YESTERDAY'S NEWS |48
- Kai NortonReserve Unit
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Dollars : 3751
Messages : 1975
Date d'inscription : 09/10/2017
Avatar : Adam Senn
Crédits : romanticlove
Autres comptes : Eden H. Snow & James L. Blackwell
Âge du personnage : 27 (08.01)
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
Il fallait bien avouer une chose, être père, ce n’était pas rigolo tous les jours. Et Kai se trouvait dans la tourmente de cet aveu actuellement. Wade à bout de bras, il le soulève en hauteur alors qu’il se met à crier le plus fort possible. A croire qu’il veut faire une compétition avec un autre bébé … Inconnu. « Allez Wade, un effort s’il te plaît » Qu’il dit à son fils en sachant qu’il n’aura pas de réponse et encore moins de réaction. Il avait déjà essayé les téléphones portables d’Arya et de Felix, aucuns des deux ne répondaient. Il savait qu’Helena était en cours, il se souvint alors que le restaurant de son père était fermé aujourd’hui. Il allait peut-être pouvoir trouver un sauveur. Posant son fils sur le silo au milieu de sa cuisine, le bambin s’allonge sans pour autant arrêter de pleurer. Mais bon sang, il a mangé il y a à peine dix minutes, qu’est-ce qu’il a ce bébé ? Une seconde de plus pour s’emparer de son smartphone et lancer l’appel téléphonique à un de ses meilleurs amis, Matz. Qui sembla répondre rapidement. Se bouchant l’oreille libre comme il le peut, seulement quelques mots s’échappent de manière audible avec les pleurs qui l’accompagnent. « …. J’suis carrément paniqué, j’transpire du genou, j’ai jamais transpiré du genou ! … Viens me sauver Matz s’te plait ! Ce gamin me rend fou ! Pour te dire, j’ai autant d’énergie qu’une table de jardin en hiver ces derniers jours à cause de lui ! » Et sur ces derniers mots le téléphone s’éteint par faute de batterie, ce n’est vraiment pas le bon jour.
Dans l’attente que son ami arrive, Kai tente de trouver une solution. Il soulève Wade dans les airs, rien. Il le prend contre lui, rien. Aucune technique ne semble fonctionner pour arrêter le flux de cris stridents qui résonnent dans la villa. Mon dieu. Epuisé, il repose son fils sur le comptoir en hauteur de la cuisine, et le regarde, pour se livrer à cet enfant qui ne sait pas encore parler « Tu sais, je ne voulais pas être une merguez et finalement j‘en suis une. » Les bras accoudés, le visage au-dessus du bambin, il ne peut s’empêcher d’embrasser le ventre de cette petite chose et de le regarder avec attendrissement. Il sourit en coin alors que Wade semble vouloir enfin arrêter de pleurer. Il aimerait se confier et lui dire qu’il l’aime, que ce serait bien d’arrêter de pleurer pour papa, mais un enfant aussi jeune ne pourrait jamais comprendre une telle chose. Se rapprochant à peine des deux mois, tout ce qu’il semble vouloir c’est manger, dormir, chier … Chier, mais oui ! Kai eu ce moment de lucidité alors qu’on frappe à la porte. « Tu ne bouges pas ! » D’un doigt menaçant vers son fils, il ajoute. « Motus et bouche cousue, on est une tombe de prison. » Pour garder le silence, mais à peine le basketteur eu le temps d’ouvrir la porte d’entrée que les pleures se mirent à résonner de plus belle. « Salut … Et merci de venir m’aider. » Il en avait vraiment vraiment, vraiment besoin ! Retournant au plus vite auprès de la sirène de pompiers, car oui, il fait autant de bruit. L’idée du siècle lui parvient et il détache les deux côtés de la couche du bambin avant de tomber nez à nez avec une jolie petite puanteur. « Et bien… » Au moins il a un bon transit cet enfant. « On peut dire que ce blanc-là … Et puis ce marron … On dirait un marron Picasso. » Un regard vers Matz. « Qu’est-ce que t’en dis ? » Dans l’espoir qu’il se propose pour changer la couche.
