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YESTERDAY'S NEWS |48
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TALLULAH & WILLIAM
Palpitant léger, âme enchanté, Tallulah attend impatiemment que l'avion se pose enfin sur le tarmac, cette semaine en Italie pour le travail lui a fait du bien parce qu'elle s'est échappée de Los Angeles, mais pourtant, elle n'avait qu'une hâte c'était de rentrer pour retrouver William. Elle avait passé une semaine assez longue à Milan, et les nombreux textos qu'ils s'étaient envoyés n'avaient pas retirer l'épine qu'était le manque de chaleur qu'elle ressentait quand elle était tout près de lui. Elle se sentait bien et reposées quand elle était avec lui, et quand elle était loin, et bien, elle avait l'impression que quelque chose manquait à sa vie. Peut-être que c'était ça que les journalistes appelaient « le manque de l'autre » Est-ce que le fait qu'il lui manquait autant était dû au fait qu'elle l'aimait d'une manière indéfinissable ? Sûrement. Elle l'aimait et cela ne faisait aucun doute. Elle l'aimait d'une puissance qui lui était propre et à chaque fois qu'elle regardait cette alliance qu'elle portait à son doigt, elle ne pouvait s'empêcher de sourire. Sirotant son jus d'ananas, elle regardait par le hublot du jet privé affrété par la marque les buildings et les gratte-ciels qui commençaient à pointer le bout de leur nez à travers les vitres, le sourire commençait à s'étirer et elle sentait son cœur qui s'affolait un peu. Déjà. Elle ne l'avait pas prévenu de l'heure à laquelle elle rentrait, mais elle faisait en sorte de savoir si oui ou non il était chez eux et vu la rapidité à laquelle il répondait, cela ne faisait pas de doutes, il était chez eux. Quand il était au travail, ou même occupé, il prenait plus longtemps mais quand il était chez eux c'était rapide. Elle le savait, elle le connaissait par cœur, et il la connaissait par cœur aussi, il pouvait lire en elle comme dans un livre ouvert, et même si au début, tout cela lui faisait un peu peur, elle avait réussi à s'habituer. « On se voit pour le déjeuner dans la semaine ? » Lula tournait son regard vers son amie mannequin et elle levait un pouce en l'air en guise de réponse « Pas de soucis, dis moi juste quand, j'ai quelques shoots de prévu mais rien de bien encombrant. » Et elle se levait quand elle sentait que l'avion venait d'atterrir. Elle attrapait son miroir de poche pour retoucher son rouge à lèvre avant de lisser les plis de sa robe et de s'enfoncer dans le taxi qui la mènerait directement à lui et à ce cocon qu'ils s'étaient tout les deux appropriés au fur et à mesures des jours qui avaient défilés, heureux. Alors qu'elle était dans le taxi, elle envoyait un dernier texto puis elle reconnaissait le quartier dans lequel elle vivait, les villas et quand le taxi s'arrêtait finalement devant chez elle, elle remerciait le chauffeur qu'elle ne connaissait que trop maintenant avant de récupérer son sac de voyage et de claquer la porte, direction le bonheur. Elle ouvrait lentement la porte, sans un bruit, retirant par la suite ses chaussures à talons avant de partir à la recherche de son mari, mais avant, elle passait par la cuisine pour attraper deux verres de vins qu'elle remplissait silencieusement et elle le trouvait, comme à son habitude, dans le salon, le sourire devenait plus réel et surtout plus grand et doucement, elle posait les choses qu'elle avait dans les mains pour venir entourer la nuque de celui qui partageait sa vie tout en déposant suavement ses lèvres le long de la peau de son cou « J'ai préparé deux verres de vin pour partager avec mon mari... Vous pensez qu'il sera d'accord ? » Et elle restait là, immobile, les lèvres toujours dans le creux de son cou. Bon dieu ce que cette sensation lui avait manqué, et désormais, elle était complète. Elle avait retrouvé sa moitié et son cœur pouvait rebattre normalement.
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Dangerous night.
Tallulah &
William
William
Les périodes durant lesquelles William se retrouve seul dans la villa trop grande pour lui, lui paraissent toujours durer une éternité. Ou, plus raisonnablement, deux fois plus de temps que la réalité des choses. Ce n'est pourtant pas faute de trouver de nombreuses occupations en dehors, pour s'éviter de trop longues heures à tourner en rond chez lui. Chez eux. Mais peu importe ce qu'il fait et avec qui il est, ses pensées finissent toujours par revenir à celle qui lui manque. Tallulah. Tout simplement la personne qui compte le plus au monde pour lui. La seule personne qui parvient à le hanter. Comme jamais ça ne lui est arrivé. Lui qui est plutôt du genre à tout maîtriser, tout contrôler, tout le temps. Il peine à se faire à l'idée que son bonheur tout entier dépend de quelqu'un d'autre que lui même. Et pourtant, en étant bien conscient de ça malgré tout, il continue de jouer avec le feu. Comme s'il voulait mettre sa vie au défi. Défier son avenir de lui jouer des mauvais tours. De reprendre tout ce qu'il a construit et finalement mérité au fil des années. William, provocateur inconscient dans l'âme. Qui ne regrettera ses erreurs que lorsqu'il sera trop tard.
D'une certaine façon, il a profité de l'absence de son épouse pour se noyer un peu plus dans le travail. Ce qui reste, malgré tout, son passe temps favori. Le boulot et tout ce qu'il a construit autour de lui, fait partie intégrante de sa vie et il y a peu de chance pour que ça change un jour. Il était déjà mordu de travail avant l'arrivée de Lula dans sa vie. Ca n'a pas changé. Et ce n'est de toute façon pas le genre de chose qu'elle lui reproche. Puisqu'elle même doit souvent partir en déplacement pour le sien de boulot. Ils se sont bien trouvés tous les deux. C'est un constat qu'ils n'ont eut de cesse de se faire ces dernières années. Et quand ils ne sont pas ensemble, ils s'assurent de rester en contact malgré tout. Continuent de prendre des nouvelles l'un de l'autre. Quand ce n'est pas en s'appelant pour entendre la voix de l'autre, c'est en s'envoyant quelques textos en cours de journée. Et plus il y a de distance géographique entre eux, plus ils s'en envoient. Beaucoup trop conscients du fait qu'ils sont loin l'un de l'autre.
