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YESTERDAY'S NEWS |48
- Théodora OleszekI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2842
Messages : 364
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : zhenya katava
Crédits : velaris (avatar)
Autres comptes : zeke & ansel
Âge du personnage : vingt quatre ans
Nationalité(s) : russe & américaine
Signe astrologique : Verseau
Mon personnage, en 5 mots : blabla
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : pianiste de renom.
Études (passées ou en cours) : langues et civilisations étrangères.
Hobby : boxe, sport de combat, violon, champ de tir, danse.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : "the boy next door"
under the night sky. @Sven Kaplovla porte avait claqué derrière elle. et les avait laissé enfermer dans un moment hors du temps. face à face. elle n'avait pas hésiter à le braquer avec sa propre arme. jamais. jamais, elle n'aurait osé presser la détente, pas alors que le danger n'était pas immédiat. mais ça, il n'était pas censé le savoir. elle avait fini par enlever le chargeur, et l'a laissé se rapprocher. en prenant note de l'emplacement de son porte feuille. dora, elle a vu pendant une fraction de seconde la lueur de surprise devant ses yeux. c'est vrai que le pourcentage de chance de trouver deux personnes sachant manier une arme dans les trois kilomètres à la ronde devait être presque nul. quoi que. elle se rappela qu'à l'instant précis elle se trouvait dans un motel. et augmenta légèrement le chiffre.
des ennemis n'est ce pas ? elle se retient de lui dire qu'il ferait mieux de faire en sorte qu'elle n'en devienne pas une. avant de se rappeler que c'est elle, qui avait pointé une arme sur lui. les yeux plantés dans ceux de l'autre, vous vous étripez le cœur en un regard. elle avait gardé le silence jusque là. mais le ton qu'il avait prit avait déclencher une réaction qu'elle n'avait pas prévu. « parce que la pianiste elle a des secrets. comme toi tu gardes les tiens. parce que tu sais comme moi que les secrets valent de l'or. bien plus que n'importe quoi d'autres. » elle avait prit la même voix que lui. tenté en tout cas. oh que si. dora elle crevait de savoir qui il était. quel russe elle avait en face d'elle. elle était sûre de pouvoir l'écouter toute une nuit raconter ses histoires. elle se laissa pousser. le laissa fuir vers la voiture. il ne pourrait pas aller bien loin de tout façon. elle sentait la clé de voiture contre sa poitrine. au moins une précaution qu'elle a bien fait de prendre. elle reprit son souffle une seconde, avec l'impression qu'elle ne tenait plus debout. elle passe lentement la porte en s’arrêtant sur le seuil. un cri. et elle releva la tête d'un coup. enfin. elle sembla vraiment l'avoir fait réagir. au début, la pluie lui sembla invisible. un pas après l'autre, elle le rejoignit et se planta devant lui.
ce qu'elle voulait ? les bras croisés devant lui, la tête légèrement penchée sur le côté. se permettant une bonne minute de réflexion. les gouttes dégoulinent le long de leurs joues, alors que le bord des lèvres de la russe se redresse légèrement. « pour l'instant. juste vérifier quelque chose.» un pas de plus qui la rapproche beaucoup trop prés. sans le quitter des yeux elle glisse sa main pour récupérer son portefeuille dans la poche de son jean. elle serait presque tenter de laisser traîner ses mains plus qu'il ne le faudrait. ses doigts ouvrirent délicatement son porte feuille. trouvant avec facilité les deux capotes qui s'y trouvaient. finalement il n'avait pas menti. elle en prit une qu'elle glissa dans sa poche. « tu m'en veux pas si je t'en prend une. juste "au cas où".» elle remet son porte feuille en place en le défiant du regard de lui faire une remarque. dora avait retrouvé un peu de son aplomb légendaire. l'eagle qu'elle avait replacé dans son dos, rejoignit celui de sven. elle n'allait pas garder son arme éternellement. mais elle lui rendrait le chargeur une fois la balade terminée.
elle se permit de prendre son temps pour savoir ce qu'elle voulait ensuite. des idées plus putes les unes que les autres fleurirent dans son esprit. pourtant se sont les vingt quatre heures sans dormir qui prirent le plus d'importance. elle récupéra les clés de l'aston avec souplesse et lui mis dans la main. « tu conduis sven. emmène moi dans n'importe quel lit, tant que je peux dormir. » elle le frôla en voulant ouvrir la portière. un sourire fugace apparut sur ses lèvres. « un à zéro pour la russe. » oui, elle comptait compter les points. ils avaient tous les deux mis les pieds sur la case départ d'un jeu qui n'était pas près de se terminer. et personne ne pourrait contredire qu'elle avait ouvert les hostilités. et glissa sur le siège passager pendant qu'il reprit sa place derrière le volant. et ne laissa pas un instant de silence. il restait encore une phrase qu'elle n'avait pas relevé, et une question qui faisait des vagues dans son esprit depuis qu'elle l'avait laissé quitter les toilettes. « alors au final, le genre de femme que t'as devant les yeux te plait ? »
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Avatar : Scott Eastwood
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Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Les yeux braqués sur Dora, tu l'observais se rapprocher de toi à pas de loup, toi t'étais toujours adosser contre ta caisse sous la flotte et t'aurais pas tenu plus longtemps, ton regard ne se détachant pas de la belle, tu l'observais jouer son petit tour, elle savait très bien dans quelle position de force elle se trouvait et elle ne se gênait pas pour en jouer, tu la laissais fouiller dans ton porte-feuille et prendre l'une de tes capotes, léger sourire que tu ne su retenir, elle t'avais remis rapidement dans un good mood.
