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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Andrea Saint-Clair
Tripping in the world could be dangerous
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
L’au-delà. T’as tellement rêvé de voir ce qu’il se passe après la mort, toi qui a souvent pensée à mettre un terme à cette vie qui te charcute. T’aimerais pouvoir te promener dans ces lieux mystiques qu’ils décrivent dans les livres religieux, savoir si il y a vraiment un « après » plus paisible ou plus tortueux. T’aimerais t’envoler jusqu’au septième ciel et toucher le fond, six pieds sous terre. Juste pour savoir si la mort est le silence absolu ou la délivrance de l’âme en peine. Et plus que tout, tu voudrais savoir si ta mère est bien là-haut, si tu peux encore garder l’espoir de la retrouver autre part qu’ici bas.
Avant tu savais rêver, t’avais des illusions plein les yeux, tu voulais devenir la reine du cinéma et que ton nom pèse lourd un jour. Mais ton rêve, il a été salement balayé, rattrapé par la réalité qui nous frappe, fort et nous met à terre. Toi, t’as plus su t’en relever alors t’as décidé d’arrêter de rêver. Aujourd’hui, les regards sont rivés sur toi le soir, quand la lune éclaire le bitume et que tu attises le désir avec hypocrisie. Ils te regardent tous, hommes mariés, hommes d’affaires réputés, hommes tout courts qui ont soifs de plaisir interdits.
T’en sais rien, sinon tu l’aurais déjà concocté, t’en aurais prit un peu depuis longtemps pour retrouver ce sourire effacé. Pourtant tu cherches parfois, quand l’espoir se réveille en toi. Tu cherches sans jamais avoir la réponse pour vivre bien, vivre mieux. Il fut un temps où t’as longtemps crue que le bonheur était à porté de main, qu’il ne pouvait pas t’échapper parce que la vie ne t’avais pas encore donné le coup fatal. Aujourd’hui, tu cherches en vain ou tu fais semblant de chercher encore ces anciennes sensations. Celles où tu te sentais bien, vivante pour de vrai.
ta plus grande réussite à ce jour ?
Tu mènes une vie de vagabonde, sans trop savoir où aller ni quelle direction prendre parce que t’es complètement paumée. Ta plus grande ambition tu l’as jeté aux flammes il y a quelques années de ça. T’as déchirer l’ambition en petits morceaux, maintenant tu vis juste parce que t’as pas le choix, parce que ton petit coeur en peine bat encore et secoue ta poitrine. La seule réussite, c’est d’avoir tout foiré avec excellence, d’avoir su inspirer la déception dans cette famille à laquelle t’as dit au revoir sans assumer.
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
Ton frère probablement, même si tu ne le montres pas, que tu ne l’as jamais montré parce que chez vous, les sentiments c’est trop pudique. C’est une forme de faiblesse et vous n’avez jamais eu ni de gestes tendres, ni de mots rassurants. Non, vous ne savez communiquer que par les actes cachés et les preuves discrètes. Tu tuerais le monde entier s’il le fallait pour lui, pour ce frère mise à part depuis toujours. T’es prête à tout sacrifier si un jour sa vie en dépendait.
qu’as-tu ressenti ?
T’as commencé par fumer quelques joints, puis c’est devenu une habitude, comme la moitié des élèves en école d’arts. T’as suivis le mouvement et puis, avec ton frère comme dealeur c’était encore plus facile de t’en procurer. Jusqu’au jour où tout bascule, où tu plaques tout pour une autre vie, pour lui sans croire une seconde qu’il t’emmènerait tout droit en Enfer. T’as pas un rond, tu vends ton corps pour quelques dollars et quand ça devient trop rude pour toi tu plonges tes petites mains dans les poches qui passent trop près de toi.
