YESTERDAY'S NEWS |48
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 03/04/2018
Avatar : Louis Tomlinson
Crédits : jukeboxe
Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : nothing
Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
En soit j'avais eu une vie plutôt paisible. Pas de parents morts, ni d'abandon, juste quelque peu absent, mais est-ce que cela en fait des parents moins aimant ? Certes j'aurais préféré passer mon dixhuitième anniversaire et mon no¨^el avec eux plutôt que dans un hôpital sans visite. J'aurais peut-être préféré profiter de quelques balades calmes près d'un canal plutôt que d'un porche, un home cinéma ou un malinois, mais on ne va pas se mentir, il y a bien pire comme enfance que de pouvoir rentrer à l'heure qu'on veut, voyager comme on veut et juste avoir ce qu'on veut au final. "Ils étaient juste un peu absent, il n'y a pas mort d'homme" souriais-je, alors que j'accueillais la demoiselle sur mes genoux avec grand plaisir. Elle était si belle et souple à chaque mouvement qu'elle entreprenait.
"Et si je te demande de ne pas t'inquiéter et que je sais ce que je fais, j'imagine que ça ne fonctionne pas" je riais légèrement avant de prolonger le baiser qu'elle était en train de me donner. Si j'avais auparavant hyper froid avant de descendre, à présent je sentais la chaleur qui commençait doucement à grimper. Tout cela avec que l'on nous interrompt. J'avais l'air aussi saoulé qu'elle, mais je n'en perdais pas pour autant mon radieux sourire. "A toute ma belle" Je laissais ma princesse s'éloigner de moi tandis que je partais rejoindre le parc afin de l'attendre à mon tour.
"Ils t'ont fait quoi ?" demandais-je surpris de l'a voir revenir aussi déboussolée. "Pourquoi tu as pleuré ?" Cela ne pouvait pas être une séance de psy, elle était revenu beaucoup trop vite, mais qu'est-ce qu'ils leur reprochait encore ? Ma main attrapa la sienne avant de venir à sa hauteur pour l'a prendre carrément dans mes bras. "Je suis là si tu veux en parler" mes doigts dévalaient le long de ses cheveux, mes pensées uniquement sur elle, alors que je restais tout ouïe à son égard.
"Et si je te demande de ne pas t'inquiéter et que je sais ce que je fais, j'imagine que ça ne fonctionne pas" je riais légèrement avant de prolonger le baiser qu'elle était en train de me donner. Si j'avais auparavant hyper froid avant de descendre, à présent je sentais la chaleur qui commençait doucement à grimper. Tout cela avec que l'on nous interrompt. J'avais l'air aussi saoulé qu'elle, mais je n'en perdais pas pour autant mon radieux sourire. "A toute ma belle" Je laissais ma princesse s'éloigner de moi tandis que je partais rejoindre le parc afin de l'attendre à mon tour.
"Ils t'ont fait quoi ?" demandais-je surpris de l'a voir revenir aussi déboussolée. "Pourquoi tu as pleuré ?" Cela ne pouvait pas être une séance de psy, elle était revenu beaucoup trop vite, mais qu'est-ce qu'ils leur reprochait encore ? Ma main attrapa la sienne avant de venir à sa hauteur pour l'a prendre carrément dans mes bras. "Je suis là si tu veux en parler" mes doigts dévalaient le long de ses cheveux, mes pensées uniquement sur elle, alors que je restais tout ouïe à son égard.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Crédits : © bbchat
Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Parler de mes géniteurs ne me plaisait réellement pas, mais nous semblions en avoir besoin, l’un comme l’autre. Lui semblait toujours tant de déni. « Juste un peu absent ». Comme les miens, totalement invisible, autant que nous l’étions à leur yeux. Cependant, j’avais fait de cette ignorance une force et Travis aussi.. mais nous avions perdu pied en tombant dans de lourdes addictions. Chacun les nôtres, mais tout aussi dévastatrice l’une que l’autre. Comment pouvait-il encore faire comme si de rien n’était ? Je ne préférais pas en rajouter, prenant place sur ses genoux pour passer un moment un peu plus intimiste, bien que nous soyons dans une pièce publique de l’hôpital. Tout le monde pouvait nous voir nous embrasser, mais je m’en fichais. Qu’ils nous collent une étiquette, ça m’était égal. Enfin, apparemment, ça ne plaisait surtout pas au personnel, mon petit manège. « Jamais » murmurais-je avant de lui offrir un baiser ardent. J’aurais aimé que nous soyons dans notre appartement, dans notre salon et que cette situation puisse évoluer d’une manière des plus agréables.. Mais c’était peine perdu avec cette foutue caméra qui nous zieutait perversement.
