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YESTERDAY'S NEWS |48
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 3124
Messages : 355
Date d'inscription : 03/04/2018
Avatar : Louis Tomlinson
Crédits : jukeboxe
Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : nothing
Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
On joue à l'invité surprise !
Sarah & Travis
Il était environs dix heures lorsque j'ai pris la décision d'enfiler mes baskets pour aller courir quelques kilomètres. Rien de bien manger malgré qu'on me l'ai formellement interdit depuis ma sorti de l'hôpital il y a de cela hier. Je pouvais à nouveau me sentir libre comme l'air, plus besoin de respecter les horaires du coucher, mais surtout, les horaires des repas. Les repas, rien que le mot me fou la chaire de poule. Au delà de ça, j'avais retrouvé un poids dit dans la moyenne, malgré que je sois toujours avec ma nouvelle meilleure amie, la sonde nasogastrique. Le truc le moins glamour au monde. Heureusement que je n'ai pas non plus à l'a porter H24. Je ne préférais même pas pensé au nombre de calories qu'ils avaient mis là dedans.
Survêtement enfilé, lacets fait, je claquais la porte derrière moi. Trente minutes, une heure, une heure trente, deux heures. Je suis quelqu'un de très endurant. Je regardais ma montre qui calculait le moindre de mes faits et gestes afin de connaître mes statistiques. Je m'étais une nouvelle fois surpassé et ça, ça fait plaisir. A bout de souffle et manquant une marche pour atteindre ma maison -vous ne croyez tout de même pas que j'habite en appartement- j'ouvrais d'un pas assuré la porte de chez moi afin de me diriger illico presto vers le frigo pour m'enfiler une bouteille d'eau d'un litre cinq d'un coup.
Face à mon frigo, je descendais la bouteille tout en me retournant avant de manquer de m'étouffer. « Putain, mais vous faites quoi chez moi ?! » C'est surprenant quand on rentre chez soit en espérant pouvoir être seul tranquille chez soit et se retrouve face à une brunette en train de déballer sa valise comme si de rien n'était. Mon sang ne fit qu'un tour, mon cerveau aussi d'ailleurs, tout en me remémorant que j'avais posté une annonce pour avoir un ou une colocataire avec moi. La condition pour que je ne sois pas condamné à rester vivre dans un hôpital.
Encore tout transpirant, je m'essuyant légèrement le visage, mes cheveux qui me disaient un petit peu merde. Paye ta présentation. « Tu dois êtres ma coloc » A vrai dire, je n'aurais pas pensé que cela aille si vite. « Enchanté, moi c'est Travis » Tout ce dont j'espérais, c'est qu'elle n'empiète pas sur ma vie. Chacun fait sa vie sans se préoccuper de l'autre ici. Toujours devant le frigo, je venais à m'appuyer tout doucement sur le comptoir. Une chose est sûre, va falloir imposer des règles.
Survêtement enfilé, lacets fait, je claquais la porte derrière moi. Trente minutes, une heure, une heure trente, deux heures. Je suis quelqu'un de très endurant. Je regardais ma montre qui calculait le moindre de mes faits et gestes afin de connaître mes statistiques. Je m'étais une nouvelle fois surpassé et ça, ça fait plaisir. A bout de souffle et manquant une marche pour atteindre ma maison -vous ne croyez tout de même pas que j'habite en appartement- j'ouvrais d'un pas assuré la porte de chez moi afin de me diriger illico presto vers le frigo pour m'enfiler une bouteille d'eau d'un litre cinq d'un coup.
Face à mon frigo, je descendais la bouteille tout en me retournant avant de manquer de m'étouffer. « Putain, mais vous faites quoi chez moi ?! » C'est surprenant quand on rentre chez soit en espérant pouvoir être seul tranquille chez soit et se retrouve face à une brunette en train de déballer sa valise comme si de rien n'était. Mon sang ne fit qu'un tour, mon cerveau aussi d'ailleurs, tout en me remémorant que j'avais posté une annonce pour avoir un ou une colocataire avec moi. La condition pour que je ne sois pas condamné à rester vivre dans un hôpital.
Encore tout transpirant, je m'essuyant légèrement le visage, mes cheveux qui me disaient un petit peu merde. Paye ta présentation. « Tu dois êtres ma coloc » A vrai dire, je n'aurais pas pensé que cela aille si vite. « Enchanté, moi c'est Travis » Tout ce dont j'espérais, c'est qu'elle n'empiète pas sur ma vie. Chacun fait sa vie sans se préoccuper de l'autre ici. Toujours devant le frigo, je venais à m'appuyer tout doucement sur le comptoir. Une chose est sûre, va falloir imposer des règles.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 11/03/2018
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Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Déménager n’avait pas été réalisé de bon cœur. J’avais l’habitude de devoir changer régulièrement d’appartement, mais cette fois-ci avait été un réel casse-tête. Parce que je voulais un appartement seule, dans le quartier nord et surtout pouvoir faire ce que je souhaitais dedans, style décoration et j’en passe. Malheureusement pour moi, le marché était ce qu’il était et je devais m’y plier. Autant dire que j’avais failli mettre le feu à l’agence lorsqu’ils m’avaient dit que, par « erreur », ils avaient signé pour moi dans une colocation. La blague. Je vous promets, j’avais failli rire à m’en étouffer. J’aimerais leur demander comment ils feraient, en vivant avec une autre personne, inconnue qui plus est je précise, afin de faire des choses pas très très légales sans que l’autre personne ne vous dénonce. Impossible, pas vrai ? De toute manière, je n’avais pas le choix et je devais me taire, en attendant de changer sûrement très vite de lieu de vie. Ce devait être le dixième appartement – au moins – que je quittais donc ma valise était rapidement faite. Je n’avais pas énormément d’affaires et j’en changeais très fréquemment, pour éviter de tomber dans une routine monotone et aider mon prochain. L’ensemble de mes anciens habits étaient soit donnés, soit vendus pour un rien. Je gagnais assez – sans non plus être riche – pour pouvoir vivre confortablement et je n’étais pas du genre matérialiste. C’était pareil pour le reste de ma vie quotidienne : acheter le strict nécessaire, manger des produits frais, jeter le moins possible et j’en passe. J’espérais que mon nouveau colocataire n’était pas du genre à vivre à l’inverse de moi, sinon ça allait probablement faire des étincelles.