"Qu'est ce que je pourrai te refuser en même temps."
T'étais prêt à l'emmener où elle voulait, ça ne te ressemblait pas vraiment d'être lunatique à ce point, mais maintenant que tu savais qu'elle n'avait pas l'intention de te coller une balle t'étais prêt à reprendre la balade comme si tout ça n'avait rien était d'autre qu'une simple escale exotique éphémère.
"Et où mademoiselle Dora voudrait-elle passer la nuit ?"
Tu t'installais sur ton siège, secouant légèrement la tête, désespéré dans le bon sens du terme, celle que tu pensais avoir fait monter dans ta voiture, que tu pensais sage avec sa jolie gueule d'ange semblait en réalité un peu plus complexe que ça, elle avait ses secrets tu avais les tiens, mais tu ne comptais pas les dévoiler, en tout cas pas aussi facilement, pas sans enjeu, t'étais joueur autant qu'elle, et ça se confirmai quand elle t'annonça les points, ce score, tu lui accordé bien volontiers, après tout tu t'étais mis dans la merde tout seul à faire le malin, à ne pas réagir alors qu'elle avait découvert ton précieux jouet.
Et en parlant de jouer c'était à ton tour, t'allais pas conduire avec ton jolie eagle dans le dos, tu t'installas confortablement sur ton siège et dirigea ta main vers la boîte à gants mais vous étiez dans une voiture sportive et incontestablement les places de devant n'étaient pas les plus spacieuses, alors ta main fraûla de près les jambes de la belle Dora, t'ouvris la boîte à gants, prenant le temps de bien la replacer, après tout maintenant elle savait très bien que tu avais une arme, t'avais pas besoin de changer tes habitudes, puis tu la refermas prenant le temps encore de te repositionner, sourire charmeur que tu dressas sur tes lèvres.
"Je la connait pas encore assez pour le dire, mais dans le style femme fatale elle sait y faire et j'avoue que ça me plaît."
Tes mains sur le volant, un regard lancé à la belle quelques secondes, la radio que tu relançais, t'étais prêt à repartir à faire rugir le moteur.
Tu parcourus kilomètre après kilomètre, toi aussi tu commençais à avoir envie de te reposer, t'avais besoin d'être en forme pour aller gérer ton club et foutre des dérouillés à des mecs récalcitrants, ta course s'arrêta lorsque ton regard se porta sur un bel hôtel, tu te garas sur le côté, avant de faire un sourire en coin à Dora.
"On est arrivé. Ça ira bien pour ce soir."
Tu récupéras ton arme la mettant dans ton dos sous ta veste de costume, le personnel de l’hôtel vint vous ouvrir et récupérer les clefs de ton véhicule, t'avais l'habitude depuis quelques années maintenant de vivre en prince, tu t'étais habitué à être servi comme ça même si parfois tu préférais faire les choses toi même, surtout quand ce n'était pas des vêtements que tu transportais dans des sacs.
Dora à tes côtés, tu pénétrais dans le magnifique hôtel, plein de dorure, ton regard se porta instinctivement vers le bar et la réception, en quelques secondes t'avais déjà prévu ta soirée.
"Choisis ce que tu veux, je vais prendre un verre, j'ai besoin de me détendre, si tu me cherches je suis pas loin, t'auras qu'a suivre les effluves de vodka.." Dis-tu en lançant ta carte de crédit à Dora.
Toi tu pris le chemin du bar, la soirée t'avais crevé et t'avais besoin d'un bon gros remontant, tu pris place sur l'une des chaises du comptoir, regardant le serveur, tu lui adressas quelques mots, t'étais de bonne humeur ce soir, prêt à discuter avec n'importe qui, puis tu te fis servir une vodka.
Le verre sur le comptoir tu détournas le regard vers ta compagne de soirée, intrigué par ce qu'elle allait faire maintenant qu'elle avait atteint l'hôtel.
Toi même tu ne savais pas ce que t'allais faire ce soir, là face à ce barman qui était entrain d'astiquer ses verres, ce bar bien vide où tu pouvais t'imaginer refaire le monde, tu te perdais dans tes pensées tout en t'alcoolisant parce que ça, tu savais bien le faire, t'avais appris jeune à noyer tes pensées dans des verres d'alcool.
Pyphi(lia)"Qu'est ce que je pourrai te refuser en même temps."
T'étais prêt à l'emmener où elle voulait, ça ne te ressemblait pas vraiment d'être lunatique à ce point, mais maintenant que tu savais qu'elle n'avait pas l'intention de te coller une balle t'étais prêt à reprendre la balade comme si tout ça n'avait rien était d'autre qu'une simple escale exotique éphémère.
"Et où mademoiselle Dora voudrait-elle passer la nuit ?"
Tu t'installais sur ton siège, secouant légèrement la tête, désespéré dans le bon sens du terme, celle que tu pensais avoir fait monter dans ta voiture, que tu pensais sage avec sa jolie gueule d'ange semblait en réalité un peu plus complexe que ça, elle avait ses secrets tu avais les tiens, mais tu ne comptais pas les dévoiler, en tout cas pas aussi facilement, pas sans enjeu, t'étais joueur autant qu'elle, et ça se confirmai quand elle t'annonça les points, ce score, tu lui accordé bien volontiers, après tout tu t'étais mis dans la merde tout seul à faire le malin, à ne pas réagir alors qu'elle avait découvert ton précieux jouet.
