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YESTERDAY'S NEWS |48
- Karma's RealKingdom Come
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Âge du personnage : L'infinité
Nationalité(s) : Omninational
Mon personnage, en 5 mots : Omniscient, omniprésent, omnipotent, omniversel, omnivore.
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : L'omniexistence
Études (passées ou en cours) : L'omnivers
Hobby : Traumatiser des Angeliens
Orientation sexuelle : Asexuel(le)
Situation sentimentale : En situation polyamoureuse
Des hommes à la mer
Sujet commun spécial rouge
Les vivres de l'avion? Impossible d'en trouver des corrects à bord. Il y avait bien quelques repas et quelques fruits mais l’atterrissage à briser la vaisselle du vol, se mélangeant à la nourriture. Impossible de la prendre au risque d'avaler du verre! Le petit groupe d'aventuriers s'est donc mis d'accord. Quelques bagages récupérés, quelques fournitures de premiers secours et tout ce petit monde s'en va dans l'épaisse forêt parce qu'Ewen avait raison. La mer est vite devenue plus agitée, montant de minutes en minutes. Quant à la pluie, elle donne l'impression d'être directement sous un jet de douche, rien de bien agréable!
Cela doit bien faire quinze minutes qu'ils marchent pour s'éloigner du rivage. Les arbres denses les protègent un peu mieux de la pluie mais le bois est trop humide pour faire du feu. Le son des vagues est rapidement remplacés par celui des animaux nocturnes. Oiseaux de nuit, couinement d'origines inconnus, froissement de feuilles. Beaucoup de bruits différents mais aucun ne semble mettre en alerte les aventuriers... Trop tard! LES VOILA ENCERCLES! Des indigènes! De lances armés, ils sont méfiants mais ne semblent pas hostiles. A vrai dire, ils semblent vouloir se protéger plus qu'attaquer. Effectivement, sans même le savoir, le groupe s'est dangereusement approché de leur tout petit village. L'un des leurs se distinguent des autres, sa coiffe importante semble lui donner le statut de chef. Il s'approche et d'un ton posé mais autoritaire, demande dans une langue inconnue, quelles sont vos intentions. Allez-vous vous faire comprendre ou prenez-vous le risque de vous faire embrocher?
Mettre vos dialogues et les gens avec qui vous interloquez en avant est important, n'oubliez pas du gras, de la couleur ou encore directement un tag. Allez vers les gens isolés, c'est important que tout le monde s'amuse!
Mettre un résumé en spoiler en cas de pot long peut être utile!
• La faim fait grogner les premiers estomacs.
• La pluie est devenue torrentielle.
• Le sol de la jungle est mou, il est difficile de marcher à moins d'être en basket.
• Les arbres sont denses et rapprochés, il faut pas mal de temps pour faire quelques mètres.
• Le bois humide rend un feu impossible à faire.
Cela doit bien faire quinze minutes qu'ils marchent pour s'éloigner du rivage. Les arbres denses les protègent un peu mieux de la pluie mais le bois est trop humide pour faire du feu. Le son des vagues est rapidement remplacés par celui des animaux nocturnes. Oiseaux de nuit, couinement d'origines inconnus, froissement de feuilles. Beaucoup de bruits différents mais aucun ne semble mettre en alerte les aventuriers... Trop tard! LES VOILA ENCERCLES! Des indigènes! De lances armés, ils sont méfiants mais ne semblent pas hostiles. A vrai dire, ils semblent vouloir se protéger plus qu'attaquer. Effectivement, sans même le savoir, le groupe s'est dangereusement approché de leur tout petit village. L'un des leurs se distinguent des autres, sa coiffe importante semble lui donner le statut de chef. Il s'approche et d'un ton posé mais autoritaire, demande dans une langue inconnue, quelles sont vos intentions. Allez-vous vous faire comprendre ou prenez-vous le risque de vous faire embrocher?
N'OUBLIEZ PAS
Mettre vos dialogues et les gens avec qui vous interloquez en avant est important, n'oubliez pas du gras, de la couleur ou encore directement un tag. Allez vers les gens isolés, c'est important que tout le monde s'amuse!
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LES CONDITIONS SUR L'ÎLE
• La faim fait grogner les premiers estomacs.
• La pluie est devenue torrentielle.
• Le sol de la jungle est mou, il est difficile de marcher à moins d'être en basket.
• Les arbres sont denses et rapprochés, il faut pas mal de temps pour faire quelques mètres.
• Le bois humide rend un feu impossible à faire.
