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YESTERDAY'S NEWS |48
- Lysander E. FosterI'm a Mother Fucker
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Autres comptes : Clarence M. Burns
Âge du personnage : 28 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Gémeaux
Mon personnage, en 5 mots : Miroir, Fatalité, Exubérance, Fragilité,
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Il est avant tout auteur, compositeur et interprète depuis des années. Après s'être fait connaître par le biais de son groupe On the Edge, il chante désormais en solo. Il a également monté T△LENT, son propre label de musique, pour produire d'autre talents.
Études (passées ou en cours) : Il est diplômé en musique, mais également en marketing, depuis trois années maintenant.
Orientation sexuelle : Indécis
Il n’avait pas fallu plus de cinq minutes au téléphone pour que Lysander réserve en express une place dans un avion pour l’Espagne. Il ne fallait pas le faire mariner comme ça, le faire miroiter des opportunités telles, sans s’attendre à ce qu’il soit devant votre porte dès le lendemain. C’était l’affaire d’un jour ou deux, puis la saison des festivals se prêtait à un peu plus de liberté. La liberté, il la regretta presque quand on lui annonça dans l’avion qu’il y avait des perturbations et qu’il allait fallait atterrir d’urgence. Il se mordit les doigts d’avoir eu la liberté de monter dans un avion qui allait se crasher au milieu de nulle part. Alors, il textota tout et n’importe qui, sans même prendre le temps d’envoyer. Parce qu’il savait que ses textos d’une situation désespérée étaient tout sauf bons à lire. Il ferma les yeux et se prépara à accueillir la mort, même s’il aurait préféré la choisir, sa mort. Quand Lys rouvrit les yeux, tout le monde allait bien. Les cris et les geignements d’angoisse étaient terminés et tout le monde était en train de descendre. Quelques gouttes de pluie accompagnèrent ses premiers pas sur le sable d’une île probablement abandonnée. « Putain de merde... » Il passa une main dans ses cheveux mais il n’y avait plus aucune boucle pour l’apaiser. Le sable collait à ses baskets hors de prix. L’air était moite, empreinte de chaleur et d’humidité et faisait déjà perler son front de sueur. Lysander se dirigea à contrecœur vers le groupe. Il passa à côté d’un homme (@Gareth I. Wheeler) qui venait de sortir la première ânerie de cette situation misérable. « Merci, Sherlock. » Il n’avait pas envie de faire ami-ami avec des personnes à qui il n’aurait probablement jamais parlé. On parlait déjà de s’abriter à l’abri de cette espèce de forêt et l’Anglais imaginait déjà moustiques et autres bestioles venir se coller à lui. Non vraiment, il aurait pu croire à tout mais pas ça. Il n’avait même pas de réseau pour annuler le rendez-vous professionnel qu’il allait désormais manquer à coup sûr. C’est alors qu’il reconnut soudainement une élève qu’il côtoyait assez souvent, @Gwyneth Barclay et quelques têtes on ne peut plus familières (@"Alice Norton", @Ezekiel Eastwood, @Eden H. Snow, @Adélaïde Sullivan) au milieu des gens inconnus (@Johnny McBrennan, @Ewen Luciani, @Aeddan Barclay). « Et en plus, je vais devoir me coltiner tout ce beau monde dans l’au-delà. Vous alliez où comme ça ? » Il passa ses bras autour d’Ezekiel avant de poser sa tête sur son épaule. « Pitié, sortez-moi de ce merdier. » Lysander était encore au stade du gamin capricieux, mais tous ceux qui le connaissaient savaient combien sa patience avait des limites. Il fallait faire quelque chose, et vite.
- Adélaïde SullivanKingdom Come
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Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
Ce voyage aurait dû lui plaire, aurait dû lui changer les idées. En première classe, elle était bien. Champagne, climatisation pour se rafraîchir, quelques fruits disponibles dont des morceaux d'ananas sur lesquels elle s'était jetée. Tout aurait dû être parfait. J'suis carrément paniquée, j'transpire du genoux... J'ai jamais transpiré du genoux!* Elle aurait pu se le dire dès lors où l'avion se mettait à vibrer et où l'équipage leur disait qu'ils allaient faire un atterrissage d'urgence. Elle devait faire une escale en Europe pour le boulot, elle devait se rendre en Espagne, puis en France et en Allemagne et maintenant on était en train de lui annoncer qu'ils allaient faire un arrêt d'urgence? Autant dire que vu le nom qu'ils donnaient, ils n'étaient pas prêt de redécoller... En revanche, elle ne s'attendait pas à ce que cet arrêt forcé se fasse sur une île déserte! Really, nigga?!
Tout allait très vite et bientôt elle se retrouvait sur le sable de l'île avec quelques personnes. Elle se tenait d'abord à l'écart, à la recherche de réseau téléphonique. Rien évidemment. Et puis on leur annonce! Deux jours, ils allaient rester deux jours... J'ai bien compris l'objectif du jeu : il n'en restera qu'un et je ferais tout pour faire parti de ce dernier.* C'est presque ce qu'elle se disait, elle, la princesse des temps modernes, presque paniquée à l'idée de rester là, quasiment sans rien et qui comptait bien se battre contre la compagnie pour toute cette merde. « Je vais vous foutre un putain de procès au cul! » Qu'elle balançait en pointant du doigt le pilote de l'avion... enfin c'était pas contre lui mais contre la compagnie... bref.
Une exclamation qui lui permettait d'être repérée par @Ezekiel Eastwood. Putain, elle était soulagée qu'il soit là lui. Elle s'approchait de lui, sourire aux lèvres, ravie en plus de constater qu'il était accompagné d'@Alice Norton. « Qu'est-ce que vous faites là vous deux? ... Trois? » disait-elle en voyant @Eden H. Snow qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam mais à qui elle souriait poliment. Moment idéal qu'avait trouvé son talon pour se péter dans le sable. « Journée de merde! » Instinctivement, elle attrapait sa seconde chaussure pour en caser le talon avant de s'exclamer. « Les aventuriers de la tribu ont décidé de vous éliminer et leur sentence est irrévocable!* » Elle balançait cette saloperie à la flotte sous ces mots. Au moins elle retrouvait un semblant d'équilibre comme ça.