Séparés bien trop vite, je lui avais proposé de se retrouver après m’être faite gronder par ma psychologue. En réalité, ça avait plutôt été une remontrance et des menaces. Forcément, je n’étais pas en meilleure forme pour retrouver Travis. Ses questions ne trouvèrent pas de réponse. Je me fondais juste dans ses bras pour oublier tout ce que je venais d’entendre. Je voulais rester, partir d’ici et vivre avec lui, tout simplement. Pourquoi est-ce si compliqué ? « Je veux rentrer chez nous » murmurais-je en douceur à son oreille. Je n’aspirais qu’à ça, en réalité. Me calant contre lui, je respirais doucement son odeur. « Je fais tous les efforts possibles et ça ne va jamais » soupirais-je. « Je ne tiendrais pas plus d’un mois à les entendre nous menacer avec leurs remarques de merde » avouais-je tout bas. Je savais que c’était beaucoup lui demander que d’être sur pied d’ici un mois, mais autant être honnête avec lui.
Séparés bien trop vite, je lui avais proposé de se retrouver après m’être faite gronder par ma psychologue. En réalité, ça avait plutôt été une remontrance et des menaces. Forcément, je n’étais pas en meilleure forme pour retrouver Travis. Ses questions ne trouvèrent pas de réponse. Je me fondais juste dans ses bras pour oublier tout ce que je venais d’entendre. Je voulais rester, partir d’ici et vivre avec lui, tout simplement. Pourquoi est-ce si compliqué ? « Je veux rentrer chez nous » murmurais-je en douceur à son oreille. Je n’aspirais qu’à ça, en réalité. Me calant contre lui, je respirais doucement son odeur. « Je fais tous les efforts possibles et ça ne va jamais » soupirais-je. « Je ne tiendrais pas plus d’un mois à les entendre nous menacer avec leurs remarques de merde » avouais-je tout bas. Je savais que c’était beaucoup lui demander que d’être sur pied d’ici un mois, mais autant être honnête avec lui.
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Je continuais de l'a prendre dans mes bras en écoutant ses paroles qui me blessèrent, car c'est un peu de ma faute si elle a mis les deux pieds dans cet hôpital. Si nos chemins ne s'étaient jamais croisés, peut-être qu'elle n'en serait pas là, mais pas forcément dans le bon sens. Elle avait besoin de ce séjour, car sa santé en dépendait. Moi aussi je donnerais tout pour rentrer chez moi et j'avais toujours cette sensation de manque durant les premières semaines. Le manque de mes petites habitudes, mon petit cocon et le fait de pouvoir à présent, dormir avec Sarah. Je penses que nous en étions arrivé à ce stade là. "Si j'ai bien appris une chose ici, c'est qu'il ne faut écouter personne ici. Eux leur seul but c'est que tu sois sur pied, le côté psychologique, ils s'en fichent. Si tu leur souris, que tu fais style que tout va bien, je t'assure que ça fonctionne.Et je parle par expérience.." J'en avais appris des choses durant mes séjours et c'est partout pareil. Malheureusement.
Pas plus d'un mois ? J'avais donc moins d'un mois pour remplir ce fameux contrat, mais elle aussi elle avait sa part du marché. "Commence par surveiller ton langage" dis-je calmement. "Plus tu leur tiendra tête et plus ils voudront de garder. Si tu te plie à ce qu'ils te disent et que tu t'efface, tu sortiras vite, mais je veux que tu sortes sobre Sarah." Mon regard croisa le sien pour qu'elle comprenne que je lui donnais ma confiance.
Pas plus d'un mois ? J'avais donc moins d'un mois pour remplir ce fameux contrat, mais elle aussi elle avait sa part du marché. "Commence par surveiller ton langage" dis-je calmement. "Plus tu leur tiendra tête et plus ils voudront de garder. Si tu te plie à ce qu'ils te disent et que tu t'efface, tu sortiras vite, mais je veux que tu sortes sobre Sarah." Mon regard croisa le sien pour qu'elle comprenne que je lui donnais ma confiance.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Avec : Travis C. Gaultier
Dans ses bras, je respirais enfin et je pouvais oublier tout ce qui se trouvait autour de nous. Une bulle se formait autour de nous et je ne voudrais en sortir pour rien au monde. Doucement, je fis part de ma façon de penser à Travis car c’était trop dur à garder pour moi toute seule. Autant lui dire comment je vivais notre séjour ici et je savais que ce n’était pas forcément des plus agréables à entendre. J’écoutais doucement mon ami, pas très emballé par ce qu’il me racontait. « Je ne suis pas du genre à faire semblant » murmurais-je, agacée de devoir faire semblant. Lorsque je me droguais, je faisais semblant, alors quand j’essaye de lutter contre.. Ce n’est pas le moment d’être quelqu’un d’autre. C’est illogique. « Je ne peux pas rentrer dans leur moule, c’est impossible » fis-je doucement. Autant le prévenir que je n’allais pas faciliter les choses car je ne comptais pas me laisser faire. Je n’étais pas comme ça, même si j’avais quarante-mille fois plus d’assurance avec de la drogue, je n’étais pas une coquille vide sans. Un caractère de merde comme à la peau, que voulez-vous.