CONTENU COCAINE pour "It's All My Fault"
- InvitéInvité
des hommes à la mer
L'équipe rouge
C'est quoi ce bordel ? "Paumé", c'est le terme le plus adéquat pour définir comment se sent Danvir. L'avion a atterrit en urgence sur une île perdue au milieu de nul part, et Dan comprend assez vite que cela va être la merde, pour attendre les secours. Quarante-huit heures ! QUARANTE-HUIT HEURES. En prison, il a vécu dans des conditions pour le moins insupportables... Mais il n'en reste pas moins qu'il était plutôt bien logé. Un toit sur la tête, trois repas par jour, avec possibilité de s'acheter des petits extras... Rarement, mais cela arrivait tout de même. Et Dan n'est pas du tout fait pour survivre dans la nature, comme ça. C'est vraiment pas de pot, ces conneries. Ce sont les premières vacances qu'il prend depuis sa sortie de prison, et voilà que tout dérape avant même qu'il soit arrivé à destination ! En gagnant ces billets d'avion, Dan s'était imaginé découvrir l'Europe en économisant autant d'argent que possible... On peut dire que son objectif est réussi, mais il va maintenant falloir s'organiser et bosser avec les autres. Ce n'est pourtant pas son truc, de côtoyer autant d'autres personnes inconnues. Les quinze premières minutes, voire même les trente premières, Dan erre. Il observe, dans un silence religieux. Il écoute avec attention ce qu'il se passe autour de lui, ce qui se dit. Soudain, une phrase le tire de sa transe. Il réalise qu'il faut qu'il se bouge, lui aussi. Il ne peut pas rester planté là à attendre que les choses se fassent autour de lui. Alors tant pis pour sa timidité ; il doit la mettre de côté. Alors, après avoir fait quelques pas en avant en direction de celui qui vient de poser une question à la volée (@Cash Eelis Hayes), Dan se lance : « Moi aussi j'en suis. » Il n'est pas le seul à s'être proposé, @Johnny McBrennan l'a fait d'abord. Plus ils sont, mieux ce sera. Et en balayant l'espace autour de lui d'un rapide regard, il repère un jeune homme à l'air paumé. Un peu paniqué peut-être. Dan ne juge pas, il est plus du genre à se contenir et à garder pour lui... Mais il n'est pas loin de la crise quand même. « Tu veux venir ? », qu'il lance à @Felix E. Blackfield dans l'espoir d'avoir une nouvelle recrue. Et puis, ce mec qui ne parle pas beaucoup, il pourrait vraiment rassurer Dan s'il était à ses côtés. Mais soudain, alors qu'il pensait l'affaire pliée et leur aventure prête à prendre une nouvelle tournure, Dan comprend qu'il n'en est rien. Ils sont dans une merde noire et il n'y a pas grand chose qu'ils puissent faire pour s'en dépêtrer. La jungle autour d'eux prend des aspects de grande faucheuse et la pluie parvient toujours à s'infiltrer par petites gouttes entre les branches denses des arbres. Il est déjà trempé de la tête aux pieds, et c'est fichtrement agaçant, comme sensation. Mais ce n'est rien à côté de ce qu'il ressent lorsque ses yeux se posent un peu plus loin devant lui. C'est une blague ? Des étrangers à cet avion se sont mêlés à la partie. Des lances dans les mains, ils sont partout autour d'eux, comme il le remarque assez vite en essayant de trouver du regard un échappatoire. Merde, merde, merde. Pas téméraire pour un sou, Dan fait un unique pas sur le côté, se cachant derrière le premier venu -ou la première venue- sans se soucier d'avoir l'air de la pire des andouilles. Qui a dit qu'il était courageux ? Certainement pas lui en tout cas !
(c) DΛNDELION
- Alice CollinsMEMBER OF THE MONTH
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Autres comptes : Aaron Campbell (ft. Henry Cavill) & Andreas Klein (ft. Marcus Hedbrandh).
Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
En guise de réponse à la provocation d’Alice, Adélaïde s’offusqua littéralement. Non, bien évidemment qu’elle n’avait pas embarqué dans l’avion sans sa trousse de maquillage. Qui aurait été assez fou pour croire ça d’une fille pour qui l’apparence est une priorité ? Pas Alice, en tout cas. Cette dernière ne put contrôler un petit rire en observant la blonde repartir vers l’engin. Si Jack Sparrow avait été une femme, celle-ci aurait eu la même façon d’avancer dans le sable que la belle héritière, à n’en pas douter.
