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YESTERDAY'S NEWS |48
- Jade A. RiveraI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2828
Messages : 1060
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Grace Elizabeth
Crédits : alittlebitofrain pour l'avatar et sosoland pour la signature
Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Américaine
Signe astrologique : Scorpion
Mon personnage, en 5 mots : Individualiste - Peu aimable - Bonne vivante- Séductrice - Passionnée
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Antiquaire
Études (passées ou en cours) : A fait un master d'arts appliqués
Hobby : Fait de l'équitation
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
This is your moment Le rendez-vous avait été fixé à 21 heures. Impatiente que je fusse, je m’étais rendue sur les lieux avant l’heure prévue parce que la dernière fois que j’avais vue William remontait à bien trop longtemps à mon gout. 1 mois exactement. Il ne m’avait pas recontacté alors que la dernière fois qu’on s’était vus tout s’était passé à merveille. Willi avait une vie remplie et peu commune, c’était un homme riche et charismatique. Mais il était marié et il aimait sa femme de ce que j’avais compris. Pour ma part, je n’étais pas amoureuse de cet homme. Il me plaisait et nous passions de bons moments ensemble mais ça n’allait pas plus loin que cela. Il n’empêche que durant son absence, le manque s’était fait ressentir : le plaisir de la chair. J’ai bien eu d’autres partenaires d’une nuit entre temps mais cela ne m’empêchait pas de me demander pourquoi est-ce qu’il ne m’avait pas recontacté. Alors lorsque j’ai reçu son message qui me proposait de nous voir ce soir, j’ai hésité à lui répondre. Non pas parce que je n’en avais pas envie mais parce que je n’étais pas à sa disposition non plus. Aucun contrat et rien de particulier nous liait mais je suis une personne fière. Et je ne veux pas donner lui donner les armes. Aucune once de faiblesse ne serait montrée. J’ai fini par lui répondre et accepter son rendez-vous l’air de rien, comme si tout allait bien « A ce soir », uniquement. Pour l’occasion j’avais opté pour un style sexy chic. Une robe noire toute en transparence laissant entrevoir mes sous-vêtements ainsi qu’une paire de Louboutin classique et cheveux lâchés, effet beach wavy. Lorsque je me rendis à la chambre luxueuse de l’hôtel en question, je constatais qu’il n’y avait personne à l’intérieur de celle-ci alors que la chambre avait bien été réservée à mon nom. Était-ce une mauvaise blague ? Ce n’était clairement pas le moment de jouer avec mes nerfs. J’attrapais mon téléphone et m’apprêtais à l’appeler en furie au moment où Willi ouvrit la porte et entra enfin dans la chambre. « Monsieur s’est fait désiré ». Il connaissait mon tempérament, je n’aimais pas attendre et encore moins dans ce genre de circonstances. Il avait intérêt à avoir une bonne excuse s’il ne voulait pas me vexer tout de suite. "Sex is a part of nature. I go along with nature(@Marilyn Monroe// beerus) |
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Jade & William
Cela peut sembler difficile à croire et pourtant, William n'a échoué entre les bras d'aucune autre femme que ceux de son épouse depuis plusieurs semaines. La faute au temps qui lui manque, surtout. Le peu qu'il parvient à grappiller entre deux réunions de travail importantes, il le réserve pour son épouse. Parce que dans ces moments là, c'est auprès d'elle qu'il a besoin et envie d'être. Mais le jeu fini toujours par reprendre pour lui. Ce besoin de jouer avec le feu en allant retrouver une maîtresse ou une autre. Jade, par exemple. Qu'il a eut pour habitude de retrouver de façon plus ou moins régulière ces derniers mois. Mais qu'il n'a pu honorer de sa présence depuis plusieurs semaines justement. Il n'a pas tardé à lui proposer de se retrouver dans l'un de ces hôtels dans lesquels il a plus ou moins ses habitudes.
Jolie Jade sur laquelle ses yeux se posent aussitôt qu'il entre dans la chambre qui a été réservée. Son sourire, doux et charmeur, qui prend place tandis qu'il l'observe avec attention. Et qui ne fait que s'accentuer face à la remarque qu'elle lui fait. Qu'il a bien mérité, il est vrai. Mais qui ne le vexe pas ni ne le met mal à l'aise pour autant. C'est vrai. Est-ce que je risque quelque chose pour ça ? Qu'il lui demande, joueur. En faisant quelques pas lents dans sa direction. Ou peut-être que je peux me faire pardonner, d'une façon ou d'une autre ? Le ton est donné. Ils ne sont pas là pour tourner autour du pot et jouer aux dés pendant des heures. C'est justement parce qu'elle est loin d'être emmerdante et du genre à le harceler, que William apprécie sincèrement la jolie étudiante. Ils ne se voient pas pour autre chose que pour s'amuser ensemble.
