YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Oscar & Titus @Misunderstood
Parfois, la lumière tamisée qui se diffuse derrière les rideaux d'une fenêtre vous renvoie à votre solitude. Vos choix. Votre ligne de conduite.
Appuyé de manière indolente contre un vieux banc érodé par le temps, Titus imaginait l'éventuelle scène à l'intérieur, à l'aide des ondes chinoises qui se détachaient. Concentré sur ce spectacle, une petite toux le fit sursauter, l'Artiste tourna rapidement la tête dans la direction du bruit. Un Homme, un passant, un inconnu Se rendait vers un lieu Mystérieux. Son œil curieux, mais néanmoins méfiant s'attarda sur le bouclé. Maintenant il devait bouger, avant qu'on ne le signale comme individu suspect, ou voyeur. Il démarra en trombe grâce à ses patins à roulettes, dépassant, l'allure altière, l'inconnu qui venait de l'obliger à changer de secteur. Bien que l'arrivée du printemps fût imminente, l'hiver traînait encore ses guêtres dans le coin, et le crépuscule amenait une fraîcheur qui nécessitait un coin tranquille et recouvert. Aujourd'hui son corps appelait désespérément un matelas moelleux. Pourtant habitué à dormir sur les surfaces les plus rudes, Titus cultivait par instants fugaces, la nostalgie des beaux draps soyeux, dont la douceur vous emmaillote d'un sommeil réparateur.
La foule n'a pas encore complètement regagnée sa chaumière. Alors qu'il glisse sur le trottoir entre les diverses silhouettes fragiles, le blond assiste à la sortie une peu hétéroclite d'un cinéma. Les mots s'entremêlent entre les impressions de l'un et les propositions de l'autre. Titus suit quelques minutes deux amoureux dont les mains se joignent puis se séparent au bourgeonnement d'une argumentation un peu virulente. Soudainement il vire vers la droite dans une ruelle sombre qui le conduira dans une avenue plus agitée. Ici les iris s'élargissent face à l'éclat des enseignes colorés égayant la rue. Le jeune homme va se mêler subrepticement aux gens afin de dérober une part de ce butin, en passant devant cette échoppe ouverte à tous les vents. Voilà il ne rejoindra pas Morphée l'estomac vide. Cependant il tente de prendre de vitesse le marchand de sable, car son désir de musarder dans la ville triomphe sur la prudence qui recommanderait de se mettre bien au chaud. Toujours à l’affût d'un bel endroit à décore, il se laisse entraîner d’une maison à l'autre, de rues en allées ... Pour déboucher sur une de ses œuvres, vieille de quelques jours. Titus aimerait d'ailleurs modifier certains détails, mais cette nuit il ne se déplace sans aucun matériel.
On le surveille, il le suppute, qui exactement, il ne réussit pas à les repérer, ils changent d'identité pour mieux le duper. Les murs salles semblent bien trop sacrés pour les embellir. Selon la ville, ça se compare à un crime... Et là, juste là, une personne lui passe sous le nez sans le distinguer. Visiblement avec la ferme intention de se rapprocher du graffiti. Pourquoi ? Serait-ce un nouveau qui ne connaîtrait pas sa signature, et qui va se permettre d'utiliser sa place ? Il roule en silence, comme un escargot pour mieux observer pendant les prochaines minutes les actions de l'intrus. Personnage qui d'ailleurs lui parait bien chargé. Sous l'éclairage du réverbère Titus se refuse à accepter l'évidence qui s'impose à lui.
