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YESTERDAY'S NEWS |48
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 3130
Messages : 355
Date d'inscription : 03/04/2018
Avatar : Louis Tomlinson
Crédits : jukeboxe
Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : nothing
Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Brasil Beach
Sarah & Travis
Le brésil, la chaleur, la musique, on ne pouvait vraiment pas s'ennuyer ici et je ne regrettais en rien d'avoir accepté l'offre de Sarah et partir loin de notre petite ville du quotidien pour se diversifier et voir du pays. Néanmoins, si Sarah avait pris la décision de profiter pleinement de cette journée en bord de piscine où je ne sais où, moi j'étais à deux doigts de m'endormir sur le lit de notre chambre d'hotel. Autant dire qu'aujourd'hui je n'avais aucune de force et j'avais l'impression d'avoir fait nuit blanche, alors que nous avions plutôt bien dormi la veille. Un mistère. J'espère ne pas couvrir quelque chosen ça m'énerverait de tomber malade en pleine "vacance"
Mais yeux se fermaient tout doucement avant de rouvrir aussitôt au son de mon téléphone portable. Un Sms de Sarah. Curieux, me demandant ce qu'elle avait à me dire, je l'ouvrais en souriant. Photo en maillot de bain, sur la plage, mais seule. Il est vrai que je commence vraiment à m'attacher à cette personne et cela ne m'étonnerait même pas si je venais à tomber amoureux. Je m'attache aussi vite que je me détache. J'avais hésiter quelques instants avant de me lever. Un peu trop vite puisque notre chambre semblait tourner, mais tout rentra parfaitement dans l'ordre pour que je puisse me préparer. Short de bain et gros pull -vous allez rire, mais j'ai froid- lunette de soleil sur le bon de mon nez, serviette au bras et je descendais les marches de l'hôtel pour la rejoindre.
Au loins, je l'a voyait, posté toujours au même endroit, alors que j'arrivais par derrière, posant mes mains gelées sur sa peau, au niveau de sa taille, dans le but de la faire sursauter. "BOUH !" Je remarqua un sursaut. Je ne pourrais dire si c'était mon incroyable jeu de comédien qui l'avait effrayé ou bien la différence de température entre sa peau et la mienne. Je voyais bien qu'elle me regardait en mode "il fait quarante degré et toi, tu met un pull" je souriais en enlevant mes lunettes pour lui dire face tout face en riant. "Me demande pas pourquoi, j'ai froid aujourd'hui, je dois couvrir un truc c'est sûr" je remettais mes lunettes. "t'as pas trop pleuré en mon absence" une petite taquinerie toute gentillette. "Moi qui pensait que tu serais parti chasser le brésilien" je riais avant de reprendre un peu plus mon sérieux. "J'rigole"
Mais yeux se fermaient tout doucement avant de rouvrir aussitôt au son de mon téléphone portable. Un Sms de Sarah. Curieux, me demandant ce qu'elle avait à me dire, je l'ouvrais en souriant. Photo en maillot de bain, sur la plage, mais seule. Il est vrai que je commence vraiment à m'attacher à cette personne et cela ne m'étonnerait même pas si je venais à tomber amoureux. Je m'attache aussi vite que je me détache. J'avais hésiter quelques instants avant de me lever. Un peu trop vite puisque notre chambre semblait tourner, mais tout rentra parfaitement dans l'ordre pour que je puisse me préparer. Short de bain et gros pull -vous allez rire, mais j'ai froid- lunette de soleil sur le bon de mon nez, serviette au bras et je descendais les marches de l'hôtel pour la rejoindre.
Au loins, je l'a voyait, posté toujours au même endroit, alors que j'arrivais par derrière, posant mes mains gelées sur sa peau, au niveau de sa taille, dans le but de la faire sursauter. "BOUH !" Je remarqua un sursaut. Je ne pourrais dire si c'était mon incroyable jeu de comédien qui l'avait effrayé ou bien la différence de température entre sa peau et la mienne. Je voyais bien qu'elle me regardait en mode "il fait quarante degré et toi, tu met un pull" je souriais en enlevant mes lunettes pour lui dire face tout face en riant. "Me demande pas pourquoi, j'ai froid aujourd'hui, je dois couvrir un truc c'est sûr" je remettais mes lunettes. "t'as pas trop pleuré en mon absence" une petite taquinerie toute gentillette. "Moi qui pensait que tu serais parti chasser le brésilien" je riais avant de reprendre un peu plus mon sérieux. "J'rigole"
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 11/03/2018
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Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Brasil Beach
Sarah & Travis
Le Brésil. Quel heureux hasard d'être tombée sur cette ville en jouant au hasard avec un globe. J'avais toujours voulu aller en Amérique Latine, mais j'avais toujours mis cette idée de voyage de côté. Je savais que je pourrais être pister pour trafic de drogue, alors je prenais mes précautions. En tout cas, je n'étais pas du tout impressionnée par le temps de voyage et le décalage horaire. Personnellement, je ne comptais pas passer mon temps à dormir dans la chambre. Surtout si Travis était dans les parages, je n'allais sûrement pas dormir des heures et des heures.. j'aurais bien d'autres idées dans la tête, mais ce n'était pas son truc. Je m'y pliais, pour le moment. En tout cas, je comptais lui montrer ma belle collection de maillot de bain, mais il ne semblait pas de cet avis. Ce traître préférait se reposer que boire des cocktails – sans alcool pour lui – avec moi près de la piscine. Je boudais un peu alors je lui avais fait part de ma tristesse immense de part son absence. Monsieur semblait ne pas vouloir quitter son lit alors j'avais fait en sorte qu'il se bouge car je n'aimais pas être seule. Oui, j'aime bien quand il est là, et alors ? C'est mon colocataire depuis peu, mais nous nous connaissions déjà d'avant et je n'avais rien oublié de notre rencontre. Rien du tout.