Dans l’attente que son ami arrive, Kai tente de trouver une solution. Il soulève Wade dans les airs, rien. Il le prend contre lui, rien. Aucune technique ne semble fonctionner pour arrêter le flux de cris stridents qui résonnent dans la villa. Mon dieu. Epuisé, il repose son fils sur le comptoir en hauteur de la cuisine, et le regarde, pour se livrer à cet enfant qui ne sait pas encore parler « Tu sais, je ne voulais pas être une merguez et finalement j‘en suis une. » Les bras accoudés, le visage au-dessus du bambin, il ne peut s’empêcher d’embrasser le ventre de cette petite chose et de le regarder avec attendrissement. Il sourit en coin alors que Wade semble vouloir enfin arrêter de pleurer. Il aimerait se confier et lui dire qu’il l’aime, que ce serait bien d’arrêter de pleurer pour papa, mais un enfant aussi jeune ne pourrait jamais comprendre une telle chose. Se rapprochant à peine des deux mois, tout ce qu’il semble vouloir c’est manger, dormir, chier … Chier, mais oui ! Kai eu ce moment de lucidité alors qu’on frappe à la porte. « Tu ne bouges pas ! » D’un doigt menaçant vers son fils, il ajoute. « Motus et bouche cousue, on est une tombe de prison. » Pour garder le silence, mais à peine le basketteur eu le temps d’ouvrir la porte d’entrée que les pleures se mirent à résonner de plus belle. « Salut … Et merci de venir m’aider. » Il en avait vraiment vraiment, vraiment besoin ! Retournant au plus vite auprès de la sirène de pompiers, car oui, il fait autant de bruit. L’idée du siècle lui parvient et il détache les deux côtés de la couche du bambin avant de tomber nez à nez avec une jolie petite puanteur. « Et bien… » Au moins il a un bon transit cet enfant. « On peut dire que ce blanc-là … Et puis ce marron … On dirait un marron Picasso. » Un regard vers Matz. « Qu’est-ce que t’en dis ? » Dans l’espoir qu’il se propose pour changer la couche.
- InvitéInvité
Mes cours étaient terminés pour la journée. Je pouvais enfin rentrer chez moi après une longue journée à étudier, à tout donner afin de ne pas foirer dans les partiels et j'en passe. Ce soir le restaurant était fermer. J'allais pouvoir rentrer chez moi, me poser et étudier après avoir manger quelque chose. N'ayant pas un moyen de locomotion je suis dans l'obligation de prendre les transports en commun afin de me rendre dans la banlieue de Los Angeles afin de rejoindre le petit studio que j'ai réussi à louer avec le salaire que je me fais au restaurant. Après une demie-heure à attendre que le trajet me mène jusqu'au quartier dans lequel je vis et en observant le paysage avec les écouteurs dans les oreilles. Je suis enfin arriver à bon port. Je descends donc du bus qui m'a mené jusqu'à là et me dirige vers l'immeuble dans lequel je vis. Ce n'est pas un très bon quartier je vous l'accorde, mais c'est le seul quartier que mon budget pouvait me permettre. Il était impossible pour moi de pouvoir vivre ailleurs et avec ce que j'ai vécu il y a plusieurs années ce logement me convenait parfaitement, je n'aurais pas pu rêver mieux qu'un bon lit qui m'attend. En arrivant je pose mes affaires, je pars prendre une douche rapide en mettant une pizza surgelé dans le four. Je m'installe sur mon lit, commence à manger ma pizza en ouvrant mes bouquins pour pouvoir étudier afin de ne pas foirer mon année. Il manquerait plus que ça. Je ne veux en aucun cas redoubler et retaper une année. C'est pour ça que je me donne à cent pour cent à chaque cours, que j'étudie comme un forcené malgré mon emploi qui est prenant et très fatiguant. Il faut que j'assure si je veux reprendre un jour l'affaire de mon père comme il me l'a promis quand je suis venu travailler avec lui il y a de ça six années. C'est pour cela que je tiens toutes mes promesses, que je lui montre qu'il a besoin parce que la peur de retourné en Espagne à ma vie d'avant me hante chaque jour en ayant peur de faire une bêtise qui gâcherait tout les efforts que j'ai fournis depuis six ans.
