YESTERDAY'S NEWS |48
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2869
Messages : 266
Date d'inscription : 11/03/2018
Avatar : Eleanor Calder
Crédits : © bbchat
Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Attendre ou courir après une personne ne faisait clairement pas parti de mes habitudes. Je ne voulais rien de spécial de la part de Travis. Nous nous entendions bien et j’aimerais simplement que cela se poursuivre. Néanmoins, ce n’était pas toujours lisse entre nous – comme lors de nos vacances au Brésil – mais c’est que nous ne nous ennuyions pas dans notre colocation. En tout cas, en me réveillant, je n’avais pas cru qu’il accepterait de revenir si vite. Si je savais d’où ? Absolument pas et ce n’était pas mon problème. Mon colocataire et ami était libre de faire ce qu’il souhaitait et je l’étais tout autant. Toujours dans le pyjama que je portais lors de la photo que je lui avais envoyé, je flânais sur Netflix pour trouver un film intéressant. Des séries, ok, mais des films.. Il y en avait tellement que je ne savais même plus où donner de la tête. Je pensais plus au fait qu’il allait arriver et que.. Oh.
Me levant d’un bond, je me dépêchais d’aller dans la salle de bain. La raison ? Ma nudité sous mon pyjama et je me souvenais bien que le fait que je sois « trop à l’aise » n’était pas trop son truc. Rien de grave, je rajoutais juste un ensemble de sous-vêtements assortis. Pourquoi de même couleur ? Et bien.. Aucune idée, question d’habitude. Revenant dans la chambre, je ne trouvais toujours pas le film que je souhaitais regarder avec lui alors que j’entendais la porte s’ouvrir et se refermer. Je le laissais tout installer sur un plateau – viennoiseries, thé, etc – tout en rouspétant contre l’écran et surtout le site. « Travis.. Je n’arrive pas à me décider.. » soupirais-je alors qu’il apparaissait dans la pièce avec de quoi faire un excellent petit déjeuner.. assez tardif.
Mon regard se perdait un peu sur lui. Un sourire se glissait sur ses lèvres, le rendant rayonnant. Ça me permettait aussi d’oublier notre source de conflit, à savoir la nourriture. Me levant, je le laissais poser le plateau avant de l’enlacer. Ainsi, sans raison. Souriant, je me reculais en douceur, sans un mot avant de venir sur mon lit, attrapant ma peluche avant de regarder la même liste que je zieutais depuis une bonne heure déjà. « Sans trop de testostérone, ni trop de romantisme, ni une comédie débile.. Un Marvel ? » demandais-je à son attention. Un petit Spiderman pour mater ses belles fesses.. Je ne dirais pas non.. Sauf s’il préférait admirer Wonder Woman, je serais gagnante aussi. Etait-il au courant ? Aucune idée.
Me levant d’un bond, je me dépêchais d’aller dans la salle de bain. La raison ? Ma nudité sous mon pyjama et je me souvenais bien que le fait que je sois « trop à l’aise » n’était pas trop son truc. Rien de grave, je rajoutais juste un ensemble de sous-vêtements assortis. Pourquoi de même couleur ? Et bien.. Aucune idée, question d’habitude. Revenant dans la chambre, je ne trouvais toujours pas le film que je souhaitais regarder avec lui alors que j’entendais la porte s’ouvrir et se refermer. Je le laissais tout installer sur un plateau – viennoiseries, thé, etc – tout en rouspétant contre l’écran et surtout le site. « Travis.. Je n’arrive pas à me décider.. » soupirais-je alors qu’il apparaissait dans la pièce avec de quoi faire un excellent petit déjeuner.. assez tardif.
Mon regard se perdait un peu sur lui. Un sourire se glissait sur ses lèvres, le rendant rayonnant. Ça me permettait aussi d’oublier notre source de conflit, à savoir la nourriture. Me levant, je le laissais poser le plateau avant de l’enlacer. Ainsi, sans raison. Souriant, je me reculais en douceur, sans un mot avant de venir sur mon lit, attrapant ma peluche avant de regarder la même liste que je zieutais depuis une bonne heure déjà. « Sans trop de testostérone, ni trop de romantisme, ni une comédie débile.. Un Marvel ? » demandais-je à son attention. Un petit Spiderman pour mater ses belles fesses.. Je ne dirais pas non.. Sauf s’il préférait admirer Wonder Woman, je serais gagnante aussi. Etait-il au courant ? Aucune idée.
