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YESTERDAY'S NEWS |48
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2885
Messages : 266
Date d'inscription : 11/03/2018
Avatar : Eleanor Calder
Crédits : © bbchat
Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Après toute l’après-midi à bronzer, seule, je m’étais décidée à retourner dans la chambre pour prendre un petit bain avant de me préparer pour le soir. Si Travis comptait faire la gueule et me laisser de côté, je n’allais pas rester sagement à ses côtés pour attendre ce qu’il souhaite faire. Je lui avais dit que j’aime être libre, sans aucune contrainte. En tout cas, je voyais que mon absence ne lui faisait pas grand-chose. Après avoir fait le tour des pièces, je l’avais trouvé dans le lit entrain de dormir. Soupirant doucement, je préférais le laisser somnoler tranquillement, ayant évidemment fait attention à bien voir son torse se lever et s’abaisser. Si je m’inquiétais pour lui ? Non. J’aimerais juste qu’il reste en vie. Refermant la porte, j’allais dans la salle de bain pour me détendre un peu.
Une fois dedans, mes muscles se détendaient complètement et je prenais plaisir à être enveloppée d’eau chaude. Mes pensées divaguaient un peu alors que je me rendais compte que je n’avais pas fermé la porte et que je n’avais pas allumé la lumière principale, mais uniquement une petite bougie. Soit, qu’est-ce qu’il pourrait arriver ? À peine eus-je le temps d’y penser que la porte s’ouvrir sur un Travis à moitié endormi qui ne fit pas vraiment attention à moi. Certes, voir un homme aller aux toilettes ne me choquerait pas, mais s’il se rendait compte à ce moment-là que j’étais présente.. « Mh mh » dis-je en me raclant la gorge, n’oubliant pas de détailler son corps dénudé.
Une fois dedans, mes muscles se détendaient complètement et je prenais plaisir à être enveloppée d’eau chaude. Mes pensées divaguaient un peu alors que je me rendais compte que je n’avais pas fermé la porte et que je n’avais pas allumé la lumière principale, mais uniquement une petite bougie. Soit, qu’est-ce qu’il pourrait arriver ? À peine eus-je le temps d’y penser que la porte s’ouvrir sur un Travis à moitié endormi qui ne fit pas vraiment attention à moi. Certes, voir un homme aller aux toilettes ne me choquerait pas, mais s’il se rendait compte à ce moment-là que j’étais présente.. « Mh mh » dis-je en me raclant la gorge, n’oubliant pas de détailler son corps dénudé.
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 03/04/2018
Avatar : Louis Tomlinson
Crédits : jukeboxe
Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : nothing
Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Une grosse sieste. J'avais l'impression d'ê^tre encore plus fatigué qu'avant. Les membres lourds, la tête dans les vapes, je marchais à tâtons pour aller jusque la salle de bain afin de pisser. Rien de très passionnant. Etrange que Sarah ne soit pas encore rentré, mais peut-être à-t-elle trouvé des gens intéressant à qui parler. Soit, ne me posant pas plus de questions, je me perdais dans mes pensées avant de sursauter. Qu'est-ce qu'il se passe ? Une bougie allumée, de l'eau qui coule. là, c'est gênant. Heureusement que ne dors pas entièrement nu. Je remettais vite fait mon boxer. "Merde désolé, j'avais pas vu !" En même temps, elle aurait pu au moins allumer une lumière ou encore fermer la porte pour prévenir de sa présence dans la chambre. Non, au lieu de cela elle avait décidé de faire tout le contraire.
Je manquais de me prendre la porte pour sortir de la pièce."Jte laisse" Je refermais la porte derrière moi. "La prochaine fois, ferme la porte" on, je l'ai déjà vu nu -même si ça remonte à y a longtemps- mais ce n'est pas une raison. C'est comme si on décidait de pisser la porte ouverte. Un minimum de savoir vivre. J'attendais qu'elle sorte, savoir si elle voulait sortir ce soir. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle sorte en serviette au calme, comme si nous vivions ensemble depuis dix ans. Je souriais légèrement en l'a regardant. "Donc c'est bon, on est arrivé au stade où on peut se balader à poil dans l'appart sans gêne ?" disais-je en rigolant. Bon, je dis ça, mais j'étais resté en boxer. Il me faut encore un certain temps pour me réveiller. "On va où ce soir ?" Elle avait l'air d'avoir une idée en tête, autant demandé.
