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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Felix & Arizona
It's Over.
Ces derniers temps, les journées se font de plus en plus difficiles. A croire que c'est une période que les criminels apprécient fortement pour faire le business. Pour nous au FBI c'est deux voire trois fois plus de travail. Ce soir je suis exténuée. Je viens de bouclée une affaire sur laquelle j'étais depuis trois long mois. Et au lieux d'être soulagée, heureuse que ce malade soit en prison, je suis juste vidée de tout énergie et en rogne, parce qu'à peine une affaire close, une autre arrive sur mon bureau. Visiblement, le crime ne dort pas. Je rentre chez moi et c'est un bordel monstre que je retrouve. Depuis que j'ai filé mon double de clef à Felix, à chaque fois que je rentre chez moi c'est une surprise qui m'attends. Où l'appartement est propre, comme je l'ai laissé, parfois même il est déjà là, il à fait à manger. Et parfois, comme ce soir, c'est le bordel. Il y a de la vaisselle partout, ses vêtements qui traine de partout. D'habitude je m'en fou un peu, ou alors je grince juste des dents. Aujourd'hui je n'en peux plus. C'est pas ma journée, clairement. Felix et moi, on se voit presque tous les jours depuis qu'il bosse au FBI et c'est pas forcément toujours agréable de voir son petit ami en permanence. Alors ce soir je suis excédée. Ce matin quand je suis arrivée, il avait la gueule de bois. Surement après une soirée avec son attardé de meilleur ami. Faudrait qu'il pense à prendre son boulot au sérieux. Mais ça c'est du grand Felix. Je pose donc mon sac à main là ou il n'y a pas d'assiette ou de chaussettes sales. Felix, il est dans le canapé et il mate un match. Je soupire bruyamment. « T'aurais quand même pu nettoyer. » J'dis peut-être ça dans le vide, parce que parfois, il m'écoute pas.
@Felix E. Blackfield
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2608
Messages : 700
Date d'inscription : 12/11/2017
Avatar : Dave Franco
Crédits : smmg bae
Âge du personnage : 27 ans
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
Arizona & Felix
It's Over.
Depuis que j'étais obligé de travailler pour le FBI j'avais du mal à sortir la tête de l'eau. Je passais mon temps à courir dans tous les sens, à jongler entre le walmart de temps en temps, les livraisons de drogue et le FBI le reste du temps. Tout ça en essayant de garder une vie social, et de continuer à élargir ma clientèle dans les boites de nuits de la ville. Même si je m'éclatais la plupart du temps, ce n'était tout de même pas très reposant. Et pour couronner le tout Arizona était devenue chiante. Je n'arrivais pas à savoir si elle avait ses règles ou si c'était enfaîte son vrai caractère, mais ses derniers jours je ne pouvais rien lui dire sans l'entendre soupirer. On passait notre temps à se prendre la tête, pour le bouchon du dentifrice, pour les spaghettis pas assez salées ... c'était devenu n'importe quoi. Le problème venait peut-être aussi du fait qu'on était quasiment tout le temps ensemble, peu-être qu'elle en pouvait plus de voir ma gueule, simplement. J'avais le double de son appartement pour deux raisons, premièrement parce qu'on était en couple (évident non ? ) et secondement parce que son appartement était bien plus proche du FBI que le mien et ça facilitait grandement nos aller/retour.
Hier j'étais sorti en boite histoire d'écouler un peu les stocks et aussi pour décompresser. C'est donc sans surprise que ce matin j'étais allé au bureau avec une bonne gueule de bois, j'avais fait mon possible pour tenir jusqu'à la fin de ma journée et puis j'étais rentré me reposer. Arizona, elle, finissait bien plus tard que moi et j'avoue qu'aujourd'hui je m'étais un peu laissé aller. Je n'avais quasiment rien toucher depuis la veille au soir. Mes fringues de la soirée et celle de ma matinée était un peu partout dans l'appart. Je n'avais pas débarrassé ma bouffe et je glandais devant la télé en caleçon, avec un chocolat chaud et mon aspirine. Je ne suis pas spécialement un mec bordélique, normalement je range, je fais le ménage et tout (ouais j'ai été bien élevé quoi), mais là franchement j'étais en mode mal de tête et procrastination. Parfois ça fait du bien aussi de rien foutre, sauf qu'Arizona n'est visiblement pas de cet avis. Elle venait à peine de franchir la porte qu'elle était déjà en train de soupirer. Franchement c'était casse-couille. Après son long soupir elle me fit une remarque digne d'une mère à son fils, alors je lui lançais sur le ton de l'humour, sans décoller mon cul du canapé : Moi aussi j'suis content de te voir bébé ! Peut-être qu'elle allait réaliser qu'elle n'était pas agréable ou peut-être qu'elle allait encore s'énerver. Avec nous ça pouvait aller très loin, ce n'était d'ailleurs pas rare qu'on en vienne aux mains.