Un moins. Etais-ce possible ? Je n’étais pas certaine, non, mais ça valait le coup d’essayer. Je roulais des yeux avec un sourire amusé. « Oui papa » me moquais-je délicatement. J’allais faire une remarque quand au fait de bien me dire, mais la fin me clouait le bec. Sobre. Ça faisait un moment que je n’avais pas entendu ce mot. Très longtemps, même. « Tu veux dire.. ne pas craquer durant un mois entier ? » En sachant qu’il y avait de quoi faire dans l’établissement, c’était très compliqué, je l’avoue. Marmonnant tout bas, je passais mes mains sous son t-shirt après avoir vérifié que personne n’allait nous emmerder. Ah oui, le langage grossier. « Si je reste sobre.. j’ai quoi en échange ? » demandais-je innocemment. Bien sûr, le sous-entendu était là mais je savais que ça n’allait pas être si simple de le faire craquer.. (a)
Un moins. Etais-ce possible ? Je n’étais pas certaine, non, mais ça valait le coup d’essayer. Je roulais des yeux avec un sourire amusé. « Oui papa » me moquais-je délicatement. J’allais faire une remarque quand au fait de bien me dire, mais la fin me clouait le bec. Sobre. Ça faisait un moment que je n’avais pas entendu ce mot. Très longtemps, même. « Tu veux dire.. ne pas craquer durant un mois entier ? » En sachant qu’il y avait de quoi faire dans l’établissement, c’était très compliqué, je l’avoue. Marmonnant tout bas, je passais mes mains sous son t-shirt après avoir vérifié que personne n’allait nous emmerder. Ah oui, le langage grossier. « Si je reste sobre.. j’ai quoi en échange ? » demandais-je innocemment. Bien sûr, le sous-entendu était là mais je savais que ça n’allait pas être si simple de le faire craquer.. (a)
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Je voyais bien que pour elle ce petit séjour c'était comme un jeu. Elle y était allé pour me suivre et non pour guérir. Je ne pouvais rien faire si elle n'avait aucune volonté d'aller de l'avant, par conséquent, je savais par avance qu'en sortant d'ici, elle retomberait très vite dans la drogue. Je n'étais pas le genre de personne à m'égossiller durant des heures pour lui expliquer par A plus B que ce qu'elle fait s'est mal. Le fait de rester à l'a regarder était bien plus destabilisant pour elle et peut-être que ça l'a faisait réfléchir quelque part.
Le fait qu'elle s'amuse de cette situation m'agaçait légèrement. "Ma reconnaissance, c'est déjà pas mal" concluais-je en me détachant doucement d'elle. "Tu sais parfois il faut savoir se plier aux règles Sarah. T'es peut-être une princesse, mais pas encore une reine" les mains dans les poches, je venais m'asseoir à ses côtés. "Parfois, il faut savoir faire des concessions"
_____FEW MONTHS LATER
Je n'en revenais pas de sortir tout de même à quelques mois des fêtes, de la neige et j'en passe. Bien sûr, c'était source de grand stresse, car je serais livré à moi-même face à la ville, au restaurant, à l'odeur de nourriture, à mon addiction au sport et il faudrait que je me contrôle pour ne pas flancher à nouveau, mais je me disais cela à chaque sortie d'hôpital. Valise en main, je voyais Sarah qui m'attendait de pieds ferment, déjà hâte de sortir de ce trou à rat. Et dire qu'elle était venue ici dans le but de ne pas rester toute seule. "On compte sur toi Travis, tu vaux mieux que cette maladie" entre temps j'avais émis l'hypothèse que peut-être, effectivement, j'avais une certaine maladie, un certain problème avec la nourriture. Ce qui est un grand pas en plus de dix ans. J'étais presque nostalgique en partant d'ici. D'ailleurs, j'étais resté silencieux durant tout le trajet, à jouer sur mon téléphone portable qui m'avait manqué pendant ses longs mois.
C'est le uber qui m'extirpa de ma torpeur en s'arrêtant brutalement. Et voilà notre belle appartement de luxe. "ça fait du bien d'être à la maison !" Soupirais-je en déposant ma valise au sol. Et maintenant ? Je n'en avais aucune idée.
Le fait qu'elle s'amuse de cette situation m'agaçait légèrement. "Ma reconnaissance, c'est déjà pas mal" concluais-je en me détachant doucement d'elle. "Tu sais parfois il faut savoir se plier aux règles Sarah. T'es peut-être une princesse, mais pas encore une reine" les mains dans les poches, je venais m'asseoir à ses côtés. "Parfois, il faut savoir faire des concessions"
_____FEW MONTHS LATER
Je n'en revenais pas de sortir tout de même à quelques mois des fêtes, de la neige et j'en passe. Bien sûr, c'était source de grand stresse, car je serais livré à moi-même face à la ville, au restaurant, à l'odeur de nourriture, à mon addiction au sport et il faudrait que je me contrôle pour ne pas flancher à nouveau, mais je me disais cela à chaque sortie d'hôpital. Valise en main, je voyais Sarah qui m'attendait de pieds ferment, déjà hâte de sortir de ce trou à rat. Et dire qu'elle était venue ici dans le but de ne pas rester toute seule. "On compte sur toi Travis, tu vaux mieux que cette maladie" entre temps j'avais émis l'hypothèse que peut-être, effectivement, j'avais une certaine maladie, un certain problème avec la nourriture. Ce qui est un grand pas en plus de dix ans. J'étais presque nostalgique en partant d'ici. D'ailleurs, j'étais resté silencieux durant tout le trajet, à jouer sur mon téléphone portable qui m'avait manqué pendant ses longs mois.