Tu le referais pas le monde, tu le laisserais intacte, et tu ferais juste en sorte de ne pas en être. La lignée des Hommes, tu la laisserais te passer sous le nez sans aucun remord. Tu referais rien, t’aurais juste choisis d’y habiter sous une autre forme peut être, juste pour voir la vie autrement sans qu’elle puisse t’atteindre. Qu’elle glisse sur toi sans jamais t’impacter.
[size=07]Et puis tu pourras aimer Arizona jusqu’à la fin de tes jours. Kiss.[/size]
T’as eu mal. Une fois, puis deux mais la deuxième était de trop, la douleur s’agrandissait et ne voulait plus disparaître au point de cogner dans tout ton crâne. De frapper fort à l’intérieur, elle a terrassé tout ce qu’il te restait pour n’en laisser que la peine et le chaos. Le corps immaculé d’hématomes que t’as caché bien trop longtemps, quand l’amour devient malsain et destructeur ça fait toujours des dégâts. Mais par amour, t’étais resté jusqu’à ce que lui, prenne la fuite. T’as plus su comment survivre, comment sortir la tête hors de l’eau alors t’as tranchée salement tes veines dans un coin de trottoir.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [x ] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : Dylan/Arabella Âge : Vingt-trois ans. Anniversaire : 19 Janvier Localisation : Marseille. Présence : 7j/7. Personnage ... [ x] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : Romain & Mel again.Et je le trouve : CANON. Ma plus grande peur : Je crains toujours degun ahah ! Un dernier mot ? love love.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
Falling too fast to prepare for this.
Everybody hoping they could be the one,
I was born to run, I was born for this.
On t’as souvent dit « rêve » mais rêve bien. Rêve comme eux, comme ce qu’ils veulent parce que toi, tes rêves ils valent rien de toute façon. Mais ça t’as pas empêché, pendant des années entières t’as fermé les yeux en imaginant ton visage encré sur toutes les têtes d’affiches du cinéma. Mais papa il était pas d’accord lui, tu devais viser mieux que ça, un métier qui rapporte gros et un vrai pas une pauvre lubie qui n’a aucun sens. Toi ? Actrice ? Ça marchera jamais, tu te rends pas compte ! Il n’y en a qu’un sur un milliard qui perce dans ce milieu et puis, tu sais, tu vas devoir montrer ton cul au monde entier pour réussir. Bordel Andy, ouvre les yeux et reprends toi un peu ! Mais toi, t’avais des œillères et des bouchons dans les oreilles pour contrer les critiques qui fusaient à table, pour éviter le regard désolé de ta mère. Une moitié de femme qui rêve beaucoup trop grand pour elle, qui rêve dans sa chambre en s’imaginant jouer les plus belles répliques du cinéma. Juste là, devant ce miroir auquel t’as fait trop souvent face, dans lequel tu t’es bercé d’illusions parce que tu te l’étais promis. Tu leur prouverais à eux, à tous, que ce serait toi la personne sur un milliard qu’on choisira. Et ils t’admireront d’en bas ou sur un siège pas confortable de n’importe quelle salle de cinéma.
Tu regardes par la fenêtre, c’est l’ombre d’un frère égaré, perdu dans le vice qui se dessine près d’un bloc d’une cité parisienne. Toi tu rêves toujours, lui il est mort depuis longtemps. Tu tournes en rond dans ta modeste chambre, attrapant ton journal intime de gamine en mal de vivre pour griffonner ta rage, tes prières et tes espoirs avant de les réduire au silence en refermant le livre. Tu fermes les yeux, c’est le tapis rouge que tu vois, c’est toi que tu imagines grimper les marches parce que t’as le droit. Quand la nuit tombe, que t’es toute seule et que personne ne peut entendre tes pensées, t’as le droit de croire que tu es tout ce que t’as envie d’être. T’as le droit d’y croire tout court.
