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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
MARIA ''BAMBI" CALABRESI
Le monde ou rien.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
Je connais et sais tout ce qu'il y a à savoir pour moi. Le reste je m'en contre-fiche. Je suis une passionnée. Lorsque je veux me renseigner sur un sujet je sais comment le faire. Je connais le système comme ma poche, je suis une passionnée d'opéra, je parle à peu près 5 langues, je sais comment obtenir ce que je veux d'un homme, je sais surtout comment faire de l'argent. Alors peu m'importe de connaître des recettes de cuisine par coeur, de savoir comment calculer l'axe d'une pyramide ou expliquer tout par la science.
Mes rêves les plus fous ont été brisés dès l'âge de 12 ans, quand je compris vite que la vie de princesse ça n'existait pas et que le monde était dur. A quoi ça sert de rêver ? Il y aura toujours une grosse claque au bout du compte. J'ai 24 ans, bien sûr que j'aime avoir les regards tournés posés sur moi. J'ai vécu très longtemps dans un monde d'hommes, je sais ce que c'est que de se faire reluquer. Mais au final, ça ne sert à rien, le principal c'est d'être regardé par les bonnes personnes.
Le bonheur ce sont les petites choses du quotidien. Le vrai bonheur est toujours accompagné de son ami déception. Puis, ça ne serait vraiment pas drôle si tout était toujours beau et rose. Le bonheur c'est de fracasser la tête d'une fille que tu peux pas te piffer, c'est d'acheter la dernière tarte meringuée de la boulangerie, c'est de savoir que tu as 2 voire 3 coups d'avance sur tes ennemis, c'est de gagner toujours un peu plus d'argent, c'est ça le vrai bonheur.
ta plus grande réussite à ce jour ?
Un seul mot à dire : money. C'est l'argent qui te définira et dicte le monde en 2018. Rien de plus. Plus t'as de l'argent, plus t'es respecté et plus t'es protégé. Mes ambitions ne sont pas de fonder une famille ou pas tout de suite, mais c'est de me faire un max de blé comme je sais le faire en le moins de temps possible. Ma plus grande réussite c'est aussi d'avoir su quitter le système avant qu'il ne me détruise.
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
La chose la plus importante selon moi : le respect. Je fais tout avec respect. Il faut respecter ses amis et encore plus ses ennemis. Les victoires ne sont que plus grandes lorsqu'elles se sont faites à la loyale. Il faut ruser mais avec intelligence, toujours se battre contre plus fort, ne jamais attaquer les faibles. Ce qui est important aussi, c'est de se respecter soi-même. Lorsqu'on est une femme dans un milieu d'homme il faut savoir s'imposer, et c'est en montrant le respect que nous nous affligeons que ces mecs nous respecteront aussi.
qu’as-tu ressenti ?
Quelle naïveté. On fait tous des choses illégales, et où est le problème ? Les lois sont juste là pour nous faire chier. Et ceux qui les créent sont ceux qui les respectent le moins. Alors pourquoi moi je devrai me plier aux règles qu'on essaye de m'imposer ? Je sais où sont mes limites, on a jamais été là pour moi, j'ai de compte à rendre à personne et encore moins à la justice. Je me suis faite toute seule et c'est donc à moi de savoir ce qui me parait juste/légal ou non.
A quoi bon ? Le monde est comme il est, ça ne sert strictement à rien de le changer, il deviendra toujours misérable et sombre. Il y aura toujours des gentils et des méchants. La paix n'existe pas et elle n'arrange personne, on le saurait. Il y a toujours des guerres à mener, il y aura toujours un bouc-émissaire. Le monde réfléchit à l'envers et si on le referait il y aurait encore des débiles qui croiraient au bon Dieu.
