YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
La lune brillait déjà haut dans le ciel alors que je conduisais pour me rendre chez Nino, un ancien collègue mannequin. J’avais fait mes débuts avec lui. Rien ne laissait penser que j’allais bien m’entendre avec lui un jour. Si nous devions interpréter un couple pour une pub de sous-vêtements le temps d’un shooting, on ne pouvait pas dire que nous étions en parfaite symbiose lui et moi. Il faisait prétentieux, et venant de moi, cela montre le niveau qu’il pouvait atteindre.
Et puis il y avait ce gala. Plusieurs mannequins de l’agence avait été sélectionnés pour s’y rendre et de tous, il n’y a que lui que je connaissais au de-là d’un hochement de tête furtif pour dire bonjour. Je m’étais approchée de lui de ma robe satinée pourpre, décidée à ne pas trop m’ennuyer durant cette soirée quitte à la passer avec un homme que je ne portais pas dans le semblant de coeur que j’avais. Je ne sais pas si c’était l’alcool présent dans les cocktails ou juste moi qui changeais d’avis, mais Nino semblait de plus en plus sympathique au fil de la soirée. Il avait même réussi à me faire rire, chose rare à l’époque. Et puis il était beau garçon. C’était indéniable. Alors que nous marchions un peu dehors pour prendre l’air, je me suis prêtée au jeu de séduction qui avait débuté grâce à l’alcool. De manière tendre, il avait déposé ses mains sur mes hanches, les miennes étaient posées sur sa chemise, palpant les pectoraux fermes que celle-ci recouvrait. Nos lèvres s’étaient rejointes comme des âmes-sœurs et nous sommes allés terminer la nuit chez lui.
Le lendemain, ce ne fut pas la même histoire. J’avais ouvert les yeux, des flashs de la soirée me revenant au gré des minutes. J’allais m’enfuir de chez lui sans un ‘au revoir’ lorsqu’il se réveilla. Nous avons discuté au final, et depuis nous sommes de bons amis et camarades de coucheries à nos heures perdues. Il a été assez tourmenté lorsque j’ai tout laissé tomber, il y a de cela quelques mois et je sais pertinemment qu’il souhaiterait que je remonte sur les podiums et qu’on refasse des shootings ensembles.
Pile à l’heure, comme à mon habitude. J’appuyais sur la sonnette, attendant que le jeune homme ne daigne ouvrir la porte. A peine le cliquetis de la porte entendue, j’ouvrai de moi-même la porte et entrai sans invitation. Après tout il avait l’habitude de mes manières. « Salut beau brun ! » Je souris en venant embrasser sa joue barbue, profitant de notre proximité pour passer une main rapide au niveau de ses abdos. « Tu vas bien ? » Je pénétrais un peu plus dans la demeure, retirant ma veste en velours vert canard pour la déposer sur le porte manteau. M’emmitouflant dans les longues manches de mon pull beige, je rentrai dans la cuisine en compagnie du jeune homme. « Mmm… Qu’est-ce que tu nous as concocté de bon ce soir encore ? » Je souris tout en venant derrière son dos pour l’enlacer doucement. Puis je rompis l’étreinte pour retourner dans le hall et sortir les deux bouteilles de vin de mon sac à main. Une bonne cuvée française, comme il se doit. Je reviens vers lui avec elles. « Je ne me rappelais plus si tu préférais le blanc ou le rouge, donc j’en ai pris une de chaque. J’espère que tu as soif ! » Je ris doucement en déposant les deux bouteilles sur le plan de travail avant de m’asseoir sur ce dernier, près de Nino.
Et puis il y avait ce gala. Plusieurs mannequins de l’agence avait été sélectionnés pour s’y rendre et de tous, il n’y a que lui que je connaissais au de-là d’un hochement de tête furtif pour dire bonjour. Je m’étais approchée de lui de ma robe satinée pourpre, décidée à ne pas trop m’ennuyer durant cette soirée quitte à la passer avec un homme que je ne portais pas dans le semblant de coeur que j’avais. Je ne sais pas si c’était l’alcool présent dans les cocktails ou juste moi qui changeais d’avis, mais Nino semblait de plus en plus sympathique au fil de la soirée. Il avait même réussi à me faire rire, chose rare à l’époque. Et puis il était beau garçon. C’était indéniable. Alors que nous marchions un peu dehors pour prendre l’air, je me suis prêtée au jeu de séduction qui avait débuté grâce à l’alcool. De manière tendre, il avait déposé ses mains sur mes hanches, les miennes étaient posées sur sa chemise, palpant les pectoraux fermes que celle-ci recouvrait. Nos lèvres s’étaient rejointes comme des âmes-sœurs et nous sommes allés terminer la nuit chez lui.
