YESTERDAY'S NEWS |48
- Adélaïde SullivanKingdom Come
-
Dollars : 3593
Messages : 497
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
LA FIÈVRE ÉVANOUIE, VOUS VOILÀ DÉSENVOÛTÉ, NORMAL À L'EXCÈS.
Ezekiel & Adélaïde
Couleurs chatoyantes, odeur fruitée relativement forte, deux pailles - parce qu'elle le vaut bien -, les desseins de la soirée d'Adélaïde étaient déjà tout tracés. Son cocktail entre les mains, il était entamé de plus de la moitié et c'était pas le premier de la soirée. Joyeuse, on pouvait dire qu'elle l'était... peut-être même un peu plus. Le Ritz-Carlton inaugurait une nouvelle suite Royale ce soir et on pouvait dire que la soirée dans la salle de réception se passait à merveilles. Les convives étaient ravis, son père aussi, de quoi mettre Adélaïde dans la bonne ambiance dès le début de la soirée et cette bonne humeur s'était dispersée des heures durant. Elle ne savait plus depuis combien de temps ils faisaient tous la fête mais au fil des heures, la soirée aux allures de réception de riches avait mué en soirée plus relax et bon enfant. Ce type de soirée où l'alcool coule à flot, où les petits fours ne sont jamais terminés et où les degrés d'alcool se lisent dans les regards et les sourires échangés. Elle en avait échangés quelques uns de ces regards et ces sourires. Malgré elle, très certainement. On pouvait aisément mettre ça sur le dos de ces verres ingurgités qu'elle n'avait pas compté. La vérité restait que tout l'appelait en lui. Son côté ténébreux par ses cheveux bruns. Ses yeux clairs dans lesquels il était aisé de se noyer. Sa barbe de quelques jours, peut-être semaines, qui dessinait parfaitement ses lèvres qu'elle avait déjà eu l'occasion de goûter par le passé.
Ezekiel Eastwood. Amant révolu de Jane Sullivan. L'un parmi tant d'autres. Elle aurait pu oublier son visage comme elle en avait oublié d'autres. Elle aurait pu oublier la sensation de ses lèvres contre sa peau ou de ses mains contre ses hanches. Il n'en était pourtant rien. En dépit des sentiments qu'elle pouvait avoir pour Aaron, Ezekiel restait une tentation que les effluves des liquides ambrés avaient la fâcheuse tendance à renforcer. L'absence de son petit-ami pour son travail n'arrangeait en rien ce besoin vicieux de se rapprocher du brun pour se sentir désirable. Ça serait mentir que de dire qu'Aaron ne lui disait pas assez souvent qu'elle était désirable et désirée par lui, au contraire, c'était même assez fréquent et ça se soldait très souvent sur l'oreiller. Elle-même ne comprenait pas pourquoi elle avait cette envie soudaine d'être désirée par un autre homme. Le jeu probablement. L'envie dissimulée de se prouver qu'elle pouvait encore plaire en dépit de son changement de caractère. Est-ce que Jane revenait sous les effets de l'alcool? Peut-être, peut-être pas. Elle n'en savait rien et elle s'en foutait quand elle se postait à côté d'Eastwood, le regard pétillant de malice et un sourire mutin au coin des lèvres. « Je mettrais ma main à couper que tu n'es pas venu pour l'inauguration de la suite mais pour me voir et te souvenir de ce qu'on a pu partager. » Direct, droit au but. C'était tout Adélaïde de ne pas tourner autour du pot... ou tout Jane. Sacrée bout de femme au caractère bien trempé et à l’ego démesuré qui glissait sa main dans la poche arrière du pantalon de costume d'Ezekiel. « Méfies-toi, ça risquerait de se voir avec un pantalon aussi serré. » balançait-elle en piquant dans une olive de façon nonchalante, comme si ces mots étaient normaux.
Ezekiel Eastwood. Amant révolu de Jane Sullivan. L'un parmi tant d'autres. Elle aurait pu oublier son visage comme elle en avait oublié d'autres. Elle aurait pu oublier la sensation de ses lèvres contre sa peau ou de ses mains contre ses hanches. Il n'en était pourtant rien. En dépit des sentiments qu'elle pouvait avoir pour Aaron, Ezekiel restait une tentation que les effluves des liquides ambrés avaient la fâcheuse tendance à renforcer. L'absence de son petit-ami pour son travail n'arrangeait en rien ce besoin vicieux de se rapprocher du brun pour se sentir désirable. Ça serait mentir que de dire qu'Aaron ne lui disait pas assez souvent qu'elle était désirable et désirée par lui, au contraire, c'était même assez fréquent et ça se soldait très souvent sur l'oreiller. Elle-même ne comprenait pas pourquoi elle avait cette envie soudaine d'être désirée par un autre homme. Le jeu probablement. L'envie dissimulée de se prouver qu'elle pouvait encore plaire en dépit de son changement de caractère. Est-ce que Jane revenait sous les effets de l'alcool? Peut-être, peut-être pas. Elle n'en savait rien et elle s'en foutait quand elle se postait à côté d'Eastwood, le regard pétillant de malice et un sourire mutin au coin des lèvres. « Je mettrais ma main à couper que tu n'es pas venu pour l'inauguration de la suite mais pour me voir et te souvenir de ce qu'on a pu partager. » Direct, droit au but. C'était tout Adélaïde de ne pas tourner autour du pot... ou tout Jane. Sacrée bout de femme au caractère bien trempé et à l’ego démesuré qui glissait sa main dans la poche arrière du pantalon de costume d'Ezekiel. « Méfies-toi, ça risquerait de se voir avec un pantalon aussi serré. » balançait-elle en piquant dans une olive de façon nonchalante, comme si ces mots étaient normaux.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2920
Messages : 544
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : nicolas simoes
Crédits : ASTRA (avatar)
Autres comptes : dora & ansel
Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
LA FIÈVRE ÉVANOUIE, VOUS VOILÀ DÉSENVOÛTÉ, NORMAL À L'EXCÈS.