Travis me disait qu'il arrivait et je ne pus me retenir de sourire comme une idiote. J'aime avoir ce que je veux, je l'avoue. Sirotant mon verre, je faillis tout lâcher en hurlant en sentant un toucher glacial sur mon corps. Heureusement que je me retenais de lui jeter mon verre dessus. Quoi ? Il était gelé et.. En pull. Je le regardais, sous le choc. On arrive à peine et lui tombe malade. J'allais le blinder de trucs et il enlèverait ce fichu pull tout moche. « Tu vas manger des fruits, comme ça les vitamines vont t'aider » dis-je très sérieusement. Il n'allait pas mourir avec les fruits exotiques et je ne lui demandais même pas son avis. « Le temps que tu te décides, mon cœur a eu le temps de se briser en milles morceaux et s'éparpiller aux quatre coins du monde » raillais-je. Roulant des yeux, je le fixais en l'entendant parler d'un éventuel brésilien à séduire. Il est vrai que ça aurait été mon genre, mais.. Je suis en vacances avec un homme, ce n'est pas pour en trouver un autre. Ce serait bizarre.
Lui posant un cocktail sans alcool dans les mains – 100 % vitamine et sans sucre rajouté – je me rapprochais sensuellement de lui. « Pourquoi j'irais trouver un homme que je ne connais pas alors que j'en ai un qui partage déjà mon lit ? » soufflais-je avec un brin de malice, restant toujours proche de lui. Je me reculais légèrement en gardant mon verre dans ma main. « Piscine ? » proposais-je innocemment. Sans alcool, il ne risquait rien et.. Il ne risquait rien, quoi. Ce n'était pas mon premier verre, ni le dernier, mais je tenais bien mieux que lui et j'avais un peu d'entraînement, sans me vanter. Tranquillement, je venais descendre l'escalier de la piscine pour m'y engouffrer, sirotant encore mon verre avant de le poser sur le bord, prenant soin d'attacher mes cheveux.. L'air de rien.. Enfin si, j'avais une idée derrière la tête, la même toujours et encore. Je savais qu'il ne voudrait plus rien entre nous, mais.. ça m'agace en fait, tout simplement.
Travis me disait qu'il arrivait et je ne pus me retenir de sourire comme une idiote. J'aime avoir ce que je veux, je l'avoue. Sirotant mon verre, je faillis tout lâcher en hurlant en sentant un toucher glacial sur mon corps. Heureusement que je me retenais de lui jeter mon verre dessus. Quoi ? Il était gelé et.. En pull. Je le regardais, sous le choc. On arrive à peine et lui tombe malade. J'allais le blinder de trucs et il enlèverait ce fichu pull tout moche. « Tu vas manger des fruits, comme ça les vitamines vont t'aider » dis-je très sérieusement. Il n'allait pas mourir avec les fruits exotiques et je ne lui demandais même pas son avis. « Le temps que tu te décides, mon cœur a eu le temps de se briser en milles morceaux et s'éparpiller aux quatre coins du monde » raillais-je. Roulant des yeux, je le fixais en l'entendant parler d'un éventuel brésilien à séduire. Il est vrai que ça aurait été mon genre, mais.. Je suis en vacances avec un homme, ce n'est pas pour en trouver un autre. Ce serait bizarre.
Lui posant un cocktail sans alcool dans les mains – 100 % vitamine et sans sucre rajouté – je me rapprochais sensuellement de lui. « Pourquoi j'irais trouver un homme que je ne connais pas alors que j'en ai un qui partage déjà mon lit ? » soufflais-je avec un brin de malice, restant toujours proche de lui. Je me reculais légèrement en gardant mon verre dans ma main. « Piscine ? » proposais-je innocemment. Sans alcool, il ne risquait rien et.. Il ne risquait rien, quoi. Ce n'était pas mon premier verre, ni le dernier, mais je tenais bien mieux que lui et j'avais un peu d'entraînement, sans me vanter. Tranquillement, je venais descendre l'escalier de la piscine pour m'y engouffrer, sirotant encore mon verre avant de le poser sur le bord, prenant soin d'attacher mes cheveux.. L'air de rien.. Enfin si, j'avais une idée derrière la tête, la même toujours et encore. Je savais qu'il ne voudrait plus rien entre nous, mais.. ça m'agace en fait, tout simplement.
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 03/04/2018
Avatar : Louis Tomlinson
Crédits : jukeboxe
Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
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Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Sarah est vraiment d'un beauté à vous couper le souffle. Vous savez, le genre de beauté que tu as envie de peindre, d'avoir toujours à tes côtés et d'admirer durant des heures. Il n'y a aucun doute, dame nature a été très généreux lors de sa naissance. Son maillot de bain lui allait à ravit et il me semble qu'hier, elle ne portait pas le même. Aucune idée de combien elle avait réussi à en caser dans sa petite valise, car oui, nous avions décider de voyager léger afin de ne pas s'encombrer et de se prendre la tête avec trop de chichi.