Une semaine, c'est beaucoup trop long. Si ça avait du durer deux jours de plus, William aurait certainement prit un jet privé pour aller la retrouver en Italie et passer les derniers jours en sa compagnie. Quitte à devoir bosser à distance. Pour cette fois il est parvenu à se montrer patient. Beaucoup grâce à elle qui a continué de le maintenir au courant de tout. Sans pour autant lui donner la date et l'heure de son retour. Ce qui commence sérieusement à le travailler. Installé devant les baies vitrées de leur important salon, il est en train d'essayer de se concentrer sur un contrat. Facilement déconcentré pourtant, par les messages de celle qui partage sa vie, sans que ça ne soit un vrai problème pour lui. La lecture est abandonnée pour de bon quand il sent sa présence dans son dos. Qui le fait pivoter pour la voir s'approcher à pas de velours. Instantanément, un sourire étire ses lèvres. Tu es rentrée. Constat inutile. Il tressaille à la caresse de son souffle chaud au creux de son cou et laisse s'échapper la feuille de sa main pour la libérer et enrouler ses bras autour de sa taille fine. Il faudrait peut-être le lui demander directement, non ? Qu'il lui répond/demande en la serrant un peu plus fort contre lui. Le visage qui se perd dans ses cheveux blonds. Frappé de plein fouet par son parfum délicat qu'il saurait reconnaître entre mille. Qu'il hume avec un bonheur évident. Malgré ce bien être absolu qui le gagne en cet instant, il redresse le visage pour croiser son regard et vient caresser sa joue du revers de ses doigts. J'étais à deux doigts de te rejoindre en Italie.
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TALLULAH & WILLIAM
Il y a ces fois-là où elle aimerait qu'il soit là avec elle, la plupart du temps c'est quand elle a dû mal à dormir à cause du Jet lag, ou du décalage horaire. Quand le sommeil ne vient pas, elle se dit que s'il était là, il pourrait trouvé une solution pour l'aider à dormir pas de cette façon là, je vous vois venir ou même quand ce n'est pas le soir, mais quand elle se décide à aller faire du tourisme, elle aimerait qu'il soit là, pour voir à quel point le monde peut être beau, et elle est persuadée, de ses yeux aveugles de femme mariée, que s'il était là, le monde serait encore plus beau. Le monde est beau quand il est près d'elle, il illumine ses journées quand elle pense un peu trop à sa mère et qu'elle n'ose pas lui dire, il lui donne une raison de sourire quand la vie lui donne mille et une raison de pleurer. Elle a le cœur léger quand il est près de lui, et le retrouver, c'était la meilleure des choses, elle aimait les retrouvailles, et elle était persuadée que celles-ci allaient être encore plus belles, à chaque fois, ils mettent les bouchées double. A chaque fois, les papillons se remettent à danser dans le ventre, les étoiles dans les yeux se remettent à briller.
L'Italie était l'une de ses destinations préférées et intérieurement, elle s'était mise en tête de l'emmener un jour, peut-être quand ils pourraient avoir des vacances tout les deux, quand ils pourront enfin accorder leurs emplois du temps, parce qu'il travaille autant qu'elle, parce qu'ils sont tout les deux tellement occupés qu'ils ont bien du mal parfois à se dire qu'ils pourront avoir des vacances un jour, Lula elle allait en avoir bientôt, mais est-ce que c'était son cas, elle devait lui demander, mais pas maintenant, maintenant elle devait profiter de lui, le retrouver, retrouver les sensations endormies de l'échine quand les phalanges de William butent contre la peau nue. Sensations inédites à chaque fois. Le son de sa voix qui lui parvient aux oreilles lui tirent un frisson, son constat lui tire un petit rire niais, et elle s'humidifie les lèvres, soupirant un peu d'aise quand il se perd contre sa peau. Elle a le cœur qui s'affole un peu plus, toujours. « Est-ce que tu veux boire du vin avec moi ? » répondait-elle alors, les yeux clos, les bras autour du cou de l'homme de sa vie. Elle avait l'impression d'être au bon endroit, au bon moment. C'était là qu'elle devait être, elle en était persuadée. Son regard se perd dans les yeux noisettes de William et cette sensation la reprend, celle qui est toujours présente même après sept ans de mariage, le souffle coupé « J'aurais aimé que tu me rejoignes, j'avais pleins d'endroits sympas à te faire voir... Et puis la chambre d'hôtel dans laquelle j'étais... je ne m'en remets toujours pas. » Elle rit un peu, rire cristallin qui habille le grand salon et puis doucement, elle prend ses lèvres en otage, timidement, chastement, ses mains se font malignes sous la chemise mais elle les retire avant que les choses n'aillent trop loin, et elle attrape les deux verres de vin, elle lui en tend un et elle trinque, le regard plongé dans celui de son mari « A nos retrouvailles... » Elle boit une gorgée de la boisson alcoolisée avant de reprendre la parole « Je suis désolée, je t'ai coupé dans ton travail... Quelle femme indigne je fais... » Et les mots sont contradictoires aux gestes quand ses lèvres se perdent le long de sa mâchoire, puis contre ses lèvres avant de se perdre dans le creux de son cou. « Je te laisse travailler mon amour... » Mais encore une fois, c'est contradictoire, quand elle déboutonne le haut de sa robe pour finalement filer chercher son sac de sport tout en déposant son verre dans la cuisine, l'air de rien.
