YESTERDAY'S NEWS |48
- Ewen LucianiI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2483
Messages : 121
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Jesse Lee Soffer.
Crédits : Lempika (ava) & Lempika (signa)
Âge du personnage : 34 ans qu'il erre sur terre, les mains salies par son passé.
Nationalité(s) : Américaine. Il a dû abandonner sa nationalité française.
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Manipulateur, déchiré, froid, violence, mensonge.
Quartier de résidence : Sous un pont quelque part
Carrière, métier ou job : Lieutenant corrompu à la LAPD.
Études (passées ou en cours) : Ecole de police, sorti major de sa promo.
Hobby : Chasse, boxe, tir à l'arc.
Orientation sexuelle : Curieux(se)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
What a wicked game we're playing
@Maddox Valeriu
@Maddox Valeriu
Les dossiers s’amoncèlent sur son bureau alors que ses opales parcourent la pièce. Ewen n’aime pas la paperasse, préférant être sur le terrain que derrière son ordinateur, à ne rien faire de concret. Néanmoins, un collègue a la bonne idée d’ouvrir brusquement la porte, faisant voler alors toutes les feuilles, sans réellement de suspens, cela déclenche le courroux du corse. Il va devoir encore tout ranger, tout trier pour s’organiser. En une seule minute, l’autre vient de mettre à mal tous ses efforts. « Tu fais chier putain Steven, quand est-ce-que t’es pas un vrai boulet ? » Crache Luciani en fusillant l’homme de son regard sombre, à cet instant, ses pulsions pourraient prendre le dessus, mais l’arrivée du commissaire calme ses ardeurs. Mal se présenter devant le haut de la hiérarchie serait peu judicieux, mettrait à mal tout le temps où Ewen a tenté de montrer sa bonne foi. Tant de travail pour rien, hors de question. Sa vie est suffisamment difficile à gérer. L’homme de main de son père est revenu, bien décidé à lui mener la vie dure. Malgré lui, le flic est mêlé à la mafia. Les menaces arrivent souvent, par des canaux différents, bien que le plus fréquent soit via les lettres. La porte de son bureau se ferme, signe que l’entrevue avec son boss durera longtemps. Ce dernier se contente de lui demander des informations sur ses camarades, connaître l’ambiance entre ceux-ci, et pour cause, récemment, une bagarre a éclaté au sein du commissariat entre deux flics. Ewen ne s’y intéresse pas tant que ça ne le concerne pas. Probablement une histoire d’argent ou d’amour est la cause de cette échauffourée. L’homme le libère donc assez vite, et ainsi, le brun rentre chez lui, las. Cette journée représente la journée type futile où aucune enquête ne s’est dénouée, ou rien ne s’est passé. Mais il n’en sera rien pour ce soir. Maddox, célèbre acteur dont les beaux yeux ont attisé sa curiosité l’a invité à dîner. Depuis quand Luciani fait-il preuve d’une telle sociabilité ? Jamais. En général, il refuse de se montrer, mais avec l’artiste, ses réactions lui échappent. Son contrôle, sa maîtrise s’envolent pour laisser place à une fébrilité digne d’un adolescent. Cet homme paraît, à ses yeux, parfait. Jamais, ô grand jamais il ne se doute de la réelle nature de celui-ci. Il ne songe aucunement que derrière sa gueule d’ange se dissimule un monstre sanguinaire. Ewen se contente d’écouter son cœur, persuadé que ça ne le mènera pas à sa perte.
Un dernier coup d’œil à son reflet dans le miroir pour remettre en forme son costume, le flic quitte sa demeure pour rejoindre Maddox, déjà assis à une table, seul. Apercevoir seulement sa silhouette suffit à faire bondir le cœur d’Ewen qui s’engouffre dans le restaurant. « Bonsoir mon cher ami, je m’excuse pour le retard, il y a beaucoup de circulation ce soir. » Un sourire poli alors qu’ils s’échangent une poignée de main ferme mais amicale pour s’asseoir par la suite. Encore, son cœur s’emballe, il l’est toujours en sa présence, les réactions de son corps restent inexpliquées. Enfin disons que le flic s’évertue à ne pas admettre que l’artiste y est pour quelque chose.
