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YESTERDAY'S NEWS |48
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Je suis resté dans cette pièce où j’ai tabassé ce mec. Je l’ai regardé longuement à me demander comment cela se fait que j’aie réagis de cette façon. Je le vois encore s’approcher de Vega comme si elle était sa chose. J’en ai eu un haut le cœur. Ces images hantent mes pensées, ses mains, ces grosses mains répugnantes. Bordel il avait beau avoir plus de chair que moi, j’ai tout de même trouvé la force de le foutre au sol. Alors que mes yeux ce gros connard, j’entends la porte s’ouvrir. Roberto qui me fait un signe de tête et qui le traine à l’extérieur par les pieds. J’agrippe les bras du gros bonhomme et aide un peu Roberto à le mettre derrière ou il y a les ordures. C’est l’endroit idéal pour un homme comme lui. Une fois le boulot j’entre le bar et je me rends compte que tu as appelé les services de santé. Je suis soulagé de ne pas l’avoir fait et pourtant lorsqu’ils sont arrivés c’est à moi qu’ils ont posé les questions. J’ai fais mine de ne pas le connaître et je suis retourné à l’intérieur. Je ne sais pas si ma version des faits était plausible, mais franchement je suis un très bon menteur. Avant d’entrer dans le bar j’ai prié Roberto de nous attendre dan la voiture le temps que j’aille te chercher. Je referme la porte derrière moi et en levant les yeux je te vois assise au comptoir. « J’ai raconté un truc bidon, j’ai dis qu’on ne le connaissait pas.. Qu’on l’a trouvé tout près des ordures dans cet état et que j’ai vérifié ces signes vitaux. » Je m’avance doucement et me glisse derrière le comptoir du bar. J’attrape la bouteille de Whisky puis me sert un verre que je bois cul sec. « T’en veux ? » Te demandais-je en me servant un autre verre. SI moi j’en avais de besoin, peut-être que toi aussi. En déposant mon verre sur le comptoir, je me rends compte mes mains sont abimées. « Merde.. » Dis-je en glissant mes mains sous l’eau. Je regarde mes vêtements et soupire avant de te regarder. Je me racle la gorge et me pince les lèvres hésitant à te demander comment tu vas. Je le vois bien qu’il y un truc qui ne fonctionne pas, mais bon .. C’est clair que c’est mon attitude de merde. « Je t’ai fais peur ? » Finis-je par te demander alors que mes yeux sont toujours posés sur toi.
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Assise au comptoir du bar, je venais de sortir les papiers nécessaires pour terminer l’inventaire des alcools, lorsque tu es arrivé. J’essaye de faire comme si de rien était, me concentrant sur ma tâche, mais en réalité, je suis dans l’incompréhension la plus totale. Effectivement, je ne comprends pas du tout ce qui a pu te mettre dans cette colère noire. J’ai fait, ce que j’ai exécuté des centaines de fois depuis que nous avons ce bar. C’est-à-dire, jouer de mes charmes pour déconcentrer les joueurs présents dans la pièce pour que tu puisses les arnaquer. Je ne comprends pas pourquoi, cette fois-ci, tu n’as pas apprécié que cet homme dépose ses mains sur moi. De plus, il n’y a absolument rien eu que je n’aurais pas été en mesure de régler par moi-même. Tu me connais pourtant, lorsqu’on entre trop dans ma bulle, j’éclate et en plus, tu nous as fait perdre un bon pactole. « J’ai raconté un truc bidon, j’ai dit qu’on ne le connaissait pas… Qu’on l’a trouvé tout près des ordures dans cet état et que j’ai vérifié ces signes vitaux. » Toutes mes félicitations. « Tu veux une médaille, peut-être ? » Qu’est-ce que tu veux que ça me fiche à moi ? Ce n’est pas ça qui me préoccupe, mais bien autre chose que je compte bien éclaircir avec toi, sur le champ. « J’étais sur le point d’le plumer ce pigeon et un fusible a sauté dans ton cerveau. Qu’est-ce qui t’as pris, imbécile ? » Je ne prête même pas attention à ce que tu fais, en vérité, c’est bien la dernière chose au monde qui m’intéresse, et même que je décline ton offre lorsque tu me tends la bouteille de whisky. Je finis par déposer mon crayon et te regarder, un air maussade au visage, m’intéressant soudainement à ce que tu es en train de faire. Tes mains meurtries, tes vêtements tâchés de sang. T’es qu’un imbécile, tu fais le con alors t’espère tout de même pas que j’vais m’intéresser à toi, peu importe la façon… « Je t’ai fait peur ? » Cette fois-ci, je ne peux retenir un éclat de rire. Je me lève et m’avance vers toi, un sourire narquois au visage. « Attends… Tu penses sérieusement que, toi, Saphyr Willow Di Giorgio pourrait me faire peur parce qu’il a brutalisé quelqu’un ? » Je me mets à rigoler de nouveau avant d’ajouter : « T’es pathétique bon sang. » Est-ce que je l’ai dit que je suis en colère à cause de ta stupidité ?