Le lendemain, ce ne fut pas la même histoire. J’avais ouvert les yeux, des flashs de la soirée me revenant au gré des minutes. J’allais m’enfuir de chez lui sans un ‘au revoir’ lorsqu’il se réveilla. Nous avons discuté au final, et depuis nous sommes de bons amis et camarades de coucheries à nos heures perdues. Il a été assez tourmenté lorsque j’ai tout laissé tomber, il y a de cela quelques mois et je sais pertinemment qu’il souhaiterait que je remonte sur les podiums et qu’on refasse des shootings ensembles.
Pile à l’heure, comme à mon habitude. J’appuyais sur la sonnette, attendant que le jeune homme ne daigne ouvrir la porte. A peine le cliquetis de la porte entendue, j’ouvrai de moi-même la porte et entrai sans invitation. Après tout il avait l’habitude de mes manières. « Salut beau brun ! » Je souris en venant embrasser sa joue barbue, profitant de notre proximité pour passer une main rapide au niveau de ses abdos. « Tu vas bien ? » Je pénétrais un peu plus dans la demeure, retirant ma veste en velours vert canard pour la déposer sur le porte manteau. M’emmitouflant dans les longues manches de mon pull beige, je rentrai dans la cuisine en compagnie du jeune homme. « Mmm… Qu’est-ce que tu nous as concocté de bon ce soir encore ? » Je souris tout en venant derrière son dos pour l’enlacer doucement. Puis je rompis l’étreinte pour retourner dans le hall et sortir les deux bouteilles de vin de mon sac à main. Une bonne cuvée française, comme il se doit. Je reviens vers lui avec elles. « Je ne me rappelais plus si tu préférais le blanc ou le rouge, donc j’en ai pris une de chaque. J’espère que tu as soif ! » Je ris doucement en déposant les deux bouteilles sur le plan de travail avant de m’asseoir sur ce dernier, près de Nino.
- InvitéInvité
Ce soir j'allais passer un moment avec Natacha, elle est revenue, ça fait longtemps qu'on prévoit ça et je veux faire les choses bien avec elle. On aurait pu aller dans un restaurant mais j'étais plutôt d'humeur à vouloir passer la soirée ici, chez moi, au calme, juste nous deux. Et je suis aux fourneaux parce que si c'st Natacha qui porte le tablier, c'est l'empoisonnement assuré alors je me dévoue, même si je ne suis pas un grand gourmet je lui ai promis une spécialité italienne, c'est elle qui a demandé.
Puis ça va me faire du bien qu'elle soit là, au moins je sais que je ne vais pas passer ma soirée dans mon canapé à boire et à fumer, comme je le fais depuis de nombreux mois déjà, putain de déprime. J'ai encore du temps devant moi, pour vingt heures je lui ai dis de venir et la connaissant, elle sera à l'heure alors j'ai plutôt intérêt de m'activer. Je parle pas de la cuisine, c'est presque fini, l'entrée est faite, le plat est sur le feu et là je finis le dessert, je parle surtout de moi, jogging et marcel, il y a mieux pour s’apprêter pour l'occasion. La dernière touche pour le dessert terminée, je viens le mettre au frigo même si avec elle, il est toujours question d'un autre dessert, ça fait longtemps que je l'ai vu, fichus emplois du temps surchargés. Je range la cuisine, nettoie là où la crasse s'est installée et je lâche enfin le tablier pour aller me préparer, parce que je ressemble vraiment à rien. J'ai fais un effort pourtant, j'ai rangé mon appartement mais ma chambre, c'est une autre histoire et j'ai vraiment pas envie de perdre du temps à la ranger. Je me débarrasse de mes fringues et je saute dans la douche pour en ressortir quinze minutes plus tard, tout beau tout propre, m'essuyant avant de lâcher la serviette pour revenir dans ma chambre. Je ne sais vraiment pas quoi mettre pour ce soir alors je prend le premier pantalon qui me vient, tout comme le premier t-shirt et je m'habille.