Pour ma part, j'avais aussi pris quelques maillots de bain de rechange, mais aujourd'hui, j'optais pour un pull qui surprenait tout le monde je pense. Avoir tout le temps froid, j'ai l'habitude, mais quand tu sais qu'il fait quarante degré, c'est un peu plus frustrant. La solution de Sarah ? Manger des vitamines. "Mais je n'ai pas très faim" disais-je en riant. On s'asseyant devant un petit bar de plage qui vendait fruits et cocktails du coup. Coupelle de fruits et cocktail devant moi, je souriais en reprenant la conversation. Je déposais un baiser sur sa joue pour me faire pardonner du temps où je l'avais laisser toute seule. "c'est mieux maintenant ?" une vraie enfant et ça me faisait doucement sourire.
La laissant se rapprocher dangereusement de moi, je ne cillais pas en continuant de la fixer. "Tu sais, il existe des filles qui n'en ont jamais trop" j'esquivais un fin sourire malicieux à mon tour avant d'acquiescer à sa proposition. La piscine, que de souvenirs lointains. "Vas-y !" Je me levais, content de partir sans avoir touché au moindre fruit et sans avoir bu. La piscine et l'eau chaude nous attendait. Je n'allais tout de même pas me baigner avec mon pull, alors je décidais de le retirer pour aller m'engouffrer dans l'eau. "ça te rappelle des souvenirs ?" lui demandais-je en souriant faisant bien entendu allusion à notre première rencontre. "Dit, ça te dit de jouer à un jeu ?" En fait, vu comment elle est, je connaissais déjà sa réponse. Je m'éloignais un peu du centre de la piscine pour ne pas gêner, rejoignant un coin tranquille. "On va apprendre à se connaître" Se serait bien, car à part le fait qu'elle travail à domicile en tant que Organisatrice et qu'elle s'appelle Sarah, je ne connais pas grand chose. "On va se poser une question chacun et on devra répondre franchement, sans langue de bois. Juste une question à la fois et on ne juge pas l'autre" Les règles étaient simple et au moins, à la fin de se voyage, on en saura un peu plus sur l'autre.
Pour ma part, j'avais aussi pris quelques maillots de bain de rechange, mais aujourd'hui, j'optais pour un pull qui surprenait tout le monde je pense. Avoir tout le temps froid, j'ai l'habitude, mais quand tu sais qu'il fait quarante degré, c'est un peu plus frustrant. La solution de Sarah ? Manger des vitamines. "Mais je n'ai pas très faim" disais-je en riant. On s'asseyant devant un petit bar de plage qui vendait fruits et cocktails du coup. Coupelle de fruits et cocktail devant moi, je souriais en reprenant la conversation. Je déposais un baiser sur sa joue pour me faire pardonner du temps où je l'avais laisser toute seule. "c'est mieux maintenant ?" une vraie enfant et ça me faisait doucement sourire.
La laissant se rapprocher dangereusement de moi, je ne cillais pas en continuant de la fixer. "Tu sais, il existe des filles qui n'en ont jamais trop" j'esquivais un fin sourire malicieux à mon tour avant d'acquiescer à sa proposition. La piscine, que de souvenirs lointains. "Vas-y !" Je me levais, content de partir sans avoir touché au moindre fruit et sans avoir bu. La piscine et l'eau chaude nous attendait. Je n'allais tout de même pas me baigner avec mon pull, alors je décidais de le retirer pour aller m'engouffrer dans l'eau. "ça te rappelle des souvenirs ?" lui demandais-je en souriant faisant bien entendu allusion à notre première rencontre. "Dit, ça te dit de jouer à un jeu ?" En fait, vu comment elle est, je connaissais déjà sa réponse. Je m'éloignais un peu du centre de la piscine pour ne pas gêner, rejoignant un coin tranquille. "On va apprendre à se connaître" Se serait bien, car à part le fait qu'elle travail à domicile en tant que Organisatrice et qu'elle s'appelle Sarah, je ne connais pas grand chose. "On va se poser une question chacun et on devra répondre franchement, sans langue de bois. Juste une question à la fois et on ne juge pas l'autre" Les règles étaient simple et au moins, à la fin de se voyage, on en saura un peu plus sur l'autre.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2887
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Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
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Hobby : Tir à l'arme de poing
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Avec : Travis C. Gaultier
Charmer Travis n'était pas un objectif mais.. un art de vivre. En même temps, j'avais du mal à savoir sur quel pied danser avec lui. Depuis le début de notre collocation, tout se passait à ravir. Je n'avais pas à me plaindre, vraiment. Cependant, notre relation amical me rendait parfois un peu perplexe. Comment l'expliquer.. Ses gestes amicaux me rendaient légèrement mal à l'aise. Non pas que je sois gênée d'être proche de lui car ça me plaisait, mais juste que.. Je n'avais pas l'habitude et pour être franche, j'avais peur de flancher. Je ne préférais pas y songer trop longtemps, ni me faire de film alors je le taquinais, prenant mes distances lorsque lui venait trop près de moi sans me prévenir. En tout cas, la solution pour qu'il enlève ce pull et qu'il aille mieux serait de se nourrir de fruits riche en vitamines. Une proposition ? Non, une exigence. Je lui avais donc amené devant ses yeux un cocktail et des fruits. Rien de grave, quoi. En tout cas, je souriais comme une enfant en sentant son baiser sur ma joue. Bien entendu, il était pardonné. « Complètement » soufflais-je en souriant de plus belle.
