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YESTERDAY'S NEWS |48
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Dollars : 3134
Messages : 355
Date d'inscription : 03/04/2018
Avatar : Louis Tomlinson
Crédits : jukeboxe
Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : nothing
Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Les gens ont tellement pour habitude de juger au premier abord que je préférais prévenir que guérir. Apparemment, elle ne faisait pas parti de ses personnes là ce qui était plutôt rassurant. En même temps, n'importe qui à ma place aurait fait pareil. Après, il suffit juste de ne pas tomber dans l'ennui la plus total et toujours trouver un moyen pour animer son quotidien. C'est pour cette raison que j'aimais bien laisser le destin agir à ma place. Choisir une destination au pif par exemple. Comme aujourd'hui où ça nous à mener jusqu'au fameux zoo dans lequel nous sommes et nous y prenions grand plaisir à y être.
"Bien sûr" Mes paroles ne sont jamais dîtes en l'air. Quand je dis quelque je le fais, sinon je me l'a ferme tout simplement. Et puis, une peluche ce n'est pas grand chose en soit. J'aurais pu lui promettre un panda roux en vrai, mais déjà il serait malheureux et en plus, c'est un animal sauvage dont on ne saurait sans occuper. Autant oublier l'idée. Passons. Nous nous retrouvions devant l'immensité de la pleine pour observer ses magnifiques tigres blancs. J'avais par ailleurs, tenter une fine approche avec la demoiselle pour les lui montrer.; Malheureusement, cela n'eu pas l'effet escompter puisqu'elle s'éloigna tout aussi tôt. Je ne suis pas stupide pour comprendre le message. Pourtant, ce n'était rien de bien méchant. Je ne relevais pas en agissant totalement normalement, gardant par conséquent un peu plus de distance. Je ne voudrais pas mettre un malaise dans notre collocation.
Pour combler le trou, je sortais mon demi litre d'eau pour boire de bonnes gorgées avant de l'a lui tendre. "Boit, il fait chaud" ce n'était même pas une question. Je n'avais aucune envie qu'elle se déshydrate d'autant plus que nous risquions de beaucoup marcher aujourd'hui. On marcha longtemps comme ça, d'animaux en animaux. "treize heure déjà ?" Le temps passe vite lorsqu'on ne s'ennuie pas et surtout, lorsqu'on est bien accompagné. "Tu veux peut-être faire une petite pause" elle avait peut-être faim ou mal aux jambes après tout.
"Bien sûr" Mes paroles ne sont jamais dîtes en l'air. Quand je dis quelque je le fais, sinon je me l'a ferme tout simplement. Et puis, une peluche ce n'est pas grand chose en soit. J'aurais pu lui promettre un panda roux en vrai, mais déjà il serait malheureux et en plus, c'est un animal sauvage dont on ne saurait sans occuper. Autant oublier l'idée. Passons. Nous nous retrouvions devant l'immensité de la pleine pour observer ses magnifiques tigres blancs. J'avais par ailleurs, tenter une fine approche avec la demoiselle pour les lui montrer.; Malheureusement, cela n'eu pas l'effet escompter puisqu'elle s'éloigna tout aussi tôt. Je ne suis pas stupide pour comprendre le message. Pourtant, ce n'était rien de bien méchant. Je ne relevais pas en agissant totalement normalement, gardant par conséquent un peu plus de distance. Je ne voudrais pas mettre un malaise dans notre collocation.
Pour combler le trou, je sortais mon demi litre d'eau pour boire de bonnes gorgées avant de l'a lui tendre. "Boit, il fait chaud" ce n'était même pas une question. Je n'avais aucune envie qu'elle se déshydrate d'autant plus que nous risquions de beaucoup marcher aujourd'hui. On marcha longtemps comme ça, d'animaux en animaux. "treize heure déjà ?" Le temps passe vite lorsqu'on ne s'ennuie pas et surtout, lorsqu'on est bien accompagné. "Tu veux peut-être faire une petite pause" elle avait peut-être faim ou mal aux jambes après tout.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
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Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Le juger serait tellement malhonnête de ma part. D'ailleurs, ceux qui le font ne devrait pas. Pourquoi critiquer sans connaître et même en connaissance de cause ? Ça ne devrait plus exister dans notre monde actuel, vraiment plus du tout. En tout cas, je tenais à ce qu'il sache que je n'étais pas du genre à juger. S'il avait une vie confortable, je ne pouvais qu'être heureuse pour lui. Je ne comptais pas parler davantage de lui. Nous venions d'emménager ensemble alors être intrusive n'était vraiment pas dans mes intérêts. Bien au contraire d'ailleurs, car s'il souhaitait en savoir plus sur moi, je serais obligée de répondre à ses interrogations et je ne me sentais pas prête. Être au zoo me plaisait beaucoup car c'était un endroit à part. Loin de moi toute polémique, je ne suis pas de ce genre-là. Il y a du bon et du mal en tout, absolument tout. J'étais tombée amoureuse des pandas roux et la proposition de Travis m'avait déstabilisé. M'offrir quelque chose ? J'étais bouleversée et très touchée de cette attention venue de nulle part. Pourquoi souhaitait-il faire cela ? Il n'était pas obligé, après tout. En tout cas, j'étais ravie que nous nous entendions si bien et j'espérais que cela perdure.. Bien que je sois la reine pour foirer chacune de mes relations, amoureuses comme amicales.