Je manquais de me prendre la porte pour sortir de la pièce."Jte laisse" Je refermais la porte derrière moi. "La prochaine fois, ferme la porte" on, je l'ai déjà vu nu -même si ça remonte à y a longtemps- mais ce n'est pas une raison. C'est comme si on décidait de pisser la porte ouverte. Un minimum de savoir vivre. J'attendais qu'elle sorte, savoir si elle voulait sortir ce soir. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle sorte en serviette au calme, comme si nous vivions ensemble depuis dix ans. Je souriais légèrement en l'a regardant. "Donc c'est bon, on est arrivé au stade où on peut se balader à poil dans l'appart sans gêne ?" disais-je en rigolant. Bon, je dis ça, mais j'étais resté en boxer. Il me faut encore un certain temps pour me réveiller. "On va où ce soir ?" Elle avait l'air d'avoir une idée en tête, autant demandé.
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Profitant de mon bain, je n’aurais pas cru que Travis se réveille et entre dans la pièce, l’air de rien, presque nu.. avant de baisser son boxer et je sentais que c’était le moment d’annoncer ma présence. Sa réaction me fit sourire. Tellement gêné, c’était mignon. Tu m’étonnes qu’il ne m’avait pas vu, sinon il ne serait sûrement pas rentré et encore moins près à aller aux toilettes. En tout cas, je ne détachais pas mon regard de lui avant qu’il ne quitte la pièce. Il aurait pu me rejoindre dans le bain, nous aurions économisé de l’eau. Dommage. Une fois hors de la pièce, je me rinçais tranquillement avant de sortir et de vider l’eau de la baignoire. Serviette nouée et soins appliqués sur mon corps et mes cheveux, je n’avais pas songé à prendre mes affaires dans la chambre. La remarque de mon colocataire me fit rire. « Si ça ne te gêne pas, ça me va, tu peux enlever ton boxer » m’amusais-je en lui envoyant un regard du coin de l’œil, prête à retirer ma serviette s’il venait à se mettre à nu. Exposer mon corps était le cadet de mes soucis, en particulier face à un homme aussi charmant.
Sa question me surprit. Parce que nous sortions ensemble ? Je ne souhaitais pas de faire de remarque car je n’avais pas envie d’une autre dispute entre nous. « Il y a des concerts en ville, des scènes ouvertes, alors j’avais pensé y aller et.. » Prendre à manger là-bas, mais je ne préférais même pas en parler. « Peut-être finir en boîte de nuit, si j’en trouve une » dis-je en haussant les épaules. Ce n’était vraiment pas fait, je verrais bien comment se déroulerait la soirée. Je m’éclipsais dans la chambre avant de retirer ma serviette pour pouvoir m’habiller. Je mettais des vêtements assez légers pour être à l’aise pour la soirée, zappant l’étape maquillage vu la chaleur. Ressortant de la chambre, je venais piquer à boire – de l’eau – dans le mini-bar.
Sa question me surprit. Parce que nous sortions ensemble ? Je ne souhaitais pas de faire de remarque car je n’avais pas envie d’une autre dispute entre nous. « Il y a des concerts en ville, des scènes ouvertes, alors j’avais pensé y aller et.. » Prendre à manger là-bas, mais je ne préférais même pas en parler. « Peut-être finir en boîte de nuit, si j’en trouve une » dis-je en haussant les épaules. Ce n’était vraiment pas fait, je verrais bien comment se déroulerait la soirée. Je m’éclipsais dans la chambre avant de retirer ma serviette pour pouvoir m’habiller. Je mettais des vêtements assez légers pour être à l’aise pour la soirée, zappant l’étape maquillage vu la chaleur. Ressortant de la chambre, je venais piquer à boire – de l’eau – dans le mini-bar.
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Je retenais qu'elle était donc pas pudique. Nous avions déjà pris une douche ensemble, donc ce ne serait pas une première que de la voir nu, mais si nous pouvions garder un minimum d'intimité l'un en vers l'autre, je ne dirais pas non. Non pas que je sois pudique, mais je ne suis pas adepte du naturisme. D'ailleurs, je devrais songer à moi aussi, prendre une douche. Non pas que j'en ai urgemment besoin, mais après quelques heures de sommeils disons que ça ne pourra me faire que du bien. Surtout si on passe une nuit agité, car le programme de Sarah n'était pas de tout repos. Soirée, boite de nuit. Bien sûr que je n'étais pas obligé de la suivre dans ses folies, mais j'en avais envie.
"Je suis partant" je souriais avant de me lever pour me chercher de quoi m'habiller une fois ma douche finie. J'étais du genre rapide sous l'eau, alors après dix minutes, je sortais de la salle de bain vêtu d'une chemise assez long et un pantacourt légèrement troué en mode bon touriste. "Cette fois-ci, je ne bois pas, gifle moi si tu me vois avec un verre d'alcool dans les mains" disais-je en rigolant. A notre première rencontre elle avait été très insistante sur le fait qu'il fallait que je bois ce petit coktail d'alcool. Elle s'était vite rendu compte que je ne tenais pas. Même une bière me mettrait par terre à l'heure actuelle. Je laissais la demoiselle se préparer tranquillement pour se mettre en beauté. Même si entre nous, elle n'avait vraiment pas besoin d'artifice pour être en bombe. La preuve, elle ressortait de la chambre sans maquillage avec une tenue des plus simples et elle restait sublime. Je crois bien que si j'avais été plus jeune, je lui aurais demandé d'être ma petite amie.
