YESTERDAY'S NEWS |48
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Déchéance, violence, abus, franchir ses limites, voilà des expressions qui me ressemblaient parfaitement. Je ne savais pas quelle heure il était, je voyais juste le soleil pointer le bout de son nez. Je marchais jusqu’à chez moi, tant bien que mal. Vers ce maudit immeuble qui empestait la pisse, des rats logeaient dans les couloirs, les murs étaient gras, noirs au possible. Mais je m’en fichais.
Je rampais contre ces murs moisis jusqu’à la moelle, mon corps me disait de dormir mais j’avais envie d’autre chose : baiser. Je rampais encore et encore jusqu’à atteindre la porte de Myles. Je me fichais de l’heure, je voulais baiser et je savais qu’il ne disait jamais non. J’avais chaud, ma vision était certes troublée, mais je tenais tant bien que mal debout.
- Ouvre enflure ! Je sais que t’es là. Ca pue trop la clope pour que tu sois pas là… Allez….
Je ne savais pas si je parlais, si j’hurlais, si je murmurais… Je n’avais aucune notion de rien. Le seul truc dont j’étais sûre c’était être devant la porte de Myles et de taper à la porte comme une débile mentale.
- Je veux baiser ouvre. Allez…
Je m’en fichais des voisins, on était tous dépravés et la plupart savait que j’étais qu’une putain d’actrice porno droguée à la coke et la weed. Puis par je ne sais quel miracle, j’entendis le parquet de l’autre côté de la porte grincer. Je restais appuyée contre la porte jusqu’à que cette dernière s’ouvre : je tombais à la renverse, littéralement, au sol.
- Putain…
J’ouvrais difficilement les yeux, ma vision était encore plus troublée, perturbée, je reconnaissais sa silhouette et là je me mis à rire comme une imbécile.
- Tu m’aides ? Sauf si tu veux me prendre comme ça, pourquoi pas…
Je continuais de rire connement, restant sur le dos, en étoile de mer, étalée sur le sol.
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Dark orgasm
Hawthorne & Myles
Des semaines que je dormais mal. Incapable de fermer l’oeil sans une dose de calmants. Et par calmants j’entendais bien sûr Marie-Jeanne. Cette nuit était surement la seule que je pouvais passer sans craindre d’être emmerdé. Mais c’était sans compter sur ma voisine… qui venait de me réveiller en sursaut en tambourinant comme une tarée sur ma porte. Comment je savais que c’était elle ? Parce qu’il y avait qu’elle pour balancer ce genre de phrase en hurlant dans tout le quartier... Putaiiiiin Hawthorne casse-toi... Je ronchonnais quelques secondes contre mon oreiller, en espérant qu’elle me foute la paix. Mais c’était trop tard, elle avait sûrement déjà réveillé toute la ville. J'utilisais toute ma force et ma volonté pour me lever, ajustant mon calbute et me frottant les yeux avant de me diriger vers la porte d’entrée pour l’ouvrir d’un geste brusque. Tu sais l’heure qu’il est ?! Et ferme la un peu tu gueule comme une truie ! La seule réponse que je reçus, c’est le corps d'Hawthorne qui s’écroulait juste sous mes yeux. Surpris et à moitié dans le pâté, je ne réagissais même pas, le regard figé sur elle. Je réalisais enfin son état assez pathétique. Qu’elle débarque à l’improviste pour me demander une partie de jambes en l’air, c’était pas nouveau. Mais qu’elle vienne à cinq heures du matin, et dans un état limite végétatif, c’était peut-être bien la première fois. Dans d’autres circonstances, cette situation m’aurait fait rire, mais j’étais bien trop crevé et énervé d’avoir été tiré d’un sommeil profond pour esquisser même un sourire. Vu ta gueule j’vais même pas réussir à bander. Tu ressemble à un cadavre, j’tape pas dans la nécro. J’attendais quelques secondes en profitant de cette scène. Puis je me baissais dans un long soupire pour l’aider à se relever. Elle me faisait presque de la peine. T’as pris combien de doses pour finir dans cet état ? Tu tiens même pas debout. Prendre soin d’elle ? Je sais pas vraiment si on pouvait appeler ça comme ça. De toute manière, j’étais bien trop crevé pour faire quoi que ce soit maintenant. Et vu son état, ce serait comme baiser une poupée gonflable, aucun intérêt. Viens prendre une douche froide plutôt. Et je parlais pas de sa libido insatiable mais plutôt des effets de ce qu’elle avait pris, histoire qu’elle reprenne un peu le monopole de son corps.