L'Italie était l'une de ses destinations préférées et intérieurement, elle s'était mise en tête de l'emmener un jour, peut-être quand ils pourraient avoir des vacances tout les deux, quand ils pourront enfin accorder leurs emplois du temps, parce qu'il travaille autant qu'elle, parce qu'ils sont tout les deux tellement occupés qu'ils ont bien du mal parfois à se dire qu'ils pourront avoir des vacances un jour, Lula elle allait en avoir bientôt, mais est-ce que c'était son cas, elle devait lui demander, mais pas maintenant, maintenant elle devait profiter de lui, le retrouver, retrouver les sensations endormies de l'échine quand les phalanges de William butent contre la peau nue. Sensations inédites à chaque fois. Le son de sa voix qui lui parvient aux oreilles lui tirent un frisson, son constat lui tire un petit rire niais, et elle s'humidifie les lèvres, soupirant un peu d'aise quand il se perd contre sa peau. Elle a le cœur qui s'affole un peu plus, toujours. « Est-ce que tu veux boire du vin avec moi ? » répondait-elle alors, les yeux clos, les bras autour du cou de l'homme de sa vie. Elle avait l'impression d'être au bon endroit, au bon moment. C'était là qu'elle devait être, elle en était persuadée. Son regard se perd dans les yeux noisettes de William et cette sensation la reprend, celle qui est toujours présente même après sept ans de mariage, le souffle coupé « J'aurais aimé que tu me rejoignes, j'avais pleins d'endroits sympas à te faire voir... Et puis la chambre d'hôtel dans laquelle j'étais... je ne m'en remets toujours pas. » Elle rit un peu, rire cristallin qui habille le grand salon et puis doucement, elle prend ses lèvres en otage, timidement, chastement, ses mains se font malignes sous la chemise mais elle les retire avant que les choses n'aillent trop loin, et elle attrape les deux verres de vin, elle lui en tend un et elle trinque, le regard plongé dans celui de son mari « A nos retrouvailles... » Elle boit une gorgée de la boisson alcoolisée avant de reprendre la parole « Je suis désolée, je t'ai coupé dans ton travail... Quelle femme indigne je fais... » Et les mots sont contradictoires aux gestes quand ses lèvres se perdent le long de sa mâchoire, puis contre ses lèvres avant de se perdre dans le creux de son cou. « Je te laisse travailler mon amour... » Mais encore une fois, c'est contradictoire, quand elle déboutonne le haut de sa robe pour finalement filer chercher son sac de sport tout en déposant son verre dans la cuisine, l'air de rien.
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Dangerous night.
Tallulah &
William
William
William est bien conscient du fait qu'il est parmi les hommes les plus chanceux de ce monde. Pas uniquement parce qu'il possède l'une des boîtes de pub les plus influentes, importantes et rentables des Etats-Unis. Mais également parce qu'il a, accrochée à son bras, l'une des plus belles femmes qui soient. Il sait que rien qu'avec une épouse pareille, il fait bon nombre d'envieux. Et si au départ c'était ce qui lui plaisait le plus dans leur relation, désormais il y a plus que ça. Beaucoup plus. Il est amoureux fou de son épouse et il préfère faire des envieux justement parce que leur mariage fonctionne. Parce que leur complicité est réelle et qu'ils s'aiment comme au premier jour. Alors même qu'ils sont ensemble depuis plus de sept ans. Mais c'est une relation qui fonctionne et qui a toutes les chances de fonctionner encore bien longtemps. De fonctionner toujours. Ce qui rend heureux William. Peut-être plus encore que son entreprise qui fonctionne. Lula au parfum délicat et envoûtant. Lula aux regards joueurs. Lula au sourire étincelant de promesses qu'il sait qu'elle tiendra. Parce que lorsqu'elle joue Lula, ce n'est jamais aux dépends de William. C'est plutôt, à tous les coups, avec et pour lui.
Son rire léger qui le fait lui même sourire. Qui l'ensorcelle comme chaque petite chose, chaque petit détail, qui vient d'elle. Elle ne cessera donc jamais de lui faire pareil effet. Il ne s'en plaint pas, bien sûr. Il aime ça. C'est ce qui les fait tous les deux fonctionner. Avec plaisir. Il répond enfin vraiment à sa proposition, venant frôler son nez du sien en un geste taquin. Il est déjà en train de réfléchir à l'idée de vacances en Italie en sa compagnie. Tout à fait le genre de pays fait pour les amoureux. Le romantisme dans la vie, dans la culture, dans l'architecture. Clairement fait pour ces deux là. Il en est conscient. Et ça lui plait comme idée de voyage avec elle. Parce qu'ils prennent trop rarement le temps de partir tous les deux. Et que c'est fort dommage. Qu'est-ce qu'elle avait de particulier cette chambre ? Tu sais, si c'est que ça, on peut partir en week-end dans la ville d'à côté, en réservant une superbe suite dans un hôtel ... Il la taquine, bien sûr. Quitte à partir rien que tous les deux, autant choisir une vraie destination qui vaille le coup.
Il n'a pas le temps de profiter de la caresse de ses doigts sur sa peau sous sa chemise, qu'elle s'éloigne pour récupérer leurs verres de vin. Il récupère le sien en la remerciant, dans un tendre sourire. Il boit une première gorgée qu'il prend tout le temps d'apprécier. Roulement d'yeux à son constat. Pour sa part, le boulot sur lequel il était penché, est déjà tout oublié. Un peu plus encore quand elle laisse ses lèvres douces courir sur sa peau. Un grognement, léger mais réel, quand elle vient le taquiner au creux de son cou. Elle réveille des tas de choses en lui, sans le moindre mal. Il la suit du regard quand elle entreprend de s'éloigner. C'est sans la quitter des yeux qu'il avale une seconde et profonde gorgée de vin, pour ensuite aller le déposer à son tour et filer à sa suite. Il ne fait aucun doute qu'elle s'attend à ce qu'il fasse ça. Elle le sait incapable de se tenir loin d'elle alors qu'ils sont tout juste en train de se retrouver.
Il a tôt fait de la rattraper dans le couloir. Logé dans son dos, un bras enroulé autour de sa taille et sa main libre qui se perd du côté du décolleté de sa robe qu'elle a accentué en commençant à la déboutonner. Et si on allait tous les deux se prélasser dans la baignoire ? Après ce long voyage, j'imagine que c'est ce dont tu as envie. De nouveau, son visage se perd dans ses cheveux. Son souffle les faisant doucement voleter alors qu'il se presse contre elle avec plus d'insistance.
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TALLULAH & WILLIAM
Elle n'vait jamais pensé tomber aussi vite amoureuse et surtout se marier aussi vite Tallulah. Dix-neuf ans. C'est jeune quand on y pense, mais quand elle l'a vu, elle a tout de suite su que c'était lui parce qu'il avait réussi à faire battre le palpitant d'une manière inédite, parce qu'il avait réussi à lui faire entrevoir les étoiles en quelques mots, en quelques gestes et en quelques heures surtout il avait réussi à lui faire comprendre que le monde ne se limitait pas à sa mère, malade, à son père, connard. Il avait réussi à lui faire comprendre qu'elle aussi, elle avait le droit à sa part de bonheur et elle l'avait trouvé dans ses bras, dans ses draps aussi. Lula n'a pas peur de dire qu'elle est dépendante de son mari, pas dépendante dans le sens où elle a besoin d'argent, mais dépendante dans le sens où elle a besoin de savoir qu'il est là pour être heureuse, quand elle est loin de lui, elle attend de savoir qu'il est toujours là, qu'il est réveillé pour pouvoir commencer sa journée, beaucoup de personnes trouvent ça stupide, mais elle, elle trouve ça normal. Parce qu'elle l'aime après tout, et elle lui pardonnerait tout. Toujours. Envers et contre tout, jusqu'à ce que la mort les sépare, c'est bien ce qu'il s'était promis non ?