Me rapprochant dangereusement de lui, je pouffais à sa remarque. Me voyait-il réellement ainsi ? « Je ne suis pas « des filles », tu sais » fis-je doucement, Oui, j'ai peut-être plus de conquêtes que lui, mais ce n'était pas pour autant que je « chassais » des hommes ou des femmes h24. Nous voilà ensuite partis pour la piscine.. sans qu'il n'ait touché à ses fruits alors que j'avais fini mon cocktail alcoolisé d'une traite. Il m'agace. Le suivant, mon regard le détaillait avec attention une fois son pull hors de son corps. Il est beau, tellement. Je me reprenais en riant à sa remarque. Avec ses allusions, je me demandais réellement s'il souhaitait que l'on reste uniquement des amis. « Cesse de me faire penser à une situation que j'aimerais recommencer » dis-je avec un brin de malice. À trop jouer, il allait finir par se brûler car dès que la porte serait ouverte, j'y entrerais et il n'aurait absolument plus le moindre mot à dire. Que ce soit clair.
La chaleur de l'eau m'enveloppait alors que je le suivais tranquillement, Son jeu, je l'acceptais avec plaisir, mais je ne m'étais pas attendue à un questionnaire sur l'un et l'autre. Le fait de ne pas trop se connaître ne me dérangeait pas. Enfin, le connaître, j'étais d'accord, c'était l'inverse qui me dérangeait. « J'aimerais bien faire autre chose avec ma langue » D'accord, j'abusais légèrement mais ça me faisait rire moi-même pour le coup. Levant les mains en l'air, je souriais un peu en regardant ailleurs. « Pardon, c'était trop tentant » Barbotant dans l'eau, le soleil me caressait la peau avec douceur et j'avais hâte de revenir à Los Angeles avec un magnifique bronzage juste avant l'été. « Proposé si gentiment, je commence » S'il avait le choix ? Mh, non. « Pourquoi tu ne manges pas ce que je prépare ? » Oui, j'aimerais en parler parce que ça m'énerve. J'aime faire à manger et lui.. Bah il me laisse des repas et je jette. J'avais horreur du gâchis et surtout de ne pas comprendre ce que je ne peux pas comprendre dans son régime spécifique.
Me rapprochant dangereusement de lui, je pouffais à sa remarque. Me voyait-il réellement ainsi ? « Je ne suis pas « des filles », tu sais » fis-je doucement, Oui, j'ai peut-être plus de conquêtes que lui, mais ce n'était pas pour autant que je « chassais » des hommes ou des femmes h24. Nous voilà ensuite partis pour la piscine.. sans qu'il n'ait touché à ses fruits alors que j'avais fini mon cocktail alcoolisé d'une traite. Il m'agace. Le suivant, mon regard le détaillait avec attention une fois son pull hors de son corps. Il est beau, tellement. Je me reprenais en riant à sa remarque. Avec ses allusions, je me demandais réellement s'il souhaitait que l'on reste uniquement des amis. « Cesse de me faire penser à une situation que j'aimerais recommencer » dis-je avec un brin de malice. À trop jouer, il allait finir par se brûler car dès que la porte serait ouverte, j'y entrerais et il n'aurait absolument plus le moindre mot à dire. Que ce soit clair.
La chaleur de l'eau m'enveloppait alors que je le suivais tranquillement, Son jeu, je l'acceptais avec plaisir, mais je ne m'étais pas attendue à un questionnaire sur l'un et l'autre. Le fait de ne pas trop se connaître ne me dérangeait pas. Enfin, le connaître, j'étais d'accord, c'était l'inverse qui me dérangeait. « J'aimerais bien faire autre chose avec ma langue » D'accord, j'abusais légèrement mais ça me faisait rire moi-même pour le coup. Levant les mains en l'air, je souriais un peu en regardant ailleurs. « Pardon, c'était trop tentant » Barbotant dans l'eau, le soleil me caressait la peau avec douceur et j'avais hâte de revenir à Los Angeles avec un magnifique bronzage juste avant l'été. « Proposé si gentiment, je commence » S'il avait le choix ? Mh, non. « Pourquoi tu ne manges pas ce que je prépare ? » Oui, j'aimerais en parler parce que ça m'énerve. J'aime faire à manger et lui.. Bah il me laisse des repas et je jette. J'avais horreur du gâchis et surtout de ne pas comprendre ce que je ne peux pas comprendre dans son régime spécifique.
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Je ne pouvais cesser de penser à notre toute première rencontre et pourtant, je ne suis vraiment pas le genre de garçon qui enchaine les plans culs ou qui aime bien avoir des histoires d'un soir. Je suis le genre de garçon bien rangé qui préfère se réserver pour sa petite copine et je ne vois pas en coin cela est mal vu ou encore ringard de ne pas faire comme tout le plan. Apparemment, se serait profiter de la vie que de boire à outrance et se taper toutes les jupettes qui passe par-là. Personnellement, je trouve cela une perte de temps. Soit, même si je n'étais de ce type-là, coucher avec la demoiselle juste une fois, avait été grandiose et si elle m'avait demandé de recommencer cette journée-là, j'aurais probablement accepté. A présent, quand bien même je ne l'a connaissais pas plus que cela, nous vivions ensemble et je ne me voyais pas coucher avec elle juste comme ça.
