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YESTERDAY'S NEWS |48
- Théodora OleszekI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2829
Messages : 364
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : zhenya katava
Crédits : velaris (avatar)
Autres comptes : zeke & ansel
Âge du personnage : vingt quatre ans
Nationalité(s) : russe & américaine
Signe astrologique : Verseau
Mon personnage, en 5 mots : blabla
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : pianiste de renom.
Études (passées ou en cours) : langues et civilisations étrangères.
Hobby : boxe, sport de combat, violon, champ de tir, danse.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : "the boy next door"
under the night sky.les lignes blanches s’enchaînent. défilent avec aisance sous ses phares. elles doivent en voir passer tous les jours. des voitures. des motos. leurs occupants. tous en direction de los angeles « la ville des stars. » où tout le monde pensait pouvoir réaliser ses rêves. personne n'était conscient que la plupart échouerait, finirait par enchaîner les petits boulots, sans jamais atteindre l'apothéose comme ils l'avaient rêvé. dora, elle n'avait pas besoin de rêver. elle ne rêvait plus de toute façon. sa réalité était devenue ses rêves. se perdre dans les notes de musique, les mélodies hasardeuses qu'on tente de rendre harmonieuses, la vue de son loft, l'argent plus qu'elle n'en aura jamais besoin. et pourtant elle est obligé de monter sur un ring de boxe ou de presser la détente d'une arme pour se sentir réellement vivante autre part que sur scène. la russe appuya un peu plus sur l'accélérateur. un coup d’œil à sa vitesse lui indiquant qu'elle frôlait dangereusement la limite. déjà plus d'une heure de trajet depuis santa barbara. la nuit était tombé depuis longtemps, mais elle était bientôt arrivé chez elle. bientôt dans son lit. elle avait profité de son séjour à santa barbara pour visiter une salle de théâtre et récupérer une robe pour sa mère. une soirée à laquelle dora n'aura pas à être présente. ça changera. les yeux de nouveau posés sur le compteur, elle se mordit la lèvre. t'avais dis que tu craquerais pas. t'avais dis pas d'excès de vitesse. elle balaya de la main ses pensées raisonnables. elle joua à franchir la limite quelque temps. on s'amuse comme on peut sur un long trajet. elle s'ennuie. conduit par automatisme, comme presque tout conducteur qui se respecte. les pensées défilent aussi vite que ces lignes blanches. mais pas aussi vite que son essence.
elle l'avait pas remarqué. sa réserve qui clignotait. elle avait oublié, ou plutôt pensait en avoir assez pour rentrer. trop tard. « merde merde merde. » la bande d'arrêt d'urgence fut là pour accueillir son désespoir. elle coupa le moteur. essaye de redémarrer. une fois. deux fois. trois fois. elle balança ses poings sur son volant en lâchant une litanie d'insultes dans sa langue natale. le naturel revient toujours au galop. encore plus dans les situations sans issue. dora se jeta sur son téléphone. l'espoir au bout des doigts. l'espoir, il disparut bien vite. l'écran refusa de s'allumer. là aussi, elle avait oublier quelque chose. de le recharger. plus de batterie. plus d'essences.
laissé pour compte, comme une moins que rien sur le bord de la route. parce qu'elle avait été négligente. elle s'en mord déjà les doigts. elle ouvre sa boite à gants. son glock est toujours là. rassurée, elle sort prudemment de la voiture, sans oublier de prendre son paquet de cigarettes « en cas d'urgence ». il était tard dans la nuit, ou plutôt tôt le matin. peu lui importait. les routes étaient beaucoup moins empruntés. elle était encore loin de los angeles. assise sur le capot de sa voiture, clope aux lèvres. elle regardait lascivement les voitures la dépasser. attendant désespérément le miracle qui viendra l'enlever de la route.
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 29 ans
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Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Ce soir encore ton métier ou plutôt tes activités, t'avais ammener à quitter la ville pour régler divers conflits, c'était au volant de ton Aston Martin que tu t'étais rendu là bas. Tu avais appris au fil du temps que si tu voulais avoir un travail bien fait il fallait que tu te déplaces toi même, dans un monde où la trahison peut te précipiter six pieds sous terres, tu devais peser le poids de chacune des décisions que tu prenais.
Tu arrivas sur les lieux quelques dizaines de minutes plus tard, ce soir t'avais vraiment pas envie d'être compréhensif, alors quand tes gars russes t'emmenèrent le mec qui posait problème, tu sortis de ton coffre une barre à mine avec laquelle tu fis ton oeuvre, bien vite tu remontas dans ta caisse de milliardaire et tu repartais vers chez toi espérant ne pas recevoir d'appel.
Mais bien vite, le destin, fis que tu t'arrêtas une nouvelle fois en route, pas par obligation cette fois mais parce que tu perçu bien vite une certaine détresse d'un véhicule garé sur la bande d'arrêt d'urgence.
Tu pris place derrière, mis tes warnings, et descendit de ton véhicule en direction de la voiture à l'arrêt, ton Desert Eagle planqué sous ta veste, tu t'approchais de la silhouette qui était entrain de fumer, tu avais toujours été prudent et tu devais le restais si tu espérais vivre un peu plus longtemps chaque jour.
"Mademoiselle, vous avez besoin d'aide ?" Demandas-tu avec ton accent russe prononcé.
Ta marche continuais vers la silhouette que tu percevais peu jusqu'à arriver face à elle, tu sortis un cigare de ta poche, que tu allumas à ton tour, tu ne savais pas vraiment si tu serai en mesure de l'aider mais cette pause qui s'offrait à toi, te ferai le plus grand bien.
"Si vous avez un problème de véhicule je peux appeler un dépanneur ou vous déposer." Proposais tu alors que tu portais le cigare à tes lèvres.
Sans que tu ne fasses attention ton côté gentleman l'emporta sur ton côté soucieux, mais ce soir peut-être qu'inconsciemment tu avais envie de jouer dangereusement, peut-être que ta vie se résumait à cela, à toujours être sur le fil du rasoir.
Pyphi(lia)Tu arrivas sur les lieux quelques dizaines de minutes plus tard, ce soir t'avais vraiment pas envie d'être compréhensif, alors quand tes gars russes t'emmenèrent le mec qui posait problème, tu sortis de ton coffre une barre à mine avec laquelle tu fis ton oeuvre, bien vite tu remontas dans ta caisse de milliardaire et tu repartais vers chez toi espérant ne pas recevoir d'appel.
Mais bien vite, le destin, fis que tu t'arrêtas une nouvelle fois en route, pas par obligation cette fois mais parce que tu perçu bien vite une certaine détresse d'un véhicule garé sur la bande d'arrêt d'urgence.
Tu pris place derrière, mis tes warnings, et descendit de ton véhicule en direction de la voiture à l'arrêt, ton Desert Eagle planqué sous ta veste, tu t'approchais de la silhouette qui était entrain de fumer, tu avais toujours été prudent et tu devais le restais si tu espérais vivre un peu plus longtemps chaque jour.
"Mademoiselle, vous avez besoin d'aide ?" Demandas-tu avec ton accent russe prononcé.