S'enfonçer dans la forêt? C'est bien ce qu'elle avait entendu derrière elle? Elle n'était pas vraiment pour le délire et dans un murmure, elle le faisait savoir à ses amis - qui avait été rejoint par @Lysander E. Foster. « Il peut y avoir des bêtes pas très catholiques.* » Elle parlait autant de la forêt que leur petit groupe d'ailleurs... Mais avaient-ils le choix? Et puis, elle ne savait pas pourquoi mais elle trouvait que le type (@Ewen Luciani) avait une espèce d'aura en qui on pouvait faire confiance. On pourrait lui confier une mer, le mec pourrait faire le code de la route aux poissons.* « Et une fois dans la forêt, qu'est-ce qu'on fait? Tu comptes nous faire faire une cabane? » Quoi? C'est vrai après tout, non? « Autant rester dans l'appareil, au moins on serait bien installés et à l'abris de la pluie. » Bande d'abrutis... bon ça, elle le disait pas, elle savait que c'était la colère qui parlait et dans cette situation mieux valait ne pas qu'on la prenne pour une connasse... quoi que pas sûre qu'elle en ait quelque chose à foutre.
Tout allait très vite et bientôt elle se retrouvait sur le sable de l'île avec quelques personnes. Elle se tenait d'abord à l'écart, à la recherche de réseau téléphonique. Rien évidemment. Et puis on leur annonce! Deux jours, ils allaient rester deux jours... J'ai bien compris l'objectif du jeu : il n'en restera qu'un et je ferais tout pour faire parti de ce dernier.* C'est presque ce qu'elle se disait, elle, la princesse des temps modernes, presque paniquée à l'idée de rester là, quasiment sans rien et qui comptait bien se battre contre la compagnie pour toute cette merde. « Je vais vous foutre un putain de procès au cul! » Qu'elle balançait en pointant du doigt le pilote de l'avion... enfin c'était pas contre lui mais contre la compagnie... bref.
Une exclamation qui lui permettait d'être repérée par @Ezekiel Eastwood. Putain, elle était soulagée qu'il soit là lui. Elle s'approchait de lui, sourire aux lèvres, ravie en plus de constater qu'il était accompagné d'@Alice Norton. « Qu'est-ce que vous faites là vous deux? ... Trois? » disait-elle en voyant @Eden H. Snow qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam mais à qui elle souriait poliment. Moment idéal qu'avait trouvé son talon pour se péter dans le sable. « Journée de merde! » Instinctivement, elle attrapait sa seconde chaussure pour en caser le talon avant de s'exclamer. « Les aventuriers de la tribu ont décidé de vous éliminer et leur sentence est irrévocable!* » Elle balançait cette saloperie à la flotte sous ces mots. Au moins elle retrouvait un semblant d'équilibre comme ça.
S'enfonçer dans la forêt? C'est bien ce qu'elle avait entendu derrière elle? Elle n'était pas vraiment pour le délire et dans un murmure, elle le faisait savoir à ses amis - qui avait été rejoint par @Lysander E. Foster. « Il peut y avoir des bêtes pas très catholiques.* » Elle parlait autant de la forêt que leur petit groupe d'ailleurs... Mais avaient-ils le choix? Et puis, elle ne savait pas pourquoi mais elle trouvait que le type (@Ewen Luciani) avait une espèce d'aura en qui on pouvait faire confiance. On pourrait lui confier une mer, le mec pourrait faire le code de la route aux poissons.* « Et une fois dans la forêt, qu'est-ce qu'on fait? Tu comptes nous faire faire une cabane? » Quoi? C'est vrai après tout, non? « Autant rester dans l'appareil, au moins on serait bien installés et à l'abris de la pluie. » Bande d'abrutis... bon ça, elle le disait pas, elle savait que c'était la colère qui parlait et dans cette situation mieux valait ne pas qu'on la prenne pour une connasse... quoi que pas sûre qu'elle en ait quelque chose à foutre.
- Gwyneth BarclayKingdom Come
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Autres comptes : Leaven S. Campbell & Adélaïde Sullivan.
Âge du personnage : Vingt-deux ans. (17/01/2000)
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Family don't end with blood.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Traductrice dans une maison d'édition.
Études (passées ou en cours) : Langues.
Hobby : Changer de couleur et de longueur de cheveux. • Le surf. • Les jeux vidéos.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Peur irrationnelle d'ouvrir les yeux. Peur de se retrouver face à des corps, face à des blessés. Peur des douleurs qu'elle ressentait sans qu'elles ne soient réellement présentes. L'angoisse, la panique avait pris le dessus sur le réel. C'est à peine si les mots d'@Aeddan Barclay, son oncle, parvenaient à ses oreilles. Quand elle posait ses iris souillés de larmes sur son visage, c'est d'abord son père qu'elle voyait. Ses blessures, ses coupures, son inconscience contre le volant. « 爸爸? 爸爸! » Dans l'angoisse, elle mélangeait tout. Les visages, les langues connues, elle ne maîtrisait plus rien. Ca faisait mal, putain ce qu'elle avait mal! Les larmes semblaient lui brûler les joues, le contact visuel se coupait quand une autre personne (@Johnny McBrennan) s'approchait d'eux et qu'Aeddan lui adressait la parole. Elle percevait difficilement ses mots, elle reconnaissait vaguement sa voix, comme s'il était au loin. « ¿donde esta mamá? » ... « ¿donde esta mamá? » Ses parents. Dans la panique, c'est tout ce qui lui importait. Elle se répétait, elle s'embrouillait et cherchait à se rassurer à la fois.