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@Hawthorne Livermore
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J'entendais la voix de Myles comme un écho pourtant il était pas si loin. Je le voyais là au-dessus de moi. Il semblait désespéré et ça me faisait sourire. Je restais là comme une étoile de mer, juste ma main venait toucher son mollet que je palpais et caressais.
- Je vais réussir à te faire bander, pas de soucis.
Je voulais m'assurer ne pas avoir fait tout ce chemin pour rien, j'étais peut être déchirée et à moitié dans un autre monde mais j'avais envie de le faire. Alors je pressais son mollet, écoutant ses paroles à demi-mots, mais mon corps était incapable de se lever. Je me forçais à garder les yeux ouverts, sa silhouette était presque trouble. Alors quand il me souleva pour me relever et m'emmener vers sa salle de bain, je comprenais rien, ou à moitié.
- Tu veux baiser sous la douche? Pourquoi pas, ça fait longtemps.
Je riais toute seule et j'essayais de venir embrasser le creux de son cou mais j'arrivais à peine à atteindre son épaule. Je n'avais plus conscience des distances. Je caressais tant bien que mal son torse, laissant glisser mes ongles sur sa peau mais vu la force que j'avais en moi à cet instant précis, ça devait plus lui faire des chatouilles qu'autre chose. Puis doucement, ma main descendait vers son entre jambe que j'avais déjà visité et revisité mais j'avais tellement du mal à faire quoique ce soit. Je trébuchais, je trainais des pieds, s'il ne me tenait pas, je serais encore à Terre.
- Allez s'il te plaît...
De toute mes forces je me mettais face à lui. Je me tenais comme je pouvais en mettant mes mains sur mes épaules et j'embrassais son cou que j'arrivais plus ou moins à atteindre. J'avais l'impression de le violer à ce rythme mais je n'étais même pas sûre d'être dans la réalité à ce rythme.
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Dark orgasm
Hawthorne & Myles
Les mains d'Hawthorne se baladaient sur mon corps. Elle cherchait à m’exciter, me proposait même de faire ça dans la douche. Je refuse rarement les avances d’une femme, surtout si c’est pour finir dans mon lit. Mais là j’étais à des kilomètres de l'excitation. Et même avec tous les efforts du monde de sa part, il y avait surement aucun moyen que je bande. Son comportement m’énervait plutôt qu’autre chose. Pas moyen qu’elle tienne debout toute seule. Je peinais à la porter et l’emmener jusqu’à la salle de bain. Pendant le trajet, Hawthorne essayait d’atteindre mon cou avec ses lèvres, alors que ses mains continuaient de glisser sur ma peau, jusqu’à même descendre un peu trop bas. Tout homme normalement constitué serait incapable de se montrer indifférent face à ça. Pour ma part, j’avais bien du mal à rester calme. Entre la frustration d’avoir été réveillé brusquement et celle de ne pas pouvoir profiter de l’occasion pour coucher avec elle. Dans son état, ça ne valait pas le coup. J’pense que t’as plus besoin de dormir que de baiser. J’atteignais enfin la salle de bain, Hawthorne toujours dans mes bras pour la maintenir debout, en m’efforçant de retenir ses mains bien trop baladeuses. Je la forçais à s’asseoir sur la baignoire. T’excite pas ou j’te fous sous la douche habillée. En essayant de ne pas laisser mes yeux profiter de la vue, j’aidais Hawthorne à se déshabiller. C’était un vrai combat entre ma conscience, les caresses de la blonde et cette foutue excitation qui montait malgré moi. Les hommes et le problème de ne pas pouvoir tout contrôler… Fais un effort putain j’ai l’impression de m’occuper d’une tétra! Colère qui cache la frustration. En essayant de faire passer Hawthorne dans la baignoire, je manquais de tomber avec elle. Scène pathétique.