"Tu te fais un before water ?" riais-je en m'accoudant au bar. Il était à présent l'heure de partir. Lunette de soleil sur le bout du nez, sandale au pied et c'est parti ! A peine dehors, je m'allumais une bonne cigarette tout en me dirigeant vers le lieu où se situait les nombreux concerts dont ma colocataire avait entendu parlé. A peine arrivé, clope coincé entre mes lèvres, je me positionnais derrière elle en posant mes mains sur sa taille. "Tu veux quelque chose ? je t'invite" Je n'avais rien a me faire pardonné de notre engueulade de cet après-midi, mais cela me faisait plaisir de lui offrir de quoi boire. "Et non, je ne t'incite pas à la consommation, tu peux très bien prendre un jus de fruit" référence au fait qu'elle m'a limite inciter à boire de l'alcool lors de notre première rencontre (a) J'espérais au moins qu'ils aient autre chose que de l'alcool ici.
"Je suis partant" je souriais avant de me lever pour me chercher de quoi m'habiller une fois ma douche finie. J'étais du genre rapide sous l'eau, alors après dix minutes, je sortais de la salle de bain vêtu d'une chemise assez long et un pantacourt légèrement troué en mode bon touriste. "Cette fois-ci, je ne bois pas, gifle moi si tu me vois avec un verre d'alcool dans les mains" disais-je en rigolant. A notre première rencontre elle avait été très insistante sur le fait qu'il fallait que je bois ce petit coktail d'alcool. Elle s'était vite rendu compte que je ne tenais pas. Même une bière me mettrait par terre à l'heure actuelle. Je laissais la demoiselle se préparer tranquillement pour se mettre en beauté. Même si entre nous, elle n'avait vraiment pas besoin d'artifice pour être en bombe. La preuve, elle ressortait de la chambre sans maquillage avec une tenue des plus simples et elle restait sublime. Je crois bien que si j'avais été plus jeune, je lui aurais demandé d'être ma petite amie.
"Tu te fais un before water ?" riais-je en m'accoudant au bar. Il était à présent l'heure de partir. Lunette de soleil sur le bout du nez, sandale au pied et c'est parti ! A peine dehors, je m'allumais une bonne cigarette tout en me dirigeant vers le lieu où se situait les nombreux concerts dont ma colocataire avait entendu parlé. A peine arrivé, clope coincé entre mes lèvres, je me positionnais derrière elle en posant mes mains sur sa taille. "Tu veux quelque chose ? je t'invite" Je n'avais rien a me faire pardonné de notre engueulade de cet après-midi, mais cela me faisait plaisir de lui offrir de quoi boire. "Et non, je ne t'incite pas à la consommation, tu peux très bien prendre un jus de fruit" référence au fait qu'elle m'a limite inciter à boire de l'alcool lors de notre première rencontre (a) J'espérais au moins qu'ils aient autre chose que de l'alcool ici.
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Avec : Travis C. Gaultier
Mon côté « je m’en foutiste » de me balader nue devant ses yeux ne semblait pas le ravir. J’aurais pu me vexer, mais d’un sens.. c’était compréhensible. Après tout, tout le monde n’aime pas se promener à moitié nu devant les autres. Je ne suis pas naturiste, mais j’aime aussi être libre dans mon chez-moi. Un appartement que je partageais comme la chambre actuelle donc autant me tenir en respect avec les attentes de Travis. Il ne devait juste pas m’en vouloir si j’oubliais de temps à autre mes affaires dans la chambre et que je passe rapidement en serviette dans le couloir. Ce n’était pas comme si je lui faisais un strip-tease juste devant le nez. Quoique l’idée pourrait être sympathique.. Enfin, je préférais lui parler du programme dont j’avais songé pour la soirée et apparemment, je ne serais pas seule. Oui, j’étais ravie que l’on sorte ensemble. D’autant plus qu’un semblait d’accord à mon plan tout entier. Parfait ! Je le laissais aller se doucher et s’habiller, pendant que j’enfilais aussi de quoi passer une soirée agréable et confortable.