Ezekiel & @Adélaïde Sullivan
richesses exposées à a vue de tous. hôte de qualité. invités de goûts. zeke, il avait juste l'impression de faire tâche. avec son costume une dizaine de fois mon cher que ceux fait avec un tissu hors de prix, même son nœud papillon semblait bien pauvre. les langues s'étaient déliées, les bulles de champagne descendent rencontrer les cordes vocales des invités. celles-ci vibrent et ne se privent pas de déballer ragot, potins, recette de famille, rupture, amour et traîtrise. une soirée normale dans la haute société des anges. les bouteilles vides s'entassent derrière le bar. c'est sans compter qu'on descendait chaque gorgée, chaque verre. son verre à la main, accoudé au bar, ses poumons qui le démangeaient d'aller fumer une clope. zeke regardait s'égrener chaque seconde, avec le grand espoir d'un miracle.
il la vit. son miracle aux cheveux de blé. un sourire beaucoup trop doux pour être innocent sur les lèvres. l'innocence et elle, n'avaient jamais semblé faire connaissance. deux inconnues qui se frôlaient mais ne se rencontraient jamais.
Sullivan. une de ses rares amantes d'une nuit. il était garé. et comme un phare, elle l'avait guidée, ils s'étaient trouvés. peau contre peau, lèvres contre lèvres, ils s'étaient perdus l'un dans l'autre sans un regard en arrière. c'était rare que l'espagnol se laisse aller à ce point, mais quelques années, il lui avait sembler que le seul moyen de réparer son cœur, avait été de le remplacer parce qu'il avait entre les jambes, rien que pour une nuit.
Adélaïde, sa voix, sa démarche, son regard aguicheur le renvoyait vers de vieux souvenirs. ceux d'une époque perturbée, où elle a été le rayon de soleil d'une de ses nuits. une époque révolue, mais qui semblait ne jamais vouloir le laisser tranquille. surtout pas ce soir. qu'elle soit rassurée, il n'avait pas besoin de la revoir pour se rappeler leurs baisers et leurs ébats. loin de pouvoir être relégué au fond de son cerveau à l'état de poussières. « vraiment ? parce que ça serait un sacrilège de perdre une si jolie main. » ses doigts qui rencontrent les siens. ses lèvres qui rencontrent le dos de sa main avec la douceur d'un rêve, dans un baise main presque féerique. tandis que l'autre main de la blonde va se ranger dans la poche arrière de son costume. faut surtout pas te priver. mais ses yeux parlent pour lui. « surtout vu tout ce que tu peux faire avec. » une main passée autour de la demoiselle. un sourire, pour faire croire que vous êtes venus ensemble, qu'il n'y a aucun risque à ce que cela se sache. une main sur sa hanche, délicate, qui l'attire à lui. « ah oui ? et j'imagine que t'as une solution pour remédier à ça ? » ça serait dommage d'exposer à la vue de tous l'effet qu'elle lui faisait. comme au premier jour. des lèvres qui se glissent à son oreille, pour venir chuchoter ce qui ressemblerait le plus à des mots doux. « je voudrais pas te faire rêver, mais j'ai entendu dire qu'il y a un jacuzzi qui se sentait bien seul dans une fameuse suite. »
il la vit. son miracle aux cheveux de blé. un sourire beaucoup trop doux pour être innocent sur les lèvres. l'innocence et elle, n'avaient jamais semblé faire connaissance. deux inconnues qui se frôlaient mais ne se rencontraient jamais.
Sullivan. une de ses rares amantes d'une nuit. il était garé. et comme un phare, elle l'avait guidée, ils s'étaient trouvés. peau contre peau, lèvres contre lèvres, ils s'étaient perdus l'un dans l'autre sans un regard en arrière. c'était rare que l'espagnol se laisse aller à ce point, mais quelques années, il lui avait sembler que le seul moyen de réparer son cœur, avait été de le remplacer parce qu'il avait entre les jambes, rien que pour une nuit.