Ce qu'elle aime le plus quand elle est avec lui, c'est qu'elle peut être elle-même. Elle n'a pas besoin d'user d'artifices, de prétendre être quelqu'un qu'elle n'est pas. Et surtout, elle le connaît par cœur et elle peut faire les choses sans avoir à débattre cent ans avec elle même pour savoir si oui ou non, il aimerait. Elle sait ce qu'il aime, ce qu'il désire aussi. Et elle sait qu'un bon verre de vin avec elle c'est ce qu'il aime, ce n'est peut-être pas ce qu'il préfère, mais au moins, elle sait qu'elle lui fera plaisir après cette semaine séparée l'un de l'autre. Trop loin. Mais les retrouvailles n'en sont que plus belle à chaque fois. « Ou si tu n'es pas enclin à partager un superbe week-end avec ta femme en Italie, on peut toujours rester dans notre chambre tout un week-end. » Elle riait un peu, le rire qui contaminait le regard, pour lui montrer qu'elle n'était pas sérieuse. Non, elle ne pouvait pas être sérieuse, elle savait que lui aussi, il plaisantait et c'était ça qu'elle aimait aussi. La légèreté.
Elle le connaît par cœur, et elle sait aussi ce qu'il faut qu'elle fasse pour lui donner ce qu'il désire, pour le faire la désirer aussi. Et ses lèvres tout contre son cou, ses mains tout contre sa peau, c'est l'une des choses qu'il préfère, elle en est pleinement consciente, c'est d'ailleurs pour cela qu'elle en joue, qu'elle attise, qu'elle aguiche. Elle veut faire monter la température, mais pas trop vite, elle ne veut pas aller trop loin tout de suite. Le vin désinhibe les sens, et ce n'est pas nouveau, elle sent que ça lui monte déjà à la tête, cela fait bien trop longtemps qu'elle n'a pas bu et surtout pas dans un état de fatigue aussi important. Mais le sommeil est superflu. Elle n'a même pas le temps d'arriver au bout du couloir qu'il la déjà rattrapé et le petit cri incontrôlé qu'elle pousse avant de rire ne fait que montrer sa surprise. Rapidite déconcertante dont il fait preuve. Elle rejette alors sa tête en arrière pour lui donner un plus grand libre accès à son cou avant de sentir que ça s'active à l'intérieur quand il se fait plus pressant « Me prélasser avec toi dans la baignoire... Quelle idée exquise. » qu'elle répond, le souffle court avant de se retourner pour lui faire face en déboutonnant sa chemise et l'abandonnant sur le sol, dans des gestes longs et tendre. Elle attrape alors sa main et entrelace leurs doigts pendant qu'elle les dirige jusque la salle de bain, non sans quelques arrêts brûlants, à base de lèvres qui se perdent contre la peau nue de son torse et des doigts quelques peu baladeurs. Quand ils arrivent enfin dans l'endroit désiré, elle commence à faire couler l'eau de la baignoire, et une fois que l'eau se met à couler, elle revient doucement se coller à lui, et les caresses se font plus lascives à mesure les doigts se font explorateurs et que les lèvres gagnent du terrain lentement contre l'épaule, la mâchoire et elle lui murmure, mutine « Déshabille moi... »
Ce qu'elle aime le plus quand elle est avec lui, c'est qu'elle peut être elle-même. Elle n'a pas besoin d'user d'artifices, de prétendre être quelqu'un qu'elle n'est pas. Et surtout, elle le connaît par cœur et elle peut faire les choses sans avoir à débattre cent ans avec elle même pour savoir si oui ou non, il aimerait. Elle sait ce qu'il aime, ce qu'il désire aussi. Et elle sait qu'un bon verre de vin avec elle c'est ce qu'il aime, ce n'est peut-être pas ce qu'il préfère, mais au moins, elle sait qu'elle lui fera plaisir après cette semaine séparée l'un de l'autre. Trop loin. Mais les retrouvailles n'en sont que plus belle à chaque fois. « Ou si tu n'es pas enclin à partager un superbe week-end avec ta femme en Italie, on peut toujours rester dans notre chambre tout un week-end. » Elle riait un peu, le rire qui contaminait le regard, pour lui montrer qu'elle n'était pas sérieuse. Non, elle ne pouvait pas être sérieuse, elle savait que lui aussi, il plaisantait et c'était ça qu'elle aimait aussi. La légèreté.
Elle le connaît par cœur, et elle sait aussi ce qu'il faut qu'elle fasse pour lui donner ce qu'il désire, pour le faire la désirer aussi. Et ses lèvres tout contre son cou, ses mains tout contre sa peau, c'est l'une des choses qu'il préfère, elle en est pleinement consciente, c'est d'ailleurs pour cela qu'elle en joue, qu'elle attise, qu'elle aguiche. Elle veut faire monter la température, mais pas trop vite, elle ne veut pas aller trop loin tout de suite. Le vin désinhibe les sens, et ce n'est pas nouveau, elle sent que ça lui monte déjà à la tête, cela fait bien trop longtemps qu'elle n'a pas bu et surtout pas dans un état de fatigue aussi important. Mais le sommeil est superflu. Elle n'a même pas le temps d'arriver au bout du couloir qu'il la déjà rattrapé et le petit cri incontrôlé qu'elle pousse avant de rire ne fait que montrer sa surprise. Rapidite déconcertante dont il fait preuve. Elle rejette alors sa tête en arrière pour lui donner un plus grand libre accès à son cou avant de sentir que ça s'active à l'intérieur quand il se fait plus pressant « Me prélasser avec toi dans la baignoire... Quelle idée exquise. » qu'elle répond, le souffle court avant de se retourner pour lui faire face en déboutonnant sa chemise et l'abandonnant sur le sol, dans des gestes longs et tendre. Elle attrape alors sa main et entrelace leurs doigts pendant qu'elle les dirige jusque la salle de bain, non sans quelques arrêts brûlants, à base de lèvres qui se perdent contre la peau nue de son torse et des doigts quelques peu baladeurs. Quand ils arrivent enfin dans l'endroit désiré, elle commence à faire couler l'eau de la baignoire, et une fois que l'eau se met à couler, elle revient doucement se coller à lui, et les caresses se font plus lascives à mesure les doigts se font explorateurs et que les lèvres gagnent du terrain lentement contre l'épaule, la mâchoire et elle lui murmure, mutine « Déshabille moi... »
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Dangerous night.