Sa voix s’élevait alors que je finissais de me préparer. Forcément, je riais doucement à sa remarque très importante, il faut l’avouer. Plus jeune, je lui avais forcé un peu la main pour qu’il boive et il faut dire qu’une fois alcoolisé, c’était très marrant. Pardon, c’est ce n’est que la vérité ! « Je ne te giflerais pas » dis-je en le rejoignant pour finir de prendre mes affaires. « Je trouverais un autre moyen bien plus dissuasif » le taquinais-je, ne sachant pas trop ce que je pourrais réellement faire. Être sur le point de l’embrasser semblait fonctionner, mais ce n’était pas la meilleure option, je trouve. Sa gentille moquerie me fit sourire. « Ily a des gens alcooliques.. et d’autres sont hydrauliques » fis-je sérieusement avant de rire. Tu parles d’une blague pourrie, on avait le même niveau pour le coup.
Sortant de l’hôtel avec lui, j’avais rapidement enfilé une paire de sandales noirs histoire d’être en raccord avec ma tenue. Le voir et sentir fumer ne me gênait pas le moins du monde. Bon, pour être honnête, je ne m’étais pas que habillée dans ma chambre, mais je n’avais rien pris de très.. Ok, je ne me voyais pas mentir. Soit, ce n’était pas le moment de s’étaler là-dessus. S’approchant de l’une des scènes présentes, je sentais deux mains se poser sur ma taille. Me raidir ? Et non. Le « relaxant » que j’avais pris me permettait d’être bien plus détendue. Je pouffais à l’ensemble de ses paroles. « Va pour un jus de fruit frais » demandais-je doucement , venant caresser ses mains du bout des doigts. Bien que mon cerveau soit un peu embrouillé, mon cœur, lui, s’emballait étrangement. Mieux valait donc ne pas mélanger deux produits mauvais pour la santé.
Sa voix s’élevait alors que je finissais de me préparer. Forcément, je riais doucement à sa remarque très importante, il faut l’avouer. Plus jeune, je lui avais forcé un peu la main pour qu’il boive et il faut dire qu’une fois alcoolisé, c’était très marrant. Pardon, c’est ce n’est que la vérité ! « Je ne te giflerais pas » dis-je en le rejoignant pour finir de prendre mes affaires. « Je trouverais un autre moyen bien plus dissuasif » le taquinais-je, ne sachant pas trop ce que je pourrais réellement faire. Être sur le point de l’embrasser semblait fonctionner, mais ce n’était pas la meilleure option, je trouve. Sa gentille moquerie me fit sourire. « Ily a des gens alcooliques.. et d’autres sont hydrauliques » fis-je sérieusement avant de rire. Tu parles d’une blague pourrie, on avait le même niveau pour le coup.
Sortant de l’hôtel avec lui, j’avais rapidement enfilé une paire de sandales noirs histoire d’être en raccord avec ma tenue. Le voir et sentir fumer ne me gênait pas le moins du monde. Bon, pour être honnête, je ne m’étais pas que habillée dans ma chambre, mais je n’avais rien pris de très.. Ok, je ne me voyais pas mentir. Soit, ce n’était pas le moment de s’étaler là-dessus. S’approchant de l’une des scènes présentes, je sentais deux mains se poser sur ma taille. Me raidir ? Et non. Le « relaxant » que j’avais pris me permettait d’être bien plus détendue. Je pouffais à l’ensemble de ses paroles. « Va pour un jus de fruit frais » demandais-je doucement , venant caresser ses mains du bout des doigts. Bien que mon cerveau soit un peu embrouillé, mon cœur, lui, s’emballait étrangement. Mieux valait donc ne pas mélanger deux produits mauvais pour la santé.
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Ce n'est pas une femme violente, en voilà un bon point. Heureusement que j'avais constamment le contrôle sur tout ce que je faisais. Par conséquent, je savais déjà que je boirais uniquement de l'eau (ils sont obligés dans avoir) Vivons d'amour et d'eau fraîchie, n'est-ce pas là, la clé du bonheur ? "Allez zou, au lieu de dire des bêtises" Nan, parce que si on commençait sur ce genre de blague, qu'est-ce que cela va être en fin de soirée lorsqu'on aura accumulé de la fatigue. Le pire, c'est que c'est notre état naturel, alors imaginez lorsque nous sommes pas sobre.
Nous arrivions sur les lieux où la musique battait déjà son plein. Un jus de fruits pour madame, je partais en direction du bar pour prendre de quoi ne pas mourir déshydrater sur place, avant de l'a rejoindre. "Et voilà" Je lui tendais en souriant. "On fait la paix ?" disais-je en levant mon verre, faisant référence à notre mauvaise dispute de toute à l'heure. Je n'aime pas partir fâché et je préfère mettre les choses au claire. "T'es heureuse ?" Demandais-je sincèrement. En fait, ça devait la question la plus sincère que j'ai dû poser depuis que notre petit jeu venait de commencer. Et j'attendais d'elle, qu'elle me donne une réponse toute aussi sincère que ma question.Je n'attendais pas d'explication supplémentaire de sa part -pour le moment- mais juste toute sa sincérité. Si nous étions parti pour un round deux ? Probablement. Nous en sortirions plus grandi de ce voyage et surtout, on se connaîtra beaucoup plus. En apprendre plus sur quelqu'un dans un lieu neutre est très important pour le développement personnel. Et nous mettions parfaitement en pratique tout ça.
