YESTERDAY'S NEWS |48
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Dollars : 3130
Messages : 355
Date d'inscription : 03/04/2018
Avatar : Louis Tomlinson
Crédits : jukeboxe
Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : nothing
Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Je sentais sa déception dans sa voix et c'est bien la pire chose au monde. Etre impuissant à la décision des supérieurs hiérarchiques de ce bâtiment. J'avais pourtant essayé de négocier en leur disant que j'étais vraiment prêt à manger au milieu de toutes ses personnes juste pour être en compagnie de Sarah - ce qui n'était pas totalement faux- mais leurs expériences passées avec moi font qu'ils ne me font plus confiance. Qui puis-je ? Je ne peux m'en prendre qu'à moi-même. C'est donc les pieds dans le vide que je faisais face à ce problème sans avoir pour but de sauter. On pourrait croire de part mon mode vie plutôt drastique, que je n'ai aucune envie de me battre -contre quoi, je ne sais pas- ou de vivre, mais j'aime la vie. Il y a tant de choses à faire et à découvrir que même cent ans ne me suffirait pas pour explorer tout ce dont j'ai envie.
"Entre autre" Se serait la "punition" qui leur viendrait en première je penses. C'était tellement facile de séparer le Ying et le Yang. Nous étions un peu inséparable dorénavant. Jamais je n'aurais pensé cela possible, quelques années plus tôt.
Un rire s'échappa de ma gorge alors que je regardais tout autour de moi. "Ouais, mais vu qu'elle est invisible, bah je l'a perd tout le temps" Je devrais partir me cacher loin de part mes blagues nulles, mais si cela pouvait faire rire Sarah, j'étais prêt à en enchaîner des dizaines.
Notre petite escapade avait l'air de plaire à madame. J'étais rassuré qu'elle ne trouve pas cette idée ennuyeuse. Au pire, j'aurais profiter de la vue tout seul. "On peut en faire nos rendez-vous régulier" Mon regard se posa légèrement sur elle, alors que je lui souriais sincèrement. J'accueillais sa main sur la mienne avec plaisir, ce contact me réchauffant le coeur. A ce moment précis, je sentais qu'il se passait quelque chose entre nous. C'était encore trop vague et ambiguë pour préciser quoi exactement, mais c'était quelque chose d'unique. Le genre de chose qu'on ne vit qu'une fois. "Je suis fier de toi." répondis-je en toute simplicité suite à sa confession. C'est important de souligner les efforts au lieu de tout le temps se rappeler des chutes. "Tu es fortes, je sais que tu peux y arriver. Et...n'oublie jamais que je serais là, quoi qu'il arrive" Je déposais un doux baiser sur ses cheveux, alors que je vins entremêler nos doigts pour plus de contact. Jamais je ne l'abandonnerais. Je m'en faisais la promesse/
"Entre autre" Se serait la "punition" qui leur viendrait en première je penses. C'était tellement facile de séparer le Ying et le Yang. Nous étions un peu inséparable dorénavant. Jamais je n'aurais pensé cela possible, quelques années plus tôt.
Un rire s'échappa de ma gorge alors que je regardais tout autour de moi. "Ouais, mais vu qu'elle est invisible, bah je l'a perd tout le temps" Je devrais partir me cacher loin de part mes blagues nulles, mais si cela pouvait faire rire Sarah, j'étais prêt à en enchaîner des dizaines.
Notre petite escapade avait l'air de plaire à madame. J'étais rassuré qu'elle ne trouve pas cette idée ennuyeuse. Au pire, j'aurais profiter de la vue tout seul. "On peut en faire nos rendez-vous régulier" Mon regard se posa légèrement sur elle, alors que je lui souriais sincèrement. J'accueillais sa main sur la mienne avec plaisir, ce contact me réchauffant le coeur. A ce moment précis, je sentais qu'il se passait quelque chose entre nous. C'était encore trop vague et ambiguë pour préciser quoi exactement, mais c'était quelque chose d'unique. Le genre de chose qu'on ne vit qu'une fois. "Je suis fier de toi." répondis-je en toute simplicité suite à sa confession. C'est important de souligner les efforts au lieu de tout le temps se rappeler des chutes. "Tu es fortes, je sais que tu peux y arriver. Et...n'oublie jamais que je serais là, quoi qu'il arrive" Je déposais un doux baiser sur ses cheveux, alors que je vins entremêler nos doigts pour plus de contact. Jamais je ne l'abandonnerais. Je m'en faisais la promesse/
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
En toute honnêteté, je n’en voulais pas à Travis de ne pas pouvoir manger avec lui. Ce n’était pas entièrement sa faute alors être fâché pour cela n’en valait pas du tout la peine. Je n’allais pas non plus m’en prendre au personnel de l’hôpital, car mon colocataire avait sa part de responsabilité. En tout cas, j’espérais que cette situation ne durait pas trop longtemps puisque ça me pesait de plus en plus. L’envie de sortir et de rentrer augmentait de plus en plus en moi. Encore plus d’ailleurs en l’entendant parler de punition et du fait d’être séparé. Cette idée ne me convenait pas du tout. « S’ils font ça, je risque de ne pas être très agréable » Je savais qu’il ne pouvait pas avoir de visite donc si je sortais de là, je ne pourrais pas le voir alors être séparé.. Non. Ce n’était même pas négociable. Le ton s’allégeait en partant en taquinerie. « ça tombe sous le sens » pouffais-je pour essayer d’oublier le punition qui planait autour de nous. Ça faisait du bien de rire un peu et c’était le seul qui arrivait à faire cela. Je le remerciais silencieusement d’arriver à un tel miracle. Pourvu qu’il continue, j’adorais le chercher et ça semblait réciproque.
