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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Sasha Helen Sireli Saint
Poison, my sweet poison
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
L’étude de l’âme, plus communément appelée la psychologie. Arriver à comprendre autrui sans aucun effort. Lire en lui comme dans un livre ouvert sans avoir à supporter la barrière de la complexité barbante. Entendre l’écho de ses réflexions sybiliennes, de ses cachotteries espiègles. Contrôler son destin comme s’il n’était qu’un vulgaire arlequin entre tes filets acariens. Oui, c’est bel et bien une connaissance que tu aimerais acquérir, ne serait-ce que pour comprendre l’ensemble de tes agissement parfois totalement démesurés. Mais hélas, le savoir absolu n’est qu’un mythe et la perfection est rasoir.
Les années ont défilé à une vitesse incontestable. Quel gâchis. Les brûlures de Chronos sont visibles sur ton faciès et s’il y a bien un souhait que tu aimerais avoir, ce serait de plonger dans la fontaine de jouvence. Avoir ce teint éclatant et un sourire démuni de défauts. Oui, ça te plait et c’est pour cette raison que tu détestes être le centre d’intérêt de quiconque. Ils te poignardent dans le dos. Ils crachent sur ton passage derrière leur sourire avenant. Il s’agit de ta peur parce que inévitablement, c’est ce que tu fais. Mais lorsque ta présence est convoitée autour de ceux pour qui tu comptes, ceux qui se lapideraient pour ton malin plaisir, oui, tu ne trouves aucun inconvénient à briller sous les feux de projecteurs tant qu’adulation existe et est tournée vers ta superbe personne.
Tu as beau cherché une réponse à cette question, les mots qui te viennent en bouche se limitent à ; le bonheur n’existe pas. Peu importe tes efforts ou ceux des autres. Peu importe les concessions dont tu es capable d’exhausser. Peu importe si tu te casses un membre ou deux dans la procédure, le résultat est le même, le bonheur n’est qu’une chimère parmi tant d’autres. Ce n’est pas un discours baigné dans le pessimisme. C’est une réalité écorchant ton myocarde, certes, mais palpable, éternelle.
ta plus grande réussite à ce jour ?
T’aurais pu lâcher prise. T’aurais pu te morfondre dans ton sort dû à ce talent gâché et incompris. L’écriture, a toujours été ton salut, ton havre de paix qui pourtant, depuis la publication de ton livre, n’a été qu’une porte vers un enfer personnel ; tu n’es pas si douée que ça. Pourtant, tu persistes Sasha. Tes ambitions pourraient déplacer des montagnes, détruire des mers. Et dans cette déception professionnelle, il y a un éclat de lumière dont tu es affreusement fière ; tes enfants. Oui toi, celle qui accepte moyennement l’avancement de son âge, celle qui regrette le cheminement de toute son existence, tes enfants représentent la terre et plus encore.
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
Tu es née avec une cuillère d’argent dans la bouche et depuis ton plus jeune âge, t’aurai bien aimé la croquer en entier. L’argent a une place incommensurable dans ta vie. Il est le moteur de tes fantasmes, une des raisons expliquant ta patience face à ce vautour appelé mariage. Tu es capable de tout pour marcher sur les liasses vertes. Tuer, tortures, user de la manipulation, la liste est grande et interminable. Ta conscience ? Elle est bien endormie depuis des lustres ou bien, est-elle tout simplement pervertie, suivant le chemin de tes envies.
qu’as-tu ressenti ?
Sasha, tu es une beauté physique sauvage. Des sourires trompeurs et des paroles manipulatrices. Rares sont ceux qui connaissent ta vraie nature et l’avocat de la famille Sireli, n’en fait pas partie. Quand tu l’as invité pour boire un verre en ta compagnie, il a couru comme un chien en manque et ce n’est que bénéfique pour toi. Tu as abusé de sa confiance, pénétrant dans ton bureau sans aucun état d’âme pour changer le testament de ton père. Qu’as-tu changé exactement ? Tu t’es tout simplement accordée la plus grosse somme d’argent. Elle est minime face à la fortune de ton mari mais ce n’est qu’une petite récompense d’avoir supporté cette famille et principalement tes sœurs. Oui, tu as falsifié des papiers et tu ne ressens aucun remord.