Esseulée à l’orée de la forêt tropicale, Alice tourna légèrement son visage et croisa le regard d’Ezekiel qui se tenait à une dizaine de mètres d’elle. Devant lui, Lysander semblait suivre Ewen qui s’était vite démarqué comme étant le meneur du troupeau. Mais Alice n’avait d’yeux que pour l’Espagnol. Celui-ci lui adressa un sourire des plus sincères et Alice ne put contrôler ses jambes qui le menèrent directement à lui. Se réjouissant de pouvoir enfin profiter d’un moment seul à seul, la brunette abaissa toute garde, toute résistance. Quand la main d’Ezekiel attrapa la sienne, son cœur s’emballa un peu trop, si bien qu’elle se sentit incapable de resserrer sa prise. C’était lui qui la tenait toute entière par ce geste simple en apparence, lui qui l’entraînait en avant pour ne pas lâcher le duo en tête. Et lorsqu’il lui fit la promesse de ne pas l’abandonner avant de se retourner vers ceux qui les suivaient, Alice le regarda, pleine d’un petit ou d’un gros quelque chose qui cognait dans sa poitrine. A l’évidence, elle ne pouvait plus se passer de lui. L’imaginer aurait tout simplement été ridicule voire même risible.
Les gouttes d’eau qui tombaient du ciel se firent de plus en plus violentes. Les feuilles des arbres n’étaient plus imperméables au torrent et les corps des rescapés étaient trempés. Alice allait se plaindre d’avoir faim lorsqu’un bruit sec immobilisa tout le monde. Surgissant d’entre les hautes plantes, des hommes visiblement sauvages pointèrent leurs armes vers ceux qui débarquaient sur leur territoire. Alice ne cria pas ni n’eut le réflexe de fuir. Elle fut complètement hypnotisée par ce qui était en train de se passer et ses yeux ne cessaient de se reporter sur Ewen et sur Lysander qui étaient les plus proches, puis sur ces faciès étrangers fascinants. Sa main avait resserré celle d’Ezekiel sans même qu’elle ne s’en rende compte. Elle était une fille plutôt téméraire et pas le genre à avoir peur facilement, mais dans cette situation extraordinaire, mieux valait sans doute faire preuve de méfiance. « Je crois qu’on les dérange durant leur partie de cache-cache dans les bois. » Dit-elle d’une petite voix qui devait se porter vers l’avant... Elle ne rigolait pas, c’était plutôt la lassitude et l’ironie du sort qui s’exprimaient. « Alors chef, qu’est-ce qu’on est censés faire, là ? » Lança-t-elle finalement à l’attention d’Ewen avec un brin de sarcasme mais aussi avec espoir, parce que leur cauchemar s’empirait de minute en minute.
Esseulée à l’orée de la forêt tropicale, Alice tourna légèrement son visage et croisa le regard d’Ezekiel qui se tenait à une dizaine de mètres d’elle. Devant lui, Lysander semblait suivre Ewen qui s’était vite démarqué comme étant le meneur du troupeau. Mais Alice n’avait d’yeux que pour l’Espagnol. Celui-ci lui adressa un sourire des plus sincères et Alice ne put contrôler ses jambes qui le menèrent directement à lui. Se réjouissant de pouvoir enfin profiter d’un moment seul à seul, la brunette abaissa toute garde, toute résistance. Quand la main d’Ezekiel attrapa la sienne, son cœur s’emballa un peu trop, si bien qu’elle se sentit incapable de resserrer sa prise. C’était lui qui la tenait toute entière par ce geste simple en apparence, lui qui l’entraînait en avant pour ne pas lâcher le duo en tête. Et lorsqu’il lui fit la promesse de ne pas l’abandonner avant de se retourner vers ceux qui les suivaient, Alice le regarda, pleine d’un petit ou d’un gros quelque chose qui cognait dans sa poitrine. A l’évidence, elle ne pouvait plus se passer de lui. L’imaginer aurait tout simplement été ridicule voire même risible.
Les gouttes d’eau qui tombaient du ciel se firent de plus en plus violentes. Les feuilles des arbres n’étaient plus imperméables au torrent et les corps des rescapés étaient trempés. Alice allait se plaindre d’avoir faim lorsqu’un bruit sec immobilisa tout le monde. Surgissant d’entre les hautes plantes, des hommes visiblement sauvages pointèrent leurs armes vers ceux qui débarquaient sur leur territoire. Alice ne cria pas ni n’eut le réflexe de fuir. Elle fut complètement hypnotisée par ce qui était en train de se passer et ses yeux ne cessaient de se reporter sur Ewen et sur Lysander qui étaient les plus proches, puis sur ces faciès étrangers fascinants. Sa main avait resserré celle d’Ezekiel sans même qu’elle ne s’en rende compte. Elle était une fille plutôt téméraire et pas le genre à avoir peur facilement, mais dans cette situation extraordinaire, mieux valait sans doute faire preuve de méfiance. « Je crois qu’on les dérange durant leur partie de cache-cache dans les bois. » Dit-elle d’une petite voix qui devait se porter vers l’avant... Elle ne rigolait pas, c’était plutôt la lassitude et l’ironie du sort qui s’exprimaient. « Alors chef, qu’est-ce qu’on est censés faire, là ? » Lança-t-elle finalement à l’attention d’Ewen avec un brin de sarcasme mais aussi avec espoir, parce que leur cauchemar s’empirait de minute en minute.
