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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Who really with the money?
♫ Who really with the money? Full money, full cash on my thing, on my body.
CASH&MICAH
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CASH&MICAH
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Pas de perte de temps. Toi, tu rentres tout de suite dans le bar, t'as les poches encore complètement vide. T'as niqué ton dernier billet dans un petit bout de shit, ce matin. Du coup, t'as super soif et hyper faim, faut que tu te nourrisses absolument. Ton ventre est aussi vide que le fond de tes poches et l’intérieur de ta tête. T'attends quelques secondes, pour voir si tu te fais virer du bar. Non, tout va bien, t'as encore jamais venu ici. T'as tellement foutu la merde dans beaucoup de bar, que presque partout où tu vas, tu te fais éjecter direct. Mais ici, ils te connaissent pas encore, à priori. Tout va bien. Phase d'observation. Tu pianotes sur ton téléphone, pour faire genre tu attends quelqu'un. Tu mattes un peu les tables, des fois il reste quelques pièces de pourboire, mais là rien du tout, nada. Du coup, tu essayes de repérer les proies faciles. Les clients qui ont le portefeuille qui dépasse de la poche, ce genre de chose. Tu en repères un pas trop mal. Costard cravate, cheveux gominés et plaqués en arrière, pas trop mal et un peu coincé, à première vu. Mais c'est surtout le coin d'un billet qui dépasse de sa poche de pantalon, que t'as capté. Tu t'approches de lui, faisant genre de le draguer a coup de "bébé", ou de "mon beau". Puis des compliments et des petits clins d’œil suggestifs, accompagnés de mordillage de lèvre. La manipulation, tu connais bien, tu sais y faire. Tu joues un peu le timide, avec des petits sourires en coin, puis tu caresses délicatement la cuisse de l'homme en le regardant dans les yeux, tu remontes la main tout doucement sur le haut de sa cuisse. Et hop un petit billet gratuit. Parfait! Tu retires lentement ta main, en captant toujours le regard du mec et tu lui notes sur la main ton numéro de portable. Enfin, un faux numéro, tu vas pas lui donner ton vrai, t'es pas fou. Un petit sourire charmeur, un petit signe de la main et tu vas t'asseoir au bar, commander un bon verre pour une fois que tu as de quoi payer. "Yo! Un petit whisky steuplé, bébé", que tu demandes au barman avec un petit sourire. Pas mal non plus celui-la, tu reviendras. Tu te retournes, le coincé te regarde encore, tu lui fais un petit sourire et un signe de la main, et tu te retournes en soupirant, les coudes vissés sur le comptoir.
- Cash Eelis HayesI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2691
Messages : 1384
Date d'inscription : 08/04/2018
Avatar : Travis Fimmel
Crédits : shadows.
Autres comptes : nop
Âge du personnage : 32 ans
Nationalité(s) : Américaine - Finlandaise
Signe astrologique : Balance
Mon personnage, en 5 mots : voleur - manipulateur - calculateur - patient - sincère
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : braqueur / barman
Hobby : le jardinnage, la lecture, le VTT
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
Quand le jeune homme franchit la porte du bar, sur le coup rien ne m'alarme, ni son physique et son look hors du commun, ni le temps qu'il met avant de se décider à s'asseoir. J'ai l'habitude de voir passer ici toute sortes d’énergumène. Non jusque là tout va bien. Il ne commande rien, cela ne m'affole pas non plus, peut-être attend il simplement quelqu'un. C'est alors que je le vois jeter un œil autour de lui, se lever et se diriger vers un type assis un peu plus loin. Ce comportement me met la puce à l'oreille.
Dès lors je ne le quitte plus des yeux. Derrière mon bar je m'occupe à essuyer quelques verres qui sortes du lave vaisselle et les ranger machinalement. Mon regard ne quitte pas ses mains. Je ne suis pas dupe. Impossible d'entendre ce qu'il raconte à ce pauvre homme, mais quand je vois ses doigts se glisser dans sa poche et se saisir des quelques billets qui en dépasse sans qu'il ne s'en rende compte, un sourire s'étire sur mes lèvres. Je ne m'étais pas tromper. J'inspire et j'expire profondément. L'homme abordé par le voleur ne semble s'être rendu compte de rien. Plutôt une bonne chose, la dernière chose que je voulais c'est qu'il ne porte plainte. Notre plus grand désir à nous les Hayes soit que notre bar attire le moins possible le regard des autorités.
Son petit numéro terminé, je vois le voleur revenir vers le bar, l'air de rien, plutôt serein. Je le regarde un instant, incrédule et retourne à ma tâche. Ce gamin ne se dégonfle pas! Et il a même le culot de me demander un whisky. Sans trop hésiter j'affirme d'un signe de tête et le lui sert. Au moment ou je pose lourdement le verre devant lui, je lui lance d'un voix froide. - Pas mal le coup du pickpocket, mais peux mieux faire. Un mince sourire trahit mon sérieux, peut-être parce que je me revois quelques années auparavant, quand j'apprenais encore les ficelles du métier. - La prochaine fois fait ça ailleurs que dans mon bar si possible. Et en partant si t'accepte de rendre ses sous à ce type, je t'offre un whisky et je te sers un truc à manger, la cuisine est pas encore fermée. Je trouve le deal plutôt équitable et s'il le refuse je ne pourrais rester aussi calme que je l'étais jusqu'à présent. Ici on blanchissait de l'argent, ce bar était une couverture, et une couverture solide, je ne pouvais prendre le risque qu'il s'y trame quoi que se soit d'illégal.