C'est le uber qui m'extirpa de ma torpeur en s'arrêtant brutalement. Et voilà notre belle appartement de luxe. "ça fait du bien d'être à la maison !" Soupirais-je en déposant ma valise au sol. Et maintenant ? Je n'en avais aucune idée.
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Avec : Travis C. Gaultier
Apparemment, nous n’étions plus du tout sur la même longueur d’onde. Travis se détachait de moi et adoptait un ton des plus déconcertants. Bon, d’accord.. Je lui parlais d’abord sérieusement avant de lui faire comprendre que j’aimerais être plus proche de lui et je me prenais un mur. Ma fierté en prenait un véritable coup. Se plier aux règles. Ce n’est pas possible. Les Hommes sont libres de nature, certes, il y a des droits et des devoirs, mais si ceux-ci entravent notre liberté, je ne suis pas d’accord. Alors quoi ? Je devais être une autre personne pour faire plaisir au personnel ainsi qu’à lui ? Cette idée me déplaisait fortement, mais ok. Soyons fou. Je le regardais s’asseoir à mes côtés, n’osant pas trop répondre. Ma tête se posait contre son épaule alors que je songeais à la suite. La vision de vivre « dans les règles » pour la suite de notre séjour me brisait, mais soit. Il fallait juste que j’efface toute trace de mon caractère. Facile.
_____FEW MONTHS LATER
Les prochains mois, je les avais passés dans les règles de l’art. Si je le vivais bien ? Absolument pas, mais je ne montrais rien à Travis. Il me l’avait fortement suggéré, j’avais suivi l’idée. J’avais du souvent serrer des dents, en particulier lors des compliments du genre « ah, ça fait du bien de te voir manger », « tu fais des efforts, c’est bien ». Comme si j’avais besoin de leurs consentements. Ma relation avec mon colocataire se déroulait sans encombre, sans plus. J’évitais les sujets difficiles, j’en trouvais d’autres pour dévier de ce qui peut me fâcher. Le jour où l’on m’a annoncé que l’on sortait et qui plus est, en même temps, ma valise était déjà prête et j’avais à peine dit au revoir. Une chose est certaine : si mon ami remettait les pieds là-dedans, ce serait sans moi. Ce ne serait pas contre lui, mais trop, c’est trop.
Notre trajet de retour chez nous s’était déroulé dans le plus grand des silences. Pas un silence agréable, j’étais même mal à l’aise, totalement vidé de faire encore semblant. Zieutant un court instant vers lui, je le voyais sur son téléphone. Dire que j’avais du laissé mon téléphone caché là-bas.. Tout ça pour être « dans les règles ». Tu parles d’une fierté de se rabaisser si bas. Nous arrivions rapidement chez nous. Chez nous.. J’y avais songé, d’ailleurs. « Enormément oui » soufflais-je doucement en déposant mes affaires. Je posais mon regard sur lui. « On peut aller quelque part pour.. discuter ? » Ce n’était pas que je n’aimais pas notre appartement à peine retrouvé, mais je ne lui avais pas tout dit durant notre séjour et.. Nous n’avions jamais parlé de « l’après hôpital ».
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Les prochains mois, je les avais passés dans les règles de l’art. Si je le vivais bien ? Absolument pas, mais je ne montrais rien à Travis. Il me l’avait fortement suggéré, j’avais suivi l’idée. J’avais du souvent serrer des dents, en particulier lors des compliments du genre « ah, ça fait du bien de te voir manger », « tu fais des efforts, c’est bien ». Comme si j’avais besoin de leurs consentements. Ma relation avec mon colocataire se déroulait sans encombre, sans plus. J’évitais les sujets difficiles, j’en trouvais d’autres pour dévier de ce qui peut me fâcher. Le jour où l’on m’a annoncé que l’on sortait et qui plus est, en même temps, ma valise était déjà prête et j’avais à peine dit au revoir. Une chose est certaine : si mon ami remettait les pieds là-dedans, ce serait sans moi. Ce ne serait pas contre lui, mais trop, c’est trop.
Notre trajet de retour chez nous s’était déroulé dans le plus grand des silences. Pas un silence agréable, j’étais même mal à l’aise, totalement vidé de faire encore semblant. Zieutant un court instant vers lui, je le voyais sur son téléphone. Dire que j’avais du laissé mon téléphone caché là-bas.. Tout ça pour être « dans les règles ». Tu parles d’une fierté de se rabaisser si bas. Nous arrivions rapidement chez nous. Chez nous.. J’y avais songé, d’ailleurs. « Enormément oui » soufflais-je doucement en déposant mes affaires. Je posais mon regard sur lui. « On peut aller quelque part pour.. discuter ? » Ce n’était pas que je n’aimais pas notre appartement à peine retrouvé, mais je ne lui avais pas tout dit durant notre séjour et.. Nous n’avions jamais parlé de « l’après hôpital ».