Nous arrivions sur les lieux où la musique battait déjà son plein. Un jus de fruits pour madame, je partais en direction du bar pour prendre de quoi ne pas mourir déshydrater sur place, avant de l'a rejoindre. "Et voilà" Je lui tendais en souriant. "On fait la paix ?" disais-je en levant mon verre, faisant référence à notre mauvaise dispute de toute à l'heure. Je n'aime pas partir fâché et je préfère mettre les choses au claire. "T'es heureuse ?" Demandais-je sincèrement. En fait, ça devait la question la plus sincère que j'ai dû poser depuis que notre petit jeu venait de commencer. Et j'attendais d'elle, qu'elle me donne une réponse toute aussi sincère que ma question.Je n'attendais pas d'explication supplémentaire de sa part -pour le moment- mais juste toute sa sincérité. Si nous étions parti pour un round deux ? Probablement. Nous en sortirions plus grandi de ce voyage et surtout, on se connaîtra beaucoup plus. En apprendre plus sur quelqu'un dans un lieu neutre est très important pour le développement personnel. Et nous mettions parfaitement en pratique tout ça.
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Nos taquineries m’amusaient beaucoup et je ne cessais de pouffer alors que nous sortions pour aller dans le centre ville, afin d’écouter plusieurs groupes dans la rue. Une sortie qui, je l’espérais, ne se finirait pas aussi mal que dans la piscine. Je savais que j’avais parlé d’un sujet délicat et que j’avais eu un ou deux mots de trop, mais je ne présenterais aucune excuse. Je trouvais que c’était important d’en parler, mais je ne le ferais plus sauf si lui lançait la discussion entre nous. Enfin proche de la musique, les mains de mon ami sur moi me firent sourire alors qu’il me proposait à boire et je préférais rester sobre. Niveau alcool, car pour ce qui ‘était de la drogue.. Ce n’était pas ça, mais ça me permettait de ne pas penser à notre dispute et juste de profiter de la soirée comme nous devrions le faire. Alors que Travis était parti chercher un verre, je croisais le regard de plusieurs personnes sur moi. Levant les yeux au ciel, je tentais de rester gentille pour ne pas les envoyer chier à haute voix devant tout le monde. Heureusement, mon colocataire revint très vite. « Merci » souriais-je en prenant mon verre. Entrechoquant mon verre avec le sien, je lui glissais un « avec plaisir » avec un petit clin d’œil. C’était déjà du passé alors c’était bien que l’on puisse mettre cela de côté et ne plus en reparler. Profitons de nos vacances, tout simplement. Je préférais mille fois me rappeler de notre baiser que de notre embrouille.
Sa question me fit tourner la tête vers lui. La sincérité que j’entendais dans sa voix me touchait en plein cœur et un sourire prenait place sur mes lèvres. « Comme ça.. » dis-je en ouvrant ses bras, me mettant contre lui avant de les refermer sur moi, lui faisant dos, je relevais légèrement la tête vers lui. « Là, je suis heureuse » Sa question allait bien plus loin, mais j’avais besoin d’une petite entrée en la matière. « En règle général, je pense que j’en ai l’air, mais ce n’est pas facile » soufflais-je. Honnête pour honnête, je déballais tout. « Je ne vais pas te décrire tout, mais.. Je pense que je n’ai pas eu une vie horrible, mais certaines choses font que le passé me rattrape toujours. Les hommes, la drogue, ce sont les plus gros problèmes » Me calant contre lui, je buvais mon cocktail des plus intéressants en souriant. « Tu sais, quand je suis avec un homme, je sais très bien que cela ne dura pas alors.. Je fais en sorte de ne pas m’attacher, de disparaître le plus vite possible de sa vie pour éviter d’être écœurée » murmurais-je, faisant référence à mon ex petit ami.
« Mon ancien petit ami était vraiment parfait, physiquement comme mentalement. On parlait même d’aller plus loin, s’engager et.. J’ai flippé » avouais-je à demi-mot. « Je n’avais pas de très bonnes fréquentations dans ses amis à lui et j’ai commencé à me droguer sans le voir venir. Tout à déraper » Peut-être que je devrais m’arrêter là ? « Nous étions toujours ensemble et j’ai commencé à déconner vraiment, en associant le sexe avec la drogue. Il a essayé de m’aider, réellement, et alors que je pensais pouvoir sortir la tête de l’eau grâce à lui, il s’est évaporé dans la nature. Comme ça, du jour au lendemain » Et qu’est-ce que je lui en veux, bien que j’ai été un poison durant l’ensemble de notre relation. « Du coup, depuis.. je comble un espèce de manque affectif en allant à droite et à gauche et je me drogue encore plus, je crois. Genre là, avant de sortir, j’en ai pris » lâchais-je comme une idiote. « Un psy me mettrait sous antidépresseurs je crois » pouffais-je doucement, sans raison. « Ne me juge pas trop, s’il te plaît » demandais-je avec douceur, sachant très bien que je ne l’avais pas ménagé avant, dans la piscine. « Ma réponse est non » Conclusion simple et nette.
