YESTERDAY'S NEWS |48
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{home sweet home}
crédit/ tumblr ✰ w/ @Hassen Meester
Le dernier carton se trouvait dans le camion qu’elle avait appelé pour son déménagement, elle quittait son appartement pour se retrouver en colocation, mais avait-elle réellement le choix ? Pas vraiment. Elle n’arrivait pas à assumer tout ce que cela voulait dire de vivre toute seule, elle avait besoin de vivre avec quelqu’un alors quand elle était tombée sur l’annonce, elle n’avait pas hésité une seule seconde. Elle avait appelé rapidement et la réponse était venue tout aussi rapidement. Elle pouvait emménager, aujourd’hui. Et c’était ce qu’il se passait, elle avait tout vidé, tout était prêt pour cette nouvelle aventure en quelque sorte. La brune ne connaissait pas l’homme avec qui elle allait vivre, mais était-ce important ? Ils auraient plusieurs occasions de se connaître, de passer du temps ensemble et tout le reste, non ? Ouais, elle en était certaine. Elle voyait les choses toujours du bon côté, elle ne voulait pas voir le négatif donc c’était impossible pour elle de ne pas s’entendre avec Hassen.
Après quelques minutes de trajet, elle se retrouvait devant son nouvel immeuble beaucoup mieux que l’ancien, il fallait le dire. Elle avait eu de la chance de tomber sur cette annonce et surtout d’avoir été prise. Mais elle n’était pas chiante Phèdre, tant qu’elle avait sa bulle, son monde, son endroit dans lequel elle pouvait s’évader quand elle avait besoin, elle ne demandait rien de plus. Puis elle était du genre à être un brin maniaque donc elle pouvait faire le ménage sans aucun souci, elle n’était pas très douée pour la cuisine, mais elle pouvait apprendre. Donc Hassen n’aurait pas trop à se plaindre d’elle normalement. Prenant un carton, elle montait à son nouvel appartement poussant la porte, elle grimaça. Comme d’habitude, la jeune étudiante n’avait pas pris le plus léger, elle voulait trop bien faire, c’était une qualité comme un défaut, pour le coup elle dirait un défaut et elle était surtout maladroite puisque ce qu’elle avait dans les bras il y a quelques minutes venait de trouver le sol en un millième de seconde. « Fais chier ! » Elle murmurait ses mots avant de se baisser pour ramasser ses bêtises.
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Ça fait maintenant plusieurs mois que je suis revenu vivre à Los Angeles et jusqu'à présent je pouvais payer le loyer, assez cher d'ailleurs, sans avoir besoin d'aide. Mes parents, n'ayant jamais eu beaucoup d'argent, c'était normal que je les laisse en dehors de ça. Quand j'ai compris que les travaux et la conception de mon restaurant allaient me coûter beaucoup plus cher que prévu, il fallait que je trouve une solution. Les lofts sur Los Angeles n'étant pas donné non plus, j'ai posté dans le journal une annonce comme quoi je cherchais un colocataire. A deux ont pourraient plus facilement payer cet appartement. Pour être franc, je n'aurais jamais cru qu'on répondrait aussi vite à ma demande. Seulement une semaine, deux grand max, après avoir déposé mon annonce, une femme m'appela pour me demander si la place était toujours disponible. Déjà, je ne pensais pas que ça serait une femme, connaissant mon penchant pour la drague, quand je vivais encore en France. J'ignorais à quoi elle ressemblait mais j'espérais qu'elle serait pas trop sexy, ou canon... Douce illusion bien entendu, mais j'y croyais. Même si on vivait sur Los Angeles, il n'y avait pas que des canons dans le coin.