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : nothing
Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
ça me surprenait toujours de voir un message de la part de Sarah et puisque je suis H24 scotché sur mon téléphone, je ne pouvais en louper aucun. Soit, cela me faisait toujours plaisir de savoir qu'elle pensait un petit peu à moi. Nous vivions notre vie chacun de notre côté, n'ayant de compte à rendre à absolument personne. Je m'étais donc absenté aux alentours de neuf heures trente pour aller faire un bilan au niveau de l'hôpital qui me suivait.; Psy et tout ce qui s'en suivait. J'aurais aimé que ce rendez-vous débouche sur un "on te débarrasse de la sonde" , mais malheureusement, j'avais encore perdu du poids. Les médecins avaient été clair. Si je ne gagnait pas au minimum cinq kilos d'ici deux semaines, je serais réinterné de force. J'aime contrôler ma vie et me retrouver enfermé, face à mes assiettes qui me semblent immenses, je ne voudrais pas revivre ça. Je m'étais donc lâché en fondant en larme au pied de l'hôpital avant de me ressaisir et d'envoyer une photo à Sarah pour lui dire que j'arrivais. Sarah m'avait redonné le sourire.
Je lui avais promis un bon petit déjeuner alors, mon courage à deux mains, je pénétrais dans une boulangerie pour la première fois depuis des années. Les mains moites, le stress, j'avais l'impression de passer un examen. "Que désirez-vous" je ne quittais pas les viennoisseries des yeux. "Six croissants, six pains au chocolat, deux baguettes viennoises, deux baguettes de pains et vingt chouquettes" J'en avais-je pris trop ? Probablement et je me sentais honteux de quitter la pays du gras avec tout ça dans les mains.
Le chemin me parut une éternité tant j'avais l'impression que les sachets qui suaient de gras, me jugeait, assis dans le siège passager. Travis, persécuté par des croissants, mais où va-t-on. Prenant la totalité de mes achats, je rentrais chez nous pour rejoindre mademoiselle qui avait bien chauffé la place. Je souriais en l'entendant. Je me rapprochais d'elle et fût à nouveau surpris de ce contact si soudain, mais si agréable. Mon sourire s'élargissait, alors que je lui rendais son étreinte avant de scruter l'écran Netflix. "T'as qu'à mettre les gardiens de la galaxy" Un film à la fois dans l'action et dans l'humour. Tout ce qu'on peut attendre d'un film pour nous détendre. "Je crois que j'en ai pris trop, mais je savais pas quoi prendre" me défendis-je en faisant les petits thé qui accompagneront cette gourmandise.
J'en profitais pour ramener un plateau afin de minimiser les catastrophes et prendre place dans le lit après avoir enlevé mes chassures et surtout, mettre mis dans une tenue plus confortable qui n'est autre qu'un jogging et un t-shirt "Merci d'avoir chauffé la place" souriais-je en embrassant sa joue, alors que j'ouvrais le premier sachet pour qu'elle choisisse un croissant. Je fis de même. Cela ressemblait plus à une dissection tant j'étais concentré sur ce que je faisais, enlevant morceau de pâte feuilleté, par morceau de pâte feuilleté. La dissection dura à peu prêt dix bonnes minutes avant que je daigne à commencer à le manger en prenant autant de temps que mon dure travail d'avant. Sarah avait largement eut le temps de finir le sien, ou bien avait-elle été subjugué par mes toc hyper bizarre.
Je lui avais promis un bon petit déjeuner alors, mon courage à deux mains, je pénétrais dans une boulangerie pour la première fois depuis des années. Les mains moites, le stress, j'avais l'impression de passer un examen. "Que désirez-vous" je ne quittais pas les viennoisseries des yeux. "Six croissants, six pains au chocolat, deux baguettes viennoises, deux baguettes de pains et vingt chouquettes" J'en avais-je pris trop ? Probablement et je me sentais honteux de quitter la pays du gras avec tout ça dans les mains.