Je sourirais à ses allusions perverses tout en me calant contre le bord de la piscine pour jouer à mon jeux gentiment proposé, sans pour autant gêner les gens qui souhaitaient s'amuser à leur façon. Honneur aux dames, je l'a laissais commencer. Autant dire que j'avais hâte de connaître un peu plus en détail la vie de Sarah. Je ne pouvais m'empêcher de rire. Un petit rire discret et rien de bien méchant, mais je ne pensais pas que mon comportement vis à vis de ses plats -qui étaient ultra alléchant- la peine autant. La sincérité et l'honnêteté était les mots forts de cet après-midi, autant les mettre à l'honneur. "Je..." Je n'avais jamais abordé le sujet avec quelqu'un d'autre que les médecins, alors je me triturais les doigts, ne sachant pas trop comment dire cela. Je n'aurais jamais pensé que cela puisse me stresser un jour. "Je n'ai jamais faim" Ce qui en soit était vrai. "Tes plats ont l'air ultra bon, mais ça me fait peur de manger c'est tout. Tu sais y a des agoraphobe, des claustrophobes et bien moi j'ai la peur de la nourriture" Je souriais à la demoiselle. "Du moins j'imagine" disais-je en riant.
"Pourquoi t'es parti vivre en collocation plutôt que toute seule ?" C'est vrai qu'elle avait l'air assez indépendante comme fille, alors c'est une question banale que je me posais.
Je sourirais à ses allusions perverses tout en me calant contre le bord de la piscine pour jouer à mon jeux gentiment proposé, sans pour autant gêner les gens qui souhaitaient s'amuser à leur façon. Honneur aux dames, je l'a laissais commencer. Autant dire que j'avais hâte de connaître un peu plus en détail la vie de Sarah. Je ne pouvais m'empêcher de rire. Un petit rire discret et rien de bien méchant, mais je ne pensais pas que mon comportement vis à vis de ses plats -qui étaient ultra alléchant- la peine autant. La sincérité et l'honnêteté était les mots forts de cet après-midi, autant les mettre à l'honneur. "Je..." Je n'avais jamais abordé le sujet avec quelqu'un d'autre que les médecins, alors je me triturais les doigts, ne sachant pas trop comment dire cela. Je n'aurais jamais pensé que cela puisse me stresser un jour. "Je n'ai jamais faim" Ce qui en soit était vrai. "Tes plats ont l'air ultra bon, mais ça me fait peur de manger c'est tout. Tu sais y a des agoraphobe, des claustrophobes et bien moi j'ai la peur de la nourriture" Je souriais à la demoiselle. "Du moins j'imagine" disais-je en riant.
"Pourquoi t'es parti vivre en collocation plutôt que toute seule ?" C'est vrai qu'elle avait l'air assez indépendante comme fille, alors c'est une question banale que je me posais.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Avec : Travis C. Gaultier
Plus on passait de temps ensemble, plus je trouvais vraiment Travis très agréable. Oui, ça ne veut probablement rien dire parce qu'être « agréable à vivre », ça ne veut pas dire grand-chose en soit. Néanmoins, c'était le cas. Il n'était pas intrusif, ni moqueur. Cet homme avait la particularité d'être gentil, vous savez, pour de vrai. La dernière fois, au zoo, il m'avait tout de même acheté une peluche. Ça pourrait paraître idiot pour beaucoup de gens, mais.. Pour moi, c'était quelque chose de totalement inhabituel. Inexistant avec mes parents, rare avec mes amis les plus proches, alors forcément, avec une connaissance de longue date.. Je ne l'aurais pas cru. D'autant plus que ce n'était pas obligatoire.. Nous devenions progressivement amis alors.. Je ne préférais pas plus y penser alors qu'il me rejoignait – enfin – près de la piscine. Une fois dans celle-ci – ce qui ne tardait pas d'ailleurs – je l'avais taquiné à plusieurs reprises. Oui, je voudrais bien remettre ça avec lui, mais je me rappelais très bien notre première discussion alors.. À part des mots, je ne faisais rien de plus. Dommage, m'enfin.
Le jeu lancé, j'avais attaqué directement avec ma fameuse question sur les plats que je lui laissais. Ça m'attristait de devoir les jeter et de ne même pas voir un essai, juste de goûter, de sa part. Son rire me perturbait alors que je le voyais rapidement jouer avec ses doigts. Que me cachait-il ? Et là. Sa réponse me décomposait totalement. Peur de la nourriture. Je n'osais pas y croire. J'espérais mal comprendre, ne pas voir où il voulait en venir. Je le laissais rire alors, revenant à moi, sans savoir quoi répondre. Y avait-il quelque chose à rajouter ? Je ne le pense pas. Évidemment, ça faisait mal. Mal de ne pas pouvoir l'aider parce que concrètement, qui étais-je pour le forcer à manger ? Ni une personne bienveillante, ni une proche, ni encore moins une professionnelle de santé. Ça remettait juste beaucoup de choses en cause et je savais parfaitement que j'allais être encore plus maladroite. J'ai peur de la nourriture. ça me semblait tellement invraisemblable.