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@Hawthorne Livermore
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Dark orgasm
Hawthorne & Myles
- T'es pas drôle aujourd'hui... Allez juste un petit coup... Cinq minutes.... Et après tu dors.
Je continuais de le toucher comme je pouvais même si je ne savais plus trop quel endroit je touchais... Je perdais notion du temps et de l'espace, ma vision se floutait et je me sentais horriblement lourde. J'entendais juste sa voix, là, au loin, il grognait, je sentais son regard révolver rivé sur moi et ça m'excitait.
- T'es tellement sexy énervé.
Je m'asseyais comme une merde sur le rebord de la baignoire. Je relevais ma tête vers lui et je ne comprenais vraiment pas pourquoi il m'avait emmené là. Je le laissais me déshabiller même si chacun de mes gestes devaient être au ralenti.
- C'est toi qui bouge lentement, tu sais mieux t'y prendre habituellement...
De là où j'étais j'attrapais instinctivement le haut de son boxer comme pour essayer de le baisser mais rien à faire, j'y arrivais pas. Mes doigts relâchaient automatiquement ce malheureux bout de tissu avant de me retrouver seins nus pour finir rapidement à poil. Il ne semblait pas du tout réceptif alors quand il se pencha pour me mettre dans la baignoire et qu'il tomba tête la première sur mes seins, je remontais délicatement son menton pour venir embrasser ses lèvres. Enfin j'espérais que c'était ses lèvres.
- Allez... Promis après je te fais plus chier.
Je riais connement en caressant ses cheveux, je repliais tant bien que mal mes jambes jusqu'à sentir la baignoire se remplir d'eau mais quand l'eau frôla ma peau, j'en oubliais presque Myles à moitié sur moi quand cette dernière se mit à me bruler. Je regardais difficilement mes jambes et elles étaient pleines de bleues et d'égratignures.
- Pourquoi tu m'as mis là...
On aurait presque dit une SDF qui avait dormi mille ans dans la rue vu l'état catastrophique de mes jambes, j'essayais alors de quitter cette baignoire déjà bien trop brûlante.
- Aide-moi ça me brûle la peau... Pourquoi tu fais ça... Ca m'excite pas..
Pourtant j'aimais quand ça faisait mal habituellement, la baise hard sans limite mais là... Je doute qu'il veuille me baiser vu comment il m'avait accueilli.
Je continuais de le toucher comme je pouvais même si je ne savais plus trop quel endroit je touchais... Je perdais notion du temps et de l'espace, ma vision se floutait et je me sentais horriblement lourde. J'entendais juste sa voix, là, au loin, il grognait, je sentais son regard révolver rivé sur moi et ça m'excitait.
- T'es tellement sexy énervé.
Je m'asseyais comme une merde sur le rebord de la baignoire. Je relevais ma tête vers lui et je ne comprenais vraiment pas pourquoi il m'avait emmené là. Je le laissais me déshabiller même si chacun de mes gestes devaient être au ralenti.
- C'est toi qui bouge lentement, tu sais mieux t'y prendre habituellement...
De là où j'étais j'attrapais instinctivement le haut de son boxer comme pour essayer de le baisser mais rien à faire, j'y arrivais pas. Mes doigts relâchaient automatiquement ce malheureux bout de tissu avant de me retrouver seins nus pour finir rapidement à poil. Il ne semblait pas du tout réceptif alors quand il se pencha pour me mettre dans la baignoire et qu'il tomba tête la première sur mes seins, je remontais délicatement son menton pour venir embrasser ses lèvres. Enfin j'espérais que c'était ses lèvres.
- Allez... Promis après je te fais plus chier.
Je riais connement en caressant ses cheveux, je repliais tant bien que mal mes jambes jusqu'à sentir la baignoire se remplir d'eau mais quand l'eau frôla ma peau, j'en oubliais presque Myles à moitié sur moi quand cette dernière se mit à me bruler. Je regardais difficilement mes jambes et elles étaient pleines de bleues et d'égratignures.