Dès lors je ne le quitte plus des yeux. Derrière mon bar je m'occupe à essuyer quelques verres qui sortes du lave vaisselle et les ranger machinalement. Mon regard ne quitte pas ses mains. Je ne suis pas dupe. Impossible d'entendre ce qu'il raconte à ce pauvre homme, mais quand je vois ses doigts se glisser dans sa poche et se saisir des quelques billets qui en dépasse sans qu'il ne s'en rende compte, un sourire s'étire sur mes lèvres. Je ne m'étais pas tromper. J'inspire et j'expire profondément. L'homme abordé par le voleur ne semble s'être rendu compte de rien. Plutôt une bonne chose, la dernière chose que je voulais c'est qu'il ne porte plainte. Notre plus grand désir à nous les Hayes soit que notre bar attire le moins possible le regard des autorités.
Son petit numéro terminé, je vois le voleur revenir vers le bar, l'air de rien, plutôt serein. Je le regarde un instant, incrédule et retourne à ma tâche. Ce gamin ne se dégonfle pas! Et il a même le culot de me demander un whisky. Sans trop hésiter j'affirme d'un signe de tête et le lui sert. Au moment ou je pose lourdement le verre devant lui, je lui lance d'un voix froide. - Pas mal le coup du pickpocket, mais peux mieux faire. Un mince sourire trahit mon sérieux, peut-être parce que je me revois quelques années auparavant, quand j'apprenais encore les ficelles du métier. - La prochaine fois fait ça ailleurs que dans mon bar si possible. Et en partant si t'accepte de rendre ses sous à ce type, je t'offre un whisky et je te sers un truc à manger, la cuisine est pas encore fermée. Je trouve le deal plutôt équitable et s'il le refuse je ne pourrais rester aussi calme que je l'étais jusqu'à présent. Ici on blanchissait de l'argent, ce bar était une couverture, et une couverture solide, je ne pouvais prendre le risque qu'il s'y trame quoi que se soit d'illégal.
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C'est un petit sourire satisfait, que tu abordes sur ton visage. T'as fourré les billets si durement gagnés, dans ta poche, et tu les caresses délicatement avec ton pouce, bien caché dans le fond de ta poche. T'as demandé un whisky au barman. D'ailleurs avec un peu de chance, tu pourrais peut-être l'avoir gratos, ce verre et garder tes billets pour t'acheter à manger. C'est juste quelques pauvres dollars que t'as dans la poche, mais c’est tellement rare, que t'as l'impression d'avoir un million dans la poche. Tu te sens tellement riche, en cet instant. Au moment où tu réfléchissais à comment draguer le barman pour qu'il t'offre le verre, sa voix te sort de ta rêverie. Il a posé le verre devant toi. Il te dit que ton petit coup, est pas mal, mais qu'on peut faire mieux. Merde, il t'a vu faire. Il va te virer de son bar? Te casser la gueule? Te balancer aux flics? T'as presque les joues qui rosissent légèrement, tellement t'as honte de t’être fait cramer. Tu pensais avoir été super discret pourtant. C'est toujours comme ça que tu fonctionnes et jusqu'à maintenant, t'avais jamais eu trop d'ennuis. Du moins, pas dès la première fois que tu entres quelque part. "Euuh... Je... hum...", que tu baragouines et regardant autour de toi. Tu fais quoi? Tu te barres en courant? Comme tu fais souvent quand t'es grillé, ou quoi? Mais contre toute attente, le barman a l'air plutôt zen et cool. Il te demande juste de faire ça ailleurs la prochaine fois. Il te propose même de t'offrir le verre et à manger, si tu rends l’argent au Monsieur là bas. Cool! Même pas besoin de draguer! Attends, une minute. C'est bien le mot "manger" qu'il a dit et que t'as entendu? "A manger?", que tu répètes bêtement. Rien que d'y penser, t'as les yeux qui brillent de plaisir et tu te lèches les lèvres. Manger. T'as tellement la dalle, toi. T'as rien mangé depuis avant-hier matin. Tu hoches la tête, mais tu réfléchis quand même. Et si tu faisais semblant de redonner les billets au type? Tu regardes le barman. Il a l'air sérieux et il a surtout l'air d’être un super bon observateur, tu pourras jamais le gruger si facilement. Tu testes quand même en lui demandant, "Tu me donnes quoi à manger?". Là, tu vois du coin de l’œil le mec que t'as volé, il se lève, il a payé et il va partir. Merde!! Plus le temps de réfléchir. Tant pis, t'as beaucoup trop la dalle pour réfléchir plus, de toute façon. On te propose à manger gratuitement, c'est si rare. Et puis si c'était du bluff, t'iras voler ailleurs, tant pis, c'est pas dur. T'as rien à perdre, tout à y gagner. Tu te lèves de ton tabouret et tu interpelles le type, "Eh! Bébé attends!". Tu le rattrapes rapidement à la porte, avant qu'il sorte du bar et tu fourres ta main dans ta poche, t'as trois billets. Enfin, tu lui as pris trois billets. Si tu lui en redonnes qu'un, tu penses que le barman s'en rendrait compte? Tu sors un seul billet de ta poche et tu le redonnes au gars en jetant un bref coup d’œil au dit barman. Tu soupires et tu lui redonnes les deux dernier aussi. Et voilà... Tes poches sont vides à nouveau. Tu souris tristement et tu retournes t'asseoir sur le tabouret en soupirant, d'un air déprimant. "J'aurais pu manger pour au moins deux ou trois repas avec ça bébé... Tu sais pas toi, t'es riche...", que tu gémis au barman, d'un air dépité en sirotant ton whisky.