Quand Aeddan reportait son attention sur elle, une bouffée d'air salvatrice semblait lui parvenir. Les blessures sur son visage avaient disparus, il était bien vivant, entier, même pas blessé. Elle reconnaissait son oncle et commençait quelque peu à se calmer. « On est où? Où est-ce qu'on est?* » Retour à la réalité, pas tout à fait retrouvée. Les larmes ne coulaient plus mais sa respiration restait agitée et l'accent français qui claquait l'air laissait comprendre qu'elle n'était pas loin de replonger dedans. C'était grâce à @Evangeline C. Carstairs qu'elle revenait à la normale. A vrai dire, elle n'avait pas écouté ses conseils, pas tous en tout cas. Elle respirait plus calmement mais c'était surtout son visage et sa voix qui lui permettaient de revenir complètement sur terre. Elle n'était pas dans la voiture de ses parents, elle n'était pas accidentée ni blessée, elle n'était pas coincée dans un véhicule avec les cadavres de papa et maman... parce qu'elle avait connue Eve après tout ça, elle réalisait que ses chimères appartenaient au passé et qu'elle était aujourd'hui en sécurité. « C'était Le Nénuphar de Monet.* »
Le calme était revenu, il lui fallait quelques minutes pour essuyer ses yeux, faire redescendre la pression, détendre ses muscles, reprendre complètement ses esprits et reconstruire le puzzle du réel. « Merci. » Qu'elle disait à @Evangeline C. Carstairs, même en froid, elle lui devait au moins ça. Instinctivement, elle reportait son attention sur son seul parent, @Aeddan Barclay. Il prenait le temps de lui expliquer ce que sa crise lui avait fait louper. Ils étaient sur une île, pour deux jours et on viendrait ensuite les chercher. Super... « On peut sortir? J'ai besoin de prendre un peu l'air. » Elle demandait sans vraiment attendre d'autorisation. Elle se levait de son siège et quittait l'appareil. Dehors, il commençait à pleuvoir. Ca faisait du bien, ça rafraîchissait. « Espero que no tengamos que comer bayas. » disait-elle au brun (@Ezekiel Eastwood) le pensant capable de seulement s'exprimer en Espagnol en s'approchant du groupe avant de découvrir que non. Oups. Ça lui permettait d'avoir un peu honte et de se tourner davantage vers le reste du groupe.
C'était seulement maintenant, calme et le regard clair, qu'elle le repérait et qu'elle avait conscience de sa présence ici: @Johnny McBrennan. D'abord un sourire timide et discret à son égard... et puis merde! Quelques mètres suffisaient à son élan pour sauter dans ses bras, les siens entourant son cou, ses jambes serrées à sa taille. Elle était juste contente de le voir et de savoir qu'il allait bien, exactement comme elle le ferait avec n'importe quel ami. L'étreinte durait quelques secondes avant que ses pieds ne touchent de nouveau le sable. « Je suis contente de te voir. » Non, vraiment, il avait pas remarqué... un dernier sourire avant qu'elle ne se tourne vers le groupe, curieuse de savoir ce qu'ils allaient faire.
Quand Aeddan reportait son attention sur elle, une bouffée d'air salvatrice semblait lui parvenir. Les blessures sur son visage avaient disparus, il était bien vivant, entier, même pas blessé. Elle reconnaissait son oncle et commençait quelque peu à se calmer. « On est où? Où est-ce qu'on est?* » Retour à la réalité, pas tout à fait retrouvée. Les larmes ne coulaient plus mais sa respiration restait agitée et l'accent français qui claquait l'air laissait comprendre qu'elle n'était pas loin de replonger dedans. C'était grâce à @Evangeline C. Carstairs qu'elle revenait à la normale. A vrai dire, elle n'avait pas écouté ses conseils, pas tous en tout cas. Elle respirait plus calmement mais c'était surtout son visage et sa voix qui lui permettaient de revenir complètement sur terre. Elle n'était pas dans la voiture de ses parents, elle n'était pas accidentée ni blessée, elle n'était pas coincée dans un véhicule avec les cadavres de papa et maman... parce qu'elle avait connue Eve après tout ça, elle réalisait que ses chimères appartenaient au passé et qu'elle était aujourd'hui en sécurité. « C'était Le Nénuphar de Monet.* »
Le calme était revenu, il lui fallait quelques minutes pour essuyer ses yeux, faire redescendre la pression, détendre ses muscles, reprendre complètement ses esprits et reconstruire le puzzle du réel. « Merci. » Qu'elle disait à @Evangeline C. Carstairs, même en froid, elle lui devait au moins ça. Instinctivement, elle reportait son attention sur son seul parent, @Aeddan Barclay. Il prenait le temps de lui expliquer ce que sa crise lui avait fait louper. Ils étaient sur une île, pour deux jours et on viendrait ensuite les chercher. Super... « On peut sortir? J'ai besoin de prendre un peu l'air. » Elle demandait sans vraiment attendre d'autorisation. Elle se levait de son siège et quittait l'appareil. Dehors, il commençait à pleuvoir. Ca faisait du bien, ça rafraîchissait. « Espero que no tengamos que comer bayas. » disait-elle au brun (@Ezekiel Eastwood) le pensant capable de seulement s'exprimer en Espagnol en s'approchant du groupe avant de découvrir que non. Oups. Ça lui permettait d'avoir un peu honte et de se tourner davantage vers le reste du groupe.
C'était seulement maintenant, calme et le regard clair, qu'elle le repérait et qu'elle avait conscience de sa présence ici: @Johnny McBrennan. D'abord un sourire timide et discret à son égard... et puis merde! Quelques mètres suffisaient à son élan pour sauter dans ses bras, les siens entourant son cou, ses jambes serrées à sa taille. Elle était juste contente de le voir et de savoir qu'il allait bien, exactement comme elle le ferait avec n'importe quel ami. L'étreinte durait quelques secondes avant que ses pieds ne touchent de nouveau le sable. « Je suis contente de te voir. » Non, vraiment, il avait pas remarqué... un dernier sourire avant qu'elle ne se tourne vers le groupe, curieuse de savoir ce qu'ils allaient faire.
- Spoiler:
- Pardon pour la longuuuuueur! Je vous fais un résumé rapide pour me faire pardonner.
- Dans sa crise de panique, Gwyneth ne reconnait pas tout le monde et parle plusieurs langues.
- Elle retrouve son calme auprès d'Aeddan et Evangeline.