Arrivant à l’appartement vers 11h, je fus surprise que personne ne m’ouvre, décidant d’entrer avec ma clé personnelle. Personne dedans non plus. Je compris rapidement que mon colocataire était un homme et cela ne me gênait pas le moins du monde. Au contraire, d’ailleurs. En faisant rapidement le tour de l’appartement, je voyais que tout était en bon état et correctement rangé. C’était déjà ça. À ma grande surprise, il n’y avait pas grand-chose dans le frigo, mais ce n’était pas si grave, à mon sens. Suite à mon inspection, j’avais décidé de chercher ma chambre. Je tombais d’abord sur celle de mon colocataire, avant de trouver la mienne. Déposant quelques affaires dedans, j’avais deux-trois objets de décoration que je souhaitais mettre dans le salon et, alors que je m’afférais à ma tâche, un jeune homme de mon âge je dirais entrait dans l’appartement et sans me voir, se dirigeait vers la cuisine ouverte. Mon regard l’analysait très vite : grand, mince, sportif, brun, essoufflé et très attirant. Autant dire ce qui était. Je me retenais de rire en le voyant me faire face. Tiens, il ne semblait pas au courant qu’il allait devoir me supporter, c’est intéressant. Roulant des yeux, je préférais le laisser se rendre compte de ses paroles et de rapidement réfléchir à qui je pourrais être. Certes, vu mon regard sur lui, il pourrait penser à une folle venue ici pour le violer, mais promis.. ce n’était pas dans mes intentions, pour le moment.
Mes yeux ne loupaient pas son t-shirt qui se soulevait pour qu’il vienne s’essuyer avec. Ça n’avait rien de glamour, mais sa peau brillante m’attirait quelque peu. Je voyais aussi qu’il n’était pas très épais, mais ça ne me choquait pas plus que cela, de prim’abord. Approchant de lui, je souriais en l’entendant me dire que je devais être sa colocataire. « Exact » fis-je avant qu’il ne pense à appeler la police. Comme rencontre, il y avait mieux mais.. En croisant son regard, je me stoppais un léger moment, persuadée que nos chemins s’étaient déjà croisés dans le passé. Où ? Quand ? Comment ? Un « tilt » se fit dans ma tête alors que je souriais malicieusement. Travis. Malheureusement pour lui, j’avais une excellente mémoire. « Je vois que tu es un garçon qui n’a pas peur de se mouiller » dis-je avec légèreté, parlant de sa transpiration.. et non de son plongeon mémorable il y a quelques années dans une piscine, lors d’un Spring Break. Si j’avais pensé le revoir un jour ? Absolument pas, mais ça ne me dérangeait pas. Nous avions passé un agréable moment ensemble, alors être en colocation avec lui était looooin d’être un calvaire ! « Sarah » soufflais-je, sachant parfaitement que tout le monde n’avait pas une mémoire d’éléphant comme moi. J’espérais tout de même que sa phrase d’il y a quelques temps lui reviendrait et qu’il percuterait sur qui je suis. Sinon ? Je le prendrais mal, mais c’est ainsi.
Arrivant à l’appartement vers 11h, je fus surprise que personne ne m’ouvre, décidant d’entrer avec ma clé personnelle. Personne dedans non plus. Je compris rapidement que mon colocataire était un homme et cela ne me gênait pas le moins du monde. Au contraire, d’ailleurs. En faisant rapidement le tour de l’appartement, je voyais que tout était en bon état et correctement rangé. C’était déjà ça. À ma grande surprise, il n’y avait pas grand-chose dans le frigo, mais ce n’était pas si grave, à mon sens. Suite à mon inspection, j’avais décidé de chercher ma chambre. Je tombais d’abord sur celle de mon colocataire, avant de trouver la mienne. Déposant quelques affaires dedans, j’avais deux-trois objets de décoration que je souhaitais mettre dans le salon et, alors que je m’afférais à ma tâche, un jeune homme de mon âge je dirais entrait dans l’appartement et sans me voir, se dirigeait vers la cuisine ouverte. Mon regard l’analysait très vite : grand, mince, sportif, brun, essoufflé et très attirant. Autant dire ce qui était. Je me retenais de rire en le voyant me faire face. Tiens, il ne semblait pas au courant qu’il allait devoir me supporter, c’est intéressant. Roulant des yeux, je préférais le laisser se rendre compte de ses paroles et de rapidement réfléchir à qui je pourrais être. Certes, vu mon regard sur lui, il pourrait penser à une folle venue ici pour le violer, mais promis.. ce n’était pas dans mes intentions, pour le moment.