- InvitéInvité
Felix & Arizona
It's Over.
En ce moment, tout m'énerve, tout me fatigue, tout m'exaspère et c'est Felix qui prend. En même temps il me cherche aussi. Sérieusement ! Arriver chez moi après une journée de boulot, de merde, et retrouver un bordel monstre, c'est juste super chiant ! Je fais pas un métier facile, je suis pas plombier ou coiffeuse. Mon métier il est dur physiquement, intellectuellement mais aussi mentalement. On a jamais réellement terminé une journée de boulot, on rapporte nos enquêtes chez nous mais aussi nos doutes, nos peurs et toutes les horreurs qui vont avec. Du coup quand je rentre chez moi, j'ai envie d'être au calme, au propre, chez moi quoi. Et là c'est bagdad et ça me gonfle. Felix je l'ai vu ce matin, je lui ai fait un signe de tête et ensuite je l'ai observé. Il était encore en train de décuver et ça me soulait tellement, que j'avais essayé de l'éviter. Ouais on en arrivait là. On était ensemble depuis seulement quatre mois et pourtant on commençait déjà à ressembler à un vieux couple. C'était pas évident. Mon métier il imposait que je sois fraiche à tout moment, que j'ai toutes mes capacités physique et mentale, que je sois sérieuse et impliquée. Enfin c'était peut-être ce que je m'imposais à moi même. C'est vrai que ces derniers temps, être avec Felix, ça m'avait rendu plus vivante, plus spontanée. Son irresponsabilité elle me faisait un peu du bien, elle m'évitait de vieillir trop vite et de ne voir que la morosité du monde, parce que Felix, il est tout sauf comme ça. Il est mon rayon de soleil. Mais ce soir, je suis dans le noir le plus total. Je pose mon sac et voir Felix sans bouger son cul, ça me fatigue. Alors ouais comme une mère engueulerait son gosse, je lui dis rien, je l'attaque direct à coup de reproche. Et sa réponse, son air narquois, son intonation sarcastique, elle me fait royalement chier. J'attrape la télécommande et sans prévenir, j'éteins la télé. Et je croise les bras, en le regardant de haut. « Non mais je suis sérieuse. Tu te crois dans une garçonnière ? C'est mon appartement, t'as plus 12 ans et je suis pas ta mère. » Je sais que je vais l'agacer, Felix il est impulsif, il est nerveux. Il peut partir au quart de tour. En ce moment de toute façon y a que au lit que ça va. Et vu comment c'est un peu bestial, clairement on passe notre frustration la dedans, sans parler, sans communiquer. Mais jusqu'à quand on va pouvoir continuer comme ça ?
@Felix E. Blackfield
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 27 ans
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Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
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Arizona & Felix
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J'essayais de me contenir là, elle venait d'éteindre la télé comme ça au plus grand des calmes. Non mais elle s'est prise pour qui sérieux ? Elle vient me cracher à la gueule que c'est son appartement et tout, non mais c'est une blague ? Fallait pas me passer le double des clés si tu voulais que ça reste 100% TON appartement. J'avais envie de tout casser là, j'étais en train de rater le match à cause de ses conneries. Juste parce que madame voulais me faire des reproches de merde. Pourtant tu te comportes exactement comme ma vieille mère. C'est grave. Elle allait s'énerver là c'était certain. Et c'était surement le but. J'en avais marre de m'engueuler avec elle tout le temps mais je ne pouvais pas m'empêcher de jeter de l'huile sur le feu à chacune de mes phrases.C'était contre nature pour moi que d'essayer d'apaiser les tensions. J'avais toujours été comme ça, et c'était d'ailleurs pour ça que j'attirais les embrouilles. J'essayais malgré tout de prendre sur moi. Tu peux remettre le match maintenant s'il te plait ? J'attrapais un t-shirt qui traînait et je l'enfilais. Je regardais autour de moi, ce n'était pas tant le chaos que ça finalement, y'avait juste un peu de vaisselles et des fringues. Franchement ça aurait pût être bien pire. Clairement elle avait juste décidé sur le trajet qu'elle allait être casse-couille, alors en rentrant elle avait cherché un truc à dire. Manque de chance je n'étais pas d'humeur donc ça allait dégénérer.
