YESTERDAY'S NEWS |48
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2930
Messages : 544
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : nicolas simoes
Crédits : ASTRA (avatar)
Autres comptes : dora & ansel
Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
late night talks
demetria & zeke
i hope you understand how much our little talks mean to me.
les draps sont sens dessus dessous. la température de la chambre a augmenté depuis vous y êtes rentré. rien d'insupportable. juste ce qu'il faut pour dormir d'une bonne nuit de rêves. mais voilà, le brun a perdu le sommeil. il le se moque de lui en le cotoyant quelques instants pour le réveiller d'un sursaut. ça lui arrive parfois. quand il ne dors pas chez lui. quand son monde ne lui appartient plus. alors il est là à fixer le plafond, puis la belle au bois dormant endormi dans ses bras. demetria, ou un dérivée de demeter, la déesse de la terre. elle en a la beauté et la fougue. et comme une des cieux, il ne pense pas la mériter d'une quelconque manière que ce soit. encore moins d'avoir le droit à tant d'attention de sa part. au début ce n'était qu'un regard croisé, à une occasion que seul son statut de photographe lui avais permis l'accès. il avait finit par lâcher son appareil. quelques mots de politesse, quelques pas, puis de vrai paroles qui avaient semblé leur plaire à tous les deux. il semble que personne n'est remarqué leur manège bien qu'exposé à la vue de tous. ses pensées continuent de faire surface, alors que ses doigts caressent lentement son dos et son bras, dans un mouvement qui semble avoir trouvé son rythme. la belle remue lentement, semble être tiré du sommeil. il la voit cligner quelque peu des cils. « rendors toi princesa. » la lumière ne va pas encore bercer tes doux traits de lumière. il fait presque noir. il continue à caresser sa peau nue sous ses doigts. il a un sourire pour lui même, qu'il n'arrive pas à cacher. « mais si tu veux tout savoir la princesa ronfle. » il avait réussi à reléguer ce bruit en fond sonore, que ses pensées arrivaient très bien à éloigner. mais il n'arrivait pas à oublier qu'avant de s'épanouir sous les draps, ce sont deux amis. et que rien ne vaut ses protestations matinales, quant à sa capacité à réveiller le quartier.
(c) DΛNDELION
- InvitéInvité
— i hope you understand how much our little talks mean to me
— los angeles, appartement de demi, mars 2018
encore une nuit à ses côtés. à croire que ça devenait une habitude. de l’ami à l’amant. de l’amant à l’ami. inlassablement. demetria, c’était pourtant pas une adepte de ce genre de relation. où elle donnait tout, où elle ne donnait rien. il n’y avait pas la place pour les histoires d’un soir, pour les batifolages adolescents comme si ça n’aurait aucune répercussion. mais avec zeke, c’était différent. tout avait démarré un soir, caché derrière son appareil photo. puis l’alchimie s’était crée. peut être un peu trop bien si on prenait en compte les soirées qu’ils pouvaient désormais partager. entre les soupirs et les longues conversations. et c’était sous les draps, dans ses bras qu’elle avait finalement trouvé le sommeil, bien moins perturbée que d’habitude. quand il était là, elle n’avait plus besoin de sa bouteille de vodka, peut être qu’il lui apportait humainement parlant l’ivresse dont elle avait besoin. et bêtement, parfois, quand il était là, elle se sentait bien. en sécurité. comme si plus rien ne pourrait jamais l’atteindre. et doucement, elle s’agite la carrington. elle sent ses doigts parcourir sa peau avec une douceur infini et avec difficulté, elle ouvre ses paupières encore trop lourde. le son de sa voix la fait sourire légèrement et c’est quand il la pique qu’elle émerge soudainement. « je ne ronfle pas » qu’elle ronchonne demi la voix encore ensommeillée. elle respire fort, c’est différent. sa main vient doucement se poser sur le torse du photographe alors qu’elle inspire doucement. « parfois, j’aimerais que tu ne repartes jamais » qu’elle soufflait doucement. elle n’était pourtant pas amoureuse demetria, elle ne se le permettait pas mais zeke, il l’apaisait d’un regard. juste comme ça. et c’était rare dans le monde dans lequel elle vivait de trouver une muse comme ça. et peut être qu’elle nourrissait un peu trop d’espoir vis à vis d’eastwood mais quelque part, elle en avait terriblement besoin.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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demetria & zeke
i hope you understand how much our little talks mean to me.
tout à l'air si simple, quand il est là. des draps froissés, demi à ses côtés. comme si le réel s'éloignait un peu. dans sa réalité à lui, jamais une actrice n'aurait posé les yeux sur lui. ezekiel, son appareil à la main, c'était l'ombre de la soirée, tout le monde sait qu'il est là, mais personne ne fait attention. ou du moins, le temps d'un flash. un éclair et voilà que la plupart des personnalités détournent le regard pour reprendre leur conversations. il a pris l'habitude de faire la même chose. mesdemoiselles, messieurs. un sourire ? de ne pas faire attention au blabla incessants. mais sa réalité avait changé au moment où ils avaient posé les yeux l'un sur l'autre. ce n'était pas de l'amour, c'était ce besoin à peine dissimulée d'avoir quelqu'un à qui parler. de vrais paroles pour vous raffermir le cœur et les idées. celles qu'on prend plaisir à partager aux peu qui les méritent. il l'entend ronchonner, s'agiter légèrement. la douceur de sa peau sur la sienne. ses doigts s'arrêtent quelques instants, pour reprendre leur course. « parce que tu ronronnes peut-être ? » un ronronnement de compétition alors. il l'entend faiblement, dans un souffle. ses paroles qui lui réchauffent le cœur. il pose la main sur la sienne. là. près de son cœur. « même si c'est pour mieux revenir ? » il avait un rire qui s'évanouit au bord de ses lèvres. elle était importante pour lui. plus qu'il ne pourra jamais l'avouer. il avait besoin d'elle pour garder un pied sur terre. pour pas déraper. la stabilité qu'il s'impose n'est que mirage. il lui embrasse les cheveux avec toute la délicatesse de son monde. « si je pouvais arrêter le temps et rester ici avec toi je le ferais. » mais le soleil finit toujours par se lever. pointer le bout de son nez. les rayons de soleil en plein dans la rétine, un avertissement. celui qui veut dire qu'il est temps de partir. de l'abandonner. comme le prince non reconnu qui doit laisser briller la belle sans tâcher sa lumière. « parfois j'aimerais que tout se simplifie d'un claquement doigt. »
(c) DΛNDELION
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