YESTERDAY'S NEWS |48
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Quand le destin s'en mêle
but I want to save you
Wesley ✧ Élisabeth
Le soleil frappe ma joue d’une douceur enivrante, j’ai eu une dure semaine au bureau avec tous ces dossiers horribles que je me devais de venir marcher un peu. C’est parfois difficile d’avoir la tête froide dans ce milieu, j’ai appris à le faire évidemment, mais certains dossiers sont plus difficiles que d’autres. Tout simplement me mettre à penser à comment je mène la barque de ma vie, me fait presque pitié. Je m’acharne au boulot comme si j’allais mourir demain, mais je recommence le même manège chaque jour. Je me couche que très tard et souvent épuisée de fatigue que je m’endors sur mes dossiers. Mais c’est ma propre faute si je bosse autant, je suis l’unique responsable de ce qu’il m’arrive, alors je viens ici pour me ressourcer et me vider la tête. Le paysage et à couper le souffle, la nature m’enchante avec ses couleurs parfaites et ses odeurs qui viennent chatouiller mes narines. Je marche le long du sentier, captivée par la beauté que m’offre cette journée. L’eau semble calme, presque endormit et les oiseaux m’accompagne dans ma balade solitaire. Un bruit hors du commun vient frapper mes oreilles et je me retourne vivement, lorsque je vois un VTT foncé à grande vitesse dans le vent pour aller s’écraser en bas de la petite butte qui sépare l’eau de la terre. Je pousse un cri strident, ne croyant pas mes yeux de ce que je suis en train d’être témoin. Je suis figée sur place attendant de voir se lever la victime, qui au bout de 4 minutes, n’a toujours pas bougé. Je me précipite à sa rencontre, voyant une coulisse de sang s’échapper de sa tête. Je presse la blessure contre ma main et regarde son pouls. Faible, en fait je crois qu’il en a aucun. Je panique puis prend une grande respiration pour commencer les soins de réanimation. De mon cellulaire, j’appelle les secours puis continue de masser le torse de l’inconnu. Je m’approche pour lui faire le bouche-à-bouche et continue de palper son cœur. Je tente de capter un pouls, que je capte faiblement. « Rester avec moi, soyez fort, les secours arrivent. Ne partez pas, vous êtes encore jeune! Monsieur, m’entendez-vous? Que je dis tout bas à l’inconnu dans mes bras. J’ai les yeux remplit de liquide lacrymal, j’ai le cœur gros et j’ai peur qu’il meure. Je ne le connais pas, mais s’il meurt se serra ma faute. Au loin j’attend les sirènes, Dieu merci! Ils arrivent.
nightgaunt
- InvitéInvité
Après avoir passé la nuit dans ton repaire secret pour t'adonner à tes activités de hacker, tu avais ressenti ce besoin absolu de prendre l'air. Très souvent quand ce genre d'envie te prenait, tu t'empressais d'enfourcher ton VTT et tu partais faire une promenade jusqu'à la falaise, mais tu ajoutais toujours une difficulté parce que sinon, ça ne serait qu'une simple balade à vélo.Du coup, en ce beau jour estival, tu avais décidé de rouler vraiment au bord de la falaise, là où c'était le plus dangereux... La peur semblait t'exalter à un point qu'on ne saurait se l'imaginer. De toute façon, comme toujours, tu allais survivre parce que tu connaissais les risques... Du moins c'était ainsi que tu voyais les choses et une balade en VTT sur le bord d'une falaise ne pouvait pas être plus dangereuse qu'une transaction qui tourne mal. En effet, lors de ta précédente expérience criminelle où tu étais le tueur à gage d'un gros cartel de drogue en Amérique du Sud, tu avais assisté à plusieurs transactions ratées où tu avais été dans l'obligation d'utiliser tes compétences de tueur... Généralement, tu ne laissais aucune trace ! Toutes les personnes que tu éliminais, tu tâchais de le faire avec subtilité, sans trop d'effusion de sang et parfois même tu essayais de maquiller cela en mort naturelle. Rien que d'y