Ta marche continuais vers la silhouette que tu percevais peu jusqu'à arriver face à elle, tu sortis un cigare de ta poche, que tu allumas à ton tour, tu ne savais pas vraiment si tu serai en mesure de l'aider mais cette pause qui s'offrait à toi, te ferai le plus grand bien.
"Si vous avez un problème de véhicule je peux appeler un dépanneur ou vous déposer." Proposais tu alors que tu portais le cigare à tes lèvres.
Sans que tu ne fasses attention ton côté gentleman l'emporta sur ton côté soucieux, mais ce soir peut-être qu'inconsciemment tu avais envie de jouer dangereusement, peut-être que ta vie se résumait à cela, à toujours être sur le fil du rasoir.
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* « camarade. »under the night sky. @Sven Kaplovelle ne sait pas combien de temps elle a attendu. le cadavre de trois cigarettes jetés négligemment à ses pieds. elle qui n'était pas une grande fumeuse avait craqué. le froid commençait à érafler sa peau, comme si il cherchait une prise. de quoi lui voler sa chaleur. la veste sur sa banquette arrière lui avait sauvé la vie, la russe l'avait enfilé sans cérémonie. il s'agissait d'une vieille veste qu'elle avait retrouvé chez ses parents, le cuir avait vécu, mais il tenait la route, et la doublure épaisse la rendait plus chaude.
un sursaut d'espoir faisait vibrer son cœur à chaque fois qu'une des rares voitures qui l'avait dépassé montrait le bout de ses phares. elle avait presque failli se résigner. dormir dans sa voiture. jusqu'à ce qu'elle entende un ronronnement de moteur. elle se retourna avec stupeur. sa quatrième cigarette à la main, elle sauta de son capot. elle devait ressembler à une biche effarée, en plein milieu de ses phares. figée, la surprise au creux des reins. un coup d’œil à l'intérieur de sa voiture. elle regretta déjà de ne pas avoir gardé son glock sur elle. l'imprudence continuait. elle soupira, se fatiguant à elle seule. il était tard dans la nuit, elle était seule, quasiment sans lumière. un inconnu s'arrête, et une des seules choses qui peut lui garantir sa sécurité est hors de portée.
elle regarde la silhouette avancer dans un halo de lumière. le cliché pur et du du sauveur. ou du méchant dans les films. elle se retint de reculer d'un pas. elle vit enfin son visage, et pourtant, c'est bien en entendant sa voix qu'elle retrouva un semblant de sérénité. cet accent russe. une douce mélodie à ses oreilles. elle avait presque perdu le sien. étant arrivé petite en amerique. pourtant jamais, elle n'avait cessé de parler sa langue. certaines choses se perdent. d'autres restent. « plutôt deux fois qu'une. » elle tira sur sa cigarette et tacha de lui expliquer la situation. « c'est pas grand chose. je pensais pouvoir faire mon trajet sans faire le plein, mais il semblerait que non. c'était stupide. » et irresponsable. elle s'était fait la liste de ses reproches dans sa tête, le temps que quelqu'un arrive. elle balaya l'avant de la voiture de la main, épuisée. « et mon téléphone est mort. » ce qui expliquait pourquoi elle n'était toujours pas tiré de là. elle dévisagea son "sauveur" du coin de l’œil. oui, elle était heureuse qu'il soit là. d'être tombé sur un compatriote en plus. mais elle garda à l'esprit que peu de gens était sur les routes à cette heure là. et que peu de ceux-là, décidait de s'arrêter en pleine nuit pour aider une inconnue. « il se fait tard, je voudrais pas déranger. je vous laisse choisir. » elle haussa les épaules. incapable de savoir si elle devait se méfier ou non du russe qui se trouvait en face d'elle. « приятель * »
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
C'était sous un grand ciel étoilé que tu t'étais garé sur cette bande d'arrêt d'urgence, c'était avec méfiance que tu étais sortie de ton véhicule avec ton arme fétiche dans ton dos, c'était avec un grand sourire aux lèvres, innocent que tu avais proposé à la belle jeune femme dont tu percevais enfin le visage, de l'aider dans ce qui semblait être une panne.
Les yeux rivés sur elle, tu l'écoutais, dans sa douce voix tu captais un léger accent russe, toi tu te disais que c'était peut-être le destin, cela faisait bien longtemps que tu n'avais pas entendu cette langue hors de tes activités nocturnes et sans que tu ne saches vraiment pourquoi, tu baissas alors ta garde, te laissant prendre au jeu de cette rencontre inattendue.
Ton cigare ne quittait pas tes lèvres, pas plus que tes oreilles ne se détournaient de ses paroles, la pauvre avait enchaîné les galères, et tes yeux, ou plutôt ton regard montrait une certaine compassion envers elle, le destin pouvait être bien cruel parfois, et les routes étaient loin d'être certaines la nuit, en l'occurrence, t'étais bien placé pour le savoir.
"On dirait que vous avez un mauvais karma pour que tant de choses s'abattent sur vous en même temps." Tu riais légèrement tentant de détendre la situation.
Le choix était compliqué, mais la raison l'emporta bien vite, cette nuit là était bien plus fraîche que les autres, t'aurais pu appeler une dépanneuse mais étant donné le lieu où vous vous trouviez, tu savais très bien que ça allait mettre du temps, alors tu pris le risque de lui proposer de monter dans ton Aston.
"Je sais bien que c'est loin d'être rassurant, qu'un homme vous propose dans la nuit de vous raccompagner mais vu le froid qu'il fait, peut-être qu'il vaudrait mieux que je vous dépose, ce sera moins risqué et il fera plus chaud demain. Et si vous avez des affaires à emmener j'ai de la place dans mon véhicule." Tu esquissais un léger sourire, confiant avant de rajouter quelques mots russes.
"Как вы хотите, мадам."*
Une fois ta proposition faite, tu terminas ton cigare avant de le lancer sur le sol et de l'éteindre de la pointe de ta chaussure, tu accompagnas la belle vers ton véhicule, ouvrant la porte côté passagé, attendant qu'elle s'installe avant de refermer la porte.
Tu pris place au volant, détournant le regard à nouveau vers la belle.
"Alors on fait comme ça ?"
Tu souriais légèrement, alors que tu montais le son de la radio, c'était une musique douce, mais que tu aimais particulièrement, peut-être qu'au final t'étais ce genre de mec qui avait un coeur tendre derrière une apparence bien plus sombre, la route allait encore être longue, alors tu t'installas confortablement dans ton siège invitant ta passagère à faire de même.
"Vous voulez à boire, à manger ?"
On aurait presque pu croire qu'avec toutes tes demandes tu étais un genre d'Uber mais c'était loin d'être le cas, ce soir cependant, cette jolie silhouette, ce doux visage et cet accent, te rendais nostalgique et particulièrement attentionné.
*: "Comme vous voulez, madame."
