YESTERDAY'S NEWS |48
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quand les loups sont de sortie
ft. @Sven Kaplov
La suite s’annonçait riche en rebondissements tandis qu’à l’horizon, les étoiles brillaient toujours, impérieuses et statiques dans ce royaume qu’elles contrôlaient. Rieuses, les belles devaient s’amuser de la situation où ces deux sculpteurs du destin se délectent de leur facétie commune, celle qui les rend tantôt irrésistibles, tantôt sévères. Approchant ses lèvres de l’oreille de l’homme, la russe susurra : « Tu sais déjà ce que je veux Sven, te suivre dans ta marche pour conquérir ce monde, être à tes côtés quand tu prends aux vicieux pour redistribuer aux conquérants. Et…je te veux toi, mais je crois que je l’ai déjà dit. » Le champagne lui montait-il à la tête ? Car des bulles semblaient pétiller au sein de ses pupilles tout en succombant à chacune de ses caresses, preuve en est les ongles de la belle se plantant dans la peau de l’adonis à chacun de ses passages. Proche de Sven, la belle se hissa contre son corps, ancrant ses deux bras fermement autour de sa nuque et encerclant de ses jambes les hanches du vainqueur, sans crier gare là telle la plus haute des choses, Ksenia dominait le même espace visuel que Sven et s’accrocha fermement à ses épaules en riant. Le peignoir ayant depuis roulé sur le sol afin d’éviter qu’un tissu néfaste freine ce duo autant intellectuel que charnel. Levant les yeux un instant vers le plafond, la mine pensive, elle se mit à réfléchir au lieu de leur délit. Point de choses des plus extravagantes, Ksenia finit par hocher la tête ardemment, brûlant d’envie de remplir la pièce de divers parfums en testant toutes ces huiles et autres produits à la fragrance raffinée que devait compter le bateau. « Vos désirs sont des ordres capitaine Kaplov, conduisez-moi donc à cette salle de torture où vos mains expertes dépouilleront mon âme de sa dernière once d’humanité » récita-t-elle comme des paroles issues d’un des romans qu’elle avait dû emprunter pour se plonger dans un personnage, néanmoins, les faits s’envolent mais les écrits restent et ceux-là, elle venait d’en user avec une facilité déconcertante tandis qu’elle céda à la tentation de voler un baiser, puis deux, puis trois à son porteur sans jamais plus qu’un effleurement de lèvres, distillant le plaisir dans chacune de ses tentatives mais ne cédant pas encore à l’envie.
C O D E W H A T S E R N A M E .
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Crédits : feu ardent ♥
Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Ksenia était à tes yeux une petite boule d’énergie surprenante et imprévisible, aujourd’hui, elle te le montrait encore, disparition, apparition, tu ne savais pas vraiment à quoi elle jouait mais tu te laissais faire.
« Non mais je suppose que bientôt je connaîtrai. »
T’attrapais une nouvelle fois ta belle par les hanches de tes bras musclés, venant la déposer sur une autre table de massage, sourire aux lèvres comme toujours à ses côtés tu lui répondais.
« Laisse-moi être ton gentleman, de toute façon on sait très bien toi comme moi, que tu obtiendras ce que tu voudras. Mais pour l’heure… »
Tu attrapais ses bras des tiens que tu hissais le long de sa tête, effleurant une fois de plus ses lèvres de tiennes, assez proche pour sentir son souffle sur ton visage.
« Laisse-moi m’occuper un peu plus de toi, je n’ai pas fini de jouer avec ton jolie corps de déesse. »
T’attrapais le mélange qu’elle avait préparé, trempant tes mains dans la mixture à la texture et la couleur de sang, tu laissais tes doigts se balader sur tout son corps, appliqué tu traçais des K et S entremêlait, signe de votre union particulière et inégalable, un cœur de sang pour refermer votre duo.
Tantôt tu lui faisais des peintures de guerre sur son visage, saisissant ses lèvres des tiennes au passage, tantôt tu dessinais des « s » sur ses jambes, tel un serpent parcourant son corps, tu jouais en pleine conscience avec ton fin toucher.