- Pourquoi tu m'as mis là...
On aurait presque dit une SDF qui avait dormi mille ans dans la rue vu l'état catastrophique de mes jambes, j'essayais alors de quitter cette baignoire déjà bien trop brûlante.
- Aide-moi ça me brûle la peau... Pourquoi tu fais ça... Ca m'excite pas..
Pourtant j'aimais quand ça faisait mal habituellement, la baise hard sans limite mais là... Je doute qu'il veuille me baiser vu comment il m'avait accueilli.
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Dark orgasm
Hawthorne & Myles
J’insultais ma maladresse. Le corps à moitié affalé sur celui de la blonde, la tête entre ses seins, les mains accrochées comme des serres sur le bord de la baignoire pour éviter d’écraser Hawthorne, je ronchonnais contre elle, contre moi-même. Pas le temps de me redresser pour sortir de là alors que l’eau commence à couler. Sa main vient attraper mon menton pour approcher mes lèvres. Baiser humide et doux qui suffit à réveiller une partie de moi que j’aurais aimé laisser endormie. Hawthorne insiste, encore une fois. Elle lâchera jamais l’affaire, malheureusement. Tu fais chier. je me contentais simplement de lui balancer, l’assurance en moins dans la voix. C’était le problème de trainer avec une nana qui me connaissait un peu trop. La blonde commençait à réagir au contact de l’eau. Sourire en coin, je l’observais essayer de se redresser mais elle n’avait pas la force. Ma main agrippait rapidement le visage d'Hawthorne pour l’empêcher de bouger, tandis que j’essayais de tourner le robinet vers l’eau froide. Laisses-toi faire. Regard menaçant. Mes yeux trahissaient le désir qui grimpait lentement. Moi, ça commençait à m’exciter. Je connaissais pourtant ce corps par coeur. Mais l’appel à la chaleur d’une peau féminine était bien plus fort que la fatigue. Sans doutes un mélange de colère et de cachets de la veille, un joli cocktail qui faisait gentiment bouillir mon sang. J’avais l’habitude pourtant. Profiter de la faiblesse des autres, ça me connaissait. C’était ma manière de fonctionner. Frapper ceux qui pouvaient pas se défendre. Même parfois violer celles qui avaient un peu trop abusé de l’alcool ou des cachets. J’étais le connard de première, celui à qui on évitait d’accorder sa confiance pendant une soirée. Celui avec qui on évitait de se retrouver seule. Celui qui s’amusait même à balancer quelques cachetons dans les verres pour le fun. Hawthorne était peut-être l’une des seules avec qui je pouvais me permettre d’être moi-même encore aujourd’hui. Le connard. C’était moi. La baignoire continuait de se remplir, mais l’eau était bien plus fraîche. Agenouillé au-dessus de la blonde, j’attrapais le gant pour commencer à frotter sa peau. Je me cachais plus vraiment de reluquer son corps avec une certaine perversité. Je sentais que je perdais peu à peu le contrôle. Démerde toi pour le reste, faut que j’me fasse une ligne. Un coup de stress et le besoin se faisait aussitôt ressentir. Je jetais alors le gant sur Hawthorne avant d’essayer de sortir de la baignoire sans me casser la gueule, direction le salon pour chercher mon sachet.
Made by Neon Demon
@Hawthorne Livermore
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Dark orgasm
Hawthorne & Myles
Il me fusillait du regard, je commençais à le toucher mais il me répondait d'un air mécontent. Ca me faisait sourire.... Une de mes mains tomba dans l'eau brûlante avant qu'une se balade sur son corps, tant bien que mal cherchant son chemin. Je souriais et mes yeux se fermaient machinalement alors que j'en avais pas envie. Mon sourire disparut très vite lorsqu'il me tint le visage fermement jusqu'à me faire lâcher un petit gémissement. Instinctivement ma main sur son bras glissa sur son poignet que je tenais plus ou moins fermement. Mes yeux restaient grands ouverts face aux siens tandis qu'ils maintenaient en place mon visage. Je sentis vite la différence de température, j'eus de bref frissons et je bougeais encore plus dans cette eau désormais tiède. Mes tétons pointaient sous le changement de température et je ne lâchais pas son poignet. J'étais étalée dans cette baignoire alors qu'il me dominait pour essayer de faire je ne sais quoi. Il n'était pas du genre... "à prendre soin des gens" alors à quoi jouait-il?