Pyphi(lia)Les yeux rivés sur elle, tu l'écoutais, dans sa douce voix tu captais un léger accent russe, toi tu te disais que c'était peut-être le destin, cela faisait bien longtemps que tu n'avais pas entendu cette langue hors de tes activités nocturnes et sans que tu ne saches vraiment pourquoi, tu baissas alors ta garde, te laissant prendre au jeu de cette rencontre inattendue.
Ton cigare ne quittait pas tes lèvres, pas plus que tes oreilles ne se détournaient de ses paroles, la pauvre avait enchaîné les galères, et tes yeux, ou plutôt ton regard montrait une certaine compassion envers elle, le destin pouvait être bien cruel parfois, et les routes étaient loin d'être certaines la nuit, en l'occurrence, t'étais bien placé pour le savoir.
"On dirait que vous avez un mauvais karma pour que tant de choses s'abattent sur vous en même temps." Tu riais légèrement tentant de détendre la situation.
Le choix était compliqué, mais la raison l'emporta bien vite, cette nuit là était bien plus fraîche que les autres, t'aurais pu appeler une dépanneuse mais étant donné le lieu où vous vous trouviez, tu savais très bien que ça allait mettre du temps, alors tu pris le risque de lui proposer de monter dans ton Aston.
"Je sais bien que c'est loin d'être rassurant, qu'un homme vous propose dans la nuit de vous raccompagner mais vu le froid qu'il fait, peut-être qu'il vaudrait mieux que je vous dépose, ce sera moins risqué et il fera plus chaud demain. Et si vous avez des affaires à emmener j'ai de la place dans mon véhicule." Tu esquissais un léger sourire, confiant avant de rajouter quelques mots russes.
"Как вы хотите, мадам."*
Une fois ta proposition faite, tu terminas ton cigare avant de le lancer sur le sol et de l'éteindre de la pointe de ta chaussure, tu accompagnas la belle vers ton véhicule, ouvrant la porte côté passagé, attendant qu'elle s'installe avant de refermer la porte.
Tu pris place au volant, détournant le regard à nouveau vers la belle.
"Alors on fait comme ça ?"
Tu souriais légèrement, alors que tu montais le son de la radio, c'était une musique douce, mais que tu aimais particulièrement, peut-être qu'au final t'étais ce genre de mec qui avait un coeur tendre derrière une apparence bien plus sombre, la route allait encore être longue, alors tu t'installas confortablement dans ton siège invitant ta passagère à faire de même.
"Vous voulez à boire, à manger ?"
On aurait presque pu croire qu'avec toutes tes demandes tu étais un genre d'Uber mais c'était loin d'être le cas, ce soir cependant, cette jolie silhouette, ce doux visage et cet accent, te rendais nostalgique et particulièrement attentionné.
*: "Comme vous voulez, madame."
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* « pas moi. »under the night sky. @Sven Kaplovun russe et un ciel clair pour lui tenir compagnie. peu de gens auraient rêvés de plus. il semblait que la méfiance avait abandonné vos deux visages. une langue qui en délie deux autres. le bonheur de prononcer et d'entendre ces quelques mots. la tension n'était pas encore descendu chez la russe. mais un petit coup de pouce de son sauveur, un rire qui se voulait détendu, lui permit de relâcher la pression. elle hocha légèrement la tête, et ne put s'empêcher de laisser échapper un petit rire. « l'imprudence des beaux jours. mais apparemment, on peut quand même avoir de belles surprises. » elle tira sur sa cigarette sans sourciller, et le laissa réfléchir, le temps qu'il prenne sa décision. elle l'écouta attentivement, son regard ne se détournant pas un instant de lui.
ah les hommes. toujours à penser qu'une femme ne savait pas se défendre. certes, elle perdait parfois pied et son entrainement semblait s'évanouir. demain, tu vas y retourner d'ailleurs. et hors de question de voir une main trembler. mais tout revenait à la vitesse d'un claquement de doigts. les neurones de nouveau alignés, on pouvait en faire quelque chose. sans qu'elle s'en rende compte, elle fit rouler ses yeux vers le ciel et croisa les bras. « vous avez déjà rencontrez un russe qui n'aimait pas prendre de risque ? » elle lui sourit, sa voix emprunt d'une dose de défi. dans un mimique involontaire, un de ses sourcils se releva par pur provocation. elle lui coupa l'herbe sous le pied avant qu'il ne réponde. « не меня. »* elle lui fit un clin d’œil. elle n'avait plus froid, la russe semblait se retrouver dans son élément. « je dis pas non pour la balade par contre. »
dora se débarrassa de son mégot d'une pichenette, l'envoyant au milieu de la route. elle le suivit de quelques pas, avant de faire demi tour. « подождать секунду. »** il fallait croire que la présence du russe la secouait au point d'oublier quelques points vitaux. les portières déverrouillées, elle s'installa à la place du conducteur, balança négligemment son téléphone dans son sac. un coup d’œil dans le rétro et son glock le rejoignait, proprement rangé sur le coté. un bras tendu en arrière et elle récupérait la robe allongée sur la banquette. le tout dans ses bras, elle claqua la portière du pied et verrouilla d'un doigt la voiture. t'as intérêt à être encore là demain. dora accéléra le pas pour le faire attendre le moins possible. « et galant en plus. » elle lui offrit un sourire sincère et s'installa en vitesse, posant la robe sur sa banquette arrière, son sac à ses pieds. curieuse, elle parcouru la voiture du regard. chic, sobre, mais classe. elle apprécia grandement ce qu'elle voyait. et pas que la voiture. elle chassa ses hormones d'une claque mentale. toujours dans les moments les plus inappropriés qu'elles apparaissent celle-là.
elle suivit ses mains du regard alors qu'il allumait la radio. bon choix de musique. elle se laissa un instant aller à la mélodie qui berçait ses oreilles. à la question qu'il laissa échapper de ses lèvres, dora se rendit compte qu'elle pourrait bien avaler quelque chose. elle prit un air légèrement gêné. « je crois que je tuerais pour un verre de bon vin ou de vodka. mais je crois que c'est un peu trop demandé. » malheureusement, la possession de bouteille d'alcool ouverte dans une voiture était interdite dans notre douce amérique, elle ne se faisait pas trop d'espoir. elle se débarrassa de sa veste, consciente que le moteur les réchaufferait vite. un détail la frappa, et elle se tourna vers son chauffeur. la curiosité se lisait sur son visage. « en revanche, pourrais-je connaitre le nom de mon sauveur ? » savoir à qui elle est censée envoyé une carte à noël. ou faire un généreux don, même si rien qu'à l'aspect de sa voiture, elle pouvait deviner qu'il n'aurait jamais besoin de ce genre de service. elle attendit qu'il démarre la voiture pour se permettre de poser une autre question. « et qu'est ce que faisais mon ange gardien aussi tard sur une route aussi déserte ? »
** « attends une seconde. »
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Ce soir le grand méchant loup perd un peu de son aspect animal pour redevenir le temps d'un instant un homme classique, ce soir en ayant croisé cette beauté nocturne t'as envie de prendre la route sans regarder derrière toi, t'as souvent été seule, la majeure partie de ta vie à vrai dire, rejeté par ta langue ou éloignement que tu as toi même décidé de créer pour protéger ceux à qui tu tenais mais ce soir t'y pouvais pas grand chose.