Le jour de son arrivé, j'étais sorti pour acheter quelques ingrédients au marché du coin. J'avais envie de l'accueillir avec un bon petit repas le soir même, histoire de briser un peu la glace. Je trouvais que la nourriture était un bon moyen de sympathiser avec les gens. Quoi qu'il en soit quand j'arrivais en bas de mon immeuble je voyais un camion de déménagement garé juste devant l'entrée. A priori, elle devait être déjà arrivé. Je sentais le stresse grimpait chez moi à mesure que je montais les escaliers jusqu'à mon loft. Quand j'arrivais devant la porte, grande ouverte, qu'elle ne fut pas ma surprise en voyant un splendide fessier dirigé droit vers moi, pour m'accueillir. Penché pour ramasser je ne sais quoi, une créature magnifique aux cheveux ondulés, m'offrait son joli derrière. Je rigolais doucement sans me gêner pour l'admirer. J'y pouvais rien.. « C'est comme ça qu'on salut ses colocataires vers chez toi ? », lançais-je en rigolant encore. Rien de mieux pour briser la glace également, que de plaisanter. Mais je ne pouvais pas la laisser galérer non plus. Après avoir bien reluqué son fessier, je m'étais approché pour l'aider à ramasser ses affaires sur le sol, d'une main, l'autre étant prise par mes sacs de nourriture.
Le jour de son arrivé, j'étais sorti pour acheter quelques ingrédients au marché du coin. J'avais envie de l'accueillir avec un bon petit repas le soir même, histoire de briser un peu la glace. Je trouvais que la nourriture était un bon moyen de sympathiser avec les gens. Quoi qu'il en soit quand j'arrivais en bas de mon immeuble je voyais un camion de déménagement garé juste devant l'entrée. A priori, elle devait être déjà arrivé. Je sentais le stresse grimpait chez moi à mesure que je montais les escaliers jusqu'à mon loft. Quand j'arrivais devant la porte, grande ouverte, qu'elle ne fut pas ma surprise en voyant un splendide fessier dirigé droit vers moi, pour m'accueillir. Penché pour ramasser je ne sais quoi, une créature magnifique aux cheveux ondulés, m'offrait son joli derrière. Je rigolais doucement sans me gêner pour l'admirer. J'y pouvais rien.. « C'est comme ça qu'on salut ses colocataires vers chez toi ? », lançais-je en rigolant encore. Rien de mieux pour briser la glace également, que de plaisanter. Mais je ne pouvais pas la laisser galérer non plus. Après avoir bien reluqué son fessier, je m'étais approché pour l'aider à ramasser ses affaires sur le sol, d'une main, l'autre étant prise par mes sacs de nourriture.
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crédit/ tumblr ✰ w/ @Hassen Meester
L’étudiante n’avait plus d’autres choix que de vivre avec quelqu’un, c’était extrêmement chère dans cette ville. Elle bossait en plus de ses études, mais honnêtement stripteaseuse de temps en temps, ça ne faisait pas en sorte qu’elle puisse vivre toute seule. Bien que ça l’arrangeait dans le fond, vivre toute seule ce n’était pas ce qu’elle préférait puis elle ne voulait pas demander de l’aide à son meilleur ami. Le jeune homme l’inviterait à vivre chez lui sans rien payer, ce n’était pas possible, c’était même hors de question pour elle. Elle avait besoin de se débrouiller toute seule, comme une grande fille. Donc elle avait trouvé une colocation avec un homme qu’elle ne connaissait pas, elle se lançait la tête la première dedans et c’était peut-être un peu dangereux, ce mec pouvait être totalement dingue, même un psychopathe, mais tant pis. Phèdre ne pouvait plus faire marche arrière, elle n’en avait pas envie non plus. Elle déménageait aujourd’hui, sauf que la brune avait deux mains gauches. Pas douée un jour, pas douée toujours. Elle grimaçait doucement avant de grogner tout en se baissant pour ramasser ses affaires de médecine, elle en avait besoin de ses bouquins et elle en avait surtout un peu trop, mais dans ses études elle était perfectionniste. Entendant une voix derrière elle, elle sursautait comme une idiote tout en lâchant ce qu’elle avait dans les mains. Mon dieu, elle n’en finirait jamais avec ce rangement si ça continue comme ça. « Je… » Ses joues commencèrent doucement à changer de couleur avant de tousser pour reprendre la parole essayant de garder bonne figure tout en se relevant rapidement sachant qu’elle donnait un bon aperçu de son derrière. « Je suis désolée. J’ai fais tomber mes bouquins pour mes cours. » Pourquoi devrait-elle s’expliquer comme ça ? C’était juste idiot, mais ce n’était pas dans ses habitudes. Elle était juste gênée, cette fois-ci elle pliait les jambes pour ramasser le reste sans lancer un regard à l’homme qui était en train de l’aider, toujours autant de gêne en elle. « Merci de ton aide. Je pense que… tu te doutes, mais je suis Phèdre. »