L'autre, il se donne le droit de détruire une amélioration apportée à la grisaille des bâtiments. Ce fou veut redonner le droit au côté morne et laid du béton de reprendre le dessus, de gagner la guerre de la platitude. Non. L'Artiste se place juste derrière l'individu, bien trop occupé pour prendre note de la menace qui rampe dans son dos. En une seconde le graphiste l'assommerait, mais dépité, en colère, Titus il décide de lui donne une leçon « Et qu'est-ce que tu crois que tu vas faire exactement ? »
@Oscar LucchetiAppuyé de manière indolente contre un vieux banc érodé par le temps, Titus imaginait l'éventuelle scène à l'intérieur, à l'aide des ondes chinoises qui se détachaient. Concentré sur ce spectacle, une petite toux le fit sursauter, l'Artiste tourna rapidement la tête dans la direction du bruit. Un Homme, un passant, un inconnu Se rendait vers un lieu Mystérieux. Son œil curieux, mais néanmoins méfiant s'attarda sur le bouclé. Maintenant il devait bouger, avant qu'on ne le signale comme individu suspect, ou voyeur. Il démarra en trombe grâce à ses patins à roulettes, dépassant, l'allure altière, l'inconnu qui venait de l'obliger à changer de secteur. Bien que l'arrivée du printemps fût imminente, l'hiver traînait encore ses guêtres dans le coin, et le crépuscule amenait une fraîcheur qui nécessitait un coin tranquille et recouvert. Aujourd'hui son corps appelait désespérément un matelas moelleux. Pourtant habitué à dormir sur les surfaces les plus rudes, Titus cultivait par instants fugaces, la nostalgie des beaux draps soyeux, dont la douceur vous emmaillote d'un sommeil réparateur.
La foule n'a pas encore complètement regagnée sa chaumière. Alors qu'il glisse sur le trottoir entre les diverses silhouettes fragiles, le blond assiste à la sortie une peu hétéroclite d'un cinéma. Les mots s'entremêlent entre les impressions de l'un et les propositions de l'autre. Titus suit quelques minutes deux amoureux dont les mains se joignent puis se séparent au bourgeonnement d'une argumentation un peu virulente. Soudainement il vire vers la droite dans une ruelle sombre qui le conduira dans une avenue plus agitée. Ici les iris s'élargissent face à l'éclat des enseignes colorés égayant la rue. Le jeune homme va se mêler subrepticement aux gens afin de dérober une part de ce butin, en passant devant cette échoppe ouverte à tous les vents. Voilà il ne rejoindra pas Morphée l'estomac vide. Cependant il tente de prendre de vitesse le marchand de sable, car son désir de musarder dans la ville triomphe sur la prudence qui recommanderait de se mettre bien au chaud. Toujours à l’affût d'un bel endroit à décore, il se laisse entraîner d’une maison à l'autre, de rues en allées ... Pour déboucher sur une de ses œuvres, vieille de quelques jours. Titus aimerait d'ailleurs modifier certains détails, mais cette nuit il ne se déplace sans aucun matériel.
On le surveille, il le suppute, qui exactement, il ne réussit pas à les repérer, ils changent d'identité pour mieux le duper. Les murs salles semblent bien trop sacrés pour les embellir. Selon la ville, ça se compare à un crime... Et là, juste là, une personne lui passe sous le nez sans le distinguer. Visiblement avec la ferme intention de se rapprocher du graffiti. Pourquoi ? Serait-ce un nouveau qui ne connaîtrait pas sa signature, et qui va se permettre d'utiliser sa place ? Il roule en silence, comme un escargot pour mieux observer pendant les prochaines minutes les actions de l'intrus. Personnage qui d'ailleurs lui parait bien chargé. Sous l'éclairage du réverbère Titus se refuse à accepter l'évidence qui s'impose à lui.
L'autre, il se donne le droit de détruire une amélioration apportée à la grisaille des bâtiments. Ce fou veut redonner le droit au côté morne et laid du béton de reprendre le dessus, de gagner la guerre de la platitude. Non. L'Artiste se place juste derrière l'individu, bien trop occupé pour prendre note de la menace qui rampe dans son dos. En une seconde le graphiste l'assommerait, mais dépité, en colère, Titus il décide de lui donne une leçon « Et qu'est-ce que tu crois que tu vas faire exactement ? »
- InvitéInvité
« Et qu'est-ce que tu crois que tu vas faire exactement ? »
Et on reprend, de la fin jusqu'au début.
Une éponge noircie par la fusion des couleurs,
Des doigts entachés par la peinture dissoute,
Des bras engourdis par l'action de frotter,
Des ombres qui se battent en duel sur les murs de la ville,
Les réverbères qui percent la nuit, faisant éclater la vérité, au grand jour.