« Notre rendez-vous régulier ? » demandais-je doucement. Cette proposition me plaisait autant sur le fait que nous allions le refaire, tout comme de parler de « rendez-vous ». C’était nouveau pour moi. Mon cœur battait doucement alors que je me trouvais contre lui, ma main sur la sienne entrain de la caresser avec douceur. L’entendre dire qu’il était fier de moi me fit sourire de plus belle. « Ton arrivée soudaine a limité la dose.. » soufflais-je pour être totalement honnête. Pour le coup, ça m’avait permis de me reposer, mais j’avais pas été plus agréable durant le dîner pour autant. Soit, mon sandwich m’avait calé. « J’aimerais aussi que tu y arrives, Travis » avouais-je, pas encore certaine qu’il comprenne le pourquoi du comment. Son baiser me fit sourire et je serrais légèrement ses doigts, ravie de ce geste peu connu. « Moi aussi je suis là pour toi » lui dis-je en me redressant, posant ma main sur sa joue afin de tourner sa tête vers moi et l’embrasser.. tendrement, avec une délicatesse intense.
« Notre rendez-vous régulier ? » demandais-je doucement. Cette proposition me plaisait autant sur le fait que nous allions le refaire, tout comme de parler de « rendez-vous ». C’était nouveau pour moi. Mon cœur battait doucement alors que je me trouvais contre lui, ma main sur la sienne entrain de la caresser avec douceur. L’entendre dire qu’il était fier de moi me fit sourire de plus belle. « Ton arrivée soudaine a limité la dose.. » soufflais-je pour être totalement honnête. Pour le coup, ça m’avait permis de me reposer, mais j’avais pas été plus agréable durant le dîner pour autant. Soit, mon sandwich m’avait calé. « J’aimerais aussi que tu y arrives, Travis » avouais-je, pas encore certaine qu’il comprenne le pourquoi du comment. Son baiser me fit sourire et je serrais légèrement ses doigts, ravie de ce geste peu connu. « Moi aussi je suis là pour toi » lui dis-je en me redressant, posant ma main sur sa joue afin de tourner sa tête vers moi et l’embrasser.. tendrement, avec une délicatesse intense.
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Je souriais, alors que j'accueillais son baiser avec plaisir. C'était si plaisant d'être avec elle. J'essayais de nous imaginer séparé et je me rendais compte à quel point nous nous étions vraiment rapprocher en si peu de temps. L'imaginer exécrable face au reste du monde avec l'interdiction de se voir m'amusait. J'aime beaucoup lorsque quelqu'un s'attache à moi, je ne m'en cache, c'est toujours plaisant comme sensation.
Je ne lui avait demandé aucune explication suite à ce qu'elle avait fait quelques heures plus tôt et je ne lui en demanderais pas, elle viendrait d'elle même se confier et c'est d'ailleurs ce qu'elle commençait doucement à faire. "J'en suis ravi.." C'était le cas. Avais-je indirectement contrôlé sa dose ? On peut dire cela. Je savais que l'addiction de Sarah est quelque chose que je ne pourrais pas contrôler et qui m'échappera toute ma vie, mais j'essayais de l'accepter doucement.
Caressant délicatement sa main, un petit rire léger s'échappa de mes lèvres. "Même si on pourrait penser le contraire, je ne suis pas malade Sarah, c'est eux qui se montent le cerveau pour rien" Souriais-je en espérant qu'ils ne lui ont pas retourné le cerveau à elle aussi. "Je ne me sens pas malade, je vais très bien" Je croyais vraiment en mes paroles. Pour moi, il n'y a jamais rien eu qui clochait chez moi. L'anorexie à quelque fois été évoqué et en me renseignant, je me suis rendu compte d'un truc. Je ne me trouve pas gros, je n'ai pas spécialement envie de maigrir ou de mourir. Je suis juste un grand maniaque avec l'envie de tout contrôler. Absolument tout ! Avec l'envie qu'on me remarque de part ma maigreur sans doute.
Je ne lui avait demandé aucune explication suite à ce qu'elle avait fait quelques heures plus tôt et je ne lui en demanderais pas, elle viendrait d'elle même se confier et c'est d'ailleurs ce qu'elle commençait doucement à faire. "J'en suis ravi.." C'était le cas. Avais-je indirectement contrôlé sa dose ? On peut dire cela. Je savais que l'addiction de Sarah est quelque chose que je ne pourrais pas contrôler et qui m'échappera toute ma vie, mais j'essayais de l'accepter doucement.
Caressant délicatement sa main, un petit rire léger s'échappa de mes lèvres. "Même si on pourrait penser le contraire, je ne suis pas malade Sarah, c'est eux qui se montent le cerveau pour rien" Souriais-je en espérant qu'ils ne lui ont pas retourné le cerveau à elle aussi. "Je ne me sens pas malade, je vais très bien" Je croyais vraiment en mes paroles. Pour moi, il n'y a jamais rien eu qui clochait chez moi. L'anorexie à quelque fois été évoqué et en me renseignant, je me suis rendu compte d'un truc. Je ne me trouve pas gros, je n'ai pas spécialement envie de maigrir ou de mourir. Je suis juste un grand maniaque avec l'envie de tout contrôler. Absolument tout ! Avec l'envie qu'on me remarque de part ma maigreur sans doute.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Avec : Travis C. Gaultier
Embrasser Travis me faisait le plus grand bien. Chacun de ces instants me rendait heureuse et je n’avais pas envie de laisser partir cette sensation. Je ne souhaitais pas chercher plus loin pour le moment car me braquer et fuir n’étaient pas dans mes projets.. Autant ne pas me prendre la tête et vivre le moment présent avec lui. Nous retrouver comme des voleurs sur le toit de l’hôpital m’angoissait un peu puisque nous pourrions avoir des ennuis, mais rien ne remplacerait cet instant. Nous étions tellement bien ici que j’allais avoir du mal à rejoindre ma chambre, sans lui. En parlant de celle-ci, je me confiais légèrement à lui en lui avouant que son irruption brusque avait amoindri mon geste. Je souriais à sa remarque, sans rien ajouter. Pourquoi ? Car si cette situation venait à se réitérer, ça ne sera probablement pas le cas à chaque fois. Ce n’est pas que j’imagine déjà reprendre de la drogue, mais je savais que ce n’était qu’une question de temps. Soyons honnête. Lui se bat tous les jours contre la nourriture, moi contre l’envie d’être ailleurs et de me sentir plus forte.