Près des tigres blancs, je ne les voyais pas dans un premier temps. L'intervention de mon colocataire partait sûrement d'une bonne intention, mais sa proximité me bloquait complètement. Comment pouvait-il être si naturel près de moi ? J'étais perdue. Apparemment, je l'avais repoussé fortement car il avait pris cinq mètres de distance avec moi. Étais-ce grave ? Non, mais.. Et puis zut. Doucement, je venais près de lui pour déposer un rapide baiser sur sa joue. Il n'allait rien comprendre, mais est-ce que l'on peut vraiment connaître une personne ? Non. Il sortait une bouteille d'eau, mais je ne fis pas attention. Il semblait vouloir que je bois. Si ça pouvait lui faire plaisir. En prenant la bouteille, je ne fis pas attention lorsque mes doigts frôlèrent les siens. Agréable. « Merci » dis-je calmement en prenant quelques gorgées d'eau, avant de la lui rendre. « Je veux bien manger quelque chose, genre salade ou quelque chose dans le genre » Je n'avais pas hyper fan, mais je préférais manger pour passer le reste de l'après-midi tranquille.
Regardant autour de nous, je lui fis signe de me suivre vers l'un des food-truck ouvert sur le site. Il y avait une liste de choses à manger et je fis rapidement le tour de la liste. « Une salade composée à emporter, s'il vous plaît » Je me tournais ensuite vers Travis. « Tu veux quelque chose ? » Je n'oubliais pas notre discussion sur son régime spécifique, mais je suppose qu'une salade, ça n'avait jamais tué personne, pas vrai ? Je demandais aussi une boisson – de l'eau pétillante – et une salade de fruit en dessert. Ça ne me ressemblait pas car manger un fast food hyper gras, c'était mon quotidien, mais vu la chaleur, je préférais manger froid et léger. Mon ventre me remerciera sûrement ainsi que mon corps entier pour éviter tant de mal bouffe et de gras ignoble. En même temps, on nous le vend si peu cher et en si grande quantité que ça s'inclue progressivement dans notre mode de vie.. Malheureusement.
Près des tigres blancs, je ne les voyais pas dans un premier temps. L'intervention de mon colocataire partait sûrement d'une bonne intention, mais sa proximité me bloquait complètement. Comment pouvait-il être si naturel près de moi ? J'étais perdue. Apparemment, je l'avais repoussé fortement car il avait pris cinq mètres de distance avec moi. Étais-ce grave ? Non, mais.. Et puis zut. Doucement, je venais près de lui pour déposer un rapide baiser sur sa joue. Il n'allait rien comprendre, mais est-ce que l'on peut vraiment connaître une personne ? Non. Il sortait une bouteille d'eau, mais je ne fis pas attention. Il semblait vouloir que je bois. Si ça pouvait lui faire plaisir. En prenant la bouteille, je ne fis pas attention lorsque mes doigts frôlèrent les siens. Agréable. « Merci » dis-je calmement en prenant quelques gorgées d'eau, avant de la lui rendre. « Je veux bien manger quelque chose, genre salade ou quelque chose dans le genre » Je n'avais pas hyper fan, mais je préférais manger pour passer le reste de l'après-midi tranquille.