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« Tu veux une médaille, peut-être ? » Je lève les yeux en l’air puis je me mords l’intérieur de la joue. Je m’y attendais à ce que tu ne sois pas d’humeur. « T'fous pas de ma gueule bordel. » Je secoue la tête un peu découragé puis me sert un vers d’alcool. Toi et moi passons notre temps à nous chercher. Les engueulades ça nous connait et heureusement y’a personne qui ne peut entendre nos conversations. Tout ce fait en privé et pourtant aux yeux des gens nous sommes le couple parfait – si seulement ils savaient. « J’étais sur le point d’le plumer ce pigeon et un fusible a sauté dans ton cerveau. Qu’est-ce qui t’as pris, imbécile ? » Si seulement je pouvais t’expliquer ce qui s’est passé avec moi ce serait si simple mais je n’en sais foutrement rien. Je ne cesse de me remémorer cette soirée et je ne vois qui puisse éclairer ma lanterne. J’hausse donc les épaules. « J’en sais rien bordel.. » Je serre un peu les dents puis me lance finalement. « Sa façon de te regarder .. de te toucher, bon sens c’était dégueulasse. Après il aurait retiré ta robe devant tout le monde ? » De le voir tout comme de te le dire là maintenant ça me donne des frissons dans le dos. « T’es pas là pour te faire ploter par un gros lard.. Après tout t’es ma femme, t’es la chose d’aucun de ces hommes. En plus ils te doivent respect. » Bon je dois dire n’importe quoi. Est-ce que c’est l’alcool ? Mais bon sens est-ce que je viens vraiment de dire une chose pareille ? « T’as déjà vu un imbécile offrir sa femme à n’importe quel des gros connards qui s’présente dans son bar. Y'a des limites à ne pas franchir et celle-là s'en était une ! » Toi et moi on fait équipe, je peux comprendre qu’on était sur le point d’avoir beaucoup d’argent. Sauf qu’il était carrément en train de dépasser les limites et ça ne m’a pas plu. Je nettoie mes mains puis me retourne vers toi pour te demander si je t’ai fais peur. Mais tu te fous carrément de ma gueule. Ton rie me pue au nez. « Attends… Tu penses sérieusement que, toi, Saphyr Willow Di Giorgio pourrait me faire peur parce qu’il a brutalisé quelqu’un ? T’es pathétique bon sang. » J’hausse les sourcils puis te regardes. « Pathétique. Ça doit être ça.» Je prends la bouteille de Whisky puis en boit à même la bouteille. Je te fais reculer jusqu’au mur derrière le bar et te regarde droit dans les yeux. « J’peux te faire peur au point ou tu ne me reconnaîtras plus.. » Finis-je par te dire le sourire en coin. Je commence à ressentir l’alcool doucement et de voir ton corps près du mien me fait réagir. « T’as envie de savoir ce qu’il allait te faire subir peut-être ? J'peux te montrer, mais j’suis pas certain que tu aurais aimé ce châtiment à moins que toi.. ton genre ce soit les gros pervers dans son genre.. » Je me recule pour te regarder, puis reprend ma bouteille de Whisky que je continue de boire. « J’vais voir si j’ai d’autre vêtements dans mon bureau. On rentrera ensuite, Roberto nous attends dans la voiture. » Finis-je par te dire comme si tout était normal.