Son rire m’interloqua car je ne voyais pas ce qu’il y avait de drôle à ce que je lui dise que j’étais là pour sa maladie. Ses mots me choquèrent. « Ôte moi d’un doute.. Tu penses que je suis la seule à avoir un problème d’addiction, de nous deux ? » Oui, j’étais fâchée alors je retirais doucement ma main, tout en gardant un ton calme et posé. « J’admets avoir un souci avec la drogue et toi, tu penses n’en avoir aucun avec la nourriture ? » Je restais la plus calme possible. Autant dire que c’était très compliqué. « On est exactement pareil, Travis » souriais-je doucement en me tournant vers lui. « La drogue me permet d’être plus forte, avoir un caractère puissant et j’ai l’impression de tout contrôler avec : ma vie, mes habitudes, les hommes.. » soufflais-je. « Tu fais la même chose avec la nourriture : ne pas manger, alors que c’est un besoin vital, c’est un challenge personnel. Tu te dis qu’en ne mangeant pas, tu te prouves qu’il n’y en a pas besoin et tu fausses ton cerveau et ton corps à croire ça » murmurais-je. Il n’aimerait pas mes paroles, mais encore moins mes actes.
« Tu connais le problème avec le contrôle ? » demandais-je alors que mon regard se perdait dans l’horizon. « C’est que dans il nous échappe, on a deux solutions : l’accepter ou le fuir » Je posais une main sur son genou pour pouvoir me relever, au bord du bâtiment. « J’ai longtemps fui et j’aimerais que ça n’arrive plus, alors je dois accepter de parfois perdre le contrôle, d’être moi sans prendre de drogue » Regardant le sol, je ne le distinguais pas bien avec la nuit sombre mais je savais qu’il était là. Bien présent, à quelques mètres de là. « Si je décide de sauter, que comptes-tu faire ? » murmurais-je à son attention. Si j’étais sérieuse ? Bien sûr. Je n’avais pas grand-chose dans la vie, donc ça ne serait pas un souci d’y mettre fin. Non pas que je n’aime pas vivre, mais n’est-ce pas mieux après la mort ? Après tout, personne n’en ai jamais revenu.
Son rire m’interloqua car je ne voyais pas ce qu’il y avait de drôle à ce que je lui dise que j’étais là pour sa maladie. Ses mots me choquèrent. « Ôte moi d’un doute.. Tu penses que je suis la seule à avoir un problème d’addiction, de nous deux ? » Oui, j’étais fâchée alors je retirais doucement ma main, tout en gardant un ton calme et posé. « J’admets avoir un souci avec la drogue et toi, tu penses n’en avoir aucun avec la nourriture ? » Je restais la plus calme possible. Autant dire que c’était très compliqué. « On est exactement pareil, Travis » souriais-je doucement en me tournant vers lui. « La drogue me permet d’être plus forte, avoir un caractère puissant et j’ai l’impression de tout contrôler avec : ma vie, mes habitudes, les hommes.. » soufflais-je. « Tu fais la même chose avec la nourriture : ne pas manger, alors que c’est un besoin vital, c’est un challenge personnel. Tu te dis qu’en ne mangeant pas, tu te prouves qu’il n’y en a pas besoin et tu fausses ton cerveau et ton corps à croire ça » murmurais-je. Il n’aimerait pas mes paroles, mais encore moins mes actes.
« Tu connais le problème avec le contrôle ? » demandais-je alors que mon regard se perdait dans l’horizon. « C’est que dans il nous échappe, on a deux solutions : l’accepter ou le fuir » Je posais une main sur son genou pour pouvoir me relever, au bord du bâtiment. « J’ai longtemps fui et j’aimerais que ça n’arrive plus, alors je dois accepter de parfois perdre le contrôle, d’être moi sans prendre de drogue » Regardant le sol, je ne le distinguais pas bien avec la nuit sombre mais je savais qu’il était là. Bien présent, à quelques mètres de là. « Si je décide de sauter, que comptes-tu faire ? » murmurais-je à son attention. Si j’étais sérieuse ? Bien sûr. Je n’avais pas grand-chose dans la vie, donc ça ne serait pas un souci d’y mettre fin. Non pas que je n’aime pas vivre, mais n’est-ce pas mieux après la mort ? Après tout, personne n’en ai jamais revenu.
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Le manque de contact sur ma main stoppa net mes pensées, alors que mon regard se posa sur elle. Si je m'attendais à un tel discours ? Absolument pas et je crois que je lui avais en quelque sorte transmit mon calme et ma sérénité en vue de sa façon de me parler. Elle n'avait peut-être pas totalement tord dans ce qu'elle me disait. Ce besoin de toujours tout contrôler, viser encore plus la perfection, prouver au monde entier que j'arrive à faire des choses qu'eux n'arrivent pas à faire. Et puis, cette fierté que je ressens lorsque les gens sont admiratif sur le fait que j'arrive à me passer de nourriture. Car oui, il y en a. Ses filles qui envient ma taille de mannequin qui est descendue à zéro. Je ne peux à chaque fois sourire et me challenger encore plus. Cela ne fait pas de moi quelqu'un de malade.
"Je suis un peu maniaque et stricte avec moi-même, mais c'est parce que j'ai quelques toques" avouais-je, alors qu'elle se relevait à l'aide de mon genoux. Au bord du précipice, je l'a voyais regarder l'horizon. "La drogue tue, car c'est chimique à pouvoir hallucinogène. L'obésité tue, car ton coeur se retrouve étouffer dans un amas de graisse toxique, mais être mince, courir et opter pour un mode de vie diététique, je n'ai lu nulle part que ça pouvait tuer quelqu'un" Je me relevais à mon tour pour me positionner derrière elle, enlever sa taille et poser mon menton sur son épaule. "Même si on pourrait le croire et je sais ce que tu peux penser, je ne suis pas anorexique" Disais-je en souriant, alors qu'on se trouvait peut-être un peu trop près du bord. "Si tu saute, tu m'emmène avec toi. On s'enverra en l'air ensemble comme ça" J'étais bien, debout, Sarah contre moi, à sentir son petit coeur battre.