Sa question me fit tourner la tête vers lui. La sincérité que j’entendais dans sa voix me touchait en plein cœur et un sourire prenait place sur mes lèvres. « Comme ça.. » dis-je en ouvrant ses bras, me mettant contre lui avant de les refermer sur moi, lui faisant dos, je relevais légèrement la tête vers lui. « Là, je suis heureuse » Sa question allait bien plus loin, mais j’avais besoin d’une petite entrée en la matière. « En règle général, je pense que j’en ai l’air, mais ce n’est pas facile » soufflais-je. Honnête pour honnête, je déballais tout. « Je ne vais pas te décrire tout, mais.. Je pense que je n’ai pas eu une vie horrible, mais certaines choses font que le passé me rattrape toujours. Les hommes, la drogue, ce sont les plus gros problèmes » Me calant contre lui, je buvais mon cocktail des plus intéressants en souriant. « Tu sais, quand je suis avec un homme, je sais très bien que cela ne dura pas alors.. Je fais en sorte de ne pas m’attacher, de disparaître le plus vite possible de sa vie pour éviter d’être écœurée » murmurais-je, faisant référence à mon ex petit ami.
« Mon ancien petit ami était vraiment parfait, physiquement comme mentalement. On parlait même d’aller plus loin, s’engager et.. J’ai flippé » avouais-je à demi-mot. « Je n’avais pas de très bonnes fréquentations dans ses amis à lui et j’ai commencé à me droguer sans le voir venir. Tout à déraper » Peut-être que je devrais m’arrêter là ? « Nous étions toujours ensemble et j’ai commencé à déconner vraiment, en associant le sexe avec la drogue. Il a essayé de m’aider, réellement, et alors que je pensais pouvoir sortir la tête de l’eau grâce à lui, il s’est évaporé dans la nature. Comme ça, du jour au lendemain » Et qu’est-ce que je lui en veux, bien que j’ai été un poison durant l’ensemble de notre relation. « Du coup, depuis.. je comble un espèce de manque affectif en allant à droite et à gauche et je me drogue encore plus, je crois. Genre là, avant de sortir, j’en ai pris » lâchais-je comme une idiote. « Un psy me mettrait sous antidépresseurs je crois » pouffais-je doucement, sans raison. « Ne me juge pas trop, s’il te plaît » demandais-je avec douceur, sachant très bien que je ne l’avais pas ménagé avant, dans la piscine. « Ma réponse est non » Conclusion simple et nette.
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Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Je m'attendais à tout, sauf à ce qu'elle venait de faire. Elle était donc heureuse dans mes bras ? Je n'aurais jamais cru, mais cela voulait-il dire qu'avant même se retrouver, elle n'était pas heureuse. N'ayant pas la totalité de sa réponse, j'attendais sagement, lui rendant avec sourire son étreinte, comme toujours, car j'adore Sarah pour ne pas dire que je l'aime carrément et l'a sentir rassuré avec moi, me remplissait de joie. Je n'aurais jamais pensé qu'elle puisse se livrer autant à moi, mais j'imagine qu'elle voit en moi quelqu'un de rassurant à qui elle peut se confier. Je suis une personne de confiance et je n'ai aucun intérêt à crier sur tous les toits ses petits secrets ainsi que de m'en servivr contre elle.
Je n'avais rien vu venir. Etais-je si naïf pour ne pas voir qu'elle avait pris des substances ? Sans doute dû au fait que ce milieu là m'était totalement inconnu. En tout cas, cela me brisait le coeur que de savoir qu'elle avait besoin de ça pour être heureuse, alors que le bonheur se trouve là où on ne s'y attend pas et souvent dans les petites choses simples de la vie. Si moi je lui avais fait part de mes peines amoureuses -dans les grandes lignes, je le conçoit- elle, elle n'avait pas été épargné non plus. C'est triste de voir comment les gens peuvent être lâche. Une chance pour lui qu'elle n'ait pas encore fait d'overdose. Je souriais à sa remarque envers le psy, espérant au fond de moi qu'elle ne soit jamais contraint d'aller dans un de leur cabinet pour prendre des cachetons, car déjà qu'elle souffre d'addiction, mais les anti-dépresseurs, c'est tout aussi pire.