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Plus t’essaye de m’expliquer ce qui t’as pris de réagir ainsi, devant tout ces hommes qu’on était supposé arnaquer ce soir, plus je me dis que j’avais dû te laisser t’arranger avec tes problèmes. Oui, je sais que nous sommes supposé passer pour un couple, unis et amoureux, à la vue de tous et sans doute que je te remercie d’avoir pris ma défense. Toutefois, jamais ces remerciements sortiront de ma bouche. Je préfère mourir que de te faire penser que tu peux être utile dans ma vie. Alors, évidemment, je préfère nier toute chose et te narguer à la place. « Mais bien sûr… Si j’te connaissais pas, j’pourrais croire des choses… Comme le fait que t’es jaloux et que tu m’veux que pour toi. » C’est n’importe quoi. On le sait très bien tous les deux que tu arrives à avoir n’importe qui dans ton pieu simplement en cliquant des doigts et que tu t’en prives pas. Pauvres elles tout de même, si elles savaient qu’elles ont des risques de choper une MST. Ce n’est pas de cette façon que tu réussiras à me faire peur et encore moins, parce que tu tabasses quelqu’un qui me trouve attirante. Et ce n’est pas une raison non plus de le faire. Parce que crois-moi, tu n’aurais pas fini de te servir de tes poings.
Je finis par me lever du tabouret où j’étais assise pour faire l’inventaire et range le crayon, juste au moment où je suis en train de m’apercevoir, que tu n’as pas apprécié que je me foute de ta gueule, en ricanant lorsque tu m’as demandé si je t’avais fait peur. Tu t’approches de moi, tel un prédateur voulant sauter sur sa proie et je recule, malgré moi jusqu’à ce que mon dos touche au mur. J’ai bien beau vouloir bouger, je suis prise au piège entre ton corps, des bouteilles d’alcool et une armoire à verre. Yeux dans les yeux, tu me dis, d’un ton sérieux : « J’peux te faire peur au point où tu ne me reconnaîtras plus. t’as envie de savoir ce qu’il allait te faire subir, peut-être? J’peux te montrer, mais j’suis pas certain que tu avais aimé ce châtiment à moins que toi… ton genre ce soit les gros pervers dans son genre. » Je soupire finalement, lorsque tu te recules. En fait, non, je suis plus en train de reprendre mon souffle, ne m’ayant pas aperçu que je l’avais retenu et te regarde te diriger vers ton bureau. « T’es sûr que t’as pas manqué d’air à la naissance? T’es pas assez beau pour te permettre d’être aussi bête. Sérieux, comme si j’voulais que tes mains crades touchent mon corps de rêve! J’aimerais bien voir comment tu t’y prendrais. » te dis-je d’une façon sarcastique. Tu continues de parler, mains, je ne t’écoute pas. Je ferme plutôt les lumières du bar et enclenche le système d’alarme en criant : « Plus que 25 secondes pour sortir! » Et quelques « bip » sonore se font entendre, alors que je sors à l’extérieur et coince une cigarette entre mes lèvres. Ce que je peux te détester… Tout à l’heure, j’ai rêvé que les positions étaient inversées et que c’était toi qui se faisais arranger le portrait par ce pigeon… L’héritage que j’aurais eu.. Cela aurait été merveilleux.