Regardant autour de nous, je lui fis signe de me suivre vers l'un des food-truck ouvert sur le site. Il y avait une liste de choses à manger et je fis rapidement le tour de la liste. « Une salade composée à emporter, s'il vous plaît » Je me tournais ensuite vers Travis. « Tu veux quelque chose ? » Je n'oubliais pas notre discussion sur son régime spécifique, mais je suppose qu'une salade, ça n'avait jamais tué personne, pas vrai ? Je demandais aussi une boisson – de l'eau pétillante – et une salade de fruit en dessert. Ça ne me ressemblait pas car manger un fast food hyper gras, c'était mon quotidien, mais vu la chaleur, je préférais manger froid et léger. Mon ventre me remerciera sûrement ainsi que mon corps entier pour éviter tant de mal bouffe et de gras ignoble. En même temps, on nous le vend si peu cher et en si grande quantité que ça s'inclue progressivement dans notre mode de vie.. Malheureusement.
- Travis C. GaultierI'm a Mother Fucker
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Je ne savais vraiment plus sur quel pied danser avec la demoiselle. Un coup elle s'éloignait de moi, ensuite elle me dépose un bisou sur la joue. Je pense qu'elle même ne savait pas trop comment agir face à notre proximité naissante, alors je l'a laissais faire et se trouver, se découvrir, toute seule, ne faisant aucune remarque qui pourrait l'a blesser. Soit, avant de continuer noter petite ballade dans les allées du zoo, je lui proposais de manger un petit bout, après tout, toute cette marche, ça creuse. Je rangeais alors mon téléphone portable dans ma poche avant d'entendre un gros boum. J'avais mal visé ma poche et mon téléphone avait fait un beau plat sur le sol. Autant dire que mon android est LA chose la plus précieuse à mes yeux puisque je passe la plus part de mon temps dessus. J'avais eu un infime espoir qu'il fonctionne malgré sa chute, mais écran cassé, impossible de le rallumer. Si du coup j'étais en colère ? Très légèrement oui. "Allez, rallume toi.." rouspétais-je. J'avais des sous pour m'en racheter un, là n'est pas le problème. Le problème c'est que je vais devoir finir la journée sans et pour moi, c'est un véritable challenge. Heureusement que je suis en très bonne compagnie.
Je soupirais en arrivant devant le food-truck choisit par les soins de Sarah. "Je prendrais pareil sans la salade de fruit" dis-je pour me faciliter la chose. Quelques minutes après, notre commande arriva et nous pouvions à présent nous asseoir au soleil pour profiter un peu et surtout, me remettre de ma perte de téléphone. Je commençais par décortiquer ma salade. La salade d'un côté, les tomates de l'autre, on coupe on micro morceau sans vraiment y toucher. Rituel habituel lorsque je me retrouve devant une assiette de nourriture. Comme si j'essayais de retarder le moment où cela arrivera jusqu'à ma bouche. "Bon appétit" je lui souriais gentiment. "J'aime bien passer du temps avec toi" dis-je en toute sincérité.
Je soupirais en arrivant devant le food-truck choisit par les soins de Sarah. "Je prendrais pareil sans la salade de fruit" dis-je pour me faciliter la chose. Quelques minutes après, notre commande arriva et nous pouvions à présent nous asseoir au soleil pour profiter un peu et surtout, me remettre de ma perte de téléphone. Je commençais par décortiquer ma salade. La salade d'un côté, les tomates de l'autre, on coupe on micro morceau sans vraiment y toucher. Rituel habituel lorsque je me retrouve devant une assiette de nourriture. Comme si j'essayais de retarder le moment où cela arrivera jusqu'à ma bouche. "Bon appétit" je lui souriais gentiment. "J'aime bien passer du temps avec toi" dis-je en toute sincérité.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Avec : Travis C. Gaultier
Cette promenade au zoo avait un goût de liberté et j'adorais cela. Néanmoins, je me retrouvais face à des situations qui me rendaient complètement différentes. Le fait que Travis se rapproche, d'une manière aussi douce et sans intentions me gênaient brusquement. Ce n'était pas du tout contre lui, mais mes réactions le lui avaient fait comprendre ainsi. Peut-être qu'un jour, je lui en parlerais, je lui expliquerais à cœur ouvert, mais pour le moment.. Mauvais timing. Faisant un pas vers lui pour embrasser sa joue, j'espérais ne pas lui retourner la tête avec mes réactions aussi incontrôlables que totalement illogique. Proposant le repas, je me hâtais d'aller vers le marchand, ne faisant pas attention aux malheurs de mon colocataire. Me retournant, il m'avait déjà rejoint, alors que je lui demandais ce qu'il souhaitait manger. Notre repas était commandé et j'avais évidemment hâte de pouvoir passer ce moment ensemble avant de reprendre notre ballade pour voir l'ensemble des animaux. Au soleil ensemble, j'accueillais ma salade avec grand plaisir, ayant très faim. Je ne tardais pas à la déguster après avoir glisser un « bon appétit à toi aussi » à mon colocataire. Évidemment, je le voyais jouer avec sa salade sans la manger réellement. Non, je n'oubliais pas le sujet nourriture, il pouvait toujours rêver pour que je passe à autre chose aussi facilement.