Je reviens dans la salle de bain me coiffer et mettre quelques doses de parfum dans ma nuque pour la touche finale. J'entends le minuteur sonné, ce que j'ai concocté pour Natacha doit être prêt, enfin j'espère, il manquerait plus que je foire. Revenant donc dans la cuisine, je remet mon tablier pour soulever le couvercle, il manque quand même un peu de cuisson, ça me laisse le temps comme ça de mettre la table pour nous deux. La sonnerie de l'appartement retentit, déjà vingt heures ? Le timing est chaud mais je crois que tout est prêt alors je vais ouvrir et c'est sourire aux lèvres que je contemple la Collins sur le pas de la porte. « Salut toi. » dis-je alors qu'elle s'approchait pour coller ses lèvres contre ma joue, ma main se posait sur sa hanche et je voyais qu'elle aussi profita de cette proximité pour venir passer sa main sur mon tablier, juste au niveau de mes abdos, du Natacha tout crachée. « Ça va et toi ? » je la laisse pénétrer dans l'appartement, refermant la porte quand ses talons hauts claquent sur le sol du salon puis je la rejoint pour aller avec elle dans la cuisine. « Je garde la surprise. Tu voulais de l'italien. J'exauce ton vœu. » dis-je lâchant un petit rire alors que je la sens se lover contre moi alors que je remuais ce que je lui avais concocté. Elle se détachait de moi et d'un coup d’œil rapide de la tête, je la vis aller dans l'entrée pour sortir de son sac à main deux bouteilles de vin. « Une aurait suffit tu sais, j'aime autant le rouge que le blanc. » Elle les dépose sur le plan de travail, ce même plan sur lequel elle vient s'asseoir. Je souris venant prendre une cuillère pour la tremper dans la cocotte « Tiens goûte moi ça. » dis-je me retournant avec la cuillière dans la main, mon autre main dessous pour éviter que la sauce coule partout et je me rapproche d'elle, venant amener la cuillère jusqu'à sa bouche. « Alors verdict ? » j'espère qu'elle aimait la sauce, ce n'était qu'un avant goût de ce que je lui ai concocté.
Puis ça va me faire du bien qu'elle soit là, au moins je sais que je ne vais pas passer ma soirée dans mon canapé à boire et à fumer, comme je le fais depuis de nombreux mois déjà, putain de déprime. J'ai encore du temps devant moi, pour vingt heures je lui ai dis de venir et la connaissant, elle sera à l'heure alors j'ai plutôt intérêt de m'activer. Je parle pas de la cuisine, c'est presque fini, l'entrée est faite, le plat est sur le feu et là je finis le dessert, je parle surtout de moi, jogging et marcel, il y a mieux pour s’apprêter pour l'occasion. La dernière touche pour le dessert terminée, je viens le mettre au frigo même si avec elle, il est toujours question d'un autre dessert, ça fait longtemps que je l'ai vu, fichus emplois du temps surchargés. Je range la cuisine, nettoie là où la crasse s'est installée et je lâche enfin le tablier pour aller me préparer, parce que je ressemble vraiment à rien. J'ai fais un effort pourtant, j'ai rangé mon appartement mais ma chambre, c'est une autre histoire et j'ai vraiment pas envie de perdre du temps à la ranger. Je me débarrasse de mes fringues et je saute dans la douche pour en ressortir quinze minutes plus tard, tout beau tout propre, m'essuyant avant de lâcher la serviette pour revenir dans ma chambre. Je ne sais vraiment pas quoi mettre pour ce soir alors je prend le premier pantalon qui me vient, tout comme le premier t-shirt et je m'habille.
Je reviens dans la salle de bain me coiffer et mettre quelques doses de parfum dans ma nuque pour la touche finale. J'entends le minuteur sonné, ce que j'ai concocté pour Natacha doit être prêt, enfin j'espère, il manquerait plus que je foire. Revenant donc dans la cuisine, je remet mon tablier pour soulever le couvercle, il manque quand même un peu de cuisson, ça me laisse le temps comme ça de mettre la table pour nous deux. La sonnerie de l'appartement retentit, déjà vingt heures ? Le timing est chaud mais je crois que tout est prêt alors je vais ouvrir et c'est sourire aux lèvres que je contemple la Collins sur le pas de la porte. « Salut toi. » dis-je alors qu'elle s'approchait pour coller ses lèvres contre ma joue, ma main se posait sur sa hanche et je voyais qu'elle aussi profita de cette proximité pour venir passer sa main sur mon tablier, juste au niveau de mes abdos, du Natacha tout crachée. « Ça va et toi ? » je la laisse pénétrer dans l'appartement, refermant la porte quand ses talons hauts claquent sur le sol du salon puis je la rejoint pour aller avec elle dans la cuisine. « Je garde la surprise. Tu voulais de l'italien. J'exauce ton vœu. » dis-je lâchant un petit rire alors que je la sens se lover contre moi alors que je remuais ce que je lui avais concocté. Elle se détachait de moi et d'un coup d’œil rapide de la tête, je la vis aller dans l'entrée pour sortir de son sac à main deux bouteilles de vin. « Une aurait suffit tu sais, j'aime autant le rouge que le blanc. » Elle les dépose sur le plan de travail, ce même plan sur lequel elle vient s'asseoir. Je souris venant prendre une cuillère pour la tremper dans la cocotte « Tiens goûte moi ça. » dis-je me retournant avec la cuillière dans la main, mon autre main dessous pour éviter que la sauce coule partout et je me rapproche d'elle, venant amener la cuillère jusqu'à sa bouche. « Alors verdict ? » j'espère qu'elle aimait la sauce, ce n'était qu'un avant goût de ce que je lui ai concocté.