Son interrogation à lui, je ne m'y étais pas attendue. Il avait été honnête, je devais l'être à mon tour, sans trop en dire. « Je ne me sentais pas en sécurité » En même temps, j'avais failli me faire pincer pour mon travail illégal. « Je n'étais pas dans un quartier très bien fréquentée et je voulais éviter de reprendre un appartement seul » dis-je tranquillement. J'omettais quelques détails, mais je me voyais mal lui dire ce que je faisais. De même pour la valise de plus que j'allais ramener de Rio.. « Tu vois quelqu'un en ce moment ? » Ma question n'était pas innocente mais j'avais besoin de savoir. Pourquoi ? Et bien.. Aucune idée. Pour continuer à le taquiner, le charmer, flirter doucement. Je préférais le savoir avant d'avoir une folle hystérique qui fasse une scène, rempli de jalousie. En même temps, je n'y pourrais rien s'il préférait être en ma compagnie que la sienne !
Le jeu lancé, j'avais attaqué directement avec ma fameuse question sur les plats que je lui laissais. Ça m'attristait de devoir les jeter et de ne même pas voir un essai, juste de goûter, de sa part. Son rire me perturbait alors que je le voyais rapidement jouer avec ses doigts. Que me cachait-il ? Et là. Sa réponse me décomposait totalement. Peur de la nourriture. Je n'osais pas y croire. J'espérais mal comprendre, ne pas voir où il voulait en venir. Je le laissais rire alors, revenant à moi, sans savoir quoi répondre. Y avait-il quelque chose à rajouter ? Je ne le pense pas. Évidemment, ça faisait mal. Mal de ne pas pouvoir l'aider parce que concrètement, qui étais-je pour le forcer à manger ? Ni une personne bienveillante, ni une proche, ni encore moins une professionnelle de santé. Ça remettait juste beaucoup de choses en cause et je savais parfaitement que j'allais être encore plus maladroite. J'ai peur de la nourriture. ça me semblait tellement invraisemblable.
Son interrogation à lui, je ne m'y étais pas attendue. Il avait été honnête, je devais l'être à mon tour, sans trop en dire. « Je ne me sentais pas en sécurité » En même temps, j'avais failli me faire pincer pour mon travail illégal. « Je n'étais pas dans un quartier très bien fréquentée et je voulais éviter de reprendre un appartement seul » dis-je tranquillement. J'omettais quelques détails, mais je me voyais mal lui dire ce que je faisais. De même pour la valise de plus que j'allais ramener de Rio.. « Tu vois quelqu'un en ce moment ? » Ma question n'était pas innocente mais j'avais besoin de savoir. Pourquoi ? Et bien.. Aucune idée. Pour continuer à le taquiner, le charmer, flirter doucement. Je préférais le savoir avant d'avoir une folle hystérique qui fasse une scène, rempli de jalousie. En même temps, je n'y pourrais rien s'il préférait être en ma compagnie que la sienne !
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : nothing
Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Première question passée et puisque c'est une question à la fois, je passais à la mienne, écoutant attentivement sa réponse sincère, comme on se l'était promis. Ma bouche me démangeait à l'idée de l'a bombarder de questions, d'en savoir toujours plus, mais je me retenais afin de ne pas enfreindre nos quelques règles simples, mais importantes. "Content de savoir que tu te sens en sécurité avec moi" cela aurait pu ne pas être le cas puisqu'on ne se connait que de quelques jours il y a quelques années et comme on dit souvent, les gens changent. Pour ma part, je n'avais vraiment pas changé. J'avais grandit "et encore je ne suis pas très grand- sans doute mûrit, mais à part cela, je restais le même qu'autrefois.
"Si tu sous entend par petite copine, nan absolument pas, sinon je sais avec elle en ce moment" Puisque je me donne à deux cent pourcent dans mes relations, j'ai tendance à faire beaucoup pour ma petite amie et par conséquent, si je m'étais pris des petites vacances, je l'aurais mise automatiquement dans ma valise. "Si je devais savoir un seul truc sur toi, ça devrait être quoi ? Genre le truc qui serait important que je sache" Et je penses que c'est LA question du questionnaire. C'est le genre de question que je finis toujours pas demander aux gens que je vois et qui me sont proche, car je trouve que cette étape est importante.
"Si tu sous entend par petite copine, nan absolument pas, sinon je sais avec elle en ce moment" Puisque je me donne à deux cent pourcent dans mes relations, j'ai tendance à faire beaucoup pour ma petite amie et par conséquent, si je m'étais pris des petites vacances, je l'aurais mise automatiquement dans ma valise. "Si je devais savoir un seul truc sur toi, ça devrait être quoi ? Genre le truc qui serait important que je sache" Et je penses que c'est LA question du questionnaire. C'est le genre de question que je finis toujours pas demander aux gens que je vois et qui me sont proche, car je trouve que cette étape est importante.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Ce jeu n'était peut-être finalement pas une bonne idée. J'avais appris qu'il ne voulait pas manger, qu'il avait peur de la nourriture, et le voilà qui me demandait pourquoi j'avais décidé d'emménager en colocation. Une question à laquelle il n'aurait pas toute la réponse, car sinon, il aurait de gros problèmes et je préférais qu'il reste dans l'ignorance plutôt que de mettre sa vie en jeu. S'il gardait sa tête d'innocent, ça passerait largement mieux pour rentrer à Los Angeles à la fin de notre séjour. Sa remarque me surprit alors que j'eus une désagréable impression de picotement au niveau de mes pommettes. Je tournais mon visage ailleurs, n'ayant pas envie qu'il remarque cette marque de faiblesse. Certes, Travis n'était pas l'homme le plus baraqué du monde, mais en sa compagnie, j'étais en sécurité, il n'avait pas tord. J'avais rapidement enchaîné pour savoir s'il avait quelqu'un. J'aurais probablement du précisé une petite amie ou quelqu'un qui lui tape dans l’œil, mais je n'y avais simplement pas pensé. Tant pis, ce serait pour plus tard si j'y songe encore. Je haussais un sourcil à sa remarque. « Tu préférais passer tes vacances avec ta copine plutôt qu'avec la meilleure des colocataires du monde ? Je suis blessée.. » boudais-je doucement, adorant râler face à lui. J'aurais pu comprendre, mais.. Je ne savais pas ce que ça voulait encore dire d'être amoureux de quelqu'un et encore moins d'être en couple.