Tu t'étais arrêté sans aucune raison valable, et maintenant t'étais au volant de ta caisse avec une beauté fatale à tes côtés dont tu ne connaissais même pas l'identité, pure inconscience ou bonté éphémère, au final tu t'en fichais.
T'avais ris à sa question, c'est vrai que vous les russes, vous étiez connu pour être un peuple courageux, intrépide même et sûrement fou.
"Je n'en ai jamais rencontré non."
Ta vie d'homme dans la haute société t'avais appris les bonnes manières et ce soir tu les mettais en pratique une fois de plus, galanterie, respect, courtoisie, t'avais sorti le pack entier avec supplément sourire aux lèvres.
Quand elle te demandas si t'avais du vin ou de la vodka, t'arboras un sourire malicieux, certes tu n'en avais pas sur toi, déjà que tu te promenais avec une barre à mine dans le coffre, tu voulais pas que les flics aient un prétexte pour fouiller ta voiture.
"Malheureusement pas dans ma voiture mais on pourra faire une pause en route si tu veux."
Sans que tu fasses attention, tu t'étais tellement mis à l'aise, la derrière ton volant, avec ta musique favorite et cette sublime femme à tes côtés que tu étais passé du vouvoiement au tutoiement en un clin d’œil.
C'est avec un grand sourire que tu donnas ton nom à la belle en détournant le regard de ton tableau de bord qu'il venait de s'allumer pour le plonger dans ses yeux auxquels tu restas accroché quelques secondes.
"Oh oui, j'en ai oublié mes bonnes manières, mon nom est Sven et toi ?"
Tu mis le contact, esquissa un sourire à nouveau vers la belle avant de lui répondre en faisant rugir le moteur.
"Я работаю."*
Tu faisais exprès de rester vague t'avais envie de savoir ce qu'elle allait te demander ensuite, probablement quel genre de job tu faisais et où, en même temps qui ne l'aurai pas fait, tu naviguais sur des routes peu empruntés au volant d'un beau bolide et à toute allure.
Et puis t'évitais d'y pensé mais au fond de toi, tu savais très bien que dès que t'avais vu cette femme et entendu son accent ça avait ouvert une faiblesse en toi, après tout si au premier abord t'avais l'air d'un gros dur, face à une femme charmante, t'étais un homme totalement différent, et les regards que tu lui lançais en détournant souvent le regard lors d'arrêt momentané à des feux trahissaient tes ressentiments.
Les lignes blanches défilaient sous tes yeux, alors que ton sourire grandissait, au volant de ton bolide tu te sentais pousser des ailes, tu passais vitesse après vitesse avant d'atteindre la maximum et de détourner un regard taquin vers ta passagère charmante.
"Вам нравится скорость, риски ?"**
Au fond de toi tu connaissais déjà la réponse, elle te l'avais déjà donné un peu plus tôt, c'était juste une manière plus cordiale et officielle de demander si tu pouvais pousser l’accélération à son apogée, de quoi ressentir un bon élan d'adrénaline qui vous ferez vous sentir vivant.
Et une fois de plus tu détournais ton regard comme un inconscient juste pour voir ses beaux yeux et son sourire illuminé par les faibles lumières que produisaient ton habitacle, du rouge pour l'ambiance sportive, tu souriais, là sous cette nuit de pleine lune, sous cette nuit étoilée, tu étais dans ton élément, encore à risquer ta vie.
*: "Je travaille."
**: "Tu aimes la vitesse, les risques ?"
Pyphi(lia)Tu t'étais arrêté sans aucune raison valable, et maintenant t'étais au volant de ta caisse avec une beauté fatale à tes côtés dont tu ne connaissais même pas l'identité, pure inconscience ou bonté éphémère, au final tu t'en fichais.
T'avais ris à sa question, c'est vrai que vous les russes, vous étiez connu pour être un peuple courageux, intrépide même et sûrement fou.
"Je n'en ai jamais rencontré non."
Ta vie d'homme dans la haute société t'avais appris les bonnes manières et ce soir tu les mettais en pratique une fois de plus, galanterie, respect, courtoisie, t'avais sorti le pack entier avec supplément sourire aux lèvres.
Quand elle te demandas si t'avais du vin ou de la vodka, t'arboras un sourire malicieux, certes tu n'en avais pas sur toi, déjà que tu te promenais avec une barre à mine dans le coffre, tu voulais pas que les flics aient un prétexte pour fouiller ta voiture.
"Malheureusement pas dans ma voiture mais on pourra faire une pause en route si tu veux."
Sans que tu fasses attention, tu t'étais tellement mis à l'aise, la derrière ton volant, avec ta musique favorite et cette sublime femme à tes côtés que tu étais passé du vouvoiement au tutoiement en un clin d’œil.
C'est avec un grand sourire que tu donnas ton nom à la belle en détournant le regard de ton tableau de bord qu'il venait de s'allumer pour le plonger dans ses yeux auxquels tu restas accroché quelques secondes.
"Oh oui, j'en ai oublié mes bonnes manières, mon nom est Sven et toi ?"
Tu mis le contact, esquissa un sourire à nouveau vers la belle avant de lui répondre en faisant rugir le moteur.
"Я работаю."*
Tu faisais exprès de rester vague t'avais envie de savoir ce qu'elle allait te demander ensuite, probablement quel genre de job tu faisais et où, en même temps qui ne l'aurai pas fait, tu naviguais sur des routes peu empruntés au volant d'un beau bolide et à toute allure.
Et puis t'évitais d'y pensé mais au fond de toi, tu savais très bien que dès que t'avais vu cette femme et entendu son accent ça avait ouvert une faiblesse en toi, après tout si au premier abord t'avais l'air d'un gros dur, face à une femme charmante, t'étais un homme totalement différent, et les regards que tu lui lançais en détournant souvent le regard lors d'arrêt momentané à des feux trahissaient tes ressentiments.
Les lignes blanches défilaient sous tes yeux, alors que ton sourire grandissait, au volant de ton bolide tu te sentais pousser des ailes, tu passais vitesse après vitesse avant d'atteindre la maximum et de détourner un regard taquin vers ta passagère charmante.
"Вам нравится скорость, риски ?"**
Au fond de toi tu connaissais déjà la réponse, elle te l'avais déjà donné un peu plus tôt, c'était juste une manière plus cordiale et officielle de demander si tu pouvais pousser l’accélération à son apogée, de quoi ressentir un bon élan d'adrénaline qui vous ferez vous sentir vivant.
Et une fois de plus tu détournais ton regard comme un inconscient juste pour voir ses beaux yeux et son sourire illuminé par les faibles lumières que produisaient ton habitacle, du rouge pour l'ambiance sportive, tu souriais, là sous cette nuit de pleine lune, sous cette nuit étoilée, tu étais dans ton élément, encore à risquer ta vie.
*: "Je travaille."