"Je suis un peu maniaque et stricte avec moi-même, mais c'est parce que j'ai quelques toques" avouais-je, alors qu'elle se relevait à l'aide de mon genoux. Au bord du précipice, je l'a voyais regarder l'horizon. "La drogue tue, car c'est chimique à pouvoir hallucinogène. L'obésité tue, car ton coeur se retrouve étouffer dans un amas de graisse toxique, mais être mince, courir et opter pour un mode de vie diététique, je n'ai lu nulle part que ça pouvait tuer quelqu'un" Je me relevais à mon tour pour me positionner derrière elle, enlever sa taille et poser mon menton sur son épaule. "Même si on pourrait le croire et je sais ce que tu peux penser, je ne suis pas anorexique" Disais-je en souriant, alors qu'on se trouvait peut-être un peu trop près du bord. "Si tu saute, tu m'emmène avec toi. On s'enverra en l'air ensemble comme ça" J'étais bien, debout, Sarah contre moi, à sentir son petit coeur battre.
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Avec : Travis C. Gaultier
Plus je parlais, plus je me disais que Travis allait comprendre de quoi je parlais et où je voulais en venir. Nos discussions sur mon addiction m’avaient aidé même si je ne m’étais pas ouverte à cent pour cent, mais j’aimerais qu’il fasse un pas vers moi. Juste me prouver qu’en venant ici, je n’attendais pas face à un être humain totalement buté qui se voile la face. Autant dire que je tombais de haut, uniquement psychologiquement pour le moment. Plus il reniait le fait d’avoir un problème, plus ça m’énervait vraiment. Si je ne commençais pas encore à trembler, c’est parce que ma dernière prise ne datait pas s’il y a très longtemps et que je tentais de prendre sur moi. Une grande première. Je ne tardais pas à me relever, les pieds proches du vide. Ses paroles m’agaçaient de plus en plus. Que ne comprenait-il pas quant au fait que son état de santé portait à problème ? Il était passé à deux doigts de la mort pour une crise cardiaque mais ça, ça ne le stressait pas. Autant dire que ça montait en moi et que ça n’allait pas se calmer. Vraiment pas.
Même son étreinte ne me réchauffait pas le cœur. En fait, ça me brisait d’entendre Travis dire de telles bêtises. « Je ne suis pas anorexique ». « C’est le premier mensonge que tu me dis depuis que l’on se connait » lâchais-je, d’une manière assez désagréable. « Je n’ai pas envie de rire, Travis » Je me tournais dans ses bras pour le pousser et rejoindre le sol du toit, l’obligeant à me lâcher. « Ta manière de réagir est totalement égoïste » claquais-je, moins gentille. « Je ne t’en veux pas, c’est la nature humaine, mais là, tu me prends pour une idiote et tu te voiles la face » Je secouais doucement la tête. « Si tu ne comprends pas ainsi, je te ferais comprendre d’une autre manière et n’ose surtout pas me le reprocher » De légers tremblements revenaient à la surface et je ne savais pas comment réagir. « Et ça semble te faire rire, mais j’ai envie de " m’envoyer en l’air " avec toi une prochaine fois, mais hors de question que ça te mette en danger, au cas où tu l’aurais oublié » Afin de clore le sujet, je préférais prendre mes affaires et m’éloigner de lui, prête à partir du toit. Tu parles d’un rendez-vous..
Même son étreinte ne me réchauffait pas le cœur. En fait, ça me brisait d’entendre Travis dire de telles bêtises. « Je ne suis pas anorexique ». « C’est le premier mensonge que tu me dis depuis que l’on se connait » lâchais-je, d’une manière assez désagréable. « Je n’ai pas envie de rire, Travis » Je me tournais dans ses bras pour le pousser et rejoindre le sol du toit, l’obligeant à me lâcher. « Ta manière de réagir est totalement égoïste » claquais-je, moins gentille. « Je ne t’en veux pas, c’est la nature humaine, mais là, tu me prends pour une idiote et tu te voiles la face » Je secouais doucement la tête. « Si tu ne comprends pas ainsi, je te ferais comprendre d’une autre manière et n’ose surtout pas me le reprocher » De légers tremblements revenaient à la surface et je ne savais pas comment réagir. « Et ça semble te faire rire, mais j’ai envie de " m’envoyer en l’air " avec toi une prochaine fois, mais hors de question que ça te mette en danger, au cas où tu l’aurais oublié » Afin de clore le sujet, je préférais prendre mes affaires et m’éloigner de lui, prête à partir du toit. Tu parles d’un rendez-vous..
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Je n'étais tellement pas prêt à une telle réaction de sa part. Je crois que l'on peut dire que c'est notre première "dispute" je tombais de haut -même si l'on avait pas sauté- j'accusais le coup en acceptant qu'elle me repousse. Suis-je égoïste ou alors complètement inconscient de ce que je fais ? Je ne m'étais jusqu'à aujourd'hui, jamais posé la question. "Part pas" J'avais tout aussi vite perdu tout sourire, alors que je tentais de l'a faire rester. "S'il te plait" c'était la première fois que je partageais ce petit moment sur le toit avec quelqu'un puisque j'ai toujours été seul durant mes séjours à l'hôpital.
Mon regard se posa sur le sol et plus précisément sur le sac de nourriture que j'avais ramené. "Regarde" Je m'approchais du sac, probablement les mains tremblant, comme elle, lorsqu'elle commence à ressentir un certain manque. Je m’emparais de la nourriture pour avaler l'intégralité de ce que j'avais ramené en un temps record, n'attendant même pas d'avoir fini d'avaler pour gober le reste. "Tu vois je mange ! Je vais bien" Les larmes aux yeux, je finissais les sachets. "Contente ?!" Je quittais de le toit déboussolé pour regagner ma chambre en courant.
Je m'enfermais dans ma chambre -bien grand moment quand on n'a pas de serrure- en tentant de me calmer. Combien de calorie avais-je ingérées ? Combien de kilos allais-je prendre ? Mon estomac ne le supportait tout simplement pas. Prenant ma poubelle de chambre, je rendais l'intégralité de ce qu'on pouvait appeler "crise de boulimie" Et voilà, j'allais encore me faire engueuler demain matin par le service. De toute façon ? Qu'est-ce qu'il pouvait me retirer de plus que ma liberté ?