Les jours passent, ils sont sombres, tous sans exception et même la douceur de ton visage n’est plus depuis un moment. Depuis que la nouvelle est tombée. Tu arpentes les couloirs de cet hôpital encore et encore, tu connais chaque recoin, c’est là-bas que tu vas quand tu sais plus comment tenir encore debout, comment être forte alors qu’elle se meurt doucement. Il y a Tim là-bas, dans tes endroits secrets. Il est là lui aussi, il est là depuis longtemps le gosse et il a l’ange de la mort qui l’attend au tournant. Il sait que son temps est compté, pourtant il le gaspille avec moi en lisant dans mes larmes pour les faire sécher. Tim, c’est mon moyen de respirer à travers ces odeurs de maladies et de macabés ambulants.
Elle a les yeux fermés, plus aucune trace de vie sur le visage, plus de poitrine qui s’élève et qui se dégonfle doucement. C’est le silence, c’est la fin et toi tu sais pas si tu pourras avancer comme ça. Elle a emmenée une partie de toi avec elle, dans les cieux, la meilleure partie parce qu’il ne reste que la mauvaise maintenant. Un dernier souffle de paix et Andy a tout envoyé valser ce jour-là. Les rêves, le sourire, le bonheur pour continuer de s’effriter dans un verre de sky.
Il est beau. Terriblement beau. Il a la colère dessiné sur les doigts, il a les cheveux bruns sauvages et la soif au bord des lèvres. Il t’as eu derrière un bâtiment, parait qu’il te regarde depuis longtemps dans l’une de ses tours sans jamais oser t’approcher. Paraît qu’il rêvait souvent de toi et du goût de tes lèvres, de la sensation de tes caresses en cachette. C’est ce qu’il disait, menteur des pieds à la tête. Pour toi, t’avais rencontré ton âme sœur au milieu de la foule, il a la gueule d’un pitbull enragé par la vie, ravagé par le passé et il a une gueule de déjà vu. Une nuit, puis deux, puis trois et c’est une histoire malsaine qui commence, le début de la chute vers les enfers. L’amour de ta vie n’est autre que le boss de ton grand frère, il disait t’aimer, faire tout pour toi et même l’emmener au bout du monde. Le bout du monde c’était LA, vous viviez au jour le jour, lui élargissait son business dans la drogue et le proxénétisme et toi, toi t’attendais que le temps passe. Puis vient le jour où il ne revint jamais, pas d’au revoir, pas d’adieu juste une brise de vent et des jours silencieux.
I was born to run, I was born for this.
WORLD OF ANDY.
On t’as souvent dit « rêve » mais rêve bien. Rêve comme eux, comme ce qu’ils veulent parce que toi, tes rêves ils valent rien de toute façon. Mais ça t’as pas empêché, pendant des années entières t’as fermé les yeux en imaginant ton visage encré sur toutes les têtes d’affiches du cinéma. Mais papa il était pas d’accord lui, tu devais viser mieux que ça, un métier qui rapporte gros et un vrai pas une pauvre lubie qui n’a aucun sens. Toi ? Actrice ? Ça marchera jamais, tu te rends pas compte ! Il n’y en a qu’un sur un milliard qui perce dans ce milieu et puis, tu sais, tu vas devoir montrer ton cul au monde entier pour réussir. Bordel Andy, ouvre les yeux et reprends toi un peu ! Mais toi, t’avais des œillères et des bouchons dans les oreilles pour contrer les critiques qui fusaient à table, pour éviter le regard désolé de ta mère. Une moitié de femme qui rêve beaucoup trop grand pour elle, qui rêve dans sa chambre en s’imaginant jouer les plus belles répliques du cinéma. Juste là, devant ce miroir auquel t’as fait trop souvent face, dans lequel tu t’es bercé d’illusions parce que tu te l’étais promis. Tu leur prouverais à eux, à tous, que ce serait toi la personne sur un milliard qu’on choisira. Et ils t’admireront d’en bas ou sur un siège pas confortable de n’importe quelle salle de cinéma.
