elle ralentit l’allure de la voiture pour continuer : « je ne serai jamais capable de t’aimer comme il faut Sven, de te rendre ce que tu m’as offert en me donnant une vie convenable mais… » Une idée saugrenue lui traversa l’esprit et étira ses lèvres en un mince sourire carnassier tandis qu’elle lovait enfin son regard dans celui de l’héritier de la mafia : « et que fera-t-on des autres ? Je ne tolère le partage ni même la convoitise. Vais-je devoir saigner à blanc certaines de tes admiratrices ? »
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Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
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Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Assis sur ce siège aux côtés de ta belle compagne, de ta muse qui t’inspires pour tes plus belles œuvres, de ton Eve, de ta reine des enfers, tu regardes vers l’horizon et tu te laisses une nouvelles fois bercer par ses paroles. Vous êtes des aventuriers, toi et ta Ksenia, la redondance du quotidien c’est pas ce qui te motives, partir dans des lieux inconnus en proie au danger ça te parle plus, découvrir de nouvelles contrées à conquérir encore mieux et si c’est en le faisant avec celle qui fait battre ton cœur alors tu es un homme comblé.
« Partons à l’aventure, à la conquête du monde comme on l’a toujours fait, toi, moi, nos chères armes il ne manque plus que deux cocktails pour que je sois un peu plus au paradis. »
Grand sourire que tu esquisses sur tes lèvres, t’as laissé l’action et le sang derrière toi pour un temps au profit d’une route et d’un paysage magnifique, là Sven tu es sur ton petit nuage, tu ne penses pas vraiment à ton business, à tes hommes ou au moindre dollar qui est en train d’être dépensé dans ton club, non là tu penses un peu à toi, beaucoup à Ksenia. Tu lui esquisses un énième sourire et laisse échapper un petit rire.
« Attention je vais te prendre au mot ma chère. »
Qui pourrait bien vous suspecter d’avoir commis bien des actes atroces, au volant de cette voiture vous ne semblez qu’être un couple lambda mais les masques sont bel et bien présents cachant d’hideux visages.
Faut bien te l’avouer mon petit Sven, t’as toujours été attiré par Ksenia et si tu n’étais pas un baron de la drogue et des armes tout comme elle l’est à tes côtés, tu pourrais presque imaginer ton fils prodigue assis derrière toi prêt à reprendre les affaires. Ce sujet n’a jamais été évoqué avec Ksenia, avec cette rose noire que tu as toujours aimé, pudeur ou connaissance parfaite du risque que cela impliquera. Tu balayes cette idée éphémère te ta tête quand des mots importants parviennent à tes oreilles.
Une seule question suffit à te faire prendre conscience de l’importance de la réponse que tu allais donner, Ksenia tu l’aimais indéniablement, tu étais attiré par elle comme par un aimant, elle avait ce charme inégalable, cette aura d’une puissance sans égal, pour toi tout cela était une évidence, tu l’aimais et tu ne pensais pas avoir besoin de le justifier un jour, Ksenia était-elle devenu sceptique quant à votre relation, tu allais sûrement bientôt le découvrir mais pour l’heure seul des mots d’une honnêteté parfaite allaient sortir de ta bouche.
« A la folie, comme un junkie est accro à sa dose, tu es celle qui me permet de m’envoler au paradis, tu es celle avec qui j’ai conquis un empire, avec qui j’ai ris, pleuré, tué, celle qui n’a aucune rivale, tu es l’ombre insaisissable après laquelle je courrai toute ma vie et que je ne laisserai jamais tomber. Sois en témoin et vois par toi-même ce que les yeux ne peuvent percevoir. »
T’achevas ta phrase saisissant l’une des mains de ta douce que tu déposas avec délicatesse sur ta poitrine.
Tes doux yeux ne quittent plus son regard si magnifique, ces joues que tu viens érafler de tes doigts, sa crinière que tu viens caresser. Tu veux la réconforter, tu n’as jamais eu les mots faciles pour ça mais tu donnes tout ce que tu as, parce qu’elle est l’une des seules personnes à t’avoir montré de la beauté dans ce monde sombre.