Tranquillement, il se déplace pour venir se poster dans son dos et effleurer ses hanches de ses doigts. Son visage s'approche de ses cheveux longs dont il hume le parfum avec délectation. Tu m'as fait attendre aussi. Quand tu as répondu à mon message. Est-ce que tu comptais les minutes avant de me répondre, pour être certaine de me faire comprendre que tu n'es pas à mon entière disposition ? Le ton est plus taquin que vraiment sérieux. Son but n'étant vraiment pas de se plaindre de quoi que ce soit et de lui reprocher quelque chose. Il comprend sans mal qu'elle ait envie de garder ses distances et de lui montrer qu'elle n'attend pas le jour où il daignera lui prêter de nouveau attention. Ils sont libres, chacun de leur côté. C'est la base même de cette relation qu'ils partagent.
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This is your moment Wiliam savait qu’il plaisait. Il savait s’y prendre pour me faire craquer. Physiquement c’était un très bel homme qui prenait soin de lui. Son regard était profond et ténébreux à la fois. Je savais que je ne lui résisterai pas longtemps avec le regard insistant qu’il m’avait lancé. Ce n’était qu’une question de temps. D’humeur joueuse, j’avais envie de le faire mariner. Il l’avait bien mérité après tout en faisant le mort durant ces dernières semaines.C’est vrai. Est-ce que risque quelque chose pour ça ? Il reconnaissait ses tords, c’était déjà un bon point. William était également d’humeur joueuse. Ça tombe bien, on est deux ! « Tu mériterais une bonne correction du style une fessée » lui dis-je totalement sérieuse. Connaissant son coté taquin, j’avais déjà en tête ce qu’il allait me rétorquer. Ou peut-être que je peux me faire pardonner d’une façon ou d’une autre ? Je savais bien évidement ce à quoi il faisait référence. Des souvenirs caliente remontèrent à mon esprit que je m’empressais d’effacer de mon esprit pour ne rien laisser transparaitre. ! « Peut-être. Mais il va falloir faire quelque chose d’exceptionnel vu le préjudice subit » lui dis-je taquine. Traduction oui tu sera pardonné si tu me fais vibrer comme jamais. Willi se posta juste derrière moi, je pouvais ressentir son souffle chaud sur ma nuque et ses doigts effleurer mes hanches. Un frisson parcouru tout mon corps. J’étais particulièrement sensible aux sensations. Je lâchais un petit rire franc suite à sa question, qui m’amusait plus qu’autre chose. « J’étais occupée. Ça va tu n’es pas le centre du monde non plus ! » lui-je en me tournant face à lui. Bien que j’avais fait exprès de prendre tout mon temps pour répondre à son message, je n’avais pas menti, mes journées étaient remplies : entre les événements, sorties et ma boutique. « Et pourquoi tu m’a recontacté d’un coup ? ». Un beau jour tu t’es réveillé et tu t’es souvenu de mon existence c'est ça ? Une perche de réconciliation lui avait été tendue. Si le directeur voulait que je devienne plus conciliante, la réponse qu’il donnera devra me satisfaire. Rien n’était encore gagné. Pour autant je n’avais pas prévu de continuer à bouder bien longtemps. Nous étions tous les réunis pour une commune raison. Le blabla c'est cool mais le sexe c'est mieux. "Sex is a part of nature. I go along with nature(@Marilyn Monroe// beerus) |
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Jade & William
William n'est pas du genre à entretenir de relation trop sérieuse avec ses maîtresses. Non pas par manque d'intérêt ou de respect. Mais parce qu'il est marié et sentimentalement fidèle à son épouse. Il l'aime sincèrement et jamais aucune autre femme n'est parvenue à changer cela. Ce qui lui convient très bien puisqu'il a l'intention de garder ce mariage en l'état. Ils sont tous les deux très heureux alors à quoi bon prendre le risque de tout perdre en voulant changer ne serait-ce qu'une petite chose dans tout ça ? L'homme d'affaire laisse entendre un rire léger quand la jeune femme émet soudainement l'idée de lui flanquer une fessée en guise de punition. Il est relativement évident que rien de tel n'arrivera jamais. Jamais aucune femme ne s'est risquée à ce genre de petit jeu là avec lui et ce n'est certainement pas sans raison.