Et en parlant de jouer c'était à ton tour, t'allais pas conduire avec ton jolie eagle dans le dos, tu t'installas confortablement sur ton siège et dirigea ta main vers la boîte à gants mais vous étiez dans une voiture sportive et incontestablement les places de devant n'étaient pas les plus spacieuses, alors ta main fraûla de près les jambes de la belle Dora, t'ouvris la boîte à gants, prenant le temps de bien la replacer, après tout maintenant elle savait très bien que tu avais une arme, t'avais pas besoin de changer tes habitudes, puis tu la refermas prenant le temps encore de te repositionner, sourire charmeur que tu dressas sur tes lèvres.
"Je la connait pas encore assez pour le dire, mais dans le style femme fatale elle sait y faire et j'avoue que ça me plaît."
Tes mains sur le volant, un regard lancé à la belle quelques secondes, la radio que tu relançais, t'étais prêt à repartir à faire rugir le moteur.
Tu parcourus kilomètre après kilomètre, toi aussi tu commençais à avoir envie de te reposer, t'avais besoin d'être en forme pour aller gérer ton club et foutre des dérouillés à des mecs récalcitrants, ta course s'arrêta lorsque ton regard se porta sur un bel hôtel, tu te garas sur le côté, avant de faire un sourire en coin à Dora.
"On est arrivé. Ça ira bien pour ce soir."
Tu récupéras ton arme la mettant dans ton dos sous ta veste de costume, le personnel de l’hôtel vint vous ouvrir et récupérer les clefs de ton véhicule, t'avais l'habitude depuis quelques années maintenant de vivre en prince, tu t'étais habitué à être servi comme ça même si parfois tu préférais faire les choses toi même, surtout quand ce n'était pas des vêtements que tu transportais dans des sacs.
Dora à tes côtés, tu pénétrais dans le magnifique hôtel, plein de dorure, ton regard se porta instinctivement vers le bar et la réception, en quelques secondes t'avais déjà prévu ta soirée.
"Choisis ce que tu veux, je vais prendre un verre, j'ai besoin de me détendre, si tu me cherches je suis pas loin, t'auras qu'a suivre les effluves de vodka.." Dis-tu en lançant ta carte de crédit à Dora.
Toi tu pris le chemin du bar, la soirée t'avais crevé et t'avais besoin d'un bon gros remontant, tu pris place sur l'une des chaises du comptoir, regardant le serveur, tu lui adressas quelques mots, t'étais de bonne humeur ce soir, prêt à discuter avec n'importe qui, puis tu te fis servir une vodka.
Le verre sur le comptoir tu détournas le regard vers ta compagne de soirée, intrigué par ce qu'elle allait faire maintenant qu'elle avait atteint l'hôtel.
Toi même tu ne savais pas ce que t'allais faire ce soir, là face à ce barman qui était entrain d'astiquer ses verres, ce bar bien vide où tu pouvais t'imaginer refaire le monde, tu te perdais dans tes pensées tout en t'alcoolisant parce que ça, tu savais bien le faire, t'avais appris jeune à noyer tes pensées dans des verres d'alcool.
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*« j'arrive. »under the night sky. @Sven Kaplovun tour de magie plus tard, le sourire du russe était réapparu. elle ne s'était pas excusée, et ne le ferais peut-être jamais. mais le minimum qu'elle pouvait faire à la place c'est de faire en sorte qu'ils passent une fin de soirée pas trop pitoyable. ce qu'il pouvait lui refuser ? pas grand chose apparemment. enfin au sec, ses fesses sur le siège passager. dora attend patiemment que la ballade reprenne. « un lit dans une chambre confortable, ça me suffira amplement. » il ne l'avait pas repris sur son compte des scores. comme elle le pressentait, tout ça et loin d'être terminé. et elle ne réussis pas à ravaler son sourire en coin, femme fatale ? lui plaire ? tout semblait aller à merveille. elle souriait dora. plaire à un inconnu, c'était pas un miracle. lui plaire à lui, ça semblait être différent. sa main s'attarda un instant sur sa cuisse, prenant son temps. elle était persuadée, comme elle, c'était volontaire. l'envie de jouer avec l'autre. elle ne put retenir le léger tremblement de sa cuisse. les deux mains sur le volant, quelques kilomètres défilèrent. un hochement de tête et quelques pas plus tard. les voilà dans le hall d'un hôtel à la hauteur de ses espérances. elle rattrapa sa carte bancaire au vol. « Я прибываю. » * ce qu'elle voulait ? il ne fallait pas en dire plus. elle avait récupéré ses affaires, jetés par dessus son épaule. il était tard, mais le bar semblait toujours ouvert et un réceptionniste semblait garder l'hôtel jour et nuit. le veilleur d'un phare. bien que les cernes étaient visibles sous ces yeux, il fit ce qu'il put pour lui rendre un sourire poli. « deux chambres, pour une nuit. » elle lui tendit la carte du russe. les chambres payées, elle monta rapidement dans la sienne. la robe qu'elle avait en main, fut jetée négligemment sur le fauteuil, son téléphone sur le lit, tandis que sa veste trouva sa place sur un cintre, son glock toujours dans une des poches. la clé de la chambre dans une de son jean, elle descendit quatre à quatre les escaliers. la patience n'étant clairement pas là pour attendre l'ascenseur, supporter sa musique et encore moins croiser quelqu'un. elle étire ses bras en se dirigeant vers le bar. ses pas souples, elle arrive presque à le surprendre en s'approchant discrètement. la clé de sa chambre rejoint la poche de chemise du russe. ils étaient seuls. le bar désert. aucune âme qui vive. seulement le barman entrain de nettoyer consciencieusement tous les verres. elle l'interpella de deux doigts levés. « votre