penser, ça te remontait l'estomac... Ce n'était pas les meilleurs moments de ta vie et il fallait très vite que tu oublies cela. Tu étais censé te défouler, pas t'embrouiller l'esprit avec ces mauvais souvenirs. Tu fonçais à toute vitesse sur cette falaise, tes écouteurs bien en place sur tes oreilles mais à un moment donné, tu perdais complètement le contrôle de ton vélo et tu atterrissais plus bas... Tu étais mort c'est ça ? Pourtant, tu ne voyais pas de lumière blanche mais tu n'entendais plus rien, tu ne ressentais plus rien... Une personne semblait s'être précipitée vers toi et tentait par tous les moyens pour te réanimer mais tu finissais par tomber dans l'inconscience totale. Les secours arrivèrent sur les lieux... « Madame, nous allons nous occuper de lui. Vous avez fait ce que vous pouviez. » disait l'un des ambulanciers avant de te mettre doucement sur le brancard. « Accompagnez-nous. Il est inconscient mais il respire encore... Le traumatisme crânien a l'air très sévère, il faut l'opérer de toute urgence sinon il risque de nous quitter. La police récupérera votre déposition à l'hôpital. ». Ils te mirent dans l'ambulance et attendirent que ta sauveuse monte pour t'emmener jusqu'à l'hôpital. Allais-tu mourir ? Seul Dieu le savait...
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Quand le destin s'en mêle
but I want to save you
Wesley ✧ Élisabeth
J’étais en état de choc lorsque les ambulanciers arrivèrent. Je tremblais de partout, des larmes ruisselant sur mes joues rouges. « Madame, nous allons nous occuper de lui. Vous avez fait ce que vous pouviez. Accompagnez-nous. Il est inconscient mais il respire encore... Le traumatisme crânien a l'air très sévère, il faut l'opérer de toute urgence sinon il risque de nous quitter. La police récupérera votre déposition à l'hôpital.” J’obéis sans trop comprendre pourquoi je les suivaient. L’Homme semblait dans un pénible état et je ne savais réellement pas quoi faire, impuissance totale. Comment s’appelle-t-il? J’ai le regard fixe sur le visage inerte de l’inconnu, l’ambulancier doit me tapoter l’épaule pour que je revienne sur terre Madame? Son nom s’il vous plaît. Son nom, son nom, je ne sais pas moi ! Mais quel drôle de question, ai-je l’air de le connaître? « Je ne sais pas, je ne le connais pas. J’étais juste là quand c’est arriver… L’Ambulancier me répond qu’il a eu de la chance, je ne trouve pas que c’est de la chance. Pourquoi roulait-il si rapidement? Que fuyait-il ? Était-il en colère ou anxieux? Tant de question dans ma tête et tout à coup, je ne me sens plus à l’aise dans cet ambulance trop étroit. Nous finissons heureusement par arriver à l’hôpital ou tout le monde s’affole et moi qui est plantée là comme un piquet, les bras ballant ne sachant trop que faire. Les policiers ne tardent à arriver et s’informe de l’état du patient. Ils me rapportent un café et nous discutons. Ma déposition prit environ 45 minutes, essayant de bien me remémorer chaque détail de cet accident. « Merci mais…je préfère rester ici encore un peu. Que je répond aux policiers, lorsqu’ils m’offrent de me reconduire chez moi. Je suis resté dans la salle d’attente 4 heure, je dormais presque quand le docteur est passé devant moi. Mademoiselle? C’est vous la dame qui a sauvé monsieur Keller? Je me lève rapidement, Keller? Aucune idée, mais c’est probable. Je bafouille : « Il est vivant?! » Le docteur me répond par l’affirmatif et un long soupir s’échappe d’entre mes lippes. Mon cœur cesse de tambouriner dans ma poitrine et mes nerfs se relâchent. Il est dans un coma artificielle, mais demain il devrait se réveiller. On ne sait pas la gravité des blessures, nous le sauront assez tôt. Allez dormir, vous reviendrez demain. Et je me resignes alors à rentrer chez moi en taxi et saute dans mon lit. La nuit fût courte et c’est devant mon café que