YESTERDAY'S NEWS |48
- Anastasia DawkinsI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2496
Messages : 438
Date d'inscription : 19/03/2018
Avatar : Blake Lively
Crédits : Moses. (Avatar) Beylin (signature)
Autres comptes : Evangeline C. Carstairs
Âge du personnage : 28
Nationalité(s) : Britannique
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : to be continued very soon
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Professeure de Lettres
Hobby : Surf
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
@Lola C. Sandstrom & Anastasia Dawkins
Cela faisait plus d’un mois qu’Anastasia était arrivé à Los Angeles pour son nouveau départ. La routine commençait déjà à s’installer, engourdissant la jeune femme à petit feu. Elle avait acheté un penthouse en arrivant, s’était installé et avait commencer à rechercher des colocataires, afin de se sentir moins seul dans ce grand duplex. Son annonce avait rapidement attiré une jeune femme Maria-Alejandra qui était arrivé les bras chargés de carton. Les deux jeunes femmes avaient à peine eu le temps de faire connaissance que déjà Maria décrochait un rôle-titre dans une nouvelle série qui se tournait au Canada, l’obligeant à déménager. Anastasia se trouvait de nouveau seule dans cet espace dix fois trop grand pour elle.
La blonde commença sa journée comme toujours, en allant faire un peu de surf aux premières lueurs de la journée avant d’aller prendre un bon petit déjeuner pour affronter la journée qui l’attendait. Elle avait reçu la veille une contravention pour excès de vitesse, elle n’avait pas souvent l’occasion de conduire dans les rues de la ville, mais quand elle le faisait elle aimait se laisser griser par la vitesse. Manque de chance, elle avait joué et avait perdu. Entre cette contravention et sa planche de surf à remplacer après sa rencontre avec le beau russe quelques jours auparavant, ses finances n’étaient pas au beau fixe, mais l’arrivée d’une nouvelle colocataire allait l’aider à régler les quelques factures courantes.
Anastasia avait entrepris de ranger intégralement le penthouse avant l’arrivée de la demoiselle dont elle ignorait tout excepté son nom, donné par l’agence où Anastasia avait déposé l’annonce. Lola Sandstrom. Les affaires de la jolie blonde traînaient un peu partout dans le salon, un sac de plage dans un coin, des livres en vracs sur une table basse où trônait fièrement 1984, de George Orwell qu'elle prenait plaisir à dévorer ainsi que quelques annonces de babysitting récupérer à droite et à gauche pour occuper son temps libre et lui éviter de trop réfléchir. Armée d’un balai dans une main et un sac poubelle dans l’autre, la jeune femme commença son ménage de printemps avant l’arrivée de sa future colocataire.
La jeune femme s’accordait un repos bien mérité après ces heures de rangement, devant le film Le cinquième élément qu’elle avait déjà vu des centaines de fois quand on sonna à l’interphone.
« Mademoiselle Dawkins, une jeune femme se présente comme votre colocataire, une certaine Lola Sandstrom, voulez-vous que je la fasse monter ? »
La blonde acquiesça auprès de la réception, qui s’occuperait de faire monter la jeune femme en attendant qu’Ana lui remette un double des clés et du badge. Elle se dirigea vers l’entrée pour ouvrir la porte donnant sur le hall, alors que les étages défilaient sur l’affichage de l’ascenseur. Elle ne risquait pas grand-chose à laisser la porte ouverte puisque le penthouse était le seul à cet étage. La sonnerie de l’ascenseur retentit. Il était temps de faire connaissance avec la nouvelle occupante.
La blonde commença sa journée comme toujours, en allant faire un peu de surf aux premières lueurs de la journée avant d’aller prendre un bon petit déjeuner pour affronter la journée qui l’attendait. Elle avait reçu la veille une contravention pour excès de vitesse, elle n’avait pas souvent l’occasion de conduire dans les rues de la ville, mais quand elle le faisait elle aimait se laisser griser par la vitesse. Manque de chance, elle avait joué et avait perdu. Entre cette contravention et sa planche de surf à remplacer après sa rencontre avec le beau russe quelques jours auparavant, ses finances n’étaient pas au beau fixe, mais l’arrivée d’une nouvelle colocataire allait l’aider à régler les quelques factures courantes.