Mes yeux ne loupaient pas son t-shirt qui se soulevait pour qu’il vienne s’essuyer avec. Ça n’avait rien de glamour, mais sa peau brillante m’attirait quelque peu. Je voyais aussi qu’il n’était pas très épais, mais ça ne me choquait pas plus que cela, de prim’abord. Approchant de lui, je souriais en l’entendant me dire que je devais être sa colocataire. « Exact » fis-je avant qu’il ne pense à appeler la police. Comme rencontre, il y avait mieux mais.. En croisant son regard, je me stoppais un léger moment, persuadée que nos chemins s’étaient déjà croisés dans le passé. Où ? Quand ? Comment ? Un « tilt » se fit dans ma tête alors que je souriais malicieusement. Travis. Malheureusement pour lui, j’avais une excellente mémoire. « Je vois que tu es un garçon qui n’a pas peur de se mouiller » dis-je avec légèreté, parlant de sa transpiration.. et non de son plongeon mémorable il y a quelques années dans une piscine, lors d’un Spring Break. Si j’avais pensé le revoir un jour ? Absolument pas, mais ça ne me dérangeait pas. Nous avions passé un agréable moment ensemble, alors être en colocation avec lui était looooin d’être un calvaire ! « Sarah » soufflais-je, sachant parfaitement que tout le monde n’avait pas une mémoire d’éléphant comme moi. J’espérais tout de même que sa phrase d’il y a quelques temps lui reviendrait et qu’il percuterait sur qui je suis. Sinon ? Je le prendrais mal, mais c’est ainsi.
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 24 ans
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Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
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Je regrettais déjà d'avoir céder pour une collocation. Non pas qu'elle soit méchante -je ne l'a connaissais même pas- mais partager mon quotidien avec une autre personne, c'était sujet de nombreuses disputes surtout si les deux personnes en question n'ont rien de commun entre eux. J'osais espérer que la propreté soit son domaine, car dans le genre maniaque, j'ai quelques oscars. Aux premiers abords elle présentait bien, donc je ne m'allarmais pas plus que cela, souriant à son accueil qui semblait plutôt conviviale, même si j'avais du mal à saisir son "pique ?" Je regardais ma bouteille d'eau en fronçant les sourcils, pas sûr de comprendre sa blague. Nous n'avions pas le même sens de l'humour, probablement.
"Enchanté Sarah" Dis-je sincèrement. "Je vois que tu as déjà commencé à t'installer" Dis-je dans un mouvement tête pour désigner ses affaires qui commençaient à habiter les lieux. Je finissais ma bouteille d'eau pour l'a remplir à nouveau et l'a remettre bien droite dans le frigo. "Tu veux un thé, de l'eau ou du café ?" Essayons d'être un minimum courtois avant de l'agresser avec tes règles de vie à respecter. Donc autant faire ça dans les règles de l'art, autour d'une petite boisson. " Je voyais bien que son regard se perdait sur mon corps et ça ne mettait pas spécialement à l'aise, toute cette histoire. "Si tu pouvais arrêter de me regarder comme si j'étais un bout de viande par contre se serait sympa" Calme toi Travis, ne te l'a met pas à dos tout de suite avec ton caractère de merde si vous êtes amené à vivre ensemble pendant une période indéterminée.
"Enchanté Sarah" Dis-je sincèrement. "Je vois que tu as déjà commencé à t'installer" Dis-je dans un mouvement tête pour désigner ses affaires qui commençaient à habiter les lieux. Je finissais ma bouteille d'eau pour l'a remplir à nouveau et l'a remettre bien droite dans le frigo. "Tu veux un thé, de l'eau ou du café ?" Essayons d'être un minimum courtois avant de l'agresser avec tes règles de vie à respecter. Donc autant faire ça dans les règles de l'art, autour d'une petite boisson. " Je voyais bien que son regard se perdait sur mon corps et ça ne mettait pas spécialement à l'aise, toute cette histoire. "Si tu pouvais arrêter de me regarder comme si j'étais un bout de viande par contre se serait sympa" Calme toi Travis, ne te l'a met pas à dos tout de suite avec ton caractère de merde si vous êtes amené à vivre ensemble pendant une période indéterminée.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Avec : Travis C. Gaultier
Avoir une énorme mémoire n’est pas un avantage, ni un inconvénient. Cela permet juste d’avoir des souvenirs gravés dans nos esprits et de pouvoir se rappeler de nos égarements passés. Je ne pourrais pas dire que ces souvenirs me bloquent, mise à part un seul car il est très récent et non classé, pour le moment. Je me rappelais autant des « bons » moments que ceux qui sont moins agréables. Cela faisait un tout qui nous poussait à continuer à avancer dans la vie, aussi étrange soit-elle. Tout le monde n’a pas cette capacité et elle est souvent associée à un majeur inconvénient dans nos vies, mais j’étais ravie de pouvoir compter sur cette compétence dans ma vie. À ma grande perplexité, Travis ne semblait pas se rappeler de notre moment ensemble il y a quelques années. Ce que je ressentais ? Pour être totalement franche, ça me vexait. J’avais repris ses paroles et rien, même pas une question vis-à-vis de mes paroles. Il semblait ne pas comprendre de quoi je parlais et ça m’agaçait quelque peu, c’est vrai. Sa remarque sur le fait que je m’étais installée ne me touchait pas. Est-ce une remarque négative ? De toute façon, si tel était le cas, j’étais chez moi autant que chez lui désormais, autant être clair là-dessus. « Je n’ai pas beaucoup d’affaires, soit sans crainte » dis-je en roulant des yeux. Bon, j’allais éviter de lui dire que je comptais refaire la décoration, sinon il allait me tuer. En même temps, ce n’était pas très moderne et il y aurait deux-trois trucs à refaire, à mon sens.