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C'est vrai que nous n'avions jamais pris le temps de parler de la situation d'après hôpital. Dans un endroit aussi restreint que celui-ci, nous ne pouvions que nous rapprocher et apprendre à nous connaître, mais face à l'immensité de Los Angeles et de notre côté libre penseur, rien était gagné d'avance pour que l'on reste aussi proche que nous l'avions été. Mais en toute honnêteté, même si nous devions avoir une discussion, je ne saurais quoi dire. Par conséquent, j'espérais qu'elle fasse le premier pas dans cette démarche.
"Bien sûr" disais-je en souriant, laissant alors tout notre bazar par terre, dans notre appartement. Je reprenais les clés afin de verrouiller à nouveau dernière nous et nous diriger vers le café du coin de la rue. "Un café bien corsé pour moi" demandais-je avant d'aller m'asseoir sur un fauteuil, juste en face d'elle. Je n'aimais pas cette situation. Habituellement je suis toujours un peu déboussolé lors de mes sorties et très très très stressé, mais sûrement pas autant. Habituellement je serais sans doute rentré chez moi, rangé mes affaires quatre fois par ordre de couleur pour me déstresser avant de tenter de manger, de me laver et d'essayer de dormir avant de faire une crise d'anxiété par rapport au repas que j'avais ingéré quelques heures avant, avant d'aller courir deux heures. C'était une première pour moi que de m'asseoir pour discuter et ce n'était pas plus mal.
J'avais remarqué les efforts de Sarah durant notre séjour, mais je savais aussi que c'était uniquement pour sortir de là au plus vite. Un peu comme moi quand je leur dit les choses qui veulent entendre juste pour qu'on dise apte à sortir d'ici. C'est tellement facile de sourire et de dire que tout va bien, qu'on se sent pleinement guérit de toute cette merde. "Je t'écoute" Après tout, elle avait émit l'idée de discuter, c'est sans doute qu'elle avait un tas de choses à me dire si on se retrouve autour d'une table.
"Bien sûr" disais-je en souriant, laissant alors tout notre bazar par terre, dans notre appartement. Je reprenais les clés afin de verrouiller à nouveau dernière nous et nous diriger vers le café du coin de la rue. "Un café bien corsé pour moi" demandais-je avant d'aller m'asseoir sur un fauteuil, juste en face d'elle. Je n'aimais pas cette situation. Habituellement je suis toujours un peu déboussolé lors de mes sorties et très très très stressé, mais sûrement pas autant. Habituellement je serais sans doute rentré chez moi, rangé mes affaires quatre fois par ordre de couleur pour me déstresser avant de tenter de manger, de me laver et d'essayer de dormir avant de faire une crise d'anxiété par rapport au repas que j'avais ingéré quelques heures avant, avant d'aller courir deux heures. C'était une première pour moi que de m'asseoir pour discuter et ce n'était pas plus mal.
J'avais remarqué les efforts de Sarah durant notre séjour, mais je savais aussi que c'était uniquement pour sortir de là au plus vite. Un peu comme moi quand je leur dit les choses qui veulent entendre juste pour qu'on dise apte à sortir d'ici. C'est tellement facile de sourire et de dire que tout va bien, qu'on se sent pleinement guérit de toute cette merde. "Je t'écoute" Après tout, elle avait émit l'idée de discuter, c'est sans doute qu'elle avait un tas de choses à me dire si on se retrouve autour d'une table.
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À peine arriver que nous repartions directement et j’en étais ravie, pour être honnête. Être enfermé entre quatre murs avec Travis me dérangerait sans avoir eux de discussion entre nous. J’aurais préféré que cela soit fait avant notre sortie, mais là-bas, c’était très compliqué. Sortis de chez nous, nous retrouvions un café non loin de l’appartement afin d’être dans un environnement neutre, au calme. « Un chocolat chaud, s’il vous plaît » demandais-je, préférant éviter la théine et la caféine pour le moment. Assis à notre table, notre commande fut rapidement apportée alors que je remerciais le serveur, posant immédiatement mes mains autour du récipient pour me réchauffer un peu. Comme si ce geste allait me donner tout le courage possible pour lui parler. Je ne lui avais pas tout dit lors de notre séjour et vu qu’il semblait vouloir m’écouter, autant tout raconter une bonne fois pour toute. « Quand je suis arrivée pour être en colocation avec toi, ce n’était pas sans.. arrière pensée » Bizarrement dit. « Je ne parle pas de te sauter dessus, hein » dis-je avec un maigre sourire. « Avant, je vivais seule dans un quartier.. assez mal fréquenté et il fallait que je change d’endroit » Me raclant doucement la gorge, je pianotais sur ma tasse, stressée. « Je sais d’où tu tiens ton argent, mais tu n’as jamais d’où venait le mien » Je me mordais légèrement l’intérieure de la joue. « Je planque de la drogue pour des dealers » Je ne pouvais pas tourner autour du pot plus longtemps.