Des doigts entachés par la peinture dissoute,
Des bras engourdis par l'action de frotter,
Des ombres qui se battent en duel sur les murs de la ville,
Les réverbères qui percent la nuit, faisant éclater la vérité, au grand jour.
Pour venir ici, il avait marché. Il vit non loin d'ici, le Luccheti.
Je vis non loin d'ici.
Dans un petit appartement, sans grand chose à revendiquer.
Dans un royaume assez grand pour y régner, trop petit pour tomber aux mains d'une rébellion.
C'est l'Ouest, la droite. Un endroit peu adapté à quelqu'un d'aussi gauche ... Mais c'est là où je viens.
de la civilization.
Dans un petit appartement, sans grand chose à revendiquer.
Dans un royaume assez grand pour y régner, trop petit pour tomber aux mains d'une rébellion.
East
S I D E
.C'est l'Ouest, la droite. Un endroit peu adapté à quelqu'un d'aussi gauche ... Mais c'est là où je viens.
à
l
a
d
r
o
i
t
e
l
a
d
r
o
i
t
e
de la civilization.
En marge, encore et toujours.
J'avais marché, pour venir ici. J'avais fermé la porte à clef, et j'avais marché. Même si j'étais rentré un peu tard du centre, j'avais mis un point d'honneur sur la réalisation de la mission nocturne que je m'étais moi-même confié.
Chargé de nettoyer la souillure de la ville, contrairement aux tueurs en série, ce ne serait pas les douces demoiselles fraiches comme l'éclosion des boutons de rose à la solstice d'été que je viserais, mais le fruit du vandalisme dans sa forme la plus pure.
Seulement
Trois nuits
Révèlent ce nouveau projet
Entamé au crépuscule
Entre la soirée et la nuit
Tant que j'en ai le temps
Avec allégresse et entrain,
Réparant les délits commis par les autres
Tag par tag, graffiti par graffiti.
J'avais tant pris au monde, et voilà ce que j'avais choisi de lui donner.
J'avais tant perdu, j'avais tant souffert ...
Après ma douche, après avoir posé mes clefs, après avoir déverrouillé la porte, après avoir marché, après avoir pris le bus, après avoir quitté le centre, après avoir rangé les dossiers, après tout le petit train train quotidien de ma journée monotone, je m'étais dirigé ici.
La journée avait été plutôt mouvementée et stressante, par ailleurs. Fatigante, même, je dirais. Heureusement que mon activité de ce soir ne me demande pas beaucoup de réflexion. Heureusement que le nettoyage, ça me relaxe, ça me détend.
En réalité, au réveil ce matin, jamais je ne m'attendais à ce que ce soit cela, ce que je ferais.
Ou alors ... étais-ce du début jusqu'à la fin ?
En quittant son bureau, au centre LGBT,
Et après être rentré, le temps de se doucher, le temps de diner,
Il s'était dirigé ici de façon arbitraire,
Ayant discerné le tag dans la distance, malgré la nuit noire, malgré le brouillard.
Armé d'une éponge et d'un seau d'eau, il s'était mis au défi de nettoyer le mur, de fond en comble,
Afin de rendre à cette ville l'éclat que les graffitis lui volaient,
Afin de lui redorer un peu son blason, à coups d'eau au savon.
S'agenouillant face à un pan de mur, il s'était muni de son arme spongieuse avant de la tremper dans l'eau et de se mettre à frotter,
Lavant du mur toutes ses imperfections.
Et après être rentré, le temps de se doucher, le temps de diner,
Il s'était dirigé ici de façon arbitraire,
Ayant discerné le tag dans la distance, malgré la nuit noire, malgré le brouillard.
Armé d'une éponge et d'un seau d'eau, il s'était mis au défi de nettoyer le mur, de fond en comble,
Afin de rendre à cette ville l'éclat que les graffitis lui volaient,
Afin de lui redorer un peu son blason, à coups d'eau au savon.