La conversation était terriblement banale. Quoi, c’était tout ? Je devais faire comme si je ne le connaissais pas ? Si ça se trouve, il savait très bien qui j’étais, mais il préférait ne pas y songer. C’est triste de se voiler la face de cette manière. « Un thé vert, si tu as » murmurais-je, un peu lassée. Alors histoire de ne pas perdre le fil de notre échange, mon regard le détaillait toujours autant. Je ne pourrais pas comparer l’homme que j’avais en face de moi avec celui d’il y a quelques années, car il était bien trop habillé pour ça. Apparemment, cela l’embêtait rapidement. Depuis quand un homme n’aime pas être regardé avec autant d’insistance ? « T’es moins agressif sur ton physique quand tu bois trop » lâchais-je avec une douceur sournoise. S’il comptait que je lui rafraîchisse la mémoire moins gentiment, il n’y avait aucun problème, j’avais moi aussi mon caractère. « Si ça te dérange que je sois là, il faut juste le dire et je vais ailleurs » Bon, je ne savais pas où je pourrais aller, mais s’il ne changeait pas, cette situation allait être explosive et j’aimerais éviter qu’on est une relation conflictuelle. Notre dernière rencontre – enfin, première en soit – n’avait pas été désagréable alors.. Pourquoi ne pas la remettre sur le tapis ?
La conversation était terriblement banale. Quoi, c’était tout ? Je devais faire comme si je ne le connaissais pas ? Si ça se trouve, il savait très bien qui j’étais, mais il préférait ne pas y songer. C’est triste de se voiler la face de cette manière. « Un thé vert, si tu as » murmurais-je, un peu lassée. Alors histoire de ne pas perdre le fil de notre échange, mon regard le détaillait toujours autant. Je ne pourrais pas comparer l’homme que j’avais en face de moi avec celui d’il y a quelques années, car il était bien trop habillé pour ça. Apparemment, cela l’embêtait rapidement. Depuis quand un homme n’aime pas être regardé avec autant d’insistance ? « T’es moins agressif sur ton physique quand tu bois trop » lâchais-je avec une douceur sournoise. S’il comptait que je lui rafraîchisse la mémoire moins gentiment, il n’y avait aucun problème, j’avais moi aussi mon caractère. « Si ça te dérange que je sois là, il faut juste le dire et je vais ailleurs » Bon, je ne savais pas où je pourrais aller, mais s’il ne changeait pas, cette situation allait être explosive et j’aimerais éviter qu’on est une relation conflictuelle. Notre dernière rencontre – enfin, première en soit – n’avait pas été désagréable alors.. Pourquoi ne pas la remettre sur le tapis ?
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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En soit, le nombre d'affaires qu'elle pouvait avoir, je m'en fichais un peu, tant qu'elle était du genre à les ranger et à être organiser. Je ne suis pas du genre difficile à vivre, mais j'ai quelques tocs qu'il ne faut pas perturber de peur que cela finisse mal. J'enclenchais l'a bouilloire qui se mit en route doucement, mais sûrement, avant de sortir un petit thé vert pour la demoiselle et un citron pour moi que je rajouterais à mon eau bouillante. Elle ne semblait pas apprécier ma réaction et cela montrait bien qu'elle n'était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds. Fronçant une nouvelle fois les sourcils, j'essayais de me souvenir de la demoiselle. On n'utilise pas ce genre de phrase à une personne qu'on n'a jamais vu de notre vie. Ou bien elle débloque complètement et dans ces cas-là, je veux bien qu'elle prenne ses affaires pour faire demi tour.
Sarah....mais bien sûr ! Pas étonnant que je ne m'en souvienne pas de suite, cela remonte à des années maintenant et autant dire que j'ai dormi depuis. "Je vois" disais-je dans un petit rire, alors que je servais sa tasse d'eau bien chaude avant de faire couler son sachet de thé. "Attention à ne pas te brûler" une phrase à double sens ? Peut-être bien, je l'a laisse méditer là-dessus. "Sarah, qui l'eu cru que nos chemins finiraient par se recroiser" Personne et sûrement pas moi. Je pressais mon citron pour l'accompagner avec mon eau avant de m'appuyer contre le plan de travail pour boire. "Si seulement c'était si simple, t'as pas le droit de partir. Faut lire les petites lignes des contrats" Elle avait besoin d'un logement, je n'ai pas le droit de vivre seul, alors autant dire que tant qu'ils n'ont pas trouvé quelqu'un d'autre pour vivre avec moi, elle était coincé ici. "Tu verras, je ne suis pas difficile à vivre tant que tu range derrière toi et que tu ne salis pas tout, on devrait réussir à s'entendre" Je souriais avant de me brûler la langue.; "Ha putain !" c'est plutôt à moi de faire attention de ne pas me brûler apparemment.