Et tu as un doute quant à ma capacité à faire ça ? Il demande, toujours plus amusé que véritablement agacé ou même vexé par ses propos. Par les doutes qu'elle semble être en train d'émettre en ce qui le concerne. Il n'est là que pour s'amuser pour sa part. S'il devait repartir bredouille, alors il le ferait sans se retourner. Un simple sourire ironique sur ses lèvres, suite à sa réponse qui a au moins le mérite d'être claire. Quand bien même il peine encore à y croire. Tout ça n'a pas grande importance en vérité. Et quand elle pivote pour le regarder avec une certaine attention, il ne bronche pas. N'amorce, en tout cas, pas le moindre mouvement de recul. Et se contente de la regarder en retour, ses mains toujours logées sur ses hanches sans brusquerie aucune. Ni impatience visible. Il se contente d'attendre la suite. De savoir ce qu'elle souhaite ou ne souhaite pas.
Sa question lui arrache malgré tout un soupir soudainement impatient. Il n'a pas de compte à lui rendre. Et n'a pas l'intention de s'excuser ni de se justifier. Tout ça ne fait pas parti des règles de base. Il ne s'agit plus d'un truc drôle de leur "relation" telle qu'elle est à l'heure actuelle. J'étais seulement très occupé par le boulot et ma vie en générale. Ce n'est pas comme si je t'avais oublié et mise de côté. Inutile de tourner autour du pot. De faire de belles promesses ou au contraire, de se montrer trop dur. Il préfère se contenter de la vérité toute nue. Telle qu'elle est, sans fioriture, sans ajout inutile, sans mots de trop.
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This is your moment Et tu as un doute quant à ma capacité à faire ça ? Non je n'avais aucun doute quant à sa capacité à me satisfaire. Je mordis sensuellement ma lèvre inférieure. « Aucun doute monsieur » lui répondis-je. Jusque maintenant William réagissait plutôt bien, il n'avait commis aucun faux pas et semblait être tout à fait patient, ce qui me mit dans un bon mood. En revanche, je sentais dans son soupir que ma question sur le pourquoi du comment l'avait un peu agacé. A ma grande surprise je ne fus pas déçue lorsqu'il me dit qu'il avait simplement manqué de temps mais qu'il ne m'avait pas oublié pour autant. Willi n'était certes ni mon homme, ni mon ami ni quoi que cela d'autre mais une femme déteste être mise de coté de plus que nos ébats m'avaient beaucoup manqués. Admettant être plus conciliante suite à sa justification, je me rapprochais de lui. Mon visage se rapprochait dangereusement du sien, pour l'embrasser. Le regard remplit de désir, je lui dis : « Heureuse de te retrouver dans ce cas». Les explications étant données, il était temps de passer la deuxième vitesse, car nous savions tous deux que le temps nous était compté et que nous n'avions pas toute la nuit devant nuit mais seulement quelques petites heures devant nous. Je pris la main de mon partenaire et l’entraînait dans la luxueuse salle de bain de la chambre que j'avais déjà repérée avant qu'il n'arrive. Je trouvais qu'il y avait quelque chose de tout à fait sensuel de faire des choses pas très catholiques dans des pièces peu communes. Ma main descendit vers son pantalon, les yeux tournés vers mon partenaire accompagnés de quelques baisers dans le cou. Mon intention toute entière était portée vers les réactions qu'il voulait bien montrer. Le rythme de sa respiration, les petits bruits et mots qui sortaient de sa bouche à ce moment là étaient les lignes directrices de ce moment intime. Je savais qu'il attendait ce moment avec impatience mais je le laissais s'impatienter un peu avant de m'abaisser pendant qu'il se tenait debout, mes lèvres et ma langue s'occupèrent du reste. De faire frémir M. Ketteridge. Tout le monde savait qu'une gâterie était le meilleur moyen de faire monter la température. La seule chose que nous souhaitions était de nous faire tous deux plaisir dans le temps qui nous était imparti. Mais cette fois-ci cela était d'autant plus spécial que c'était nos retrouvailles après une interruption d'un mois. J'osais espérer que Willi n'avait pas perdu son savoir-faire mais quelque chose me disait que je n'allais pas être déçue de ce la suite des événements me réservait. "Sex is a part of nature. I go along with nature(@Marilyn Monroe// beerus) |
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Jade & William
William n'a pas la moindre intention de rendre des comptes à la jeune femme. Le fait qu'ils passent régulièrement d'agréables moments ensemble, n'excuse en rien ses interrogations et attentes. Elle ne doit pas attendre de lui qu'il lui explique quoi que ce soit. Qu'il lui demande même pardon pour l'attente de ces dernières semaines. Ils ne se voient pas pour discuter pendant des heures, qu'il sache. Et si c'est ce dont elle a soudainement envie, il est plus intéressé par l'idée de faire demi tour pour sa part. Trouver des jeunes femmes qui valent le coup et qui ne seront pas prise de tête, ça ne devrait pas lui demander trop d'efforts ni de recherches trop sérieuses. Mais finalement elle capitule. Amenant tout de suite un sourire purement ravi sur les lèvres de l'homme qui hoche lentement la tête de haut en bas. Véritablement satisfait.