« Laisse cet amour de compte pour ceux qui s’échangent de langoureux baisers dans les jardins en fleurs, notre lien a été scellé dans le sang et la mort, il est beaucoup plus fort que tous les autres même si on en parle peu, un regard, un mot, un baiser, un meurtre, suffit à prendre conscience de cela Ksenia. »
T’esquisses un léger sourire avant de replacer ton regard sur la route, ta main gauche venant se poser sur la cuisse de ta belle, tu mets tes lunettes de soleil avant de lui répondre un grand sourire aux lèvres.
« N’oublie jamais que nous sommes des loups, des panthères noires, des lions, parfois on s’amuse avec notre proie mais ce n’est que pour la savourer un peu plus longtemps, mais maintenant laisse-moi te demander de répondre à toutes les questions que tu m’as posées, puisqu’on est à l’heure des vérités je veux entendre les tiennes ma petite démone adorée. »
Pyphi(lia)« Partons à l’aventure, à la conquête du monde comme on l’a toujours fait, toi, moi, nos chères armes il ne manque plus que deux cocktails pour que je sois un peu plus au paradis. »
Grand sourire que tu esquisses sur tes lèvres, t’as laissé l’action et le sang derrière toi pour un temps au profit d’une route et d’un paysage magnifique, là Sven tu es sur ton petit nuage, tu ne penses pas vraiment à ton business, à tes hommes ou au moindre dollar qui est en train d’être dépensé dans ton club, non là tu penses un peu à toi, beaucoup à Ksenia. Tu lui esquisses un énième sourire et laisse échapper un petit rire.
« Attention je vais te prendre au mot ma chère. »
Qui pourrait bien vous suspecter d’avoir commis bien des actes atroces, au volant de cette voiture vous ne semblez qu’être un couple lambda mais les masques sont bel et bien présents cachant d’hideux visages.
Faut bien te l’avouer mon petit Sven, t’as toujours été attiré par Ksenia et si tu n’étais pas un baron de la drogue et des armes tout comme elle l’est à tes côtés, tu pourrais presque imaginer ton fils prodigue assis derrière toi prêt à reprendre les affaires. Ce sujet n’a jamais été évoqué avec Ksenia, avec cette rose noire que tu as toujours aimé, pudeur ou connaissance parfaite du risque que cela impliquera. Tu balayes cette idée éphémère te ta tête quand des mots importants parviennent à tes oreilles.
Une seule question suffit à te faire prendre conscience de l’importance de la réponse que tu allais donner, Ksenia tu l’aimais indéniablement, tu étais attiré par elle comme par un aimant, elle avait ce charme inégalable, cette aura d’une puissance sans égal, pour toi tout cela était une évidence, tu l’aimais et tu ne pensais pas avoir besoin de le justifier un jour, Ksenia était-elle devenu sceptique quant à votre relation, tu allais sûrement bientôt le découvrir mais pour l’heure seul des mots d’une honnêteté parfaite allaient sortir de ta bouche.
« A la folie, comme un junkie est accro à sa dose, tu es celle qui me permet de m’envoler au paradis, tu es celle avec qui j’ai conquis un empire, avec qui j’ai ris, pleuré, tué, celle qui n’a aucune rivale, tu es l’ombre insaisissable après laquelle je courrai toute ma vie et que je ne laisserai jamais tomber. Sois en témoin et vois par toi-même ce que les yeux ne peuvent percevoir. »
T’achevas ta phrase saisissant l’une des mains de ta douce que tu déposas avec délicatesse sur ta poitrine.
Tes doux yeux ne quittent plus son regard si magnifique, ces joues que tu viens érafler de tes doigts, sa crinière que tu viens caresser. Tu veux la réconforter, tu n’as jamais eu les mots faciles pour ça mais tu donnes tout ce que tu as, parce qu’elle est l’une des seules personnes à t’avoir montré de la beauté dans ce monde sombre.
« Laisse cet amour de compte pour ceux qui s’échangent de langoureux baisers dans les jardins en fleurs, notre lien a été scellé dans le sang et la mort, il est beaucoup plus fort que tous les autres même si on en parle peu, un regard, un mot, un baiser, un meurtre, suffit à prendre conscience de cela Ksenia. »
T’esquisses un léger sourire avant de replacer ton regard sur la route, ta main gauche venant se poser sur la cuisse de ta belle, tu mets tes lunettes de soleil avant de lui répondre un grand sourire aux lèvres.