meilleure vodka. et laissez la bouteille. » elle pourrait parier qu'ils arriveraient à la finir. son verre rencontra celui de sven. un bruit de verre qui trinque dans un à la notre & je suis désolée. le verre au bord des lèvres, une gorgée de prise. une fraîcheur inattendu. non, le barman ne les avait pas trompé. elle examina la salle du coin de l’œil. vide, elle paraissait grande. spacieuse. on pourrait y faire un balai. danser sans se gêner. mais son œil fut attiré par le seul élément sombre de la pièce. un piano. un sourire sans faille s'étira sur ses lèvres. ses mains commençaient déjà à trembler d'impatience, tandis que son corps tout entier semblait aspiré vers l'instrument de son désir.non pas sven. ou pas encore alors.le contenu de son verre disparu dans le fond de sa gorge. « par contre je te préviens. tout ce qui se passe dans ce bar, reste dans ce bar. » son verre déjà remplit de nouveau, elle récupéra la bouteille d'une main, de l'autre son verre. le tout se retrouva sur le piano, pendant qu'elle s'installait souplement devant. ses doigts effleurèrent les touches d'une simple caresse. ses yeux étaient ravis, il ne manquait que ses doigts pour se rendre compte de la beauté qui se trouvait devant elle. « je ne voudrais surtout pas qu'on pense que j'ai un cœur. » son sourire ne semblait pas la quitter, elle hésita quelques secondes. comme si elle avait peur de se planter. cette sensation, elle la balaya d'un revers de la main. entamant le début de knocking on heavens door d'un main sûre, d'un signe de tête elle invita sven à la rejoindre. elle le surveillait du coin de l’œil. elle avait repéré le barman surpris, qui s'était arrêté quelques secondes discrètement pour entendre les accords, il repris son nettoyage, imperturbable. « quoi ? t'as peur que je te demande de chanter ? »
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Le seul écho de ta langue natale jusqu'à tes oreilles suffisait à te faire dresser un léger sourire, un regard que tu détournais légèrement vers la belle alors qu'elle était entrain de faire sa demande, toi ca t'importais pas vraiment ce qu'elle allait choisir après tout t'avais assez sur ta carte pour passer encore bien des nuits dans un hôtel de ce genre.
La présence de la belle te surpris, tel une légère brise que l'on sent à peine, elle t'avais désormais rejoins dans ton petit coin de paradis, léger poids que tu sens au niveau de ta poitrine, un objet viens de rejoindre ta poche de chemise, tu le tâtes rapidement pour t’apercevoir qu'il s'agit d'une clef.
Tu lui adresses un sourire en coin.
"Mademoiselle a une grande soif on dirait."
Un petit rire taquin que tu laisses échapper après tout ce qu'elle t'as fait vivre t'as bien le droit de toi aussi t'amuser un peu d'ailleurs tu ne comptes pas t'en priver, cela dit, tu trinques avec elle, sourire charmeur que tu lui adresses en guise de réponse face à ses paroles, toi aussi t'es désolé de pas avoir tout révéler mais comment aurais-tu pu lui accorder ta confiance dès le début, tu ne savais pas vraiment beaucoup de choses sur elle, son prénom, sa compétence pour tenir une arme et s'en servir et son métier.
Ca ne te surprends d'ailleurs pas lorsque tu l'observes dévorer le piano du regard qui se trouvait non loin de vous, ni lorsque tu la vois s'y rendre, tu te retournes tout en promettant de ne rien dire.
"Tant que ça vaut pour nous deux, j'accepte le deal."
Tu repensais à l'arme qu'elle avait braqué sur toi quand elle parla de cœur, Dora était pour le moins un personnage qu'on aurait pu caractérisé de haut en couleur. T'étais bien placé pour savoir de l'absence de cœur dont elle parlait, du moins lorsque vous étiez aux toilettes, tu ne pu t'empêcher de lui répondre avec une légère ironie.
"Ne t'en fais pas pour ça."
Tu t'approchais d'elle après qu'elle t'aies fait un signe, tu ne te faisais pas prier, toi Sven, t'étais un bien piètre musicien mais écouter la musique c'était un réel délice, un moment de paix que tu appréciais et que tu détestais que l'on trouble. Tu reconnaissais sans difficulté le morceaux qu'elle jouait, et tu fus agréablement surprit de son habilité au piano, elle semblait apparemment tout faire avec ses mains, de la menace armée ferme au souple doigté sur les touches du piano.
"Il faudrait que je boive encore bien des verres avant que tu ne me vois chanter."
Léger sourire en coin, tu sortais un cigare que tu portais à tes lèvres alors que ton regard se poser sur la belle assise au piano, ton regard admirateur t'étais impatient d'entendre encore plus de belles musiques. Tu laisses échapper la douce fumée de ta bouche, cédant à ton désir de poser une question à la belle.
"Joue moi ton plus beau chef d'oeuvre, ta musique la plus belle, la plus douce, la plus sensuelle, celle qui me fera frissonner, réussis ça et tu monteras ton score à deux sinon on sera à un partout. Le défi te tente Dora ?"
Tu t'assis aux côtés de la belle, observant ses délicates mains jouer de doux morceaux, là, tu te retrouvais à nouveau hypnotisé, toi t'avais jamais eu la patience pour apprendre à jouer aussi bien ou ne serait ce même qu'un tout petit peu, t'excellais que dans le mal et ça ne te gênais pas, tu laissais les autres constituer de belles œuvres et tu en profitais quand tu le pouvais, ce soir encore, tu te laissais distraire par tes désirs, tu étais là à écouter une femme qui t'étais encore inconnu il y'avait de ça quelques heures alors que tu aurais du être rentré depuis bien longtemps, mais tu t'en fichais.