Adélaïde, sa voix, sa démarche, son regard aguicheur le renvoyait vers de vieux souvenirs. ceux d'une époque perturbée, où elle a été le rayon de soleil d'une de ses nuits. une époque révolue, mais qui semblait ne jamais vouloir le laisser tranquille. surtout pas ce soir. qu'elle soit rassurée, il n'avait pas besoin de la revoir pour se rappeler leurs baisers et leurs ébats. loin de pouvoir être relégué au fond de son cerveau à l'état de poussières. « vraiment ? parce que ça serait un sacrilège de perdre une si jolie main. » ses doigts qui rencontrent les siens. ses lèvres qui rencontrent le dos de sa main avec la douceur d'un rêve, dans un baise main presque féerique. tandis que l'autre main de la blonde va se ranger dans la poche arrière de son costume. faut surtout pas te priver. mais ses yeux parlent pour lui. « surtout vu tout ce que tu peux faire avec. » une main passée autour de la demoiselle. un sourire, pour faire croire que vous êtes venus ensemble, qu'il n'y a aucun risque à ce que cela se sache. une main sur sa hanche, délicate, qui l'attire à lui. « ah oui ? et j'imagine que t'as une solution pour remédier à ça ? » ça serait dommage d'exposer à la vue de tous l'effet qu'elle lui faisait. comme au premier jour. des lèvres qui se glissent à son oreille, pour venir chuchoter ce qui ressemblerait le plus à des mots doux. « je voudrais pas te faire rêver, mais j'ai entendu dire qu'il y a un jacuzzi qui se sentait bien seul dans une fameuse suite. »
- Adélaïde SullivanKingdom Come
-
Dollars : 3593
Messages : 497
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
LA FIÈVRE ÉVANOUIE, VOUS VOILÀ DÉSENVOÛTÉ, NORMAL À L'EXCÈS.
Ezekiel & Adélaïde
Sulfureux souvenir sorti des limbes de son esprit embrumé par les effluves d'alcool, Ezekiel brillait par son charme dans les pupilles brillantes de Sullivan. Elle n'en avait rien à foutre du prix de son costume, de son allure un peu plus négligée que les autres. Au contraire, ça rajoutait à cette apparence indéniablement attirante. Les mots du brun résonnaient en elle comme un écho aux délices corporels échangés des années en arrière. Instinctivement, ses fameux doigts dont il parlait se resserraient contre sa fesse, imposaient leurs présences contre sa peau en dépit de son pantalon et de son sous-vêtement. Nullement besoin de préciser. Son regard bloqué dans le sien était assez expressif, ce fin sourire au bout des lèvres l'était également et leurs souvenirs communs étaient suffisants.
Quand il la rapprochait de lui, son palpitant loupait naturellement un battement compte tenu de leur promiscuité. La poupée se faisait féline dans son comportement, séductrice dans ces doigts fins qui longeaient la chemise de l'espagnol, dans ce genou qui s'égarait à l'intérieur de sa cuisse, le tout accompagné d'un sourire des plus amusés. « Tu me connais plutôt bien pour quelqu'un qui ne m'a fréquenté qu'une nuit. » Vérité frappante et troublante. Jane aurait su quoi faire pour remédier à ça. L'alcool qui coulait excessivement dans les veines d'Adélaïde aussi. Jeu dangereux, complètement interdit auquel elle s'adonnait. Comme un violent retour en arrière auquel elle ne réfléchissait pas - en avait-elle seulement les capacités même si elle le voulait? - et dans lequel elle s'enfonçait avec un amusement qui ne lui ressemblait plus tellement mais qui illuminait son sourire, le rendant davantage franc sous les chuchotis du brun.
« En revanche, je constate que tu as oublié un aspect primordial me concernant, Eastwood. Je n'ai pas de rêves ni de fantasmes, que des objectifs. » Et celui de tenir compagnie à ce jacuzzi était son principal ce soir. Attrapant le verre entre les mains d'Ezekiel, Adélaïde le posait sur le bar et ne tardait pas à attraper sa main pour mêler ses doigts aux siens et l'entraîner avec elle vers la réception où Milan, un jeune réceptionniste, et sa collègue Julia se trouvaient. « Elle est prête, comme d'habitude, mademoiselle Sullivan. » Une clé électronique s'échangeait, un regard curieux entre les deux compères aussi. Tous les deux s'interrogeaient sur ce qui se passait. Adélaïde avait toujours testé en première les nouvelles chambres des hôtels de son père mais le seul homme qui l'avait accompagné jusque-là - en dehors de ceux identifiés comme des amis - était Aaron. Ezekiel était ni l'un ni l'autre mais ils ne pouvaient rien dire, elle était chez elle ici.
Rapidement, ils se retrouvaient à l'intérieur de l'ascenseur privé qui montait exclusivement à la suite royale du dernier étage. Un instant suspendu, dans tous les sens du terme, un instant à deux où elle en profitait pour davantage l'aguicher. « Tu m'aides? » Une robe lacée sur le devant en guise de décolleté plongeant mais ce n'était que décoration et elle le signalait dans ses gestes, se mettant dos à lui et rabattant ses cheveux d'un seul côté, dévoilant la fermeture libératrice du seul tissu qu'elle portait. Un regard par dessus l'épaule et elle rajoutait quelques mots, non sans observer sa réaction. « Dis-moi que tu es venu pour moi, Ezekiel, et mes doigts que tu as sauvé feront ce qu'ils savent faire de mieux. » Entretenir cette flamme qui renaissait du passé, souffler sur les braises prêtes à s'enflammer.