Le chemin me parut une éternité tant j'avais l'impression que les sachets qui suaient de gras, me jugeait, assis dans le siège passager. Travis, persécuté par des croissants, mais où va-t-on. Prenant la totalité de mes achats, je rentrais chez nous pour rejoindre mademoiselle qui avait bien chauffé la place. Je souriais en l'entendant. Je me rapprochais d'elle et fût à nouveau surpris de ce contact si soudain, mais si agréable. Mon sourire s'élargissait, alors que je lui rendais son étreinte avant de scruter l'écran Netflix. "T'as qu'à mettre les gardiens de la galaxy" Un film à la fois dans l'action et dans l'humour. Tout ce qu'on peut attendre d'un film pour nous détendre. "Je crois que j'en ai pris trop, mais je savais pas quoi prendre" me défendis-je en faisant les petits thé qui accompagneront cette gourmandise.
J'en profitais pour ramener un plateau afin de minimiser les catastrophes et prendre place dans le lit après avoir enlevé mes chassures et surtout, mettre mis dans une tenue plus confortable qui n'est autre qu'un jogging et un t-shirt "Merci d'avoir chauffé la place" souriais-je en embrassant sa joue, alors que j'ouvrais le premier sachet pour qu'elle choisisse un croissant. Je fis de même. Cela ressemblait plus à une dissection tant j'étais concentré sur ce que je faisais, enlevant morceau de pâte feuilleté, par morceau de pâte feuilleté. La dissection dura à peu prêt dix bonnes minutes avant que je daigne à commencer à le manger en prenant autant de temps que mon dure travail d'avant. Sarah avait largement eut le temps de finir le sien, ou bien avait-elle été subjugué par mes toc hyper bizarre.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2869
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Date d'inscription : 11/03/2018
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Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Attendre Travis me semblait durer une éternité. Je n’étais pas patiente et cela me posait souvent des problèmes, même si je faisais un réel travail sur moi-même là-dessus. Entre le fait que je ne sache pas quel film mettre, que je dois m’habiller un peu plus et que je ne le voyais toujours pas rentrer, je savais plus où donner de la tête. Arrivant enfin, je lui offrais un bel accueil avec une brève mais douce étreinte. Comme ça. Le mieux était lorsque ses bras m’enveloppaient car c’était, pour le moment, l’endroit où je me sentais le mieux au monde. Son choix de film me convenait tout à fait. Je le mettais en route afin qu’il charge un peu, faisant pause pour le moment. Mon regard se portait alors sur ce qu’il avait ramené. TOUT ce qu’il avait ramené. Autant dire que nous en avions pour toute la semaine, mais nous pouvions le congeler donc ce n’était pas grave. Ça ne serait pas gâché. « C’est parfait » lui assurais-je en prenant place sur mon lit. Ce n’était pas tous les jours que nous passions un moment ainsi, mais j’aimais bien. De plus, il fallait que nous parlions de nos prochaines vacances et j’avais hâte d’y être. Pas pour livrer la drogue, mais pour passer du temps avec mon colocataire, comme au Brésil. Nous allions finir par faire le tour du monde sans qu’il s’en rende compte et il râlerait parce que je ne suis pas sa femme. Pf !
Travis revenait avec le plateau mais aussi une tenue plus confortable et je laissais encore mon regard le détailler. Quoi ? Même s’il n’était pas copain avec la nourriture, il était magnifique. Quelques kilos en plus ne seraient réellement pas un luxe, mais il est beau et intelligent. Parfait physiquement et mentalement. Ma peluche panda vint tout contre moi alors que je souriais à ses paroles. « Elle est tiède.. mais on peut la réchauffer très vite si tu veux.. » le taquinais-je en souriant, flirtant légèrement comme sous-entendu dans nos SMS. En même temps, il m’avait dit que j’étais belle alors je pouvais utiliser un peu mes charmes, non ? Depuis notre baiser au Brésil, il n’y avait rien eu de plus, ce qui ne me surprenait pas. Après tout, ce n’était qu’un simple échange entre amis pour un rêve venant de mon côté. J’aimais ce petit jeu entre nous car il n’avait rien de malsain ou de sexuel. C’était juste pour se titiller et ça me convenait très bien.. ce qui était loin de mon quotidien, d’ailleurs, mais.. Notre relation me plaisait et je n’avais vraiment pas envie de la dégrader. Absolument pas.