Sa remarque me fit sourire, sans me braquer. Sa franchise si soudaine, j'allais devoir m'y faire. Tout comme ses gestes, je m'en doutais bien. Il me fallait juste quelques jours, ou semaines, et ça devrait aller. Surtout pour n'être que des « amis », je le précise. « J'aime bien aussi passer du temps avec toi » avouais-je doucement. « Mange » ordonnais-je en le voyant continuer à s'amuser avec deux feuilles de salade verte. Histoire qu'il comprenne que oui, je l'aime bien mais il doit manger. Je n'avais pas la force de le ramasser s'il tombait par terre. Dégustant mon repas, je laissais échapper quelque chose, n'ayant pas envie que cela soit étrange entre nous. « Ne te méprends pas sur mes réactions, je.. je t'expliquerais ultérieurement » dis-je avec un petit sourire. Je n'avais pas envie qu'il s'imagine tout et n'importe quoi. Genre que je le mets sur la touche parce qu'il n'a pas voulu aller plus loin avec moi. J'aimerais coucher avec lui, mais s'il ne veut pas.. Tant pis. Pour le moment, bien entendu, car je ne lâcherais pas l'affaire de sitôt (a)
Sa remarque me fit sourire, sans me braquer. Sa franchise si soudaine, j'allais devoir m'y faire. Tout comme ses gestes, je m'en doutais bien. Il me fallait juste quelques jours, ou semaines, et ça devrait aller. Surtout pour n'être que des « amis », je le précise. « J'aime bien aussi passer du temps avec toi » avouais-je doucement. « Mange » ordonnais-je en le voyant continuer à s'amuser avec deux feuilles de salade verte. Histoire qu'il comprenne que oui, je l'aime bien mais il doit manger. Je n'avais pas la force de le ramasser s'il tombait par terre. Dégustant mon repas, je laissais échapper quelque chose, n'ayant pas envie que cela soit étrange entre nous. « Ne te méprends pas sur mes réactions, je.. je t'expliquerais ultérieurement » dis-je avec un petit sourire. Je n'avais pas envie qu'il s'imagine tout et n'importe quoi. Genre que je le mets sur la touche parce qu'il n'a pas voulu aller plus loin avec moi. J'aimerais coucher avec lui, mais s'il ne veut pas.. Tant pis. Pour le moment, bien entendu, car je ne lâcherais pas l'affaire de sitôt (a)
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Si j'étais troublé, ou encore désorienté par les réactions très inattendues de la demoiselle ? Non, pas le moins du monde. Je n'étais personne pour la juger puisque je ne l'a connaissais pas plus que cela, alors je laissais coulé même si je ne savais pas trop quoi en penser, je préférais tout simplement ne pas y penser. Prenons le solution de facilité -pour une fois- Je ne suis pas quelqu'un de compliqué au final et je penses que cela se voit dans ma façon d'agir. Pourquoi ce compliqué avec si peu de chose quand la vie ne nous laisses déjà pas beaucoup de répit ?
Réceptionnant mon repas, je m'asseyais en face d'elle tout en continuant de sourire. J'étais ravi de savoir que mon ressenti était partagé. Je n'attendais pas spécialement de sa part qu'elle apprécie tout autant que moi ce genre de moment, je voulais juste qu'elle le sache, après elle faisait ce qu'elle souhaitait de cette information. Je regardais ma salade suite à sa réaction, alors que je rigolais en piquant une feuille de salade que je prenais soin de manger devant ses yeux. "Contente ?" disais-je sur le ton de la plaisanterie, alors que je devais approximativement mettre au moins cinq bonnes minutes à l'avaler. Oui, oui, et encore, c'est un petit temps par rapport au nombre d'heure que je peux mettre lorsqu'on me force à manger un repas complet. Mon record doit être trois heures.