« Bien entendu, en prenant la décision de venir avec toi, j’ai tout mis dehors et c’est fini » Enfin, c’était ce que j’espérais, mais je savais très bien que ce n’était pas si facile à faire que ça donc je pense que j’aurais bientôt la visite de certaines personnes dont je préférais oublier l’existence. « Ce travail était une contre partie pour avoir de la drogue gratuitement et avoir un salaire très confortable tous les mois » avouais-je avant de venir boire une gorgée de ma boisson. « Désolée d’avoir fait ça car.. Je me suis rendue compte, en me débarrassant de tout, que ça aurait pu te mettre en danger » Le jour où vous trouvez un dealer gentil, sans contre partie, appelez-moi. « C’était juste pour te dire que je vais sûrement me retrouver sans rien, donc.. Ne me jette pas dehors tout de suite, s’il te plaît » riais-je doucement, un peu mal à l’aise de lui avouer ça. D’autant plus que mon autre métier – organisatrice de mariage – avait fait un réel plat alors.. J’étais sans ressource, sans étude. J’aurais pu faire les choses autrement, mais c’est un peu tard désormais et sans argent, je ne pourrais pas aller sur les bancs d’une fac donc.. J’étais un peu coincée.
Si Travis ne me détestait pas, j’espérais que la suite ne serait pas entachée par le début de mes aveux. « En ce qui concerne notre séjour, je.. Je ne peux pas te promettre de rester sobre pendant dix ans, mais j’estime que grâce à ton entêtement à ce que je rentre dans les règles, je vais tout faire pour » Un peu de volonté.. même si Los Angeles regorgeait de travers dans lesquelles j’espérais ne plus retomber, tout de même. « Et je.. » Partie la plus compliqué pour moi, oui. « Je voudrais que l’on parle ensemble de notre.. euh.. relation.. » tentais-je, gênée. Depuis son « ce n’est pas un jeu d’être ici, Sarah », il m’avait refroidi donc je n’avais plus tenté quoique ce soit que des baisers et être dans ses bras. « Je.. je ne sais pas si tu attends quelque chose de spécial.. » Je ne savais pas du tout comment parler de ça, et je ne pensais même pas arriver à le faire un peu un jour. « Je me sens bien avec toi, mais le coup à l’hôpital m’a un peu angoissé et.. Je ne sais pas trop quoi faire.. » M’embrouillant un peu, je soupirais avant de boire encore un peu de mon lait chaud. « Je n’ai pas envie que ce que l’on a vécu là-bas s’arrête et en même temps.. Je ne sais pas comment être la même que là-bas.. » Bon, je n’arrivais pas à faire mieux, pour le coup. J’avais besoin de son aide un peu histoire de ne pas dire n’importe quoi et m’enfoncer sans raison.
« Bien entendu, en prenant la décision de venir avec toi, j’ai tout mis dehors et c’est fini » Enfin, c’était ce que j’espérais, mais je savais très bien que ce n’était pas si facile à faire que ça donc je pense que j’aurais bientôt la visite de certaines personnes dont je préférais oublier l’existence. « Ce travail était une contre partie pour avoir de la drogue gratuitement et avoir un salaire très confortable tous les mois » avouais-je avant de venir boire une gorgée de ma boisson. « Désolée d’avoir fait ça car.. Je me suis rendue compte, en me débarrassant de tout, que ça aurait pu te mettre en danger » Le jour où vous trouvez un dealer gentil, sans contre partie, appelez-moi. « C’était juste pour te dire que je vais sûrement me retrouver sans rien, donc.. Ne me jette pas dehors tout de suite, s’il te plaît » riais-je doucement, un peu mal à l’aise de lui avouer ça. D’autant plus que mon autre métier – organisatrice de mariage – avait fait un réel plat alors.. J’étais sans ressource, sans étude. J’aurais pu faire les choses autrement, mais c’est un peu tard désormais et sans argent, je ne pourrais pas aller sur les bancs d’une fac donc.. J’étais un peu coincée.