Son baiser sur ma joue me fit sourire alors que je prenais un pain au chocolat, ainsi qu’une petite assiette pour éviter d’en mettre partout. Si mon lit venait à être rempli de chocolat, je dormais avec Travis, au pire. Commençant à manger mon petit déjeuner, je mettais le film en route, et je pense que le générique du début était le bienvenu car je voyais mon ami disséquer son petit pain. D’accord.. Je le regardais faire, avant de tourner le regard. Je me rappelais de notre dispute au Brésil et je n’avais pas envie que mon regard provoque des étincelles, malgré que nous ayons fait la paix. Continuant mon repas, je finis évidemment avant lui, ce qui me donnait envie d’en prendre un second, le posant pour d’abord boire mon thé. J’avais déjà vu ce film, mais il y a un petit moment alors je ne me rappelais pas de tous les détails. Néanmoins, je remarquais que mon colocataire ne se pressait pas pour manger. J’avais envie d’essayer un truc, mais je ne savais pas si ce serait bien vu de sa part. Afin de ne pas faire n’importe quoi, je préférais attendre qu’il ait fini son premier en-cas avant que je ne commence le second mien.
Travis revenait avec le plateau mais aussi une tenue plus confortable et je laissais encore mon regard le détailler. Quoi ? Même s’il n’était pas copain avec la nourriture, il était magnifique. Quelques kilos en plus ne seraient réellement pas un luxe, mais il est beau et intelligent. Parfait physiquement et mentalement. Ma peluche panda vint tout contre moi alors que je souriais à ses paroles. « Elle est tiède.. mais on peut la réchauffer très vite si tu veux.. » le taquinais-je en souriant, flirtant légèrement comme sous-entendu dans nos SMS. En même temps, il m’avait dit que j’étais belle alors je pouvais utiliser un peu mes charmes, non ? Depuis notre baiser au Brésil, il n’y avait rien eu de plus, ce qui ne me surprenait pas. Après tout, ce n’était qu’un simple échange entre amis pour un rêve venant de mon côté. J’aimais ce petit jeu entre nous car il n’avait rien de malsain ou de sexuel. C’était juste pour se titiller et ça me convenait très bien.. ce qui était loin de mon quotidien, d’ailleurs, mais.. Notre relation me plaisait et je n’avais vraiment pas envie de la dégrader. Absolument pas.
Son baiser sur ma joue me fit sourire alors que je prenais un pain au chocolat, ainsi qu’une petite assiette pour éviter d’en mettre partout. Si mon lit venait à être rempli de chocolat, je dormais avec Travis, au pire. Commençant à manger mon petit déjeuner, je mettais le film en route, et je pense que le générique du début était le bienvenu car je voyais mon ami disséquer son petit pain. D’accord.. Je le regardais faire, avant de tourner le regard. Je me rappelais de notre dispute au Brésil et je n’avais pas envie que mon regard provoque des étincelles, malgré que nous ayons fait la paix. Continuant mon repas, je finis évidemment avant lui, ce qui me donnait envie d’en prendre un second, le posant pour d’abord boire mon thé. J’avais déjà vu ce film, mais il y a un petit moment alors je ne me rappelais pas de tous les détails. Néanmoins, je remarquais que mon colocataire ne se pressait pas pour manger. J’avais envie d’essayer un truc, mais je ne savais pas si ce serait bien vu de sa part. Afin de ne pas faire n’importe quoi, je préférais attendre qu’il ait fini son premier en-cas avant que je ne commence le second mien.