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Une chose était sur, j'étais bien verni par cette colocation. Les travaux de mon restaurant me prenait énormément de temps, donc je n'avais pas trouvé encore de temps pour me détendre et m'amuser réellement. Certes ça m'arrivait d'aller boire un verre, de me poser dans un bar un soir. Mais c'était tout. Je n'avais plus couché avec une fille depuis des mois, depuis mon retour à Los Angeles en faite. C'était bien triste pour un homme comme moi, qui raffolait des relations sexuelles. Surtout que maintenant j'allais devoir cohabiter avec une vraie bombe, car c'était bien le cas. Son fessier aurait bien pu me faire fondre sur place, si je n'avais pas été aussi stressé à l'idée de rencontrer cette jeune femme. En vérité, si ça avait été en France, j'aurais sûrement tenté une approche plus direct, de manière irrespectueuse aussi, mais je n'étais plus vraiment le même. Cette réflexion qui sortait de mes lèvres, c'était une sorte de trait d'humour pour m'aider à calmer mon stresse et à détendre l'atmosphère.
Heureusement elle semblait bien prendre cette petite blague. Mais ça suffit à lui faire peur, car elle se releva en sursaut en relâchant ses bouquins. C'est pour cette raison que je m'étais agenouillé à côté d'elle pour l'aider à rassembler ses affaires. Je rigolais doucement à ses excuses, le visage empourpré, qui la rendait d'autant plus jolie, mignonne. Elle ne me regardait pas, donc je me retenais de lui faire ce fameux clin d’œil qu'on me connaissait en France. « Tu n'as pas besoin de t'excuser t'en fais pas. », répondais-je simplement, d'une voix amusée, bien malgré moi. En attendant je continuais de rassembler ses bouquins en une même pile avant de venir les poser dans ses mains à elle. Non sans effleurer sa peau de mes doigts, sans vraiment le vouloir. Un léger frisson me remonta le long des bras à ce geste. Ne plus avoir toucher de femme depuis aussi longtemps, ça ne m'aidait vraiment pas. « Oui j'avais deviné... Moi c'est Hassen, mais tu dois t'en douter. », disais-je en rigolant moi aussi.
Une fois les affaires dans ses mains je retournais prendre mes poches où il y avait les ingrédients pour le prochain repas. Avant de fermer la porte derrière moi. « Du coup fais comme chez toi. Vu que c'est également ton appartement maintenant. », lançais-je d'une voix douce, alors que j'allais dans la cuisine pour déposer les poches sur le plan de travail. « Tu as besoin de moi pour emmener tes affaires dans ta chambre et pour te faire visiter ? »
Heureusement elle semblait bien prendre cette petite blague. Mais ça suffit à lui faire peur, car elle se releva en sursaut en relâchant ses bouquins. C'est pour cette raison que je m'étais agenouillé à côté d'elle pour l'aider à rassembler ses affaires. Je rigolais doucement à ses excuses, le visage empourpré, qui la rendait d'autant plus jolie, mignonne. Elle ne me regardait pas, donc je me retenais de lui faire ce fameux clin d’œil qu'on me connaissait en France. « Tu n'as pas besoin de t'excuser t'en fais pas. », répondais-je simplement, d'une voix amusée, bien malgré moi. En attendant je continuais de rassembler ses bouquins en une même pile avant de venir les poser dans ses mains à elle. Non sans effleurer sa peau de mes doigts, sans vraiment le vouloir. Un léger frisson me remonta le long des bras à ce geste. Ne plus avoir toucher de femme depuis aussi longtemps, ça ne m'aidait vraiment pas. « Oui j'avais deviné... Moi c'est Hassen, mais tu dois t'en douter. », disais-je en rigolant moi aussi.