Si Travis ne me détestait pas, j’espérais que la suite ne serait pas entachée par le début de mes aveux. « En ce qui concerne notre séjour, je.. Je ne peux pas te promettre de rester sobre pendant dix ans, mais j’estime que grâce à ton entêtement à ce que je rentre dans les règles, je vais tout faire pour » Un peu de volonté.. même si Los Angeles regorgeait de travers dans lesquelles j’espérais ne plus retomber, tout de même. « Et je.. » Partie la plus compliqué pour moi, oui. « Je voudrais que l’on parle ensemble de notre.. euh.. relation.. » tentais-je, gênée. Depuis son « ce n’est pas un jeu d’être ici, Sarah », il m’avait refroidi donc je n’avais plus tenté quoique ce soit que des baisers et être dans ses bras. « Je.. je ne sais pas si tu attends quelque chose de spécial.. » Je ne savais pas du tout comment parler de ça, et je ne pensais même pas arriver à le faire un peu un jour. « Je me sens bien avec toi, mais le coup à l’hôpital m’a un peu angoissé et.. Je ne sais pas trop quoi faire.. » M’embrouillant un peu, je soupirais avant de boire encore un peu de mon lait chaud. « Je n’ai pas envie que ce que l’on a vécu là-bas s’arrête et en même temps.. Je ne sais pas comment être la même que là-bas.. » Bon, je n’arrivais pas à faire mieux, pour le coup. J’avais besoin de son aide un peu histoire de ne pas dire n’importe quoi et m’enfoncer sans raison.
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 03/04/2018
Avatar : Louis Tomlinson
Crédits : jukeboxe
Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : nothing
Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
J'attendais qu'elle commence la conversation pour savoir ce dont elle avait envie de parler, car après tout je n'avais pas grand chose à dire de mon côté. Je n'ai pu m'empêcher d'esquiver un petit sourire en écoutant le début. Sans arrière pensée ? Donc il aurait fallu que je me méfie dès le début. Sans jugement, je continuais d'écouter ma colocataire qui avait besoin de dire tout ce dont elle avait accumulé depuis plusieurs mois déjà.
J'écoutais sa confidence par rapport à ses revenues, sa drogue qu'elle prenait, mais aussi cachait dans mon propre appartement. En gros, nous aurions pu tous les deux se faire arrêter et moi, je n'en savais rien. Je n'allais pas péter un scandale pour ça, car tout le monde à ses vices et ses erreurs. En fait, étrangement, je n'étais même pas surpris vu la vie qu'elle menait et ce n'est pas méchant quand je dis cela, on va dire que ça cool de source. Après avoir bu une gorgée de café, je m'emparais de l'une de ses mains pour la caresser de façon rassurante. "Je ne te mettrais jamais dehors Sarah tant qu'on vit dans un respect mutuel" précisais-je pour que cette histoire soit claire, car en soit, je n'étais plus obligé de vivre en collocation, mais je ne me voyais pas mettre Sarah dehors. Pour être honnête, elle risque de bien trop me manquer.
"Se serait mon plus grand rêve que tu sois sobre le reste de ta vie, mais on vie tous des rechutes et crois moi, déjà le fait que tu essaye me rend fier" je lui offrais mon plus beau sourire avant que le sujet relation entre en vigueur. Notre relation est tellement unique que c'est vraiment dur d'y mettre un nom dessus. "Ce qu'on vit dans ce genre d'endroit, on ne le vit qu'une fois. On est enfermé, tout est amplifiée et ça fait beaucoup d'un coup. Ici faut faire face à la vie quotidienne boulot, métro, dodo et du coup c'est pas forcément facile de garder ce genre de relation." je marquais une légère pause. "Tu sais, je m'attache très vite aux gens et je dis pas ça pour te faire peur, alors oui pour moi on a tout d'un couple et je ne dirais pas non pour sortir avec toi" Je soupirais. "Je dis pas que tu es comme toutes mes exs, mais on ne va pas se mentir, quand tu vas me voir rechuter, tu vas sans doute partir plutôt que de me regarder mourir. Et je dis pas ça pour t'en vouloir absolument pas, je suis juste réaliste" je finissais ma phrase par un petit rire. "Mais je suis déjà hyper chanceux de vivre avec une fille comme toi"
J'écoutais sa confidence par rapport à ses revenues, sa drogue qu'elle prenait, mais aussi cachait dans mon propre appartement. En gros, nous aurions pu tous les deux se faire arrêter et moi, je n'en savais rien. Je n'allais pas péter un scandale pour ça, car tout le monde à ses vices et ses erreurs. En fait, étrangement, je n'étais même pas surpris vu la vie qu'elle menait et ce n'est pas méchant quand je dis cela, on va dire que ça cool de source. Après avoir bu une gorgée de café, je m'emparais de l'une de ses mains pour la caresser de façon rassurante. "Je ne te mettrais jamais dehors Sarah tant qu'on vit dans un respect mutuel" précisais-je pour que cette histoire soit claire, car en soit, je n'étais plus obligé de vivre en collocation, mais je ne me voyais pas mettre Sarah dehors. Pour être honnête, elle risque de bien trop me manquer.