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Un film, des couettes, la matinée parfaite. Et même si on se rapprochait plus de midi, c'était notre matinée à nous. Le film pouvait enfin commencer avec le fameux générique Marvel. Nous étions parti pour un peu plus de deux heures de film. Je ne sais pas si j'arriverais à le regarder en entier sans m'endormir, parler ou partir dans tout autre activité, mais en attendant, nous étions tous les deux les yeux rivés dessus, alors que je suis persuadé qu'on le connait déjà par coeur. Main dans le croissant, je le mangeais à mon rythme tandis que Sarah en prenait déjà un second. Je souriais en ayant l'image de moi plus jeune, en train de les manger deux par deux. Car oui, étant petit je m'étais les deux d'un coup dans la bouche, je n'avais pas le temps vous comprenez (a)
Ce n'est qu'au bout d'une vingtaine de minutes que je finissais enfin de manger mon premier croissant. Je m'empressais de me laver les mains à l'aide de mon gel hydroalcoolique qui se situait au niveau de ma table de nuit. C'est une grande première pour moi d'avoir manger un truc aussi gras, mais surtout devant quelqu'un. Je me sentais un petit peu honteux d'avoir craquer sur de la nourriture malsaine et je sentais que ma colocataire attendait que je finisse. Pourquoi ? Aucune idée. "Oui ?" demandais-je gentiment interloqué de savoir ce qu'elle avait.
Ce n'est qu'au bout d'une vingtaine de minutes que je finissais enfin de manger mon premier croissant. Je m'empressais de me laver les mains à l'aide de mon gel hydroalcoolique qui se situait au niveau de ma table de nuit. C'est une grande première pour moi d'avoir manger un truc aussi gras, mais surtout devant quelqu'un. Je me sentais un petit peu honteux d'avoir craquer sur de la nourriture malsaine et je sentais que ma colocataire attendait que je finisse. Pourquoi ? Aucune idée. "Oui ?" demandais-je gentiment interloqué de savoir ce qu'elle avait.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Avec : Travis C. Gaultier
Vivre un moment si calme et serein, sans prise de tête, était une grande première pour moi. Je n'avais pas l'habitude d'être assise sagement sur un lit, entrain de regarder un film, avec un homme très charmant, pendant que l'on déguste un petit déjeuner des plus sympathiques. Néanmoins, c'était tout à fait le cas et je m'en réjouissais. Je profitais de ce moment pour manger et évidemment, j'étais très fière que mon colocataire est trouvé l'appétit. Je savais qu'il ne mangerait pas l'intégralité de ce qu'il avait acheté - même moi je serais malade si je faisais ça - mais un petit pain.. C'était déjà pas mal ! D'autant plus que je tentais de ne pas le pousser à ingurgiter des tonnes car cela allait le rendre mal à l'aise. Voilà pourquoi je préférais attendre avant d'entamer une autre pâtisserie des plus délicieuses. Certes, je dus attendre de longues minutes, mais cela me permettait de débuter la digestion. Autant voir les bénéfices que sans cesse les côtés négatifs, non ?
Une fois les mains propres, Travis posait son attention sur moi. Son air se voulait interloqué, probablement du à ma patience surprenante quant à la suite de mon repas. Sans rien dire, mon idée bien fixée en tête, je venais me mettre à califourchon sur lui. Un doux sourire aux lèvres, je prenais mes précautions pour ne pas être trop proche de lui sous la ceinture. Mon but n'était absolument pas de le faire fuir ou de lui sauter dessus, il pouvait continuer à respirer calmement. « Ouvre la bouche » demandais-je avec précaution en prenant un petit bout de mon deuxième encas. Mon objectif ? Partager équitablement et rendre son repas plus joyeux. Je ne le prenais pas pour un débile ou un assisté, loin de là. C'était juste un moment ensemble.. Tout simplement..