Alors que j'ai le nez plonger dans les bouquins tout en mangeant ma pizza, mon téléphone portable me signale que j'ai un appel. Je l'attrape et décroche en souriant en voyant que c'est Kai celui que je considère comme mon meilleur-ami, comme un frère alors que nous sommes réellement des frères sauf que celui-ci l'ignore et ça me bouffe de devoir lui cacher ça. Mais mon géniteur m'a bien fait comprendre que si je l'ouvrais je retournerais à ma vie d'avant et qu'il n'y aurait plus de possible retour en arrière. Alors je me tais alors que c'est vraiment compliqué de mentir à celui qui se montre aussi gentil avec moi. "Salut Kai comment tu vas ?" Je fronce les sourcils en entendant des pleures d'enfants derrière lui sans comprendre vraiment ce qui se passe vu que je ne suis pas avec lui pour voir l’ampleur des dégâts. Je l'écoute tant bien que mal et finis par venir à son secours. "Ne bouge pas j'arrive tout de suite. En entendant essaie de lui chanter une chanson ou de vérifier sa couche. Il a peut-être fait ses besoins." Sauf qu'il n'a sûrement pas entendu pour la couche puisque ça a coupé. Je me lève donc de mon lit, j'enfile des vêtements propres et quitte mon appartement. J'attends tant bien que mal les transports en commun et lorsqu'ils arrivent je monte dedans pour me rendre chez Kai. Heureusement le trajet se fait plus rapide qu'à l'allée puisqu'il y a moins de bouchons et il est aussi moins remplis. Je finis par arriver. Je marche quelques minutes jusqu'à me retrouver devant chez lui et je cogne à la porte. Kai fini par m'ouvrir la porte et l'enfant se remet de nouveau à pleurer. "Salut, c'est avec plaisir t'inquiète." Je referme la porte derrière moi et approche du petit garçon qui est mon neveu puisque il est le fils de mon demi-frère et je grimace à la puanteur. "Ouais c'est clair que c'est du grand art..." En voyant le jeune papa ne pas y arriver. Je me propose pour lui changer la couche. Je me place devant le petit garçon. "Salut toi..." J'adorais les enfants depuis toujours. Je lui enlève donc la couche sale, je commence à le nettoyer jusqu'à que le petit Wade s'amuse sans mâcher mes mots à me pisser dessus. "Waw... ton fils est un marrant." Je m'essuie rapidement alors que je le nettoie rapidement en oubliant rien afin qu'il ne doit pas infecter et je finis par lui mettre une couche propre. "Et voilà petit bonhomme tu es tout propre." Je lui fais un bisou sur la joue alors que je donne son fils à son frère maintenant qu'il est tout propre et qu'il ne pleure plus. Pendant ce temps je pars me nettoyer, mais ce n'était presque rien alors ça se nettoie rapidement.
Alors que j'ai le nez plonger dans les bouquins tout en mangeant ma pizza, mon téléphone portable me signale que j'ai un appel. Je l'attrape et décroche en souriant en voyant que c'est Kai celui que je considère comme mon meilleur-ami, comme un frère alors que nous sommes réellement des frères sauf que celui-ci l'ignore et ça me bouffe de devoir lui cacher ça. Mais mon géniteur m'a bien fait comprendre que si je l'ouvrais je retournerais à ma vie d'avant et qu'il n'y aurait plus de possible retour en arrière. Alors je me tais alors que c'est vraiment compliqué de mentir à celui qui se montre aussi gentil avec moi. "Salut Kai comment tu vas ?" Je fronce les sourcils en entendant des pleures d'enfants derrière lui sans comprendre vraiment ce qui se passe vu que je ne suis pas avec lui pour voir l’ampleur des dégâts. Je l'écoute tant bien que mal et finis par venir à son secours. "Ne bouge pas j'arrive tout de suite. En entendant essaie de lui chanter une chanson ou de vérifier sa couche. Il a peut-être fait ses besoins." Sauf qu'il n'a sûrement pas entendu pour la couche puisque ça a coupé. Je me lève donc de mon lit, j'enfile des vêtements propres et quitte mon appartement. J'attends tant bien que mal les transports en commun et lorsqu'ils arrivent je monte dedans pour me rendre chez Kai. Heureusement le trajet se fait plus rapide qu'à l'allée puisqu'il y a moins de bouchons et il est aussi moins remplis. Je finis par arriver. Je marche quelques minutes jusqu'à me retrouver devant chez lui et je cogne à la porte. Kai fini par m'ouvrir la porte et l'enfant se remet de nouveau à pleurer. "Salut, c'est avec plaisir t'inquiète." Je referme la porte derrière moi et approche du petit garçon qui est mon neveu puisque il est le fils de mon demi-frère et je grimace à la puanteur. "Ouais c'est clair que c'est du grand art..." En voyant le jeune papa ne pas y arriver. Je me propose pour lui changer la couche. Je me place devant le petit garçon. "Salut toi..." J'adorais les enfants depuis toujours. Je lui enlève donc la couche sale, je commence à le nettoyer jusqu'à que le petit Wade s'amuse sans mâcher mes mots à me pisser dessus. "Waw... ton fils est un marrant." Je m'essuie rapidement alors que je le nettoie rapidement en oubliant rien afin qu'il ne doit pas infecter et je finis par lui mettre une couche propre. "Et voilà petit bonhomme tu es tout propre." Je lui fais un bisou sur la joue alors que je donne son fils à son frère maintenant qu'il est tout propre et qu'il ne pleure plus. Pendant ce temps je pars me nettoyer, mais ce n'était presque rien alors ça se nettoie rapidement.