« N’oublie jamais que nous sommes des loups, des panthères noires, des lions, parfois on s’amuse avec notre proie mais ce n’est que pour la savourer un peu plus longtemps, mais maintenant laisse-moi te demander de répondre à toutes les questions que tu m’as posées, puisqu’on est à l’heure des vérités je veux entendre les tiennes ma petite démone adorée. »
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quand les loups sont de sortie
ft. @Sven Kaplov
L’air sembla changer à l’extérieur, empli d’un parfum qui l’aurait fait stopper net sa course et fuir à jambes déployées. Ses mains, moites sur le volant qu’elle tenait d’un air absent, tremblaient nerveusement. Les mots employés par Sven ne la laissèrent guère de marbre et, pourtant, sa réaction fut tout sauf ce qu’il aurait pu espérer. Quelque chose semblait s’être brisé mais rien n’avait réellement changé. Cherchant une ancre à laquelle se raccrocher à l’extérieur, n’importe quoi qui aurait pu la distraire, Ksenia ne trouva rien que le souffle chaud de son partenaire emplissant l’habitacle. Une odeur qui l’aurait consumé s’il avait fait courir ses lèvres sur sa peau, des mots qui la touchèrent au plus profond de son âme et qui lui arrachèrent une douleur tapie dans l’ombre de sa noirceur, derrière ses sourires enjôleurs, de ceux qui voilent l’essence même. Il savait une part mais il ne connaissait que peu celle qui flanche, qui n’a pas cette confiance qu’elle semble arborer. Pourtant, elle lui offrirait volontiers sa vie et savait qu’elle pouvait compter sur lui comme ce roc qui détruit plusieurs navires, il la protégerait des tempêtes à défaut de la faire sombrer. Restant quelques paires de minutes sans rien dire, immobile, à choisir des mots corrects, elle sortit de cette voiture, étouffant. Détachant sa ceinture, éteignant le moteur de cette voiture désormais arrêtée en bordure d’une route sinueuse sans fin, Ksenia descendit de l’automobile, ayant cependant pris le soin de laisser la vitre ouverte et s’appuya contre la portière, après avoir déposé un baiser sur la main de Sven placée jadis sa cuisse. Les bras croisés, le corps contre le véhicule, elle respirait bruyamment sans vraiment savoir quoi ajouter mais elle ne pouvait le laisser seul face à l’attente, elle serait alors devenue vile et stratège alors qu’ils se voulaient francs et audacieux en cette journée.
Ses lèvres s’ouvrirent et les paroles fusèrent : « Ne redis jamais ça Sven, jamais. Je ne veux plus entendre ces mots dans ta bouche, ils sont faux. » Les larmes perlaient sur ses joues mais elle les ravala aussitôt, ne désirant guère sembler être cette chose fragile qui cependant habitait son esprit et son corps en cet instant. « Je t’ai aidé Sven, ce soir-là, pour me sortir d’un mauvais pas, je savais que tu pourrais m’aider en échange et j’ai bien misé, tu n’es qu’un pion au final. Si toi tu ne me laisserais jamais tomber, je finirai par t’abandonner si je trouve mieux ailleurs, je fonctionne comme ça, je me sers des gens. » Ce qu’elle ne disait pas c’est qu’elle avait une peur bleue d’être abandonnée et que jamais elle ne l’avouerait. Il le savait, mais sa voix était rude, dure, tranchante et n’appelait à aucune réédition. Ses ongles étaient plantés dans la chair de son bras car elle se faisait violence pour répondre à l’affirmative aux mots de cet homme qui hantait chacune des parcelles de son corps et de son âme, elle l’aimait comme elle n’avait jamais aimé personne. Il était son foyer, son protecteur, son double, cette autre moitié qui la comprenait et qui jamais ne la laisserait mais elle n’était pas digne des autres, il ne pourrait jamais être complet si Ksenia le freinait à cause du démon qui souvent l’habite et la fait mal faire les choses, comme à l’instant. « Tu m’appartiens, j’ai tout fait pour t’avoir et ça n’a pas été trop difficile. Un peu de séduction, choisir les mots que tu voulais entendre, te soutenir. Je me suis même renseignée sur ce que tu n’aimais pas chez une femme pour ne pas commettre d’impair. C’est cette femme-là que tu aimes. Elle n’existe pas. J’ai pris ce dont