- Cash Eelis HayesI'm a Mother Fucker
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Mon personnage, en 5 mots : voleur - manipulateur - calculateur - patient - sincère
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : braqueur / barman
Hobby : le jardinnage, la lecture, le VTT
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Le jeune homme semble particulièrement surpris après que je lui ai fait cette première remarque. Je le vois regarder autour de lui, hésiter un long moment. Il doit s'en passer des choses dans sa tête à ce moment. Je le sais très bien. Mais je ne m'alarme pas, vu son intérêt grandissant quand je lui propose quelque chose à manger s'il accepte de rendre l'argent à mon client. Il répète ; à manger? J'approuve d'un hochement de tête. Et tu me donnes quoi à manger? J'hausse un sourcil, il se démonte pas ce gamin décidément. Je ris légèrement et hausse les épaules. A l'heure qu'il était il devait encore rester quelques frites, et de quoi lui faire un sandwich plutôt convenable, mais avant que j'ai eu le temps de répondre, je le vois s'éloigner en direction de sa victime, qui s'apprêtait à quitter les lieux. Plutôt satisfait de mon petit stratagème, je le regarde faire. Il rend l'argent, soupire, et revient s'asseoir au bar. Je lui adresse un sourire reconnaissant, je sais ce que ça coute, d'autant plus que cet homme n'a pas l'air de plaisanter au sujet de la bouffe, il a vraiment l'air d'avoir faim et j'ai l'impression que voler dépend un peu de sa survie. Je me prince les lèvres un moment me disant que j'avais de la chance tout de même, de ne jamais m'être retrouvé dans une situation aussi précaire. L'argent ne collait pas toujours à flot à la maison, on ne faisait pas un braquage par semaine pour nous assurer un salaire régulier, il y avait des périodes plus ou moins difficile, mais toujours quelque chose à manger à la fin d'une dure journée de travail tout de même.
Jetant un œil autour de moi je réalise qu'il n'y a point d'autres clients et que l'homme qui vient de sortir était le dernier. J'en profite pour me servir un verre de whisky à mon tour, histoire d'accompagner mon interlocuteur. - Riche, faut le dire vite, te fis pas au apparences. Et s'il y avait bien un endroit ou il ne fallait pas se fier aux apparences, c'était bien ici, car ce lui n'était rien d'autre qu'une apparence. - Je vais voir en cuisine ce que je peux t'amener. Tu bouges pas de là, déconne pas, je sais exactement combien il y a dans la caisse. Après ce cinéma, je doutais qu'il n'aille essayer de me voler quoi que se soit, mais sait-on jamais. Je m'absentais quelques minutes.
Je reviens avec une assiette plutôt colossale. - Tiens, j'espère que ça t'ira. Je lui adresse un clin d’œil. Au milieu du plat, une portion de frite considérable accompagne un sandwich dans une demi pain aux céréales, dans le quel j'ai mit du jambon, généreusement, du fromages, de la salade, quelques tranches de tomates, de la mayonnaise, des cornichons, tout ce qui se trouvait à porté de mains. Je poussais vers lui un pot de ketchup en plus et à côté je fis glisser dans une assiette plus petite, une part de tarte à la cerise. Je m'assis en face de lui sur un tabouret semblable ou je bus quelques gorgée de whisky sans cesser de regarder notre voleur en herbe, en essayant de comprendre ce qui pouvait bien motiver ses agissements. Je lui laissais quelques minutes de tranquillité pour qu'il puisse manger, il était affamé.
Jetant un œil autour de moi je réalise qu'il n'y a point d'autres clients et que l'homme qui vient de sortir était le dernier. J'en profite pour me servir un verre de whisky à mon tour, histoire d'accompagner mon interlocuteur. - Riche, faut le dire vite, te fis pas au apparences. Et s'il y avait bien un endroit ou il ne fallait pas se fier aux apparences, c'était bien ici, car ce lui n'était rien d'autre qu'une apparence. - Je vais voir en cuisine ce que je peux t'amener. Tu bouges pas de là, déconne pas, je sais exactement combien il y a dans la caisse. Après ce cinéma, je doutais qu'il n'aille essayer de me voler quoi que se soit, mais sait-on jamais. Je m'absentais quelques minutes.
Je reviens avec une assiette plutôt colossale. - Tiens, j'espère que ça t'ira. Je lui adresse un clin d’œil. Au milieu du plat, une portion de frite considérable accompagne un sandwich dans une demi pain aux céréales, dans le quel j'ai mit du jambon, généreusement, du fromages, de la salade, quelques tranches de tomates, de la mayonnaise, des cornichons, tout ce qui se trouvait à porté de mains. Je poussais vers lui un pot de ketchup en plus et à côté je fis glisser dans une assiette plus petite, une part de tarte à la cerise. Je m'assis en face de lui sur un tabouret semblable ou je bus quelques gorgée de whisky sans cesser de regarder notre voleur en herbe, en essayant de comprendre ce qui pouvait bien motiver ses agissements. Je lui laissais quelques minutes de tranquillité pour qu'il puisse manger, il était affamé.