Quand il la rapprochait de lui, son palpitant loupait naturellement un battement compte tenu de leur promiscuité. La poupée se faisait féline dans son comportement, séductrice dans ces doigts fins qui longeaient la chemise de l'espagnol, dans ce genou qui s'égarait à l'intérieur de sa cuisse, le tout accompagné d'un sourire des plus amusés. « Tu me connais plutôt bien pour quelqu'un qui ne m'a fréquenté qu'une nuit. » Vérité frappante et troublante. Jane aurait su quoi faire pour remédier à ça. L'alcool qui coulait excessivement dans les veines d'Adélaïde aussi. Jeu dangereux, complètement interdit auquel elle s'adonnait. Comme un violent retour en arrière auquel elle ne réfléchissait pas - en avait-elle seulement les capacités même si elle le voulait? - et dans lequel elle s'enfonçait avec un amusement qui ne lui ressemblait plus tellement mais qui illuminait son sourire, le rendant davantage franc sous les chuchotis du brun.
« En revanche, je constate que tu as oublié un aspect primordial me concernant, Eastwood. Je n'ai pas de rêves ni de fantasmes, que des objectifs. » Et celui de tenir compagnie à ce jacuzzi était son principal ce soir. Attrapant le verre entre les mains d'Ezekiel, Adélaïde le posait sur le bar et ne tardait pas à attraper sa main pour mêler ses doigts aux siens et l'entraîner avec elle vers la réception où Milan, un jeune réceptionniste, et sa collègue Julia se trouvaient. « Elle est prête, comme d'habitude, mademoiselle Sullivan. » Une clé électronique s'échangeait, un regard curieux entre les deux compères aussi. Tous les deux s'interrogeaient sur ce qui se passait. Adélaïde avait toujours testé en première les nouvelles chambres des hôtels de son père mais le seul homme qui l'avait accompagné jusque-là - en dehors de ceux identifiés comme des amis - était Aaron. Ezekiel était ni l'un ni l'autre mais ils ne pouvaient rien dire, elle était chez elle ici.
Rapidement, ils se retrouvaient à l'intérieur de l'ascenseur privé qui montait exclusivement à la suite royale du dernier étage. Un instant suspendu, dans tous les sens du terme, un instant à deux où elle en profitait pour davantage l'aguicher. « Tu m'aides? » Une robe lacée sur le devant en guise de décolleté plongeant mais ce n'était que décoration et elle le signalait dans ses gestes, se mettant dos à lui et rabattant ses cheveux d'un seul côté, dévoilant la fermeture libératrice du seul tissu qu'elle portait. Un regard par dessus l'épaule et elle rajoutait quelques mots, non sans observer sa réaction. « Dis-moi que tu es venu pour moi, Ezekiel, et mes doigts que tu as sauvé feront ce qu'ils savent faire de mieux. » Entretenir cette flamme qui renaissait du passé, souffler sur les braises prêtes à s'enflammer.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2920
Messages : 544
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : nicolas simoes
Crédits : ASTRA (avatar)
Autres comptes : dora & ansel
Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
LA FIÈVRE ÉVANOUIE, VOUS VOILÀ DÉSENVOÛTÉ, NORMAL À L'EXCÈS.
Ezekiel & @Adélaïde Sullivan
il y a cette main volage, venu se loger près de sa peau dans une étreinte qui aurait fait monter n'importe quoi, et surtout n'importe qui, en température. il y a ces sourires complices, qui ne pourraient l'être plus qu'en se touchant. il y a ce genou fin et impétueux qui vint frôler la cuisse de l'espagnol dans une demande muette. dans un regard il comprit qu'il était à peine plus que sa proie du soir. et il l'acceptait entièrement.
il ne pouvait pas se vanter de connaître sullivan aussi bien qu'il aimerait et il admettait bien volontairement s'être trompé sur le mot utilisé. rêves et fantasmes avaient été remplacés par des objectifs pour adélaïde. mais elle s'évertuait toujours à les remplir. « je crois que je n'aurais aucun mal à deviner celui de ce soir. » sa main vint arracher son verre des mains, le plaquant sur le bar dans un bruit qui sembla résonner dans toute la salle. leurs doigts qui se mêlent et le voilà qu'il la suis sans poser de questions. sans même trouver ça surprenant qu'elle est obtenue la clé de la nouvelle suite du ritz sans prononcer un mot.
quelques pas de plus pour qu'ils se retrouvent enfermer dans un ascenseur. dernier étage. septième ciel. les étoiles. celles qu'elle a dans les yeux. oui. jamais il ne te dira non. elle le sait. encore moins si c'est pour l'aider à enlever sa robe. il se perd dans ses mots. sa voix qui fait vibrer sa peau à chacune de ses intonations. les lèvres de l'espagnol viennent se plaquer au creux de son cou dans un baiser. pour remonter lascivement vers son oreille. « et que savent-ils faire de mieux ? je t'avoue avoir du mal à me souvenir. » la mémoire qui flanche. il ne demande qu'à renouveler les souvenirs.
montre moi.
montre toi à moi.
partage mes rêves.
prends possession de mon âme,
comme toi seule sait le faire.