S'agenouillant face à un pan de mur, il s'était muni de son arme spongieuse avant de la tremper dans l'eau et de se mettre à frotter,
Lavant du mur toutes ses imperfections.
Et nous revoilà maintenant au commencement.
« Et qu'est-ce que tu crois que tu vas faire exactement ? »
Ja ... Ce ne pas être ce que tu crois.
Ja nettoie ... Tu vois ?
Ja nettoie ... Tu vois ?
Il brandit son éponge comme témoin de son innocence,
Inconscient face à la menace qui lui fait face.
Jaugeant son interlocuteur dans le blanc des yeux,
Son arme ne lui vaudra rien dans un combat de cette nature.
Inconscient face à la menace qui lui fait face.
Jaugeant son interlocuteur dans le blanc des yeux,
Son arme ne lui vaudra rien dans un combat de cette nature.
- InvitéInvité
Oscar & Titus @Misunderstood
Peut-être que si la main de l'inconnu eut tenu un pinceau tout eut été différent.
Ou Non.
Parce que le regard de l'Artiste se pose enfin sur le mur dont il à prit possession. Il y découvre les ravages, comme un champ dont on a retourné la terre, et son palpitant se serre, battant la chamade, irrégulier, douloureux, colérique, impuissant... Ce qui à été défait ne peut être refait.
Car il n'existe qu'une mouture qui se crée sous ses doigts habiles, une fois signé, il ne pratique pas la Copie Titus. Une fois gâchée, il estime ça irrémédiablement perdu. Et pourquoi Un tel geste ? Alors qu'il n'incite jamais à la haine, qu'il ne souhaite qu'embellir le quotidien des passant et des êtres de cette ville
« Ja ... Ce ne pas être ce que tu crois.Ja nettoie ... Tu vois ? » Répète le blond qui souffre d'une légère écholalie dès qu'on parvient à troubler son monde. Lui l'étranger, il à perturbé la bulle de Titus, comme un caillou lancé à la surface d'un petit lac qui réplique par des remous qu'on désigne sous "Ronds dans l'eau". Le "Graphiste" qui n'estime pas circuler en dehors de la loi, même s'il se dissimule à elle. Ou plutôt aux force de l'ordre. Parce que celles-ci suivent aveuglément des décisions que Titus juge hors de propos. Il ne les adopte pas comme siennes.
Pourtant il se dissout dans l'anonymat, il sait que certains pointent de leur index ses fresques, il entend les commentaires quand il glisse la journée sur ses patins le long des trottoirs. Le positif comme le négatif. Titus, en dépit de tout il n'arrêtera jamais sa raison de vivre, il n'acceptera pas non plus qu'on la vandalise.
Et l'autre ... Il peut se retourner vers lui, il peut le dévisager comme ça avec ses yeux innocents, ou le charme qui se dégage de toute sa personne ... Ça n'entamera en rien les sentiments désagréables qui se propagent dans les veines du rôdeur de la nuit
« Tu fais donc parti de ceux qui préfèrent vivre dans une cité morne, sombre et glauque » De ceux qui voyagent la journée en prétendant que Los Angeles irradie de mille feux, de ceux qui ne se préoccupent des coins sombres que pour s'y cacher avec leur amant(e) ou commettre des crimes plus que crapuleux... Il n'attend pas de réponse du justicier improvisé. Titus n'a nullement l'intention d'exposer son point de vu, ni de persuader celui dont les idées sont déjà encrassées par une supposée bienséance.
Il saisit d'un geste vif le poignet qui tient l'éponge, le tord durement afin que la paume laisse échapper cet instrument dévastateur, imprégné d'une teinte indiscernable ou se sont mélangées les nuance bigarrées. Volées au mur qui se dresse devant eux
« Tu l'as détruite » Accuse l'Artiste ... Souillée ... Et il démarre avec ses roulettes, un mouvement tournant pour déstabilisé le coupable ... Butte sur le seau. Celui-ci se renverse répandant le contenu sur l'asphalte imitant une tâche de sang ... Un crime ...