Une fois les affaires dans ses mains je retournais prendre mes poches où il y avait les ingrédients pour le prochain repas. Avant de fermer la porte derrière moi. « Du coup fais comme chez toi. Vu que c'est également ton appartement maintenant. », lançais-je d'une voix douce, alors que j'allais dans la cuisine pour déposer les poches sur le plan de travail. « Tu as besoin de moi pour emmener tes affaires dans ta chambre et pour te faire visiter ? »
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crédit/ tumblr ✰ w/ @Hassen Meester
Cette colocation commençait très bien, la première chose que son futur colocataire a été capable de voir était son derrière, en premier plan en plus. Mais ce n’était clairement pas de sa faute, elle avait tout fait tomber donc pas d’autres choix que de se baisser pour prendre ses affaires. Dieu qu’elle avait honte sur le moment, elle sentait ses joues qui étaient un peu plus chaud prouvant clairement qu’elle venait de rougir, elle était comme ça. Clairement pas à l’aise dans la vraie vie, il fallait qu’elle travaille pour se libérer totalement. Passant sa langue sur ses lèvres, elle coinçait une mèche de cheveux derrière son oreille avant de reprendre ses affaires et finir de ramasser ses propres bêtises. Pas question qu’elle plus de temps que ça, elle sourit doucement face à sa remarque. Elle était comme ça Phèdre, toujours besoin de s’excuser par peur d’avoir fait une bêtise, pas peur qu’on finisse par lui reprocher tout un tas de chose et parce qu’elle était du genre à se sentir coupable assez facilement. Préférant changer de sujet, elle finit tout simplement par se présenter, ce qui était idiot, mais à part dire un truc pareil elle ne savait pas réellement ce qu’elle pourrait dire. « Je m’en doutais, effectivement. » Un nouveau petit rire sorti d’entre ses lèvres préférant détendre un peu l’atmosphère et faire oublier la scène qu’il avait pu voir en rentrant. Elle espérait qu’il n’ait pas fait attention, de toute manière elle était une jeune femme comme les autres, elle était banale et n’avait rien qui faisait la différence par rapport aux autres. Sinon, elle aurait déjà embrassé une personne sur cette terre non ? Elle avait tous ses livres de médecine, elle finit par les mettre dans le carton avant de se relever. « Merci, je vais essayer même si au début je risque d’avoir un peu de mal. » La brune allait devoir prendre ses marques dans cet appartement avant de le considérer comme le sien – même si techniquement c’était le cas. « Je veux bien que tu me fasses visiter. Mes affaires peuvent encore attendre encore un moment avant d’être ranger. » Autant visiter directement l’endroit dans lequel, elle allait évoluer maintenant puis elle était curieuse de connaître un peu mieux cet appartement et pourquoi pas, créer un lien avec l’homme avec qui elle allait vivre.
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Une chose était sur, j'aimais beaucoup cette petite Phèdre, en dehors d'être extrêmement sexy, elle semblait vraiment adorable. La façon dont elle avait été gêné par ma petite blagounette à mon arrivé... Non, en faite, je pense plutôt que c'était car j'avais vu son fessier en premier. Mais c'était mignon je trouve. En tout cas, je sentais que notre colocation allait être vraiment cool. Mais de mon côté je ne perdais pas de temps, puisque j'allai aussitôt dans ma grande cuisine aménagé, plus loin dans le loft à droite de l'entrée pour ranger mes ingrédients et préparer les ustensiles dont j'aurais besoin pour faire un petit truc à grignoter ce midi... Mais pour l'heure je lui avais proposé de lui faire visiter l'appartement donc la cuisine ça serait pour plus tard. Donc je revenais vers elle, en souriant.