à sa demande, ses doigts descendirent la fermeture éclair dans son dos. sans précipitation, il fit basculer le tissu de ses épaules. débarrassée du seul vêtement qu'elle portait, il ne put s'empêcher d'admirer le paysage digne d'une oeuvre d'art qui s'étalait sous ses yeux. mais aucun titre ne saurait apprécier sa beauté comme les yeux d'un homme sauraient le faire. nudité offerte à ses yeux, pour une extase instantanée. ses doigts se font précis, la font pivoter pour plaquer doucement son dos, presque tendrement contre le mur de l’ascenseur, qui vibre légèrement en réponse à leurs mouvements. sa main gauche vient explorer le bas de son dos. le creux de ses reins, dans une caresse possessive. la garder proche de lui. mais c'est pas comme si elle allait s'enfuir. sullivan, c'était pas la biche ce soir. elle ne l'était aucun soir. jamais. elle se gardait précieusement le rôle du chasseur. et le chasseur ne laisse jamais échapper sa proie. sa main droite vient doucement lui relever la mâchoire, alors que ses lèvres viennent prendre possession de son cou. faire attention. ne pas laisser de marque. alors que la tentation ne se faisait que plus forte à chaque seconde. le rose de ses lèvres dévia pour rencontrer l'angle de sa mâchoire.
dans un soupire arracher à ses poumons, contraint par son cerveau, il réussit à se dégager de l'attrait de sa peau pendant un court instant. le temps de venir offrir un murmure à son oreille. celui qu'elle attendait. celui qu'il était si facile de lui offrir. « je suis venu pour toi. rien que pour toi. »
il ne pouvait pas se vanter de connaître sullivan aussi bien qu'il aimerait et il admettait bien volontairement s'être trompé sur le mot utilisé. rêves et fantasmes avaient été remplacés par des objectifs pour adélaïde. mais elle s'évertuait toujours à les remplir. « je crois que je n'aurais aucun mal à deviner celui de ce soir. » sa main vint arracher son verre des mains, le plaquant sur le bar dans un bruit qui sembla résonner dans toute la salle. leurs doigts qui se mêlent et le voilà qu'il la suis sans poser de questions. sans même trouver ça surprenant qu'elle est obtenue la clé de la nouvelle suite du ritz sans prononcer un mot.
quelques pas de plus pour qu'ils se retrouvent enfermer dans un ascenseur. dernier étage. septième ciel. les étoiles. celles qu'elle a dans les yeux. oui. jamais il ne te dira non. elle le sait. encore moins si c'est pour l'aider à enlever sa robe. il se perd dans ses mots. sa voix qui fait vibrer sa peau à chacune de ses intonations. les lèvres de l'espagnol viennent se plaquer au creux de son cou dans un baiser. pour remonter lascivement vers son oreille. « et que savent-ils faire de mieux ? je t'avoue avoir du mal à me souvenir. » la mémoire qui flanche. il ne demande qu'à renouveler les souvenirs.
montre moi.
montre toi à moi.
partage mes rêves.
prends possession de mon âme,
comme toi seule sait le faire.
à sa demande, ses doigts descendirent la fermeture éclair dans son dos. sans précipitation, il fit basculer le tissu de ses épaules. débarrassée du seul vêtement qu'elle portait, il ne put s'empêcher d'admirer le paysage digne d'une oeuvre d'art qui s'étalait sous ses yeux. mais aucun titre ne saurait apprécier sa beauté comme les yeux d'un homme sauraient le faire. nudité offerte à ses yeux, pour une extase instantanée. ses doigts se font précis, la font pivoter pour plaquer doucement son dos, presque tendrement contre le mur de l’ascenseur, qui vibre légèrement en réponse à leurs mouvements. sa main gauche vient explorer le bas de son dos. le creux de ses reins, dans une caresse possessive. la garder proche de lui. mais c'est pas comme si elle allait s'enfuir. sullivan, c'était pas la biche ce soir. elle ne l'était aucun soir. jamais. elle se gardait précieusement le rôle du chasseur. et le chasseur ne laisse jamais échapper sa proie. sa main droite vient doucement lui relever la mâchoire, alors que ses lèvres viennent prendre possession de son cou. faire attention. ne pas laisser de marque. alors que la tentation ne se faisait que plus forte à chaque seconde. le rose de ses lèvres dévia pour rencontrer l'angle de sa mâchoire.
dans un soupire arracher à ses poumons, contraint par son cerveau, il réussit à se dégager de l'attrait de sa peau pendant un court instant. le temps de venir offrir un murmure à son oreille. celui qu'elle attendait. celui qu'il était si facile de lui offrir. « je suis venu pour toi. rien que pour toi. »
- Adélaïde SullivanKingdom Come
-
Dollars : 3593
Messages : 497
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
LA FIÈVRE ÉVANOUIE, VOUS VOILÀ DÉSENVOÛTÉ, NORMAL À L'EXCÈS.
Ezekiel & Adélaïde
Ces anciens - plus si anciens - démons et ses travers se dessinaient au fil de ses paroles et de ses gestes. Incapable de les contrecarrer et sans envie de le faire de toute façon. L'alcool à outrance était-il responsable? L'absence trop fréquente d'Aaron y était-elle pour quelque chose? Un mélange des deux, peut-être? Elle n'en savait rien, ne cherchait pas vraiment à comprendre. Tant qu'elle n'avait pas la sensation de subir, tout cela semblait lui convenir. Elle n'attendait rien de particulier ce soir et puis elle l'avait croisé dans son champs de vision, elle s'était attardée sur sa silhouette pour s'approcher et mieux se noyer dans ses yeux. A partir de là, c'était terminé. Elle s'était perdue dans leurs souvenirs, elle cédait à une tentation qui lui était pourtant interdite. Tiraillée entre deux extrêmes: Pulsions ou fidélité. Son cœur avait balancé avant de tomber d'un seul côté, au même rythme que sa robe qui se dérobait à ses pieds. Pourtant légère, aux oreilles d'Adélaïde, sa chute sonnait comme une enclume: le glas de son choix.