Tallulah &
William
William
Tallulah, c'est l'évidence depuis le premier jour. Dès que leurs regards se sont croisés, il s'est dit qu'elle était peut-être la femme de sa vie. Désormais, il ne se pose plus du tout la question. Il sait que c'est le cas. Qu'elle l'est. Elle et aucune autre. Ce qui expliquerait clairement pourquoi ils sont toujours heureux ensemble, des années après leur rencontre. Même si William n'est sans doute pas tout à fait l'homme qu'elle pense qu'il est. Même s'il est loin d'être parfait. Même si elle le quitterait probablement si elle savait. Mais ce n'est pas le cas. Elle ne sait pas. Et il s'assure bien que ça continue sur cette lancée. Pour le bien de leur mariage. Et, du coup, de leur bonheur à tous les deux. L'un sans l'autre, ils ne semblent pas pouvoir être grand chose. Même s'ils n'ont pas tenté pour constater par eux même. Il suffit d'une semaine durant laquelle ils s'éloignent pour le boulot, pour qu'ils se manquent atrocement. Distance insupportable. Attente insoutenable. Même si c'est, à tous les coups, pour mieux se retrouver. S'aimer encore plus fort, si tant est que cela soit possible. S'aimer parce qu'ils ne savent tout simplement pas faire autrement.
Eh bien moi je trouve que c'est un très bon plan pour un week-end. Comme à nos débuts. Les débuts d'une relation. Quand l'incapacité de quitter la chambre à coucher est de mise. Quand le besoin de ne faire qu'un avec l'autre, est constant. Dans le fond, ils se comportent toujours comme un couple tout neuf tant ils s'aiment et tant ils ont tendance à se le montrer. Les médias s'en amusent parfois. Voulant se moquer sans pour autant être suivit par le plus grand nombre. Beaucoup de gens se contentent de jalouser plus ou moins en silence. Ce qui amuse le couple dans le fond. Mais s'ils ont parfois l'air d'un jeune couple, ce n'est pas le cas du tout. Et ça se comprend dès qu'ils montrent qu'ils se connaissent par coeur. Comme c'est le cas quand elle cherche à le provoquer un peu. A réveiller l'amoureux en le caressant du bout des doigts et avec ses lèvres au creux de son cou. Il réagit presque trop fort à son goût. Il n'en faut pas davantage pour qu'il file à sa suite alors qu'elle s'éloigne. Qu'il la suive comme un prédateur et sa proie. Jusqu'à lui tomber dessus au bout de quelques pas seulement.
Son cri rapidement suivit d'un rire mélodieux, le fait frissonner. Lui flanque l'envie de la serrer plus fort contre lui. Elle pivote pour s'en prendre à sa chemise et il ne quitte pas un seul instant son visage du regard, durant le temps que prend la manoeuvre. Avant que le vêtement n'atterrisse au sol et qu'elle ne file de nouveau pour rejoindre la salle de bain. Non sans l'entraîner avec elle par la main cette fois ci. Malgré les nombreux arrêts doux et provocateurs à la fois, ils atteignent leur but ultime. Et ce sont bientôt ses mains à lui qui courent sur ses vêtements à elle. Sur les boutons de la robe qu'il détache les uns après les autres. La respiration de plus en plus haletante à mesure qu'il dévoile sa peau. Qu'il découvre ses courbes alléchantes. Le tissu échoue au sol dans un léger bruit d'étoffe qui se froisse. Les lèvres de l'homme rencontrent celles de son épouse. Caressent et embrassent avec une folle sensualité tandis que ses mains entreprennent de lui retirer les derniers morceaux de tissu. Les sous vêtements qui seront bientôt pleinement inutiles. Il parsème sa peau de délicats baisers quand il entreprend de glisser le long de son corps pour faire descendre la culotte qu'il descend tranquillement le long de ses jambes interminables. Un ultime baiser sur le bas-ventre et il est de nouveau debout pour lui faire face. Un sourire taquin au coin des lèvres. Autre chose ?
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TALLULAH & WILLIAM
Es-ce qu'un jour elle cesserait de l'aimer ? Non. Certainement pas. C'était bien trop fort, bien trop puissant pour qu'un jour la flamme s'éteigne, ce n'est pas un coup de vent, un souffle comme ça qui parviendraient à les séparer. Elle a bien eu vent des rumeurs qui concernent son mari mais à chaque fois ils les démentent. Les rumeurs ne font que les rapprocher, et ils en sortent toujours plus fort. Elle lui fait confiance, confiance aveugle, diront certains, mais elle, elle trouve simplement que c'est une confiance normal qu'une épouse offre à son époux. Qu'une femme heureuse et amoureuse, offre à son mari, rien de plus, il n'y a pas de débats à avoir. Ils sont heureux, ils sont amoureux, ce n'est pas la peine de polémiquer cent ans. Ils s'aiment envers et contre tout ceux qui ont envie de les voir se déchirer, qui jalousent, mauvais leur relation qui ne fait que briller un peu plus chaque jour. Bougie incandescente qui ne s'éteindra jamais.
« On peut toujours se faire ça bientôt... Je n'aime pas ne rien faire mais j'aime bien le faire tant que c'est avec toi. » Parce qu'il arrivait toujours à la retenir même quand elle en avait assez de rien faire, et la plupart du temps, ils ouvraient les fenêtre pour admirer la mer. Et elle aimait la mer Lula, c'était l'une de ses choses préférées avec les étoiles et les astres. Parce qu'elle a toujours été un peu rêve Lula et lui, il suit ses rêves. Il la pousse à suivre ses rêves, même les plus loufoques d'entre eux. Il n'y a que son plus grand rêve qu'il n'a pas vraiment envie qu'elle le poursuive, parce qu'il est impliqué dans ce dernier. Elle n'avait jamais vraiment eu la fibre maternelle, n'avait jamais vraiment eu envie d'être maman, mais pourtant ça lui prend depuis quelques temps, elle se dit que c'est la suite logique des choses et quils ont certainement attendu assez longtemps, qu'eux, ils ne se déchireront pas comme ses propres parents à elle. Elle est sûre qu'ils feraient des bons parents, mais elle sait aussi qu'il porte en horreur les enfants, alors elle laisse ses rêves bien cachés sous l'oreiller, et elle n'a pas le temps d'y penser quand ils se retrouvent, les deux amants insatiables.