« Tu veux que je t'aide à tout porter pendant la visite ? », disais-je en souriant, alors que je posais machinalement une main dans ses reins pour la faire avancer de l'entrée. J'ouvrais la première porte sur la gauche, pour dévoiler une première chambre, certes la pièce était plutôt petite, avec juste une armoire dans le mur de droite. « Celle-ci est plus petite que l'autre. Je peux la prendre si tu préfère avoir de l'espace. », précisais-je, alors que j'appuyais doucement sur ses reins pour la faire avancer. J'ouvrais la seconde porte toujours à gauche, qui donnait sur la seconde chambre, plus spacieuse, avec la même armoire enfoncé dans le mur de droite. Cependant à gauche du lit, il y avait une porte ouverte qui menait à la seule salle de bain et wc du loft. « Oui, par contre, dans tout les cas, c'est la seule salle de bain... », disais-je en rigolant, un peu nerveusement. Ça risquait de créer des situations plutôt comique, j'en étais sur.
En tout cas, j'appuyais encore sur ses reins pour la faire avancer, car sur notre droite immédiate, il y avait la cuisine, avec un bar en face de ce dernier, qui donnait directement sur le salon. « Alors, ici, c'est mon havre de paix. Je suis cuisinier, donc je suis quelqu'un d'extrêmement maniaque quand il s'agit de ma cuisine. », lançais-je, d'une voix douce, mais histoire de prévenir, pour ne pas qu'il y ait de quiproquo par la suite.
« Tu veux que je t'aide à tout porter pendant la visite ? », disais-je en souriant, alors que je posais machinalement une main dans ses reins pour la faire avancer de l'entrée. J'ouvrais la première porte sur la gauche, pour dévoiler une première chambre, certes la pièce était plutôt petite, avec juste une armoire dans le mur de droite. « Celle-ci est plus petite que l'autre. Je peux la prendre si tu préfère avoir de l'espace. », précisais-je, alors que j'appuyais doucement sur ses reins pour la faire avancer. J'ouvrais la seconde porte toujours à gauche, qui donnait sur la seconde chambre, plus spacieuse, avec la même armoire enfoncé dans le mur de droite. Cependant à gauche du lit, il y avait une porte ouverte qui menait à la seule salle de bain et wc du loft. « Oui, par contre, dans tout les cas, c'est la seule salle de bain... », disais-je en rigolant, un peu nerveusement. Ça risquait de créer des situations plutôt comique, j'en étais sur.
En tout cas, j'appuyais encore sur ses reins pour la faire avancer, car sur notre droite immédiate, il y avait la cuisine, avec un bar en face de ce dernier, qui donnait directement sur le salon. « Alors, ici, c'est mon havre de paix. Je suis cuisinier, donc je suis quelqu'un d'extrêmement maniaque quand il s'agit de ma cuisine. », lançais-je, d'une voix douce, mais histoire de prévenir, pour ne pas qu'il y ait de quiproquo par la suite.
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crédit/ tumblr ✰ w/ @Hassen Meester
La brune ne se sentait pas du tout à l’aise par le premier aperçu qu’il avait pu avoir sur elle, c’était son fessier en premier plan. Franchement, il y avait tellement mieux, elle soupira doucement en essayant de reprendre le dessus par rapport à tout se passait dans sa tête. Phèdre ramassa ses affaires tout en acceptant qu’il lui fasse visiter l’appartement du moins s’il avait le temps, elle n’avait pas envie de le forcer à faire quelque chose surtout s’il n’avait pas le temps. Mais apparemment, il n’avait pas envie de faire quoi que ce soit, enfin elle n’arrêta de se poser tout un tas de question, elle exagérait un peu – voir beaucoup même. La jeune étudiante voulait seulement que les choses se passent bien entre eux, elle n’avait pas envie que leur colocation soit étrange, qu’ils n’arrivent pas à évoluer ensemble et surtout, elle voulait une bonne entente. La brune frissonna doucement en sentant la pression contre ses reins, elle ne se sentait pas bien pour le coup, elle avait presque envie qu’il retire sa main parce que pour elle ça allait beaucoup trop vite et qu’elle n’avait juste pas l’habitude d’être aussi proche d’un homme. Dans tous les cas, elle faisait comme si de rien était, comme si son acte innocent ne la mettait pas mal à l’aise. « Avoir la petite chambre ne me dérange absolument pas, je trouverai toujours un moyen pour ranger mes affaires. » Puis