YESTERDAY'S NEWS |48
- Cash Eelis HayesI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2693
Messages : 1384
Date d'inscription : 08/04/2018
Avatar : Travis Fimmel
Crédits : shadows.
Autres comptes : nop
Âge du personnage : 32 ans
Nationalité(s) : Américaine - Finlandaise
Signe astrologique : Balance
Mon personnage, en 5 mots : voleur - manipulateur - calculateur - patient - sincère
Quartier de résidence : En dehors de Los Angeles
Carrière, métier ou job : braqueur / barman
Hobby : le jardinnage, la lecture, le VTT
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par dépit)
♛ Family; the anchor that keeps your feet on the ground.
“ There's nothing like deep breaths after laughing that hard. Nothing in the world like a sore stomach for the right reasons. ” ~ Loan&Mia
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Début d'après-midi, il faisait une chaleur épouvantable. J'étais levé depuis quelques heures à peine et j'avais bu mon café au fond du jardin avec mes plantes. J'avais pris soins d'arroser tout ce petit monde avec amour, vérifier le taux de PH de chaque plants de cannabis, et j'avais ramassé quelques tomates qui menaçaient de tomber au passage. Elles étaient parfaitement mûres et sentaient divinement bon. Fier comme un coq de ma récolte, je traversais la cour pied nu, vétu d'un simple short et t-shirt pour me rendre à la cuisine ou je trouvais Mia et Loan. Je posais les tomates sur l'îlot central et lançait, jovial - Comment ça va??
Au passage j'allais déposer un baiser sur le sommet de la tête de Mia et ébouriffait assez violemment les cheveux de Loan. Le reste de la famille c'était absenté pour la journée, il ne restait que nous trois, le trio de choc. Je me lavais les mains rapidement et commençait à me rouler un joint à même le comptoir, je me servis un autre café. Pour certains je fumais comme un pompier, pour moi rien de plus normal, chaque boisson s'accompagnait religieusement de son pétard. - JE MEURS DE FAIM! Qui nous fait une salade? C'était un cri du cœur et de l'estomac. Il fallait bien que les tomates que je venais de ramener servent à quelque chose! J'étais de bonne humeur en ce début de journée. Je commençais à sortir un paquet de pâtes du placard, puis une casserole de l'autre côté, je mit au passage un peu de musique j'allumais mon joint et je mis les pâtes à cuire en m'agitant au rythme de la musique.
Au passage j'allais déposer un baiser sur le sommet de la tête de Mia et ébouriffait assez violemment les cheveux de Loan. Le reste de la famille c'était absenté pour la journée, il ne restait que nous trois, le trio de choc. Je me lavais les mains rapidement et commençait à me rouler un joint à même le comptoir, je me servis un autre café. Pour certains je fumais comme un pompier, pour moi rien de plus normal, chaque boisson s'accompagnait religieusement de son pétard. - JE MEURS DE FAIM! Qui nous fait une salade? C'était un cri du cœur et de l'estomac. Il fallait bien que les tomates que je venais de ramener servent à quelque chose! J'étais de bonne humeur en ce début de journée. Je commençais à sortir un paquet de pâtes du placard, puis une casserole de l'autre côté, je mit au passage un peu de musique j'allumais mon joint et je mis les pâtes à cuire en m'agitant au rythme de la musique.
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“ There's nothing like deep breaths after laughing that hard. Nothing in the world like a sore stomach for the right reasons. ” ~ Loan&Cash
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Tu viens de te lever, t'as la tête dans le cul, clairement. T'as encore abusé hier soir. Un mal de crâne menace de faire exploser ta boîte crânienne. D'habitude c'est pas aussi violent. Faut dire que t'as pas gérer hier. Tu sais même plus pourquoi t'as bu autant d'ailleurs. Quelle idée. Chaque fois tu te dis que c'était une belle idée de merde, et chaque fois tu recommence comme si t'avais zappé ta dernière gueule de bois. Enfin bon, t'es posé à la cuisine avec Loan alors que Cash vous rejoint. Il est particulièrement en forme et réveillé, contrairement à toi. Tu lèves un instant les yeux vers lui lorsqu'il pose un baiser sur le haut de ta tête. - j'ai mal au crâne ! Tu regarde ta tasse de cappuccino comme si elle allait te guérir par magie.