- Quand ils sortent enfin de l'avion, elle se rend compte de la présence de Johnny et va naturellement le voir après avoir parlé avec Ezekiel.
S'il y a des erreurs de traduction,je vous pries de vous plaindre à googleje m'en excuse. Gwyneth sait parler six langues mais pas moi.
« 爸爸? 爸爸! » = Papa? Papa!
« ¿donde esta mamá? » = Où est maman?
* = Paroles prononcées en français.
« Espero que no tengamos que comer bayas. » = J'espère qu'on aura pas à manger des baies.
- Ewen LucianiI'm a Mother Fucker
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Crédits : Lempika (ava) & Lempika (signa)
Âge du personnage : 34 ans qu'il erre sur terre, les mains salies par son passé.
Nationalité(s) : Américaine. Il a dû abandonner sa nationalité française.
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Manipulateur, déchiré, froid, violence, mensonge.
Quartier de résidence : Sous un pont quelque part
Carrière, métier ou job : Lieutenant corrompu à la LAPD.
Études (passées ou en cours) : Ecole de police, sorti major de sa promo.
Hobby : Chasse, boxe, tir à l'arc.
Orientation sexuelle : Curieux(se)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Quelle idée que de vouloir voyager. Visiblement, le destin semble ne pas vouloir le laisser en paix. Le flic n’a pas droit à une pause au moins une fois dans sa vie ? Doit-il encore et toujours rester sur ses gardes, subir les affres de la vie sans rien dire ? Oui. Comme tous ceux qui sont dans la situation actuelle. Nul besoin de dire que cette situation n’est pas agréable. La panique gagne certains alors que d’autres se prennent déjà la tête. Bref, aucun des passagers ne réagit de la même manière. Ewen quant à lui reste calme, ses émotions soigneusement cachées car il n’en voit pas l’utilité. Lui aussi a peur, lui aussi voudrait retrouver son confort. Mais à quoi bon le crier sur tous les toits ?
A présent c’est le pragmatisme qui l’emporte. Il faut gagner la forêt au risque de finir noyées. La marée haute commence déjà à monter tandis que la tempête gagne aussi du terrain. Les vagues s’intensifient chaque minute. Un temps précieux qu’il ne faut pas perdre aux palabres futiles. Il n’a que faire des réactions désobligeantes à sa remarque. Chacun fait ce qu’il veut. Finalement, un homme acquiesce à ses propos. @Ezekiel Eastwood . Le policier lui jette un regard avant de balayer la foule rapidement. Il serre son sac contre son torse avant de commencer à partir vers la forêt. Une inconnue @Adélaïde Sullivan l’interpelle alors, l’obligeant à s’arrêter pour la toiser. « La pluie n’est pas le seul problème. Avec la tempête la mer va monter de plusieurs mètres. L’avion sera englouti et vous serez tous faits comme des rats. » Puis il élève un peu le ton afin de s’adresser à toute l’audience. Son visage est sérieux, grave, en adéquation avec l’urgence. « Le temps presse, on doit bouger, maintenant. L’important c’est de rester groupés ! » Advienne que pourra. Entendrons ceux qui le veulent ou le peuvent. Ewen reste un homme bon qui ne veut laisser personne derrière, même ceux qui ne croient pas en ses paroles.
A présent c’est le pragmatisme qui l’emporte. Il faut gagner la forêt au risque de finir noyées. La marée haute commence déjà à monter tandis que la tempête gagne aussi du terrain. Les vagues s’intensifient chaque minute. Un temps précieux qu’il ne faut pas perdre aux palabres futiles. Il n’a que faire des réactions désobligeantes à sa remarque. Chacun fait ce qu’il veut. Finalement, un homme acquiesce à ses propos. @Ezekiel Eastwood . Le policier lui jette un regard avant de balayer la foule rapidement. Il serre son sac contre son torse avant de commencer à partir vers la forêt. Une inconnue @Adélaïde Sullivan l’interpelle alors, l’obligeant à s’arrêter pour la toiser. « La pluie n’est pas le seul problème. Avec la tempête la mer va monter de plusieurs mètres. L’avion sera englouti et vous serez tous faits comme des rats. » Puis il élève un peu le ton afin de s’adresser à toute l’audience. Son visage est sérieux, grave, en adéquation avec l’urgence. « Le temps presse, on doit bouger, maintenant. L’important c’est de rester groupés ! » Advienne que pourra. Entendrons ceux qui le veulent ou le peuvent. Ewen reste un homme bon qui ne veut laisser personne derrière, même ceux qui ne croient pas en ses paroles.
- Alice CollinsMEMBER OF THE MONTH
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Autres comptes : Aaron Campbell (ft. Henry Cavill) & Andreas Klein (ft. Marcus Hedbrandh).
Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
Entre ce sandwich peu ragoutant que formaient Eden, Ezekiel et Alice, et cette chute d’avion qui faisait grimper le cœur de cette dernière, il était difficile de mesurer le plus dramatique. Alice était pourtant une amatrice de sensations fortes, qui plus est une personne fondamentalement optimiste, mais la réaction des autres passagers et la vue de la terre à travers le hublot qui se rapprochait dangereusement vite ne manqua pas de l’inquiéter. A côté d’elle, son meilleur ami se fit agripper par un koala répondant au doux prénom d’Eden. Une vision qui lui donna un nouveau haut-le-cœur, mais en regardant de nouveau face à elle et en déglutissant, elle se rappela qu’elle avait accepté de l’accompagner, lui, pour le pire et le meilleur. Par chance, si l’on pouvait qualifier cela de chance, l’avion atterrissait bien assez vite et violemment. De quoi faire oublier à Alice tout remord, tout sens de la culpabilité.