**: "Tu aimes la vitesse, les risques ?"
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* « fais nous voler. »under the night sky. @Sven Kaplov
dora acquiesça en souriant. l'idée de prendre un bon verre de vodka en compagnie de quelqu'un qui saura autant l'apprécier qu'elle, lui réchauffait le cœur. mais l'idée la séduisait encore plus si ce verre, ils le prenaient en fin de route et pas pendant une pause. elle était ravie, n'avait même pas fait attention à l'heure. tous ce qui l'importait c'était la curiosité qu'elle portait à son pilote. les secrets que ses sourires dissimulent avec une facilité déconcertante. « je t'aurais bien serré la main mais ... théodora. » elle haussa les épaules, les yeux rivés sur la route. « théo ou dora, à toi de choisir. » peu importait. elle était mademoiselle oleszek lorsqu'elle était en pleine lumière. au milieu d'une foule ou sur une scène. mais peu importait la manière dont on la prénommait en dehors de ces contextes. theo ou dora. la russe ou la brune. rien n'avait de place dans sa tête plus que son pilote et la route qui défilait sous leurs yeux. « je pense qu'après m'avoir secouru, tu peux te permettre d'oublier les bonnes manières. » elle n'avait pas besoin de se faire traiter, comme une dame et encore moins comme une demoiselle en détresse. elle appréciait l'anonymat que lui offrait la situation, sans la gêne qui allait avec. la russe avait la sensation qu'ils avaient tous les deux besoin de décompresser. de laisser de côté les problèmes, les affaires, la famille. à cet instant, ils ne sont plus que deux noms. les affaires à réglées s'étaient envolées au moment où elle avait claqué la portière. clé dans le contact, le moteur se mit en marche, prêt à les emmener loin.
il travaille ? elle ne put détacher ses yeux de son visage. essayant de percer les secrets de ses traits, de cette barbe de trois jours et des ses yeux clairs, qu'elle surprend de temps en temps sur ses traits à elle. elle ne peut lui en vouloir, faisant régulièrement la même chose. ses yeux clairs attirant sans cesse les siens. comme un sirène un marin. elle laisse son chant silencieux l’envoûter. la russe cherche, sans trouver, quel travail exigerait de bouger dans la nuit, dans une aussi belle voiture. sans trouver de réponse satisfaisante, elle abandonne. un sourire innocemment se forme sur ses lèvres quand leur regard se croise. retrouve un peu de sa douceur d'il y a quelques années.
la voix de sven se mêle au ronronnement du moteur. « заставляет нас летать. »* les vitesses passent, et elle a presque envie de les passer avec lui. les yeux sur la route, le paysage défile plus vite à chaque seconde qui passe. sans savoir pourquoi, elle lui fait confiance. le laisse prendre de la vitesse, souriant discrètement, laissant l'adrénaline envahir petit à petit tous son corps. il semble trouver leur allure de croisière, alors elle s'intéresse de nouveau à lui. avec la fâcheuse habitude de toujours vouloir arriver à ses fins. « alors, dis moi. quel travail implique de bosser aussi tard ? tant de dévouement à la tâche ça devrait être récompensé. » elle essaye de cacher le ton de complicité dans sa voix. ses yeux posés sur la boite à gants, des questions affluent dans son cerveau. elle savait pertinemment ce qu'il aurait trouvé dans la sienne. et ce qui se trouve maintenant dans son sac. elle fait silencieusement craquer ses doigts et ouvre la boite à gants de l'aston martin, avec l'intention de trouver quelque chose d'intéressant.
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
T'étais pas très méfiant vers la belle, faut dire qu'avoir accomplit ta tâche nocturne avec brio et avoir taper sur un mec qui ne t'avais pas respecté, t'avais fait du bien et t'avais mis dans de bonnes conditions pour le retour. Quand t'entendis son nom, t'esquissas un léger sourire en coin, Théodora, théo, dora, les trois sonnaient bien mais les deux derniers de jolies diminutifs apportaient un peu plus d'intimité alors t'en choisis un parmi les deux, le plus féminin parce que toi, t'aimais bien ça les femmes aux doux noms, t'en avais entendu pas mal d'ailleurs mais les prénoms de ton pays te manquais tout comme la langue alors ce soir c'était avec nostalgie que tu prononças son nom.
"Je suis sûr qu'on aura l'occasion pour ça un peu plus tard."T'esquissais un léger sourire avant de reprendre.
"Dans ce cas ce sera Dora, je trouve ça jolie et ça apporte un brin d'intimité."
Toi le mafieux qui faisait le mal la plupart du temps, celui qui était passé de l'autre côté de la vie classique, basique, avec tant de facilité, celui qui s'était détourné du droit de chemin pour aller boire un coup avec ses démons, tu étais considérais comme un sauveur ce soir, tu n'avais jamais entendu ce mot tout en étant le sujet et pour cause, tu ne pu cacher le sourire qui se dessina sur ton visage.
"Un sauveur carrément ? Je suis sûr que t'aurais vite trouvé quelqu'un pour t'aider, je veux dire, qui laisserait une belle femme en difficulté sur le bord de la route ?"Tes yeux se retournaient de la route pour venir se poser un court instant sur la belle avant de retourner scruter les lignes blanche défiler.
Là dans cette voiture que tu possèdes, avec cette musique en fond sonore, ces regards que vous vous lancez, avec parfois un léger silence, tu te sens bien, tu te sens toi, ta réalité violente s'efface au profit d'une douceur que tu sais déjà éphémère, sa voix vient te donner un peu plus envie de pousser le moteur à son maximum. Inconsciemment tu serais prêt à t'engager dans une course poursuite si il se fallait, juste pour cette dose d'adrénaline et de cette satisfaction partagé avec ta passagère. Tes mains s'accrochent bien au volant, tu t'enfonces au fond de ton siège, et tu écrases l’accélérateur ne faisant pas attention à un sourire que tu esquisses à nouveau.
Là, t'étais presque hypnotisé par ses lignes blanche qui se succédaient à l'infini, du moins jusqu'à que les paroles de la belle te ramènent à la réalité, elle qui semblait si intrigué par tes activités nocturnes, tu décides de lui révéler ton métier officiel.
"Je suis le proprio d'un nightclub en ville, le Legacy, je ne sais pas si tu connais ? J'essayais de régler une affaire ce soir."
Alors que tu finissais ta phrase, tu détournais le regard vers elle attendant sa réponse, quand tu la vis ouvrir ta boîte à gants, à ce moment là tout un calcul se mit en place dans ta tête pour que tu en conclus finalement que le mieux à faire était de ne rien dire en sachant pertinemment qu'elle venait de tomber sur ton desert eagle, une paire de gant en cuir, un paquet de cartes de visite du Legacy et quelques capotes.
Tu reposas rapidement les yeux sur la route, t’accoudant à la fenêtre, lui demandant à ton tour son domaine d'activité.
"для чего вы работаете ?" *
Maintenant qu'elle avait vu que tu possédais une arme, t'allais peut-être avoir droit à un interrogatoire, une prise de panique ou un silence morbide, c'était peut-être pour ça que tu décidais de rompre instantanément le possible silence qui allait s'installer.