Je finis par me lever du tabouret où j’étais assise pour faire l’inventaire et range le crayon, juste au moment où je suis en train de m’apercevoir, que tu n’as pas apprécié que je me foute de ta gueule, en ricanant lorsque tu m’as demandé si je t’avais fait peur. Tu t’approches de moi, tel un prédateur voulant sauter sur sa proie et je recule, malgré moi jusqu’à ce que mon dos touche au mur. J’ai bien beau vouloir bouger, je suis prise au piège entre ton corps, des bouteilles d’alcool et une armoire à verre. Yeux dans les yeux, tu me dis, d’un ton sérieux : « J’peux te faire peur au point où tu ne me reconnaîtras plus. t’as envie de savoir ce qu’il allait te faire subir, peut-être? J’peux te montrer, mais j’suis pas certain que tu avais aimé ce châtiment à moins que toi… ton genre ce soit les gros pervers dans son genre. » Je soupire finalement, lorsque tu te recules. En fait, non, je suis plus en train de reprendre mon souffle, ne m’ayant pas aperçu que je l’avais retenu et te regarde te diriger vers ton bureau. « T’es sûr que t’as pas manqué d’air à la naissance? T’es pas assez beau pour te permettre d’être aussi bête. Sérieux, comme si j’voulais que tes mains crades touchent mon corps de rêve! J’aimerais bien voir comment tu t’y prendrais. » te dis-je d’une façon sarcastique. Tu continues de parler, mains, je ne t’écoute pas. Je ferme plutôt les lumières du bar et enclenche le système d’alarme en criant : « Plus que 25 secondes pour sortir! » Et quelques « bip » sonore se font entendre, alors que je sors à l’extérieur et coince une cigarette entre mes lèvres. Ce que je peux te détester… Tout à l’heure, j’ai rêvé que les positions étaient inversées et que c’était toi qui se faisais arranger le portrait par ce pigeon… L’héritage que j’aurais eu.. Cela aurait été merveilleux.
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J’sais pas comment m’y prendre. J’sais pas comment t’expliquer qu’il a eut un déclic dans ma tête. En fait autant que je tienne ça mort parce que tu me prendras probablement pour un fou. Je bois sans me rendre compte du nombre de verre que j’ai enfilé. C’est les circonstances de la soirée qui m’font boire autant puisque normalement je m’abstiens de boire en ta présence. Je le fais souvent lorsque je ne suis pas seul ou encore que je suis l’un de ces joueurs à une partie de poker. « Mais bien sûr… Si j’te connaissais pas, j’pourrais croire des choses… Comme le fait que t’es jaloux et que tu m’veux que pour toi. » Je me mets à rire. « J’suis pas jaloux, mais je dois te rappeler que tu m’appartiens tout de même. » Dis-je en haussant les sourcils, le sourire en coin. T’as peut-être envie de me narguer, mais je peux aussi le faire. « Selon les papiers t’es à moi. et personne d'autre. Je peux donc faire ce que je veux de toi.. » J’hausse les épaules de façon plutôt innocente. Oui je te fais un rappel de tout ça, mais c’est pas moi qui le dit. C’est les papiers. Toi et moi sommes mariés et à moins qu’il ait divorce - chose qui semblerait ne pas être sur le point d’arriver. Je m’approche de toi tel un prédateur te demandant si subir le sort que pouvait te réserver ce gros lard pouvait t’intéresser. Sauf que je me suis reculé dans l’idée d’aller me chercher de nouveaux vêtements dans mon bureau.« T’es sûr que t’as pas manqué d’air à la naissance? T’es pas assez beau pour te permettre d’être aussi bête. Sérieux, comme si j’voulais que tes mains crades touchent mon corps de rêve! J’aimerais bien voir comment tu t’y prendrais. » Je cherche de vêtements dans les tiroirs de mon bureau, mais y’a rien. « T’as peut-être raison si j’en avais pas manqué j’aurais probablement jamais laissé faire mon père me marier à toi. » Jamais je n’aurais été marié à toi et toi comme moi nous aurions été libres. Alors que je suis tout près de la porte de on bureau j’étire le cou et te regarde. « T’en fais pas je m’occuperais bien de toi.. assez que les voisins les plus loin pourraient