Sarah....mais bien sûr ! Pas étonnant que je ne m'en souvienne pas de suite, cela remonte à des années maintenant et autant dire que j'ai dormi depuis. "Je vois" disais-je dans un petit rire, alors que je servais sa tasse d'eau bien chaude avant de faire couler son sachet de thé. "Attention à ne pas te brûler" une phrase à double sens ? Peut-être bien, je l'a laisse méditer là-dessus. "Sarah, qui l'eu cru que nos chemins finiraient par se recroiser" Personne et sûrement pas moi. Je pressais mon citron pour l'accompagner avec mon eau avant de m'appuyer contre le plan de travail pour boire. "Si seulement c'était si simple, t'as pas le droit de partir. Faut lire les petites lignes des contrats" Elle avait besoin d'un logement, je n'ai pas le droit de vivre seul, alors autant dire que tant qu'ils n'ont pas trouvé quelqu'un d'autre pour vivre avec moi, elle était coincé ici. "Tu verras, je ne suis pas difficile à vivre tant que tu range derrière toi et que tu ne salis pas tout, on devrait réussir à s'entendre" Je souriais avant de me brûler la langue.; "Ha putain !" c'est plutôt à moi de faire attention de ne pas me brûler apparemment.
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Avec : Travis C. Gaultier
Tout aurait pu si bien commencer, alors pourquoi envenimer les choses ? Parce que j’étais ainsi, à détruire mes relations les unes après les autres, tourmenter les autres autant que moi-même et j’en passe. Alors forcément, quand je me sens agacée, je riposte facilement et ce n’est jamais avec douceur, ou très rarement. De plus, le fait qu’il ne se souvienne pas de moi me vexait car je pensais qu’il tilterait facilement sur mes propos qui avait été les siens quelques années plus tôt. Les années font oublier des souvenirs aux gens, mais de là à ce qu’il m’est effacé de sa mémoire, moi, et bien je n’étais pas satisfaite du tout. En particulier parce que j’avais l’impression qu’il se fichait de se remémorer notre moment ensemble. Prête à être sur la défensive pour de bon, je le vis enfin percuter. Ce n’était pas trop tôt, franchement. Sa phrase sur le danger de l’eau chaude me fit sourire alors que j’y voyais une légère provocation. Me brûler ? Je n’en avais pas peur, loin de là. J’étais prête à laisser ma main dans le feu, autant que de me laisser couler sans ciller. « Le destin fait bien les choses, autant que le hasard » soufflais-je avec malice, gardant ma tasse dans mes mains pour le moment, sans boire. Je le regardais faire avec curiosité, trouvant fade le fait de boire un citron avec de l’eau. Bon, c’était moins étrange que de boire uniquement de l’eau chaude toute seule, mais quand même.
Piquée au vif, je lui avais fait la remarque sur le fait que s’il ne voulait pas de ma présence, je pouvais refaire ma valise et partir. Apparemment, quelque chose dans le contrat faisait que j’étais coincée avec lui. Je n’allais pas râler car il y avait pire comme présence obligatoire dans le monde. Surtout qu’il peut y avoir des avantages à être avec lui toute la journée – et la nuit. « Je ne suis pas du genre à perdre mon temps à lire des petites lignes, tu sais » J’étais une femme d’action, il devait progressivement s’en souvenir. « Si tu me retiens ici.. je ne vais pas me plaindre » murmurais-je en ayant bien une idée en tête pour combler notre temps libre ensemble. « Tu es conscient que tu vas devoir me supporter H24 ? » le défiais-je, ne voulant pas le laisser dans l’ignorance que je travaillais à distance – ou à domicile, mais je n’allais pas lui avouer ça tout de suite. A ses paroles, je fus soulagée de savoir que nous étions deux maniaques alors pour le coup, ça irait très bien entre nous. « Sur ce point, tu peux respirer, je range toujours derrière mon passage, surtout en cuisinant » Pas qu’il s’inquiète un jour en arrivant dans la cuisine en bordel pendant que je fais à manger, tout serait propre une fois terminé.
Le voir se brûler la langue me fit sourire en coin. Posant ma tasse de côté, je venais ouvrir le frigo puis le petit congélateur pour en sortir un glaçon. Sans me poser de question, je venais poser le petit cube près des lèvres de mon mignon colocataire. « Ouvre la bouche » lui demandais-je, assez sensuellement je l’avoue car je préférais vraiment l’embrasser plutôt que de le charmer comme ça. J’aurais pu utiliser un yaourt pour calmer la brûlure, mais il n’y en avait aucun dans le frigo, ce que je trouvais surprenant. Un yaourt nature non sucré, c’est quand même la base dans un frigo pour réaliser de nombreuses recettes en cuisine. Enfin, peut-être est-ce la fin du mois pour lui.