Une fois échappée de l’habitacle à l’instar des autres passagers, la brunette commençait déjà à pester contre l’air ambiant. Elle n’avait pas signé pour ça ; à vrai dire, elle n’avait rien signé du tout, et elle se retrouvait dans un scénario cauchemar. De quoi prendre une grande inspiration puis souffler, en espérant que cela améliore quelque chose. Tout en traînant sa valise de cabine tant bien que mal dans le sable, la danseuse jetait un coup d’oeil bref à Eden derrière elle, qui se plaignait des bestioles qui l’attendaient dans la forêt. « Oh allez, tu dois bien avoir un carnet à sortir et des études à faire sur toutes ces bestioles. Parait qu’elles sont fortement intéressantes. » Qu’elle lâchait à son adresse avec un brin de sarcasme en se remémorant les paroles d’Eden, une nuit où elle était allée lui rendre visite, dans sa chambre Gamma. Nul doute que Snow s’en rappellerait aussi, car leurs souvenirs partagés n’étaient pas si nombreux.
A quelques mètres d’elles à peine, se trouvaient Ezekiel, Adélaïde dont la vision engendra un sourire en coin sur les lèvres d’Alice, Lysander qui semblait dans un état aussi frais et pimpant qu’elle, ainsi que d’autres gens qu’elle ne connaissait ni d’Adam ni d’Eve. Bon sang, et il faudrait donc tenir deux jours avec tout ça. Sans autres ressources que tout ça. Sans autres fringues, sans produits de beauté, sans la WIFI. Bordel de merde, soupirait-elle en levant les yeux vers le ciel noir. C’est qu’en plus, il se mettait à pleuvoir. Se rapprochant d’ailleurs tout naturellement d’Adélaïde, elle lui balançait sur un ton à moitié désespéré : « Sullivan, ça me réconforte de te savoir parmi nous. Tu vois, j’me dis que si tu survis à ces 48 heures, alors j’y survirai forcément aussi. » Alice lui adressait un bref sourire, de connasse à connasse. « D’ailleurs, me dis pas que t’es venue sans le moindre sac en cabine ? Ça m’embêterait de devoir prêter ma trousse de maquillage à quelqu’un d’autre. » Elle haussait l'épaule, assez pince sans rire sur ce coup-là. Mais elle n'arrivait pas à se réjouir de son sort. C'était plus fort qu'elle ; elle ne pouvait s'en vouloir qu'à elle-même pour ce merdier dans lequel elle se trouvait.
Une fois échappée de l’habitacle à l’instar des autres passagers, la brunette commençait déjà à pester contre l’air ambiant. Elle n’avait pas signé pour ça ; à vrai dire, elle n’avait rien signé du tout, et elle se retrouvait dans un scénario cauchemar. De quoi prendre une grande inspiration puis souffler, en espérant que cela améliore quelque chose. Tout en traînant sa valise de cabine tant bien que mal dans le sable, la danseuse jetait un coup d’oeil bref à Eden derrière elle, qui se plaignait des bestioles qui l’attendaient dans la forêt. « Oh allez, tu dois bien avoir un carnet à sortir et des études à faire sur toutes ces bestioles. Parait qu’elles sont fortement intéressantes. » Qu’elle lâchait à son adresse avec un brin de sarcasme en se remémorant les paroles d’Eden, une nuit où elle était allée lui rendre visite, dans sa chambre Gamma. Nul doute que Snow s’en rappellerait aussi, car leurs souvenirs partagés n’étaient pas si nombreux.
A quelques mètres d’elles à peine, se trouvaient Ezekiel, Adélaïde dont la vision engendra un sourire en coin sur les lèvres d’Alice, Lysander qui semblait dans un état aussi frais et pimpant qu’elle, ainsi que d’autres gens qu’elle ne connaissait ni d’Adam ni d’Eve. Bon sang, et il faudrait donc tenir deux jours avec tout ça. Sans autres ressources que tout ça. Sans autres fringues, sans produits de beauté, sans la WIFI. Bordel de merde, soupirait-elle en levant les yeux vers le ciel noir. C’est qu’en plus, il se mettait à pleuvoir. Se rapprochant d’ailleurs tout naturellement d’Adélaïde, elle lui balançait sur un ton à moitié désespéré : « Sullivan, ça me réconforte de te savoir parmi nous. Tu vois, j’me dis que si tu survis à ces 48 heures, alors j’y survirai forcément aussi. » Alice lui adressait un bref sourire, de connasse à connasse. « D’ailleurs, me dis pas que t’es venue sans le moindre sac en cabine ? Ça m’embêterait de devoir prêter ma trousse de maquillage à quelqu’un d’autre. » Elle haussait l'épaule, assez pince sans rire sur ce coup-là. Mais elle n'arrivait pas à se réjouir de son sort. C'était plus fort qu'elle ; elle ne pouvait s'en vouloir qu'à elle-même pour ce merdier dans lequel elle se trouvait.
@Eden H. Snow @Ezekiel Eastwood @Lysander E. Foster @Adélaïde Sullivan
- Eden H. SnowReserve Unit
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Autres comptes : Kai Norton & James L. Blackwell
Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Américaine, origines Françaises
Signe astrologique : Vierge
Mon personnage, en 5 mots : douce, manipulable, ambitieuse, peureuse, rêveuse
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : Etudiante
Études (passées ou en cours) : Zoologie
Hobby : shopping
Orientation sexuelle : Homosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
Aller dans la forêt, et puis quoi encore ? Non mais on va venir nous chercher, il faut y croire ! Le regard vers le ciel, je soupçonne cette pluie d’être la future responsable d’un brushing raté. Le mien en l’occurrence. Je n’aime pas ça, je n’aime pas ça du tout. Le groupe commence à se rapprocher, certains semblant déjà se connaître dont les deux loustics formant notre trio d’enfer … De l’enfer, sans nul doute. Un regard vers @Alice Norton et sa remarque … Une langue qui passe sur ma lèvre supérieure, je préfère rester calme et jeter un dernier regard sur l’écran de mon smartphone, comme si le réseau pouvait avoir réapparu depuis deux minutes. Toujours rien. J’avais promis à @Talya S. Adams de lui envoyer un message dès mon arrivée sur la terre espagnole, c’est mal parti. Je crois même qu’elle me manque déjà. Et merde. Il va falloir se serrer les coudes pendant 48 heures avec tout ce bon monde pour espérer survivre sans trop d’encombres et la retrouver à mon retour, si retour un jour il va y avoir. Mes dents grincent en voyant la paire d’escarpins être mises à mal un peu plus loin et je sais que le début des aventures est déjà bancal. Un long soupir d’exaspération. C’est le moment de faire des efforts.