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C'était intimidant et gênant, ce que tu étais forcé de faire : rendre l'argent que tu avais volé cinq minutes avant à un homme. Mais c'était pour la bonne cause, manger et boire gratuitement. Malgré tout, ce geste que tu as été obligé de faire, te fait soupirer, parce que ces billets auraient été de quoi manger pour plusieurs fois pour toi, au moins. Le barman, il te dit de pas se fier aux apparences, au niveau de la richesse. Ça te fait légèrement rire. Il est marrant lui, il a un salaire tout les mois, il sent bon, il a des fringues propres, il dort probablement dans un bon lit douillet, il se lave tout les matins, il mange comme il veut. Tout ça. Tu secoues la tête en regardant ton verre, fixement. Il sait pas de quoi il parle, visiblement. Par contre, quand il te dit de pas bouger de là et de pas déconner avec la caisse, le temps qu'il aille te chercher de quoi manger, tu peux pas t’empêcher de faire un petit sourire en coin. "Ouais, t’inquiètes bébé", que tu lui dis, d'un air taquin. Evidemment que tu vas pas t'amuser à piocher dans la caisse. Il avait été clean et sympa avec toi, t'allais pas lui foutre à l'envers. Tu le regardes partir en sirotant ton verre de whisky. Ça te faisait du bien cette boisson. Tu peux pas t’empêcher quand même de reluquer la caisse. Reste tranquille. Tu le vois revenir peu de temps après, avec une énorme assiette. Tu fais des grands yeux en le regardant, machinalement, tu te lèches les lèvres de faim, rien que de voir ça, ça te met l'eau à la bouche. Ça fait combien d'années que t'avais pas mangé un repas aussi fou et complet? Et en plus, il y a un dessert! Y'a un grand sourire qui s'affiche sur ton visage, impossible de le retenir. Ton ventre gargouille, l'impatience de se remplir. A peine il a posé l'assiette, tu prends déjà trois ou quatre frites et tu les engouffres rapidement dans ta bouche. Tu fermes les yeux, en savourant. En plus c'est bien chaud et délicieux. Tu parles, la bouche pleine en rouvrant les yeux. "Mmmh! Merchi, ch'est trop bon", que tu lui dis en continuant de dévorer ton assiette, avec appétit. Du coin de l’œil, tu le vois se servir un verre de whisky. Toi, tu fais couler du ketchup sur tes frites et tu les manges en premier. Après, tu passes au sandwich. Le fromage, c'est ton péché mignon, tu adores ça toi. Assiette finit, tu la pousses un peu sur le côté, puis tu rapproches le dessert. Une tarte à la cerise. En même pas deux ou trois minutes, tu la dévores, à coups de grosses bouchées. Ça, pour toi, c'est un repas de luxe, pourtant c'est juste des frites, un sandwich et un bout de gâteau. Mais ça fait si longtemps que t'avais pas mangé aussi bien. Tu t'affales sur le tabouret et tu poses une main sur ton ventre. Là, t'as pris dix kilos en un seul repas, facile. Tu regardes le barman en souriant, "C'était tellement délicieux, merci bébé!". Et puis là, tu te poses une question, pourquoi tout ça c'est gratuit? Par générosité? Par pitié? "Pourquoi tu me fais manger gratos?", que tu lui demandes, d'un air curieux. Peut-être qu'il veut autre chose en échange? Un service ou quoi? Tu termines ton verre de whisky, cul sec, t'avais pas bu une seul fois en mangeant, t'étais tellement concentré à dévorer ou plutôt engloutir le repas. T'espère aussi que le barman va pas changer d'avis et te faire payer, parce que là, t'es dans la merde. Faut vite que tu te barres avant, si c'est ça. Tu rejoindras ton petit bout de trottoir pour passer la nuit tranquillement.
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Signe astrologique : Balance
Mon personnage, en 5 mots : voleur - manipulateur - calculateur - patient - sincère
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Micah me remercie et mange avec appétit, j'avale une gorgé de whisky en me disant qu'il avait vraiment l'air affamé. Je lui répond d'un simple signe de tête et ajoute un peu froidement - par contre oublie les bébé, on a pas gardé les cochons ensembles. Sa familiarité ne me plaisait pas particulièrement, j'étais déjà bien sympa avec lui. J'aurais pu me contenter de lui refaire le portrait dans l'arrière boutique, le menacer avec un flingue, un truc du genre, lui faire bien peur quoi, histoire qu'il ne remette jamais les pieds ici... mais ce n'était pas mon genre, j'avais un cœur malgré tout, encore plus quand il s'agissait de gens qui vivaient " comme moi ". Bien qu'on ne puisse visiblement comparer sa situation à la mienne. Quand il me demande pourquoi, je me contente d'hausser les épaules. - Pourquoi pas. Je préfère te faire bouffer gratos plutôt que tu voles mes clients pour aller t'acheter à manger, au moins ça ne concerne que toi et moi. Je n'allais pas de but en blanc lui expliquer que j'étais en train de l'acheter, d'attirer sa sympathie, pour qu'il décide de ne pas chercher d'embrouilles ici et qu'il trouve d'autres endroits à aller voler... Du moins il fallait que je lui explique, mais sans forcément mettre l'attention sur le fait que ce commerce devait rester dans l'ombre.