Il se laisse entraîner dans la salle de bain, sans rechigner, sans hésiter. Satisfait de constater que les choses se passeront finalement de façon aussi simple qu'à l'accoutumée. Dans la pièce, il est bien vite attaqué par les lèvres de la jeune femme qui se presse contre lui dans la foulée. Qui s'en prend tout de suite à son pantalon qu'elle est déjà en train d'ouvrir. Un sourire satisfait étire les lèvres du mâle qui la suit des yeux quand elle se place à genoux devant lui. Il la laisse faire, sans se faire prier. Ce serait idiot de s'en priver alors qu'il semble évident qu'il a envie de ça. Comme n'importe quel homme dans une situation de ce genre, il attend plutôt la suite avec une franche impatience. Et ça ne tarde d'ailleurs pas.
Et pendant qu'elle s'attelle à réveiller tout à fait le désir chez lui, il se charge de retirer sa veste de costume et la chemise qui va avec. Regard rivé sur elle et mâchoires crispées par le plaisir qui s'installe tranquillement sous sa peau et dans l'ensemble de son corps, il déboutonne son vêtement avec une lenteur toute calculée. Une fois cela terminé, il aide la jeune femme à se redresser et cette fois ci pour de bon et avec plus d'insistance et de fougue, ses lèvres sont sur les siennes. Et ses mains s'attellent à retirer ses vêtements en retour. Dans le même temps, il la fait reculer en direction de la cabine de douche à la porte coulissante grande ouverte. Et s'y engouffre en sa compagnie aussitôt le dernier vêtement abandonné sur le carrelage extérieur à la cabine. L'eau ne tarde pas à couler sur les corps enlacés.
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This is your moment Satisfaite d'avoir sentie les muscles du beau William se détendre et le voir quitter ses habits qui étaient de trop à mon gout, il m'aida à me relever et m'embrassa avec fougue. Baiser que je lui rendais, en l'accentuant en passant ma main dans sa nuque, pendant que mon autre main se baladait avec délicatesse sur le torse d’Apollon de William. Il commença à me déshabiller, il n'avait pas l'air pressé, il prenait son temps, et ça me convenait. Il fit glisser ma robe transparente en quelques mouvements seulement. Je me ôtais rapidement de mes escarpins afin d'éviter de les abîmer. Tout en nous embrassant, le gérant de casino me fit reculer vers la cabine de douche, l'endroit où tous les fantasmes pouvaient être permis. Ce qui était plaisant avec ce riche homme, c'était qu'ils n'avaient pas besoin de discussions interminables ou de tourner autour du pot pendant bien longtemps pour comprendre que la seule chose pour laquelle ils se voyaient c'était pour passer des moments remplis de volupté. Pas de sérieux, pas de chichis inutiles. Cela me convenait parfaitement du moment que j'étais traitée avec dignité et respect. C'était ainsi que me traitais Willi alors on y trouvait tous les deux notre compte dans cette histoire. Une fois entrés dans la cabine, je refermais la porte coulissante derrière nous et William ouvrit le pommeau de douche. La température de l'eau était comme j'aimais, c'est à dire chaude. Cela qualifiait parfaitement ce qui nous attendait. Sous le jet d'eau, je passais mes mains dans mes cheveux et laissais couler l'eau couler le long de mon corps afin d’être entièrement trempée. Relevant les yeux vers mon partenaire, je l'attirais contre moi, juste en dessous du pommeau de douche dans le but de mouiller également son corps. Ma bouche parsema son cou ainsi que son torse