Rejoignant @Ezekiel Eastwood d’un pas discret je m’accroche à son bras. « Je ne vais dans cette forêt qu’à une seule condition, je reste avec toi » Pas de négociation possible. J’dore les animaux, les étudier, c’est d’ailleurs pour ça que je fais des études de zoologie. Mais faut pas déconner, il y a des trucs qui piquent là-dedans, des trucs pas copains copains avec les humains et il est hors de question que je sois une Indiana Jones, ce n’est pas mon genre quand je pars en vacances. Non de non. « Il faudrait en profiter pour récupérer des trousses de premier secours, de la crème solaire, des bombes, des armes, tout ce qu’il faut avant d’aller là-dedans » Et d’un doigt un peu apeuré je montre la masse feuillue qui nous attend … Et si je restais là à attendre toute seule comme une grande ? Un brin d’hésitation avant de laisser les autres choisir.
Rejoignant @Ezekiel Eastwood d’un pas discret je m’accroche à son bras. « Je ne vais dans cette forêt qu’à une seule condition, je reste avec toi » Pas de négociation possible. J’dore les animaux, les étudier, c’est d’ailleurs pour ça que je fais des études de zoologie. Mais faut pas déconner, il y a des trucs qui piquent là-dedans, des trucs pas copains copains avec les humains et il est hors de question que je sois une Indiana Jones, ce n’est pas mon genre quand je pars en vacances. Non de non. « Il faudrait en profiter pour récupérer des trousses de premier secours, de la crème solaire, des bombes, des armes, tout ce qu’il faut avant d’aller là-dedans » Et d’un doigt un peu apeuré je montre la masse feuillue qui nous attend … Et si je restais là à attendre toute seule comme une grande ? Un brin d’hésitation avant de laisser les autres choisir.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
red team
des hommes à la mer
les gouttes tombent de toute leur hauteur. sur les fronts, les joues, les mains, les bras à nus. hautaines, elles prennent le temps de se faire sentir un peu plus à chaque minute. ezekiel rabattit immédiatement sa capuche. surement seule belle idée qu'il avait eu depuis le début du voyage. les mines défaites ou inquiètes étaient martelées sans répis par la pluie. les yeux rivés vers le ciel, ce n'est que lorsque de l'espagnol heurta ses oreilles, qu'il baissa les yeux pour rencontrer ceux d'une jeune brune (gwyneth). « eso espero. » vint le tour des plaintes de sullivan qu'il repéra quasiment en même temps que son visage. il n'eut pas le temps de répondre à sa question avec autant de fougue dont elle faisait preuve, que les talons de la demoiselle se brisèrent sans préavis.
surpris de la présence de cette délicieuse connaissance, il n'entendit pas le sarcasme se pavaner dans la bouche duo qui l'accompagnait et il eut à peine le temps d'apercevoir foster qui s'écroula sur lui. un rire s'empara de sa gorge, premier vrai signe de joie qui embrassait son visage. « comme si le paradis c'était pour toi. españa. » un bras passé autour de lysander, il le garderait à l’œil, comptant remettre d'aplomb son meilleur ami. « you could walk straight through hell with a smile. » l'espagnol le savait capable de monts et merveilles lorsqu'il se décidait à utiliser les dix doigts de sa main. « just take a breath, relax. » ça valait pour tout le monde sur cette plage.
monstre ou forêt hanté, ezekiel était d'avis de s'enfoncer à l'abri des arbres pour échapper à l'humidité et au froid. adélaïde semblait avoir eu l'idée de génie, avant d'être redescendu bien vite de nouveau dans le sable de la plage. il avait raison, à moins de vouloir surement mourir noyé, la forêt était leur meilleur solution. eden réveilla quelques regards inquiets en évoquant la trousse de secours. tout le monde attendait apparemment un miracle pour que quelqu'un se dévoue pour retourner à l'avion. mais ezekiel passait son tour avec plaisir. sa main toucha celle de snow. tentative vaine de la rassurer. mais une des plus grandes addictions de l'espagnol revint le pourchasser. il abandonna quelques secondes eden à son sort, le temps d'attraper deux cigarettes dans son paquet. et oui, ne jamais perdre le nord, il allait profiter d'une humidité réduite pour en fumer une avant que la tempête se défoule sur eux. il tendit la deuxième à foster. il apprécia la fumée dans ses poumons, avant de se tourner vers les visages. presque joueur.
« won’t you follow me into the jungle ? » le ton se voulait celui d'un défi qu'on glisserait à voix haute en soirée. il s'efforçait d'attiser les foules, la curiosité, et les quelques égos qui ne permettraient pas une telle bravade. c'est limite, si il n'avait pas poussé lysander devant lui, hors de question de le perdre de vue, et il comptait tenir cette parole. mais disons qu'il l'avait fortement invité à passer devant lui, à la suite du brun. (ewen).
balançant son sac sur le dos, ezekiel suivit le mouvement, quelques mètres derrière, avant de s'arrêter brusquement. l'espagnol se retourna, les yeux braqués sur une seule et même personne. alice. un simple geste de tête, et un sourire confiant, pour l'inviter à la rejoindre. elle aussi, il comptait la garder près de lui. ça serait mentir que de dire qu'ezekiel n'avait pas envie de la protéger pendant les deux jours à venir.