La fin d'une chanson te ramena à la réalité le temps d'un instant, assez longtemps pour que tu te souviennes que Dora t'avais déposer un objet dans ta poche, avec la plus grande des délicatesses tu l'attrapas dans ta main avant de lui demander avec un grand sourire taquin.
"Est ce la clef qui mène à ma chambre, une suite ou un paradis doré ?"
Tu restais la pensif devant ta clef comme un enfant intrigué par une découverte qu'il venait de faire.
Pyphi(lia)La présence de la belle te surpris, tel une légère brise que l'on sent à peine, elle t'avais désormais rejoins dans ton petit coin de paradis, léger poids que tu sens au niveau de ta poitrine, un objet viens de rejoindre ta poche de chemise, tu le tâtes rapidement pour t’apercevoir qu'il s'agit d'une clef.
Tu lui adresses un sourire en coin.
"Mademoiselle a une grande soif on dirait."
Un petit rire taquin que tu laisses échapper après tout ce qu'elle t'as fait vivre t'as bien le droit de toi aussi t'amuser un peu d'ailleurs tu ne comptes pas t'en priver, cela dit, tu trinques avec elle, sourire charmeur que tu lui adresses en guise de réponse face à ses paroles, toi aussi t'es désolé de pas avoir tout révéler mais comment aurais-tu pu lui accorder ta confiance dès le début, tu ne savais pas vraiment beaucoup de choses sur elle, son prénom, sa compétence pour tenir une arme et s'en servir et son métier.
Ca ne te surprends d'ailleurs pas lorsque tu l'observes dévorer le piano du regard qui se trouvait non loin de vous, ni lorsque tu la vois s'y rendre, tu te retournes tout en promettant de ne rien dire.
"Tant que ça vaut pour nous deux, j'accepte le deal."
Tu repensais à l'arme qu'elle avait braqué sur toi quand elle parla de cœur, Dora était pour le moins un personnage qu'on aurait pu caractérisé de haut en couleur. T'étais bien placé pour savoir de l'absence de cœur dont elle parlait, du moins lorsque vous étiez aux toilettes, tu ne pu t'empêcher de lui répondre avec une légère ironie.
"Ne t'en fais pas pour ça."
Tu t'approchais d'elle après qu'elle t'aies fait un signe, tu ne te faisais pas prier, toi Sven, t'étais un bien piètre musicien mais écouter la musique c'était un réel délice, un moment de paix que tu appréciais et que tu détestais que l'on trouble. Tu reconnaissais sans difficulté le morceaux qu'elle jouait, et tu fus agréablement surprit de son habilité au piano, elle semblait apparemment tout faire avec ses mains, de la menace armée ferme au souple doigté sur les touches du piano.
"Il faudrait que je boive encore bien des verres avant que tu ne me vois chanter."
Léger sourire en coin, tu sortais un cigare que tu portais à tes lèvres alors que ton regard se poser sur la belle assise au piano, ton regard admirateur t'étais impatient d'entendre encore plus de belles musiques. Tu laisses échapper la douce fumée de ta bouche, cédant à ton désir de poser une question à la belle.
"Joue moi ton plus beau chef d'oeuvre, ta musique la plus belle, la plus douce, la plus sensuelle, celle qui me fera frissonner, réussis ça et tu monteras ton score à deux sinon on sera à un partout. Le défi te tente Dora ?"
Tu t'assis aux côtés de la belle, observant ses délicates mains jouer de doux morceaux, là, tu te retrouvais à nouveau hypnotisé, toi t'avais jamais eu la patience pour apprendre à jouer aussi bien ou ne serait ce même qu'un tout petit peu, t'excellais que dans le mal et ça ne te gênais pas, tu laissais les autres constituer de belles œuvres et tu en profitais quand tu le pouvais, ce soir encore, tu te laissais distraire par tes désirs, tu étais là à écouter une femme qui t'étais encore inconnu il y'avait de ça quelques heures alors que tu aurais du être rentré depuis bien longtemps, mais tu t'en fichais.
La fin d'une chanson te ramena à la réalité le temps d'un instant, assez longtemps pour que tu te souviennes que Dora t'avais déposer un objet dans ta poche, avec la plus grande des délicatesses tu l'attrapas dans ta main avant de lui demander avec un grand sourire taquin.
"Est ce la clef qui mène à ma chambre, une suite ou un paradis doré ?"
Tu restais la pensif devant ta clef comme un enfant intrigué par une découverte qu'il venait de faire.