j’avais besoin, des leçons pour contrôler dans le noir là où d’autres se font attraper, du désir et de l’amour pour remonter mon estime. Je me suis servie de toi pour me reconstruire et m’en sortir et maintenant… » Il parlait de proie et de prédateur. Le problème est qu’il a tellement bien été ce prédateur qu’il tatoue chaque cellule de son être et que jamais elle ne pourra se défaire de cette envie d’être à lui. D’ailleurs, les mots qui suivirent vinrent trahir ce qu’elle pensait réellement et peut-être changer la donne. « Je ne sais pas faire amor, je ne sais pas aimer sans détruire. Le problème c’est que je suis à toi depuis que l’on s’est rencontré. » Laissant ses cheveux filer devant ses yeux rougis, un murmure s’échappa de ses lèvres plus pour elle que pour lui mais s’il l’entendait... « Le problème c’est que je t’aime Sven Kaplov et que je ne sais pas mentir. Alors prends-moi dans tes bras ou je tape le sprint du siècle…
Ses lèvres s’ouvrirent et les paroles fusèrent : « Ne redis jamais ça Sven, jamais. Je ne veux plus entendre ces mots dans ta bouche, ils sont faux. » Les larmes perlaient sur ses joues mais elle les ravala aussitôt, ne désirant guère sembler être cette chose fragile qui cependant habitait son esprit et son corps en cet instant. « Je t’ai aidé Sven, ce soir-là, pour me sortir d’un mauvais pas, je savais que tu pourrais m’aider en échange et j’ai bien misé, tu n’es qu’un pion au final. Si toi tu ne me laisserais jamais tomber, je finirai par t’abandonner si je trouve mieux ailleurs, je fonctionne comme ça, je me sers des gens. » Ce qu’elle ne disait pas c’est qu’elle avait une peur bleue d’être abandonnée et que jamais elle ne l’avouerait. Il le savait, mais sa voix était rude, dure, tranchante et n’appelait à aucune réédition. Ses ongles étaient plantés dans la chair de son bras car elle se faisait violence pour répondre à l’affirmative aux mots de cet homme qui hantait chacune des parcelles de son corps et de son âme, elle l’aimait comme elle n’avait jamais aimé personne. Il était son foyer, son protecteur, son double, cette autre moitié qui la comprenait et qui jamais ne la laisserait mais elle n’était pas digne des autres, il ne pourrait jamais être complet si Ksenia le freinait à cause du démon qui souvent l’habite et la fait mal faire les choses, comme à l’instant. « Tu m’appartiens, j’ai tout fait pour t’avoir et ça n’a pas été trop difficile. Un peu de séduction, choisir les mots que tu voulais entendre, te soutenir. Je me suis même renseignée sur ce que tu n’aimais pas chez une femme pour ne pas commettre d’impair. C’est cette femme-là que tu aimes. Elle n’existe pas. J’ai pris ce dont j’avais besoin, des leçons pour contrôler dans le noir là où d’autres se font attraper, du désir et de l’amour pour remonter mon estime. Je me suis servie de toi pour me reconstruire et m’en sortir et maintenant… » Il parlait de proie et de prédateur. Le problème est qu’il a tellement bien été ce prédateur qu’il tatoue chaque cellule de son être et que jamais elle ne pourra se défaire de cette envie d’être à lui. D’ailleurs, les mots qui suivirent vinrent trahir ce qu’elle pensait réellement et peut-être changer la donne. « Je ne sais pas faire amor, je ne sais pas aimer sans détruire. Le problème c’est que je suis à toi depuis que l’on s’est rencontré. » Laissant ses cheveux filer devant ses yeux rougis, un murmure s’échappa de ses lèvres plus pour elle que pour lui mais s’il l’entendait... « Le problème c’est que je t’aime Sven Kaplov et que je ne sais pas mentir. Alors prends-moi dans tes bras ou je tape le sprint du siècle…
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- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Crédits : feu ardent ♥
Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Respiration plus lente, regard gêné et incompréhension qui t’envahis, t’attends patiemment la réponse de ta belle, t’espères qu’une réelle réciprocité se fasse entendre, que ce petit moment rien qu’à vous soit chargé en émotion mais tu tombe de haut quand les premiers mots de sa bouche sortent.