Mon regard se posa sur le sol et plus précisément sur le sac de nourriture que j'avais ramené. "Regarde" Je m'approchais du sac, probablement les mains tremblant, comme elle, lorsqu'elle commence à ressentir un certain manque. Je m’emparais de la nourriture pour avaler l'intégralité de ce que j'avais ramené en un temps record, n'attendant même pas d'avoir fini d'avaler pour gober le reste. "Tu vois je mange ! Je vais bien" Les larmes aux yeux, je finissais les sachets. "Contente ?!" Je quittais de le toit déboussolé pour regagner ma chambre en courant.
Je m'enfermais dans ma chambre -bien grand moment quand on n'a pas de serrure- en tentant de me calmer. Combien de calorie avais-je ingérées ? Combien de kilos allais-je prendre ? Mon estomac ne le supportait tout simplement pas. Prenant ma poubelle de chambre, je rendais l'intégralité de ce qu'on pouvait appeler "crise de boulimie" Et voilà, j'allais encore me faire engueuler demain matin par le service. De toute façon ? Qu'est-ce qu'il pouvait me retirer de plus que ma liberté ?
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Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Cette situation me brisait. Dire que nous étions venus pour passer du bon temps ensemble, et voilà que l’on se déchire. Ses demandes me firent ralentir alors que j’avais pour but de quitter le toit. Je n’avais pas envie de quitter Travis ainsi ce soir et que nous resterions en froid durant des jours. Pourtant, j’avais l’impression que c’était ce qui allait arriver. À son « regarde », je fis volte face et ce que je vis me rendit très mal. Ce n’est pas ce que je voulais, loin de là. Je n’osais rien dire, sachant que ça empirait encore davantage les choses. Ses yeux étaient baignés de larmes et je n’eus pas le temps de le retenir qu’il était déjà parti loin de moi. Mes tremblements avaient songé à se calmer alors que je nettoyais le toit et que je mettais le tout à la poubelle. Je croisais une infirmière dans le couloir qui me fit une remarque sur l’heure. Mes yeux brillants la convainquirent de me laisser continuer ma route vers la chambre de mon colocataire. Je ne voulais pas rester là-dessus. Je n’avais pas envie que ça se finisse déjà, alors que tout commençait à peine. Oui, je m’étais attachée à lui et voilà pourquoi j’avais si peur de le faire. «L'attachement est une absurdité, une incitation à la douleur. Les êtres s'attachent et deviennent dépendants les uns des autres à tel point que lorsque l'un vient a partir, le monde s'écroule autour de l'autre .» (-Marc Levy)
Tapant doucement à sa porte, je me refusais à rentrer si Travis n’ouvrait pas. J’en avais largement fait assez pour ce soir. « Pardon » murmurais-je assez fort pour qu’il puisse m’entendre à travers le bois. « Je ne voulais pas te brusquer et encore moins de te faire vivre une telle épreuve » rajoutais-je. « Je ne retirais pas ce que j’ai dit car c’est ce que je pense. On n’a beau ne pas être au même étage, être admis ici signifie que l’on a une addiction, peu importe laquelle. On est tous au même niveau » C’était mon avis, mais je m’y tenais. « Je.. j’espère pouvoir te voir demain, je n’ai pas envie que ça s’arrête.. » avouais-je tout bas, gênée de m’ouvrir comme ça, face à une porte. « Repose toi, Travis » dis-je avant de tourner les talons et de rejoindre ma chambre. Je n’avais pas dormi de la nuit et le manque m’avait tenu compagnie pour éviter de me faire sombrer dans d’affreux cauchemars. Plus j’y songeais, plus je me demandais ce que je faisais là. S’il ne voulait pas changer, il allait rester là un long moment et si je sortais avant lui, je ne pourrais plus le voir. Forcément, l’évidence était là : il fallait que je continue, que je prolonge une addiction pour ne pas sortir avant lui. S’en rendait-il compte ?
_______Lendemain matin
Il devait être très tôt, cinq heures mais je ne tenais plus. Je tuerais pour avoir une cape d’invisibilité car je ne savais pas comment, mais j’avais réussi à éviter tous les infirmiers et médecins. D’une discrétion que je ne connaissais pas, je m’introduisais dans la chambre de Travis et à l’odeur, je savais qu’il avait passé une mauvaise nuit. Je me sentais en partie responsable, mais nous étions à égalité lui et moi. Doucement, je me glissais dans son lit, alors qu’il me tournait le dos. Passant un bras autour de lui, son parfum à lui me rassurait et je pourrais dormir sur-le-champ tant je me sentais bien en cet instant. Je savais que ça n’allait pas être pareil quand il se réveillerait, mais si lui pouvait être égoïste, j’allais faire pareil. Glissant ma main dans la sienne, j’entremêlais nos doigts. Tout avait si bien commencé hier et ces gestes me manquaient déjà. Je n’avais pas envie de tout arrêter ou reculer dan ce que nous avions débuté ensemble. Prête à dormir, je le sentis bouger et j’espérais qu’il ne se réveille pas tout de suite. Apparemment, ce ne fut pas le cas donc.. Je me laissais entraîner dans les bras de Morphée pour dormir.. une ou deux heures avant de me faire réveiller par une dame peu agréable. « Mademoiselle, vous êtes priés de sortir » ça doit être son infirmière du petit déjeuner. Je baillais doucement, ayant tellement peu de dormi avant de me relever en douceur. « J’en parlerais à votre référente » Réaction ? Un doigt d’honneur. Quoi ? Je ne suis pas du matin..