- InvitéInvité
Felix & Arizona
It's Over.
Clairement, c'est pas vraiment le jour pour me prendre la tête avec quelqu'un. Pourtant c'est ce que Felix et moi on s'apprête à faire et je ne sais pas trop si il ne serait pas plus judicieux de serrer les poings et les dents, souffler un coup, soupirer et aller prendre un bain. Le problème c'est que moi quand y a un conflit, je le contourne pas, je le prends pas avec des gants, j'attends pas qu'il se calme, je fonce dedans la tête la première. Le truc c'est que Felix, il est comme moi. Il prend le taureau par les cornes et il passe pas par quatre chemin. Alors forcément, au lieu de rien dire ou de s'excuser, il l'ouvre. Et c'est pas le bon moment. Je le regarde avec les yeux noirs. Vieille. Il a dit vieille. C'était pas innocent. S'il à un soucis avec mon âge qu'est-ce qu'il fou ici ! Espèce de gamin ! « Ta vieille mère ? Tu te fou de ma gueule en plus. Les vieilles ça te branche visiblement, alors tu peux aller chez ta mère ! » Je parle pas de simplement retourner chez ma maman. Je viens de faire un sous entendu bien plus dégueu et je m'en fou. Je le cherche. Au fond je veux que ça explose. Je veux qu'on se prenne la tête et que j'ai le droit de hurler que je suis frustrée. J'ai fais de la psycho. Je suis en train de faire un transfert et je me sers de Felix pour passer ma frustration. En espérant qu'il comprenne, qui me prenne dans ses bras. Mais lui il voit rien. On a jamais vraiment été confronté à un énorme soucis. A part l'histoire de Kai mais lui il compte pas. On a toujours fait face à tout. Mais là, j'ai un problème au boulot et comme ce sujet, j'arrive pas à le verbalisé j'ai besoin qu'il comprenne mon appel au secours. Felix lui, il enfile son t-shirt et il me demande de remettre son match. Je suis quoi pour lui ? Une meuf qui le loge, lui fait la bouffe et qui baise ? Je bug. Je bug sérieux et puis je secoue la tête. « Mais t'es sérieux là ? » La télécommande, je prends et je la balance contre le mur. Comme ça t'es coincé avec moi !
@Felix E. Blackfield
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Arizona & Felix
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Elle avait intérêt à se calmer parce que là ça commençait à dépasser les limites. Je parle ma de ma mère si je veux , mais par contre elle n'avait absolument pas le droit d'en faire autant. Je levais les yeux vers elle, excédé : Pardon ? Lâchais-je sèchement. À présent ça allait être compliqué de ne pas m'énerver. Je continuais à enfiler des fringues pour être sûr de ne pas me retrouver dehors en caleçon, je sentais bien qu'elle allait finir par me foutre dehors, alors j'anticipais. J'avais visiblement dépassé les bornes en demandant de remettre le match (c'est sûr que demander de rallumer la télé c'est aussi grave que de parler mal de la mère de quelqu'un) alors comme-ci c'était normal elle éclata la télécommande contre le mur, au plus grand des calme. Le tout en me demandant si j'étais sérieux, non mais là on atteignait le sommet de la stupidité. Tu te fou de ma gueule ? C'est quoi ton but là au juste ? Tu veux tout casser ? Parce que si c'est que ça je peux t'aider ! Elle osait me demander si j'étais sérieux et ensuite éclater la télécommande de sa propre télé contre le mur, franchement j'y comprenais plus rien. Je me levais alors en hochant la tête, attrapant alors à mon tour un objet sur la table basse, avant de le jeter contre le mur. C'était une bougie, donc ça ne faisait pas autant d'effet que de casser la télécommande, mais bon c'était déjà ça. Voilà t'es contente ?! Elle devenait complètement folle, et comme j'étais loin d'être vraiment saint d'esprit, ça risquait clairement de partir en couille.
- InvitéInvité
Felix & Arizona
It's Over.