Je me levais alors et d'un pas assuré je me rendais vers la porte d'entrée que je verrouillais avant de retourner l'écriteau OUVERT, qui indiquait à présent le contraire. Il était tard, personne ne viendrait me remplacer ce soir, il n'y avait pas un client, alors autant fermer, Ellen n'y verrait pas d'inconvénient je suppose. Je revins vers mon interlocuteur et me rassi sur le tabouret. Je sortis de ma poche de quoi rouler un joint, je m'appliquais à la tâche et entre deux gestes machinaux je demandais - Et toi? Pourquoi tu vole les gens? Tu vis comme ça? Mon ton n'avais rien d'agressif, ce n'était pas un reproche, une simple question. S'il avait su que je vivais comme ça moi aussi il aurait pu bien vite se détendre, mais je n'étais pas encore sur qu'aborder ce sujet avec lui soit une bonne idée, je préférais tâter le terrain, voir un peu à qui j'avais à faire, il était trop plein d'assurance, et trop c'est comme pas assez, mieux vaut rester prudent. Je finis de rouler mon joint et le tasse distraitement, avant de l'allumer. Un épais nuage de fumé nous sépare alors un instant avant qu'elle ne se dissipe, je souffle, l'effet est immédiat, l'effet du drogué qui vient de recevoir son shoot, le calme soudain cet impression que tout va bien. - Tu peux me répondre, si je t'ai pas balancé jusqu'à présent je le ferais pas maintenant. J'imaginais qu'il se trouvait dans la même situation que moi, l'envie de parler, nuancé de méfiance... On ne pouvait faire confiance à n'importe qui dans ce genre de situation. Je lui remis une rasade de whisky dans son verre, dans le mien également.
Je me levais alors et d'un pas assuré je me rendais vers la porte d'entrée que je verrouillais avant de retourner l'écriteau OUVERT, qui indiquait à présent le contraire. Il était tard, personne ne viendrait me remplacer ce soir, il n'y avait pas un client, alors autant fermer, Ellen n'y verrait pas d'inconvénient je suppose. Je revins vers mon interlocuteur et me rassi sur le tabouret. Je sortis de ma poche de quoi rouler un joint, je m'appliquais à la tâche et entre deux gestes machinaux je demandais - Et toi? Pourquoi tu vole les gens? Tu vis comme ça? Mon ton n'avais rien d'agressif, ce n'était pas un reproche, une simple question. S'il avait su que je vivais comme ça moi aussi il aurait pu bien vite se détendre, mais je n'étais pas encore sur qu'aborder ce sujet avec lui soit une bonne idée, je préférais tâter le terrain, voir un peu à qui j'avais à faire, il était trop plein d'assurance, et trop c'est comme pas assez, mieux vaut rester prudent. Je finis de rouler mon joint et le tasse distraitement, avant de l'allumer. Un épais nuage de fumé nous sépare alors un instant avant qu'elle ne se dissipe, je souffle, l'effet est immédiat, l'effet du drogué qui vient de recevoir son shoot, le calme soudain cet impression que tout va bien. - Tu peux me répondre, si je t'ai pas balancé jusqu'à présent je le ferais pas maintenant. J'imaginais qu'il se trouvait dans la même situation que moi, l'envie de parler, nuancé de méfiance... On ne pouvait faire confiance à n'importe qui dans ce genre de situation. Je lui remis une rasade de whisky dans son verre, dans le mien également.