Son cœur criait à l'abandon, qu'elle ne fasse pas ça. Quand les doigts d'Ezekiel rencontraient tendrement son épiderme pour la faire pivoter vers lui, quand sa seconde main s'aventurait le long de sa mâchoire et que ses lèvres glissaient sur son cou dans une caresse sensuelle, elle ne pouvait pas s'empêcher de penser à Aaron. Depuis des mois, il était le seul à avoir ce privilège, le seul à être autorisé à la toucher, l'embrasser. Qu'un autre homme le fasse, c'était aussi excitant que déstabilisant. Physiquement, elle ne pouvait nier que son corps appelait à plus. Psychologiquement, elle avait du mal à se faire à l'idée. Une part d'elle le voulait, l'autre craignait de ne pas y parvenir, comme un défi à elle-même. Ridicule. Elle n'avait rien à se prouver et pourtant elle était bien là, entre les bras d'un ancien amant qui se faisait renouveau. Poupée fragile dans l'incapacité de résister sous les mots de l'interdit.
« Une démonstration vaut mieux que mille mots. » Des paroles qui s'accordaient à l'ouverture des portes de l'ascenseur, derrière Ezekiel, donnant directement sur la suite qui les attendait. Elle ne lui laissait néanmoins pas le temps de se retourner que ses doigts fins venaient s'accrocher à sa nuque, rapprochant ses lèvres dans un premier baiser tendre. Trop sûrement. De ceux qu'elle partageait avec son petit-ami et qu'elle se refusait de partager avec un autre, en dépit du reste. C'était pour cette raison qu'il se muait rapidement en baiser plus fiévreux alors qu'elle le faisait reculer dans la suite, abandonnant sa robe dans l'ascenseur. Perchée sur ses talons, seulement vêtue d'un string soulignant ses hanches de sa dentelle blanche, elle ne pouvait s'empêcher de constater l'évidence. « Tu es trop habillé à mon goût, Eastwood. » lançait-elle alors qu'il pouvait déjà dire adieu à sa veste qu'elle lançait sur l'un des fauteuils.
Adélaïde n'était pas un modèle à prendre quand il s'agissait de patience. Ses lippes étaient aventureuses et descendaient au même rythme que ses mains, celles qui déboutonnaient la chemise du photographe. La sensualité de ses gestes la marquait au fer rouge entre les reins, faisait monter son envie de lui et effaçait la place privilégiée d'Aaron dans ses plus fins désirs. Il n'était plus que l'épée de Damoclès qui lui tomberait dessus plus tard. Elle le mettait entièrement de côté quand sa sulfureuse langue goûtait la peau d'Ezekiel, quand ses dents s'accrochaient un instant au tissu de son pantalon à pinces. « Je te l'avais dit que ça se verrait dans un tel pantalon. » Le sourire mutin qu'elle lui lançait en redressant son visage vers lui était sans équivoque. L'effet qu'elle lui faisait lui plaisait énormément. Jane en aurait profité pour le rendre dingue en profitant de sa position pour le gâter de ses talents mais la blonde avait bien changé, jouant davantage de sa sensualité que de sa sexualité pour séduire un homme désormais.
Se redressant, elle lui volait un baiser presque chaste compte tenu de la situation, avant de le laisser planter là, contre un mur. « Dépêches-toi de te débarrasser de tes chaussures et du reste, le jacuzzi n'attend pas... et moi non plus si tu mets trop de temps. » Et elle disparaissait sans se retourner derrière une porte qui cachait la merveille de la suite. Elle lui avait clairement promis de commencer sans lui s'il tardait mais elle doutait férocement que ça puisse être le cas à tel point qu'elle se débarrassait de son string mais pas de ses talons - qu'elle comptait, de toute façon, garder histoire de le rendre encore plus fou avec cette touche de sensualité en plus. - Elle avait eu raison. Ezekiel ne tardait pas à faire son entrée alors qu'elle était en train d'emprunter les escaliers pour se rendre dans le jacuzzi. Pas un mot, juste un regard qui s'accrochait au sien sans jamais le lâcher alors que les eaux fleuris épousaient son corps avec une lenteur à en faire languir les plus patients. Elle ne lui tournait le dos que pour s'appuyer contre le bord, profitant de la place que lui offrait le bassin pour étirer ses jambes vers l'arrière, ses courbes les plus généreuses frôlant la surface de l'eau. Je t'attends, Ezekiel.