« Et maintenant je dois goûter cette œuvre quand même. »
Un sourire plus tard, tu laissais la pointe de ta langue se baladait sur son ventre tel un requin tracerait son sillon remontant le cadavre de l’homme que vous aviez saigné, t’étais le prédateur et tu savourais chaque petite goute de sang que t’avais déposé sur son corps, jouant avec les points chaud tu faisais monter la température sans dépasser les bornes, tu voulais être le meneur de danse, celui qui donne le ton, mais t’étais partageur alors tu t’égarais jusqu’à sa bouche, lui offrant un baiser langoureux que tu prolongeais alors que tes mains s’égaraient sur sa taille.
« Tu sais, j’aime pas gaspiller, tu risques m’avoir sur ta peau un moment chérie. »
Pyphi(lia)« Non mais je suppose que bientôt je connaîtrai. »
T’attrapais une nouvelle fois ta belle par les hanches de tes bras musclés, venant la déposer sur une autre table de massage, sourire aux lèvres comme toujours à ses côtés tu lui répondais.
« Laisse-moi être ton gentleman, de toute façon on sait très bien toi comme moi, que tu obtiendras ce que tu voudras. Mais pour l’heure… »
Tu attrapais ses bras des tiens que tu hissais le long de sa tête, effleurant une fois de plus ses lèvres de tiennes, assez proche pour sentir son souffle sur ton visage.
« Laisse-moi m’occuper un peu plus de toi, je n’ai pas fini de jouer avec ton jolie corps de déesse. »
T’attrapais le mélange qu’elle avait préparé, trempant tes mains dans la mixture à la texture et la couleur de sang, tu laissais tes doigts se balader sur tout son corps, appliqué tu traçais des K et S entremêlait, signe de votre union particulière et inégalable, un cœur de sang pour refermer votre duo.
Tantôt tu lui faisais des peintures de guerre sur son visage, saisissant ses lèvres des tiennes au passage, tantôt tu dessinais des « s » sur ses jambes, tel un serpent parcourant son corps, tu jouais en pleine conscience avec ton fin toucher.
« Et maintenant je dois goûter cette œuvre quand même. »
Un sourire plus tard, tu laissais la pointe de ta langue se baladait sur son ventre tel un requin tracerait son sillon remontant le cadavre de l’homme que vous aviez saigné, t’étais le prédateur et tu savourais chaque petite goute de sang que t’avais déposé sur son corps, jouant avec les points chaud tu faisais monter la température sans dépasser les bornes, tu voulais être le meneur de danse, celui qui donne le ton, mais t’étais partageur alors tu t’égarais jusqu’à sa bouche, lui offrant un baiser langoureux que tu prolongeais alors que tes mains s’égaraient sur sa taille.
« Tu sais, j’aime pas gaspiller, tu risques m’avoir sur ta peau un moment chérie. »
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Ksenia Solotarev a écrit:
quand les loups sont de sortie
ft. @Sven KaplovLes lèvres de Ksenia se scellèrent tandis qu’elle se mordait la langue afin de ne pas glousser ou dire des bêtises tandis que les mains expertes de Sven faisaient l’aller retour sur son corps qui ne demandait que sa présence à ses côtés. Des frissons mais aussi des picotements là où il venait d’apposer ses doigts la tiraillaient de toute part mais, allongée sur le ventre après qu’il lui ait soufflé des mots qui avaient légèrement rosi ses pommettes, la donzelle savourait l’instant en s’imaginant au milieu d’une tempête, au sommet d’un building, de là où ils dominaient le monde englouti par les vagues de la compassion et de la trahison. Là, un transat serait installé ainsi qu’un orchestre et beaucoup de ces choses luxueuses auxquelles elle avait pu goûter grâce au damoiseau. « Le décor ne me plait pas chéri » lança-t-elle alors qu’il finissait de loger un baiser sur son corps et qu’un son rauque s’extirpa de la gorge de la belle. Se redressant, désormais assise sur ses genoux, elle attira l’homme contre elle en le tirant par l’élastique de son boxer. « Maintenant, c’est mon tour ! » Laissant glisser ses doigts le long de cet élastique un peu trop volumineux pour rester en place longtemps, ses jours étaient comptés. Néanmoins, reprenant sa position allongée, cette fois sur le dos, Ksenia plaça ses mains dans les