"Si ça te dérange pas je vais m'arrêter vite fait, j'ai besoin d'aller aux toilettes."
Toi t'étais le genre de mec à vraiment prendre des risques, à être drogué à l'adrénaline quitte à en crever et pour cause tu proposais à une femme qui avait trouver ton arme de s'arrêter, elle pouvait t'abattres ou prendre ta caisse et se barrer avec, mais au fond de toi, t'avais une confiance en elle même si tu savais pas vraiment pourquoi, alors tu t'arrêtas à une zone ou résidait un motel, un restaurant et des wc, tu fis un sourire à ta passagère en t'étirant tout en sortant de la voiture.
"Je te laisse les clefs, je reviens vite. J'irai prendre quelque chose à manger si t'as faim."
Tu claquais la porte derrière toi entament ta marche, les mains dans les poches, les yeux rivés sur la pleine lune qui rayonnait au dessus de ta tête.
*: tu travailles dans quoi ?
Pyphi(lia)"Je suis sûr qu'on aura l'occasion pour ça un peu plus tard."T'esquissais un léger sourire avant de reprendre.
"Dans ce cas ce sera Dora, je trouve ça jolie et ça apporte un brin d'intimité."
Toi le mafieux qui faisait le mal la plupart du temps, celui qui était passé de l'autre côté de la vie classique, basique, avec tant de facilité, celui qui s'était détourné du droit de chemin pour aller boire un coup avec ses démons, tu étais considérais comme un sauveur ce soir, tu n'avais jamais entendu ce mot tout en étant le sujet et pour cause, tu ne pu cacher le sourire qui se dessina sur ton visage.
"Un sauveur carrément ? Je suis sûr que t'aurais vite trouvé quelqu'un pour t'aider, je veux dire, qui laisserait une belle femme en difficulté sur le bord de la route ?"Tes yeux se retournaient de la route pour venir se poser un court instant sur la belle avant de retourner scruter les lignes blanche défiler.
Là dans cette voiture que tu possèdes, avec cette musique en fond sonore, ces regards que vous vous lancez, avec parfois un léger silence, tu te sens bien, tu te sens toi, ta réalité violente s'efface au profit d'une douceur que tu sais déjà éphémère, sa voix vient te donner un peu plus envie de pousser le moteur à son maximum. Inconsciemment tu serais prêt à t'engager dans une course poursuite si il se fallait, juste pour cette dose d'adrénaline et de cette satisfaction partagé avec ta passagère. Tes mains s'accrochent bien au volant, tu t'enfonces au fond de ton siège, et tu écrases l’accélérateur ne faisant pas attention à un sourire que tu esquisses à nouveau.
Là, t'étais presque hypnotisé par ses lignes blanche qui se succédaient à l'infini, du moins jusqu'à que les paroles de la belle te ramènent à la réalité, elle qui semblait si intrigué par tes activités nocturnes, tu décides de lui révéler ton métier officiel.
"Je suis le proprio d'un nightclub en ville, le Legacy, je ne sais pas si tu connais ? J'essayais de régler une affaire ce soir."
Alors que tu finissais ta phrase, tu détournais le regard vers elle attendant sa réponse, quand tu la vis ouvrir ta boîte à gants, à ce moment là tout un calcul se mit en place dans ta tête pour que tu en conclus finalement que le mieux à faire était de ne rien dire en sachant pertinemment qu'elle venait de tomber sur ton desert eagle, une paire de gant en cuir, un paquet de cartes de visite du Legacy et quelques capotes.
Tu reposas rapidement les yeux sur la route, t’accoudant à la fenêtre, lui demandant à ton tour son domaine d'activité.
"для чего вы работаете ?" *
Maintenant qu'elle avait vu que tu possédais une arme, t'allais peut-être avoir droit à un interrogatoire, une prise de panique ou un silence morbide, c'était peut-être pour ça que tu décidais de rompre instantanément le possible silence qui allait s'installer.
"Si ça te dérange pas je vais m'arrêter vite fait, j'ai besoin d'aller aux toilettes."
Toi t'étais le genre de mec à vraiment prendre des risques, à être drogué à l'adrénaline quitte à en crever et pour cause tu proposais à une femme qui avait trouver ton arme de s'arrêter, elle pouvait t'abattres ou prendre ta caisse et se barrer avec, mais au fond de toi, t'avais une confiance en elle même si tu savais pas vraiment pourquoi, alors tu t'arrêtas à une zone ou résidait un motel, un restaurant et des wc, tu fis un sourire à ta passagère en t'étirant tout en sortant de la voiture.
"Je te laisse les clefs, je reviens vite. J'irai prendre quelque chose à manger si t'as faim."
Tu claquais la porte derrière toi entament ta marche, les mains dans les poches, les yeux rivés sur la pleine lune qui rayonnait au dessus de ta tête.
*: tu travailles dans quoi ?
- Théodora OleszekI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : vingt quatre ans
Nationalité(s) : russe & américaine
Signe astrologique : Verseau
Mon personnage, en 5 mots : blabla
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : pianiste de renom.
Études (passées ou en cours) : langues et civilisations étrangères.
Hobby : boxe, sport de combat, violon, champ de tir, danse.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
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under the night sky. @Sven Kaplovun brin d'intimité ? son cœur rate un battement, son sourire ne peut pas se rater lui. évite de lui faire peur en lui sautant dessus. elle se cale sur le côté gauche, histoire de pouvoir mieux l'écouter. et surtout ne pas avoir besoin de tourner la tête pour poser ses yeux sur son visage. alors comme ça, monsieur n'a pas l'habitude d'être appelé un sauveur ? elle le garde dans un coin de sa tête. elle le pensait vraiment, qu'il était son sauveur. qui oserait la laisser sur la route ? elle ? « oh, je sais pas ... la vingtaine de voitures qui m'a dépassé avant que tu t'arrêtes ?! » elle laissa échapper un rire nerveux. se rendant compte qu'elle n'était vraiment pas prête à dormir dans sa voiture.
c'est à ce moment là que tout à vraiment dérapé. qu'elle a fouiné. ouvert la boite à gants. sven n'a même pas eu l'air de tiquer. de réagir ou de l'engueuler. il la laissé faire. elle a à peine compris qu'il était le propriétaire du legacy, jusqu'à ce qu'elle trouve les cartes de visites. mais c'est pas ça qui la rendu muette.
et personne n'avait réussi à rendre dora muette depuis des années.
un pistolet. comme le sien.
mais pas le sien.
elle repéra du coin de l’œil les capotes, les gants, les cartes de visites en vrac, mais son regard se rapportait toujours à l'arme.
la question sembla se perdre avant d'atteindre ses oreilles. en revanche elle compris qu'il avait besoin d'une pause.
il s'éloigne. tout semble avoir du retard dans sa tête. elle semble à peine entendre le claquement de la portière alors qu'il est à plusieurs mètres de la voiture. elle a toujours l'eagle dans les mains. dora, elle va pas l'attendre sagement. elle peut pas l'attendre sagement. alors que les interrogations assaillent sa tête plus vite que la lumière des phares arrivent à l'éblouir.