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Un régal! Tu venais de t'enfiler un repas digne d'un roi. La main posée sur ton bidon, tu t'affales sur ton tabouret. Un délice. Tu regardes le barman, il te dit de te calmer sur les "bébés". Tu hausses les épaules, c'est une question d'habitude, une façon de parler. "Je dois t'appeler comment alors?", que tu lui demandes, en levant un sourcil. "Monsieur? Chef? Monseigneur? Patron?". Tu regardes sa barbe, elle te fascine. T'as jamais réussi à avoir des grosses barbes de vieux comme ça. A la limite t'as déjà réussi a avoir une petite barbiche sur le menton. Mais ça te va pas. Et en plus ça te boufferait, la moitié du visage, on verrait même plus tes tatouages. Tu lui demandes, "Je peux toucher ta grosse barbe?". Tu voyais rarement des hommes avec des grosses barbes, comme ça, du coup, ton coté curieux l'emporte, puis comme en plus, t'as aucun tact et aucune gène, tu lui demandes carrément. Maintenant, il te demande pourquoi tu voles des gens. Ben pour manger tiens banane. Tu réponds "Parce que si je mange pas, je meurs?". Tu te mets à rire légèrement. C'est vrai que beaucoup de personne te préférerait mort, tu déranges toi, t'es pas comme tout le monde. T'es un fils de pute, dans tout les sens du terme, même au sens propre et au sens sale. Il est en train de se rouler un joint, tu te lèches légèrement les lèvres en le regardant faire. T'en veux! Toi aussi tu veux fumer! "Tu pourras me faire fumer la fin?", que tu lui demandes. Tu rajoutes un petit, "s'il te plait bémonsieur", poliment. T'aurais presque dit bébé, mais tu l'as pas fait, ouf. Tu suis le joint des yeux, puis tu le vois te servir un autre verre. Profite en, c'est rare, quelques chose de gratuit, dans ce monde pourrit. Tu bois une gorgée de whisky. Il a fermé le bar, en retournant l'étiquette de la porte. "Et toi? Pourquoi tu fumes de la drogue?", que tu lui demandes avec un petit sourire en coin. C’est pas un monsieur tout le monde, qui fait ça. En plus c’est pas donné, ça. Tu galères souvent pour en avoir, ça te vaut souvent de devoir donner ton cul, te faire tabasser ou t'endetter sur des sommes que tu pourrais jamais rembourser. Tu bailles bruyamment. C'est la fatigue, déjà. Tu vas dormir ou ce soir? Certainement dans le parking, ou dans le hangar abandonné que t'avais trouvé l'autre jour. Tu t'étires en le regardant. Est-ce que c'est le moment de partir et le laisser tranquille ou pas? Il s'est cassé le cul à travailler toute la journée lui, il a peut être envie de rentrer se reposer dans sa maison. Il a pas forcement envie de passer la nuit a discuter avec un petit con fouteur de merde, comme toi. C'est pas que tu meurs d'envie de retrouver le froid de la rue et les trottoirs mouillé, mais t'as pas envie d'abuser non plus. Tu lui demandes, "Tu vas rentrer à ta maison là?". Ça serait bien que tu l'aides à nettoyer le bar, tu pourrais peut-être te faire une petite pièce, pour manger demain.
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Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
Cela faisait un petit moment que l'on discutait, le fait qu'il m'appelle bébé ne me plaisait pas particulièrement, mais ne connaissant pas mon nom, c'était excusable.- tu peux m’appeler Cash, se sera largement suffisant. Et toi c'est quoi ton nom? Je commençais à avoir envie de savoir à qui j'avais à faire, ce garçon coloré et décomplexé attirait ma curiosité. Il ne répondit pas à ma question sur le pourquoi du comment, je voyais bien que s'il avait volé ce type c'était pour se payer quelque chose à manger, sinon je ne lui aurait pas offert de repas, je précise alors un peu ma question espérant que cela suffira - Et t'en est arriva là comment? On ne naît pas voleur à ce que je sache. Quoi que, des fois vu l'environnement dans le quel j'avais grandit, je me posais la question. Quand à ce qu'il touche ma barbe, je n'en avais pas particulièrement envie. Il restait un parfait inconnu après tout et je gardais une certaine méfiance. Je me contentais de secouer la tête avant de boire une gorgée de whisky. La sensation chaude de la boisson glissant dans ma gorge, mêlée à celle de la fumée qui s'évadait dans mes poumons était exquise, et je sentis aussitôt une agréable détente.
J'avais l'impression que c'était un enfant qui me posait ces questions, ça avait quelque chose d'amusant et de perturbant à la fois. Je hausse les épaules - Je fume depuis tellement longtemps que je sais même plus pourquoi je fume... C'était une habitude maintenant, voilà tout. J'avais commencé la dope très jeune, sous l'influence d'amis, de la famille, et rapidement c'était devenu quotidien, une habitude. Au début c'était pour commencer un manque de confiance probablement, la peur maladive de la vie, de la mort, de l'inconnu. C'est angoisse universelle que je vivais peut-être plus fort que certains, j'étais un mec assez sensible malgré tout. J'avais donc commencé à fumer pour ses raisons, les années avaient passé, mon mal être c'était dissipés, mais l'herbe était restée. Puis j'avais commencé à faire pousser, et à partir de là, j'étais foutu, il y en avait en permanence à la maison, et en quantités considérables, du de résister.
Il me demande alors si je prévois de rentrer chez moi. Nouvel haussement d'épaules et je regarde l'heure - J'ai encore un peu de boulot. Il fallait que je mette les chaises sur les tables pour que la personne qui ouvre demain puisse nettoyer le sol sans encombre, il fallait aussi que je compte et range la caisse et je que termine quelques bricoles. Je tire alors quelques bouffée sur le joint et je le lui tend. Ce n'était pas la fin, c'était même le tout début, mais je n'allais pas fumer tranquillement devant lui et lui donner mes restes, c'était pas mon genre. Fumer avec quelqu'un c'est un moment convivial, de partage, on ne se laisse pas les fins. - Tu peux rester un peu si tu veux. Tu as assez mangé? Lui ayant ruiné sa petite séance de pickpocket, je m'en voulais un peu qu'il reparte de la sans un sous, alors je tenais à ce qu'il ne parte pas le ventre vide. Il était dans une situation précaire, j'avais bien fini par le comprendre. Ce n'était pas mon but de le mettre dans l'embarras. Je veillais simplement à mon business.
