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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
is it tears or just the fucking rain?
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [ x ] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : HOODWINK/Victoire ge : vingt-deux ans. Anniversaire : tous les ans à la même date. Localisation : france. Présence : tous les soirs si je peux. Personnage ...[ x ] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : bazzart la bible. Et je le trouve : boooordel ce contexte, ce design, tout. j'suis éblouie. les yeux pleins d'étoiles. Ma plus grande peur : de pas réaliser mes rêves. Un dernier mot ? c'est bien joli par ici.
IMAGES avatars (milles rêves), gif + icon (hqgifhunt)
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
Don't feel bad for the suicidal cats, gotta kill themselves nine times before they get it right.
« PUTAIN BORDEL TU TE FOUS DE MA GUEULE ? » Gia tenait son portable devant sa bouche en espérant de tout son cœur que l'autre crétin à l'autre bout du fil aurait les deux tympans crevés. C’est à l’instant ce qu’elle pouvait espérer de mieux. Ses prunelles noircies par la colère n’annonçaient rien de bon. Elle arrivait à l’entendre bredouiller de piètres excuses sur sa mère qui était morte, et qu’il avait dû prendre des jours de congés. Encore une excuse de merde venant d’un bon à rien. Pourquoi était-elle autant entourée d’incapables ? Les lèvres pincées, elle se retenait de justesse de l’incendier, mais son discours n’était jamais très loin. Une diarrhée verbale se préparait à passer le seuil de sa bouche. La main contre sa hanche, elle reprit sa respiration. « J’EN AI RIEN A FOUTRE, TU VAS M’ECOUTER ESPÈCE DE MERDEUX. TU AS SIGNÉ UN CONTRAT ET T’AS REÇU DE L’ARGENT SI TU TIENS A TES COUILLES TU LE FAIS. » Toujours dans la délicatesse et la douceur. La vulgarité ponctuant chacun de ses mots, signe que c’était bien Gia Mulligan qui parlait. La famille n’était pas connue pour faire dans la fleur bleue. Intransigeant, ils estimaient obtenir le meilleur de leurs employés surtout avec l’argent qu’ils leurs offraient en échange de leur loyauté. Malheureusement, les bras cassés il y en avait de partout. Et dans un monde de requin, la jeune Mulligan devait s’affirmer et s’imposer parmi ses hommes. Même si pour cela, elle devait régner en dictatrice. Elle ne pouvait se permettre la moindre faute, sinon le père Mulligan lui tomberait sur le dos. Il était bien plus facile de le décevoir que de monter dans ses grâces. Ses talons aiguilles claquant contre le sol, elle se passa une main dans les cheveux, faisant signe à sa secrétaire de la rejoindre. La situation était délicate. Elles l’étaient toujours. De sa voix la plus féroce, elle détacha la moindre syllabe dans le combiné.« Ecoute moi bien, c’est à toi de régler cette merde. Tu vas faire fuir l’information à Janice Haurbrun . Commère comme elle est, la moitié du secteur sera au courant avant la fin de la journée. Mais il n’y a pas besoin que ça remonte jusqu’au CEO. CAPICHE ? SINON T’ES VIRÉ. » Elle ne le voyait pas, mais aurait pu jurer qu’il opinait plusieurs fois de la tête. Son silence en disait long. Il avait surement pissé dans son froc. Elle espérait qu’en plus d’être con il n’était pas complètement attardé, et qu’il pourrait au moins comprendre ce qu’elle venait de lui dire. Elle devait colmater les brèches avant qu’un journaliste s’emparer de toute cette histoire. Il fallait mieux lancer sa propre version des faits maintenant. Certes, peut-être que le produit utilisé pour créer leur vêtement pouvait être cause de maladie grave ou de mort, mais les gens ne pouvaient pas tout à voir. Espérer des prix bas, et ne pas payer des indiens au lance pierre n’était pas possible. Ils étaient là pour faire du fric et pas faire du social. C’était pas l’UNICEF. Gia avait les investisseurs au cul, et sa marge de manœuvre n'en était que réduite. Raccrochant violemment le téléphone, sans un au