Tu l’écoute, pèse chacun de ses mot, ton visage se crispe, Ksenia est en train de tuer la dernière fleure qui existait en toi, peu à peu, elle te retire ce morceau de ta poitrine que lui avais donné, chaque parole te fais bouillir de l’intérieur, parce que Ksenia au-delà de la femme qui te faisais te sentir vivant, d’être ta reine de la nuit, elle était celle-qui était capable de tempérer des actes, de t’empêcher de te transformer en bête quand il n’était pas nécessaire que tu le fasses, mais là, c’est comme si elle détachais une à une les chaînes retenant Cerbère.
Tu te lèves du véhicule, ton visage inexpressif, tu t’approches à d’elle, la regardant dans les yeux tu dégaines ton couteau et le plante dans le beau capot du véhicule.
« Un pion ? UN PION ?! Je ne suis pas l’homme lambda, que tu peux jeter comme une дерьмо* ! Tu ne trouveras jamais mieux que moi, parce qu’au jeu de la chasse je suis bon, très bon, et le pion que je suis il a un don pour réduire au silence tous les autres. Alors j’espère pour toi que le prochain sera fait de métal parce que sinon il finira en morceau. »
Tu laisses glisser tes doigts le long de ta lame, ta langue vient caresser rapidement tes lèvres, ton regard change tout comme ton attitude, tu te sens trahis, elle t’a demandé ce que tu ressentais tu as ouvert ton cœur, une fois, probablement la seule fois et tu te rends compte que c’était une erreur, que cette dernière fleur de bonté en toi capable d’aimer tu aurais dû la jeter il y’a bien longtemps de cela.
Mes les mots fusent encore et tu les encaisses jusqu’à n’en plus pouvoir, carapace que tu t’étais construite et que tu croyais à toute épreuve qui venait d’être balayé d’un revers de main par Ksenia. T’attrapais ton couteau le retirant de la carrosserie venant le faire doucement creuser des sillons autour de ton cœur.
« Maintenant que tu m’as avoué tes plus doux secrets, il est peut-être temps que je m’arrache de la poitrine la dernière chose qui me fait ressentir des choses pour les gens, pour toi, une frappe chirurgicale sera parfaite, n’est-ce pas ? »
Toute ta vie tu l’as vécue en sachant pertinemment que tu pourrais mourir à chaque heure de la journée, que ce soit par un flic, par un gang rival ou par trahison mais jamais tu ne t’étais dit que tu pourrais très bien le faire toi-même et t’ôter ta propre vie.
Tu dansais avec ta lame, frôlant l’ouverture de ta chair, laissant de jolie marque sur ton corps déjà abimé par de nombreux combats, puis tu te stop, net, des mots libérateurs parviennent à tes oreilles, des mots que tu entends à peine, des mots que tu crois avoir rêvé mais c’est bien la réalité et tu le sens avec cette lame contre ton corps que tu relâche désormais.
Tu t’approches lentement, ton regard plongé dans le sien, en quelques minutes elle à réussi à te tordre l’esprit pour finalement apaiser ton cœur, c’est indéniable tu éprouves quelque chose de fort pour Ksenia, quelque chose de réciproque que tu ne saurais décrire avec des mots.
Tu lui souris du mieux que tu peux et l’attrape dans tes bras lui offrant ce qu’elle te demandait, mais elle t’avait réellement blessé, toi le titan de la mafia russe venait d’être touché en plein cœur, et tu savais au fond de toi que tu lui rendrais ce qu’elle venait de te faire subir parce que vous étiez comme ça, inversant le rôle de chasseur et chassé éternellement.
Mais pour l’heure tu profitais de ta douce, de cet enlacement que tu voulais d’une longueur infinie, un baiser déposé sur son front et ta main passant dans ses cheveux la plaquant contre ton torse dénudé, voilà la seule chose que tu avais à lui offrir pour le moment, pas un mot ne sortit de ta bouche, la faisait au moins peut-être languir.
merde*
Pyphi(lia)Tu l’écoute, pèse chacun de ses mot, ton visage se crispe, Ksenia est en train de tuer la dernière fleure qui existait en toi, peu à peu, elle te retire ce morceau de ta poitrine que lui avais donné, chaque parole te fais bouillir de l’intérieur, parce que Ksenia au-delà de la femme qui te faisais te sentir vivant, d’être ta reine de la nuit, elle était celle-qui était capable de tempérer des actes, de t’empêcher de te transformer en bête quand il n’était pas nécessaire que tu le fasses, mais là, c’est comme si elle détachais une à une les chaînes retenant Cerbère.