@Adélaïde Sullivan @Ezekiel Eastwood @Lysander E. Foster @Ewen Luciani
- Résumé du post:
- - Alice rejoint Ezekiel et ils marchent ensemble main dans la main, derrière Lysander et Ewen, jusqu'à l'arrivée des indigènes
- face aux sauvages elle s'immobilise, plus fascinée que mortifiée, et demande à Ewen s'il a une stratégie
- Adélaïde SullivanKingdom Come
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Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
Adélaïde avait râlé, encore. Que la mer monte, elle ne pouvait pas en douter... qu'elle en vienne à passer au dessus de l'appareil haut de plusieurs mètres et qu'elle puisse l'engloutir, lui, l'avion de plusieurs tonnes bien calé dans le sable, elle en doutait fortement. Son plus gros problème? C'est qu'ils étaient tous d'accord pour le suivre là-dedans. Des malades, tous des malades! Elle détestait cette idée mais elle détestait encore plus d'envisager de rester seule dans l'avion... beaucoup trop macabre et flippant. « Tu me prends pour qui, Collins? Evidemment que j'ai tout ce qui faut et encore plus. » Réflexe, le nom originel d'@Alice Norton refaisait surface comme si l'esprit d'Adélaïde ne se faisait toujours pas à son mariage avec Kai. Bref. Elle avait effectivement tout. Tout pour être belle en arrivant pour un rendez-vous pro mais certainement pas pour être sustenté pendant deux jours. Tant pis, elle allait quand même avec les autres pour récupérer sa petite valise de cabine ainsi qu'un sac dos dont elle ignorait le propriétaire mais il y avait des fringues dedans, ça ne serait pas de trop, surtout avec la pluie qui s'abattait sur la carcasse de l'avion et qu'elle allait forcément se prendre sur le coin du nez du coup.
Tous partis en forêt, Adélaïde avait fini par abandonner ses chaussures qui lui donnaient une démarche ridicule mais surtout incertaine dans cette forêt. Elle avait même demandé, avant de s'enfoncer entre les arbres, à @Ezekiel Eastwood de lui déchirer le côté de la jupe crayon pour avoir une démarche plus aisée. Mon dieu, elle avait bien fait parce que même comme ça, elle galérait à avancer comme c'était pas permis. Il avait beau pleuvoir, elle avait chaud. L'humidité dans l'air était importante, la chaleur de la gênait déjà. Putain elle était pas faite pour ça bordel! En voulant passer un branchage, elle manquait de tomber, se rattrapant in extemis à @Felix E. Blackfield auprès de qui elle s'excusait immédiatement. « Excuse-moi. » En voulant continuer, elle se rendait vite compte que dans sa presque chute, ses cheveux s'étaient accrochés à des branches, la rendant incapable d'avancer. « Tu peux m'aider s'il te plait? » Moment bien choisi par les indigènes pour débarquer et les encercler, poussant presque Adélaïde et Felix vers les autres pour les regrouper. « Non mais deux minutes là, vous voyez pas que je suis coincée?! N'importe quoi hein! » Râleuse professionnelle, elle n'était tellement pas dans son élément qu'elle ne se rendait presque pas compte de la situation exceptionnelle qu'ils étaient en train de vivre.
Tous partis en forêt, Adélaïde avait fini par abandonner ses chaussures qui lui donnaient une démarche ridicule mais surtout incertaine dans cette forêt. Elle avait même demandé, avant de s'enfoncer entre les arbres, à @Ezekiel Eastwood de lui déchirer le côté de la jupe crayon pour avoir une démarche plus aisée. Mon dieu, elle avait bien fait parce que même comme ça, elle galérait à avancer comme c'était pas permis. Il avait beau pleuvoir, elle avait chaud. L'humidité dans l'air était importante, la chaleur de la gênait déjà. Putain elle était pas faite pour ça bordel! En voulant passer un branchage, elle manquait de tomber, se rattrapant in extemis à @Felix E. Blackfield auprès de qui elle s'excusait immédiatement. « Excuse-moi. » En voulant continuer, elle se rendait vite compte que dans sa presque chute, ses cheveux s'étaient accrochés à des branches, la rendant incapable d'avancer. « Tu peux m'aider s'il te plait? » Moment bien choisi par les indigènes pour débarquer et les encercler, poussant presque Adélaïde et Felix vers les autres pour les regrouper. « Non mais deux minutes là, vous voyez pas que je suis coincée?! N'importe quoi hein! » Râleuse professionnelle, elle n'était tellement pas dans son élément qu'elle ne se rendait presque pas compte de la situation exceptionnelle qu'ils étaient en train de vivre.