Puis tu observes ton grand frère vaquer à ses occupations, il est bien déterminé tiens. Quand tu pense que tu sors à peine du lit t'as presque envie de rire. Il a faim, il est sérieux. Bon toi aussi, mais t'as envie de cochonnerie, pas de salade. Tu lâche un rire. - t'as cru j'étais en état de faire de la salade ? Tu te lève pour te diriger vers le frigo et prendre la barquette de fraise qui traîne là ainsi que la bombe de chantilly - en plus j'ai envie de fraises ! tu te rassoit en tailleurs et souris en coin en mangeant une fraise sur laquelle tu as mis une petite pyramide de chantilly tout en bougeant ta tête au rythme de la musique.
Puis tu observes ton grand frère vaquer à ses occupations, il est bien déterminé tiens. Quand tu pense que tu sors à peine du lit t'as presque envie de rire. Il a faim, il est sérieux. Bon toi aussi, mais t'as envie de cochonnerie, pas de salade. Tu lâche un rire. - t'as cru j'étais en état de faire de la salade ? Tu te lève pour te diriger vers le frigo et prendre la barquette de fraise qui traîne là ainsi que la bombe de chantilly - en plus j'ai envie de fraises ! tu te rassoit en tailleurs et souris en coin en mangeant une fraise sur laquelle tu as mis une petite pyramide de chantilly tout en bougeant ta tête au rythme de la musique.
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“ There's nothing like deep breaths after laughing that hard. Nothing in the world like a sore stomach for the right reasons. ” ~ Loan&Cash
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Portable entre les mains, je réponds à quelques messages en baillant comme un perdu, une canette de bière posé à côté de moi. Je me suis calé tranquillement à la cuisine parce que j’ai eu la flemme de faire quelques pas jusqu’au salon – j’assume parfaitement d’être un gros flemmard ! Je bois quelques gorgées de bière en rangeant mon portable, encore un peu déphasé de la dernière fois. Ouais j’ai encore quelques traces des coups que je me suis pris mais franchement je vais mieux ! Je suis même déjà prêt pour la prochaine grosse baston, je ne m’arrête jamais. Je crois que j’aime la violence… Putain c’est grave, il faudrait que je consulte un psy dans les prochaines semaines. Y a Mia qui finit par me rejoindre, je lui souris parce que je vois clairement qu’elle a la gueule de bois. À force, franchement, on reconnaît les signes chez les autres et surtout dans sa propre famille ! Le seul en forme finalement c’est Cash qui débarque comme une fleur et me martyrise les cheveux comme une brute. Je râle plus pour la forme qu’autre chose parce que clairement il s’en tape et je le sais !
Et voilà qu’en plus il gueule parce qu’il veut une salade mais il est complètement taré ce mec. J’hausse un sourcil en regardant Mia qui elle, soudainement, a une envie de fraise et je secoue la tête en regardant Cash. « Il va se calmer le Charles Ingalls là ? T’as qu’à t’trouver une fermière qu’tu pourras culbuter dans ta salade. » Je suis classe, élégant et poli en toutes circonstances ! Je me lève quand même pour regarder ce qu’il a ramené de son potager là et lui pique une tomate. Je la lave et mord dedans comme un morfale. Bah quoi ? Les tomates peuvent aussi se manger comme ça j’suis désolé puis je fais ce que je veux et je vous emmerde. Quoi ? Ouais personne ne m’a rien dit et je parle tout seul, et alors ? Ça concerne qui ? Moi et moi seul ! Merde je pète les plombs… « MIAAAAA. Fait lui sa salade au lieu d’faire comme si on t’avait engrossé avec ton envie de fraise là. » Moi j’suis un sale con macho et je veux pas faire la cuisine.
Et voilà qu’en plus il gueule parce qu’il veut une salade mais il est complètement taré ce mec. J’hausse un sourcil en regardant Mia qui elle, soudainement, a une envie de fraise et je secoue la tête en regardant Cash. « Il va se calmer le Charles Ingalls là ? T’as qu’à t’trouver une fermière qu’tu pourras culbuter dans ta salade. » Je suis classe, élégant et poli en toutes circonstances ! Je me lève quand même pour regarder ce qu’il a ramené de son potager là et lui pique une tomate. Je la lave et mord dedans comme un morfale. Bah quoi ? Les tomates peuvent aussi se manger comme ça j’suis désolé puis je fais ce que je veux et je vous emmerde. Quoi ? Ouais personne ne m’a rien dit et je parle tout seul, et alors ? Ça concerne qui ? Moi et moi seul ! Merde je pète les plombs… « MIAAAAA. Fait lui sa salade au lieu d’faire comme si on t’avait engrossé avec ton envie de fraise là. » Moi j’suis un sale con macho et je veux pas faire la cuisine.