je me retrouve, les cheveux en bataille. Je me dépêche à terminer ce café au goût amer et saute dans ma Lincoln, direction l’hôpital. Je me regarde rapidement dans le miroir, chignon fait à la va-vite, maquillage de dernière minute et surtout visage fatigué. Je dois me dépêcher, je plaide cet après-midi. Je me gare dans le stationnement de l’hôpital et entre d’un pas rapide qui fait claquer sur le sol, mes talons aiguilles. « La chambre de monsieur Keller, s’il vous plaît. » La réponse arriva rapidement : 777. Je rigole devant ce chiffre, je crois vraiment qu’il a eu de la chance, finalement ou bien il en aura. Je monte par l’ascenseur, au diable l’exercice ce matin. Je marche décidée puis fige devant la chambre de l’inconnu. Pourquoi suis-je ici? Pourquoi suis-je revenue? Il ne sait même pas qui suis-je? Voulais-je me rassurer sur son état? Ou bien apaiser ma conscience, peut-être? Je pousse doucement la porte et pose mon regard sur l’homme qui tourne doucement la tête en ma direction. Bonjour…je suis Éisabeth, je vous ai tenu compagnie en attendant les secours. Je parle tout bas, pas trop, mais juste assez pour ne pas violenter ses tympans et du coup, lui filer un mal supplémentaire de tête. Je m’approche délicatement de son lit, tentant d’imprimer les traits vivant de cet homme que j’ai, même si je déteste le dire, sauvé. Je déteste le dire parce que je ne suis pas une héroïne, je suis moi et j’ai fais ce que je devais.
nightgaunt
- InvitéInvité
Après ta chute quasi-mortelle, tu ne savais plus du tout ce qu'il se passait... Normal, tu étais complètement inconscient, voire même tu étais à la limite de la mort et il fallait à tout prix que les secours t'emmènent aux urgences sinon, tu allais y rester. Du coup, un ambulancier avait demandé à ta sauveuse de les accompagner jusqu'à l'hôpital afin qu'elle puisse faire une déposition à la police vis-à-vis de l'accident, puisqu'elle était la témoin et surtout l'unique de la scène... Rapidement, on t'emmenait là-bas et tu avais été aussitôt pris en bloc opératoire pendant que la jeune femme qui t'avait sauvé devait faire face à la police. Tu étais toujours inerte, proche de la mort mais après de quelques heures au bloc, le médecin était revenu auprès de ta sauveuse afin de la prévenir que tu avais survécu... Maintenant tu étais plongé dans un coma artificiel, mais ce que tu ignorais encore jusqu'à ce moment-là, c'était que tu n'avais plus aucun souvenir des six dernières années de ta vie. Tu te réveillas du coma le lendemain, mais tu étais complètement perdu. Que faisais-tu dans cette chambre avec des personnes en blouse blanche ? Un hôpital ? Mais ce n'était pas possible, tu étais en pleine forme et tu venais de gagner une compétition importante en sky diving avec Red Bull... « Qui êtes-vous ? »[/color] demandas-tu aux personnes présentes, d'une voix encore endormie avant que tu ne grimaces de douleur parce que ta tête te faisait un mal de chien. Le docteur s'était présenté ainsi que les membres de son équipe médicale et il t'expliquait les raisons de ta présence ici dans cette chambre d'hôpital...Non tu n'arrivais pas à y croire, c'était tout bonnement impossible que tu fasses des erreurs pareilles qui pouvaient entraîner ta chute. Ne voulant pas y croire, tu demandas au médecin et aux infirmières de te laisser seul pour que tu puisses réfléchir, mais cela te faisait un mal de chien également. Une personne fit son apparition dans ta chambre et elle se présenta en disant qu'elle t'avait tenu compagnie en attendant les secours... « Que dites-vous ? Ce n'est pas possible que je fasse un accident. Je ne suis qu'au début de ma carrière ! » dis-tu comme si tu te trouvais encore en 2011, l'année où on voyait vraiment en toi l'un des meilleurs. « Dites, est-ce que vous savez quand est-ce que mes parents doivent venir me voir ? ».