"Se serait mon plus grand rêve que tu sois sobre le reste de ta vie, mais on vie tous des rechutes et crois moi, déjà le fait que tu essaye me rend fier" je lui offrais mon plus beau sourire avant que le sujet relation entre en vigueur. Notre relation est tellement unique que c'est vraiment dur d'y mettre un nom dessus. "Ce qu'on vit dans ce genre d'endroit, on ne le vit qu'une fois. On est enfermé, tout est amplifiée et ça fait beaucoup d'un coup. Ici faut faire face à la vie quotidienne boulot, métro, dodo et du coup c'est pas forcément facile de garder ce genre de relation." je marquais une légère pause. "Tu sais, je m'attache très vite aux gens et je dis pas ça pour te faire peur, alors oui pour moi on a tout d'un couple et je ne dirais pas non pour sortir avec toi" Je soupirais. "Je dis pas que tu es comme toutes mes exs, mais on ne va pas se mentir, quand tu vas me voir rechuter, tu vas sans doute partir plutôt que de me regarder mourir. Et je dis pas ça pour t'en vouloir absolument pas, je suis juste réaliste" je finissais ma phrase par un petit rire. "Mais je suis déjà hyper chanceux de vivre avec une fille comme toi"
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 11/03/2018
Avatar : Eleanor Calder
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Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Son sourire à mes premières paroles m’amusait un peu. En même temps, une femme qui emménage chez une homme.. Bref, ce n’était pas le sujet. Je me livrais rapidement à lui sur ma consommation de drogue mais surtout sur le fait que j’en cachais pour les faire passer aux dealers. Bien entendu, je m’attendais à ce qu’il s’emporte, qu’il me reproche de ne pas lui en avoir parler ou d’avoir été stupide d’avoir fait une telle chose.. Et à la place, il me certifiait qu’il n’allait pas me mettre dehors. J’étais tellement surprise que j’avais failli ne pas pouvoir continuer. Allant jusqu’au bout, j’attendais la suite de ses réactions en espérant qu’il ne se moque pas de moi. Evidemment, Travis ne ferait jamais cela car il n’est pas ainsi, heureusement. L’entendre dire qu’il était fier de moi me donnait encore plus envie de me battre, de ne pas retomber dans mon addiction. Son sourire si rayonnant m’affolait le cœur alors que nous en venions à parler de nous, nous deux, ensemble. Le début ne me rassurait pas trop.. mais la suite me fit quelque peu paniquer, sans que je ne fuis pour autant. Mon cœur s’emballait violement, j’avais les mains moites et mon estomac semblait ne plus accepter mon goûter. « On a tout d’un couple et je ne dirais pas non pour sortir avec toi » Serais-je capable d’être en couple, casée avec une seule personne et ne plus faire tout et n’importe quoi ? J’aimerais y croire, mais voilà qu’il explosait cette bulle d’espérance et de bonheur. Il m’énerve quand il fait ça.
Roulant des yeux, mon côté spontané me rattrapait alors que je me levais, pour venir pousser légèrement sa chaise et me mettre à califourchon sur lui. Oui, oui, nous sommes dans un lieu public. « Arrête de dire des trucs aussi géniaux que déprimants, s’il te plaît » demandais-je sérieusement avant de sourire, plus sereine. « Tu parles de tes rechutes sans songer aux possibles miennes. Si je prends peur à une crise cardiaque, que ferais-tu si je venais à être au bord de l’overdose ? » Sachant que je n’étais pas partie une fois, je ne me vois pas partir une autre fois non plus. « C’est moi qui ais de la chance d’être tombée sur un homme comme toi, Travis » soufflais-je avant de venir embrasser tendrement ses lèvres. En public. Devant du monde. Je prolongeais notre baiser sans m’occuper du monde extérieur avant d’y mettre doucement fin. Trop vite, comme toujours. « Je ne suis pas une copine parfaite, que tu sois au courant » murmurais-je en ouvrant mon regard pour le plonger dans le sien. Venais-je de lui dire que j’acceptais d’être avec lui ? Je crois bien oui. Mon sourire ne disparaissait plus sur mon visage alors que je revenais à l’attaque de ses lèvres, n’ayant pas très envie de coupe ce moment, pour le moment en tout cas.
Roulant des yeux, mon côté spontané me rattrapait alors que je me levais, pour venir pousser légèrement sa chaise et me mettre à califourchon sur lui. Oui, oui, nous sommes dans un lieu public. « Arrête de dire des trucs aussi géniaux que déprimants, s’il te plaît » demandais-je sérieusement avant de sourire, plus sereine. « Tu parles de tes rechutes sans songer aux possibles miennes. Si je prends peur à une crise cardiaque, que ferais-tu si je venais à être au bord de l’overdose ? » Sachant que je n’étais pas partie une fois, je ne me vois pas partir une autre fois non plus. « C’est moi qui ais de la chance d’être tombée sur un homme comme toi, Travis » soufflais-je avant de venir embrasser tendrement ses lèvres. En public. Devant du monde. Je prolongeais notre baiser sans m’occuper du monde extérieur avant d’y mettre doucement fin. Trop vite, comme toujours. « Je ne suis pas une copine parfaite, que tu sois au courant » murmurais-je en ouvrant mon regard pour le plonger dans le sien. Venais-je de lui dire que j’acceptais d’être avec lui ? Je crois bien oui. Mon sourire ne disparaissait plus sur mon visage alors que je revenais à l’attaque de ses lèvres, n’ayant pas très envie de coupe ce moment, pour le moment en tout cas.
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