Son cœur criait à l'abandon, qu'elle ne fasse pas ça. Quand les doigts d'Ezekiel rencontraient tendrement son épiderme pour la faire pivoter vers lui, quand sa seconde main s'aventurait le long de sa mâchoire et que ses lèvres glissaient sur son cou dans une caresse sensuelle, elle ne pouvait pas s'empêcher de penser à Aaron. Depuis des mois, il était le seul à avoir ce privilège, le seul à être autorisé à la toucher, l'embrasser. Qu'un autre homme le fasse, c'était aussi excitant que déstabilisant. Physiquement, elle ne pouvait nier que son corps appelait à plus. Psychologiquement, elle avait du mal à se faire à l'idée. Une part d'elle le voulait, l'autre craignait de ne pas y parvenir, comme un défi à elle-même. Ridicule. Elle n'avait rien à se prouver et pourtant elle était bien là, entre les bras d'un ancien amant qui se faisait renouveau. Poupée fragile dans l'incapacité de résister sous les mots de l'interdit.
« Une démonstration vaut mieux que mille mots. » Des paroles qui s'accordaient à l'ouverture des portes de l'ascenseur, derrière Ezekiel, donnant directement sur la suite qui les attendait. Elle ne lui laissait néanmoins pas le temps de se retourner que ses doigts fins venaient s'accrocher à sa nuque, rapprochant ses lèvres dans un premier baiser tendre. Trop sûrement. De ceux qu'elle partageait avec son petit-ami et qu'elle se refusait de partager avec un autre, en dépit du reste. C'était pour cette raison qu'il se muait rapidement en baiser plus fiévreux alors qu'elle le faisait reculer dans la suite, abandonnant sa robe dans l'ascenseur. Perchée sur ses talons, seulement vêtue d'un string soulignant ses hanches de sa dentelle blanche, elle ne pouvait s'empêcher de constater l'évidence. « Tu es trop habillé à mon goût, Eastwood. » lançait-elle alors qu'il pouvait déjà dire adieu à sa veste qu'elle lançait sur l'un des fauteuils.
Adélaïde n'était pas un modèle à prendre quand il s'agissait de patience. Ses lippes étaient aventureuses et descendaient au même rythme que ses mains, celles qui déboutonnaient la chemise du photographe. La sensualité de ses gestes la marquait au fer rouge entre les reins, faisait monter son envie de lui et effaçait la place privilégiée d'Aaron dans ses plus fins désirs. Il n'était plus que l'épée de Damoclès qui lui tomberait dessus plus tard. Elle le mettait entièrement de côté quand sa sulfureuse langue goûtait la peau d'Ezekiel, quand ses dents s'accrochaient un instant au tissu de son pantalon à pinces. « Je te l'avais dit que ça se verrait dans un tel pantalon. » Le sourire mutin qu'elle lui lançait en redressant son visage vers lui était sans équivoque. L'effet qu'elle lui faisait lui plaisait énormément. Jane en aurait profité pour le rendre dingue en profitant de sa position pour le gâter de ses talents mais la blonde avait bien changé, jouant davantage de sa sensualité que de sa sexualité pour séduire un homme désormais.
Se redressant, elle lui volait un baiser presque chaste compte tenu de la situation, avant de le laisser planter là, contre un mur. « Dépêches-toi de te débarrasser de tes chaussures et du reste, le jacuzzi n'attend pas... et moi non plus si tu mets trop de temps. » Et elle disparaissait sans se retourner derrière une porte qui cachait la merveille de la suite. Elle lui avait clairement promis de commencer sans lui s'il tardait mais elle doutait férocement que ça puisse être le cas à tel point qu'elle se débarrassait de son string mais pas de ses talons - qu'elle comptait, de toute façon, garder histoire de le rendre encore plus fou avec cette touche de sensualité en plus. - Elle avait eu raison. Ezekiel ne tardait pas à faire son entrée alors qu'elle était en train d'emprunter les escaliers pour se rendre dans le jacuzzi. Pas un mot, juste un regard qui s'accrochait au sien sans jamais le lâcher alors que les eaux fleuris épousaient son corps avec une lenteur à en faire languir les plus patients. Elle ne lui tournait le dos que pour s'appuyer contre le bord, profitant de la place que lui offrait le bassin pour étirer ses jambes vers l'arrière, ses courbes les plus généreuses frôlant la surface de l'eau. Je t'attends, Ezekiel.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2920
Messages : 544
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : nicolas simoes
Crédits : ASTRA (avatar)
Autres comptes : dora & ansel
Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
- Adélaïde SullivanKingdom Come
-
Dollars : 3593
Messages : 497
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2920
Messages : 544
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : nicolas simoes
Crédits : ASTRA (avatar)
Autres comptes : dora & ansel
Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
LA FIÈVRE ÉVANOUIE, VOUS VOILÀ DÉSENVOÛTÉ, NORMAL À L'EXCÈS.