avoir peu de place lui permettrais de mieux cacher les affaires qu’elle pouvait mettre quand elle travaillait en tant que strip-teaseuse, elle n’avait pas non plus envie qu’il apprenne un truc pareil et surtout qu’il puisse voir les tenues qu’elle était capable de mettre parce que ça cachait très peu de peau. Le malaise augmenta quand sa main restait toujours contre ses reins et qu’il finisse par lui annoncer qu’il n’y avait qu’une seule salle de bain et que la porte se trouvait dans sa chambre. Ahah. Mais ça serait juste un gros bordel en fait. Elle allait devoir y aller quand il n’était pas là, elle allait devoir tout calculer. « Ouais, ça va vraiment donner des situations étranges. Je crois qu’il faudra un vrai planning pour qu’on puisse éviter toute rencontre qui serait malaisante. » Malheureusement, elle était très pudique avec les hommes enfin avec les autres en général. Elle ne pouvait pas se montrer comme ça, elle ne pouvait pas assumer le regard d’une personne sur son corps sauf quand elle travaillait, mais elle n’était plus la même. Elle devenait une autre Phèdre, une qui assumait beaucoup plus sa silhouette, sa sensualité. Un grand sourire finit par se dessiner sur ses lèvres en arrivant dans la cuisine et en entendant ses paroles. Elle qui ne savait pas faire grand-chose, elle allait pouvoir se régaler avec lui. Une fois qu’elle pénétra dans la cuisine, elle s’éloigna pour couper court à ce contact qui la rendait plus que nerveuse et qui faisait en sorte que ses actions étaient calculées, qu’elle n’était absolument pas naturelle avec lui. « Tu vas pouvoir me faire de bons petits plats alors, j’ai deux mains gauches et je ne sais pas faire grand-chose dans une cuisine. » Elle ricana encore un peu tout en haussant les épaules.
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Je faisais visiter mon appartement à ma nouvelle colocataire et ça semblait lui plaire. En tout cas elle opta pour la plus petite des deux chambres, ce qui me surprit sur le coup. C'était une femme et vu le nombre d'affaire qu'elles se trimballaient en temps normal, j'aurais juré qu'elle aurait préféré la petite chambre. Ça cachait quelque chose, mais je n'allais pas poser de question indiscrète, cette colocation devait bien commencer et la confiance était primordiale. Personnellement il avait très bien commencé d'ailleurs, avec sa petite séance matage de fessier. J'avais apprécié. Certes elle non, ça semblait la gêner. D'ailleurs au premier abord, malgré sa plastique de rêve, elle semblait du genre plutôt timide et pas tactile pour un sous. J'avais posé ma main dans ses reins et je l'avais senti se tendre un peu à ce geste. En tout cas elle avait raison, pour la salle de bain ça allait être comique. Personnellement j'avais pas de gêne à me trimballer torse nu dans la maison. D'ailleurs en plus du planning faudra aussi qu'on décide ce qu'on a droit de faire et pas le droit en présence de l'autre. Qu'il n'y ait pas de malaise. « Je m'occuperais de faire le planning quand j'aurais un peu de temps. », disais-je en réponse.
J'avais beau la regarder cependant, j'avais l'impression qu'elle cachait son jeu. Une femme aussi belle qu'elle ne pouvait pas être aussi renfermé sur elle même. J'étais certain qu'elle était plus du genre à jouer de son corps pour rendre dingue la gente masculine. En tout cas une fois dans la cuisine, je finissais par retirer ma main de ses reins et tout de suite elle semblait se sentir un peu plus à l'aise. Ça se comprenait après on se connaissait pas, donc mon geste n'était pas non plus très intelligent. Je l'avais fait d'ailleurs à cause du peu de place qu'on avait dans le couloir. Elle semblait tout de suite plus radieuse, mais c'était sûrement parce-que je lui expliquais que c'était moi qui cuisinerais. J'avais envie de la taquiner un peu histoire de détendre l'atmosphère. « Alors ça, faudra mériter mes petits plats. Tu sais, je suis un grand chef cuisinier. Mérite tu que je te cuisine de bon petit plat ? », lançais-je alors que je m'étais tournais pour lui faire face. Mon regard bleu était ancré dans le sien, les bras croisés, le visage rieur, avec mon sourire provoquant. « Il paraît qu'un homme qui cuisine ça plaît au femme, c'est vrai ? », disais-je pour mettre une seconde couche.