il ne sut si le silence avait emplit la plage ou si seulement son cerveau avait réussi à convaincre ses neurones de faire taire l'arrière plan, mais il entendit son cœur battre la chamade alors qu'elle approchait. sa main attrapa la sienne, sans plus d'hésitations. elle savait. l'espagnol n'avait plus à se cacher, alors qu'un mot suffisait de la bouche de la belle pour le faire arrêter. dans un mouvement naturel, il se mit en marche. poussant les plantes de la main droite, il heurtait parfois son épaule de la sienne, en essayant d'éviter les branches de lui atterrir sur le visage. profitant de cette proximité maladroite, ses lèvres atterrir non loin de sa tempe. « promise you I'll never leave your side. » souriant une fraction de seconde, il ne lui laissa pas le temps de réagir, surement par peur. alors il se retourna, vérifiant que la foule suivait. du moins, il l’espérait. avec cet optimisme naissant, ne put d'essayer de réactiver les sourires sur les visages. « put on your war paint. »
AVENGEDINCHAINS
@eden h. snow @alice norton @ewen luciani @adélaïde sullivan @lysander e. foster
les gouttes tombent de toute leur hauteur. sur les fronts, les joues, les mains, les bras à nus. hautaines, elles prennent le temps de se faire sentir un peu plus à chaque minute. ezekiel rabattit immédiatement sa capuche. surement seule belle idée qu'il avait eu depuis le début du voyage. les mines défaites ou inquiètes étaient martelées sans répis par la pluie. les yeux rivés vers le ciel, ce n'est que lorsque de l'espagnol heurta ses oreilles, qu'il baissa les yeux pour rencontrer ceux d'une jeune brune (gwyneth). « eso espero. » vint le tour des plaintes de sullivan qu'il repéra quasiment en même temps que son visage. il n'eut pas le temps de répondre à sa question avec autant de fougue dont elle faisait preuve, que les talons de la demoiselle se brisèrent sans préavis.
surpris de la présence de cette délicieuse connaissance, il n'entendit pas le sarcasme se pavaner dans la bouche duo qui l'accompagnait et il eut à peine le temps d'apercevoir foster qui s'écroula sur lui. un rire s'empara de sa gorge, premier vrai signe de joie qui embrassait son visage. « comme si le paradis c'était pour toi. españa. » un bras passé autour de lysander, il le garderait à l’œil, comptant remettre d'aplomb son meilleur ami. « you could walk straight through hell with a smile. » l'espagnol le savait capable de monts et merveilles lorsqu'il se décidait à utiliser les dix doigts de sa main. « just take a breath, relax. » ça valait pour tout le monde sur cette plage.
monstre ou forêt hanté, ezekiel était d'avis de s'enfoncer à l'abri des arbres pour échapper à l'humidité et au froid. adélaïde semblait avoir eu l'idée de génie, avant d'être redescendu bien vite de nouveau dans le sable de la plage. il avait raison, à moins de vouloir surement mourir noyé, la forêt était leur meilleur solution. eden réveilla quelques regards inquiets en évoquant la trousse de secours. tout le monde attendait apparemment un miracle pour que quelqu'un se dévoue pour retourner à l'avion. mais ezekiel passait son tour avec plaisir. sa main toucha celle de snow. tentative vaine de la rassurer. mais une des plus grandes addictions de l'espagnol revint le pourchasser. il abandonna quelques secondes eden à son sort, le temps d'attraper deux cigarettes dans son paquet. et oui, ne jamais perdre le nord, il allait profiter d'une humidité réduite pour en fumer une avant que la tempête se défoule sur eux. il tendit la deuxième à foster. il apprécia la fumée dans ses poumons, avant de se tourner vers les visages. presque joueur.
« won’t you follow me into the jungle ? » le ton se voulait celui d'un défi qu'on glisserait à voix haute en soirée. il s'efforçait d'attiser les foules, la curiosité, et les quelques égos qui ne permettraient pas une telle bravade. c'est limite, si il n'avait pas poussé lysander devant lui, hors de question de le perdre de vue, et il comptait tenir cette parole. mais disons qu'il l'avait fortement invité à passer devant lui, à la suite du brun. (ewen).
balançant son sac sur le dos, ezekiel suivit le mouvement, quelques mètres derrière, avant de s'arrêter brusquement. l'espagnol se retourna, les yeux braqués sur une seule et même personne. alice. un simple geste de tête, et un sourire confiant, pour l'inviter à la rejoindre. elle aussi, il comptait la garder près de lui. ça serait mentir que de dire qu'ezekiel n'avait pas envie de la protéger pendant les deux jours à venir.
il ne sut si le silence avait emplit la plage ou si seulement son cerveau avait réussi à convaincre ses neurones de faire taire l'arrière plan, mais il entendit son cœur battre la chamade alors qu'elle approchait. sa main attrapa la sienne, sans plus d'hésitations. elle savait. l'espagnol n'avait plus à se cacher, alors qu'un mot suffisait de la bouche de la belle pour le faire arrêter. dans un mouvement naturel, il se mit en marche. poussant les plantes de la main droite, il heurtait parfois son épaule de la sienne, en essayant d'éviter les branches de lui atterrir sur le visage. profitant de cette proximité maladroite, ses lèvres atterrir non loin de sa tempe. « promise you I'll never leave your side. » souriant une fraction de seconde, il ne lui laissa pas le temps de réagir, surement par peur. alors il se retourna, vérifiant que la foule suivait. du moins, il l’espérait. avec cet optimisme naissant, ne put d'essayer de réactiver les sourires sur les visages. « put on your war paint. »
- Spoiler:
@eden h. snow @alice norton @ewen luciani @adélaïde sullivan @lysander e. foster
- Cash Eelis HayesI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 32 ans
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Mon personnage, en 5 mots : voleur - manipulateur - calculateur - patient - sincère
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : braqueur / barman
Hobby : le jardinnage, la lecture, le VTT
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
Voilà quinze minutes que l'on été coincé sur cette île et le ton commençait déjà à monter. Je pousse un soupir et regarde tout autour de moi. Quand quelle merde je m'étais embarqué...? J'avais décidé au dernier moment de prendre ce vol pour l'Europe, je n'avais prévenu personne. A la même heure le lendemain j'aurais du arriver à Oslo et de la me rendre en Finlande, ou j'avais retrouvé mon père. Même lui n'étais pas au courant de ma venue, j'espèrais sans doute lui faire une surprise ou je ne sais quelle connerie... Toujours est-il que mon plan était complètement tomber à l'eau et c'était plutôt le cas de le dire.