Tu regardes par la fenêtre, c’est l’ombre d’un frère égaré, perdu dans le vice qui se dessine près d’un bloc d’une cité parisienne. Toi tu rêves toujours, lui il est mort depuis longtemps. Tu tournes en rond dans ta modeste chambre, attrapant ton journal intime de gamine en mal de vivre pour griffonner ta rage, tes prières et tes espoirs avant de les réduire au silence en refermant le livre. Tu fermes les yeux, c’est le tapis rouge que tu vois, c’est toi que tu imagines grimper les marches parce que t’as le droit. Quand la nuit tombe, que t’es toute seule et que personne ne peut entendre tes pensées, t’as le droit de croire que tu es tout ce que t’as envie d’être. T’as le droit d’y croire tout court.
Les jours passent, ils sont sombres, tous sans exception et même la douceur de ton visage n’est plus depuis un moment. Depuis que la nouvelle est tombée. Tu arpentes les couloirs de cet hôpital encore et encore, tu connais chaque recoin, c’est là-bas que tu vas quand tu sais plus comment tenir encore debout, comment être forte alors qu’elle se meurt doucement. Il y a Tim là-bas, dans tes endroits secrets. Il est là lui aussi, il est là depuis longtemps le gosse et il a l’ange de la mort qui l’attend au tournant. Il sait que son temps est compté, pourtant il le gaspille avec moi en lisant dans mes larmes pour les faire sécher. Tim, c’est mon moyen de respirer à travers ces odeurs de maladies et de macabés ambulants.
Elle a les yeux fermés, plus aucune trace de vie sur le visage, plus de poitrine qui s’élève et qui se dégonfle doucement. C’est le silence, c’est la fin et toi tu sais pas si tu pourras avancer comme ça. Elle a emmenée une partie de toi avec elle, dans les cieux, la meilleure partie parce qu’il ne reste que la mauvaise maintenant. Un dernier souffle de paix et Andy a tout envoyé valser ce jour-là. Les rêves, le sourire, le bonheur pour continuer de s’effriter dans un verre de sky.
Il est beau. Terriblement beau. Il a la colère dessiné sur les doigts, il a les cheveux bruns sauvages et la soif au bord des lèvres. Il t’as eu derrière un bâtiment, parait qu’il te regarde depuis longtemps dans l’une de ses tours sans jamais oser t’approcher. Paraît qu’il rêvait souvent de toi et du goût de tes lèvres, de la sensation de tes caresses en cachette. C’est ce qu’il disait, menteur des pieds à la tête. Pour toi, t’avais rencontré ton âme sœur au milieu de la foule, il a la gueule d’un pitbull enragé par la vie, ravagé par le passé et il a une gueule de déjà vu. Une nuit, puis deux, puis trois et c’est une histoire malsaine qui commence, le début de la chute vers les enfers. L’amour de ta vie n’est autre que le boss de ton grand frère, il disait t’aimer, faire tout pour toi et même l’emmener au bout du monde. Le bout du monde c’était LA, vous viviez au jour le jour, lui élargissait son business dans la drogue et le proxénétisme et toi, toi t’attendais que le temps passe. Puis vient le jour où il ne revint jamais, pas d’au revoir, pas d’adieu juste une brise de vent et des jours silencieux.
IMAGES FEU ARDENT
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2604
Messages : 700
Date d'inscription : 12/11/2017
Avatar : Dave Franco
Crédits : smmg bae
Âge du personnage : 27 ans
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
t'es bonne comme ça aussi.
jtm tu vois.
jtm tu vois.
- InvitéInvité
MON LAAAAPIN
Je viens me faire pardonner
Re bienvenue à la plus belle !!!
(Tu me pardonnes hein ma Dydy ???)
Je viens me faire pardonner
Re bienvenue à la plus belle !!!
(Tu me pardonnes hein ma Dydy ???)
- InvitéInvité
Joséphiiiiiiiiiiiiine
En prostituée
Hâte d'en savoir davantage!
En prostituée
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