Anastasia avait entrepris de ranger intégralement le penthouse avant l’arrivée de la demoiselle dont elle ignorait tout excepté son nom, donné par l’agence où Anastasia avait déposé l’annonce. Lola Sandstrom. Les affaires de la jolie blonde traînaient un peu partout dans le salon, un sac de plage dans un coin, des livres en vracs sur une table basse où trônait fièrement 1984, de George Orwell qu'elle prenait plaisir à dévorer ainsi que quelques annonces de babysitting récupérer à droite et à gauche pour occuper son temps libre et lui éviter de trop réfléchir. Armée d’un balai dans une main et un sac poubelle dans l’autre, la jeune femme commença son ménage de printemps avant l’arrivée de sa future colocataire.
La jeune femme s’accordait un repos bien mérité après ces heures de rangement, devant le film Le cinquième élément qu’elle avait déjà vu des centaines de fois quand on sonna à l’interphone.
« Mademoiselle Dawkins, une jeune femme se présente comme votre colocataire, une certaine Lola Sandstrom, voulez-vous que je la fasse monter ? »
La blonde acquiesça auprès de la réception, qui s’occuperait de faire monter la jeune femme en attendant qu’Ana lui remette un double des clés et du badge. Elle se dirigea vers l’entrée pour ouvrir la porte donnant sur le hall, alors que les étages défilaient sur l’affichage de l’ascenseur. Elle ne risquait pas grand-chose à laisser la porte ouverte puisque le penthouse était le seul à cet étage. La sonnerie de l’ascenseur retentit. Il était temps de faire connaissance avec la nouvelle occupante.
panic!attack
- InvitéInvité
If hosen and shoon thou ne'er gav'st nane
Every nighte and alle, the whinnes sall prick thee to the bare bane.
Anastasia & Lola
Elle tire derrière elle sa valise. Son énorme valise, pliée, sauvée, transbordée. Elle qui quitte - enfin - l'hôtel qui avait accueilli sa carcasse épuisée. Retrouver Los Angeles... Ces fantômes qui peuplent la ville aux anges et ses déchéances. Ces spectres du passé qu'elle avait mis tant de temps et d'énergie à éloigner.
Et, à présent, elle s'en venait terrasser une autre peur, une autre faille arrachée au passé. La colocation. Ses bonheurs. Ses douleurs, ses blessures, ses mésententes, ses déchirures. La colocation, ses dangers...
Cette chance incroyable, ce logement gratuit? Cacherait-il le caractère insupportable de la propriétaire? Ou un autre sombre trafic? Il y avait même une réception, elle avait même du expliquer qui elle était, pourquoi elle était là... De quoi faire culminer sa nervosité, alors qu'elle grimpait vers cet appartement qu'elle partagerait...
Un penthouse en plein Westside? Gratuit?
Il devait y avoir anguille sous roche...
Mais ce fut une jeune femme blonde, apparemment totalement... normale, qui l'accueillit, sourire aux lèvres. Et l'appartement semblait tout aussi normal, et... Lola regardait autour d'elle, à la recherche d'une explication, sans trouver.
"Salut... Je suis Lola... Mais la réception te l'a déjà dit.. Enchantée..."
Elle a de la nervosité plein le ventre, comme autant de scarabées qui trottineraient dans ses entrailles, prêts à rassembler, rouler, condenser ses angoisses et les entasser... Mais elle tente de garder le sourire, en regardant sa nouvelel colcataire.
"Je suis étudiante en stylisme... Et toi? "
- Anastasia DawkinsI'm a Mother Fucker
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@Lola C. Sandstrom & Anastasia Dawkins
L’immense penthouse allait enfin apparaitre moins vide avec l’arrivé de Lola, une jeune femme dont Anastasia ne savait pas grand-chose à par son nom. Certain l’aurait traité de folle de partager son logement aussi bien situé et aussi grand gratuitement avec des inconnus, mais la vérité c’était qu’Anastasia détestait vivre seule. Elle avait grandi avec 5 frères et sœurs et était tellement habitué à rentrer chez elle pour retrouver une maison vivante et animée que les derniers mois avaient été éprouvant à rentrer chez elle, seule, dans le silence le plus complet. C’est aussi pour ça qu’elle avait chercher à sortir le plus possible de chez elle, en allant à la salle de sport, en acceptant un job de babysitter en plus de ces cours à mi-temps à UCLA.
L’ascenseur arriva enfin au dernier étage, alors qu’Anastasia ouvrait la porte. Elle vit sortir une jeune femme, qui trainait derrière elle une énorme valise, ce qui la fit sourire. Elle avait l’impression de se voir, débarquant tout droit de l’aéroport avec ses deux valises et son énorme sac. La jeune femme se présenta, bien qu’Anastasia eût déjà ces informations.