cheveux de Sven et vint capturer ses lèvres afin qu’ils ne fassent plus qu’un. Elle savait exactement ce qu’elle voulait et, après quelques minutes d’extase complète entre les bras de son prince, elle se redressa et sauta de la table de massage pour placer un doigt sur ses lèvres bouffies par leurs baisers audacieux afin d’intimer le silence à son cher et tendre. Courant sur le parquet, ses pas retentissant d’une main de maître et enfilant par la même occasion un autre peignoir, elle se précipita vers la cuisine. Là, elle récupéra tous les fruits et légumes qu’elle put trouver et revint vers la salle de massage avec bols, pinceaux et autres mixtures à sa portée. « Tu as déjà testé la peinture comestible ? Celle qui rend belle et qui se mange aussi ? » Se munissant du couteau qu’elle avait pris dans son triomphe, elle coupa net dans une flopée de fraises afin d’en extirper le jus qui coula dans une tasse, y ajouta de la farine et de l’eau pour créer l’illusion d’un sang parfait. D’autres teintes s’ajoutèrent à son imagination avant qu’elle ajoute : « accepterais-tu d’être mon œuvre d’art vivant ? Je n’ai pas sculpté ton corps, je laisse ça à la science mais je peux y laisser ma trace, à moins que tu veuilles te prêter à l’exercice ? ». Ksenia attendait la réponse de l’homme en lui volant un autre baiser.C O D E W H A T S E R N A M E .
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Ksenia était à tes yeux une petite boule d’énergie surprenante et imprévisible, aujourd’hui, elle te le montrait encore, disparition, apparition, tu ne savais pas vraiment à quoi elle jouait mais tu te laissais faire.
« Non mais je suppose que bientôt je connaîtrai. »
T’attrapais une nouvelle fois ta belle par les hanches de tes bras musclés, venant la déposer sur une autre table de massage, sourire aux lèvres comme toujours à ses côtés tu lui répondais.
« Laisse-moi être ton gentleman, de toute façon on sait très bien toi comme moi, que tu obtiendras ce que tu voudras. Mais pour l’heure… »
Tu attrapais ses bras des tiens que tu hissais le long de sa tête, effleurant une fois de plus ses lèvres de tiennes, assez proche pour sentir son souffle sur ton visage.
« Laisse-moi m’occuper un peu plus de toi, je n’ai pas fini de jouer avec ton jolie corps de déesse. »
T’attrapais le mélange qu’elle avait préparé, trempant tes mains dans la mixture à la texture et la couleur de sang, tu laissais tes doigts se balader sur tout son corps, appliqué tu traçais des K et S entremêlait, signe de votre union particulière et inégalable, un cœur de sang pour refermer votre duo.
Tantôt tu lui faisais des peintures de guerre sur son visage, saisissant ses lèvres des tiennes au passage, tantôt tu dessinais des « s » sur ses jambes, tel un serpent parcourant son corps, tu jouais en pleine conscience avec ton fin toucher.
« Et maintenant je dois goûter cette œuvre quand même. »
Un sourire plus tard, tu laissais la pointe de ta langue se baladait sur son ventre tel un requin tracerait son sillon remontant le cadavre de l’homme que vous aviez saigné, t’étais le prédateur et tu savourais chaque petite goute de sang que t’avais déposé sur son corps, jouant avec les points chaud tu faisais monter la température sans dépasser les bornes, tu voulais être le meneur de danse, celui qui donne le ton, mais t’étais partageur alors tu t’égarais jusqu’à sa bouche, lui offrant un baiser langoureux que tu prolongeais alors que tes mains s’égaraient sur sa taille.
« Tu sais, j’aime pas gaspiller, tu risques m’avoir sur ta peau un moment chérie. »
Pyphi(lia)« Non mais je suppose que bientôt je connaîtrai. »
T’attrapais une nouvelle fois ta belle par les hanches de tes bras musclés, venant la déposer sur une autre table de massage, sourire aux lèvres comme toujours à ses côtés tu lui répondais.
« Laisse-moi être ton gentleman, de toute façon on sait très bien toi comme moi, que tu obtiendras ce que tu voudras. Mais pour l’heure… »
Tu attrapais ses bras des tiens que tu hissais le long de sa tête, effleurant une fois de plus ses lèvres de tiennes, assez proche pour sentir son souffle sur ton visage.