Tapant doucement à sa porte, je me refusais à rentrer si Travis n’ouvrait pas. J’en avais largement fait assez pour ce soir. « Pardon » murmurais-je assez fort pour qu’il puisse m’entendre à travers le bois. « Je ne voulais pas te brusquer et encore moins de te faire vivre une telle épreuve » rajoutais-je. « Je ne retirais pas ce que j’ai dit car c’est ce que je pense. On n’a beau ne pas être au même étage, être admis ici signifie que l’on a une addiction, peu importe laquelle. On est tous au même niveau » C’était mon avis, mais je m’y tenais. « Je.. j’espère pouvoir te voir demain, je n’ai pas envie que ça s’arrête.. » avouais-je tout bas, gênée de m’ouvrir comme ça, face à une porte. « Repose toi, Travis » dis-je avant de tourner les talons et de rejoindre ma chambre. Je n’avais pas dormi de la nuit et le manque m’avait tenu compagnie pour éviter de me faire sombrer dans d’affreux cauchemars. Plus j’y songeais, plus je me demandais ce que je faisais là. S’il ne voulait pas changer, il allait rester là un long moment et si je sortais avant lui, je ne pourrais plus le voir. Forcément, l’évidence était là : il fallait que je continue, que je prolonge une addiction pour ne pas sortir avant lui. S’en rendait-il compte ?
_______Lendemain matin
Il devait être très tôt, cinq heures mais je ne tenais plus. Je tuerais pour avoir une cape d’invisibilité car je ne savais pas comment, mais j’avais réussi à éviter tous les infirmiers et médecins. D’une discrétion que je ne connaissais pas, je m’introduisais dans la chambre de Travis et à l’odeur, je savais qu’il avait passé une mauvaise nuit. Je me sentais en partie responsable, mais nous étions à égalité lui et moi. Doucement, je me glissais dans son lit, alors qu’il me tournait le dos. Passant un bras autour de lui, son parfum à lui me rassurait et je pourrais dormir sur-le-champ tant je me sentais bien en cet instant. Je savais que ça n’allait pas être pareil quand il se réveillerait, mais si lui pouvait être égoïste, j’allais faire pareil. Glissant ma main dans la sienne, j’entremêlais nos doigts. Tout avait si bien commencé hier et ces gestes me manquaient déjà. Je n’avais pas envie de tout arrêter ou reculer dan ce que nous avions débuté ensemble. Prête à dormir, je le sentis bouger et j’espérais qu’il ne se réveille pas tout de suite. Apparemment, ce ne fut pas le cas donc.. Je me laissais entraîner dans les bras de Morphée pour dormir.. une ou deux heures avant de me faire réveiller par une dame peu agréable. « Mademoiselle, vous êtes priés de sortir » ça doit être son infirmière du petit déjeuner. Je baillais doucement, ayant tellement peu de dormi avant de me relever en douceur. « J’en parlerais à votre référente » Réaction ? Un doigt d’honneur. Quoi ? Je ne suis pas du matin..
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 3130
Messages : 355
Date d'inscription : 03/04/2018
Avatar : Louis Tomlinson
Crédits : jukeboxe
Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : nothing
Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Mes larmes, j'avais arrêté de les compter et je tentais de les étouffer en entendant la voix de Sarah derrière cette pote. Lui ouvrir me paraissait impossible, au-dessus de mes moyens. Elle ne méritait pas de me voir ainsi et je n'avais même pas la force de me relever. Et si j'avais réellement un problème ? Je connaissais cette situation depuis tant d'année sans que personne ne me dise quoi que ce soit, même pas mes propres parents et là, après plus de dix ans, on me dit que j'ai vraiment un problème ? Peu de temps après qu'elle soit partie, j'avais continue à déverser toute ma haine et mes larmes pour au final tomber littéralement de fatigue dans les bras de Morphée, emmitouflé dans mes couvertures, car je mourrais de froid, à bout de force.
-----Le lendemain
Je n'avais aucune envie de me réveiller et pourtant, je n'étais pas dupe, j'avais sentie une légère chaleur corporelle se coller à moi et je doute que cela soit une infirmière. Au quel cas, à appelez la police. Je souriais dans mon sommeil, incapable de me réveiller. Son souffle se valait plus calme pour m'indiquer qu'elle avait à son tour, trouver le sommeil dont elle avait besoin. Trop vite interrompu par le service du matin.
Je me tournais légèrement pour entrapercevoir Sarah s'en aller et faire face à mon petit déjeuner. Je n'avais pas échappé aux reproches du vomis dans ma poubelle, alors que je m'étais forcé à manger mon repas. Repas qui dura une éternité puisque je n'avais aucune force ce matin, je mourrais littéralement de froid et je voulais juste Sarah au final.
Deux grosses paires de chaussettes en pilou, deux sweat, deux joggings et un gros plaid, j'étais paré pour descendre avec tout mon attirail pour rejoindre le salon. J'étais rassuré d'y voir Sarah, légèrement épuisé apparemment. "Moi aussi je n'ai pas envie que ça s'arrête" avouais-je en référence à ce qu'elle m'avait dit hier soir. "Je vais être honnête avec toi" je me pris place en me mettant en tailleur face à elle. "J'ai opté ce mode de vie depuis presque dix ans et mes parents ne l'ont remarqué que quatre ans après sans jamais rien me dire. Même aujourd'hui d'ailleurs. Pour moi c'est quelque chose de totalement anodin et inoffensif. Je sais ce que je fais. Tout est sous contrôle" J'esquivais un fin sourire fatigué sa ma petite princesse.
-----Le lendemain
Je n'avais aucune envie de me réveiller et pourtant, je n'étais pas dupe, j'avais sentie une légère chaleur corporelle se coller à moi et je doute que cela soit une infirmière. Au quel cas, à appelez la police. Je souriais dans mon sommeil, incapable de me réveiller. Son souffle se valait plus calme pour m'indiquer qu'elle avait à son tour, trouver le sommeil dont elle avait besoin. Trop vite interrompu par le service du matin.
Je me tournais légèrement pour entrapercevoir Sarah s'en aller et faire face à mon petit déjeuner. Je n'avais pas échappé aux reproches du vomis dans ma poubelle, alors que je m'étais forcé à manger mon repas. Repas qui dura une éternité puisque je n'avais aucune force ce matin, je mourrais littéralement de froid et je voulais juste Sarah au final.