Piquée au vif, je lui avais fait la remarque sur le fait que s’il ne voulait pas de ma présence, je pouvais refaire ma valise et partir. Apparemment, quelque chose dans le contrat faisait que j’étais coincée avec lui. Je n’allais pas râler car il y avait pire comme présence obligatoire dans le monde. Surtout qu’il peut y avoir des avantages à être avec lui toute la journée – et la nuit. « Je ne suis pas du genre à perdre mon temps à lire des petites lignes, tu sais » J’étais une femme d’action, il devait progressivement s’en souvenir. « Si tu me retiens ici.. je ne vais pas me plaindre » murmurais-je en ayant bien une idée en tête pour combler notre temps libre ensemble. « Tu es conscient que tu vas devoir me supporter H24 ? » le défiais-je, ne voulant pas le laisser dans l’ignorance que je travaillais à distance – ou à domicile, mais je n’allais pas lui avouer ça tout de suite. A ses paroles, je fus soulagée de savoir que nous étions deux maniaques alors pour le coup, ça irait très bien entre nous. « Sur ce point, tu peux respirer, je range toujours derrière mon passage, surtout en cuisinant » Pas qu’il s’inquiète un jour en arrivant dans la cuisine en bordel pendant que je fais à manger, tout serait propre une fois terminé.
Le voir se brûler la langue me fit sourire en coin. Posant ma tasse de côté, je venais ouvrir le frigo puis le petit congélateur pour en sortir un glaçon. Sans me poser de question, je venais poser le petit cube près des lèvres de mon mignon colocataire. « Ouvre la bouche » lui demandais-je, assez sensuellement je l’avoue car je préférais vraiment l’embrasser plutôt que de le charmer comme ça. J’aurais pu utiliser un yaourt pour calmer la brûlure, mais il n’y en avait aucun dans le frigo, ce que je trouvais surprenant. Un yaourt nature non sucré, c’est quand même la base dans un frigo pour réaliser de nombreuses recettes en cuisine. Enfin, peut-être est-ce la fin du mois pour lui.
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Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Le destin, le hasard, le cheval ? Je ne sais pas comment dans un monde aussi grand, on peut quand même réussir à recroiser des personnes qui datent de Mathusalem. Je me dis que j'aurais pu tomber sur pire comme genre un mec hyper crasseux qui bouffe fast food tous les jours et qui laisse des poils pubiens au fond de la baignoire. J'étais donc extrêmement rassuré lorsqu'elle me fit part qu'elle était presque tout aussi maniaque moi. Je pouvais enfin respirer. L'agence avait bien choisit la personne qui devra partager mon quotidien. Personne qui ne savait pas dans quoi elle c'était embarqué puisque apparemment, la lecture n'est pas son point fort. Maintenant, elle savait à peu près dans quoi elle s'était embarqué, probablement sans trop le savoir.
"Tu ne travaille pas ?" demandais-je surpris. Autant dire que je ne comptais pas payer le loyer à moi tout seul. Bon, je ne compte plus nombre de zéros qui figure sur mon compte en banque et tout cela, sans bouger le petit doigt, mais c'est une question de justice. Chacun à la même échelle, elle n'est pas ici en vacance. C'est la raison pour laquelle e m'interrogeais sur sa situation. "Tu sais, je ne passe pas tout mon temps ici" Je sors beaucoup, je marche, je vais courir, je vais à la bibliothèque, au médecin, bref, une vie bien chargé pour un simple chômeur. Chômeur qui devrait faire plus attention à ce qu'il dit et prendre en compte ses propres warnings.
Voilà que j'avais limite la bouche en feu à cause de mon eau plus que brûlante. Je regardais la demoiselle, de manière assez intrigué, alors qu'elle sortait un glaçon du congélateur. A ses dires, j'ouvrais délicatement la bouche afin qu'elle y dépose délicatement le glaçon gelé, sur ma plaid. Je ne suis pas douillet, alors la douleur me faisait absolument rien, je ne cillais pas. "Je vois que je t'ai bien appris les gestes de premiers secours" référence à notre première rencontre où je m'étais dit comme étant un sauveteur. L'élève dépasserait-il le maître ?
"Tu ne travaille pas ?" demandais-je surpris. Autant dire que je ne comptais pas payer le loyer à moi tout seul. Bon, je ne compte plus nombre de zéros qui figure sur mon compte en banque et tout cela, sans bouger le petit doigt, mais c'est une question de justice. Chacun à la même échelle, elle n'est pas ici en vacance. C'est la raison pour laquelle e m'interrogeais sur sa situation. "Tu sais, je ne passe pas tout mon temps ici" Je sors beaucoup, je marche, je vais courir, je vais à la bibliothèque, au médecin, bref, une vie bien chargé pour un simple chômeur. Chômeur qui devrait faire plus attention à ce qu'il dit et prendre en compte ses propres warnings.
Voilà que j'avais limite la bouche en feu à cause de mon eau plus que brûlante. Je regardais la demoiselle, de manière assez intrigué, alors qu'elle sortait un glaçon du congélateur. A ses dires, j'ouvrais délicatement la bouche afin qu'elle y dépose délicatement le glaçon gelé, sur ma plaid. Je ne suis pas douillet, alors la douleur me faisait absolument rien, je ne cillais pas. "Je vois que je t'ai bien appris les gestes de premiers secours" référence à notre première rencontre où je m'étais dit comme étant un sauveteur. L'élève dépasserait-il le maître ?