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Si son regard sur moi me stressait ? Complètement ! J'ai toujours eu horreur qu'on me regarde manger, car c'est l'un des moments où je suis le plus faible et cette sensation m'est on ne peut plus désagréable. Soit, là j'avais une idée bien en tête. Mon rendez-vous chez le médecin avait été clair, net et conçis et me retrouver bloquer une nouvelle fois dans un hôpital en ayant aucune autorisation de visite, d'appel ou de sorties n'est pas du tout dans mes projets. Alors, je prenais sur moi juste pour qu'on me foute la paix.
Je finissais mon croissant. Je rigolais en l'a voyant grimper sur moi. J'étais surpris, amusé et la situation pouvait paraître très ambiguë pour le coup. Je fronçais les sourcils en me demandant ce qu'elle avait derrière la tête. Ok, le film était là juste en bruit de fond afin d'avoir le parfait cliché du petit déjeuner au lit. J'ouvrais la bouche avant de recevoir un morceau de sa viennoiserie. On aurait dit un petit couple et cela était loin de me déranger, mais je gardais cette pensée pour moi. Pour le moment.
Je faisais mine de mordre son doigt sans vraiment le faire pour ne pas lui faire mal. Je riais légèrement avant d'attraper à mon tour un morceau pour le tendre devant la bouche de la demoiselle. Mon autre main caressait le bas de sa taille, alors que mes yeux fixaient son visage. Ses traits son six doux que je trouve ça reposant. Ses petits moment-là, je ne m'en lasserait jamais et c'était bizarre de vivre cela avec une fille qui n'est pas ma compagne, car ce n'est pas du tout dans mes habitudes, mais Sarah est différente.
Je finissais mon croissant. Je rigolais en l'a voyant grimper sur moi. J'étais surpris, amusé et la situation pouvait paraître très ambiguë pour le coup. Je fronçais les sourcils en me demandant ce qu'elle avait derrière la tête. Ok, le film était là juste en bruit de fond afin d'avoir le parfait cliché du petit déjeuner au lit. J'ouvrais la bouche avant de recevoir un morceau de sa viennoiserie. On aurait dit un petit couple et cela était loin de me déranger, mais je gardais cette pensée pour moi. Pour le moment.
Je faisais mine de mordre son doigt sans vraiment le faire pour ne pas lui faire mal. Je riais légèrement avant d'attraper à mon tour un morceau pour le tendre devant la bouche de la demoiselle. Mon autre main caressait le bas de sa taille, alors que mes yeux fixaient son visage. Ses traits son six doux que je trouve ça reposant. Ses petits moment-là, je ne m'en lasserait jamais et c'était bizarre de vivre cela avec une fille qui n'est pas ma compagne, car ce n'est pas du tout dans mes habitudes, mais Sarah est différente.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Son rire me faisait sourire de plus belle, car c’était une mélodie tout à fait agréable. Le connaissant tout de même un peu désormais, je savais que si cela l’avait réellement embêté ou angoissé, Travis m’aurait repoussé ou demandé de m’enlever. Gênés, nous l’étions tous les deux, mais je me cachais de lui en faire part. Notre passé est lointain, mais je ne le lui avais pas caché le fait de pouvoir remettre ça une fois, dès qu’il le souhaiterait. Nous étions colocataire depuis quelques temps maintenant et je m’étais toujours tenue à carreaux, car il me l’avait demandé. Lui sauter sauvagement dessus.. Non. J’ai trop de respect pour lui jusqu’à tenter quelque chose de ce genre. Nous avions échangé un baiser très appréciable au Brésil, mais c’était venu d’une demande formulée, pas d’un acte sorti de nulle part. En tout cas, mon jeu semblait l’amuser car il fit semblant de mordre mon doigt, ce qui me fit grandement rire. Ce à quoi je ne m’attendis pas fut qu’il fasse la même chose, à savoir me tendre un bout. Plongeant mon regard dans le sien, je sentis très très trèèès légèrement mes pommettes chauffées. Afin de mettre fin à mon embarras – je supposais que c’était cela – je vins prendre ce qu’il me tendait, évitant de toucher ses doigts. Mes lèvres sur ses doigts, ce serait totalement inapproprié et je n’avais pas envie que ça se transforme en n’importe quoi.