- Théodora OleszekI'm a Mother Fucker
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Hobby : boxe, sport de combat, violon, champ de tir, danse.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : "the boy next door"
under the night sky. @Sven Kaplovsoif ? c'était peu dire. elle mourrait d'envie de ce verre depuis qu'elle avait prononcé le mot vodka dans sa voiture. bien sûr que ça valait pour eux deux. elle n'était pas d'humeur à essayer de le convaincre que la règle ne fonctionner que pour sa personne. « si t'as quelque chose de secret à dévoiler, c'est le moment dans ce cas. » un rire qui lui sembla sincère s'échappa de ses lèvres. elle le connaissait tellement peu. comme si le simple fait de savoir qu'il était russe et surement plus imprévisible qu'elle, lui suffisait. installée au piano, elle doit avouer que le voir chanter aurait été un de ses moments les plus purs et innocents de cette soirée. oh, si il savait qu'elle est capable de faire en sorte qu'il descende la bouteille à lui tout seul. « me tente pas. » elle a hésité un instant, son regard c'est perdu sur la bouteille, puis sur le verre du russe, avant de résigner. on alcoolise pas quelqu'un à la première rencontre, dora. elle eut un aire surpris qu'elle essaya de cacher en voyant le cigare. mais personne ne sembla réagir. il faut croire que la réputation de sven le dépassait, personne n'est venu lui arracher le cigare des lèvres pour le mettre dehors. elle gardait cette information dans un coin de son cerveau. voilà. un défi qu'elle appréciait par sa douceur et la volonté de la connaître mieux de la part de son compagnon de route. « sois sûr, qu'i y a très peu de raisons qui me ferais refuser un défi. » une réponse qui, elle en était sûre, il garderait en tête. elle se perdit un instant dans sa tête, fouilla les recoins de sa mémoire, pour trouver la mélodie qui l'avait marqué. celle dont elle ne pouvait se passer de jouer. ses doigts se mirent à jouer bien avant qu'elle ait eu la réponse en tête. les yeux fermés, elle entama divenire du divin ludovico einaudi. 7 minutes de pur douceur. 7 minutes pendant lesquelles plus rien n'avait d'importance que les notes qui étaient jouées. il ne s'agissait même pas de concentration. ce n'était jamais ça qu'exprimait le visage de la russe. juste une paix qu'elle ne pouvait atteindre qu'en jouant certains morceaux. paisible comme au premier jour. ses mains dansaient, volaient, se laissaient bercer par la mélodie qu'elles produisaient. la note finale. et pendant un court instant, rien ne perturba le silence qui suivit. une volonté de préserver la beauté qui venait de s'être échappée.
elle descendit son verre d'un trait avant de le remplir à nouveau. tout pour cacher cette faiblesse qui la creusait un peu plus chaque jour. mettez lui un piano sous le nez, et laissez la se perdre dans le passé. dans quelques jours il vous suffira d'ouvrir la porte pour la retrouver comme à ses dix huit ans. frêle et innocente.
« deux à zéro, toujours pour moi si je dis pas de bêtises ? » non, jamais il n'oserait lui refuser le point. elle l'avait vu frémir, presque hypnotisé, à en oublier son verre. et pour un russe, c'est peu dire. elle le vit sortir la clé de sa poche. la fameuse. dora ne put s'empêcher de lui rendre son sourire. « et pourquoi pas les trois ? » elle lâche le piano pour se tourner complètement vers lui, un air rêveur sur le visage, assorti à celui de sven. « tu peux te permettre de penser que tous tes désirs deviennent réalité. alors imagine que cette clef mène au trois. à un suite dans un paradis doré où se trouvera ta chambre. » elle inspira profondément. « qu'est ce que tu veux trouver sur ton lit ? imagine le. la vue depuis la baie vitrée, tu l'as l'image ? salle de bains, douche ou baignoire ? bon. je t'avoue, je peux pas te garantir les dorures. mais le reste. il ne tient qu'à toi de créer ton monde. aussi parfait ou imparfait soit-il. » elle prit son verre dans ses mains, le laissant réagir à ses paroles tout droit sorti d'un compte de fée. dora, elle même surprise d'avoir eu autant de douceur dans ses mots. son regard se relève doucement vers lui. « entend le, parce que ça sortira qu'une fois de ma bouche. je suis désolée. pour la scène dans les toilettes. » et oui. théodora oleszek. la garce égocentrique. hautaine et manipulatrice. avait fini par céder devant un inconnu. le russe avait réussit à la faire flancher. on applaudit. ou on mettra ça sur le compte de la vodka et du piano. peu importe. elle avala de nouveau d'un trait son verre. la gorge brûlante et le cœur à peine réchauffé.
- Sven KaplovI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 29 ans
Nationalité(s) : Russe, Américaine
Mon personnage, en 5 mots : charismatique, businessman, manipulateur, loyal, séducteur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur du Legacy
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Donner des informations sur toi, tu le faisais pas souvent et ce soir tu ne comptais pas rendre cela plus facile qu'habituellement, après tout tu avais face à toi une femme qui aimer jouer ça lui donnait qu'une occasion supplémentaire de démontrer ses talents.
"Allons allons, tu m'as montré quelques-uns de tes talents cachés, je suis sûr que tu arriveras à me faire parler dès que tu le voudras vraiment, surprends moi un peu plus que tu ne le fais déjà."
Tu souriais face à sa réponse courte et concise, ce soir si t'avais bien envie d'une chose c'était de voir jusqu'où elle pouvait te faire aller, tu voulais tester ta vulnérabilité face à celle qui t'avais déjà braqué une arme dessus, tu voulais voir si tu était aussi invulnérable à la manipulation que tu le pensais, toi qui t'étais toujours considéré comme un grand caïd imperturbable, allait-elle faire partie des rares exceptions étant capable de te mettre en difficulté ? Tu ne le savais pas mais tu désirais le savoir.
Et si je veux te... tenter ?
Léger sourire que tu dressais sur ton visage doux, t'étais d'humeur taquine à ce moment là de la soirée.
Sourire que tu agrandis inconsciemment qu'elle t'avoua que peu de raisons pourraient lui faire rater un défi, t'avais hâte de voir ça, hâte de voir jusqu'à où elle était prête à aller pour remporter un défi.