si elle avait été muette aussi longtemps. c'est qu'elle était censé faire quoi ? prendre peur, alors qu'elle avait l'habitude d'en avoir une dans les mains. paraître en joie et lui montrer son glock. courir dehors en l'accusant d'avoir voulu la tuer, ridicule.
les clés de le voiture dans son soutien gorge. au moins il n'ira pas chercher là. l'eagle dans son dos. oh, elle révérais de partir avec la voiture. une arme en cadeau, et dieu sait ce qu'il se trouve dans le coffre. mais il y a un russe qui l'attend pour interrogatoire. elle verrouille la voiture non sans avoir glisser son glock dans la poche intérieur de sa veste.
les ombres de l'éclairage maladroit du motel lui offrent une cachette idéale. il est sorti de sa vue pendant un instant, mais elle le repère de nouveau lorsque la porte des toilettes se referment sur lui.
le silence règne et hors de question de le perturber. dora se glisse dans les toilettes des hommes. elle plisse le nez, rarement habitué à voir un endroit en si mauvais état. l'odeur infecte lui pique presque les yeux. toutes les cabines sont ouvertes. dos à elle, elle ne sait pas encore si le russe l'a remarqué. alors, elle s'adosse à la porte, un genou plié, le pied posé sur la porte, les mains dans les poches. bloquant le passage. vous ne passerez pas. il pourra toujours essayer de la déloger si il veut forcer le passage. elle attend patiemment que sa présence se fasse connaître. « j'aurais pas pensé ça de toi. » elle lui laissa le temps de prendre conscience de la position dans laquelle il se trouvait. « je veux dire. j'aurais plutôt parié que t'étais du genre à mettre tes capotes dans ton porte feuille. » jamais elle n'avait eu un air aussi détaché. les yeux posés sur lui, ils savaient tout les deux que le principal sujet ne serait pas les quelques pauvres capote trouvées. elle arrivait enfin à le regarder en face puis l'ouverture de sa caverne d'ali baba. elle aurait voulu le tirer vers elle, partager une bouteille de vodka, des trajets aux aurores dans une route déserte. mais voilà que sa curiosité l'avait poussé à l'interroger dans les toilettes pour un homme d'un motel minable. vous valez mieux que ça, et vous le savez tous les deux.
« pour répondre à ta question. je suis pianiste. et une vraie chieuse quand il s'agit d'avoir les réponses à mes questions. » elle joue au même jeu que lui. dévoiler la vérité, mais seulement en partie. cacher les faits intéressant, faire ramer l'autre si il veut obtenir des informations. hors de question qu'il ait les réponses à ses questions tant qu'elle aura pas eu les siennes. la main de droite dans sa poche passe dans son dos pour saisir l'arme. elle l'observe un instant, le fait tourner dans ses mains comme un bijou qu'on aimerait examiner de plus près. un sourire, une main assurée sur la crosse, et voilà le canon de l'arme qui se retrouve pointé sur sven. il se passe une dizaine de secondes, sans qu'aucun de vous n'esquisse un geste. de peur de faire quelque chose d’irréversible peut-être. dora s'impressionne elle même en voyant qu'aucun tremblement de ne vient perturber son bras et ses doigts. « et je t'avoue que bien avant de savoir pourquoi t'as un desert eagle dans ta boite à gants. la seule question que je me pose c'est, pourquoi ? » elle sourit pour elle même et relâche la pression de tous son corps avant d'abaisser l'arme. en quelques gestes précis, elle enlève le chargeur qu'elle glisse dans sa poche, et éjecte la dernière balle qu'elle rattrape au vol de son autre main. « pourquoi tu m'as laissé le trouver ? je t'inspire tant que ça confiance ? » pour être honnête avec elle même, la russe ne sait même pas comment elle aurait réagi si c'est lui qui était tombé sur son arme. elle n'arrive pas à détourner les yeux de lui. et pendant un instant, elle se dit qu'elle aurait du se barrer avec la voiture.
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Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
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Confiance aveugle que tu lui accordes beaucoup trop rapidement ou juste désir une fois de plus de te sentir en danger, t'avais laissé ton arme fétiche aux mains d'une jolie jeune femme russe le temps de t'accorder un petit moment de répit dans des toilettes minables.
T'avais tourné beaucoup de scénarios dans ta tête, allant du plus innocent où elle t'attendrais sagement dans la voiture à celui où elle te mettrai une balle entre les deux yeux.
Là face à ce mur en mosaïque ravagé par le temps et des tags, t'étais pensif, jusqu'à ce qu'une voix parvienne à tes oreilles venant balayer d'un revers de la main ton hypothèse la plus innocente.
Léger sourire que tu dresses instinctivement, tu te retournes doucement, après avoir appuyer sur le bouton face à toi, tes mains se lève à mesure que tu comprends qu'elle sait tenir une arme, tu te demandais quel mystère encore, elle pouvait cacher Dora, ses mains étaient ferme, tu la voyais manier ton arme avec la délicatesse nécessaire.
"Qui t'as dit que je n'en avais pas non plus dans mon porte feuille, tu veux vérifier par toi même ?"Tu souriais, tapotant ta poche où se trouvais ton porte feuille de ta main droite.
T'avais fait le malin à prendre des décisions sur des coups de tête, et ça ne semblait pas t'avoir servie de leçon, tu jouais le mec imperturbable, le mec qui s'en fout de se prendre une balle, tes yeux faisaient des allers retour entre ton arme et son regard, pas celui d'une personne intimidé, possédée par le stress, au contraire t'avais l'impression que Dora était tout à fait détendu, au point qu'elle semblait désormais absolument sûre d'elle.
T’acquiesçais légèrement de la tête quand elle t'avouas sa profession, en seule guise de réponse, t'étais surpris certes par son acte, sa détermination et son courage à poser des questions à un homme qui roulait dans une voiture hors de prix, avec une arme dans sa boîte à gants, mais d'habitude c'était toi qui posait les questions et si la réponse te plaisait, tu cassais un doigt, une main, un bras, de quoi délier les langues rapidement, là les rôles s'inversaient et tu n'étais pas bien à ton aisé même si souvent t'avais été menacé, t'aimais pas que ta vie dépende de quelqu'un d'autre, et ton visage serein et souriant laissa place à une toute autre version bien plus sombre, ton air amusé se transforma en air sérieux, tes sourcils se plissèrent et ta voix posée laissa place à ta voix grave.
"Je voulais voir quel genre de femme j'avais fait monté dans ma voiture, je voulais voir comment tu réagirais et de ce que je vois tu es téméraire et en prime sur sais te servir d'une arme."T'avançais à pas de loup, ton air grave toujours figé sur ton visage inexpressif.
"Le fait est que j'ai beaucoup d'ennemies qui aimeraient me voir six pieds sous terre, j'ai besoin d'avoir une arme pour assurer mes arrières. Et toi alors, pourquoi une pianiste sait-elle aussi bien tenir un calibre 45."Tes yeux rivés sur la belle, tu ne laissais que quelques centimètres entre vous.