Je vais lui en mettre une. Sérieusement il commence à me casser les couilles. Alors oui d'accord je cherche un peu, j'arrive et direct je l'agresse. Pas un bonjour, pas un bisou, direct je l'assomme de reproches. Mais c'est pas le jour. Je suis triste, déçue, sur les nerfs. L'enquête sur laquelle j'ai dû bosser pendant trois long mois m'a renvoyé neuf ans en arrière, elle m'a rappelé la mort de mon frère. Mais Felix ça, il le sait pas. Il connait rien de ma vie. Il connait pas mes parents, il ne sait pas pour mon frère, il ne sait même pas que j'ai une soeur aussi. Alors forcément, ma réaction elle doit lui paraitre complètement folle. S'il savait, si je prenait le temps de me poser pour lui expliquer il comprendrait, il est pas fou Felix. Mais j'arrive pas. J'arrive pas à lui dire et la seule chose qui peut sortir de ma bouche ce sont des injures, des mots durs. Et les seuls gestes que je m'autorise à faire, ce sont des gestes violents. Je m'en veux déjà d'être comme ça, mais la machine est lancé et je n'arrive pas à l'arrêter. Et chacune de ses paroles ne m'aident pas. Je commence à voir rouge et je sais que je vais dire des choses que je ne pense pas ou que je vais regretter. Je crois que je me complet dans le conflit, j'aime la souffrance et l'autodestruction. Je me complet dans cette douleur et je crois que de sentir que je peux être heureuse avec lui, ça me fait peur. Alors je balance la télécommande de rage. Et Felix lui, il continue, il balance une bougie et je le regarde en secouant la tête. « Non je suis pas contente ! Je suis pas contente que tu penses que tu peux faire de mon appartement une décharge publique, je suis pas contente que tu passes tes soirées avec ton attardé de meilleur ami et je suis pas contente de moi parce que je me demande ce que je fou avec un gamin comme toi ! » Wow, c'était violent. C'est sortie tout d'un coup, sans vraiment pourvoir le contrôler. « Non mais regarde toi ? T'as encore 8 ans dans ta tête, t'as rien d'un mec mature et responsable. Tu crois que c'est attirant et que ça me rend heureuse ? » Techniquement oui .. mais pas aujourd'hui. Aujourd'hui le monde entier me veut du mal.
@Felix E. Blackfield
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Arizona & Felix
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Bon okay, clairement elle avait ses règles là. Ça allait être la guerre. C'est tout le temps comme ça les femmes, elles commencent par te reprocher un truc simple pour ensuite dévier sur un problème existentiel. Ça commence par l'eau que tu n'as pas essuyé dans la salle de bain et ça se termine en te faisant regretter d'être venu au monde. Arizona était médaillée d'or dans cette discipline purement féminine et une fois de plus elle nous le prouvait avec cette magnifique tirade. Elle n'est donc pas contente que je ne range pas son appartement, et elle termine en disant qu'elle ne sait pas pourquoi elle est avec moi et qu'elle n'est pas heureuse. T'as jamais été dans une décharge publique toi visiblement .. Je retournais la table basse en un coup de pied, faisant voler tout ce qui avait dessus. Là déjà on s'en rapproche .. Je ne la lâchais pas des yeux et je continuais à m'approcher d'elle, attrapant des trucs sur mon passage et les lâchant par terre. C'est vrai que le monde entier tourne autour de toi Ari. Tu t'es déjà demandé si j'étais heureux moi ? Bah noooon pourquoi faire ?! Je faisais les questions et les réponses comme ça elle n'avait pas le temps d'en placer une. T'es jamais là et quand tes là tu penses qu'au taff, tu parles que du taff. Evidemment que je fais d'autres trucs, je vais pas rester à pourrir ici pendant que tu me prends la tête avec ton travail. Elle allait bientôt éclater, je le voyais bien et ça me plaisait. Je devais surement être un peu un psychopathe au fond, parce que j'adorais la pousser à bout et la voir s'énerver. J'étais pas loin du but. Te mens pas à toi-même, tu sais que j'suis attirant. Et je suis aussi mature et responsable, c'est juste que contrairement à toi je sais aussi m'amuser et rigoler. Le dernier objet que je jetais frappait la jambe d'Arizona avant de rejoindre à son tour le sol. Oups j'avais vraiment commencé la guerre là et je me rapprochais d'elle en sachant pertinemment que j'avais 80% de chance de me prendre une droite.
- InvitéInvité
Felix & Arizona
It's Over.