J'avais l'impression que c'était un enfant qui me posait ces questions, ça avait quelque chose d'amusant et de perturbant à la fois. Je hausse les épaules - Je fume depuis tellement longtemps que je sais même plus pourquoi je fume... C'était une habitude maintenant, voilà tout. J'avais commencé la dope très jeune, sous l'influence d'amis, de la famille, et rapidement c'était devenu quotidien, une habitude. Au début c'était pour commencer un manque de confiance probablement, la peur maladive de la vie, de la mort, de l'inconnu. C'est angoisse universelle que je vivais peut-être plus fort que certains, j'étais un mec assez sensible malgré tout. J'avais donc commencé à fumer pour ses raisons, les années avaient passé, mon mal être c'était dissipés, mais l'herbe était restée. Puis j'avais commencé à faire pousser, et à partir de là, j'étais foutu, il y en avait en permanence à la maison, et en quantités considérables, du de résister.
Il me demande alors si je prévois de rentrer chez moi. Nouvel haussement d'épaules et je regarde l'heure - J'ai encore un peu de boulot. Il fallait que je mette les chaises sur les tables pour que la personne qui ouvre demain puisse nettoyer le sol sans encombre, il fallait aussi que je compte et range la caisse et je que termine quelques bricoles. Je tire alors quelques bouffée sur le joint et je le lui tend. Ce n'était pas la fin, c'était même le tout début, mais je n'allais pas fumer tranquillement devant lui et lui donner mes restes, c'était pas mon genre. Fumer avec quelqu'un c'est un moment convivial, de partage, on ne se laisse pas les fins. - Tu peux rester un peu si tu veux. Tu as assez mangé? Lui ayant ruiné sa petite séance de pickpocket, je m'en voulais un peu qu'il reparte de la sans un sous, alors je tenais à ce qu'il ne parte pas le ventre vide. Il était dans une situation précaire, j'avais bien fini par le comprendre. Ce n'était pas mon but de le mettre dans l'embarras. Je veillais simplement à mon business.
- InvitéInvité
Who really with the money?
♫ Who really with the money? Full money, full cash on my thing, on my body.
CASH&MICAH
♫ Who really with the money? Full money, full cash on my thing, on my body.
CASH&MICAH
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Cash. C'est le prénom du barman. C'est lui qui te l'a dit. C'est sympa comme prénom, peu commun et assez original, t'aime bien, toi. "Joli prénom. Moi c'est Micah", que tu lui réponds en souriant. Quelques curiosités de la part du fameux Cash, sur le comment du pourquoi tu voles les gens. Rester vague et évasif, c'était un peu ton genre. De toute façon, il avait certainement deviné et vu à quel point tu étais dans la merde. Il présise sa question. "Hmm...", que tu murmures, un peu pensif. "C'est compliqué et long à expliquer...", puis surtout, est-ce que tu peux lui faire confiance à ce point là? En plus, une histoire aussi tarée que la tienne, si ça se trouve il ne te croirait même pas... Tu lui racontes un semblant de vérité, "Je suis orphelin, j'ai pas de famille et je suis à la rue.", pas besoin de rentrer dans les détails. Que ta mère est une pute et ton père un maquereaux, il a pas besoin d’être au courant. Pas besoin non plus de l'informer sur ton adolescence douteuse et hasardeuse dans la rue. Tu sens l'odeur de la fumée qui se dégage de la cigarette revisitée, tu fermes légèrement les yeux pour profiter. Cette odeur divine qui te fait légèrement tourner la tête, c'est un délice. Tu souris légèrement en coin, en soupirant. Il te dit qu'il ne sait même plus pourquoi il fume. Tu comprends, tu pourrais presque dire la même chose, tellement ça remonte à loin, finalement. Tu hoches la tête en le regardant. Il a encore du boulot, il t'a dit. Tu lui en est reconnaissant, du coup tu lui proposes, "si je peux t'aider à faire quelque chose, hein...". Quand tu lui demandes si tu peux fumer la fin, il te la passe carrément. Tu fais un grand sourire en coin et tu tires sur le joint, avec plaisir. Mh. Toujours aussi agréable, de sentir ton cerveau vagabonder et voltiger à sa guise quelques instant. Ça détend à fond et ça fait un bien fou. Tu aspires une deuxième fois et tu lui redonnes. Tu recraches doucement la fumée et tu murmures un petit, "merci Cash, ça fait trop du bien, c'est un truc de dingue". Il te dit que tu peux rester un peu ici. Tu vas pas te le faire dire deux fois. T'es bien assis là tranquillement, mieux que dans le froid et le noir de la nuit. Et puis ce barman est plutôt de bonne compagnie. Tu le suis des yeux, la curiosité fait surface. "Alors, t'as une femme? Des enfants? Une grande maison? Tout ça?" que tu lui demandes. Le cliché de l'homme qui a réussit sa vie parfaitement, finalement. Tu termines de boire le deuxième verre qu'il t'a servit, puis tu hoches la tête pour acquiescer en disant, "Oui j'ai assez mangé, merci beaucoup. Ça fait longtemps que j'avais pas mangé aussi bien."
- Cash Eelis HayesI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2691
Messages : 1384
Date d'inscription : 08/04/2018
Avatar : Travis Fimmel
Crédits : shadows.
Autres comptes : nop
Âge du personnage : 32 ans
Nationalité(s) : Américaine - Finlandaise
Signe astrologique : Balance
Mon personnage, en 5 mots : voleur - manipulateur - calculateur - patient - sincère
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : braqueur / barman
Hobby : le jardinnage, la lecture, le VTT
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
- enchanté ! Je lève mon verre pour trinquer avec lui et souris sincèrement, au fond, il était plutôt sympa comme type.