"Ultérieurement ?" disais-je en souriant.; "Tu emploi les grands mots dit donc" Je prenais un gorgée d'eau avant de reprendre sun un ton beaucoup plus sérieux. "Tu sais, si tu n'as pas envie de m'en parler tu n'es pas obligé, chacun à le droit d'avoir son jardin secret, c'est ton choix et tout le monde doit le respecter" Le respect, un mot qui se perd avec le temps, mais qui a encore une grande place dans mon coeur.
Réceptionnant mon repas, je m'asseyais en face d'elle tout en continuant de sourire. J'étais ravi de savoir que mon ressenti était partagé. Je n'attendais pas spécialement de sa part qu'elle apprécie tout autant que moi ce genre de moment, je voulais juste qu'elle le sache, après elle faisait ce qu'elle souhaitait de cette information. Je regardais ma salade suite à sa réaction, alors que je rigolais en piquant une feuille de salade que je prenais soin de manger devant ses yeux. "Contente ?" disais-je sur le ton de la plaisanterie, alors que je devais approximativement mettre au moins cinq bonnes minutes à l'avaler. Oui, oui, et encore, c'est un petit temps par rapport au nombre d'heure que je peux mettre lorsqu'on me force à manger un repas complet. Mon record doit être trois heures.
"Ultérieurement ?" disais-je en souriant.; "Tu emploi les grands mots dit donc" Je prenais un gorgée d'eau avant de reprendre sun un ton beaucoup plus sérieux. "Tu sais, si tu n'as pas envie de m'en parler tu n'es pas obligé, chacun à le droit d'avoir son jardin secret, c'est ton choix et tout le monde doit le respecter" Le respect, un mot qui se perd avec le temps, mais qui a encore une grande place dans mon coeur.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Avec : Travis C. Gaultier
Passer du temps avec la même personne, pendant une longue durée, ce n’était pas du tout dans mes habitudes. Je suis plus une personne de « passage » dans la vie des gens. Vous savez, que l’on utilise quand on en a besoin pour faire quelque chose, quand ça ne va pas et j’en passe. Un autre mot pourrait être employé pour cela, mais je n’avais pas envie d’y songer. Je ne suis pas ainsi, pas vrai ? Quand je vois mon nouveau colocataire me sourire, je me dis que non, je ne suis pas comme cela. Je ne savais pas si sa présence aurait un réel impact sur moi, ma façon de vivre mais rien que ces quelques heures me faisaient beaucoup de bien. C’était différent d’avec les autres hommes. Être « juste amis » commençait à me convenir, bien que Travis restait beau à mourir et que je ne me voyais pas arrêter de flirter avec lui. Par provocation ? Non, plutôt par.. Attirance. Ça reste entre nous, hm ?
Me montrer persuasive n’était pas mon fort dans les relations humaines. Sexuels, oui, mais demander gentiment à mon colocataire de manger était tout à fait différent. Il pourrait très bien m’envoyer balader et partir sans se retourner. « Très oui, merci » soufflais-je doucement. C’était un simple bout de salade, mais c’était toujours mieux que rien. La suite de notre discussion me fit lever les yeux au ciel, pour commencer. Me taquinait-il ? « Même sans études supérieurs, je sais parler correctement » pouffais-je avant de me calmer très vite, au vu de sa réaction. C’était adorable, ce qu’il me disait. Vraiment très mignon.
« Si je n’ai pas envie de te parler de quelque chose, soit certain que je ne le ferais pas » dis-je clairement avec un léger sourire. « Mais ça, je pense que c’est important de t’en parler car on cohabite désormais ensemble » Terminant ma salade, j’attendais qu’il fasse de même pour commencer mes fruits. Buvant de l’eau, je le regardais du coin de l’œil. Allait-on réellement réussir à vivre ensemble ? Je me demandais vraiment si nous y arriverions. Ça ne devrait pas être très compliqué mais.. Nous avions des caractères assez forts alors dans la durée, cela pourrait peut-être exploser. Après.. Si nous ne sommes plus colocataires, nous pourrions être plus qu’amis, ce serait moins malsain.. Non ? (a)
Me montrer persuasive n’était pas mon fort dans les relations humaines. Sexuels, oui, mais demander gentiment à mon colocataire de manger était tout à fait différent. Il pourrait très bien m’envoyer balader et partir sans se retourner. « Très oui, merci » soufflais-je doucement. C’était un simple bout de salade, mais c’était toujours mieux que rien. La suite de notre discussion me fit lever les yeux au ciel, pour commencer. Me taquinait-il ? « Même sans études supérieurs, je sais parler correctement » pouffais-je avant de me calmer très vite, au vu de sa réaction. C’était adorable, ce qu’il me disait. Vraiment très mignon.