La suite me blasait. C'était quoi cette question vaseuse sans queue ni tête ? Il y avait tant de réponses possibles et aucune à la fois. Que je fais passer de la drogue ? Que je n'ai plus de famille à mes yeux ? Que j'ai déjà eu des relations avec des femmes et autres personnes ? Que ma présence à ce Spring Break il y a quelques année ne faisait pas de moi une étudiante à ce moment-là ? Que je détruis toutes les relations que j'entreprends, amical comme amoureuse ? « Un homme m'a brisé tellement fort le cœur que je compte le tuer et l'enterrer quand il réapparaîtra » fis-je très – trop – calmement. Je lui laissais l'imagination pour l'arme qui fera payer à mon ex ce qu'il m'a fait. Personnellement, ce sera un magnifique pistolet avec lequel je m'entraînais plusieurs fois par semaine. Ça pourrait paraître banal, une peine de cœur, mais là, c'était trop. Il avait tout fait pour me détruire et je comptais lui rendre la pareil. Tout était de sa faute et j'en payais seule les conséquences.. mais plus pour très longtemps.
Agitant ma main en l'air, je préférais passer à autre chose. Autant qu'il ne psychote par là-dessus trop longtemps. « Tu attends quoi d'une femme.. pour être en couple avec elle.. ? » demandais-je, curieuse de savoir quel serait ses attentes d'une relation amoureuse. Nous avions réglé la question des repas et je ne comptais pas y revenir, alors je voulais m'intéresser à lui. Sa vie passé, quelle importance ? Nous nous étions croisés et je prenais sa personne au présent et durant le futur que nous allions partagé. Je ne comptais rien lui demander sur sa famille, ses amis, ses ex et j'en passe. Non, tout ce qui m'importait, c'était sa personne actuellement et je trouvais que c'était le plus important. Je ne savais pas s'il me laisserait lui poser des questions personnelles, mais qui ne tente rien n'a rien et nous n'avions imposé aucune règle, à part celle de se poser une question l'un après l'autre. Tout simplement. En attendant, je faisais signe au serveur de m'apporter un cocktail – alcoolisé, oui, encore – sans rien imposer à Travis. J'avais compris la leçon.
La suite me blasait. C'était quoi cette question vaseuse sans queue ni tête ? Il y avait tant de réponses possibles et aucune à la fois. Que je fais passer de la drogue ? Que je n'ai plus de famille à mes yeux ? Que j'ai déjà eu des relations avec des femmes et autres personnes ? Que ma présence à ce Spring Break il y a quelques année ne faisait pas de moi une étudiante à ce moment-là ? Que je détruis toutes les relations que j'entreprends, amical comme amoureuse ? « Un homme m'a brisé tellement fort le cœur que je compte le tuer et l'enterrer quand il réapparaîtra » fis-je très – trop – calmement. Je lui laissais l'imagination pour l'arme qui fera payer à mon ex ce qu'il m'a fait. Personnellement, ce sera un magnifique pistolet avec lequel je m'entraînais plusieurs fois par semaine. Ça pourrait paraître banal, une peine de cœur, mais là, c'était trop. Il avait tout fait pour me détruire et je comptais lui rendre la pareil. Tout était de sa faute et j'en payais seule les conséquences.. mais plus pour très longtemps.
Agitant ma main en l'air, je préférais passer à autre chose. Autant qu'il ne psychote par là-dessus trop longtemps. « Tu attends quoi d'une femme.. pour être en couple avec elle.. ? » demandais-je, curieuse de savoir quel serait ses attentes d'une relation amoureuse. Nous avions réglé la question des repas et je ne comptais pas y revenir, alors je voulais m'intéresser à lui. Sa vie passé, quelle importance ? Nous nous étions croisés et je prenais sa personne au présent et durant le futur que nous allions partagé. Je ne comptais rien lui demander sur sa famille, ses amis, ses ex et j'en passe. Non, tout ce qui m'importait, c'était sa personne actuellement et je trouvais que c'était le plus important. Je ne savais pas s'il me laisserait lui poser des questions personnelles, mais qui ne tente rien n'a rien et nous n'avions imposé aucune règle, à part celle de se poser une question l'un après l'autre. Tout simplement. En attendant, je faisais signe au serveur de m'apporter un cocktail – alcoolisé, oui, encore – sans rien imposer à Travis. J'avais compris la leçon.