« Enchantée Lola, moi c’est Anastasia comme tu as du le voir sur l’annonce. Entre fait comme chez toi ! »
La grande blonde fit signe à Lola d’entrée, un geste un peu trop ample fit basculer un vase en cristal Baccarat qui finit sa course sur le carrelage de l’entrée, alors que Lola indiquait à notre maladroite qu’elle étudiait le stylisme.
« Je suis professeure de Lettres à UCLA, et en règle général beaucoup moins maladroite que ça. » dit-elle en riant. « Tu as d’autres affaire à amener, besoin d’aide pour quelque chose ? Est-ce que tu veux quelque chose à boire ? Installe toi, sers-toi dans le frigo et si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésite surtout pas à me demander. »
Anastasia était embarrassée d’avoir fait tomber un vase aux pieds de sa colocataire et cela pouvait se ressentir car elle n’arrêtait pas de parler, chose qu’elle faisait systématiquement lorsqu’elle était mal à l’aise. Elle s’empressa de virevolter dans le salon pour attraper les balais qu’elle n’avait pas encore pris le temps de ranger après avoir fait le ménage et faire disparaitre ses bêtises.
L’ascenseur arriva enfin au dernier étage, alors qu’Anastasia ouvrait la porte. Elle vit sortir une jeune femme, qui trainait derrière elle une énorme valise, ce qui la fit sourire. Elle avait l’impression de se voir, débarquant tout droit de l’aéroport avec ses deux valises et son énorme sac. La jeune femme se présenta, bien qu’Anastasia eût déjà ces informations.
« Enchantée Lola, moi c’est Anastasia comme tu as du le voir sur l’annonce. Entre fait comme chez toi ! »
La grande blonde fit signe à Lola d’entrée, un geste un peu trop ample fit basculer un vase en cristal Baccarat qui finit sa course sur le carrelage de l’entrée, alors que Lola indiquait à notre maladroite qu’elle étudiait le stylisme.
« Je suis professeure de Lettres à UCLA, et en règle général beaucoup moins maladroite que ça. » dit-elle en riant. « Tu as d’autres affaire à amener, besoin d’aide pour quelque chose ? Est-ce que tu veux quelque chose à boire ? Installe toi, sers-toi dans le frigo et si tu as besoin de quoi que ce soit, n’hésite surtout pas à me demander. »
Anastasia était embarrassée d’avoir fait tomber un vase aux pieds de sa colocataire et cela pouvait se ressentir car elle n’arrêtait pas de parler, chose qu’elle faisait systématiquement lorsqu’elle était mal à l’aise. Elle s’empressa de virevolter dans le salon pour attraper les balais qu’elle n’avait pas encore pris le temps de ranger après avoir fait le ménage et faire disparaitre ses bêtises.
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Anastasia & Lola
Les scarabées, nerveux, dans le ventre de Lola, sursautent, vrombissent lorsque le vase s'écrase à ses pieds. Lola tressaille toute entière, ravalant un cri de surprise, et regarde le verre brisé, à ses pieds. C'est en entendant sa nouvelle colocataire lui dire qu'elle enseigne à l'université qu'elle relève les yeux, interloquée. Une prof, alors qu'elle est étudiante? Heureusement, elle ne suit aucun cours de lettre...
Elle enjambe le cristal brisé, à ses pieds, et sa promesse de coupures et de plaies. Elle espère bien qu'Anastasia n'est, en effet, pas toujours aussi maladroite... Non pas qu'elle ait des biens fragiles, mais... Tout de même.
"Ah... Non... C'est tout ce que j'ai emporté, j'achèterai le reste..."
Et c'est étrange se retrouver en colocation... Et avoir de l'argent. Cette facilité de pouvoir se dire "je vaisfaire des achats", sans avoir à calculer, sans avoir à se demander combien d'heures de travail il faudra pour payer cela. Une étrange fatigue, une étrange nostalgie, dans ses os, son sang, qui y court et nidifie.
"Tu as de quoi balayer? Avant qu'on se blesse?"
Elle n'ose pas tirer sa valise sur les débris, et reste là, la valise près de la porte, elle à quelques pas, regardant le penthouse qu'elle a la chance d'habiter, à présent, avec un peu d'incrédulité, encore mal à l'aise, n'osant pas encore réellement s'aventurer et visiter.
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