Là, quand elle commença à jouer pour toi cette mélodie que tu avais demandais, ce son que tu voulais beau, magnifique même, tu fus hypnotisé pris dans cette mélodie comme un marin par un chant de sirène, pas un son ne sortit de ta bouche, tu restais là d'aplomb regardant, tantôt les yeux de la belle tantôt son doigté, elle avais réussi son pari, encore, elle remportait un point mais cette fois elle t'avait en même temps transporté dans un monde plus beau, plus sensible, tu t'étais laissé pendant quelques minutes le droit de devenir vulnérable, tu acceptais d'être faible pour embrasser des sentiments que tu avais refoulé et scellé à l’intérieur de toi bien des années auparavant.
Lorsque ta petite escapade prit fin en même temps que la mélodie, tu fis tout pour te remettre rapidement, pour remettre ton masque d'homme charmeur fort aussi physiquement que psychologiquement mais le fait est qu'elle t'avait quelque peu chamboulé et t'en restais conscient au fond de toi.
Tu acquiesçais face à la belle, un léger claquement dans tes mains pour saluer sa performance.
Je t'accorde ce point, tu es forte, je te le concède.
Tu fermas les yeux quelques secondes, te prêtant au jeu de Dora, tu te laissais bercer par ton imagination, cet hotel tu ne le connaissais pas, et tu ne savais pas ce que t'allais trouver quand t'ouvrirai cette porte, la vérité c'est que même une chambre d'une vingtaine de mètres carré ça t'aurai suffit parce que t'avais déjà goûté à une vie bien plus modeste que celle que tu menais à présent, alors tu repris vite conscience, ton air songeur se transforma en air plus sérieux. Quand t'entendis les paroles de Dora, des excuses pour avoir pointer ton jolie flingue sur ton corps, t'allais les accepter, même si dans d'autres conditions tout ce serait passé sûrement bien différemment, aujourd'hui était un jour spécial.
Je compte bien enregistré cette douce voix dans ma tête alors. Maintenant, j'ai hâte de découvrir si ce jolie palace cache derrière ses portes de magnifiques chambres.
Un sourire à nouveau dressé sur tes lèvres,tu lançais un regard à Dora.
Mademoiselle serait-elle prête à me guider jusqu'à ma douce chambre ?
Tu prenais un air volontairement inhabituel, rieur, tu aurais très bien pu t'y diriger par toi même en lisant le numéro qui était écrit sur la clef, mais tu n'allais pas laisser l'occasion de faire un brin de chemin supplémentaire avec Dora te filer entre les doigts. Tu la suivais, te dirigeant vers l'inconnu, d'habitude tu t'occupais toujours de réserver tes chambres, tes restaurants, tes taxis, ce soir tu continuais ton jeu dangereux, en lui confiant carte de crédit et choix des chambres, étais-tu entrain de perdre la raison Sven ? Ou le faisais-tu délibérément en toute conscience pour casser ta routine bien sombre.
Pyphi(lia)"Allons allons, tu m'as montré quelques-uns de tes talents cachés, je suis sûr que tu arriveras à me faire parler dès que tu le voudras vraiment, surprends moi un peu plus que tu ne le fais déjà."
Tu souriais face à sa réponse courte et concise, ce soir si t'avais bien envie d'une chose c'était de voir jusqu'où elle pouvait te faire aller, tu voulais tester ta vulnérabilité face à celle qui t'avais déjà braqué une arme dessus, tu voulais voir si tu était aussi invulnérable à la manipulation que tu le pensais, toi qui t'étais toujours considéré comme un grand caïd imperturbable, allait-elle faire partie des rares exceptions étant capable de te mettre en difficulté ? Tu ne le savais pas mais tu désirais le savoir.
Et si je veux te... tenter ?
Léger sourire que tu dressais sur ton visage doux, t'étais d'humeur taquine à ce moment là de la soirée.
Sourire que tu agrandis inconsciemment qu'elle t'avoua que peu de raisons pourraient lui faire rater un défi, t'avais hâte de voir ça, hâte de voir jusqu'à où elle était prête à aller pour remporter un défi.
Là, quand elle commença à jouer pour toi cette mélodie que tu avais demandais, ce son que tu voulais beau, magnifique même, tu fus hypnotisé pris dans cette mélodie comme un marin par un chant de sirène, pas un son ne sortit de ta bouche, tu restais là d'aplomb regardant, tantôt les yeux de la belle tantôt son doigté, elle avais réussi son pari, encore, elle remportait un point mais cette fois elle t'avait en même temps transporté dans un monde plus beau, plus sensible, tu t'étais laissé pendant quelques minutes le droit de devenir vulnérable, tu acceptais d'être faible pour embrasser des sentiments que tu avais refoulé et scellé à l’intérieur de toi bien des années auparavant.
Lorsque ta petite escapade prit fin en même temps que la mélodie, tu fis tout pour te remettre rapidement, pour remettre ton masque d'homme charmeur fort aussi physiquement que psychologiquement mais le fait est qu'elle t'avait quelque peu chamboulé et t'en restais conscient au fond de toi.
Tu acquiesçais face à la belle, un léger claquement dans tes mains pour saluer sa performance.
Je t'accorde ce point, tu es forte, je te le concède.
Tu fermas les yeux quelques secondes, te prêtant au jeu de Dora, tu te laissais bercer par ton imagination, cet hotel tu ne le connaissais pas, et tu ne savais pas ce que t'allais trouver quand t'ouvrirai cette porte, la vérité c'est que même une chambre d'une vingtaine de mètres carré ça t'aurai suffit parce que t'avais déjà goûté à une vie bien plus modeste que celle que tu menais à présent, alors tu repris vite conscience, ton air songeur se transforma en air plus sérieux. Quand t'entendis les paroles de Dora, des excuses pour avoir pointer ton jolie flingue sur ton corps, t'allais les accepter, même si dans d'autres conditions tout ce serait passé sûrement bien différemment, aujourd'hui était un jour spécial.