Ses doigts sur ma taille, nous continuions notre petit moment en souriant et en riant parfois. En un rien de temps, le petit pain disparut et je me sentais totalement rassasiée. Doucement, je venais poser un délicat baiser sur le front de mon ami avant de m’avancer légèrement contre lui afin de l’enlacer. Je savais que je ne supportais pas très longtemps de tenir quelqu’un contre moi car.. Soit, c’est ainsi. Néanmoins, les yeux fermés, j’en profitais, oubliant notre film tout comme le reste. J’étais à deux doigts de m’endormir contre lui tant je me sentais bien. J’avais souvent eu l’idée d’aller me glisser dans ses draps pour dormir – je préfère dormir avec quelqu’un, depuis longtemps – mais je n’avais pas envie de lui infliger une crise cardiaque ou être mal à l’aise au petit matin avec son petit souci dans le boxer. Partie de son corps dont je prenais actuellement assez de distance, je l’espère. Enfin, nous sommes amis donc.. Il ne peut de toute façon rien se passer, pas vrai ?
Ses doigts sur ma taille, nous continuions notre petit moment en souriant et en riant parfois. En un rien de temps, le petit pain disparut et je me sentais totalement rassasiée. Doucement, je venais poser un délicat baiser sur le front de mon ami avant de m’avancer légèrement contre lui afin de l’enlacer. Je savais que je ne supportais pas très longtemps de tenir quelqu’un contre moi car.. Soit, c’est ainsi. Néanmoins, les yeux fermés, j’en profitais, oubliant notre film tout comme le reste. J’étais à deux doigts de m’endormir contre lui tant je me sentais bien. J’avais souvent eu l’idée d’aller me glisser dans ses draps pour dormir – je préfère dormir avec quelqu’un, depuis longtemps – mais je n’avais pas envie de lui infliger une crise cardiaque ou être mal à l’aise au petit matin avec son petit souci dans le boxer. Partie de son corps dont je prenais actuellement assez de distance, je l’espère. Enfin, nous sommes amis donc.. Il ne peut de toute façon rien se passer, pas vrai ?
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La deuxième viennoiserie engloutie, je souriais tandis que le silence régnait dans la pièce. Il n'y avait que le Marvel qui s'occuper de faire un peu de bruit, car ni elle, ni moi, n'avions envie de parler. Comme quoi aimions plus nous taire et agir. Le fait qu'elle m'enlace toujours sans aucune réelle raison me surprenait à chaque fois, mais je commençais doucement à m'y faire du fait qu'elle ait besoin d'avoir une certaine intention sur elle et j'étais prêt à lui donner toute l'affection du monde si cela pouvait l'a rendre plus épanouie.
Mon sourire se perda dans sa nuque en l'a sentant légèrement somnoler. "Bah alors, faut dormir la nuit" la taquinais-je en caressant délicatement ses longs cheveux qui devaient demander énormément d'entretient vu l'épaisseur. Voilà que je me mets à penser coiffeur. "Si t'es fatigué je vais ranger et on peut se poser" Soit, somnoler tous les deux devant un bon Marvel.
Je l'a basculais sur sa place en riant. "Je vais ranger, bouge pas" Je prenais tous les sachets de viennoiseries pour pouvoir les enfermer dans la cuisine. Sachet bien fermé, paquet aussi, je faisais les cent pas dans la cuisine. Sept cent six calories. Je sentais mes mains moites et mon coeur s'accélérer, les larmes monter. Je courrais m'enfermer dans la salle de bain. Elle ne devrait pas attendre trop longtemps, cela devrait se passer rapidement. L'index et le majeur en bouche, je rejetais ce que je venais d'avaler. Ce n'était pas quelque chose d'habituel chez moi puisque je suis plus dans la restriction, mais je n'étais pas encore prêt d'avaler autant de calorie d'un coup. Je tirais la chasse d'eau après avoir essuyer mes larmes, mettre recoiffé et rejoindre Sarah l'air de rien. Du moins, je l'espère. Je me glissais sous les draps afin de la rejoindre pour une petite sieste bien confortable.