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 11/03/2018
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Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Le fait de savoir tenir un appartement semblait le rassurer. Si nous n’avions pas été en bon terme, j’avoue facilement que j’aurais été amusée de mettre le bordel, le faire pâlir ou angoisser à chaque fois qu’il rentrerait chez lui, bien que vu son caractère, il n’aurait probablement pas supporté ma présence dégoûtante très longtemps. Autre chose semblait attirer son attention et je le voyais surpris. Mon travail, enfin, mes travails. Autant dire que je préférais rester très évasive là-dessus lorsque l’on me demandait comment je dégageais un salaire confortable tous les mois. Salaire légal, bien présent sur une fiche de paye et.. tout le reste à côté. Très peu de gens connaissait mon double emploi, des personnes très proches de moi, mais cela se comptait sur les doigts d’une seule main. « Je suis organisatrice de mariage, alors je travaille à distance, je vais de temps à autre chez les gens et je suis sur le terrain parfois » dis-je pour rester un peu large dans mes propos. Non, je ne le laisserais pas payer le loyer tout seul. J’avais bien trop de fierté à être autonome pour laisser faire ça. « Je vais m’occuper des courses et de la cuisine, si tu veux bien » proposais-je, sachant très bien faire le reste des tâches ménagères, mais la cuisine me tenait vraiment à cœur.
Ce qui me surprenait un peu, c’était de ne pas savoir ce que lui faisait. Il ne me parlait pas de son travail, juste qu’il était assez occupé la journée pour ne pas m’avoir sur le dos tout le temps. « Dommage.. » le taquinais-je un peu, bien que je me doutais qu’il allait fuir désormais son appartement pour ne pas me supporter trop longtemps dans une seule et même journée. Surtout qu’il ne semblait pas très adroit – tomber dans une piscine, se brûler – alors j’allais finir infirmière personnelle et je m’en réjouissais d’avance. Le regarder prendre le glaçon dans sa bouche sans réfléchir m’hypnotisait, bien que j’essayais de ne pas rester focaliser là-dessus. Calme toi, Sarah. Le froid du glaçon sur sa brûlure ne semblait même pas le surprendre. Il était tout simplement impassible. « En même temps.. avec un très bon professeur, je ne pouvais qu’apprendre correctement » Bien que je remettrais bien en pratique notre échange de la dernière fois.
Revenant prendre ma tasse, je buvais tranquillement mon thé chaud mais pas brûlant. J’avais appuyé mes dernières paroles pour lui faire clairement comprendre que s’il devait y avoir une suite à notre première rencontre, j’étais totalement ouverte à toute proposition. Nous n’étions plus au Spring Break et nous avions évolué depuis, mais il était toujours aussi attirant alors pourquoi pas ? Autant faire de cette colocation quelque chose d’agréable !
Ce qui me surprenait un peu, c’était de ne pas savoir ce que lui faisait. Il ne me parlait pas de son travail, juste qu’il était assez occupé la journée pour ne pas m’avoir sur le dos tout le temps. « Dommage.. » le taquinais-je un peu, bien que je me doutais qu’il allait fuir désormais son appartement pour ne pas me supporter trop longtemps dans une seule et même journée. Surtout qu’il ne semblait pas très adroit – tomber dans une piscine, se brûler – alors j’allais finir infirmière personnelle et je m’en réjouissais d’avance. Le regarder prendre le glaçon dans sa bouche sans réfléchir m’hypnotisait, bien que j’essayais de ne pas rester focaliser là-dessus. Calme toi, Sarah. Le froid du glaçon sur sa brûlure ne semblait même pas le surprendre. Il était tout simplement impassible. « En même temps.. avec un très bon professeur, je ne pouvais qu’apprendre correctement » Bien que je remettrais bien en pratique notre échange de la dernière fois.
Revenant prendre ma tasse, je buvais tranquillement mon thé chaud mais pas brûlant. J’avais appuyé mes dernières paroles pour lui faire clairement comprendre que s’il devait y avoir une suite à notre première rencontre, j’étais totalement ouverte à toute proposition. Nous n’étions plus au Spring Break et nous avions évolué depuis, mais il était toujours aussi attirant alors pourquoi pas ? Autant faire de cette colocation quelque chose d’agréable !
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
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Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
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Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
J'écoutais attentivement ses paroles tandis qu'elle s'occupait de moi -si on peut dire ça comme ça- Elle avait l'air d'avoir un boulot assez prenant, actif et qui plus est, intéressant. Le travail à distance, ça c'estle pied, mais j'osais espérer que le fait de devoir se supporter plus que la norme de personne normal, ne créé pas des tensions inutiles. Puis vint à parler des tâches ménagères, l'une des choses les plus essentielles dans une bonne cohabitation. Rien qu'au mot cuisine, je devais être encore plus pâle que d'habitude. Je m'étais toujours occupé de cela à ma manière. Etant plus jeune je n'avais jamais eu quelqu'un sur mon dos à me faire à manger, à remplir les placards, mais là, la donne changeait. Devoir s'inventer des excuses du genre "j'ai mangé à l'extérieur", "j'ai mal au ventre", "je n'ai pas faim", "je mangerais tout à l'heure" et j'en passe. Des excuses ce n'est pas ce qui manquait, mais tout bien réfléchir, je n'avais aucun compte à lui rendre. Ce n'est pas ma mère. "Par contre je fais mes repas tout seul j'ai un régime bien particulier, alors je préfère m'en occuper" disais-je en souriant.
Mon regard était hypnotisé par sa douceur dans ses gestes, alors qu'elle reprenait une nouvelle fois sa tasse entre ses mains, tandis que je tenais à mon tour le glaçon. "Je te l'avais bien dit" j'esquivais un sourire malicieux, alors que je jetais le glaçon à présent presque fondu, dans l'évier. Je passais doucement ma langue le long de mes lèvres, afin de juger l'ampleur de la plaid, mais au final, ce n'était trois fois rien. Par contre, je laisserais ma boisson se refroidir avant de m'y retenter. "Je vais aller me prendre une douche, fait comme chez toi du coup" Je lui jetais un petit clin d'oeil avant de passer à côté d'elle tout en l'a frôlant. C'est pas tout, mais le t-shirt tout collant ça va deux minutes, mais on fini par s'en lasser.