« Laisse-moi m’occuper un peu plus de toi, je n’ai pas fini de jouer avec ton jolie corps de déesse. »
T’attrapais le mélange qu’elle avait préparé, trempant tes mains dans la mixture à la texture et la couleur de sang, tu laissais tes doigts se balader sur tout son corps, appliqué tu traçais des K et S entremêlait, signe de votre union particulière et inégalable, un cœur de sang pour refermer votre duo.
Tantôt tu lui faisais des peintures de guerre sur son visage, saisissant ses lèvres des tiennes au passage, tantôt tu dessinais des « s » sur ses jambes, tel un serpent parcourant son corps, tu jouais en pleine conscience avec ton fin toucher.
« Et maintenant je dois goûter cette œuvre quand même. »
Un sourire plus tard, tu laissais la pointe de ta langue se baladait sur son ventre tel un requin tracerait son sillon remontant le cadavre de l’homme que vous aviez saigné, t’étais le prédateur et tu savourais chaque petite goute de sang que t’avais déposé sur son corps, jouant avec les points chaud tu faisais monter la température sans dépasser les bornes, tu voulais être le meneur de danse, celui qui donne le ton, mais t’étais partageur alors tu t’égarais jusqu’à sa bouche, lui offrant un baiser langoureux que tu prolongeais alors que tes mains s’égaraient sur sa taille.
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La nuit avait dû attiser leur sens car la donne avait changé, ce n’était plus Ivan qu’ils chassaient mais ils lorgnaient depuis un moment entre désir et patience, passion et attraction, se tournant autour sans jamais franchir cette barrière qui les conduirait sur le chemin d’une luxure dont ils étaient friands et qui ne les dérangeait guère. Savourant chacun de ses passages, appréciant chacune de ses caresses et se délectant de ce baiser dont elle ne parvenait à se défaire. Cherchant à s’emparer de ses lèvres de ses dents, elle vint porter un coup fatal en tirant abruptement dessus mais sans jamais faire perler de sang. Au lieu de cela, ses deux mains se posèrent sur le visage de Sven, y apposant des caresses du bout de son pouce. Une fois rassasiée, elle ne lâcha guère son étreinte et ondula sous le corps de l’homme pour s’emparer de deux pinceaux, l’un aux couleurs dorées, l’autre aux couleurs bleutées et vint tracer une première ligne partant de la cime de son front jusqu’à son menton qu’elle effleura de sa bouche. Le doré lui servit à représenter un aigle sur sa joue droite, tracé rapidement, seules les lignes se distinguant tandis qu’à gauche, elle y plaça un tigre, assoiffé de pouvoir. L’un venant compléter l’autre. « Les deux faces d’un même homme, tu es parfait Sven, en as-tu seulement confiance ? Et ceux qui te diront le contraire n’ont rien compris. » Laissant tomber les pinceaux, la donzelle trempa le bout de ses doigts dans la peinture rouge pour écrire en grosses lettres, d’une écriture raffinée et bouclée sur le torse de l’homme, KSENIA. Amusée, elle le repoussa d’un geste presque violent pour qu’il se retrouve allongé sur le dos et qu’elle puisse se placer à quatre pattes, comme l’animal qu’elle pouvait être. « Ma peau est toute à toi, elle transpire ton nom à chaque instant. Nos sangs pourraient se mêler mais je trouve ce genre de pratique trop barbare » minauda la douce tandis que ses lèvres couraient sur le torse de l’homme pour s’abreuver de son œuvre, donnant des coups de langue et souvent des coups de dents. « Jusqu’où as-tu envie de jouer Sven ? Car je n’ai plus trop envie de jouer l’innocente là, tu as réveillé la lionne » et joignant le geste à parole, la donzelle fit courir ses ongles du torse de Sven jusqu’à l’entrée des terres interdites, goûtant de sa bouche l’aigle et le tigre.