"Pourquoi je te jugerais ?" demandais-je sincèrement. "On ne choisit pas d'être addict et tu le sera probablement toute ta vie, mais tu as pris le choix d'essayer de t'en sortir, malheureusement, on ne t'a pas fait de cadeau, mais sache juste qu'il y a toujours une lumière au bout d'un tunnel, il suffit juste de s'y donner les moyens pour l'atteindre. Tu peux soit t'asseoir et l'a regarder au loin ou bien marcher jusqu'à elle, tes maîtres de tes choix" dis-je de la voix la plus posée du monde. Après tout cela, même si la réponse était longue, je me doutais que non, elle n'était pas heureuse.
Je n'avais rien vu venir. Etais-je si naïf pour ne pas voir qu'elle avait pris des substances ? Sans doute dû au fait que ce milieu là m'était totalement inconnu. En tout cas, cela me brisait le coeur que de savoir qu'elle avait besoin de ça pour être heureuse, alors que le bonheur se trouve là où on ne s'y attend pas et souvent dans les petites choses simples de la vie. Si moi je lui avais fait part de mes peines amoureuses -dans les grandes lignes, je le conçoit- elle, elle n'avait pas été épargné non plus. C'est triste de voir comment les gens peuvent être lâche. Une chance pour lui qu'elle n'ait pas encore fait d'overdose. Je souriais à sa remarque envers le psy, espérant au fond de moi qu'elle ne soit jamais contraint d'aller dans un de leur cabinet pour prendre des cachetons, car déjà qu'elle souffre d'addiction, mais les anti-dépresseurs, c'est tout aussi pire.
"Pourquoi je te jugerais ?" demandais-je sincèrement. "On ne choisit pas d'être addict et tu le sera probablement toute ta vie, mais tu as pris le choix d'essayer de t'en sortir, malheureusement, on ne t'a pas fait de cadeau, mais sache juste qu'il y a toujours une lumière au bout d'un tunnel, il suffit juste de s'y donner les moyens pour l'atteindre. Tu peux soit t'asseoir et l'a regarder au loin ou bien marcher jusqu'à elle, tes maîtres de tes choix" dis-je de la voix la plus posée du monde. Après tout cela, même si la réponse était longue, je me doutais que non, elle n'était pas heureuse.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 11/03/2018
Avatar : Eleanor Calder
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Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Il y avait nettement trop d’informations en même temps. Être rassurée contre lui, parler de ma vie, de mes déboires amoureux, affectifs et de la drogue. Pourquoi n’avait-il pas encore fui ? Pourquoi restait-il là, à garder ses bras autour de moi alors qu’il devait tout bonnement – et à juste titre – me prendre pour une femme totalement insensée, narcissique et complexe ? Il m’avait confié être trop compliqué pour avoir une relation longue avec une femme, mais je n’étais pas mieux, réellement pas. Les opposés s’attirent mais les ressemblances s’attirent-elles vraiment ? Je n’en étais pas convaincue. Sans croiser son regard, je percevais nettement un léger changement dans sa position à l’annone de ma prise de drogue. Je ne pouvais pas lui en vouloir, je m’en voulais à moi-même d’être si faible, mais.. Il n’y avait aucune excuse valable. Me shooter pour passer une meilleure soirée ? Ce serait me mentir à moi-même. J’avais simplement envie de fuir certaines choses et c’était nettement plus simple ainsi. Mon cerveau réfléchissait moins, mon corps ne semblait plus me peser et tout semblait plus facile. Comme le fait d’accepter ses bras encore autour de mon corps.
La musique qui résonnait me réconfortait alors que je terminais mon verre à la fin du premier morceau. Je le posais sur une table haute non loin de nous – sans quitter son étreinte – afin de pouvoir applaudir. Les mots de Travis me berçaient et semblaient m’apaiser. Je retenais des phrases stupides comme « je peux arrêter la drogue quand j’en ai envie » et « je n’ai pas besoin d’être sauvé » car ce serait juste une provocation à laquelle mon ami n’a pas à faire face. Ce serait bas de ma part de lui lancer cela alors qu’il m’offrait simplement sa main pour ne pas sauter d’un avion sans parachute. Serait-il mon parachute ? « Avoue, tu as étudié la philo hein ? » le taquinais-je doucement. Ou alors il était psy.. Ou suivi par un psy. Cette dernière pensée m’agaçait un peu car je savais que c’était la plus logique. Je n’avais probablement pas assez pris de drogue pour arrêter totalement de réfléchir. Saleté.