Une personne sainement constituée aurait trouvé plein de changements à effectuer pour refaire le monde. Comme éradiquer les classes sociales et permettre aux plus démunis de pouvoir vivre confortablement sans avoir à en baver. Comme annihiler l’injustice régnant dans chaque recoin, chaque quartier. Protéger nos amis les bêtes de la cruauté de l’être humain. Mais toi, Sasha, toi le sort du monde ne t’intéresse pas. Toi, tu vis pour ta propre personne, pour ton propre salut. Égoïste jusqu’à la moelle et tu en es fière.
Chaque individu a son jardin secret. Chaque individu a quelques squelettes dans son placard. Il s’agit d’un petit secret, quelque chose dont il n’en est pas totalement fier, toi ? Ce genre de réflexion n’effleure même pas ton esprit. Tu as essayé de tuer ton mari et tu regrettes parce que ta tentative a lamentablement échoué. Tu n’as pas su te documenter plus sur le sujet. Tu n’as pas pris le temps nécessaire pour bien élaborer ton plan machiavélique. Tu as été euphorique à l’idée d’en finir et d’être en tête à tête avec sa grande fortune. Une erreur qui te valent ses soupçons.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [x] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo :Eya | Magma.Âge : Anniversaire : 30 avril Localisation : MarsPrésence : 5/7. Personnage ... [ ] inventé [x] pré-lien. J'ai connu le forum :Grâce à une demande de partenariat avec mon forum Et je le trouve :Bandant o/Ma plus grande peur : Non ça va Un dernier mot ?
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
So rise and be your master, you don't need to be a slave.
SCAR A SMILE ON YOUR FACE
“Raconte moi l’histoire papa” Tu regardes ton père avec des yeux émerveillés d’où s’échappe une pointe de curiosité. Cette histoire tu la connais par cœur pour l’avoir écouté encore et encore pourtant, tu ne t’en lasses jamais. Une esquisse attendrie se peint sur le faciès de cet homme à la peau mordorée. Sa grande main se faufile doucement sur ta chevelure couleur blé et soyeuse. Il se racle la gorge et commence son récit. T’étais encore dans les entrailles de ta mère lorsqu’ils avaient choisi de s’installer sur le territoire américain. Il était un ancien athlète reconnu sur ses contrées natales, les îles Fidji. Ces îles que tu as appris à aimer sur des photos avant de les visiter dès ta majorité. Tes parents voulaient un avenir meilleur pour leurs enfants et ta mère, d’origine américaine, avait le mal du pays. Un homme est faible face à la bouille boudeuse de sa femme. C’est une réalité que tu as appris avec l’écoulement de Chronos. Tu as vu cet homme impressionnant fléchir aux envies de cette petite dame. Elle arrivait à le faire agir selon ses envies, selon ses besoins. Finalement, tu n’es pas si différente de ta mère. Elle était depuis toujours, une des figures emblématiques de toute ton existence. Tu l’as vu manipulé le facteur pour que le courrier des Sireli arrive en premier dans le quartier. Tu l’as vu sourire en face d’une importante personnalité médiatique avant de casser du sucre sur son dos, critiquant avec aplomb sa coiffure hideuse. Tu l’as vu et tu as appris. Tu l’as vu et tu as pris des notes. Cette femme t’a toujours impressionné par sa capacité prodigieuse à changer de facettes comme si ce n’était qu’une vulgaire affaire insignifiante. Elle t’a forgé à son image contrairement à tes deux autres sœurs. Les cadettes avaient la bonté de votre père, sa sensibilité et ses valeurs. Alors que toi, tu as appris que la vie n’offre pas de cadeaux. Si tu désires quelque chose, tu dois aller le prendre voire même l’arracher si besoin est. Cette leçon t’a suivi jusqu’au lycée et ensuite à la fac. Tu faisais partie des populaires. De ceux qui imposent les règles, qui écrasent les autres par leur aura menaçante. Tu as fait des coups bas Sasha. Tu as été la reine et les autres, étaient tes petits sbires sous ton commandement. Pourtant, tu étais studieuse. Tu étais bien dans ta peau. Malgré l’image de la peste insupportable que tu projetais, tes études avaient une place notable dans ton existence. L’échec ne faisait pas partie de tes plans d’autant plus que tu n’as jamais raté une année scolaire. T’avais le monde à tes pieds et tu l’écrasais comme ça te chante, tant que ça anime ton besoin de pouvoir.