- Résumé:
- Je pourrais résumer par : Adélaïde râle! Mais je vais développer un peu.
- Adélaïde va récuperer sa valise de cabine et un sac d'un inconnu
- Elle demande à Ezekiel de lui déchirer sa jupe avant d'aller en forêt (autant vous dire un crève coeur, mademoiselle va pas acheter ses fringues chez Kiabi m'voyez!)
- Elle suit le groupe en étant en grosse galère.
- Elle se casse presque la gueule sur Felix et lui demander de l'aide parce qu'elle s'est coincé les cheveux dans des branches.
-Elle grogne même après les indigènes... c'est tellement son élément, vous comprenez, elle est très à l'aise avec eux, la familiarité vient vite... hum hum...
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Avatar : Dave Franco
Crédits : smmg bae
Âge du personnage : 27 ans
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
On n'avait vraiment pas de chance, l'avion était mort, les gens étaient sur les nerfs, on avait rien à manger et comme-ci ça ne suffisait pas on avait aussi droit au bon temps de merde. Je suivais le mouvement sans rien dire, parce qu'après tout y'avait pas grande chose à ajouter. La situation parlait d'elle-même. Le sol était mou, l'air humide et y'avait tout un tas de bruits chelou autour de nous, une atmosphère bien rassurante en gros. Je m'apprêtais à répondre à @Danvir Bennamar par la positive quand je fus coupé par la jolie @Adélaïde Sullivan qui s'agrippait tout à coup à moi. Rien de sexuel malheureusement, la pauvre jeune femme était coincée dans les branches. J'étouffais un léger rire avant d'ajouter : évidemment que je vais t'aider, j'vais pas te laisser mourir accroché à cette branche. Je commençais alors à essayer de démêler tout ça, mais franchement ça s'annonçait pas super simple. Je ne savais pas comment elle s'était démerdé mais elle était drôlement bien accroché aux branches. C'est à ce moment précis qu'une bande d'indigène décidèrent d'intervenir, oui parce que ce n'était pas suffisant, il fallait aussi qu'on se fasse attaquer sinon ce n'était pas drôle. On doit être dans une zone où ils tournent un film ... dis-je en restant concentré sur les cheveux d'Adé. Je levais la tête rapidement et lançais un simple : Désolé on fait que passé ! Aux bonhommes déguisés, avant de reposer mon regard sur l'amas de noeuds.
- pour les flemmards d'amour:
- - Felix a pas le temps de répondre à Danvir (sorry bro)
- Il aide Adé a se démêler mais franchement c'est pas simple
- Il parle vite fait aux indigènes, qu'ils prend pour des acteurs en train de tourner un film
- Ewen LucianiI'm a Mother Fucker
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Avatar : Jesse Lee Soffer.
Crédits : Lempika (ava) & Lempika (signa)
Âge du personnage : 34 ans qu'il erre sur terre, les mains salies par son passé.
Nationalité(s) : Américaine. Il a dû abandonner sa nationalité française.
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Manipulateur, déchiré, froid, violence, mensonge.
Quartier de résidence : Sous un pont quelque part
Carrière, métier ou job : Lieutenant corrompu à la LAPD.
Études (passées ou en cours) : Ecole de police, sorti major de sa promo.
Hobby : Chasse, boxe, tir à l'arc.
Orientation sexuelle : Curieux(se)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
De toute évidence, cette île n’a rien de paradisiaque. Elle peut rapidement devenir dangereuse, surtout quand les éléments se déchaînent. Le policier sait que la mer peut rapidement grimper d’un niveau et ensevelir la carcasse. S’ils étaient restés sur la plage, ils seraient sûrement noyés ou perdus en pleine mer, et pas n’importe laquelle, dans une mer terrible avec des creux de plusieurs mètres. Pour sûr que ce qui les attend après n’est guère satisfaisant, mais c’est toujours mieux que la mort. Le brun constate que ça commence réellement à se transformer en cauchemar, entouré d’inconnus qui ne font que se plaindre pour la plupart. Beaucoup d’entre eux sont paniqués, quoi de plus normal après tout. Ewen l’est tout autant, mais son travail l’oblige à faire preuve de sang-froid. Il se rend compte aujourd’hui que finalement, être policier a bien des avantages. La gestion des situations de crise, garder sa lucidité.