- InvitéInvité
Quand le destin s'en mêle
but I want to save you
Wesley ✧ Élisabeth
Cette nuit, avec l’insomnie qui avais eu le dessus sur toi, tu avais farfouillé dans ta mémoire, dans tes dossiers et sur le net pour retrouver ce nom. Tu l’avais déjà entendu auparavant, tu ne te souvenais pas ou ni pourquoi, mais il t’avait frappé. Alors, tu avais fouillée et avais trouvée, la famille Keller et leurs assassinas en 2015 de sang-froid. Monsieur Keller, agent de la CIA, madame Keller grande PDG et la plus jeune de leur fille. Leur fils étant absent fût sauver de cet acte de cruauté sans nom. Alors quand le docteur prononça le nom Keller, tu tiquas et tu vérifias. L’homme devant toi était mélangé, perdu au-travers des années et tu le regardes avec désolation Monsieur Keller, enfin Wesley si je peux me permettre… vous ne vous souvenez de rien? Nous sommes en Juillet 2017 présentement…Tu avais la certitude qu’il ne savait plus quel année nous étions. Tu savais au fond de toi qu’il était perdu, tu le voyais dans ses yeux, dans l’affolement des nerfs de son corps et sa phrase suivante te fis ressentir une immense tristesse pour cet homme qui allait, pour la deuxième fois, être dévasté. Wesley, respirez calmement. Ce que j’ai à vous dire n’est pas facile à dire, ni à croire, surtout dans votre état, mais vos parents ne viendront pas. Tu étirais le moment fatidique, tu repoussais, pourquoi étais-ce toi qui lui annonçait ça? Une boule se forma dans ta trachée, tu avalais difficilement et ta main se mit à trembler. Injustice qu’est ce monde, toi qui hais cela par-dessus tout, tu plaças une mèche sauvageonne, qui sortait de ton chignon, derrière ton oreille. Tu raclas ta gorge, mal à l’aise Votre famille, en 2015, a été assassinées. Je suis profondément désolé que vous deviez revivre ça… Des larmes coulaient sur tes joues en silence, tu ne savais pas si tu devais parler ou te taire. Rester ou partir et tu pris une chance, ayant déjà perdu un être cher, toi aussi. Tu déposas ta main sur son bras et fermas les yeux Avant que vous ne posiez les questions, l’affaire n’est toujours pas résolus… sur la glace comme ils disent… Ta voix n’est plus que souffle, tu mordilles ta lèvre inférieur et doucement, sans t’en rendre compte, ta main se met à caresser délicatement le bras de l’homme. Tu voulais lui donner de la force, du support, du courage et tu étais dès lors résolus à ne pas le laisser seul. Tu savais ce qu’était la douleur atroce, la solitude et les conneries qui viennent avec. Tu te devais tout de même de partir bientôt, pour aller plaider, mais ne pouvais te résigner à le laisser là, le cœur arraché, l’âme en peine. Tant qu’il ne te diras pas de partir, tu resteras jusqu’à la toute dernière seconde de ton temps avant la cours.