t’entendre gémir, voir me supplier de ne jamais m’arrêter. » C’est bien toi qui parle et non l’alcool même si tu ressens de plus en plus l’effet. Justement tu agrippes la bouteille qui traine tout près de toi et la termine. « Plus que 25 secondes pour sortir! » Me dis-tu alors que je viens de me trouver un chandail. Je retire celui qui est taché de sang et le laisse tomber sur le plancher de mon bureau. Je m’approche de la porte et désactive le système d’alarme avant d’ouvrir la porte. J’agrippe ton poignet et te fait entrer dans le bar. J’agrippe ta cigarette et l’éteint. « On pourrait peut-être faire attendre Roberto quelques minutes de plus ? » Te dis-je en agrippant fermement tes hanches et plaquant mon bassin contre le tien. Je dois être en train de perdre la tête, mais tu me fais cet effet de fou depuis que j’ai assommé ce mec. Va savoir pourquoi. Je glisse une main dans le creux de ton cou et approche mon visage du tien. Mes lèvres effleurant les tiennes. « Tu as vraiment une fausse impression de moi. Tu doutes de mes compétences et franchement j'peux te prouver que t'as tords. » Dis-je finalement en passant ma langue sur tes lèvres de façon plutôt aguichante.[/color]
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Si j’avais été une petite vieille, j’en aurais perdu mon dentier tellement j’ai ouvert ma bouche à m’en disloquer la mâchoire face à l’idiotie que tu viens de me dire. Comment ça, je suis à toi ? Et surtout, qu’est-ce qui te dit que tu peux faire ce qui te plaît de moi ? Tu as un culot monstre de me dire ça et tu viens de te faire une ennemie. Je secoue ma crinière noire et préfère ne rien dire. Je prépare ma vengeance, puisque ce n’est pas vrai que je vais passer pour une chose à tes yeux. Tu vas voir que l’objet qui te sert de femme, peu avoir une paire de couilles… Je me contente de faire comme si de rien était et te nargue. Je continue même lorsque tu es dans ton bureau à la recherche de ce putain de t-shirt. Je prie intérieurement pour que ce morceau de vêtement prenne en feu et qu’il te fasse manger le pissenlit par la racine. Comme ça, je n’aurai plus à supporter tes idioties comme tu viens de me dire. Comme si tu allais un jour réussir à me baiser… T’es mieux de te lever tôt et d’avoir de très bon argument pour y arriver. « C’est beau de rêver. La connerie à ce point-là, moi, j'dis qu'ça devient gênant. » J’étais prête à tout pour te la fermer et je le suis toujours, sauf que j’avoue, ne pas avoir pensé que tu avais le temps de désactiver le système d’alarme. Et encore moins que tu m’agrippes par le poignet et que tu oses prendre ma cigarette pour l’éteindre. « On pourrait peut-être faire attendre Roberto quelques minutes de plus ? » Je n’ai pas le temps de rien dire que tu m’agrippes et m’attires à toi par les hanches. Un petit son de surprise sort d’entre mes lèvres. Même mes mains, sur ton torse ne servent à rien, puisque tu fais en sorte d’attirer ma tête vers la tienne pour effleurer mes lèvres de tes lippes. « Tu as vraiment une fausse impression de moi. Tu doutes de mes compétences et franchement, j’peux te prouver que t’as tords. » Alors, que tu es en train de passer ta langue sur mes lèvres, je réussis à agripper cette dernière entre mes dents en la mordant assez fortement sans toutefois y aller au sang, tout en prenant en main la bouteille de whisky que tu as laissé prêt de nous pour te verser le liquide sur la tête. « T’essayes de faire quoi, toi là ? » Je viens tout doucement mordiller ta lèvre inférieure et te donne un baiser chaste pour finalement me reculer, un sourire victorieux plaquer sur le visage. « Essaye pas de me comparer à une de ces chiennes que tu baises, okay? J’veux pas d’ta gonorrhée! » Je t’adresse un clin d’oeil et allume une nouvelle cigarette, mais cette fois-ci à l’intérieur de l’établissement, te narguant davantage. Je suis encore à pleine capacité de mes moyens, je ne tomberai pas si facilement dans tes filets.