Un dernier coup d’œil à son reflet dans le miroir pour remettre en forme son costume, le flic quitte sa demeure pour rejoindre Maddox, déjà assis à une table, seul. Apercevoir seulement sa silhouette suffit à faire bondir le cœur d’Ewen qui s’engouffre dans le restaurant. « Bonsoir mon cher ami, je m’excuse pour le retard, il y a beaucoup de circulation ce soir. » Un sourire poli alors qu’ils s’échangent une poignée de main ferme mais amicale pour s’asseoir par la suite. Encore, son cœur s’emballe, il l’est toujours en sa présence, les réactions de son corps restent inexpliquées. Enfin disons que le flic s’évertue à ne pas admettre que l’artiste y est pour quelque chose.
- InvitéInvité
Un énième coup d’œil jeté à sa montre.
Son visage demeure d'une impassibilité totale tandis que le colère gronde jusqu'au tréfonds de ses entrailles.
Il déteste les retardataires.
Il déteste l'imprévu.
Il déteste quand la situation échappe à son contrôle.
Mais il s'agit d'Ewen.
Il en faut peu pour lui arracher un sourire faux, mais sa simple présence suffit à envoyer ses lèvres à l'échafaud.
Il est spécial Ewen, quelque chose dans sa présence, son aura.
Il a besoin de Maddox.
Il peut le sentir avec autant de force que son désir.
L'homme boit les paroles de l'acteur, il s'enivre de cette brûlante saveur.
Il est aveugle au masque, tellement naïf.
C'est si jouissif.
Maddox a besoin d'Ewen.
Maddox a besoin de son sourire, son regard qui se perd sur lui.
Il est vital Ewen.
Son préféré.
Bonsoir mon cher ami, je m’excuse pour le retard, il y a beaucoup de circulation ce soir.
Ce sourire sincère qui naît sur le visage de Maddox est la preuve parfaite de l'importance qu'il accorde à la personne qui le lui apporte. La poignée de main qu'ils échangent l'amuse, tant de formalité, tant gêne, tant de politesse alors qu'il devine parfaitement les battements du cœur du lieutenant. A toute vitesse.
Bonsoir Ewen ! T'en fais pas, tu vaux bien quelques minutes de retard.
Maddox observe son jouet favori avec presque autant d'appétit que le plat qui lui sera bientôt servi. Presque impressionné par tant de transparence, aucun masque, il lit en lui comme dans un livre ouvert. Il se délecte de chaque page, chaque regard, chaque rougeur, chaque geste. Il pourrait le briser, il pourrait le dévorer, il pourrait se montrer sans pitié. Peut-être qu'il l'est, mais il aime beaucoup trop son jouet pour l'abîmer. Il en prendra soin, il en a besoin.
Puis pour des raisons de sécurité j'ai dû privatiser le restaurant donc j'ai pas eu l'air trop ridicule à t'attendre !
La célébrité en parfaite excuse, il est vrai qu'il lui est difficile de se montrer publiquement sans attirer l'attention. Mais ce soir il s'agit de bien plus, il lui fallait une parfaite maîtrise du terrain. Ce soir Ewen sera définitivement sien.
Son visage demeure d'une impassibilité totale tandis que le colère gronde jusqu'au tréfonds de ses entrailles.
Il déteste les retardataires.
Il déteste l'imprévu.
Il déteste quand la situation échappe à son contrôle.
Mais il s'agit d'Ewen.
Il en faut peu pour lui arracher un sourire faux, mais sa simple présence suffit à envoyer ses lèvres à l'échafaud.
Il est spécial Ewen, quelque chose dans sa présence, son aura.
Il a besoin de Maddox.
Il peut le sentir avec autant de force que son désir.
L'homme boit les paroles de l'acteur, il s'enivre de cette brûlante saveur.
Il est aveugle au masque, tellement naïf.
C'est si jouissif.
Maddox a besoin d'Ewen.
Maddox a besoin de son sourire, son regard qui se perd sur lui.
Il est vital Ewen.
Son préféré.
Bonsoir mon cher ami, je m’excuse pour le retard, il y a beaucoup de circulation ce soir.
Ce sourire sincère qui naît sur le visage de Maddox est la preuve parfaite de l'importance qu'il accorde à la personne qui le lui apporte. La poignée de main qu'ils échangent l'amuse, tant de formalité, tant gêne, tant de politesse alors qu'il devine parfaitement les battements du cœur du lieutenant. A toute vitesse.