Mon sourire se perda dans sa nuque en l'a sentant légèrement somnoler. "Bah alors, faut dormir la nuit" la taquinais-je en caressant délicatement ses longs cheveux qui devaient demander énormément d'entretient vu l'épaisseur. Voilà que je me mets à penser coiffeur. "Si t'es fatigué je vais ranger et on peut se poser" Soit, somnoler tous les deux devant un bon Marvel.
Je l'a basculais sur sa place en riant. "Je vais ranger, bouge pas" Je prenais tous les sachets de viennoiseries pour pouvoir les enfermer dans la cuisine. Sachet bien fermé, paquet aussi, je faisais les cent pas dans la cuisine. Sept cent six calories. Je sentais mes mains moites et mon coeur s'accélérer, les larmes monter. Je courrais m'enfermer dans la salle de bain. Elle ne devrait pas attendre trop longtemps, cela devrait se passer rapidement. L'index et le majeur en bouche, je rejetais ce que je venais d'avaler. Ce n'était pas quelque chose d'habituel chez moi puisque je suis plus dans la restriction, mais je n'étais pas encore prêt d'avaler autant de calorie d'un coup. Je tirais la chasse d'eau après avoir essuyer mes larmes, mettre recoiffé et rejoindre Sarah l'air de rien. Du moins, je l'espère. Je me glissais sous les draps afin de la rejoindre pour une petite sieste bien confortable.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2869
Messages : 266
Date d'inscription : 11/03/2018
Avatar : Eleanor Calder
Crédits : © bbchat
Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Changer de programme me convenait totalement puisque je trouvais qu’être contre Travis valait tous les Marvel réunis. En tout cas, je sentais que j’étais prête à m’endormir très rapidement s’il ne se passait rien. Cela ne semblait pas gêner mon colocataire. Ses petites attentions ne me dérangeaient pas du tout. Sa remarque me fit pouffer dans le creux de son cou. « Je dors en ce moment » murmurais-je. En plus, c’était la vérité. Je n’étais pas sortie une seule fois depuis notre retour du Brésil. Autant dire que c’était un exploit. Ses caresses dans mes cheveux m’achevaient. Point faible, quand tu nous tiens. « Mh mh ouais » soufflais-je contre lui, sans trop vouloir me séparer de lui. Quoique, je pense que son intervention était pile au bon moment car j’allais probablement pris mes distances d’ici quelques minutes. Et hop, à ma place. « Je ne compte pas m’enfuir de mon lit » pouffais-je. M’allongeant tranquillement, je gardais mon pyjama et mes sous-vêtements pour ne pas que ça pose problème à notre réveil.
Sans faire attention à combien de temps Travis était parti, je laissais le film se terminé, sachant que la télévision se couperait toute seule une fois finie. En tout cas, son corps rejoignit le mien sous la couette et je ne tardais pas à venir me coller contre lui, sans réfléchir. Tel un koala, je m’emmêlais avec lui en soupirant de bien-être. Tout mon corps se détendait au contact du sien. Une grande première pour partir dans quelques heures de sommeil, collé l’un contre lui. «’nuit » chuchotais-je très bas avant de m’endormir. Dire que je m’étais réveillée il y a quelques heures à peine et me voilà repartis pour un autre sommeil. En tout cas, je me sentais très bien ainsi et je n’avais pas envie de bouger de ma place. Vraiment pas.
Sans faire attention à combien de temps Travis était parti, je laissais le film se terminé, sachant que la télévision se couperait toute seule une fois finie. En tout cas, son corps rejoignit le mien sous la couette et je ne tardais pas à venir me coller contre lui, sans réfléchir. Tel un koala, je m’emmêlais avec lui en soupirant de bien-être. Tout mon corps se détendait au contact du sien. Une grande première pour partir dans quelques heures de sommeil, collé l’un contre lui. «’nuit » chuchotais-je très bas avant de m’endormir. Dire que je m’étais réveillée il y a quelques heures à peine et me voilà repartis pour un autre sommeil. En tout cas, je me sentais très bien ainsi et je n’avais pas envie de bouger de ma place. Vraiment pas.
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