- InvitéInvité
Sa main vint se coller à ma hanche alors que j’embrassais sa joue barbue. Ça faisait du bien de le revoir. Je pouvais enfin me détendre et me vider l’esprit. Mes mains vinrent se poser sur son tablier pour venir palper ses petits abdominaux agréablement bien musclés. « Ça irait mieux si tu avais dénier m’ouvrir nu sous ton tablier ! » Je plaisantais avec lui de manière assez naturelle et c’était sans aucun doute ce que je préférais dans notre relation. Il n’y avait pas de prises de tête, ni de jalousie. Une bonne amitié comme on en fait désormais que très rarement. Simple… mais avec quelques petits avantages.
Il me laisse pénétrer dans son antre masculine à souhait. Il me rejoint ensuite pour m’accompagner dans la cuisine. Je me sers contre lui, ne pouvant réprimer mon envie de me blottir en passant ma main sur le bas de son dos. « Non, je voulais mon italien... » Je ris doucement en venant mordiller son cou pour le tenter. J’aimais jouer à la tentatrice. J’aimais que les hommes me trouvent irrésistibles et se plient en quatre pour satisfaire. J’étais la reine et eux les courtisans. Je n’avais qu’à picorer ci et là à mon gré. Je me serais ensuite contre lui alors qu’il remuait avec attention ce qui se distinguait être une sauce. Ayant oublié le vin dans mon sac, je relâchai mon étreinte lentement après avoir embrassé son cou pour retourner dans l’entrée afin de les quérir dans mon sac à main. « Et bien, au moins on aura de quoi boire ce soir, te plains pas ! » Je lui fis un bref clin d’oeil avant de déposer les bouteilles sur le plan de travail. Puis je m’installe sur celui-ci, près de Nino toujours occupé à sa sauce. « C’est qu’il fait bon ici dis-moi ! J’avais pris un pull, parce que dehors y a un peu d’air frais mais je n’aurais pas du. » Je retire mon pull, révélant la véritable tenue pour laquelle j’avais opté : un top noir légèrement transparent pour faire fondre le jeune homme. J’aimais plaire, et je lui plaisais. Je déposai mon pull sur le côté et mes yeux retrouvèrent Nino. Je l’observais avec attention, admirant ses pupilles fixer intensément sa casserole, les lèvres légèrement entre-ouvertes. Il semblait calme, serein même. Ses cheveux en batailles révélaient sans aucun doute le fait qu’il s’était préparé à la hâte. Mais j’aimais beaucoup cette coiffure pour lui, ça le rendait sauvage et on avait qu’une seule envie : passer sa main dedans.
Je me mordais la lèvre lorsqu’il me demanda de goûter sa mixture, approchant la cuillère près de ma bouche, son autre main en dessous pour éviter de tâcher mes vêtements. J’enroulai mes jambes autour de sa taille pour le garder près de moi et le fixais dans les yeux. Il était un peu plus grand que moi, mais j’ai toujours préféré les hommes plus grands. « T’es sûr que je ne crains rien ? » Ris-je avec un mouvement de recule de la tête. Finalement, je décidai de lui faire confiance et approchai mes lèvres vers la cuillère pour goûter cette fameuse sauce. « Mmm… Tu devrais rajouter un peu de sel, je pense. Enfin, ce n’est que mon avis. Tu sais bien que je mange comme quatre, très salé, très sucré, et je ne prends pas un gramme ! » Je ris légèrement avant de baisser mon nez au bord de la cuillère en bois pour y mettre un peu de sauce. Il ne lui restait plus qu’à venir l’essuyer lui-même. Mon jeu de séduction était parfait pour rendre les hommes fous et accrocs. Je le regardais l’air innocente, (mais puis-je l’être vraiment?). « Oups... » Allez Nino, ne fais pas ta mijaurée...