Tu te lèves du véhicule, ton visage inexpressif, tu t’approches à d’elle, la regardant dans les yeux tu dégaines ton couteau et le plante dans le beau capot du véhicule.
« Un pion ? UN PION ?! Je ne suis pas l’homme lambda, que tu peux jeter comme une дерьмо* ! Tu ne trouveras jamais mieux que moi, parce qu’au jeu de la chasse je suis bon, très bon, et le pion que je suis il a un don pour réduire au silence tous les autres. Alors j’espère pour toi que le prochain sera fait de métal parce que sinon il finira en morceau. »
Tu laisses glisser tes doigts le long de ta lame, ta langue vient caresser rapidement tes lèvres, ton regard change tout comme ton attitude, tu te sens trahis, elle t’a demandé ce que tu ressentais tu as ouvert ton cœur, une fois, probablement la seule fois et tu te rends compte que c’était une erreur, que cette dernière fleur de bonté en toi capable d’aimer tu aurais dû la jeter il y’a bien longtemps de cela.
Mes les mots fusent encore et tu les encaisses jusqu’à n’en plus pouvoir, carapace que tu t’étais construite et que tu croyais à toute épreuve qui venait d’être balayé d’un revers de main par Ksenia. T’attrapais ton couteau le retirant de la carrosserie venant le faire doucement creuser des sillons autour de ton cœur.
« Maintenant que tu m’as avoué tes plus doux secrets, il est peut-être temps que je m’arrache de la poitrine la dernière chose qui me fait ressentir des choses pour les gens, pour toi, une frappe chirurgicale sera parfaite, n’est-ce pas ? »
Toute ta vie tu l’as vécue en sachant pertinemment que tu pourrais mourir à chaque heure de la journée, que ce soit par un flic, par un gang rival ou par trahison mais jamais tu ne t’étais dit que tu pourrais très bien le faire toi-même et t’ôter ta propre vie.
Tu dansais avec ta lame, frôlant l’ouverture de ta chair, laissant de jolie marque sur ton corps déjà abimé par de nombreux combats, puis tu te stop, net, des mots libérateurs parviennent à tes oreilles, des mots que tu entends à peine, des mots que tu crois avoir rêvé mais c’est bien la réalité et tu le sens avec cette lame contre ton corps que tu relâche désormais.
Tu t’approches lentement, ton regard plongé dans le sien, en quelques minutes elle à réussi à te tordre l’esprit pour finalement apaiser ton cœur, c’est indéniable tu éprouves quelque chose de fort pour Ksenia, quelque chose de réciproque que tu ne saurais décrire avec des mots.
Tu lui souris du mieux que tu peux et l’attrape dans tes bras lui offrant ce qu’elle te demandait, mais elle t’avait réellement blessé, toi le titan de la mafia russe venait d’être touché en plein cœur, et tu savais au fond de toi que tu lui rendrais ce qu’elle venait de te faire subir parce que vous étiez comme ça, inversant le rôle de chasseur et chassé éternellement.
Mais pour l’heure tu profitais de ta douce, de cet enlacement que tu voulais d’une longueur infinie, un baiser déposé sur son front et ta main passant dans ses cheveux la plaquant contre ton torse dénudé, voilà la seule chose que tu avais à lui offrir pour le moment, pas un mot ne sortit de ta bouche, la faisait au moins peut-être languir.