S’ils sont protégés de la pluie, ils peuvent aisément entendre le ciel grogner, annonçant une tempête d’envergure. Luciani commence aussi à avoir faim, son ventre crie famine. Pendant un instant, il rêve d’un bon repas, mais sa rêverie est rapidement interrompue par l’arrivée d’indigènes. Les habitants de cette île qui se sentent menacés. Cela signifie qu’il est tout à fait possible de vivre sur l’île car un peuple est capable de survivre ici, dans cet environnement difficile. Le Corse se stoppe alors, observant ces drôles d’individus. Parmi eux se détache un avec une tenue unique, sûrement le chef. Leur langage n’est évidemment pas le même, ce qui rend la communication quasi-impossible. @Alice Norton s’adresse à lui. Il ignore son sarcasme, arborant un visage sérieux. « Nous ne devons pas faire de geste brusque. » Ewen s’approche un peu, après la réponse de @Felix E. Blackfield . Le flic tente de leur expliquer la situation en mimant. C’est quelque peu ridicule, mais la seule solution. « Notre avion a craché sur la plage, nous attendons les secours, mais en attendant, nous avons besoin de manger, de boire et surtout de s’abriter. » Chaque mot, il les mime avec des gestes exagérés, en espérant que cela parvienne à faire passer le message.
S’ils sont protégés de la pluie, ils peuvent aisément entendre le ciel grogner, annonçant une tempête d’envergure. Luciani commence aussi à avoir faim, son ventre crie famine. Pendant un instant, il rêve d’un bon repas, mais sa rêverie est rapidement interrompue par l’arrivée d’indigènes. Les habitants de cette île qui se sentent menacés. Cela signifie qu’il est tout à fait possible de vivre sur l’île car un peuple est capable de survivre ici, dans cet environnement difficile. Le Corse se stoppe alors, observant ces drôles d’individus. Parmi eux se détache un avec une tenue unique, sûrement le chef. Leur langage n’est évidemment pas le même, ce qui rend la communication quasi-impossible. @Alice Norton s’adresse à lui. Il ignore son sarcasme, arborant un visage sérieux. « Nous ne devons pas faire de geste brusque. » Ewen s’approche un peu, après la réponse de @Felix E. Blackfield . Le flic tente de leur expliquer la situation en mimant. C’est quelque peu ridicule, mais la seule solution. « Notre avion a craché sur la plage, nous attendons les secours, mais en attendant, nous avons besoin de manger, de boire et surtout de s’abriter. » Chaque mot, il les mime avec des gestes exagérés, en espérant que cela parvienne à faire passer le message.
- Résumé :
- Ewen dit qu'il ne faut pas faire de geste brusque
Il tente de communiquer avec la gestuelle avec le chef
- InvitéInvité
C'est complètement sonnée que je me réveille avec un putain de mal de crâne ! J'ai l'impression de mettre prit un avion sur la gueule. Je lève les yeux et me rends compte que ce n’était pas une impression en fait. L'avion dans lequel je me trouvais avait bel et bien été obligé d’atterrir en plein vol et à présent j'étais en train de faire un remake de Lost, cette série de merde où les gens se sont crashés sur une ile et qui part en couille au bout de la saison 3. Je secoue la tête pour voir si tout va bien. Tête : check ! Buste : check ! Jambes et pieds : check ! Je n’ai rien de cassé, juste les bras un peu endoloris et visiblement une entaille un peu au-dessus de la tempe puisque du sang a coulé et séché le long de ma joue. Je repousse une valise tombé sur moi pendant l'atterrissage d'urgence qui finalement m'a protégé des grosses secousses. Je me relève tout doucement en regardant autour de moi à la recherche de survivant parce que je n’étais pas toute seule dans l'avion. Je ne vois personne et je me dis qu’il ne faut surtout pas que je panique. Ils ont sûrement dû se réveiller avant moi et ne m’ont pas vu. Ou alors ils sont tous mort et il faut juste que je me retourne face à la mère (JE REVE DE GRANDIR) pour voir leur corps flotter .. Je crois que j’ai été sacrément secoué pour penser des trucs aussi débiles. Je me reconcentre, en me disant que je ne peux pas être la seule survivante surtout que l'avion ne s'est pas crashé, il a juste dû atterrir d'urgence. Je commence à regarder autour de moi puis j’aperçois des traces de chaussures, plusieurs, qui s’enfoncent dans la forêt. La mer risque de monter et je ferais mieux de suivre les pas avant d’être vraiment toute seule. Je m’engouffre donc dans la forêt qui me parait être aussi hostile que cette plage à l’allure paradisiaque. Je suis toujours les traces de pas, les endroits où un passage semble avoir été fait puisque les feuillages sont penchés sur les côtés voire même écrasés. Je repère des chaussures au sol, preuve que je suis sur la bonne piste pour retrouver les autres membres de l’avion. Et puis au bout de plusieurs dizaines de minutes, j’entends des voix. Je presse un peu plus le pas avant d’apercevoir de loin une tribu d’indigène, au comportement assez hostile, en train de tenter de converser avec .. @Ewen Luciani ! Je me glisse furtivement entre les feuillages avant de rejoindre le groupe comme si j’étais là depuis le début. Je passe devant @Felix E. Blackfield en train de tripatouiller les cheveux d’une blonde et je lève les yeux au ciel en les dépassant pour rejoindre Ewen. Autant je suis heureuse de retrouver le beau policier, autant me rendre compte que je suis sur une ile déserte avec mon ex, ça ne m’enchante pas. Je lui fais un petit sourire discret en arrivant à sa hauteur et puis je répète la même chose que lui, mais dans la langue française. Puis je me tourne vers Ewen. « On est peut-être sur une ile française ? » Je regarde dans la direction des indigènes, sans faire de mouvement trop brusque, je me retourne doucement pour voir qui fait partie du groupe qui était dans l’avion. « Est-ce que tout le monde va bien ? » toujours s’assurer que personne n’a un besoin vitale, histoire de ne pas devoir presser le pas en urgence, surtout que là l’urgence c’est de pas se prendre une flèche en pleine tête.