J'avais beau la regarder cependant, j'avais l'impression qu'elle cachait son jeu. Une femme aussi belle qu'elle ne pouvait pas être aussi renfermé sur elle même. J'étais certain qu'elle était plus du genre à jouer de son corps pour rendre dingue la gente masculine. En tout cas une fois dans la cuisine, je finissais par retirer ma main de ses reins et tout de suite elle semblait se sentir un peu plus à l'aise. Ça se comprenait après on se connaissait pas, donc mon geste n'était pas non plus très intelligent. Je l'avais fait d'ailleurs à cause du peu de place qu'on avait dans le couloir. Elle semblait tout de suite plus radieuse, mais c'était sûrement parce-que je lui expliquais que c'était moi qui cuisinerais. J'avais envie de la taquiner un peu histoire de détendre l'atmosphère. « Alors ça, faudra mériter mes petits plats. Tu sais, je suis un grand chef cuisinier. Mérite tu que je te cuisine de bon petit plat ? », lançais-je alors que je m'étais tournais pour lui faire face. Mon regard bleu était ancré dans le sien, les bras croisés, le visage rieur, avec mon sourire provoquant. « Il paraît qu'un homme qui cuisine ça plaît au femme, c'est vrai ? », disais-je pour mettre une seconde couche.
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crédit/ tumblr ✰ w/ @Hassen Meester
Ce n’était pas dans ses habitudes de laisser un homme poser sa main sur elle comme ça surtout un parfait inconnu. C’est vrai qu’ils allaient vivre ensemble, mais en soit Phèdre ne connaissait pas grand-chose de cet homme. Il pouvait être complètement fou, elle allait bien le découvrir au fur et à mesure. Pour revenir à son geste, elle laissait seulement son meilleur ami qui connaissait entièrement sa vie qui pouvait faire un truc pareil sans qu’elle ne se tende, sans qu’elle n’ait envie de prendre la fuite. Son comportement n’allait pas du tout avec son physique, sauf que c’était une chose qu’on ne choisissait pas, elle n’avait jamais demandé à avoir… ce corps de rêve. Elle le savait bien, les yeux des hommes qui pouvaient se poser sur elle la nuit, c’était tout sauf innocent. Il est vrai qu’avec une salle de bain tout serait compliqué entre eux, elle allait devoir se débrouiller pour cacher son métier, ce qu’elle était capable de faire la nuit, elle se changerait au travail directement, ce qui allait être beaucoup plus simple pour elle. « Tu as le temps… Je veux dire c’est pas si pressée que ça, on peut toujours se débrouiller avant qu’on ait un vrai planning. » Ils étaient majeurs après tout, il y avait pas de doute sur le fait qu’ils pourraient trouver un arrangement, que tout allait bien se passer avant de trouver une solution permanente. Une fois, dans la cuisine la jeune femme se sentait beaucoup plus libre, beaucoup plus sereine et ça devait sûrement se voir sur son visage. Elle était un putain de livre ouvert par moment, elle sourit doucement en l’entendant dire que la cuisine s’était son domaine, parfait. La brune avait littéralement deux mains gauches, si elle se mettait aux fourneaux elle pourrait faire en sorte que l’appartement prenne feu, sans déconner, il fallait mieux qu’elle reste loin de ce truc. « Pour le moment, non. Mais si je m’occupe de tout le reste, je mériterai bien de bons plats pour que je sois en forme. » Elle haussa les sourcils avant de rire doucement, c’était un bon compromis après tout, non ? Elle rougit un peu face à la question avant d’hausser les épaules. « Je suppose que c’est surtout avantageux pour les femmes qui adorent manger et que ouais, un homme qui fait la cuisine ça doit avoir son charme. »[/b]
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