merde*
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quand les loups sont de sortie
ft. @Sven Kaplov
Le venin distillé par la bouche de la belle avait touché en plein vif l’homme qui n’était plus que l’ombre de lui-même, un dangereux prédateur qui ne tarderait à lui sauter à la gorge tant ses mots avaient été durs et dument choisis pour le torturer. Ksenia n’était guère romantique ni fragile, elle pouvait faire mal et savait très bien le faire dans ce cas-ci. Désireuse qu’il la déteste, ses paroles avaient été vindicatives et prévues à cet effet. Néanmoins, elle n’avait pu retenir ses larmes suite à ses déclarations. Comment Sven pouvait-il lui témoigner autant d’amour ? Il ne méritait pas d’une fille qui peut faire saigner son cœur, il mérite une fille douce, de celles qui savent aimer et non détruire. A l’extérieur, retranchée contre la portière de la voiture, les mots du russe montaient et jamais elle n’osa lever le regard vers lui jusqu’à cet instant précis. Ses yeux s’ancrèrent à la lame, cette épave qui brisa une partie de Ksenia à ce moment-là, les orbes écarquillés, ses prunelles criaient au secours tandis que sa bouche n’arrivait à hurler, elle tendit la main dans un geste vide tandis que l’attitude de son partenaire changea du tout au tout. sa chaleur enveloppa aussitôt le corps meurtri de la donzelle qui resta un instant tétanisée, lovée ainsi entre ses bras. Reprenant ses esprits, elle approcha ses lèvres de l’oreille de celui qui rythmait chaque battement de son corps et murmura de façon à peine audible : « je t’aime Sven, arrache mon cœur aussi car il est pour toi. » La russe entoura de ses deux bras le ventre du bellâtre, déposant ses mains au creux de son dos, à la commissure de ses fesses et de ses lèvres déposa mille et un baisers là où le sang avait coulé et où les balafres demeuraient, emportant sur son passage le sang qui giclait et recrachant celui-ci lorsque le goût devenait trop amer. Faisant glisser sa main à la recherche de l’arme du crime, une fois entre ses doigts, elle ancra le couteau dans son haut pour l’ouvrir verticalement. Dès lors, le monde autour d’elle avait disparu. « Nous sommes égaux n’est-ce pas Sven ? » lui chuchota-t-elle, un air de défi dans le regard, ses larmes ayant séché. Et, de gestes vifs et maitrisés, elle entailla sa propre peau, au-dessus de son palpitant pour y inscrire quatre lettres formant son prénom à lui. Les coups furent assez profonds et précis pour que lorsque les blessures fuiront, les cicatrices restent. « Je ne veux plus jouer Sven, je veux que tout le monde sache que je suis à toi et que tu m’appartiens, si tel est toujours le cas. Je veux pas d’un putain bout de papier avec ton nom, je te veux toi, sur moi, en moi je sais pas comment encore. » Ses mots étaient confus et même s’ils faisaient allusion à des délices charnels, il n’en était rien. Ksenia échangea leurs place en poussant presque le mafieux contre la carrosserie du véhicule, grimaçant face à la douleur provoquée par ses marques, essuyant le trop plein de sang de son partenaire de ses mains frêles et portant ces dernières contre son cœur à elle. « Tu ne connaitrais pas une sorcière ou un truc comme ça qui pourrait nous lier sous la lune ou un rite satanique, genre on a tous deux vendu notre âme au diable qui nous a permis de nous trouver. » Ses lèvres s’étirèrent en un puissant sourire qui se mua en lèvres serrées, dont ses dents grignotent la couleur pêchue, maculée de rouge audacieux. Elle avait soif, non pas pour se désaltérer, mais elle était fiévreuse et, rapidement, Ksenia se colla contre cet homme peu ordinaire, faisant courir ses mains dans ses cheveux, le long de sa nuque jusque dans ses bras et apposa sa bouche contre la sienne, cherchant un chemin pour tempérer ses craintes et ses regrets, ne le laissant que peu respirer et son cœur battant à tout rompre. Relâchant sa proie, elle recula d’un pas en désignant le coffre de la voiture : « peut-être peut-on feindre avoir été attaqués et appeler la police ? Ou tester le capot de ce bolide lors d’une course en mode amants revenus d’entre les morts, notre tenue est adéquate ? » ajouta-t-elle alors qu’elle se pendait au cou de l’homme en caressant de ses mains son dos robuste.
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Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Encore bouleversé par les événements passés t’avais un peu de mal à reprendre tes esprits, Ksenia jouait à un jeu que tu avais du mal à comprendre, à suivre, pendant un instant elle te méprisait te dégoutant presque de toi-même, de cet être qu’elle avait aidé à façonner au fil du temps et quelques minutes à peine plus tard, elle voulait que tu saches à quel point elle était tienne. Danse infernale que tu n’es pas en mesure de suivre, cette plaie sur ton corps, celles sur Ksenia.
Tu braques ton regard sérieux sur elle, tu la plaque contre cette voiture que vous abandonnerez dans peu de temps comme une vieille épave, aucun mot ne sort de ta bouche, incapable de réagir à ce qu’elle vient de faire, tu veux juste lui faire prendre conscience que le jeu auquel elle joue est dangereux, que ta part d’ombre pourrait te consumer et t’amener à disparaître. Les minutes passent sans que tu ne perdes cette liaison du regard, remontant son menton pour qu’elle te fasse face, aucun sourire ne passe, aucune expression ne peut se lire sur ton visage froid, puis d’un seul coup, tu te retires, tu la laisses là contre la voiture, seule, et tu commences à suivre cette route qui s’étends jusqu’à l’horizon, ta veste que tu abandonnes au sol et ta chemise ouverte qui a viré au rouge avec tout ce sang, personne ne sera assez fou pour te prendre en stop et au fond c’est pas ce que tu désires.