J'ai des qualités. J'ai sans doute l'air froide, renfermée, pessimiste sur le monde,
mais malgré tout, j'arrive à me canaliser, j'arrive surtout à aimer. Je n'aime que très peu de monde, mais lorsque je m'entoure, c'est des bonnes personnes. Alors là je serai prête à tout, à tuer, à mourir s'il le faut. La déception c'est ma plus grande crainte. Je ne peux décevoir mon entourage. Je donnerai tout par amitié et par amour même si on a du mal à le croire de prime abord.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [X] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : M. Âge : 22 ans. Anniversaire : Janvier. Localisation : Belgique Présence : 6/7. Personnage ... [X] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : bazzart Et je le trouve : Awesome Ma plus grande peur : les chiens ? Un dernier mot ?
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
La guerre on la fera.
Lorsque j'ai quitté le système.
Vous pouvez également ajouter des images à votre guise, grâce aux deux codes fournis ci-dessous.
Je savais que ce jour allait arriver. Que ça irait trop loin. Mais maintenant c'est trop tard. Je baigne dans le sang, j'ai des bouffées de chaleur, mon cœur qui bat à cent à l'heure. Le bruit des coups de feu et de la vitre qui se brise m'a rendu sourde. Je n'arrive qu'à entendre les battements de mon cœur. Je suis encore vivante. Je me touche le corps pour savoir si je n'ai rien. A priori pas de douleurs, juste des sueurs chaudes qui m'envahissent tout le corps. Mais à qui appartient tout ce sang alors ? Je reprends mes esprits et me tourne sur la droite. Mariela ! Je la vois allongée sur le sol, je ne pense plus à rien et m'effondre sur elle. Je prends son visage entre mes mains, ses yeux ne sont plus de ce monde. Je crie « Mariela, Mariela ! Réponds-moi ! Je t’en supplie ! » Je la laisse là et cours à l’extérieur de la boutique. « Appelez les ambulances ! Venez m’aider ! » J’ai beau crier mais j’ai l’impression que personne ne m’entends. Je ne m’entends pas moi-même. Un attroupement arrive à l’intérieur de la boutique. Des italiens paniqués, mais habitués à ce genre d’horreur. Les ambulanciers arriveront trop tard. Elle était déjà morte, noyée dans son sang.
Je suis resté allongée là quelques heures, si pas une nuit entière. Ce sang sur le sol était tout ce qui me restait d'elle. Ce n'est pas la première fois que je vis une scène pareille. La première fois on croit y rester pour de bon, on a tellement peur que son pisse dessus. Là c'était différent, Mariela était ma petite soeur. Pas de sang, je ne connais pas ma famille,
j'ai été abandonnée à l'âge de 3 ans, refougée de familles d’accueil en familles d’accueil. Elle était la famille que je m'étais construite dans le système.
Le système, c'est ce qu'on appelle plus communément ''La mafia'', ce sont les journaux qui donnent ce nom là. Mais nous, on sait qu'on appartient à un système. Je n'avais pas trahi les miens, je suis plutôt loyale, j'arrivais d'ailleurs à trouver ma place. Les femmes sont de très bonnes couvertures, qui pourrait croire qu'avec ma gueule d'ange et mon sourire enfantin je cachais près de 1,5 millions d'euros et une trentaine d'armes à l'arrière de ma boutique de prêt-à-porter ?
L'argent ! C'était sa ma seule motivation, et peut-être aussi d'avoir ce sentiment d'appartenance à une famille que je n'avais jamais eu. Mes boss étaient sympas avec moi. Mais j'en avais marre de cette vie. Et puis là, le meurtre de Mariela par un camp inverse... « On va les retrouver ! Tu m’entends ? Ces fumiers. Je vais leur mettre moi-même une balle dans les couilles, Bambina, crois-moi ! » Enzo essayait de me rassurer, mais ça n'en valait pas le coup. J'étais comme vide les jours qui suivirent ce décès. J'étais prise pour cible, je n'avais pas peur, non, la mort on l'a voit tous les jours, on y est préparé. Mais j'étais lassée de tous ces morts. Du jour au lendemain, je fis mes bagages, j'emportais avec moi mon dû et parti.
Le système m'a détruite
Vous pouvez également ajouter des images à votre guise, grâce aux deux codes fournis ci-dessous.