« Si je n’ai pas envie de te parler de quelque chose, soit certain que je ne le ferais pas » dis-je clairement avec un léger sourire. « Mais ça, je pense que c’est important de t’en parler car on cohabite désormais ensemble » Terminant ma salade, j’attendais qu’il fasse de même pour commencer mes fruits. Buvant de l’eau, je le regardais du coin de l’œil. Allait-on réellement réussir à vivre ensemble ? Je me demandais vraiment si nous y arriverions. Ça ne devrait pas être très compliqué mais.. Nous avions des caractères assez forts alors dans la durée, cela pourrait peut-être exploser. Après.. Si nous ne sommes plus colocataires, nous pourrions être plus qu’amis, ce serait moins malsain.. Non ? (a)
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Je rigolais . Je ne juge personne qui n"ont pas fait de longues études. D'autant plus que je ne suis pas le mieux placé pour parler. Je n"ai jamais fini mes études de com et je ne compte plus le nombre d'heure de cours que j'ai dû loupé. "Jte taquine" disais-je sur le ton de l'humour, même si j'avais bien vu qu'elle ne l'avait pas mal pris. Elle n'est pas susceptible, c'est déjà ça. Honnêtement, je ne sais pas si j'arriverais à vivre avec quelqu'un d'ultra lunatique et susceptible, car on est obligé de calculé tout ce qu'on dit pour ne pas froissé la personne et autant dire que ce n'est vraiment pas mon point fort.
"Et tu as bien raison !" franchement, se forcer de parler de quelque chose n'est pas très utile. La personne peut bien attendre ou juste ne rien demander. Je voyais bien qu'elle était en train de m'attendre, alors que je n'avais même pas mangé la moitié de mon plat. Je ne savais même pas si j'allais la finir pour être honnête. "Tu veux la finir ? J'ai vraiment plus faim" J'essayais de faire en sorte de ne pas gaspiller la nourriture -bien pour cela que j'en achetais pas- alors je tentais de savoir si elle, elle avait encore un peu de place. Au fil du temps mon estomac avait eut la bonne idée de rétrécir, par conséquent, même si j'avais envie de manger plus -ce qui n'était pas le cas- mon estomac ne le supporterait carrément pas. "Y a pas de soucis" Dis-je avec le sourire le plus amicale possible.
"Et tu as bien raison !" franchement, se forcer de parler de quelque chose n'est pas très utile. La personne peut bien attendre ou juste ne rien demander. Je voyais bien qu'elle était en train de m'attendre, alors que je n'avais même pas mangé la moitié de mon plat. Je ne savais même pas si j'allais la finir pour être honnête. "Tu veux la finir ? J'ai vraiment plus faim" J'essayais de faire en sorte de ne pas gaspiller la nourriture -bien pour cela que j'en achetais pas- alors je tentais de savoir si elle, elle avait encore un peu de place. Au fil du temps mon estomac avait eut la bonne idée de rétrécir, par conséquent, même si j'avais envie de manger plus -ce qui n'était pas le cas- mon estomac ne le supporterait carrément pas. "Y a pas de soucis" Dis-je avec le sourire le plus amicale possible.
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Pouvoir se taquiner me plaisait beaucoup, car ça rendait notre relation moins chiante et plate. Pas qu’elle l’aurait été avec nos deux caractères, mais juste que c’était sympa de rire et s’amuser ensemble. Vraiment. Pour être honnête, niveau amitié.. Je pense que je suis médiocre dans ce domaine. On pourrait croire que parce que je connais du monde, j’ai une tonne d’amis près à m’aider si j’étais en galère mais.. Concrètement, au vue de ma personnalité, c’était compliqué de garder des amis très longtemps. Je faisais toujours en sorte de détruire une relation car le long terme, ce n’était pas pour moi. Quand une personne venait à trop me connaître, je préférais ne plus la côtoyer. C’était ma façon de voir les choses. Ceux qui osaient continuer à s’accrocher s’en mordaient très très fort les doigts. Et ce n’est rien de prévenir avant, mais les gens, que voulez-vous.