revoir ou bonne chance, elle vit sa secrétaire avancer timidement. Ce qui n'était pas étonnant sachant qu'elle venait de gueuler sur le détective privé qu'elle avait embauché. Dans son milieu savoir était le pouvoir. Alors oui elle faisait surveiller ses employés pour qu'ils ne vendent pas la mèche ou certaines informations, mais apparemment ce n'était pas suffisant. Le système avait des erreurs. « Va me cherche McDouglas.» Ce mec était mort. Il avait osé les trahir et aller voir la concurrence. Les mains tremblantes par la rage, Gia se mit debout. Elle préfèrait se trouver dans une situation de force. Montrer que c'était elle qui avait le pouvoir. Son père utilisait bien souvent cette technique, et la demoiselle n'avait appris que des meilleurs. Elle n'avait même pas besoin de se demander quel crétin elle allait devoir virer, la culpabilité semblait déjà transpirer de Monsieur McDouglas quand il franchit la porte. « Bonjour Monsieur McDouglas. Installez vous je vous prie. » qu'elle souligna de sa voix la plus mielleuse. Un rictus mauvais s'étirait déjà le long de ses lèvres. Laissant transparaître quelques secondes de silence, elle enchaîna. «Savez vous pourquoi je vous ai demandé de me rejoindre?» qu'elle lui demanda de sa voix la plus mielleuse. Le regard hagard, le dit concerné ne semblait pas savoir s'il s'agissait d'une question piège. Il devait certainement évalué ses possibilités, mais son manque de réponse ne faisait qu'agacer la jeune Mulligan et la patience elle n'en avait que très peu. Il avait même le toupet de sourire bêtement, comme si son visage séducteur allait le disculper de tous ses méfaits. «Arrêter de sourire j'aime pas ça. Mon ex souriait tout le temps. C'était un gros connard. Maintenant il se fait bouffer par les vers au cimetière» Sa menace était évidente et elle espérait qu'il en comprendrait les nuances. Sa réaction ne se fit pas attendre, ouvrant et refermant plusieurs fois la bouche. Il semblait perdu, et ahuri par la tournure que prenait la situation. Il espérait quoi une putain d'augmentation? Elle fit claquer sa langue contre son palais. Si les éclairs dans ses prunelles pouvaient tuer, il serait déjà plus bas que terre. Les formalités avaient disparues, pour laisser la place à une ombre de noirceur. «On a été bon avec toi. On t'as offert tout ce qu'on avait. Et pourtant j'ai appris que tu t'entais de nous baiser? De baiser mon père. De baiser tes collègues. De me baiser moi. » Ses mots étaient froids et sans saveur. Mais dans le contexte actuel des choses pouvait-on lui en vouloir? Gia pouvait le voir palir à chacun de ses mots. Donnant un coup de poing contre la table, elle reprit son discours endiablé. «Tu pensais que tu allais pouvoir sortir ta bite sur la table et qu'on allait rien dire?. » Elle pouvait sentir sa peur émaner de lui. Pensait-il que parce qu'elle était une fille il pouvait la berner? Il devait certainement sentir qu'il allait se faire bouffer. «Dégage tu es virée. Pas la peine de revenir. Va prendre tes affaires. Tu n'es plus le bienvenue chez nous. » Muet, complètement ébahit il ne pipait mot. L'information ne semblait pas monter jusqu'en haut. Il ne bougeait pas, se contentant simplement d'ouvrir et fermer plusieurs fois les yeux comme le petit con qu'il était. Soupirant elle fit signe aux hommes de la sécurité de venir le chercher.«On peut faire ça de la façon douce, ou de la manière forte. Mais si tu bouges pas dans les cinq prochaines secondes je te balance mon agrafeuse à la gueule t'as compris? »
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
eiza est tellement belle, je suis trop heureuse de la voir jouée
les deux ont la tête dure, je viendrai te demander un lien
bienvenue par ici
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bienvenue par ici
- InvitéInvité
Quelle beauté
Bienvenue et bon courage pour ta fiche !
Bienvenue et bon courage pour ta fiche !
- InvitéInvité
- InvitéInvité
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