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Malgré ma petite mine de toute à l'heure, j'arrivais à sourire et rire avec la demoiselle et son beau sourire en valait la peine. J'aimais discuter avec elle, en apprendre un peu plus, alors que moi, partant dans les détails, elle, se contentait d'en apprendre un peu plus sur ma vie et plus particulièrement sur ma vie privée. A présent que je l'avais rassuré sur le fait que je n'étais pas en mode famine mais juste en très mauvais terme avec la nourriture, nous pouvions continuer ce petit interrogatoire qui commençait à devenir intéressant. "On va dire que quand je sors avec quelqu'un, bah c'est un peu la prunelle de mes yeux quoi." Je souriais grandement. "Ouais, je suis un grand romantique moi quand je suis amoureux" Dis-je en riant même si j'étais amplement sérieux. Malheureusement pour moi, mes relations ne durent jamais trop longtemps. J'imagine que j'ai beaucoup trop de manie pour elles.
Toujours en barbotant, je fus surpris de son aveux. Pour de l'honnêteté, ça c'est honnête. Je feint ne pas vouloir en savoir plus, mais ce n'était pas évident. Après, chacun à le droit d'avoir son petit jardin secret après tout. "Intéressé" je riais pour lui prouver que je plaisantais -ou pas- "aventureuse, qui ne se prend pas la tête, qui ne me prend pas la tête. Pas une vraie fille en mode bling bling je passe cinq heures dans la salle de bain" Je n'ai jamais fait la fine bouche avec les filles. "Je fonctionne énormément au feeling en fait. Si ça match, c'est parti." souriais-je. "C'est quoi ton plus grand rêve ?" Ha...l'esprit rêveur..c'est tout moi.
Toujours en barbotant, je fus surpris de son aveux. Pour de l'honnêteté, ça c'est honnête. Je feint ne pas vouloir en savoir plus, mais ce n'était pas évident. Après, chacun à le droit d'avoir son petit jardin secret après tout. "Intéressé" je riais pour lui prouver que je plaisantais -ou pas- "aventureuse, qui ne se prend pas la tête, qui ne me prend pas la tête. Pas une vraie fille en mode bling bling je passe cinq heures dans la salle de bain" Je n'ai jamais fait la fine bouche avec les filles. "Je fonctionne énormément au feeling en fait. Si ça match, c'est parti." souriais-je. "C'est quoi ton plus grand rêve ?" Ha...l'esprit rêveur..c'est tout moi.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Cette histoire de nourriture me picotait encore un peu les lèvres, mais j'avais décidé de ne pas être plus intrusive que cela. Nous verrions bien par la suite. Pour le moment, j'avais d'autres questions et il est vrai que j'étais probablement entrain de devenir curieuse sur un point qui pourrait lui faire croire des choses.. qui ne sont pas réelles. Bref. Je n'aurais pas pensé Travis si romantique, fleur bleue. Il est vrai que je l'avais pris de court et un peu en traitre – merci l'alcool – lors de notre rencontre, mais je ne pensais pas qu'il était du genre à se poser pour avoir une relation sur le long terme. Comme quoi, la vie était surprenante. « Comparé à moi, t'es un Roméo des temps modernes » souriais-je. Je serais Juliette, mais une fille totalement folle alliée qui se tuerait juste comme ça, sans intérêt. Du coup, je ne comprenais pas bien ce qu'il faisait encore célibataire. Il est beau, charmant, parfait en somme et.. seul. Ça ne semblait pas logique du tout, pour le coup. Etait-il trop compliqué ? Je venais de lui demander ce qu'il attendait, histoire de sonder s'il n'était pas trop perfectionniste sur la vision de son couple.
Apparemment pas. Sa remarque de savoir si j'étais intéressée me fit lever les yeux au ciel. À croire qu'il n'attendait que ça, tiens. Sa description était des plus simples alors je ne comprenais vraiment pas ce qu'il faisait seul. Ne m'avait-il pas tout dit ? « Pardon, mais.. je ne comprends pas pourquoi tu es tout seul. Tu n'as pas des critères de dingue, mais.. t'es célibataire. Je suis perdue » dis-je franchement, peut-être un peu trop directement. J'avais besoin de comprendre, je dois l'avouer. À peine sa question posée que mon réflexe me fit dire : « que tu m'embrasses, beau Roméo » dis-je avec un sourire charmeur, avant de rire doucement et de répondre plus franchement. « Pour être honnête, je n'y ai jamais réfléchi. J'ai juste envie d'être libre, sans prise de tête et de profiter de chaque instant. Vivre ma vie de A à Z, c'est mon but dans la vie » dis-je tranquillement en barbotant avant de voir une horde d'enfants arriver.
Autant dire qu'ils n'arrivaient pas sagement dans la piscine et je me hâtais de venir plus près de Travis pour éviter de m'en prendre un dessus. Notre moment de tranquillité venait de s'évaporer. Quoiqu'il en soit, ils avaient intérêt à se calmer sinon je leur expliquerais la vie à eux, comme à leur parent. « Comment tu te vois dans cinq ou dix ans ? » demandais-je en venant carrément l'enlacer doucement. Oui, je n'avais vraiment pas envie qu'un enfant me saute dessus ou m'éclabousse alors mon colocataire ferait un excellent bouclier. Je n'étais pas entrain de faire quoique ce soit d'autre, je me tenais sagement et j'étais juste bien là. Libre. Sereine. Juste un peu agacé par des gamins sans éducation, mais bon. Avec des « si », on pourrait refaire le monde, pas vrai ?
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