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YESTERDAY'S NEWS |48
- Jade A. RiveraI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2832
Messages : 1060
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Grace Elizabeth
Crédits : alittlebitofrain pour l'avatar et sosoland pour la signature
Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Américaine
Signe astrologique : Scorpion
Mon personnage, en 5 mots : Individualiste - Peu aimable - Bonne vivante- Séductrice - Passionnée
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Antiquaire
Études (passées ou en cours) : A fait un master d'arts appliqués
Hobby : Fait de l'équitation
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
This is your moment Mon amant du soir s'amusait de ma remarque concernant son physique d'Apollon. Le corps était quelque chose qui se travaillait et qui s'entretenait. « Je veux bien te croire Willi » lui dis-je en l’enlaçant. J'y connaissais un petit rayon sur le sport. J'allais courir tous les dimanches dans les bois, en osmose totale avec la nature. J'allais aussi à la salle de sport deux fois par semaine pour faire quelques exercices afin de maintenir mon ventre plat. Je savais qu'entretenir son corps n'était pas une chose facile à faire mais l'homme d'affaires le faisait avec brio. Le bel homme accepta de m'aider à me laver pour mon plus grand plaisir. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas pleinement ressentie ses mains épouser les courbes de mon corps. William prit une bonne noisette de gel douche et s'attela avec douceur à la tache, en commençant par les jambes puis les fesses, et s'attarda un petit moment sur ma poitrine. Le regard complice. Yeux dans les yeux, le désir ne faisait que se multiplier. Le feu ardent s'embrasait, risquait d'enflammer tout l’hôtel. Des soupirs de plaisir s’échappèrent de ma bouche et au moment le plus culminant ses lèvres vinrent rencontrer les miennes. Je lui rendais son baiser passionné. Je ne voulais pas qu'il s’arrête de me toucher, je voulais qu'il poursuive, je voulais qu'on ne fasse plus qu'un. Mais William, c'était un joueur alors il quitta la cabine au moment où j'avais le plus envie de lui. Il saisit une serviette pour se sécher. Je ne tardais pas à le rejoindre, et à me sécher à mon tour. Une fois qu'on fut tous les deux secs, je nouais la serviette autour de mon corps, pour avoir un semblant de tissu pour me recouvrir bien que la serviette était courte. J'avais une idée en tête. Quelque chose qui pourrait bien plaire à William. « J'ai quelque chose à te proposer » lui dis-je en le regardant d'un regard pétillant avant de poursuivre : « J'ai appris des techniques de massages récemment. J'aimerais que tu sois mon cobaye, mon premier essai et expérimenter ce que j'ai appris sur toi ». William ne pouvait qu'accepter. Qui refuserait un massage ? Je le pris par la main et l’entraînait hors de la salle de bain vers le lit de la chambre. Je saisis ses lèvres avec douceur et lui dit : « Si monsieur veut bien s'allonger pour son massage » lui dis-je avec le ton d'une masseuse professionnelle. On y croirait presque. Le bel homme se mit sur le dos, j'attrapais le flacon d'huile de vanille qui se trouvait dans mon sac, puis je laissais tomber la serviette qui recouvrait mon corps avant de me mettre à califourchon sur le dos de l'homme d'affaires. Ce soir, j'allais lui offrir un massage érotique, du body to body. "Sex is a part of nature. I go along with nature(@Marilyn Monroe// beerus) |
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