Deux grosses paires de chaussettes en pilou, deux sweat, deux joggings et un gros plaid, j'étais paré pour descendre avec tout mon attirail pour rejoindre le salon. J'étais rassuré d'y voir Sarah, légèrement épuisé apparemment. "Moi aussi je n'ai pas envie que ça s'arrête" avouais-je en référence à ce qu'elle m'avait dit hier soir. "Je vais être honnête avec toi" je me pris place en me mettant en tailleur face à elle. "J'ai opté ce mode de vie depuis presque dix ans et mes parents ne l'ont remarqué que quatre ans après sans jamais rien me dire. Même aujourd'hui d'ailleurs. Pour moi c'est quelque chose de totalement anodin et inoffensif. Je sais ce que je fais. Tout est sous contrôle" J'esquivais un fin sourire fatigué sa ma petite princesse.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 11/03/2018
Avatar : Eleanor Calder
Crédits : © bbchat
Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Pourquoi ne pouvions-nous pas être proches ? D’autant plus que nous ne faisions pas voir en public alors je ne voyais réellement pas où était le problème. Il devrait construire des mini-appartements pour les gens qui passent du temps ensemble – non, je n’utiliserais pas le mot étiquette pour qualifier ces personnes – histoire de leur foutre la paix et de leur laisser un peu d’intimité. Surtout que je ne faisais que dormir contre Travis, rien de plus. Réveillée trop vite, je n’allais pas pouvoir surpasser ma mauvaise humeur de sitôt. Partant de sa chambre sans un regard vers la vieille peau qui le regardait manger, j’allais dans ma chambre pour me changer et me préparer pour la journée. Une fois prête, je prenais le chemin du self sans grande motivation. Me servant un thé, je refusais tout simplement de manger, malgré les menaces d’une infirmière. Je haussais tout simplement les épaules, peu impressionnée par ce qu’elle pouvait dire. « Nous pouvons aussi vous interdire d’échanger ou de voir les autres patients » Forcément, comment voulez-vous que ça se passe bien ? Ma tasse volait dans la pièce alors que je partais en insultant tout le monde – pour une fois, tout le monde pouvait entendre le son de ma voix – avant de me réfugier dans le salon que proposait l’hôpital. Prenant place dans un fauteuil, je ruminais les paroles de l’infirmière encore et encore.
Jusqu’à ce que Travis entre dans la pièce. Je ravalais mon sourire en ne sachant pas bien comment nous allions commencer la journée, lui et moi. Je tremblais légèrement, mais le son de sa voix eut le don de me calmer doucement. Nous étions d’accord : notre relation ne pouvait pas s’arrêter ainsi. J’étais tellement rassurée que je devais sourire comme une idiote. Me calant dans le sofa, je le regardais prendre place en face de moi, sur le canapé, apparemment désireux de discuter calmement. Je l’écoutais, tentant de ne pas m’agacer sur la fin. Il venait de se confier pour la première fois alors autant l’encourager. Lui le faisait, pourquoi ne pourrais-je pas le faire à mon tour ? Baillant doucement, je me relevais pour venir me mettre sur lui. À califourchon. Même s’il n’y avait actuellement aucun personnel dans le salon, je savais qu’il y avait une caméra de sécurité et que j’allais me faire très vite reprendre. Je les attendais, j’étais en forme. « Je pense que l’on a eu le même genre de parents qui ne faisaient pas attention à leurs enfants comme ils le devraient » lui avouais-je en parlant pour la première fois, moi aussi, de mes géniteurs. Je ne devais pas leur avoir adressé la parole depuis des années et ils ne me manquaient pas le moins du monde.
Doucement, je venais caresser ses cheveux sans bouger de ma position. « Même s’ils n’ont rien remarqué, ou très tard, ou rien dit, ce n’est pas parce que c’est normal, tu vois ? » murmurais-je. « Je te jure que je ne ferais pas tout cela si c’était inoffensif pour toi, Travis » Soupirant doucement, je venais me coller totalement contre lui. Oui, je suis en manque de contact physique alors je comble le vide comme je peux. « Mon but n’est pas de t’engraisser ou ce genre de truc, mais c’est nécessaire de manger.. Je te le promets.. » soufflais-je avant de passer totalement à autre chose. Je n’avais pas envie que tout reparte en dispute et j’avais oublié les foutues règles de cet établissement. Tout contre lui, je lui adressais un tendre sourire avant de venir l’embrasser avec fougue. Une voix résonnait dans la pièce, par un haut parleur. « Mademoiselle Whitehead, vous êtes priées de vous tenir correctement » J’ignorais totalement la remarque, trop bien contre mon colocataire à l’embrasser à en perdre toute notion. J’avais du mal à me canaliser car concrètement.. J’avais passé une partie de la nuit à me rappeler notre dernière fois ensemble et j’avais du mal à m’en passer. Il me faisait tourner la tête et mon cœur ainsi que mon cerveau avaient du mal à tenir la cadence. Mon beau brun avait réussi à devenir bien plus important que n’importe quel homme et je ne souhaitais pas que ça change.
« Sarah, dans mon bureau, tout de suite ! » Cette fois, c’était la voix de Rachel qui résonnait dans le haut parleur. Doucement, je me détachais des lèvres envoutantes de Travis, non sans sourire. « Je vais me faire gronder » pouffais-je contre lui, alors que j’aurais surtout besoin d’une douche froide pour me calmer les idées. Posant une dernière fois mes lèvres contre les siennes, je me relevais en douceur. « Merci de t’être confié » lui dis-je, fière de lui. « On se rejoint dans le parc, à la pause ? » proposais-je posément. J’espérais que mon petit manège ne nous interdise pas de nous voir, mais j’avais quelques doutes, surtout avec mon absence de prise de repas. Me frottant les yeux, je partais vers le bureau de ma psychologue, non sans traîner des pieds pour éviter de me faire crier dessus trop vite. « Assieds-toi » Son ton était plus sec que d’habitude. « Tu te souviens qu’il y a des règles ici ? » Je haussais les épaules, fatiguée de me le faire rappeler. « Si tu t’en moques, soit il y en aura plus, soit tu vas être transférée ailleurs » Je fronçais les sourcils. « Dans un autre étage ? » « Non, dans un autre établissement » Je me braquais sur-le-champ.