Ezekiel & @Adélaïde Sullivan
l'eau leur offrait la douceur d'une couverture chauffante. douceur dont ils profitaient encore. une étreinte prolongée interrompue par des lèvres qui s'éloignent et se rejoignent de nouveau. une délicatesse auquel il n'avait pas eu le droit la première fois. délicatesse dont il se délectait alors. ses bras enveloppant avec une légère possessivité le corps d'adélaïde. accroché à lui, elle s'était enveloppée avec une certaine facilité dans ses bras. laissant l'eau la porter avec une légèreté plus que satisfaisante. on aurait pu croire à un rêve.
un murmure dans le silence lui fit ouvrir les paupières. la nuit tombait à peine, pour être honnête il s'attendait à ce qu'elle passe la porte sans l'attendre. pas à ce qu'elle lui propose de partager les draps. pourtant ce n'est qu'un sourire joueur et détendu qui s'étendit un peu plus sur ses joues. « mademoiselle voudrait-elle me servir de doudou ? » ses mains papillonnent dans son do. plus sage que la dernière fois ? pouvait-il y croire ? peut-être, mais il ne disait pas à non à une compagnie dans les draps. pas pour un autre tour de magie, seulement car il faisait bon dormir à deux. ses doigts finissent par se perdre dans ses cheveux, caressant tendrement sa nuque, quand le bout de ses phalanges la frôlait. « tu sais bien que je ne refuserais jamais ta compagnie. »
curiosité attisée par les paroles de la belle, il souleva un sourcil curieux de la proposition qui allait suivre. sa mâchoire faillit se décrocher. non ce n'était pas des prouesses sexuelles qu'elle venait de lui murmurer à l'oreille. mais elle ne pouvait pas le ravir plus. et elle le savait. room service, à volonté ? que pourrait-il rêver de plus ? « tu sais comment parler à mon estomac. » le sourire aux lèvres, celles-ci viennent rencontrer avec vigueur sa joue. l'espagnol se redresse avec douceur, la blonde toujours accroché à lui. le mode koala c'était pas si mal finalement. « accroche-toi. » les mains calées sous son fessier, il prend son temps pour les sortir du jacuzzi. hors de question de glisser maintenant. il laisse doucement les pieds de sullivan rejoindre le sol. avant d'attraper une serviette pour se sécher rapidement et l'entourer autour de sa taille. une de ses mains attrapent une des siennes, avec une innocence qui ne se connaissait pas. direction le lit, et sans prendre de précaution. s'affale dessus, entraînant sullivan dans sa chute. ses yeux se ferment un instant.
mais ce n'est pas le même décor qui l'attend en ouvrant de nouveau les paupières. le froid. la solitude. un manque de chaleur humaine. le plafond de sa chambre, blanc et fade. loin de la beauté de la suite luxueuse. son regard se tourne, il observe l'heure sur son telephone. 4h37. et il comprend qu'il a rêvé, qu'il n'a fait que rêvé. rêve impliquant une de ses rares amantes, mais du moins inoubliable. sullivan. ezekiel se surprit à sourire. un mélange d'euphorie et d'incompréhension qui ravivait son visage. et surement rendre agréable la fin de sa nuit. il se retourna une dernière fois avant de sombrer de nouveau. sa dernière pensée fut pour la sirène de sa nuit.
un murmure dans le silence lui fit ouvrir les paupières. la nuit tombait à peine, pour être honnête il s'attendait à ce qu'elle passe la porte sans l'attendre. pas à ce qu'elle lui propose de partager les draps. pourtant ce n'est qu'un sourire joueur et détendu qui s'étendit un peu plus sur ses joues. « mademoiselle voudrait-elle me servir de doudou ? » ses mains papillonnent dans son do. plus sage que la dernière fois ? pouvait-il y croire ? peut-être, mais il ne disait pas à non à une compagnie dans les draps. pas pour un autre tour de magie, seulement car il faisait bon dormir à deux. ses doigts finissent par se perdre dans ses cheveux, caressant tendrement sa nuque, quand le bout de ses phalanges la frôlait. « tu sais bien que je ne refuserais jamais ta compagnie. »
curiosité attisée par les paroles de la belle, il souleva un sourcil curieux de la proposition qui allait suivre. sa mâchoire faillit se décrocher. non ce n'était pas des prouesses sexuelles qu'elle venait de lui murmurer à l'oreille. mais elle ne pouvait pas le ravir plus. et elle le savait. room service, à volonté ? que pourrait-il rêver de plus ? « tu sais comment parler à mon estomac. » le sourire aux lèvres, celles-ci viennent rencontrer avec vigueur sa joue. l'espagnol se redresse avec douceur, la blonde toujours accroché à lui. le mode koala c'était pas si mal finalement. « accroche-toi. » les mains calées sous son fessier, il prend son temps pour les sortir du jacuzzi. hors de question de glisser maintenant. il laisse doucement les pieds de sullivan rejoindre le sol. avant d'attraper une serviette pour se sécher rapidement et l'entourer autour de sa taille. une de ses mains attrapent une des siennes, avec une innocence qui ne se connaissait pas. direction le lit, et sans prendre de précaution. s'affale dessus, entraînant sullivan dans sa chute. ses yeux se ferment un instant.
mais ce n'est pas le même décor qui l'attend en ouvrant de nouveau les paupières. le froid. la solitude. un manque de chaleur humaine. le plafond de sa chambre, blanc et fade. loin de la beauté de la suite luxueuse. son regard se tourne, il observe l'heure sur son telephone. 4h37. et il comprend qu'il a rêvé, qu'il n'a fait que rêvé. rêve impliquant une de ses rares amantes, mais du moins inoubliable. sullivan. ezekiel se surprit à sourire. un mélange d'euphorie et d'incompréhension qui ravivait son visage. et surement rendre agréable la fin de sa nuit. il se retourna une dernière fois avant de sombrer de nouveau. sa dernière pensée fut pour la sirène de sa nuit.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|