Parler librement avec Travis était une très bonne chose car je ne retenais que très rarement mes paroles et cela semblait être la même chose de son côté. Mon regard se posait sur sa salade à moitié manger. Soit, je préférais la finir plutôt qu’elle soit jetée. J’avais horreur du gâchis. « C’est bien parce que c’est toi » souriais-je en terminant tranquillement sa salade avant de manger mes fruits. Buvant un peu d’eau, je débarrassais le plateau avant de revenir vers mon ami. « On y retourne ? » demandais-je doucement, prête à me balader encore pour aller digérer mon repas et passer du temps avec mon colocataire. Une sortie tellement bien !
Parler librement avec Travis était une très bonne chose car je ne retenais que très rarement mes paroles et cela semblait être la même chose de son côté. Mon regard se posait sur sa salade à moitié manger. Soit, je préférais la finir plutôt qu’elle soit jetée. J’avais horreur du gâchis. « C’est bien parce que c’est toi » souriais-je en terminant tranquillement sa salade avant de manger mes fruits. Buvant un peu d’eau, je débarrassais le plateau avant de revenir vers mon ami. « On y retourne ? » demandais-je doucement, prête à me balader encore pour aller digérer mon repas et passer du temps avec mon colocataire. Une sortie tellement bien !
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Crédits : jukeboxe
Âge du personnage : 24 ans
Nationalité(s) : Francoaméricaine
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : anorexique - simple - perfectionniste - joyeux - capricorne
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : nothing
Études (passées ou en cours) : Etude commerce et mannagement qu'il n'a pas fini
Hobby : Courir encore et toujours
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
J'étais soulagé de ne pas gâché cette salade. Alors, je regardais la demoiselle finir son repas accompagné de ses petits fruits. Je sais que je risquais de regretter mon geste, mais je lui piquais un morceau de fruit dans sa coupelle juste pour l'embêter, afin de le manger presque tout de suite. Je sentais déjà mon corps tout entier en train de bouillir de regret. Voilà pourquoi on est associable lorsque nous sommes en restriction constante, alors la société nous pousse à consommer pour avoir plus de quoi interagir fasse à nos interlocuteur. J'avais du me lavé les mains trois fois avant de repartir -toc quand tu nous tiens- "c'est bon, on peut y aller" je souriais en reprenant mon sac à dos.
Je ne sais pas combien de kilomètres avions nous parcourru, mais cela en faisait du chemin. Le soleil partait se coucher à son rythme tandis que notre journée s'achevait pas la boutique de souvenir où, comme promis, je lui achetais un petit panda roux en peluche "tient" je souriais en lui donnant. "Prend en soin" je l'imaginais déjà ne plus quitter son lit. Il n'y a pas d'âge selon moi, pour avoir des peluches.
On reprenait le chemin du tour qui fut fort difficile après une journée entière à marché. "Je veux un bain" me plaignais-je au pas de notre porte. J'avais juste envie de me prélasser dans un bon bain tout plein de mousse et refaire le monde en pensant à des trucs improbable. Refermant la porte derrière nous, je crois bien que nous étions tous les deux morts.
Je ne sais pas combien de kilomètres avions nous parcourru, mais cela en faisait du chemin. Le soleil partait se coucher à son rythme tandis que notre journée s'achevait pas la boutique de souvenir où, comme promis, je lui achetais un petit panda roux en peluche "tient" je souriais en lui donnant. "Prend en soin" je l'imaginais déjà ne plus quitter son lit. Il n'y a pas d'âge selon moi, pour avoir des peluches.
On reprenait le chemin du tour qui fut fort difficile après une journée entière à marché. "Je veux un bain" me plaignais-je au pas de notre porte. J'avais juste envie de me prélasser dans un bon bain tout plein de mousse et refaire le monde en pensant à des trucs improbable. Refermant la porte derrière nous, je crois bien que nous étions tous les deux morts.