- Kai NortonReserve Unit
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Dollars : 3751
Messages : 1975
Date d'inscription : 09/10/2017
Avatar : Adam Senn
Crédits : romanticlove
Autres comptes : Eden H. Snow & James L. Blackwell
Âge du personnage : 27 (08.01)
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
Matz arrivait au bon moment, un véritable sauveur. Kai n’en pouvait plus d’entendre son fils pleurer sans s’arrêter, sans limite, se demandant presque si ce n’était pas son visage ou sa tronche de cake qui lui donnait envie de pleurer tel un signal d’alerte à la laideur. Il était prêt à offrir son enfant pour quelques heures à l’égard de toute personne sachant s’en occuper, ne serait-ce que quelques instants, juste ce qu’il faut pour pouvoir se reposer. Mais l’arrivée du second Norton suffira pour le sauver aujourd’hui. En tout cas c’est clairement ce que Kai espérait. Et voir Matz prendre le relai lui permit de souffler un grand coup. Passant une main sur son front il l’observa faire. Les gestes précis, il semblait clairement à l’aise avec les enfants. Hop, il retire la couche sale, hop il le nettoie. Il avait beau avoir prit des cours, le basketteur ne se sentait pas encore prêt à maitriser ce type de gestes à la perfection. Maman est là pour ça. Et c’est aussi grandement son rôle. Comme une prise de leçon, le plus âgé des deux resta silencieux en gardant un œil intéressé à la manière de faire et aux gestes réalisés jusqu’à ce que … Wade choisisse de faire des siennes. Et que Kai éclata d’un rire sonore.
Ce fu le moment parfait d’après le bambin d’uriner avec plaisir. Un jet d’urine qui arrosa Matz et qui fit rire Kai à gorge déployée. « Oh bordel ! » Qu’il lâche en continuant de rire. Lui permettant d’extérioriser tout le stress de la journée et le laissant partir dans un fou rire. « On sait qu’il est de la famille lui ! » Que le père lâche en se tenant le bide d’une main tout en sentant ses abdominaux se contracter ardemment. Alors qu’il tente de retrouver son souffle et de respirer, Kai ne vit rien du reste de la manœuvre, pas la désinfection, ni même le changement de couche, il garda simplement les yeux fermés pour reprendre au mieux sa respiration et attrapa son fils quand Matz lui tendit pour aller se nettoyer. Un regard de fierté couvrant Wade. « C’est bien mon fils, faut faire pipi sur tout le monde sauf sur papa hein. » Un baiser sur la joue de son bambin, il l’emmena avec lui jusqu’au salon où il s’assoit sur le canapé en attendant Matz.
Le plus jeune des Norton, enfin sans compter le bébé dans les bras de Kai, rejoignit enfin le salon après avoir eu le droit à un petit nettoyage de printemps, merci l’urine de bébé. « Désolé pour l’arrosage, il est du genre clown. » Que le père glisse avec un sourire. « En tout cas merci d’être venu, c’est vraiment cool, je ne me voyais pas appeler mon père à la rescousse. » Il ne manquerait plus que ça, mais c’était son dernier recours si personne d’autre ne pouvait l’appeler. Quoi qu’avec l’absence du père dans sa vie, Kai était persuadé que ce dernier n’était pas plus doué que lui dans la matière, d’ailleurs. « Depuis quand t’es aussi intentionné avec les gamins toi ? » Qu’il demande innocemment, il pourrait lui donner des cours si nécessaire.
Ce fu le moment parfait d’après le bambin d’uriner avec plaisir. Un jet d’urine qui arrosa Matz et qui fit rire Kai à gorge déployée. « Oh bordel ! » Qu’il lâche en continuant de rire. Lui permettant d’extérioriser tout le stress de la journée et le laissant partir dans un fou rire. « On sait qu’il est de la famille lui ! » Que le père lâche en se tenant le bide d’une main tout en sentant ses abdominaux se contracter ardemment. Alors qu’il tente de retrouver son souffle et de respirer, Kai ne vit rien du reste de la manœuvre, pas la désinfection, ni même le changement de couche, il garda simplement les yeux fermés pour reprendre au mieux sa respiration et attrapa son fils quand Matz lui tendit pour aller se nettoyer. Un regard de fierté couvrant Wade. « C’est bien mon fils, faut faire pipi sur tout le monde sauf sur papa hein. » Un baiser sur la joue de son bambin, il l’emmena avec lui jusqu’au salon où il s’assoit sur le canapé en attendant Matz.
Le plus jeune des Norton, enfin sans compter le bébé dans les bras de Kai, rejoignit enfin le salon après avoir eu le droit à un petit nettoyage de printemps, merci l’urine de bébé. « Désolé pour l’arrosage, il est du genre clown. » Que le père glisse avec un sourire. « En tout cas merci d’être venu, c’est vraiment cool, je ne me voyais pas appeler mon père à la rescousse. » Il ne manquerait plus que ça, mais c’était son dernier recours si personne d’autre ne pouvait l’appeler. Quoi qu’avec l’absence du père dans sa vie, Kai était persuadé que ce dernier n’était pas plus doué que lui dans la matière, d’ailleurs. « Depuis quand t’es aussi intentionné avec les gamins toi ? » Qu’il demande innocemment, il pourrait lui donner des cours si nécessaire.
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