Elle aime cette douceur dont il fait preuve, il aime jouer et elle le sait. Elle aime jouer aussi, le sentir monter en température, le voir le faire et se rendre compte que c'est grâce à elle. Les mains commencent à trembler et tout le corps commencent à se réveiller, surtout le bas ventre qui commence à se contracter, mais elle tente de ne rien montrer. Passion contrôlée. Désir incontrôlable. Elle aimerait que les mains et les gestes soient plus rapides, mais elle ne dit rien. Elle a tant de fois imaginé ses retrouvailles. Quand ses lèvres s'attardent sur son bas ventre, elle sent un frisson qui lui parcourt l'échine et elle se mord la lèvre inférieure tout en déglutissant, un sourire en coin se dessine sur ses lèvres tandis qu'elle s'attarde sur le jean de son mari qu'elle fait glisser, et les mains se font encore plus baladeuses et impudiques. Elle se rapproche alors de lui, colle leurs deux corps ses lèvres mordillant celles de son époux avant de tirer sur les lèvres alors qu'elle guide les mains de son homme le long de son corps. « Impressionne moi... » qu'elle murmure, suavement avant de se reculer, encore pour couper l'eau et elle s'appuie contre la baignoire, tendant sa main pour qu'il la rejoigne « Dis moi ce que tu veux... » Parce qu'elle veut le rendre heureux, parrce qu'elle veut que ces retrouvailles soient belles, que leurs retrouvailles soient les meilleures qu'ils n'aient jamais vécues.
« On peut toujours se faire ça bientôt... Je n'aime pas ne rien faire mais j'aime bien le faire tant que c'est avec toi. » Parce qu'il arrivait toujours à la retenir même quand elle en avait assez de rien faire, et la plupart du temps, ils ouvraient les fenêtre pour admirer la mer. Et elle aimait la mer Lula, c'était l'une de ses choses préférées avec les étoiles et les astres. Parce qu'elle a toujours été un peu rêve Lula et lui, il suit ses rêves. Il la pousse à suivre ses rêves, même les plus loufoques d'entre eux. Il n'y a que son plus grand rêve qu'il n'a pas vraiment envie qu'elle le poursuive, parce qu'il est impliqué dans ce dernier. Elle n'avait jamais vraiment eu la fibre maternelle, n'avait jamais vraiment eu envie d'être maman, mais pourtant ça lui prend depuis quelques temps, elle se dit que c'est la suite logique des choses et quils ont certainement attendu assez longtemps, qu'eux, ils ne se déchireront pas comme ses propres parents à elle. Elle est sûre qu'ils feraient des bons parents, mais elle sait aussi qu'il porte en horreur les enfants, alors elle laisse ses rêves bien cachés sous l'oreiller, et elle n'a pas le temps d'y penser quand ils se retrouvent, les deux amants insatiables.
Elle aime cette douceur dont il fait preuve, il aime jouer et elle le sait. Elle aime jouer aussi, le sentir monter en température, le voir le faire et se rendre compte que c'est grâce à elle. Les mains commencent à trembler et tout le corps commencent à se réveiller, surtout le bas ventre qui commence à se contracter, mais elle tente de ne rien montrer. Passion contrôlée. Désir incontrôlable. Elle aimerait que les mains et les gestes soient plus rapides, mais elle ne dit rien. Elle a tant de fois imaginé ses retrouvailles. Quand ses lèvres s'attardent sur son bas ventre, elle sent un frisson qui lui parcourt l'échine et elle se mord la lèvre inférieure tout en déglutissant, un sourire en coin se dessine sur ses lèvres tandis qu'elle s'attarde sur le jean de son mari qu'elle fait glisser, et les mains se font encore plus baladeuses et impudiques. Elle se rapproche alors de lui, colle leurs deux corps ses lèvres mordillant celles de son époux avant de tirer sur les lèvres alors qu'elle guide les mains de son homme le long de son corps. « Impressionne moi... » qu'elle murmure, suavement avant de se reculer, encore pour couper l'eau et elle s'appuie contre la baignoire, tendant sa main pour qu'il la rejoigne « Dis moi ce que tu veux... » Parce qu'elle veut le rendre heureux, parrce qu'elle veut que ces retrouvailles soient belles, que leurs retrouvailles soient les meilleures qu'ils n'aient jamais vécues.
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Dangerous night.
Tallulah &
William
William
Ils n'ont jamais été ce genre de couple qui abandonne à la première prise de tête. C'est même plutôt tout le contraire. A chaque dispute, comme à chaque éloignement temporaire, ils semblent se rapprocher et se souder plus fort encore. Comme une façon supplémentaire d'accentuer le fait qu'ils sont faits l'un pour l'autre. Que l'amour entre eux est fait pour durer. Plus fort encore, du fait qu'ils fassent en sorte que tout fonctionne toujours aussi fort. Leur histoire est belle. Leur amour. Leur relation. Leur façon d'être soudés et complices en toutes circonstances. Il y a de quoi les jalouser. Sans que ça ne risque de trop les perturber et de faire trébucher tout ce qu'ils ont. Ils sont beaucoup trop en phase pour ça. Il affiche d'ailleurs un sourire joueur et taquin quand elle lui offre une réponse qui semble ne pouvoir avoir pour effet sur lui, que de l'amuser. On ne peut pas vraiment dire qu'on ne fait rien, quand on est tous les deux blottis l'un contre l'autre dans un lit. Qu'il lui fait remarquer, toujours joueur, toujours le sourire au coin des lèvres et les paillettes dans les yeux. Ses prunelles qui brillent toujours quand il est en sa -délicieuse- compagnie.
Il a beau connaître par coeur l'ensemble de son corps, il prend toujours autant son temps quand il s'agit de la redécouvrir. De ses lèvres il ne fait que la frôler pour le moment. Alors que ses courbes se retrouvent délestées de tous les tissus superflus qui la recouvraient beaucoup trop au goût de son époux, jusque là. Son sourire s'accentue quand il la sent se crisper et frissonner au passage de sa bouche sur sa peau douce. La satisfaction dans le regard quand il lui fait de nouveau face après sa courte mais intense exploration. Il gronde sans se départir de son sourire, quand elle lui rend la pareille en lui retirant son jean. S'assurant qu'il perde bien ses vêtements à son tour. Histoire qu'ils soient à égalité tous les deux. Toi. C'est toi que je veux. Cette réponse a le don d'être simple, courte et basique. Mais elle a au moins le mérite d'être on ne peut plus clair. Ca, elle ne peut décemment pas le lui reprocher ! De ses larmes mains, il vient l'attraper par les hanches pour la soulever de terre et la porter dans la baignoire, dans laquelle il entre à son tour.