La tension monte entre Felix et moi, tout comme le ton. Alors qu'au début il prenait un peu ça à la "rigolade" qu'il faisait un peu d'humour, je le vois sur son visage qu'il commence à être sérieusement agacé. C'est ce que je voulais au final non ? Le faire monter un peu dans les tours, faire éclater un conflit. Ouais c'est ce que je voulais. Et je pourrais m'arrêter là, avant qu'on ne commence à dire des choses qu'on ne pensent pas, dans le simple but de blesser l'autre, à faire aussi des choses, des geste qui pourrait être sans retour possible. Mais non je le sens. C'est trop tard. J'en ai pas assez encore, j'ai pas causé assez de tort, je lui ai pas fait assez de mal et moi à moi non plus. Alors même quand il me dit que je suis égoïste et que je pense qu'à ma gueule, que j'ai pas cherché savoir si lui était heureux, je lève les yeux au ciel. Je pouvais pas répondre, il me laissait pas le temps. Il avançait, tout doucement vers moi, me poussant à reculer. Plus il avançait, plus je reculais. Il prenait le dessus et son regard devenait de plus en plus noir. J'en prenais pleins la tête. J'étais une égoïste, obsédée par son boulot, pas amusante et il se faisait .. chier avec moi ? La rage commençait à m'envahir. J'essayais de la réfréner parce qu'au fond, malgré la douleur que cette dispute pouvait me faire, une part de moi se délectait de ça, une part de moi était heureuse de cette douleur que je pouvais ressentir. Mon côté autodestructeur, mon côté maso. J'aimais me faire du mal, et même si je savais que c'était idiot, j'arrivais pas à m'en empêcher. Et puis on va pas se le cacher, Felix, il aimait me mettre dans tout mes états. Son côté destructeur aussi. On fait une belle paire n'est-ce pas ? Alors qu'il balance je ne sais quoi par terre, un truc rebondit et m'atérit dans la jambe. Je grimace, ça fait mal. Je plante mon regard haineux dans le sien. Il a commencé la guerre. Au même moment je me rends compte que je peux pas plus reculer. Je suis contre un mur. Mais il à pas gagné, oh ça non. Je prends une grande inspiration avant de balancer mon venin. « Ouais je pense qu'à mon boulot parce que j'ai que ça d'intéressant dans ma vie. Parce que toi et tes gamineries vous me fatiguez. Si t'es pas heureux t'avais qu'à te barrer, je te retiens pas ! » Je secoue la tête. « J'ai supporté des tas de trucs pour toi comme ton débile de meilleur ami et vos sorties à la con et c'est comme ça que tu me remercie ? » Sa dernière phrase, elle me blesse. Je savais m'amuser avant, avant que Liam ne meurt. Avant j'étais normale, pas une machine de guerre avec un coeur de pierre. Et sans vraiment m'en rendre compte ma main part et s'écrase contre la joue de Felix. Je le gifle fermement. Et une fois ma main revenue à sa place, me brûlant la paume, je retiens ma respiration. On avait atteint le point de non retour.
@Felix E. Blackfield
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Arizona & Felix
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La guerre était déclarée, plus rien en pouvais me calmer. Je l'avais poussé à bout. Pour moi le problème c'était son boulot qui l'a bouffait au point qu'elle n'existait même plus, mais pour elle c'était simplement de ma faute. C'est toujours plus simple de rejeter la faute sur la seule personne présente plutôt que d'assumer que le problème venait de son travail. Elle vivait dans l'ombre de la Arizona agent du FBI, il n'y avait plus de Arizona Harper-Duval une jeune femme, sexy, vivante et amusante. Il restait juste une machine (avec un corps sexy certes) qui pensait travail 24h sur 24. Je voyais pertinemment qu'elle était sur le point d'exploser mais je continuais. J'suis supposé te remercier ? Pourquoi ?! Pour avoir envoyé mon pote à l'hosto ! HA PUTAIN MERCI ARIZONA T'ES LA MEILLEURE ! Lâchais-je ironiquement en criant un peu plus fort. À peine ma phrase terminée que sa main frappait ma joue, dans un claquement sourd. Je n'eu qu'un seul réflexe, l'attraper par la gorge et la plaquer contre le mur. J'étais comme possédé. Elle sait que parfois je peux perdre le contrôle et être violent, alors clairement elle avait voulu en arriver là, elle l'avait cherché. Jamais j'aurais pensé lever la main un jour sur Arizona, et pourtant c'était en train d'arriver. Je n'étais plus moi, je n'étais pas réellement conscient de ce que je faisais. Quelques secondes s'écoulaient comme des minutes et je finis par réaliser. Je la lâchais et je reculais de plusieurs pas. J'avais essayé de l'étrangler ? J'avais vraiment fait ça ?
J'avais vraiment merdé. Elle n'avait pas eu le temps de vraiment étouffer mais j'allais m'en prendre vraiment plein la gueule. Il fallait mieux que je parte, que je prenne mes affaires et que je me tire sans me retourner. J'attrapais mon pantalon et je l'enfilais vite fais. Je n'avais aucune idée de comment j'allais pouvoir partir vivant de cet appartement après ça... surtout qu'Arizona était devant le passage.
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