Je compte bien enregistré cette douce voix dans ma tête alors. Maintenant, j'ai hâte de découvrir si ce jolie palace cache derrière ses portes de magnifiques chambres.
Un sourire à nouveau dressé sur tes lèvres,tu lançais un regard à Dora.
Mademoiselle serait-elle prête à me guider jusqu'à ma douce chambre ?
Tu prenais un air volontairement inhabituel, rieur, tu aurais très bien pu t'y diriger par toi même en lisant le numéro qui était écrit sur la clef, mais tu n'allais pas laisser l'occasion de faire un brin de chemin supplémentaire avec Dora te filer entre les doigts. Tu la suivais, te dirigeant vers l'inconnu, d'habitude tu t'occupais toujours de réserver tes chambres, tes restaurants, tes taxis, ce soir tu continuais ton jeu dangereux, en lui confiant carte de crédit et choix des chambres, étais-tu entrain de perdre la raison Sven ? Ou le faisais-tu délibérément en toute conscience pour casser ta routine bien sombre.
- Théodora OleszekI'm a Mother Fucker
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Carrière, métier ou job : pianiste de renom.
Études (passées ou en cours) : langues et civilisations étrangères.
Hobby : boxe, sport de combat, violon, champ de tir, danse.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : "the boy next door"
under the night sky. @Sven Kaplovà la bonne heure on boit un verre, à la bonne heure il n'y en a plus. bye bye l'horloge, on boycotte les minutes, on oublie les aiguilles, on se perd dans un temps qui n'existe plus. certes, il manque très peu de tentation à la russe pour le faire jouer, le faire craquer et surtout, le faire perdre un peu plus. dur de ne pas fondre à ses quelques mots, comme si il savait d'avance où appuyer pour la faire succomber. elle se repris doucement, la provocation affichée sans détour sur le visage. « fais attention à toi, sinon je vais finir par prendre trop d'avance. » galant, ça semblait inscrit sur son front mais ne jamais se fier aux apparences, dora en était terriblement consciente. hier tout lui avait sembler sombre à ses yeux, sans gout, simplement celui des chairs qui goûtaient à ses draps, et c'est comme un rayon de lune qu'elle aperçu dans ses yeux. il avait le don, pour faire fondre sa carapace qu'elle essayait désespérément de garder en place, et elle ne savait pas encore si elle adorait ou détestait ça. jamais elle ne s'était sentie aussi fragile qu'en jouant une nouvelle fois ce morceau d'einaudi, posant ses doigts avec douceur et sérénité, précision et fermeté. klaxon qui vint déranger la douceur du moment à la fin du morceau, alors qu'elle lui fait créer son monde, et d'un coup. lumière qui agresse les yeux, alors qu'elle fait un aveux, le genre qui n'a pas dépassé ses lèvres depuis des années. « monsieur, si c'est ce que vous désirez. » nouveau sourire, verre descendu, des pieds qui s'affirment sur le sol, une révérence joueuse, deux mains qui s'attrapent, une autre qui récupère tendrement la clé après avoir récupéré la bouteille de vodka. on joue les gosses, qui trottinent dans le couloir, qui se tiennent la main, on joue à se perdre dans un labyrinthe. pour retrouver l'innocence des beaux jours, celle qui leur manque cruellement. qui les empêche de profiter totalement d'une nuit sans histoire, les vieilles histoires au placard. réveille toi pas tout de suite dora, profite du rêve éveillé. sans patience, interminable l’ascenseur. treizième étage, dernier. un long couloir pour le mener jusqu'à son phare. va, la voilà, au fond, dernière porte, reste à franchir le couloir parfumé de l'odeur de la vie. whysky, rose, vodka, engueulade, amour. x, c'est le genre de film qui semblait se dérouler dans la chambre qu'il dépassèrent. y avait ce sourire espiègle qui s'installa sur le visage de la russe. zone libre, la clé dans la serrure. un mouvement de poignet et voilà que le palace révèle ses secrets. une beauté pour les yeux qu'elle n'aurait pu s'imaginer. des étincelles plein la rétine, il lui semblait difficile de savoir où regarder. elle posa la bouteille de vodka sur la table basse. ne jamais se séparer de l'alcool. une baie vitrée en guise de vue. les lumières de la ville comme des milliers de luciole. une salle de bain de la taille d'un salon. une télé plus grande que la table. elle passait les doigts sur la finition des rideaux, dorures douces et discrètes. « j'espère que tes espérances sont comblées » les siennes l'étaient. plus qu'elle ne l'avouerait. le sauvetage discret de la bouteille avait été un succès, autant qu'elle serve. deux gorgées qui disparaissent dans sa gorge. un doigt qui vient consciencieusement essuyer ses lèvres. « à part pour notre petit jeu. je veux dire à ce niveau là je garde de l'avance. » provocation qui en perdait l'apparence, juste une pique pour le faire réagir. la bouteille tendue vers lui. elle hésitait, puis finit par lui fourguer dans les bras. finalement, elle préférait prendre la décision à sa place. cette manie de ne serait-ce garder qu'un peu de contrôle. elle mima un baiser envoyé, de ses lèvres et du bout de ses doigts vers lui. une manière comme une autre de dire bonne nuit. un dernier sourire avant de passer la porte. le laisser seul dans sa suite qu'un roi aurait apprécie. les pas la guidaient quelques mètres plus loin. elle s'éloignait. mais peu importe. elle sait qu'elle le trouvera toujours.
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