- résumé:
- - Arizona se réveille sonnée avec une coupure sur la tempe qui saigne. Elle n'a rien de grave mais était caché sous une des valises qui est tombé pendant l'atterrissage forcé, raison pour laquelle personne ne l'a vu.
- Elle repère des traces de pas et décide de les suivre
- Elle arrive jusqu'au reste du groupe et remarque la présence des indigènes. Alors elle essaie d'aider Ewen à se faire comprendre.
- Gwyneth BarclayKingdom Come
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Âge du personnage : Vingt-deux ans. (17/01/2000)
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Family don't end with blood.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Traductrice dans une maison d'édition.
Études (passées ou en cours) : Langues.
Hobby : Changer de couleur et de longueur de cheveux. • Le surf. • Les jeux vidéos.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
La traversée de la forêt n'avait rien de simple. La brune se frayait un chemin, en silence, prenant quelques secondes pour s'attacher les cheveux - elle ne tenait pas spécialement à se retrouver comme la blonde, coincée dans les branchages. Cela dit, ce n'était pas prêt d'arriver maintenant qu'ils étaient encerclés par des indigènes. Plus fascinée qu'effrayée, Gwyneth ne disait pas un mot, sa main glissant dans celle de son oncle par réflexe. Elle observait la scène, dansant quelque peu sur ses pieds pour ne pas s'enfoncer davantage dans le sol mou. Le leader (@Ewen Luciani) tentait d'expliquer à celui qui semblait être le chef ce qui se passait. Joe tentait de reconnaître la langue que le chef parlait. Parmi toutes celles qu'elle connaissait, celle-ci n'en faisait pas partie, il n'y avait même pas de consonances qu'elle reconnaissait. « Non, ce n'est pas du français. » répond-t-elle simplement à @Arizona Harper-Duval. Ça allait être difficile à comprendre. Finalement, elle lâchait les doigts d'@Aeddan Barclay pour s'approcher, les mains en l'air par réflexe pour montrer qu'elle ne leur voulait pas de mal. Elle se baissait pour attraper un bâton, dégageant des feuilles pour avoir un morceau de terre. Avec le bâton, elle dessinait - ou tentait de dessiner, ce n'était pas franchement une experte en dessin mais ça n'avait rien de compliqué pour le coup - ce qui s'était passé, complètement la tentative d'Ewen à se faire comprendre.
- Spoiler:
- Gwyneth suit tout le monde à travers la forêt jusqu'à ce que les indigènes les entourent. Elle s'approche pour dessiner au sol ce qui leur ait arrivé afin de compléter les explications d'Ewen.
- Karma's RealKingdom Come
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Dollars : 2747
Messages : 1961
Date d'inscription : 17/09/2017
Avatar : L'omnivers
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Âge du personnage : L'infinité
Nationalité(s) : Omninational
Mon personnage, en 5 mots : Omniscient, omniprésent, omnipotent, omniversel, omnivore.
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : L'omniexistence
Études (passées ou en cours) : L'omnivers
Hobby : Traumatiser des Angeliens
Orientation sexuelle : Asexuel(le)
Situation sentimentale : En situation polyamoureuse
Des hommes à la mer
Sujet commun spécial rouge
Les indigènes se radoucissent, la communication fébrile a suffit à les mettre en confiance. Ils vous conduisent au village à plusieurs mètres de là où l'on vous regarde avec curiosité. Des cabanes (que l'on appelle des cases) sont faites de bois, de boue, de terre et de paille (visuel). Elles se comptent par dizaine, peut-être seize au total. Pourtant, ce village, personne ne le connait. Il n'est pas visible du ciel, l'épaisse forêt au dessus d'eux les cachant du reste du monde. Au milieu de ce dernier, un feu de bois bien protégé par une structure haute et large de bois et de feuilles. Les cases semblent bien équipées même si cela reste évidemment sommaire. Les indigènes ont appris à se servir des détritus qui arrivent sur l'île par la mer pour bien vivre. Visiblement, ils sont prêts à vous accueillir pour la nuit, vous nourrir et vous permettre d'assister à un rituel de passation de pouvoir.