Ses lèvres épousent de nouveau les siennes tandis qu'il prend place en l'entraînant avant lui. Qu'elle ne s'éloigne surtout pas. Qu'elle vienne plutôt s'installer à califourchon sur ses cuisses une fois qu'il est assit au fond de la baignoire. L'une de ses mains logée presque trop sagement sur le bas de son dos tandis que l'autre vient déjà épouser la forme de l'une de ses fesses. Qu'il presse juste assez pour l'inciter à se coller davantage à lui. Que leurs bassins se rencontrent, se frôlent, flirtent ensemble et se provoquent. Bien sûr, si ce n'est pas ce dont tu as envie, toi, je comprendrais. Il ne plaisante qu'à moitié. Il ne comprendrait pas mais il accepterait. Sauf que la question ne se pose pas réellement. Ils sont toujours en phase tous les deux. Surtout à ce sujet là. Toujours d'accord et toujours près l'un pour l'autre. En toutes circonstances. S'il doit pour ça rallumer le brasier au creux de ses reins en faisant courir ses paumes brûlantes sur ses courbes, il peut le faire sans avoir à se faire prier. Au contraire. Avec grand plaisir. Le plaisir de la redécouvrir encore et encore. Et de penser dans la foulée, de nouveau, à quel point il est chanceux d'être celui dont elle a envie et besoin dans sa vie et dans son coeur. Je t'aime ... Qu'il lui souffle d'ailleurs tout bas, tout à fait sérieux de nouveau.
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TALLULAH & WILLIAM
Elle était jalouse, oh ça oui, elle était jalouse parfois de ces emmes qui offraient des regards un peu trop insistants à son mari. Mais elle lui faisait une confiance aveugle et jamais elle ne disait quelque chose, parfois, on la pensait effacée, elle regarde juste, retient et n'oublie rien. Elle a bien trop de mémoire c'est affolant, et quand elle remarque une fille qui le regarde un peu trop, elle la garde dans son radar, et elle la garde dans son viseur, mais la plupart des filles savent qu'il est avec elle et elle leur fait bien comprendre que c'est son mari, pas un homme à prendre. Mais jamais, elle ne lui a fait de crises de jalousie. Ou du moins, pas de bien grosse, elle lui faisait comprendre qu'elle n'aimait pas comment l'une ou l'autre l'avait regardé. Et la plupart du temps, elle lui faisait comprendre le soir, qu'elle était celle qu'il lui fallait, celle qu'il désirait, elle marquait son territoire une fois la nuit tombé, une fois le désir éveillé. Une fois les deux corps en osmose dans les draps blancs froissés. Le seul problème de Lula c'est qu'elle ne peut pas jouer trop longtemps, parce qu'à chaque fois c'est elle qui se brûle les ailes, c'est elle que le désir consume, impudent. C'est le désir qui la consume, elle, du bas du ventre au palpitant qui s'affole quand il pose ses lèvres contre sa peau. Peau qui rosit quand il prend possession de son corps. Elle sent que ça se contracte un peu plus quand il lui dit que c'est elle qu'il veut. Elle et seulement elle, son égo est un peu gonflée et elle se mord l'intérieur de la joue quand il la porte, en guise de réponse, c'est un baiser brûlant qu'elle lui offre en saisissant le visage de son mari entre ses mains « Et moi je ne veux que toi » qu'elle murmure, suave pendant qu'il les glisse dans la baignoire et Tallulah, elle sourit.
Lula prend place sur lui, un frisson lui parcourant l'échine une fois encore quand il possède ses lèvres et le désir s'active encore plus, il commence à la consumer déjà et elle entoure le cou de son mari de ses bras fins et elle se colle à lui, les lèvres cherchant celle de William, joueuse, et les mains dessinent des formes invisible le long de son dos, elle souffle un peu, mordille la mâchoire, et le bassin se colle, se décolle un peu, elle le cherche. Et ses mots la font rire un peu, rire cristallin qui parcourt ses lèvres avant qu'elle ne plonge son regard dans le sien pour lui dire d'une voix emplie de désir « Tu sais bien que j'ai envie de toi, surtout après cette semaine. » On dirait qu'ils ne peuvent s'empêcher de finir à user des plaisirs charnels, mais c'est le manque qui ronge, qui se creuse tout le temps lorsqu'ils sont loin l'un de l'autre. Et pour apostropher sa phrase, elle dirige une de ses mains entre leurs deux corps, et ses doigts usent de caresses tentatrices, aguicheuse et son cœur loupe quelques ratés quand il lui dit qu'elle l'aime, elle en arrête ses gestes, et son regard cherche celui de William, elle déglutit avant de murmurer « Je.. Je t'aime aussi... » c'est simple, sans artifices, deux corps et deux âmes qui s'aiment et c'était surtout trop rare qu'il prononce ces mots qu'elle tentait d'imprimer le son de sa voix pour se le rappeler quand elle serait loin. Elle ne sait pas si c'est la fatigue, mais elle sent les larmes qui lui montent aux yeux et elle tente de reprendre le contrôle de son corps. Elle reprend ses caresses tentatrices, et quand elle sent qu'il est prêt, elle le laisse la posséder, son corps se mouvant contre celui de William, lentement, tendrement, elle saisit ses lèvres avec tendresse, elle a envie de tendresse ce soir, là, contre lui, dans cette baignoire. Elle est totalement mise à nue contre lui, dans tout les sens du terme et elle a envie que ça continue, encore, elle a envie qu'il prenne le contrôle, alors en quelques secondes, elle le laisse prendre ce fameux contrôle en inversant la tendance, lui sur elle, et elle murmure, le souffle court « Possède moi, laisse moi te retrouver... » Parce qu'il lui avait manqué et il n'y avait que comme ça, qu'elle savait qu'ils pouvaient se retrouver. Plaisirs charnels et désir avoué.