« Vous n’avez pas le droit, je suis venue ici de mon plein gr- » « Au départ, oui, mais ton état ne s’améliore pas » Je ne pus m’empêcher de rire. « Vous vous moquez de moi ? Je ne me dr- » « Ne me mens pas, Sarah » Je me renfrognais, agacée. Comment pouvait-elle savoir ça ? « Tu crois que l’on ne se rend pas compte quand quelque chose disparaît ici ? Même une infime quantité ? » J’osais espérer, oui. « Ce n’est même pas ça le plus grand problème, mais ton arrêt de te nourrir » « C’est faut ! J’ai mangé hier soir ! » m’emportais-je avant de me mordre la langue en la voyant sourire. « Ah oui ? À la cantine ? Sinon.. où d’autre ? » Je soupirais bruyamment, agacée au plus haut point de sa façon de me piéger si facilement. « J’ai pas envie d’en parler » « Il va bien falloir, car si l’état de Travis joue sur le tien, tu ne vas pas pouvoir continuer à le fréquenter » Les larmes montèrent avec une vitesse fulgurante. « Si vous faites ça, vous aurez ma mort sur la conscience » fis-je en guise de menace avant de partir en claquant la porte, avant d’aller dans le parc.
Jusqu’à ce que Travis entre dans la pièce. Je ravalais mon sourire en ne sachant pas bien comment nous allions commencer la journée, lui et moi. Je tremblais légèrement, mais le son de sa voix eut le don de me calmer doucement. Nous étions d’accord : notre relation ne pouvait pas s’arrêter ainsi. J’étais tellement rassurée que je devais sourire comme une idiote. Me calant dans le sofa, je le regardais prendre place en face de moi, sur le canapé, apparemment désireux de discuter calmement. Je l’écoutais, tentant de ne pas m’agacer sur la fin. Il venait de se confier pour la première fois alors autant l’encourager. Lui le faisait, pourquoi ne pourrais-je pas le faire à mon tour ? Baillant doucement, je me relevais pour venir me mettre sur lui. À califourchon. Même s’il n’y avait actuellement aucun personnel dans le salon, je savais qu’il y avait une caméra de sécurité et que j’allais me faire très vite reprendre. Je les attendais, j’étais en forme. « Je pense que l’on a eu le même genre de parents qui ne faisaient pas attention à leurs enfants comme ils le devraient » lui avouais-je en parlant pour la première fois, moi aussi, de mes géniteurs. Je ne devais pas leur avoir adressé la parole depuis des années et ils ne me manquaient pas le moins du monde.
Doucement, je venais caresser ses cheveux sans bouger de ma position. « Même s’ils n’ont rien remarqué, ou très tard, ou rien dit, ce n’est pas parce que c’est normal, tu vois ? » murmurais-je. « Je te jure que je ne ferais pas tout cela si c’était inoffensif pour toi, Travis » Soupirant doucement, je venais me coller totalement contre lui. Oui, je suis en manque de contact physique alors je comble le vide comme je peux. « Mon but n’est pas de t’engraisser ou ce genre de truc, mais c’est nécessaire de manger.. Je te le promets.. » soufflais-je avant de passer totalement à autre chose. Je n’avais pas envie que tout reparte en dispute et j’avais oublié les foutues règles de cet établissement. Tout contre lui, je lui adressais un tendre sourire avant de venir l’embrasser avec fougue. Une voix résonnait dans la pièce, par un haut parleur. « Mademoiselle Whitehead, vous êtes priées de vous tenir correctement » J’ignorais totalement la remarque, trop bien contre mon colocataire à l’embrasser à en perdre toute notion. J’avais du mal à me canaliser car concrètement.. J’avais passé une partie de la nuit à me rappeler notre dernière fois ensemble et j’avais du mal à m’en passer. Il me faisait tourner la tête et mon cœur ainsi que mon cerveau avaient du mal à tenir la cadence. Mon beau brun avait réussi à devenir bien plus important que n’importe quel homme et je ne souhaitais pas que ça change.
« Sarah, dans mon bureau, tout de suite ! » Cette fois, c’était la voix de Rachel qui résonnait dans le haut parleur. Doucement, je me détachais des lèvres envoutantes de Travis, non sans sourire. « Je vais me faire gronder » pouffais-je contre lui, alors que j’aurais surtout besoin d’une douche froide pour me calmer les idées. Posant une dernière fois mes lèvres contre les siennes, je me relevais en douceur. « Merci de t’être confié » lui dis-je, fière de lui. « On se rejoint dans le parc, à la pause ? » proposais-je posément. J’espérais que mon petit manège ne nous interdise pas de nous voir, mais j’avais quelques doutes, surtout avec mon absence de prise de repas. Me frottant les yeux, je partais vers le bureau de ma psychologue, non sans traîner des pieds pour éviter de me faire crier dessus trop vite. « Assieds-toi » Son ton était plus sec que d’habitude. « Tu te souviens qu’il y a des règles ici ? » Je haussais les épaules, fatiguée de me le faire rappeler. « Si tu t’en moques, soit il y en aura plus, soit tu vas être transférée ailleurs » Je fronçais les sourcils. « Dans un autre étage ? » « Non, dans un autre établissement » Je me braquais sur-le-champ.
« Vous n’avez pas le droit, je suis venue ici de mon plein gr- » « Au départ, oui, mais ton état ne s’améliore pas » Je ne pus m’empêcher de rire. « Vous vous moquez de moi ? Je ne me dr- » « Ne me mens pas, Sarah » Je me renfrognais, agacée. Comment pouvait-elle savoir ça ? « Tu crois que l’on ne se rend pas compte quand quelque chose disparaît ici ? Même une infime quantité ? » J’osais espérer, oui. « Ce n’est même pas ça le plus grand problème, mais ton arrêt de te nourrir » « C’est faut ! J’ai mangé hier soir ! » m’emportais-je avant de me mordre la langue en la voyant sourire. « Ah oui ? À la cantine ? Sinon.. où d’autre ? » Je soupirais bruyamment, agacée au plus haut point de sa façon de me piéger si facilement. « J’ai pas envie d’en parler » « Il va bien falloir, car si l’état de Travis joue sur le tien, tu ne vas pas pouvoir continuer à le fréquenter » Les larmes montèrent avec une vitesse fulgurante. « Si vous faites ça, vous aurez ma mort sur la conscience » fis-je en guise de menace avant de partir en claquant la porte, avant d’aller dans le parc.
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