de baisers et de caresses. J'attendais patiemment une chose, et il savait laquelle. Qu'il entre en moi comme la bonne clé entrant dans sa serrure. J'attrapais le gel douche de l’hôtel ainsi que la fleur de douche qui se trouvaient sur l'une des étagères de la cabine pour lui proposer de le laver. Nous avions pris pour habitude de nous laver avant et après chacun de nos rapports afin d'éviter que William se retrouve imbibé de l'odeur d'une autre femme et que sa propre femme Tallulah ne le soupçonne. « Souhaiteriez-vous que je vous aide monsieur ou ça ira ? » lui demandais-je d'un air taquin. Parfois, William préférait se débrouiller comme un grand comme signe de détachement mais d'autres fois il désirait moins d'espace. Cette fois-ci je ne savais pas dans quel état d'esprit il était. "Sex is a part of nature. I go along with nature(@Marilyn Monroe// beerus) |
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Jade & William
Le jeu de séduction fait partie intégrante de William. Il a besoin de ça pour se sentir homme. C'est une excuse de parfait homme à femmes, certainement. Mais c'est surtout très vrai. Parce qu'il ne se sentirait sans doute pas aussi complet s'il n'avait pas ça dans sa vie. C'est plus qu'une histoire de sexe pour son équilibre personnel. Parce que de ce côté là, son mariage fonctionne à merveille. A vrai dire, dans son mariage, tout fonctionne au delà de toute espérance. C'est malheureusement juste lui qui est un peu détraqué sur ce point. Il en est conscient. Et ça ne le rend pas particulièrement heureux. Mais quand il se répète qu'il devrait arrêter, il continue tout de même de le faire. D'autant plus quand il rencontre une jeune femme qui ne l'emmerde pas. Qui ne lui pose pas des tonnes de questions et qui ne le harcèle pas.
Jade en fait partie. En plus d'avoir un physique plus qu'avantageux, elle ne cherche rien de plus qu'un peu d'attention. Sans la moindre attache. Autant dire qu'ils se sont bien trouvés. Et ça durera le temps que ça durera, mais ils se quitteront en bon terme et en se disant merci pour les moments partagés. Au revoir et à jamais. Pour l'heure, ils profitent de quelques heures dans cette chambre d'hôtel. Dans la cabine de douche dans laquelle ils échouent tous les deux. Les baisers sur sa peau nue et humide, lui arrachent quelques frissons d'aise. Et la question, un rire léger. Je pense que je devrais m'en sortir. Il répond d'une voix douce en récupérant le savon pour se laver de lui même. Il a apprit à doser chaque chose avec ses aventures. Accepter certaines choses parfois mais pas à tous les coups. Pour que ça ne devienne pas une habitude. Un rituel.
Mais peut-être que toi, tu as besoin d'aide ? Qu'il demande en lui offrant un regard aussi joueur que séducteur. Evidemment pas contre l'idée de faire courir ses mains sur sa peau nue. Sur ses courbes délicates et harmonieuses. Ils peuvent se permettre ce genre d'écart, en sachant que la finalité des choses est bien qu'ils couchent ensemble de toute façon. Inutile de le faire vite fait avant de se séparer. S'ils ne profitent pas pleinement du corps de l'autre, tout ça n'a pas grand intérêt. Il est d'ailleurs déjà à poser ses mains directement sur ses fesses, pour la ramener contre lui et trouver ses lèvres des siennes. Un baiser tout en profondeur et sensualité. Qui ne laisse pas non plus de doute quant à la suite de leurs échanges.
HJ : j'suis tellement désolée. j'avais pas vu que ça faisait aussi longtemps !