Lula prend place sur lui, un frisson lui parcourant l'échine une fois encore quand il possède ses lèvres et le désir s'active encore plus, il commence à la consumer déjà et elle entoure le cou de son mari de ses bras fins et elle se colle à lui, les lèvres cherchant celle de William, joueuse, et les mains dessinent des formes invisible le long de son dos, elle souffle un peu, mordille la mâchoire, et le bassin se colle, se décolle un peu, elle le cherche. Et ses mots la font rire un peu, rire cristallin qui parcourt ses lèvres avant qu'elle ne plonge son regard dans le sien pour lui dire d'une voix emplie de désir « Tu sais bien que j'ai envie de toi, surtout après cette semaine. » On dirait qu'ils ne peuvent s'empêcher de finir à user des plaisirs charnels, mais c'est le manque qui ronge, qui se creuse tout le temps lorsqu'ils sont loin l'un de l'autre. Et pour apostropher sa phrase, elle dirige une de ses mains entre leurs deux corps, et ses doigts usent de caresses tentatrices, aguicheuse et son cœur loupe quelques ratés quand il lui dit qu'elle l'aime, elle en arrête ses gestes, et son regard cherche celui de William, elle déglutit avant de murmurer « Je.. Je t'aime aussi... » c'est simple, sans artifices, deux corps et deux âmes qui s'aiment et c'était surtout trop rare qu'il prononce ces mots qu'elle tentait d'imprimer le son de sa voix pour se le rappeler quand elle serait loin. Elle ne sait pas si c'est la fatigue, mais elle sent les larmes qui lui montent aux yeux et elle tente de reprendre le contrôle de son corps. Elle reprend ses caresses tentatrices, et quand elle sent qu'il est prêt, elle le laisse la posséder, son corps se mouvant contre celui de William, lentement, tendrement, elle saisit ses lèvres avec tendresse, elle a envie de tendresse ce soir, là, contre lui, dans cette baignoire. Elle est totalement mise à nue contre lui, dans tout les sens du terme et elle a envie que ça continue, encore, elle a envie qu'il prenne le contrôle, alors en quelques secondes, elle le laisse prendre ce fameux contrôle en inversant la tendance, lui sur elle, et elle murmure, le souffle court « Possède moi, laisse moi te retrouver... » Parce qu'il lui avait manqué et il n'y avait que comme ça, qu'elle savait qu'ils pouvaient se retrouver. Plaisirs charnels et désir avoué.
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Dangerous night.
Tallulah &
William
William
Tallulah, c'est la personne qui compte le plus au monde pour lui. Peut-être même la seule, tout simplement. Il serait bien incapable de se passer de sa présence dans sa vie. Mais la question ne se pose pas dans l'immédiat. Elle est là et bien là. Son épouse qui parvient encore à rosir quand il dépose ses lèvres sur elle. Qui réagit quand il souffle son envie, son besoin, son désir d'elle. Elle toute entière. Elle, qui compte tellement fort pour lui. Il ne sait pas toujours le dire parce qu'il aime à croire qu'il sait le montrer. En étant parfois un peu trop fleur bleue au goût de certain. Mais dans le fond, il se fout bien de savoir ce que pensent les autres de lui et de son mariage. Tant que ça fonctionne entre eux, pourquoi devraient-ils changer quoi que ce soit ? Ils s'épanouissent et trouvent leur bonheur dans leur mariage, tel qu'il est actuellement. Un doux et bien involontaire gémissement lui échappe quand sa chère épouse récupère son visage entre ses mains pour l'embrasser avec tout l'amour du monde. C'est plutôt une bonne chose ... Qu'il commente, sans retirer tout à fait ses lèvres des siennes. Qu'il continue plutôt de frôler avec tendresse.
Aussitôt installée sur lui, dans la baignoire qui continue de se remplir d'eau, Tallulah vient enrouler ses bras autour de son cou et l'embrasser de nouveau. Des baisers qu'il continue de recevoir avec grand plaisir. Il est trop troublé par les mouvements de son bassin qui provoque le sien, pour pouvoir vraiment réagir à son bref et doux éclat de rire. Il se concentre sur le reste. Cherche ses courbes de ses larges mains qui attrapent, frôlent, caressent. Il perd tantôt son visage au creux de son cou, tantôt devant le sien quand leurs regards se croisent et que leurs bouches se retrouvent. Les langues qui se caressent et les lèvres qui se maintiennent captives. Et les mots qui s'échappent. Doux et sincères. Confession pas particulièrement nouvelle mais qui a au moins le mérite d'être vraie. Et qui trouve une réponse sur la bouche de la jolie blonde. William sait, sans difficulté, le genre d'effet qu'ont ces trois petits mots sur elle. Parce qu'il ne l'a pas habituée à le lui dire de façon assez régulière. Avouer son amour, c'est presque avouer ses faiblesses. Elle semble être sa seule et unique faiblesse. Il pose ses mains à plat sur ses joues quand il voit les yeux clairs qui commencent à briller. Et dépose un baiser sur ses lèvres, aussi léger que les ailes d'un papillon. Baiser à peine esquissé.
Ses caresses précises et tentatrices, le poussent à fermer un instant les yeux. Les soupirs au bord des lèvres tandis qu'elle prend le soin de réveiller l'ensemble de son être. Que le désir fourmille sous sa peau. S'infiltre dans l'ensemble de son corps. A chaque inspiration qui se rempli de son odeur à elle. A chaque battement de son coeur qui se fait de plus en plus précipité. Quand elle juge qu'il est suffisamment près pour cela, elle se redresse et vient se coller à lui. Davantage, pour pouvoir le recevoir lentement en elle. Il répond en refermant ses mains autour de ses hanches. Qu'il fait ensuite remonter le long de son dos alors qu'elle même commence à faire tanguer son bassin contre le sien. A chaque mouvement ses courbes caressent son corps. Ses lèvres embrassent les siennes. Son souffle provoque le sien. La baignoire est suffisamment grande pour accueillir leurs corps étroitement enlacés. Tallulah ne tarde ainsi pas à faire en sorte que les rôles soient inversés. Que son époux atterrisse sur elle, toujours logé entre ses cuisses. Dont l'une autour de laquelle il referme ses doigts pour l'inciter à la ramener contre sa hanche. A l'enrouler autour de lui. Lui même loge un bras sous sa tête qui repose sur le borde de la baignoire, pour lui éviter de se faire mal quand il entame les mouvements de vas et vient à son tour. Qui gardent de leur lenteur et de leur tendresse. Parce qu'il veut la retrouver pleinement. Mais en douceur. Liaison des coeurs et des âmes autant que des corps dans cette baignoire de laquelle s'échappe désormais un peu d'eau.
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