A ROSE MADE OF SECOND THOUGHTS
Complexe. Tu es une personne complexe Sasha et parfois, tes propres agissements te surprennent. C’est le moins qu’on puisse dire quand tu regardes la silhouette étendue à tes côtés. Tu l’observes minutieusement. Tu suis avec attention le soulèvement tranquille de sa cage thoracique. Il dort paisiblement, comme un bienheureux et alors que ton champ de vision ne change pas d’un iota, tes phalanges se mettent à tripoter ton alliance. Tu l’as fait. Tu as épousé un homme en lui jurant fidélité jusqu’à la nuit des temps. Tu lui as promis d’être à ses côtés pour le meilleur comme pour le pire. Tu as été euphorique à cet instant précis. Maintenant, tu doutes et l’expression ténébreuse sur ton faciès le témoigne. Tu te redresses doucement de ce lit. Tu marches jusqu’à la fenêtre, la vitre te renvoie en plein fouet ton reflet. Tu as dix neuf ans et tu es mariée depuis un an. Tu remémores le jour de votre rencontre. Atypique. Cet homme avait fait de l’auto stop et tu t’es arrêtée sans ressentir une once de crainte. Cette sensation de sécurité à ses côtés n’a jamais failli non au contraire. Atlas t’a fourni tout ce dont t’avais besoin spécialement ce sentiment d’être attachée à quelqu’un. Tu as depuis toujours, souffert d’une certaine carence d’émotions. Tu es détachée de tout type d’affections. Tes parents sont tes parents, ta famille en entier est constituée d’individus avec lesquels tu as des liens de sang. Et c’est tout. Avec Atlas, c’est différent. Son sort t’intéresse. Dès votre premier contact, tu as ressenti l’envie d’en savoir plus sur lui. A chacune de vos folies, l’adrénaline monte en crescendo. Vous étiez un couple de bohème auquel les règles de la société ne s'appliquaient pas. Mais maintenant, avec ce contrat moral, tout prend une tournure plus posée, moins frénétique. Mariés depuis un an, la réalité vous a rattrapé et vous n’êtes plus sujets à des coups de tête persistants. Tu te tournes alors vers le lit et ta voix, déterminée s’évade dans le petit espace de votre chambre. “Atlas, on se réveille ! Il faut qu’on bouge” Il faut faire quelque chose pour ne pas laisser la routine s’installer entre vous. Ça, non, jamais. Tu le refuses catégoriquement. Tu as besoin d’extravagance afin de maintenir la flamme de votre couple et tu es capable de tout pour y arriver.
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Tes doigts caressent doucement la peau laiteuse de ce nouveau né. Ton deuxième enfant et la fin de tes espérances. Oui c’est la fin d’une époque qui rimait avec insouciance. Maintenant, vous êtes parents de deux gamins. Vous êtes des parents responsables, obligés de maintenir la machine qu’est devenue votre vie. Tu as pensé avoir la compétence essentielle pour conserver la braise vous unissant. Tu as pensé qu’avec le passage de toutes ces années, tu arriveras enfin à accepter cette condition de femme mariée et mère d’une famille. Erreur. Tu ne l’acceptes pas Sasha. Tu as du mal avec ce rôle endossé depuis tes dix huit ans. Tu as l’impression d’avoir commis une grosse bêtise et de passer à côté de merveilleux plans prodigués par ton destin. Tu as préféré suivre le chemin de ce petit attachement ressenti pour ton mari sans prendre en compte la possibilité de ne pas pouvoir trouver ton bonheur. L'allégresse était momentanée et maintenant, maintenant tu te mords les doigts. Bien sûr, tes enfants sont la plus belle chose que tu as pu expérimenter mais tu as besoin de plus. Tu es affamée de renouvellement et tu acceptes moyennement l’avancement de ton âge aussi. Tu n’as jamais pensé cela possible et pourtant t’y es ; tu es mal dans ta peau. Les produits cosmétiques que tu consommes sans modération n’écrasent point les traces du vieillissement et c’est un fait écorcheur que tu ravales en arborant des sourires trompeurs, des étirements d’ourlets cachant à merveille ton ultime décision.