Je pousse un profond soupir en observant la scène, légèrement en retrait. Tout le monde commençait à s'agiter en réalisant qu'une tempête arrivait et qu'il était plus prudent d'aller se cacher dans la forêt.. Moi je gardais mes distances, réfléchissant le plus vite possible. Ils n'avaient pas tord, nous n'étions pas en sécurité ici, mais @Eden H. Snow soulève un détail important. J'étais resté en retrait jusqu'à présent, mais li était temps d'agir. L'idée de récupérer des trousses de premier secours et des armes était loin d'être bête, on passera pour les bombes et la crème solaire. - Effectivement, ça risque de nous être utile. Puis c'était un vol longue distance, il doit y avoir de la bouffe dans cet avion Effectivement, on devait nous servir un repas sur le vol, malgré les secousses de atterrissage d'urgence, tout ne devait pas être foutu. - Je vais y aller, est-ce que quelqu'un m'accompagne? @Johnny McBrennan . Je lance un regard à l'assemblé, s'il y avait un moment pour faire preuve d'entraide, c'était bien celui là. Après le choc, la fatigue était au rendez-vous, le plus important était de trouver de quoi se nourrir et se reposer, pour le reste je ne pense pas qu'on risque grand chose, je ne connais pas de prédateurs assez féroces pour dévorer un groupe de naufragés. Je ne m'inquiétais pas particulièrement, nous allions sortir de là sain et sauf, mais pour garder le moral mieux valait ne pas rester trop longtemps l'estomac vide.
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Tu regardes une femme (@Evangeline C. Carstairs ), plutôt jolie, rassurer Joe. Ca te rassure aussi. Plus besoin de l’aider, une personne le fait et une partie de toi aime l’idée que même si tu ne peux pas, elle ne soit pas seule. Tu aurais presqu ris à la boutade d’un des types présent. On gérait ce type de problème différemment. Railleur (@Lysander E. Foster), le type dit qu’on va sûrement crever. Au moins c’est bien, les gens sont positifs hein. Ton problème à toi, c’est que tu t’en foutais bien de ton sort, celui de joe ou des autres, en revanche, c’était pas la même. Une jeune femme (@Adélaïde Sullivan ) - vous étiez entourés de canons ou quoi ? - venait pour vous rejoindre et râler. Tu laisses ton sourire se faire voir. Au moins elle met de l’ambiance. Madame voulait rester dans l'appareil et tu n’étais pas sur que ce soir l’idée du siècle. Ca semblait en apparence un abri sûr mais pas certain. Tu regardes, de loin, si tout va bien. c’est plus fort que toi. Puis, sans crier gare elle court vers toi. Tu ne t’y attendais pas, pas plus qu’elle se jette sur toi. Tu manques presque de partir à la renverse. Tu as à peine le temps de poser ta main sur son dos qu’elle s’éloigne. Elle sourit. Elle dit qu’elle est contente de te voir, ton visage s’illumine. - J’ai cru voir ça. Ca va mieux ? Vraiment mieux ? Je comprends mieux ce que tu m’as dis ce jour là. Le jour où t’as besoin, même la nuit. - Tu écoutes d’une autre oreille, discrète, ce que disent les autres et tu es plutôt d’accord. Tu tournes la tête quand tu entends un type (@Cash Eelis Hayes ) - qui a pigé le truc - propose de récupérer des choses dans l’avion. Tu n’es pas ce genre de leader, toi, tu as les idées, mais tu restes à ta place. c’est peut être stupide, mais tu n’as pas osé dire. Mais en voyant qu’il y a pensé, au moment où il demande tu te montres. - Jte suis ! Moi c'est Johnny. - Tu te mets à ses coté. Puis te tournes les autres - D’autres volontaires ? - Tu restais à regarder Joe, à présent que tu t’étais éloigné. Sa spontanéité te fit penser à une autre femme qui fait ce genre de choses aussi et tu souris pour toi même. Lee aurait surement fait le lien avec les autres, même avec sa tête de con, elle savait quoi faire pour survivre et tu l’admirais pour ça. Elle avait une aura, un truc dont elle se rendait même pas compte. Toi oui et c’est ce qui t’avait attiré, cette force de la nature.
- RESUME:
-Johnny se fait sauter dessus par @Gwyneth Barclay
- il rejoint @Cash Eelis Hayes pour aider à récupére des trucs
- Se tourne vers les autres pour savoir qui veut aider
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 27 ans
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Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
J'avais décidé de partir quelques jours en Europe pour profiter du beau temps et aller draguer des européennes en festival. Mais le karma en avait décidé autrement. Pendant les longs vols comme celui-ci j'essayais de dormir durant le plus de temps possible pour ne pas trop sentir le décalage horaire et comme j'ai le sommeil très lourd (mais vraiment très lourd) je n'avais pas fait attention a tout ce bordel. Masque sur les yeux pour éviter d'être dérangé par la lumière, bouchon dans les oreilles et long plaide bien chaud, j'avais dormi comme un bébé. Et le choque de l'atterrissage d'urgence m'avait réveillé presque en douceur tellement il était bien intégré dans mon rêve. Je m'étais étiré et j'avais soulevé mon masque pour tomber sur une scène de panique. Au vu du bordel qui régnait dans l'avion j'avais préféré garder mes bouchons d'oreilles, il fallait mieux rester dans le calme pour ne pas céder à la panique. Je m'étais levé doucement et j'avais attrapé mon bagage cabine avant de suivre le mouvement et sortir de l'avion. Le temps n'était pas avec nous et l'île semblait pas super accueillante. Je retirais mes bouchons d'oreilles et je regardais tout autour de moi avec un air dépité. Putain ... Soupirais-je. C'était une blague non ? On était vraiment bloqué sur une île toute merdique ? On n'aurait pas pu faire un atterrissage d'urgence dans un endroit stylé avec un hôtel 5 étoiles plutôt ?!
- vague résumé pour les flemmards:
- Felix a rien capté à l'atterrissage d'urgence #boulet
- Il commence a paniquer uniquement une fois sue la plage
- Il suit tout le monde bêtement parce qu'il est solo
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