nightgaunt
- InvitéInvité
Tu ne comprenais pas un traître mot de ce que te disaient les personnes qui venaient te voir tous les jours, toutes les heures etc de la journée. Ils te disaient que vous étiez dans l'année 2017, ce dont tu n'arrivais pas à accepter. Non pour toi, vous étiez en 2011 et ta carrière de sportif prenait son envol. Qu'importe, une jeune femme venait te voir afin de t'expliquer qu'elle était présente lors de ton admission à l'hôpital, elle était soi-disant là tout le temps mais tu avais du mal à la croire. Du coup, elle s'empressait de t'expliquer que tu souffrais malheureusement d'une grosse amnésie. « Vous êtes en train de me dire que... J'ai oublié... presque six années de ma vie. » demandas-tu d'une voix très mal assurée alors que tu étais en train d'encaisser le choc de comprendre que tu étais amnésique. « Vous étiez là, ce jour-là n'est-ce pas ? Que m'est-il réellement arrivé ? ». Par la suite, tu demandas quand est-ce que ta famille allait venir te voir mais elle commençait part te demander de respirer calmement parce qu'elle devait soi-disant t'annoncer quelque chose... Tu te mis à déglutir légèrement, t'attendant à une sacrée mauvaise nouvelle... Sauf que tu ne t'attendais pas du tout à celle-ci. « QUOIIIII ?! » hurlas-tu tout en te redressant d'un coup, ce qui engendra une vilaine douleur à ta tête mais tu parvins à te calmer en la sentant caresser délicatement ton bras. « Ce n'est pas possible... Je ne peux pas croire que ma famille ait été tuée... Ma petite sœur chérie... ». Tu fondis en larmes aussitôt, c'était bien trop dur d'apprendre de but en blanc comme ceci que votre famille n'était plus de ce monde. « Qui êtes-vous réellement ? » demandas-tu avec une voix étranglée.
- InvitéInvité
Quand le destin s'en mêle
but I want to save you
Wesley ✧ Élisabeth
Tu ne savais plus quoi dire à cet homme que tu ne connaissais pas. Il avait l’air totalement perdu, ses yeux étaient vides et tu croyais vraiment que ce que tu allais lui annoncer, allait le détruire. Tu avais bien eu raison de croire qu’il avait perdu la mémoire, « Oui, nous sommes en 2017. J’ai bien peur que vous ayez perdu six ans de votre vie…je suis désolé. » Et pour cause, tu t’étais retrouvé à cet instant pour sauvé cet homme, toi qui pour de rare fois était de congé cette journée-là. Tu soupires, plantant tes yeux dans ceux de Wesley, « Oui j’y étais. Hm, tu es arrivé à toute vitesse en VTT sur le rebord de la petite falaise et tu as raté le tournant… tu es tombé en bas. » Tu regardes tes pieds avant de poursuivre, « Je suis allé à ta rencontre, tu saignait de la tête et ton cœur battait plus…j’ai mis ma main sur ta plait et je t’ai fait la réanimation cardiaque le temps que les ambulanciers arrivent. » L’avocate avait fait place à la femme de cœur que tu étais, à la femme de justice et à celle que tu étais vraiment. Tu devais annoncer à cet inconnu de la mort de sa famille, au complet. Mais c’était inhumain de devoir vivre ce deuil pour la deuxième fois, de devoir apprendre après une amnésie, que tu étais maintenant seul au monde. Quelle terrible nouvelle que tu avais mandat d’annoncer. Sa réaction te brisa le cœur, tellement que tu t’étais rapprochée de lui pour lui caresser le bras. Tu faisais cela pour le calmer malgré la nouvelle qui devait faire palpiter son cœur, brûler son sang et éclater ses veines. Qui es-tu? Bonne question, « Élisabeth, avocate criminelle, je…je te promets que je suis ici parce que je m’inquiétais de savoir si vous alliez mieux. Je suis restée ici une partie de la nuit, j’ai dû rentrer mais honnêtement je suis ici pour toi en ce moment. » Et tu étais 100% honnêtes, tu voulais t’assurer qu’il allait bien, qu’il était vivant, qu’il allait survivre. Tu avais bien appris qu’il avait oublié 6 ans de sa vie, mais son cœur battait encore dans sa poitrine, que son sang pulsait dans ses veines. « Écoutez, Wesley…je suis désolé de ce que vous venez d’apprendre pour la deuxième fois…si vous voulez je peux vous laissez seul… »
nightgaunt
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