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« C’est beau de rêver. La connerie à ce point-là, moi, j'dis qu'ça devient gênant. » J’ai crié d’un bord à l’autre du bar sans me soucier du fais que Roberto pourrait entrer à tout instant. Bon les chances sont minces puisque je lui ai dis de nous attendre dans la voiture et que ce n’est pas le genre à s’immiscer entre nous deux. Je ne l’ai jamais surpris à écouter nos conversations et c’est d’ailleurs pour ça que j’en ai fais mon homme de main – mon homme de confiance. D’ailleurs heureusement pour nous qu’il ne nous écoute pas puisqu’il serait probablement en train de dire que l’on frôle la folie. Décidément d’être marié l’un à l’autre ne nous fais pas. On se déteste au plus haut point et pourtant devant tout ce monde on arrive tout de même à avoir l’air d’un couple parfait. Je continue donc de chercher mon satané chandail et avant de te rejoindre je prends le temps d’éteindre le système d’alarme. Te provoquer c’est ce qui m’amuse le plus, mais là franchement je ne sais plus si c’est de la provocation ou de l’envie. L’alcool commence à faire son effet et bordel j’crois que je suis sur le point de perdre la tête. Je m’approche donc de la porte et t’attire à l’intérieur avec moi. Je colle mon corps au tien, passe ma langue sur tes lèvres et bordel tu la croques. Bordel les larmes rejoignent mes yeux, alors que je sens le Whisky me couler sur la tête. « Put.. d’merde, tu fais chier.. » Je grogne et recule pour te laisser de la place. En fait j’essaie plutôt de reprendre mes esprits. « T’essayes de faire quoi, toi là ? » J’essaie d’avoir l’air subtile pour ensuite t’égorger, c’est ce que t’as envie d’entendre ? En tout cas jusqu’à maintenant en ce qui me concerne ce n’est pas l’envie qui manque. Sauf que je relève la tête et ajoute avec un sourire en coin. « J’essaie d’me faire un descendant. » Dis-je avant que tes dents s’agrippent à ma lèvre inférieure et que tes lèvres embrassent furtivement les miennes. « Essaye pas de me comparer à une de ces chiennes que tu baises, okay? J’veux pas d’ta gonorrhée! » C’est plus fort que moi j’éclate de rire. J’ai peut-être l’air idiot à tes yeux mais je ne le suis pas. Certes je suis allé voir ailleurs, mais vu la situation dans laquelle nous nous trouvons tous les deux c’est tout à fait normal. « J’ai pas besoin de faire de comparaison, celles qui se retrouvent sous les couvertures avec moi ne se sont pas fait ploter par des vieux croulants et pervers. Ah non je viens de comprendre toi, c'est pas le sexe ton truc mais le fric.. » J’hausse les sourcils alors que ce foutu sourire en coin est toujours accroché à mes lèvres. « J’ai pas besoin de viagra pour bander .. » Je te laisse allumer une cigarette et une fois de plus je te la prends, sauf que je l’approche de mes lèvres pour te narguer à mon tour. « Tu dois t’ennuyer de tout faire le travail ? Et quand ça lève pas.. tu fais quoi ? Tu t’amuses seule ? » Je continue de me marrer, je le fais exprès voir même j’exagère sur les rires. « P’t’être que ça te ferais du bien de te faire chevaucher à t’en faire perdre le contrôle. Tu aurais probablement moins l’air tendu.. » Je tire sur ta cigarette relâchant la fumée dans l’établissement puis te la tends. J’en ai rien à foutre de que tu fumes dans le bar. Enfin, normalement j’aurais péter un câble mais là sous l’effet de l’alcool j’ai carrément laissé faire ce petit détail. Je m’avance vers toi de nouveau, mon visage près du tien. « T’as toujours pas envie que je te montre ce que ça fait de prendre son pied comme il se doit, femme ? » Je fais une petite moue et hausse les épaules. Mon corps frôle de nouveau le tien et je m’éloigne doucement pour qu’on puisse sortir.