Lorsque Micah me parle de sa vie, en une simple phrase, je compris rapidement que c'était effectivement long et compliqué. J'eu un élan de compassion pour lui. J'hoche la tête sans en demander d'avantage, ayant compris que c'était un sujet délicat, épineux. Je n'avais pas eu une vie particulièrement difficile, quelques années en taules pas très agréable certe, un père absent, des emmerdes en tout genre, mais j'avais toujours eu un toit, un foyer, de la famille, des gens sur qui compter. Je ne pouvais donc pas me mettre à sa place, mais j'avais tout de même suffisement d'empathie pour me taire, et imaginer la suite. Il me proposa alors de l'aide. Pourquoi pas après tout, je n'étais pas contre un coup de main, si je pouvais terminer tout ça plus rapidement. - Bah, si tu veux m'aider à poser toutes les chaises sur les tables ça serait sympa.
Micah me rend le joint, l'air ravis d'en avoir profité. Je le récupère et le cale au coin de mes lèvres. Je soulève quelques chaises - ça fait plaisir mec. Et ce n'était pas faux. Il s'était montré sincère envers moi, il avait rendu l'argent à ce type, je n'étais pas rancunier, et il avait l'air d'avoir suffisamment d'emmerde pour lui en créer une de plus. Il y avait en fond un vieux CD de rock qui tournait en boucle depuis plus de deux heures, je décidais de changer de registre histoire de finir le boulot dans une meilleure ambiance et je mis une compilation de rap américain que je réservais aux heures de fermeture. Je fume quelques taffes et tend à nouveau le joint à mon nouveau camarade. J'avale une gorgée de whisky et me remet à travailler, allant d'un côté à l'autre de la pièce, je conversais tout de même.
Je ris à sa dernière question - Pas de femme, ni de gosses... Encore bien heureux pour les gosses, les filles c'était déjà bien assez compliqué... Une grande maison ouais, mais je la partage avec ma mère, mes frères, ma sœur, alors ça réduit vite la surface! On ne se marchait pas non plus sur les pieds, mais une fois pleine, la maison semblait effectivement beaucoup moins spacieuse. C'était sans doute mieux que bien des gens pouvaient avoir tout de même j'en étais conscient. Je reviens vers le bar, Micah ayant fini de manger j'amenais l'assiette à la cuisine. Je fis un signe de tête dans cette direction - Faut que je range un peu derrière, suis moi si tu veux visiter. Je lui adresse un clin d’œil. La cuisine n'avait rien de fascinant, mais bon, il pourrait toujours me filer un coup de main pour la plonge.
Lorsque Micah me parle de sa vie, en une simple phrase, je compris rapidement que c'était effectivement long et compliqué. J'eu un élan de compassion pour lui. J'hoche la tête sans en demander d'avantage, ayant compris que c'était un sujet délicat, épineux. Je n'avais pas eu une vie particulièrement difficile, quelques années en taules pas très agréable certe, un père absent, des emmerdes en tout genre, mais j'avais toujours eu un toit, un foyer, de la famille, des gens sur qui compter. Je ne pouvais donc pas me mettre à sa place, mais j'avais tout de même suffisement d'empathie pour me taire, et imaginer la suite. Il me proposa alors de l'aide. Pourquoi pas après tout, je n'étais pas contre un coup de main, si je pouvais terminer tout ça plus rapidement. - Bah, si tu veux m'aider à poser toutes les chaises sur les tables ça serait sympa.
Micah me rend le joint, l'air ravis d'en avoir profité. Je le récupère et le cale au coin de mes lèvres. Je soulève quelques chaises - ça fait plaisir mec. Et ce n'était pas faux. Il s'était montré sincère envers moi, il avait rendu l'argent à ce type, je n'étais pas rancunier, et il avait l'air d'avoir suffisamment d'emmerde pour lui en créer une de plus. Il y avait en fond un vieux CD de rock qui tournait en boucle depuis plus de deux heures, je décidais de changer de registre histoire de finir le boulot dans une meilleure ambiance et je mis une compilation de rap américain que je réservais aux heures de fermeture. Je fume quelques taffes et tend à nouveau le joint à mon nouveau camarade. J'avale une gorgée de whisky et me remet à travailler, allant d'un côté à l'autre de la pièce, je conversais tout de même.
Je ris à sa dernière question - Pas de femme, ni de gosses... Encore bien heureux pour les gosses, les filles c'était déjà bien assez compliqué... Une grande maison ouais, mais je la partage avec ma mère, mes frères, ma sœur, alors ça réduit vite la surface! On ne se marchait pas non plus sur les pieds, mais une fois pleine, la maison semblait effectivement beaucoup moins spacieuse. C'était sans doute mieux que bien des gens pouvaient avoir tout de même j'en étais conscient. Je reviens vers le bar, Micah ayant fini de manger j'amenais l'assiette à la cuisine. Je fis un signe de tête dans cette direction - Faut que je range un peu derrière, suis moi si tu veux visiter. Je lui adresse un clin d’œil. La cuisine n'avait rien de fascinant, mais bon, il pourrait toujours me filer un coup de main pour la plonge.
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