« Dans mon entourage, tout le monde m’affirme que rester dans ce tunnel est la meilleure chose. Pour moi, je ne le pense pas, mais on pense tous à ses propres intérêts avant ceux des autres » murmurais-je alors qu’une autre chanson résonnait dans les ruelles de Rio. « Je ne sais pas si je suis capable d’avancer vers cette lumière dont tu parles sans avoir peur qu’elle finisse par m’aveugler et de tomber dans un ravin au lieu d’être libérer d’un tunnel néfaste pour moi » dis-je doucement. Posant mes mains sur les siennes, je lui intimais de resserrer sa prise autour de moi. Fermant les yeux, je soupirais légèrement. Je savais qu’il avait raison, mais en étais-je capable ? Qu’est-ce que la vie allait nous réserver demain ou en rentrant du Brésil ? Ici, tout semblait différent, mais une fois de retour, tout allait reprendre. Mon travail, les hommes.. Ce cercle vicieux et sans fin ne cessera pas. Ce serait trop simple..
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 03/04/2018
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Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : nothing
Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Je ne suis pas très fête, mais je prenais un grand plaisir de prendre place à ses petits concerts aux côtés de Sarah. Cela me permettait d'en apprendre un petit peu plus sur elle et ô grand jamais je n'aurais pensé cela d'elle, la première fois où nos chemins se sont croisés. Cela faisait toujours bizarre de se dire qu'il y a plusieurs années de cela, nous étions que des parfaits adolescents qui, au jour d'aujourd'hui, ont bien grandit. Elle avait à présent son passé qui avait l'air d'être un peu plus noir ce qui lui a permis de devenir la femme qu'elle ait aujourd'hui et de se créer ce petit caractère qui ne colle pas à son visage d'ange, mais qui en même temps, lui va si bien.
Je souriais, amusé une nouvelle fois par sa réflection. "Si seulement, je n'ai même pas le bac" riais-je. Si pour certaine personne avoir un diplome est indispensable, moi je ne m'en suis jamais préoccupé. Mes parents non plus d'ailleurs. "Et si tu n'essaye pas tu ne sauras jamais. Il faut toujours aller au-de-là de tes limites et même quand tu penses avoir atteint la limite, la repousser encore, ce n'est que comme ça qu'on y arrive dans la vie. De nos jours les gens se reposent beaucoup trop sur leur acquis et se dénigre avant même d'avoir essayé. "Non je suis pas assez forte, non je ne vais jamais y arriver" Personne ne sera là pour les pleindre, parfois faut juste se donner un bon gros coup de pied au cul. Y a personne qui un beau va venir de toquer à la porte en mode "Hey salut, moi la vie, espoir et espoir, je récupère tes problèmes, bonne continuation" Disais-je en finissant ma superbe imitation. J'aurais peut-être du faire des cours de théâtre.
Les gens tristes, qui se morfonde, s'enfoncent dans leurs problèmes, j'en ai vu des tas et j'ai toujours détesté ça. A chaque fois je faisais en sorte de ne pas m'en approcher, car très clairement, je n'ai pas besoin de ça dans ma vie. J'ai une vie heureuse et épanouie, alors les petits cumulus gris, je leur dit bon vent. Sarah, j'étais prêt à l'aider, car je m'y étais un peu beaucoup attaché, mais je ne pourrais rien faire si elle, elle n'a pas envie d'être aidée.
Je souriais, amusé une nouvelle fois par sa réflection. "Si seulement, je n'ai même pas le bac" riais-je. Si pour certaine personne avoir un diplome est indispensable, moi je ne m'en suis jamais préoccupé. Mes parents non plus d'ailleurs. "Et si tu n'essaye pas tu ne sauras jamais. Il faut toujours aller au-de-là de tes limites et même quand tu penses avoir atteint la limite, la repousser encore, ce n'est que comme ça qu'on y arrive dans la vie. De nos jours les gens se reposent beaucoup trop sur leur acquis et se dénigre avant même d'avoir essayé. "Non je suis pas assez forte, non je ne vais jamais y arriver" Personne ne sera là pour les pleindre, parfois faut juste se donner un bon gros coup de pied au cul. Y a personne qui un beau va venir de toquer à la porte en mode "Hey salut, moi la vie, espoir et espoir, je récupère tes problèmes, bonne continuation" Disais-je en finissant ma superbe imitation. J'aurais peut-être du faire des cours de théâtre.
Les gens tristes, qui se morfonde, s'enfoncent dans leurs problèmes, j'en ai vu des tas et j'ai toujours détesté ça. A chaque fois je faisais en sorte de ne pas m'en approcher, car très clairement, je n'ai pas besoin de ça dans ma vie. J'ai une vie heureuse et épanouie, alors les petits cumulus gris, je leur dit bon vent. Sarah, j'étais prêt à l'aider, car je m'y étais un peu beaucoup attaché, mais je ne pourrais rien faire si elle, elle n'a pas envie d'être aidée.
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