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Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Tu laissais ta belle parcourir ton corps et y déposer ses marques, tu la laisser prendre possession de cette peau que tu lui avais cédé déjà bien des années auparavant, ton regard braqué sur elle tu ne pouvais te détacher de ses yeux, ton pouce pour venir tracer un léger sillon de sa lèvre inférieur à son menton, tu sentais la douceur avec laquelle elle traçais ses lignes, tu ressentais sa marque s'encrer un peu plus en toi lorsqu'elle te fit des compliments.
« Je ne serai rien sans toi Ksenia, tu es la raison pour laquelle je me bas chaque jour, tu es le pilier de notre empire comme de ma vie. Tu es exceptionnelle mon ange démoniaque. »
Pouvais-tu seulement trouver meilleur oxymore que ça, elle était ton ange de la mort et tu l'aimais pour ça, t'aimais sa dualité, t'aimais percevoir chez elle chaque once de bonté qu'elle faisait preuve à ton égard comme chaque once de cruauté qu'elle servait sur un plateau d'argent à vos ennemis.
Chaque petit mouvement de la belle sur ton corps te faisais frémir intérieurement, chaque seconde tu luttais pour ne pas la hisser vers toi pour l'inonder de ta passion, mais tu résistais parce que c'en était que plus intéressant, parce que là sentir là au-dessus de toi, te surplombant te donner un peu plus envie de jouer avec elle, t'étais loin de vouloir t'arrêter dans le jeu qu'elle avait déclenché, t'étais prêt à aller jusqu'au bout.
« Je te laisse mener la danse et je te suivrai qu'importe où cette voie nous mène, ma lionne. »
Un sourire en coin, tu ressentais l'intensité du moment présent, tu prenais pleinement conscience de la situation dans laquelle tu te trouvais, tu savais qu'a tout moment tes hommes pouvaient venir vous déranger, vous étiez dans votre petit coin de paradis et tu flottais sur ton nuage.
T’exerçais une légère pression sur le dos de ta belle de quoi la plaquer contre ton torse, tu la voulais proche de toi, tu voulais pouvoir capter son regard à chaque instant, pouvoir attraper ses lèvres de tiennes, lui voler quelques caresses et lui susurrer quelques mots doux, tu faisais courir tes mains de sa belle crinière, à son dos d'où tu descendais délicatement jusqu'à sa dernière pièce de vêtement.
« Vas-tu me faire un peu plus succomber à ton charme ? »
Pyphi(lia)« Je ne serai rien sans toi Ksenia, tu es la raison pour laquelle je me bas chaque jour, tu es le pilier de notre empire comme de ma vie. Tu es exceptionnelle mon ange démoniaque. »
Pouvais-tu seulement trouver meilleur oxymore que ça, elle était ton ange de la mort et tu l'aimais pour ça, t'aimais sa dualité, t'aimais percevoir chez elle chaque once de bonté qu'elle faisait preuve à ton égard comme chaque once de cruauté qu'elle servait sur un plateau d'argent à vos ennemis.
Chaque petit mouvement de la belle sur ton corps te faisais frémir intérieurement, chaque seconde tu luttais pour ne pas la hisser vers toi pour l'inonder de ta passion, mais tu résistais parce que c'en était que plus intéressant, parce que là sentir là au-dessus de toi, te surplombant te donner un peu plus envie de jouer avec elle, t'étais loin de vouloir t'arrêter dans le jeu qu'elle avait déclenché, t'étais prêt à aller jusqu'au bout.
« Je te laisse mener la danse et je te suivrai qu'importe où cette voie nous mène, ma lionne. »
Un sourire en coin, tu ressentais l'intensité du moment présent, tu prenais pleinement conscience de la situation dans laquelle tu te trouvais, tu savais qu'a tout moment tes hommes pouvaient venir vous déranger, vous étiez dans votre petit coin de paradis et tu flottais sur ton nuage.
T’exerçais une légère pression sur le dos de ta belle de quoi la plaquer contre ton torse, tu la voulais proche de toi, tu voulais pouvoir capter son regard à chaque instant, pouvoir attraper ses lèvres de tiennes, lui voler quelques caresses et lui susurrer quelques mots doux, tu faisais courir tes mains de sa belle crinière, à son dos d'où tu descendais délicatement jusqu'à sa dernière pièce de vêtement.
« Vas-tu me faire un peu plus succomber à ton charme ? »
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