Un cadavre étalé sur remparts mornes. Tout cela appelle une vengeance... Un coup de poing rempli d'amertume s'abat sur l'épaule de l'intrus sans pourtant posséder - encore - la puissance de véritablement lui défoncer cette dernière « Qui t'a donné le droit ? » Si cet homme vient ici sous les ordres d'un autre pour quelques sous, il veut savoir. Il le relâchera alors plus riche de quelques pièces ... Sinon... Titus il avisera.
Ou pas.
@Oscar LucchetiOu Non.
Parce que le regard de l'Artiste se pose enfin sur le mur dont il à prit possession. Il y découvre les ravages, comme un champ dont on a retourné la terre, et son palpitant se serre, battant la chamade, irrégulier, douloureux, colérique, impuissant... Ce qui à été défait ne peut être refait.
Car il n'existe qu'une mouture qui se crée sous ses doigts habiles, une fois signé, il ne pratique pas la Copie Titus. Une fois gâchée, il estime ça irrémédiablement perdu. Et pourquoi Un tel geste ? Alors qu'il n'incite jamais à la haine, qu'il ne souhaite qu'embellir le quotidien des passant et des êtres de cette ville
« Ja ... Ce ne pas être ce que tu crois.Ja nettoie ... Tu vois ? » Répète le blond qui souffre d'une légère écholalie dès qu'on parvient à troubler son monde. Lui l'étranger, il à perturbé la bulle de Titus, comme un caillou lancé à la surface d'un petit lac qui réplique par des remous qu'on désigne sous "Ronds dans l'eau". Le "Graphiste" qui n'estime pas circuler en dehors de la loi, même s'il se dissimule à elle. Ou plutôt aux force de l'ordre. Parce que celles-ci suivent aveuglément des décisions que Titus juge hors de propos. Il ne les adopte pas comme siennes.
Pourtant il se dissout dans l'anonymat, il sait que certains pointent de leur index ses fresques, il entend les commentaires quand il glisse la journée sur ses patins le long des trottoirs. Le positif comme le négatif. Titus, en dépit de tout il n'arrêtera jamais sa raison de vivre, il n'acceptera pas non plus qu'on la vandalise.
Et l'autre ... Il peut se retourner vers lui, il peut le dévisager comme ça avec ses yeux innocents, ou le charme qui se dégage de toute sa personne ... Ça n'entamera en rien les sentiments désagréables qui se propagent dans les veines du rôdeur de la nuit
« Tu fais donc parti de ceux qui préfèrent vivre dans une cité morne, sombre et glauque » De ceux qui voyagent la journée en prétendant que Los Angeles irradie de mille feux, de ceux qui ne se préoccupent des coins sombres que pour s'y cacher avec leur amant(e) ou commettre des crimes plus que crapuleux... Il n'attend pas de réponse du justicier improvisé. Titus n'a nullement l'intention d'exposer son point de vu, ni de persuader celui dont les idées sont déjà encrassées par une supposée bienséance.
Il saisit d'un geste vif le poignet qui tient l'éponge, le tord durement afin que la paume laisse échapper cet instrument dévastateur, imprégné d'une teinte indiscernable ou se sont mélangées les nuance bigarrées. Volées au mur qui se dresse devant eux
« Tu l'as détruite » Accuse l'Artiste ... Souillée ... Et il démarre avec ses roulettes, un mouvement tournant pour déstabilisé le coupable ... Butte sur le seau. Celui-ci se renverse répandant le contenu sur l'asphalte imitant une tâche de sang ... Un crime ...
Un cadavre étalé sur remparts mornes. Tout cela appelle une vengeance... Un coup de poing rempli d'amertume s'abat sur l'épaule de l'intrus sans pourtant posséder - encore - la puissance de véritablement lui défoncer cette dernière « Qui t'a donné le droit ? » Si cet homme vient ici sous les ordres d'un autre pour quelques sous, il veut savoir. Il le relâchera alors plus riche de quelques pièces ... Sinon... Titus il avisera.
Ou pas.
- Spoiler:
- Bien entendu tu peux le frapper, le mordre, le pincer,
chanter, danser...
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|