Il me laisse pénétrer dans son antre masculine à souhait. Il me rejoint ensuite pour m’accompagner dans la cuisine. Je me sers contre lui, ne pouvant réprimer mon envie de me blottir en passant ma main sur le bas de son dos. « Non, je voulais mon italien... » Je ris doucement en venant mordiller son cou pour le tenter. J’aimais jouer à la tentatrice. J’aimais que les hommes me trouvent irrésistibles et se plient en quatre pour satisfaire. J’étais la reine et eux les courtisans. Je n’avais qu’à picorer ci et là à mon gré. Je me serais ensuite contre lui alors qu’il remuait avec attention ce qui se distinguait être une sauce. Ayant oublié le vin dans mon sac, je relâchai mon étreinte lentement après avoir embrassé son cou pour retourner dans l’entrée afin de les quérir dans mon sac à main. « Et bien, au moins on aura de quoi boire ce soir, te plains pas ! » Je lui fis un bref clin d’oeil avant de déposer les bouteilles sur le plan de travail. Puis je m’installe sur celui-ci, près de Nino toujours occupé à sa sauce. « C’est qu’il fait bon ici dis-moi ! J’avais pris un pull, parce que dehors y a un peu d’air frais mais je n’aurais pas du. » Je retire mon pull, révélant la véritable tenue pour laquelle j’avais opté : un top noir légèrement transparent pour faire fondre le jeune homme. J’aimais plaire, et je lui plaisais. Je déposai mon pull sur le côté et mes yeux retrouvèrent Nino. Je l’observais avec attention, admirant ses pupilles fixer intensément sa casserole, les lèvres légèrement entre-ouvertes. Il semblait calme, serein même. Ses cheveux en batailles révélaient sans aucun doute le fait qu’il s’était préparé à la hâte. Mais j’aimais beaucoup cette coiffure pour lui, ça le rendait sauvage et on avait qu’une seule envie : passer sa main dedans.
Je me mordais la lèvre lorsqu’il me demanda de goûter sa mixture, approchant la cuillère près de ma bouche, son autre main en dessous pour éviter de tâcher mes vêtements. J’enroulai mes jambes autour de sa taille pour le garder près de moi et le fixais dans les yeux. Il était un peu plus grand que moi, mais j’ai toujours préféré les hommes plus grands. « T’es sûr que je ne crains rien ? » Ris-je avec un mouvement de recule de la tête. Finalement, je décidai de lui faire confiance et approchai mes lèvres vers la cuillère pour goûter cette fameuse sauce. « Mmm… Tu devrais rajouter un peu de sel, je pense. Enfin, ce n’est que mon avis. Tu sais bien que je mange comme quatre, très salé, très sucré, et je ne prends pas un gramme ! » Je ris légèrement avant de baisser mon nez au bord de la cuillère en bois pour y mettre un peu de sauce. Il ne lui restait plus qu’à venir l’essuyer lui-même. Mon jeu de séduction était parfait pour rendre les hommes fous et accrocs. Je le regardais l’air innocente, (mais puis-je l’être vraiment?). « Oups... » Allez Nino, ne fais pas ta mijaurée...
- Karma's RealKingdom Come
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Dollars : 2748
Messages : 1961
Date d'inscription : 17/09/2017
Avatar : L'omnivers
Autres comptes : IAMF
Âge du personnage : L'infinité
Nationalité(s) : Omninational
Mon personnage, en 5 mots : Omniscient, omniprésent, omnipotent, omniversel, omnivore.
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : L'omniexistence
Études (passées ou en cours) : L'omnivers
Hobby : Traumatiser des Angeliens
Orientation sexuelle : Asexuel(le)
Situation sentimentale : En situation polyamoureuse
IT'S KARMA, BITCH !
Un faux mouvement est si vite arrivé, @Nino Elkann-Borreomeo !
En te retournant, ton poignet heurte la poignée de la casserole dans laquelle tu préparais ta sauce. Celle-ci se renverse sans attendre sur ta cuisinière, provoquant par ailleurs un court-circuit.
Essaie d'être plus prudent la prochaine fois !
Kiss sur toutes vos fesses,
Le Karma
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