- Sarah E. WhiteheadI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2891
Messages : 266
Date d'inscription : 11/03/2018
Avatar : Eleanor Calder
Crédits : © bbchat
Âge du personnage : 25 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Réfléchie - Honnête - Extravertie - Sensible - Impulsive
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Sans emploi
Études (passées ou en cours) : Etudes basiques anglaises, pas d'études supérieures
Hobby : Tir à l'arme de poing
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Travis C. Gaultier
Terminant sa salade, je me hâtais de poursuivre afin de pouvoir continuer notre balade dans le zoo. Je fus agréablement surprise de le voir me voler un morceau de fruits. Même s’il n’avait pas mangé grand-chose, c’était déjà ça de plus. Il n’avait peut-être juste pas faim, je n’allais non plus l’agresser à peine arriver dans notre colocation. « Voleur de fruits » râlais-je en riant. Concrètement, il pouvait encore m’en piquer, car c’était frais et après deux salades, je calais quand même un peu. Dire que je pouvais avaler bien plus de nourriture, mais c’était plaisant de faire un jour plus raisonné. Au moins, j’allais pouvoir continuer notre promenade sans mettre des heures à digérer. Finissant ma bouteille d’eau, je la mettais dans la poubelle de recyclage avant de rejoindre Travis. Nous étions repartis pour continuer notre excursion ensemble et je vis tant d’animaux que je me promettais de revenir avec un appareil photo et un carnet. Oui, ce lieu me plaisait terriblement et j’avais envie de venir plus souvent. Surtout en semaine, ce serait si calme.
Arrivant à la boutique, je ne pensais même plus à la peluche dont mon colocataire m’avait parlé mais une fois dans les mains, j’étais amoureuse. Du panda, hein, pas de.. Enfin. « Merci, Travis » dis-je avant de venir l’enlacer soudainement, assez longtemps pour être légèrement mal à l’aise mais sentant que c’était nécessaire en guise de remerciement. « Il faut que je lui trouve un nom » murmurais-je, consciencieuse. Il ne devait pas juste être « Mr » ou « Mme Panda Roux ». J’étais en pleine réflexion sur l’ensemble du chemin du retour. Je ne sentais plus vraiment mes pieds, alors me concentrer sur autre chose me donnait l’envie d’avancer aux côtés de mon colocataire. Nous arrivions chez nous plus rapidement que prévu et j’en étais soulagée. J’allais bientôt m’effondrer.
Une fois dans l’appartement, je souriais aux paroles de Travis. « C’est une proposition ? Tu sais, après une douche, un bain ensemble, c’est à peu près la même chose.. » fis-je, l’air de rien avant de rire. « J’ai des boules de bain dans ma petit valise, dans la salle de bain. Hésite pas, c’est magique pour se détendre » proposais-je avant de m’affaler sur le canapé, prête à faire une sieste histoire de me remettre de toutes ces émotions. Mon panda toujours contre moi, je soupirais fortement en entendant mon téléphone sonné et m’indiquer un message. Repartir ? Je n’en avais même pas le choix. Me redressant, j’attrapais mes affaires, avant de vite m’éclipser dans la chambre. Je posais un baiser sur la joue de mon colocataire avant de filer en lui adressant un « je reviens dans une heure, ne te noie pas ! » en fermant la porte.
Arrivant à la boutique, je ne pensais même plus à la peluche dont mon colocataire m’avait parlé mais une fois dans les mains, j’étais amoureuse. Du panda, hein, pas de.. Enfin. « Merci, Travis » dis-je avant de venir l’enlacer soudainement, assez longtemps pour être légèrement mal à l’aise mais sentant que c’était nécessaire en guise de remerciement. « Il faut que je lui trouve un nom » murmurais-je, consciencieuse. Il ne devait pas juste être « Mr » ou « Mme Panda Roux ». J’étais en pleine réflexion sur l’ensemble du chemin du retour. Je ne sentais plus vraiment mes pieds, alors me concentrer sur autre chose me donnait l’envie d’avancer aux côtés de mon colocataire. Nous arrivions chez nous plus rapidement que prévu et j’en étais soulagée. J’allais bientôt m’effondrer.
Une fois dans l’appartement, je souriais aux paroles de Travis. « C’est une proposition ? Tu sais, après une douche, un bain ensemble, c’est à peu près la même chose.. » fis-je, l’air de rien avant de rire. « J’ai des boules de bain dans ma petit valise, dans la salle de bain. Hésite pas, c’est magique pour se détendre » proposais-je avant de m’affaler sur le canapé, prête à faire une sieste histoire de me remettre de toutes ces émotions. Mon panda toujours contre moi, je soupirais fortement en entendant mon téléphone sonné et m’indiquer un message. Repartir ? Je n’en avais même pas le choix. Me redressant, j’attrapais mes affaires, avant de vite m’éclipser dans la chambre. Je posais un baiser sur la joue de mon colocataire avant de filer en lui adressant un « je reviens dans une heure, ne te noie pas ! » en fermant la porte.
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