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Continue d’essayer de te faire un descendant, chéri, mais ça ne sera pas avec moi. Juste à l’idée de te voir nu, me donne des nausées. Je ne serai pas de ces femmes qui tu ramènes pour les sauter, pour les laisser sur le bord de la route, une fois ta besogne terminée. Et pourtant, tu me nargues une fois de plus, prétendant que je préfère l’argent au sexe. Et si c’était le cas ? Tu n’as pas tout à fait tord, avec toi du moins. Et tu continues, t’amusant à mes dépens, mais ce que tu ne sais pas, c’est que tu te tires dans le pied tout seul. Plus tu parles et plus j’enregistre tout pour mieux m’en servir par la suite. « T’as fini ? » Je lève les yeux vers le ciel. Et allume ma cigarette. Je n’arrive pas à l’apporter à mes lèvres pour une deuxième touche que tu me la voles et je tape du pied sur le parquet. « Tu dois t’ennuyer de tout faire le travail ? Et quand ça lève pas.. tu fais quoi? Tu t’amuses seule ? » À ces mots, c’est comme si une grande révélation venait de se faire dans ma tête. Comme un déclic et si je faisais limite, une tête d’enterrement il y a peu, désormais un sourire venait de s’afficher. Signe qu’une idée venait de germer dans mon cerveau. « M’amuser seule, c’est c’que fais depuis qu’on est mariés. Ce n’est pas ça qui me fait peur. » Ouais, parce que contrairement à toi, je n’arrive pas à aller ailleurs. Je n’y suis jamais arrivé. Je ne t’aime pas, mais te rendre cocu, même si ce n’est que symbolique, je trouve que c’est un cruel manque de respect. Alors oui, je m’occupe de moi, puisque nous sommes toujours mieux servi que par nous-même. Et, c’est arrivé plus d’une fois lorsque tu dormais à mes côtés dans le lit. À quoi est-ce que je pensais? Je l’avoue, parfois à toi, mais désormais que je sais que tu peux être énormément détestable et que tu m’attaques de cette façon, la donne va changer. J’agrippe de nouveau mon cylindre rempli de nicotine et je peux enfin la savourer. Tu t’approches de moi, ton visage est si proche que je sens ton souffle sur ma peau. Je suis à deux poils de te brûler avec la cigarette pour te faire dégager de ma bulle, lorsque tu reprends la parole. « T’as toujours pas envie que je te montre ce que ça fait de prendre son pied comme il se doit, femme? » Okay, là c’est clair que tu n’obtiendras rien de moi. Je doutais tout à l’heure et m’imaginais ce que ça pourrait donner de t’avoir sous ma couette, sexuellement parlant cette fois-ci, mais là avec tes propos sexistes, tu continueras à aller fourrer la femme du voisin. « J’préfère m’amuser seule. » Je te suis à l’extérieur et prends place dans la limousine, prenant bien soin de m’asseoir sur la banquette face à la tienne, au milieu pour être dans ton champ de vision. Je te jure que je vais te faire regretter ce que tu m’as dit… J’attends que tu me regardes et lorsque j’ai capté ton attention, je me mordille la lèvre. Pas que tu m’excites, non, j’ai juste hâte de voir ta réaction à ce que je m’apprête à faire. Je te l’ai dit, Willow que j’allais m’amuser seule et tu n’es pas invité.
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Je te provoque parce que c’est ce que je fais depuis que l’ambulance a quitté le bar. Ça m’amuse mais en vrai je ne mesure pas vraiment ce que je fais et ce que je dis. Je suis sous l’influence de l’alcool et je sais à quel point je peux devenir désagréable. Je ne tiens pas l’alcool et je ne l’ai jamais tenu. Alors c’est carrément plausible que t’aie envie de me faire exploser la tête. Mes paroles ont probablement dépassé mes pensées et franchement ça ne me surprend pas. J’arrive donc à l’extérieur du bar et me rend à la limousine. Je m’installe bien confortablement et essuie mon visage avec une serviette étant donné que je me suis fais arrosé de Whisky. Je détourne le regard pour ne pas te regarder, j’en ai assez vu et assez entendu pour ce soir. J’ai hâte de rentrer à la maison histoire de disparaitre dans l’une de nos nombreuses chambres à la villa. Puis je te vois glisser ta main jusqu’à ton pantalon. J’hausse les sourcils et ne la quitte pas des yeux. C’est une blague j’espère ? Je relève les yeux pour regarder ta réaction à toi. Ce mordillement de lèvre, bordel je ne sais pas d’où tu sors ça, mais tu me donnes envie d’y gouter aussi. Je t’agrippe par les hanches et te regarde alors que mes mains t’attirent de plus en plus vers moi. « Depuis qu’on est marié t’as jamais osé ? Bon sens t’as oublié de vivre ou quoi ?» Je ne me sens pas mal à l’aise de ce que j’ai fais, je suis limite égoïste sur ce point, jamais je n’aurais été capable de me contenter que de moi. Je te regarde fixement coinçant ma lèvre entre mes dents. Je me risque de nouveau, peut-être que je vais finir par t’avoir à l’usure mais malgré notre conversation de toute à l’heure, je suis plus doux. Y'a quelques chose de nouveau qui s'est installé dans la limousine. Ce ne sont pas des sentiments parce que je franchement toi et moi on se déteste, mais voilà. Je crois qu'il y a un truc de physique.. En plus je me suis calmé et franchement je suis sur le point de ne pas me reconnaître moi-même. « .. laisses-toi aller un peu, non ? » Te dis-je en déposant un baiser dans ton cou remontant doucement vers ton lobe d'oreille.