Bonsoir Ewen ! T'en fais pas, tu vaux bien quelques minutes de retard.
Maddox observe son jouet favori avec presque autant d'appétit que le plat qui lui sera bientôt servi. Presque impressionné par tant de transparence, aucun masque, il lit en lui comme dans un livre ouvert. Il se délecte de chaque page, chaque regard, chaque rougeur, chaque geste. Il pourrait le briser, il pourrait le dévorer, il pourrait se montrer sans pitié. Peut-être qu'il l'est, mais il aime beaucoup trop son jouet pour l'abîmer. Il en prendra soin, il en a besoin.
Puis pour des raisons de sécurité j'ai dû privatiser le restaurant donc j'ai pas eu l'air trop ridicule à t'attendre !
La célébrité en parfaite excuse, il est vrai qu'il lui est difficile de se montrer publiquement sans attirer l'attention. Mais ce soir il s'agit de bien plus, il lui fallait une parfaite maîtrise du terrain. Ce soir Ewen sera définitivement sien.
- Ewen LucianiI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2483
Messages : 121
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Jesse Lee Soffer.
Crédits : Lempika (ava) & Lempika (signa)
Âge du personnage : 34 ans qu'il erre sur terre, les mains salies par son passé.
Nationalité(s) : Américaine. Il a dû abandonner sa nationalité française.
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Manipulateur, déchiré, froid, violence, mensonge.
Quartier de résidence : Sous un pont quelque part
Carrière, métier ou job : Lieutenant corrompu à la LAPD.
Études (passées ou en cours) : Ecole de police, sorti major de sa promo.
Hobby : Chasse, boxe, tir à l'arc.
Orientation sexuelle : Curieux(se)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
What a wicked game we're playing
@Maddox Valeriu
@Maddox Valeriu
Nul ne pourrait se douter que derrière l’apparence de Maddox se cache en vérité un homme assoiffé de sang, meurtrit et meurtrier. Ewen se laisse doucement berner par le masque de l’acteur, il ne sent pas qu’au fond, ses intentions sont loin d’être louables. Ses instincts de flic sont aussitôt relégués au second plan, voire oubliés, ce qui est loin d’être une habitude pour un lieutenant aussi expérimenté que lui. Maddox parvient à faire tomber toutes les barrières en un sourire. En un regard, sa carapace se meurt pour ne laisser place qu’à un homme fragilisé. Le lieutenant remet rapidement en place son costume, d’une main nerveuse, et encore plus lorsqu’il pénètre dans le restaurant privatisé pour l’occasion. L’argent ne manque pas à l’acteur pour se permettre ce genre de caprice. Tant mieux, ils seront plus tranquilles. A peine entré dans la pièce, son cœur s’emballe et manque de se rompre lorsque leurs yeux se croisent dans un échange intense et concis. Intérieurement, le policier se maudit de paraître aussi vulnérable, mais l’aura de cet homme parvient à ébranler son habituelle désinvolture. A cet instant, il affiche presque une certaine timidité mêlée à de l’embarras. Sa gestuelle est contrôlée afin d’éviter un quelconque dérapage. Néanmoins, ses réactions le trompent, son cœur s’emballe, ses pupilles sont fuyantes face au regard presque lubrique de son voisin. Ce genre de regard qui donne la sensation d’être important, ce regard qui glace le sang au point de le rendre idiot et niais. « Tout de même, j’aurais dû prévoir plus d’avance. » Il esquisse ensuite un doux sourire, désormais assit, les jambes crispées ainsi que le reste de ses muscles. Ce soir, le flic ne contrôle plus rien, lui qui est un maniaque peine à tolérer un tel manque de maitrise. Prêt à sombrer aux moindres paroles de l’artiste, il est comme pendu à ses lèvres. Encore une fois, Ewen se gifle mentalement pour parvenir à sortir quelques mots qui ont du sens. « Hé bien, tu uses des grands moyens pour ce dîner. Mais je dois avouer que ce n’est pas désagréable d’être seuls, le bruit des autres convives nous aurait gêné. » Dit-il en balayant la pièce du regard tandis que le serveur remplit leurs verres d’un vin rouge français. Ce n’est que le début, ce soir, le jeune Luciani sombrera peu à peu dans le jeu établi entre eux. Un jeu à sens unique qui risque de leur brûler les ailes.
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