Tu sais au fond de toi que Ksenia n’aura aucun mal à se rendre où elle désire, qu’elle décide de te suivre ou qu’elle rentre, ce serpent qui a depuis bien longtemps injecté son venin dans tes veines d’homme faible pour en faire un puissant prédateur est capable de charmer bien des personnes. Au fond de toi tu sais pas vraiment ce que tu attends d’elle et quand bien même tu ne pourrais même pas savoir à quoi t’attendre tellement elle est imprévisible, tu marches sans jamais te retourner depuis que tu as quitté son regard, le soleil comme seul direction, cette petite promenade aura au moins le mérite de te faire réfléchir sur ta vie, cette vie que tu mènes depuis longtemps, bien longtemps, sur cette relation fusionnelle que tu partages avec cette femme fatale, t’as toujours cru que tu comptais autant pour elle, qu’elle ne comptait pour toi mais ce soir, pour la première fois tu remettais cela en question, tu te demandais ce que tu avais pu rater.
Epave en devenir ou phœnix en résurrection qu’importe ce qui allait se passer, cela allait changer à tout jamais ton point de vue sur Ksenia, sur votre vie, sur ta vie, que ce soit en bien ou en mauvais, tu ne pourrais jamais rester avec quelqu’un qui ne t’aime pas vraiment, parce que là dehors, il y’a une meute de loups affamés qui rêvent de te faire tomber de ton trône et que t’as besoin d’une personne en qui tu peux avoir confiance à chaque instant.
Pyphi(lia)Tu braques ton regard sérieux sur elle, tu la plaque contre cette voiture que vous abandonnerez dans peu de temps comme une vieille épave, aucun mot ne sort de ta bouche, incapable de réagir à ce qu’elle vient de faire, tu veux juste lui faire prendre conscience que le jeu auquel elle joue est dangereux, que ta part d’ombre pourrait te consumer et t’amener à disparaître. Les minutes passent sans que tu ne perdes cette liaison du regard, remontant son menton pour qu’elle te fasse face, aucun sourire ne passe, aucune expression ne peut se lire sur ton visage froid, puis d’un seul coup, tu te retires, tu la laisses là contre la voiture, seule, et tu commences à suivre cette route qui s’étends jusqu’à l’horizon, ta veste que tu abandonnes au sol et ta chemise ouverte qui a viré au rouge avec tout ce sang, personne ne sera assez fou pour te prendre en stop et au fond c’est pas ce que tu désires.
Tu sais au fond de toi que Ksenia n’aura aucun mal à se rendre où elle désire, qu’elle décide de te suivre ou qu’elle rentre, ce serpent qui a depuis bien longtemps injecté son venin dans tes veines d’homme faible pour en faire un puissant prédateur est capable de charmer bien des personnes. Au fond de toi tu sais pas vraiment ce que tu attends d’elle et quand bien même tu ne pourrais même pas savoir à quoi t’attendre tellement elle est imprévisible, tu marches sans jamais te retourner depuis que tu as quitté son regard, le soleil comme seul direction, cette petite promenade aura au moins le mérite de te faire réfléchir sur ta vie, cette vie que tu mènes depuis longtemps, bien longtemps, sur cette relation fusionnelle que tu partages avec cette femme fatale, t’as toujours cru que tu comptais autant pour elle, qu’elle ne comptait pour toi mais ce soir, pour la première fois tu remettais cela en question, tu te demandais ce que tu avais pu rater.
Epave en devenir ou phœnix en résurrection qu’importe ce qui allait se passer, cela allait changer à tout jamais ton point de vue sur Ksenia, sur votre vie, sur ta vie, que ce soit en bien ou en mauvais, tu ne pourrais jamais rester avec quelqu’un qui ne t’aime pas vraiment, parce que là dehors, il y’a une meute de loups affamés qui rêvent de te faire tomber de ton trône et que t’as besoin d’une personne en qui tu peux avoir confiance à chaque instant.
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