- InvitéInvité
« Depuis qu’on est marié t’as jamais osé ? Bon sens t’as oublié de vivre ou quoi ?» Je ne réponds pas à ta provocation, même que j’en ai rien à foutre de ce que tu peux me dire. En vrai, t’es seulement un imbécile parmi tant d’autre. De ce fait, tout ce qui sort de ta bouche, me rentre par une oreille et sort très rapidement par l’autre. De toute façon, tu es tellement pas intéressant, que je préfère regarder les Télétubbies à la télévision et les entendre répéter leur prénom plusieurs fois et voir cet enfant, dans le soleil rire au éclat. « laisses-toi aller un peu, non ? » Dès que tes lèvres touchent à mon cou, j’arrête tout ce que j’étais en train de faire et te repousse. « Euh ! Non ! Certainement pas avec toi et ta p’tite queue. Retourne faire mumuse dans ton coin. » Je remonte la fermeture éclair de mon jean et rattache le bouton, pour finalement m’asseoir, de nouveau, correctement sur la banquette de la limousine. « Comme si j’allais me laisser faire avec tout ce que tu m’as dit. T’es pas sérieux. Jamais plus tu ne vas poser tes sales pattes sur moi, Willow, alors, arrête! » Je te regarde, un sourire triomphant sur le visage et regarde ta colonne de chaire, bien élever sous ton pantalon. Même si j’avoue que c’est beau à voir, je ne fais absolument rien pour te soulager. Si tu étais quelqu’un d’autre, peut-être, mais là, tu peux toujours courir. Je sais qu’en agissant de la sorte, je risque de m’attirer plus d’ennuis que nécessaire, mais est-ce un problème ? Il me semble qu’on ne fait que ça se faire chier, autant continuer. Tu iras prendre une bonne douche froide et le tour sera joué.
Arrivé à la villa, je te laisse sortir de la limousine, prenant tout mon temps pour y sortir à mon tour. Je ne suis pas pressée de subir tes foudres, alors j’attends même que tu sois entré à l’intérieur pour me décider à bouger. Même que j’attends encore un peu pour profiter de la tranquillité qui règne. Parfois, je me dis que tout ça serait mieux si on mettait un frein à cette relation sans queue ni tête qui mène nul part. Lorsque je finis enfin par me relever et m’avancer pour entrer à mon tour dans la villa, mais je me rends compte que la porte d’entrée est fermée à clé. Je n’ai pas ma bécasse et elle ne se trouve pas dans la limousine. Ce qui veut dire que je suis prise dehors, après toute cette soirée merdique et c’est certain que tu te feras un malin plaisir à me laisser dehors, n’est-ce pas? Bordel, moi qui désirais aller prendre un bon bain chaud et me détendre de toute cette tension accumulée. « Willow! Ouvre-moi cette porte ! » Criai-je en donnant de vigoureux coup sur la porte d’entrée.
Arrivé à la villa, je te laisse sortir de la limousine, prenant tout mon temps pour y sortir à mon tour. Je ne suis pas pressée de subir tes foudres, alors j’attends même que tu sois entré à l’intérieur pour me décider à bouger. Même que j’attends encore un peu pour profiter de la tranquillité qui règne. Parfois, je me dis que tout ça serait mieux si on mettait un frein à cette relation sans queue ni tête qui mène nul part. Lorsque je finis enfin par me relever et m’avancer pour entrer à mon tour dans la villa, mais je me rends compte que la porte d’entrée est fermée à clé. Je n’ai pas ma bécasse et elle ne se trouve pas dans la limousine. Ce qui veut dire que je suis prise dehors, après toute cette soirée merdique et c’est certain que tu te feras un malin plaisir à me laisser dehors, n’est-ce pas? Bordel, moi qui désirais aller prendre un bon bain chaud et me détendre de toute cette tension accumulée. « Willow! Ouvre-moi cette porte ! » Criai-je en donnant de vigoureux coup sur la porte d’entrée.
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