Mon regard était hypnotisé par sa douceur dans ses gestes, alors qu'elle reprenait une nouvelle fois sa tasse entre ses mains, tandis que je tenais à mon tour le glaçon. "Je te l'avais bien dit" j'esquivais un sourire malicieux, alors que je jetais le glaçon à présent presque fondu, dans l'évier. Je passais doucement ma langue le long de mes lèvres, afin de juger l'ampleur de la plaid, mais au final, ce n'était trois fois rien. Par contre, je laisserais ma boisson se refroidir avant de m'y retenter. "Je vais aller me prendre une douche, fait comme chez toi du coup" Je lui jetais un petit clin d'oeil avant de passer à côté d'elle tout en l'a frôlant. C'est pas tout, mais le t-shirt tout collant ça va deux minutes, mais on fini par s'en lasser.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 11/03/2018
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Âge du personnage : 25 ans
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Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
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Avec : Travis C. Gaultier
Parler de nous était assez banal, mais ça ne m’était pas aussi chiant que je l’aurais pensé au premier abord. En tout cas, cela permettait que l’on apprenne à se connaître et de surtout pouvoir vivre ensemble sans se faire la guerre. C’était important dans une colocation de bien vivre et de veiller l’un sur l’autre, non ? Bon, je lui déconseillais silencieusement de trop en savoir sur moi et mes petits secrets, mais cela finirait probablement par se savoir. Au bout de quelques inconnus qui frappent à la porte, Travis allait commencer à se poser des questions. Ou pas, après tout, il ne semblait pas très intrusif dans ma vie. Moi en revanche.. Comme le fait qu’il me dise qu’il avait un régime spécifique pour la nourriture. D’accord, il semblait croire que j’allais le tuer, c’était sympa. « Tu as peur que je chercher à te tuer ? » me moquais-je quelque peu, déçue de ne pas pouvoir lui montrer que j’étais un véritable cordon bleu. Ou bien étais-ce une ruse pour éviter de faire le reste des tâches ménagères, en faisant son propre truc de son côté ? Si on partait comme ça, chacun ferait une moitié de salon, cuisine, salle de bain en guise d’aspirateur et serpillière. Ce qui était un peu con, il faut l’avouer. « Tu me feras une liste de ce que tu ne manges pas, histoire de ne pas interférer sur ton « régime spécifique » » fis-je remarquer. Je ne supportais pas une chose en cuisine : le gâchis. C’était tellement hors de ma façon de penser. Je préférais que cela serve à quelqu’un, plutôt que ce soit réduit en ordure.
Je pouffais de rire à ses mots alors que je regardais se débarrasser du reste de son glaçon avant de se lécher les lèvres. Panique totale. Vous savez, il y a toujours des personnes qui vous font de l’effet et dont vous avez du mal à détacher votre regard. Je ne pouvais pas dire que seul Travis me rendait ainsi, car je voyais d’autres hommes, mais.. il avait une manière bien à lui de faire les choses et ça me plaisait terriblement. Sa phrase, son clin d’œil, sa proximité, tout me donnait des signaux pour que je ne reste pas là à finir mon thé sagement. Le regardant partir, je finis rapidement ma tasse avant de me hâter vers la salle de bain, heureusement ouverte. L’eau coulait déjà et en entrant discrètement, je voyais qu’il s’était déjà mis sous l’eau. Tranquillement et sans plus attendre, je retirais mes quelques vêtements avant de le rejoindre. « Tiens, on a eu la même idée » murmurais-je, derrière lui avant de rire doucement. « Au moins, la facture d’eau ne sera pas trop élevé » avançais-je comme argument de ma présence avec lui sous la douche. Après tout, c’était connu que les femmes prenaient trop de temps dans la salle de bain, alors il ne pourrait pas se plaindre de ça, pour le coup !
Je pouffais de rire à ses mots alors que je regardais se débarrasser du reste de son glaçon avant de se lécher les lèvres. Panique totale. Vous savez, il y a toujours des personnes qui vous font de l’effet et dont vous avez du mal à détacher votre regard. Je ne pouvais pas dire que seul Travis me rendait ainsi, car je voyais d’autres hommes, mais.. il avait une manière bien à lui de faire les choses et ça me plaisait terriblement. Sa phrase, son clin d’œil, sa proximité, tout me donnait des signaux pour que je ne reste pas là à finir mon thé sagement. Le regardant partir, je finis rapidement ma tasse avant de me hâter vers la salle de bain, heureusement ouverte. L’eau coulait déjà et en entrant discrètement, je voyais qu’il s’était déjà mis sous l’eau. Tranquillement et sans plus attendre, je retirais mes quelques vêtements avant de le rejoindre. « Tiens, on a eu la même idée » murmurais-je, derrière lui avant de rire doucement. « Au moins, la facture d’eau ne sera pas trop élevé » avançais-je comme argument de ma présence avec lui sous la douche. Après tout, c’était connu que les femmes prenaient trop de temps dans la salle de bain, alors il ne pourrait pas se plaindre de ça, pour le coup !
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