Mettre vos dialogues et les gens avec qui vous interloquez en avant est important, n'oubliez pas du gras, de la couleur ou encore directement un tag. Allez vers les gens isolés, c'est important que tout le monde s'amuse!
Mettre un résumé en spoiler en cas de post long peut être utile!
• La pluie est de nouveau fine.
• Le sol du village est plus dur que le reste de la forêt, il semblerait que les villageois ont trouvé une sorte d'argile moins adipeuse.
• Les villageois vous accueillent dans leurs cases et vous proposent leurs habits traditionnels pour pouvoir faire sécher les vôtre près du feu.
• Il est impossible d'être plus de deux invités par case, à vous de vous organiser.
N'OUBLIEZ PAS
Mettre vos dialogues et les gens avec qui vous interloquez en avant est important, n'oubliez pas du gras, de la couleur ou encore directement un tag. Allez vers les gens isolés, c'est important que tout le monde s'amuse!
Mettre un résumé en spoiler en cas de post long peut être utile!
LES CONDITIONS SUR L'ÎLE
• La pluie est de nouveau fine.
• Le sol du village est plus dur que le reste de la forêt, il semblerait que les villageois ont trouvé une sorte d'argile moins adipeuse.
• Les villageois vous accueillent dans leurs cases et vous proposent leurs habits traditionnels pour pouvoir faire sécher les vôtre près du feu.
• Il est impossible d'être plus de deux invités par case, à vous de vous organiser.
CONTENU COCAINE pour "It's All My Fault"
- InvitéInvité
@Gwyneth Barclay @Arizona Harper-Duval @Ewen Luciani @Adélaïde Sullivan
Tu ne sais pas si vous trouverez grand chose et en cherchant tu te rends vite compte qu’il reste peu de truc utilisables. Rien à manger n’est viable, alors ce sera des trucs pour les premiers secours, quelques bagages utiles et tout le monde doit suivre et rentrer dans cette forêt. Tu suis le cheminement, la forêt n’as rien d’accueillant et de praticable et tu n’es pas en tenue pour ça. Une racine et ce fut la débâcle. Tu finis au sol. Tu te relève immédiatement et sens ta cheville qui te rappelle à l’ordre. Tu avances en serrant les dents, mais tu ne vas pas loin. Vous n'êtes plus seuls. Tu n’as pas l’occasion de penser à la douleur, parce qu’il ya des indigènes tout autour. Voilà que le chef baragouine un truc. Le conférencier est pourtant muet et trop occupé à s’inquiéter pour Joe. C’est plus fort que lui. Tu fais à peine attention à celle qui fait que râler et qui a l’air d’être un poisson hors de l’eau. Ca te fait sourire cela dit. Celui qui a prit les devants récemment essaye de parlementer. Il mime. Tu te retiens de rire, c’est méchant. Si tu étais pas ailleurs, tu aurais pu parler, merde, tu passais ton temps à apprendre aux autres et quand tu sers à quelque chose, tu restes là. Ta soeur aurait déjà demandé des nouvelles de la famille du chef et s’il avait un aliment préféré… Une femme propose que c’est peut être du français. mais ce n’en est pas. Confirmé par Joe qui s’avance et dessine avec un bâton pour compléter. Sans ton aide, les indigènes finissent par comprendre. Ils vous emmènent vers le village qui est très “bio” tu aurais envie de dire. Toi qui aimes les nouvelles choses, tu es servi. me^me si tu aurais préféré des vraies vacances. On finit par expliquer que vous pouvez y dormir, pour cette nuit et qu’ils vous proposent d’assister à une cérémonie. On t’aide à rejoindre celle qui doit surement s’occuper des soin et on te met un truc bizarre sur la cheville. On te donne des vêtements à enfiler. pour que les tiens sèchent. On t’indique une case et tu t’y diriges en boitant. Pour le moment tu es seul mais tu te doutes qu’un autre va te suivre ensuite. Tout t’assieds au sol. S’il faut marcher à nouveau, tu risque pas d’aller loin. - Ah bonjour ! On va être coloc pour cette nuit je vois. - Que tu dis en voyant arriver Joe...
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