Je savais que ce jour allait arriver. Que ça irait trop loin. Mais maintenant c'est trop tard. Je baigne dans le sang, j'ai des bouffées de chaleur, mon cœur qui bat à cent à l'heure. Le bruit des coups de feu et de la vitre qui se brise m'a rendu sourde. Je n'arrive qu'à entendre les battements de mon cœur. Je suis encore vivante. Je me touche le corps pour savoir si je n'ai rien. A priori pas de douleurs, juste des sueurs chaudes qui m'envahissent tout le corps. Mais à qui appartient tout ce sang alors ? Je reprends mes esprits et me tourne sur la droite. Mariela ! Je la vois allongée sur le sol, je ne pense plus à rien et m'effondre sur elle. Je prends son visage entre mes mains, ses yeux ne sont plus de ce monde. Je crie « Mariela, Mariela ! Réponds-moi ! Je t’en supplie ! » Je la laisse là et cours à l’extérieur de la boutique. « Appelez les ambulances ! Venez m’aider ! » J’ai beau crier mais j’ai l’impression que personne ne m’entends. Je ne m’entends pas moi-même. Un attroupement arrive à l’intérieur de la boutique. Des italiens paniqués, mais habitués à ce genre d’horreur. Les ambulanciers arriveront trop tard. Elle était déjà morte, noyée dans son sang.
Je suis resté allongée là quelques heures, si pas une nuit entière. Ce sang sur le sol était tout ce qui me restait d'elle. Ce n'est pas la première fois que je vis une scène pareille. La première fois on croit y rester pour de bon, on a tellement peur que son pisse dessus. Là c'était différent, Mariela était ma petite soeur. Pas de sang, je ne connais pas ma famille,
j'ai été abandonnée à l'âge de 3 ans, refougée de familles d’accueil en familles d’accueil. Elle était la famille que je m'étais construite dans le système.
Le système, c'est ce qu'on appelle plus communément ''La mafia'', ce sont les journaux qui donnent ce nom là. Mais nous, on sait qu'on appartient à un système. Je n'avais pas trahi les miens, je suis plutôt loyale, j'arrivais d'ailleurs à trouver ma place. Les femmes sont de très bonnes couvertures, qui pourrait croire qu'avec ma gueule d'ange et mon sourire enfantin je cachais près de 1,5 millions d'euros et une trentaine d'armes à l'arrière de ma boutique de prêt-à-porter ?
L'argent ! C'était sa ma seule motivation, et peut-être aussi d'avoir ce sentiment d'appartenance à une famille que je n'avais jamais eu. Mes boss étaient sympas avec moi. Mais j'en avais marre de cette vie. Et puis là, le meurtre de Mariela par un camp inverse... « On va les retrouver ! Tu m’entends ? Ces fumiers. Je vais leur mettre moi-même une balle dans les couilles, Bambina, crois-moi ! » Enzo essayait de me rassurer, mais ça n'en valait pas le coup. J'étais comme vide les jours qui suivirent ce décès. J'étais prise pour cible, je n'avais pas peur, non, la mort on l'a voit tous les jours, on y est préparé. Mais j'étais lassée de tous ces morts. Du jour au lendemain, je fis mes bagages, j'emportais avec moi mon dû et parti.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
Le titre annonce la couleur
Bienvenue ! Bon courage pour ta fiche !
Bienvenue ! Bon courage pour ta fiche !
- InvitéInvité
Bienvenue Maria :) Bon courage pour terminer la rédaction de ta fiche
- InvitéInvité
Que tu es belle en Sara
Bienvenue officiellement par ici Impatiente d'en lire plus sur ta belle
Bienvenue officiellement par ici Impatiente d'en lire plus sur ta belle
- InvitéInvité
Bienvenue sur it's all my fault ! Bon courage pour la rédaction de ta fiche
- InvitéInvité
BIENVENUE SUR IAMF
BONNE CHANCE POUR TA PRES'
BONNE CHANCE POUR TA PRES'
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