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This is your moment William était amusé par la question que je lui avais posé. Je pense que je devrais m'en sortir. Je lui répondis d'un sourire taquin : « Vos désirs sont des ordres ». J'aimais jouer alternativement la dominée puis la dominante avec le milliardaire. Cela dépendait en partie de mon humeur ainsi que de la sienne. Ce soir, je semblais être plutôt d'humeur dominée que dominante. Cette envie d’être entièrement possédée et contrôlée par William devenait de plus en plus pressente. J'observais le bel homme avec désir pendant qu'il était en train de se savonner. Ce regard remplit de désir sur ce corps d'Apollon et ce visage de caractère était ce dont j'avais envie en ce moment même. « Tu sais que t'as un corps de rêve toi ? » lui demandais-je tout en connaissant parfaitement la réponse. Bien-sur que William savait qu'il plaisait et qu'il avait un corps de rêve. C'était d'ailleurs pour cette raison qu'il était infidèle à sa femme. Quoi que, il y avait quelque chose que le directeur de casino ne réservait qu'à sa femme, son cœur. Bien que William avait quelques maîtresses, cela ne l’empêchait pas d’être amoureux de sa femme. C'était quelque chose que j'avais toujours trouvé curieux. Comment peut-on être fou de quelqu'un et l'a trompé dans le même temps? Je ne lui avais jamais posé la question car cela ne me regardait absolument pas et puis je n'avais jamais réellement était amoureuse donc je ne savais pas vraiment comment marchait le mécanisme des sentiments amoureux. Je me rapprochais de lui pour lui voler un baiser. Mais peut-être que toi, tu as besoin d'aide ? Je lui répondis instantanément avec un sourire coquin : « Absolument ». Sentir ses doigts parcourir mon chair, sentir ses mains appuyer et presser mon mes muscles et mon corps, comment aurais-pu je lui le lui refuser ? Je me rapprochais de mon amant, plaçant mes bras autour de son cou, rapprochant ma tête de la sienne afin de lui dire avec douceur: « Tu peux me savonner autant que tu le souhaites Willi ». Je suis toute à toi ce soir dans ce petit espace qu'est la cabine de douche. J'attendais impatiemment que William déposait ses mains sur mon corps. Par où avait-il envie de commencer ? Le cou et descendre délicatement et progressivement jusqu'aux jambes ? Ou bien l'inverse ? Savonner aléatoirement les parties de mon corps peut-être ? Mon esprit fantasmatique était en ébullition rien qu'à imaginer la suite des événements. En tout cas, mon regard ne quittait pas le regard ténébreux de mon partenaire durant le moment où il prit soin de me laver. C'était comme si j'étais sa poupée Barbie vivante. Celle qui parle, qui sait faire des petits ou de plus grands cris, celle qui rougit mais surtout celle qui est capable d'éprouver du plaisir et d'en donner. "Sex is a part of nature. I go along with nature(@Marilyn Monroe// beerus) |
- Spoiler:
- Ne t'en fais pas ce n'est pas grave
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Jade & William
Un rire bref et léger échappe aux lèvres de l'homme, suite au compliment. Sur lequel il ne va certainement pas cracher. Il ne va pas se plaindre d'être ainsi complimenté pour son physique. Qu'il sait d'ailleurs pas mal avantageux. Bien sûr. Mais c'est quelque chose qui se travaille et qui s'entretient. Il ne va pas se la jouer fausse modestie. Il sait très bien ce qu'il en est. Et c'est vrai qu'il fait en sorte de demeurer ainsi. De garder ce corps qui est le sien en plus de travailler sur son charisme. Rien n'est jamais vraiment inné quand on y pense. Encore un rire léger qui lui échappe quand elle confirme qu'elle veut bien qu'il l'aide à se laver. Même si dans un contexte comme celui ci, il ne s'agit pas d'une aide véritable. Plutôt d'une envie d'avoir ce genre d'échanges.
Il lui offre un sourire joueur avant de verser un peu de gel douche dans l'une de ses mains. Il les frotte tranquillement l'une contre l'autre pour les réchauffer tout à fait, sans la quitter du regard. Et entreprend de commencer par ses jambes. Qu'il prend le temps de masser avec douceur de ses doigts fermes, tandis qu'il remonte tranquillement. Ses doigts glissent entre ses cuisses, s'attardent sur ses fesses, remontent encore. Se perdent sur sa poitrine haute. Ses seins totalement recouverts par ses larges mains. Caresses et massages qui ont largement le temps de pousser le désir vers le haut. De l'accentuer. De le rendre presque insupportable tant il est puissant. Intense. A nouveau debout devant elle, William vient embrasser la jeune femme. Ses lèvres emprisonnent les siennes, sa langue file à la rencontre langoureuse de la sienne.
Et pourtant il ne tarde pas à se détacher d'elle. Un sourire au coin des lèvres il quitte la cabine de douche et file récupérer les deux serviettes mises à leur disposition. Il prend tout le temps du monde pour se sécher avec l'une d'elles, en attendant que Jade se décide -ou non- à quitter la cabine à son tour pour rejoindre. Parce qu'ils ne sont plus à quelques minutes près. Tout au contraire. C'est même un véritable plaisir que de retarder un peu le moment "fatidique". Le moment où le besoin d'aller plus loin sera presque vital. Ou semblera l'être. Et qu'ils ne pourront attendre plus longtemps.
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