- Pourquoi tu veux pas me baiser?
Répétais-une une énième fois en me mettant à rire sans raison apparente.
- Tu t'occupes de moi mais pas de la bonne façon....
Je devais parler avec un air à moitié endormi, en articulant à peine, mes yeux se faisaient lourd mais quand il commença à me lever à l'aide de son gant, mon bas ventre me titillait davantage. Sans attente, sans gêne, ma main qui se noyait dans l'eau vint se poser sur son sexe que je touchais faiblement. Je pouvais sentir la forme de ce dernier et je souriais doucement à ce bref touché. Il refusait de me baiser mais pourquoi avait-il insisté pour me foutre à poil dans la baignoire jusqu'à venir me laver à l'aide d'un gant?
- Tu frottes pas aux bons endroits.
A peine ces mots prononcés à faible intensité qu'il me jeta le gant presque à la figure me disant qu'il voulait aller s'en aligner une. Je le retenais par le poignet à l'aide de mes deux mains jusqu'à me redresser dans la baignoire. J'attrapais une de ses mains pour venir suçoter son index, le regardant fixement.
- Reste...
Je ramenais la main que je tenais en otage vers ma poitrine, mon autre main de libre se plaça sur sa cuisse et je remontais doucement vers son entre-jambe. Du moins, c'était ce que je pensais. J'étais tellement à l'ouest... Habituellement on serait déjà en train de baiser à cette heure ci. Mais là... Il préférait se défoncer seul, me laissant ainsi comme une imbécile.
- Je le vois à ton regard que t'en as envie... Allez....
J'étais tellement fatiguée que je n'étais pas sûre de pouvoir insister éternellement. Son corps réagissait, le peu que je percevais de ses yeux le trahissait.... Pourquoi ne voulait-il plus rien de moi? Je ne pouvais pas le violer quand même puis de toute façon vu l'état dans lequel j'étais, juste me relever de cette baignoire allait être compliqué.
- Pourquoi tu veux pas me baiser?
Répétais-une une énième fois en me mettant à rire sans raison apparente.
- Tu t'occupes de moi mais pas de la bonne façon....
Je devais parler avec un air à moitié endormi, en articulant à peine, mes yeux se faisaient lourd mais quand il commença à me lever à l'aide de son gant, mon bas ventre me titillait davantage. Sans attente, sans gêne, ma main qui se noyait dans l'eau vint se poser sur son sexe que je touchais faiblement. Je pouvais sentir la forme de ce dernier et je souriais doucement à ce bref touché. Il refusait de me baiser mais pourquoi avait-il insisté pour me foutre à poil dans la baignoire jusqu'à venir me laver à l'aide d'un gant?
- Tu frottes pas aux bons endroits.
A peine ces mots prononcés à faible intensité qu'il me jeta le gant presque à la figure me disant qu'il voulait aller s'en aligner une. Je le retenais par le poignet à l'aide de mes deux mains jusqu'à me redresser dans la baignoire. J'attrapais une de ses mains pour venir suçoter son index, le regardant fixement.
- Reste...
Je ramenais la main que je tenais en otage vers ma poitrine, mon autre main de libre se plaça sur sa cuisse et je remontais doucement vers son entre-jambe. Du moins, c'était ce que je pensais. J'étais tellement à l'ouest... Habituellement on serait déjà en train de baiser à cette heure ci. Mais là... Il préférait se défoncer seul, me laissant ainsi comme une imbécile.
- Je le vois à ton regard que t'en as envie... Allez....
J'étais tellement fatiguée que je n'étais pas sûre de pouvoir insister éternellement. Son corps réagissait, le peu que je percevais de ses yeux le trahissait.... Pourquoi ne voulait-il plus rien de moi? Je ne pouvais pas le violer quand même puis de toute façon vu l'état dans lequel j'étais, juste me relever de cette baignoire allait être compliqué.
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