Le temps passait et tu te demandais qui elle était, si elle avait voulu te tuer, tu serais déjà mort, allongé sur ce sol lugubre, et si tu avais voulu t'occuper de son cas tu l'aurais déjà fait également, t'en conclus rapidement qu'elle voulait pas te descendre en tout cas pas tout de suite.
"T'attends quoi de moi exactement ? Parce que tu ne veux pas savoir qui je suis, je t'assures, alors si tu veux pas me tuer avec mon flingue, laisse moi passer que je rentre chez moi."
Tu las pousses légèrement sur le côté avant d'enfoncer la porte d'un grand coup de pied, tu prends le chemin vers ta caisse sans te retourner à aucun moment, bien conscient que t'es une proie facile.
Ta main vient rapidement essayer d'ouvrir la porte, puis tu te rends rapidement compte que ta belle bagnole est fermée, apparemment ce soir t'es dépendant de la belle, tu t'adosses alors ta voiture, croisant les bras, le regard rivé vers les toilettes où vous étiez, attendant patiemment de savoir quelle sera la suite des événements, t'étais prêt à appeler un taxi ou l'un de tes gars mais cette caisse elle était quand même importante pour toi, d'autant plus que t'avais encore ton jolie outil couvert de sang dans le coffre, tu devais rentrer et par conséquent répondre à tous les désirs de Dora.
Mauvais karma ou juste mauvaise chance, la pluie arriva bien vite couvrir ce beau ciel étoilé que tu regardais, tu laissas un long soufflement s'échapper de ta bouche avant de replacer ton regard vers Dora.
"Très bien qu'est ce que tu veux ?!"
Tu te mis à crier assez fort pour qu'elle t'entende, là tu n'étais plus en position de force et tu le savais, cette femme fatale pouvait faire ce qu'elle voulait de toi, son pantin, t'avais aucun moyen de pression et t'allais devoir jouer finement pour que tout se déroule à merveille. Maintenant que tu t'étais présenté en tant que directeur du Legacy tu te devais de tout faire pour qu'elle te fasse confiance sur ce point et non pas qu'elle fouille dans une autre direction où tu pourrais y laisser facilement ta peau.
Pyphi(lia)T'avais tourné beaucoup de scénarios dans ta tête, allant du plus innocent où elle t'attendrais sagement dans la voiture à celui où elle te mettrai une balle entre les deux yeux.
Là face à ce mur en mosaïque ravagé par le temps et des tags, t'étais pensif, jusqu'à ce qu'une voix parvienne à tes oreilles venant balayer d'un revers de la main ton hypothèse la plus innocente.
Léger sourire que tu dresses instinctivement, tu te retournes doucement, après avoir appuyer sur le bouton face à toi, tes mains se lève à mesure que tu comprends qu'elle sait tenir une arme, tu te demandais quel mystère encore, elle pouvait cacher Dora, ses mains étaient ferme, tu la voyais manier ton arme avec la délicatesse nécessaire.
"Qui t'as dit que je n'en avais pas non plus dans mon porte feuille, tu veux vérifier par toi même ?"Tu souriais, tapotant ta poche où se trouvais ton porte feuille de ta main droite.
T'avais fait le malin à prendre des décisions sur des coups de tête, et ça ne semblait pas t'avoir servie de leçon, tu jouais le mec imperturbable, le mec qui s'en fout de se prendre une balle, tes yeux faisaient des allers retour entre ton arme et son regard, pas celui d'une personne intimidé, possédée par le stress, au contraire t'avais l'impression que Dora était tout à fait détendu, au point qu'elle semblait désormais absolument sûre d'elle.
T’acquiesçais légèrement de la tête quand elle t'avouas sa profession, en seule guise de réponse, t'étais surpris certes par son acte, sa détermination et son courage à poser des questions à un homme qui roulait dans une voiture hors de prix, avec une arme dans sa boîte à gants, mais d'habitude c'était toi qui posait les questions et si la réponse te plaisait, tu cassais un doigt, une main, un bras, de quoi délier les langues rapidement, là les rôles s'inversaient et tu n'étais pas bien à ton aisé même si souvent t'avais été menacé, t'aimais pas que ta vie dépende de quelqu'un d'autre, et ton visage serein et souriant laissa place à une toute autre version bien plus sombre, ton air amusé se transforma en air sérieux, tes sourcils se plissèrent et ta voix posée laissa place à ta voix grave.
"Je voulais voir quel genre de femme j'avais fait monté dans ma voiture, je voulais voir comment tu réagirais et de ce que je vois tu es téméraire et en prime sur sais te servir d'une arme."T'avançais à pas de loup, ton air grave toujours figé sur ton visage inexpressif.
"Le fait est que j'ai beaucoup d'ennemies qui aimeraient me voir six pieds sous terre, j'ai besoin d'avoir une arme pour assurer mes arrières. Et toi alors, pourquoi une pianiste sait-elle aussi bien tenir un calibre 45."Tes yeux rivés sur la belle, tu ne laissais que quelques centimètres entre vous.
Le temps passait et tu te demandais qui elle était, si elle avait voulu te tuer, tu serais déjà mort, allongé sur ce sol lugubre, et si tu avais voulu t'occuper de son cas tu l'aurais déjà fait également, t'en conclus rapidement qu'elle voulait pas te descendre en tout cas pas tout de suite.
"T'attends quoi de moi exactement ? Parce que tu ne veux pas savoir qui je suis, je t'assures, alors si tu veux pas me tuer avec mon flingue, laisse moi passer que je rentre chez moi."
Tu las pousses légèrement sur le côté avant d'enfoncer la porte d'un grand coup de pied, tu prends le chemin vers ta caisse sans te retourner à aucun moment, bien conscient que t'es une proie facile.
Ta main vient rapidement essayer d'ouvrir la porte, puis tu te rends rapidement compte que ta belle bagnole est fermée, apparemment ce soir t'es dépendant de la belle, tu t'adosses alors ta voiture, croisant les bras, le regard rivé vers les toilettes où vous étiez, attendant patiemment de savoir quelle sera la suite des événements, t'étais prêt à appeler un taxi ou l'un de tes gars mais cette caisse elle était quand même importante pour toi, d'autant plus que t'avais encore ton jolie outil couvert de sang dans le coffre, tu devais rentrer et par conséquent répondre à tous les désirs de Dora.
Mauvais karma ou juste mauvaise chance, la pluie arriva bien vite couvrir ce beau ciel étoilé que tu regardais, tu laissas un long soufflement s'échapper de ta bouche avant de replacer ton regard vers Dora.
"Très bien qu'est ce que tu veux ?!"
Tu te mis à crier assez fort pour qu'elle t'entende, là tu n'étais plus en position de force et tu le savais, cette femme fatale pouvait faire ce qu'elle voulait de toi, son pantin, t'avais aucun moyen de pression et t'allais devoir jouer finement pour que tout se déroule à merveille. Maintenant que tu t'étais présenté en tant que directeur du Legacy tu te devais de tout faire pour qu'elle te fasse confiance sur ce point et non pas qu'elle fouille dans une autre direction où tu pourrais y laisser facilement ta peau.
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