Don't let them fool you
“T’es pas sérieux ?!” Tu as l’impression de rêver. Des sentiments contradictoires s'entrechoquent dans ton esprit. Tu es heureuse et surtout hésitante. Ton mari vient t’avouer une grande nouvelle. Une information capable de changer radicalement toute ton existence ; il est riche. Non, il est extrêmement riche avec la fortune qu’il vient d’hériter. Il y a quelques temps, tu as pris une décision et la veille, tu as commencé à la mettre au point. Tu vas quitter ton mari maintenant que vos enfants ont grandi. Ta vie actuelle ne te correspond pas et tu as besoin de changement, d’adrénaline aussi. Seulement, maintenant, tu doutes. Si tu pars, tu n’auras plus la possibilité de toucher un centime de ce récent trésor et ta nature matérialiste ne sera pas rassasiée.Alors tu souris à t'en décrocher la mâchoire. Tu ris et tu sautes dans les bras de ton mari en ayant une lueur maléfique dans les prunelles. Tu vas rester. Tu trouveras une solution pour avoir tout cet argent pour toi toute seule. Tu ne connais pas encore la procédure à suivre mais tu es méthodique et ambitieuse. Ce jour là, tu as quitté ton lieu de vie pour rejoindre quelqu’un d’autre. Une personne ayant arrivée à te communiquer sa joie de vie. Quand tu regardes cet homme, tu revois ta jeunesse perdue. A ses côtés, tu es vivante, loin de ton train-train barbant. Loin de tes insécurités. Avec lui, tu célèbres le plaisir de la chair et l’étouffement ressenti dans cette famille, la tienne. Il t’attend pour vous évader loin de Los Angeles mais tu ne peux te résoudre à partir, maintenant que ton mari est plein aux as. “Je ne peux pas le quitter” Tu es ferme. Les émotions ne font pas partie de ton vocabulaire. Toi, tu as un réel vrai amour et ce n’est autre que l’argent. Ce jeune homme l’a compris et connaissant ta nature dépourvue de douceur, il te propose une idée. Un plan susceptible à faire de toi une femme extrêmement fortunée.
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“Tu aimes ce que tu manges ?” Sans lever la tête de ton assiette, ta voix s’élève dans la salle à manger, rompant ce silence macabre. Tu t’adresses à Atlas, ton mari depuis dix ans. Cet homme que tu n’as pas eu la décence d’envoyer six pieds sous terre. Pourtant, tu as essayé. Ah oui, avec ton amant, vous aviez mis un plan infaillible pour vous en débarrasser une fois pour toute. Tu as le rôle le plus important dans la mise en scène. Le marionnettiste tirant les ficelles de ce qui est bien et mal. Tu t’es appropriée la place du créateur en voulant ramener de force la Faucheuse dans votre lieu de vie. Tu l’as empoisonné, changeant ses médicaments. T’étais certaine de la manœuvre. Tu as même eu un cri de joie intérieure et silencieux quand il a ingurgité le venin préparé par tes soins. Cependant, il a été sauvé. Ce malheureux chanceux. Cette entité impérissable. Il s’en est sorti, ravageant tes espérances et tes plans. Tu le vois dans ce regard. Ce doute meurtrier. Cette épée de Damoclès pointée vers ta gorge. Il te soupçonne et il a bien raison. Il n’a aucune preuve contre toi. Tu n’es pas bête Sasha, tu t’es débarrassée de toutes les preuves pouvant t’inculper. Mais l’ambiance électrique entre vous est en soi une preuve. Alors tu utilises une autre tactique ; te rapprocher doucement mais sûrement de lui. Tu dois redevenir la femme qu’il a connu, la femme qu’il a aimé car tu n’as pas encore dit ton dernier mot.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
jsuis toujours
t'es trop belle
bienvenuuuuuue
et évidemment qu'il est immortel
t'es trop belle
bienvenuuuuuue
et évidemment qu'il est immortel
- InvitéInvité
MAIS QUE DE PERFECTION EN TOUAH!!!
Trop de bon choix (scenariii, vava...)
Ouelcome sur IAMF
Trop de bon choix (scenariii, vava...)
Ouelcome sur IAMF
- InvitéInvité
NATALIE
BIENVENUE SUR IAMF
BONNE CHANCE POUR TA PRES'
BIENVENUE SUR IAMF
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