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Âge du personnage : 32 ans
Nationalité(s) : Américaine - Finlandaise
Signe astrologique : Balance
Mon personnage, en 5 mots : voleur - manipulateur - calculateur - patient - sincère
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Carrière, métier ou job : braqueur / barman
Hobby : le jardinnage, la lecture, le VTT
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
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Je termine de mettre les pâtes à cuire, bien décidé à me faire un repas copieux, qu'importe ce qu'ils en pensaient! J'observe mon frère et ma sœur à tour de rôle, l'air complètement affligé et les pointe avec ma cuillère en bois. - Non mais vous vous êtes vu? A vous deux vous formez une gueule de bois de compétition, je vais vous appeler Milo, en référence à Mia et Loan, parce que Lomi, c'était pas top, et il n'y avait pas assez de lettre dans leurs prénom pour faire plus original. Milo la gueule de bois. Je pouvais bien parler, c'est pas parce que j'étais frais ce matin que je l'étais tous les jours. Je tire quelques bouffées sur mon joint en les regardant amusé, émerger de leur nuit.
Mia mange des fraises, Loan me pique mes tomates, et moi comme un abruti je fais des pattes. Devant le refus catégorique de l'assemblé de me faire une salade, je tend le joint à Loan, attrape un couteau et je commence à couper mes tomates tout seul. Un peu vexé, je m'adresse à mon frère -Charles Ingalls t'emmerde. Je n'étais pas contre l'idée culbuter un fermière dans mes salades, comme il disait, mais encore fallait-il la trouver, et elles se faisaient rare les fermières, ces derniers jours. Et j'ajoute à l'adresse de Mia sur un ton faussement autoritaire - Et toi va te rhabiller, on a pas besoin d'être à poil pour bouffer des fraises. Je n'était pas contre la liberté de ma sœur et je savais bien qu'elle faisait ce qu'elle voulait, mais un surplus d'amour et un instinct de protection surdéveloppement me poussait à ne pas trop apprécier la voir si peu vêtu, au cas ou n'importe qui passerait à l'improviste.
N'importe quel étranger à la situation aurait trouvé cette scène complètement absurde, mais ce n'était qu'amour et humour entre frères et sœurs. J'étais content de les retrouver tous les deux là, hormis le travail, nous allions et venons et ne nous croisions pas forcément tous les jours, partager des moments ensembles, des moments décontractés comme celui là, sans se prendre la tête pour le travail ou autre, c'était agréable
Mia mange des fraises, Loan me pique mes tomates, et moi comme un abruti je fais des pattes. Devant le refus catégorique de l'assemblé de me faire une salade, je tend le joint à Loan, attrape un couteau et je commence à couper mes tomates tout seul. Un peu vexé, je m'adresse à mon frère -Charles Ingalls t'emmerde. Je n'étais pas contre l'idée culbuter un fermière dans mes salades, comme il disait, mais encore fallait-il la trouver, et elles se faisaient rare les fermières, ces derniers jours. Et j'ajoute à l'adresse de Mia sur un ton faussement autoritaire - Et toi va te rhabiller, on a pas besoin d'être à poil pour bouffer des fraises. Je n'était pas contre la liberté de ma sœur et je savais bien qu'elle faisait ce qu'elle voulait, mais un surplus d'amour et un instinct de protection surdéveloppement me poussait à ne pas trop apprécier la voir si peu vêtu, au cas ou n'importe qui passerait à l'improviste.
N'importe quel étranger à la situation aurait trouvé cette scène complètement absurde, mais ce n'était qu'amour et humour entre frères et sœurs. J'étais content de les retrouver tous les deux là, hormis le travail, nous allions et venons et ne nous croisions pas forcément tous les jours, partager des moments ensembles, des moments décontractés comme celui là, sans se prendre la tête pour le travail ou autre, c'était agréable
CODAGE PAR AMATIS
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“ There's nothing like deep breaths after laughing that hard. Nothing in the world like a sore stomach for the right reasons. ” ~ Loan&Cash
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Cash 'nen rate pas une pour vous engueulr à moitié. Tu tire la langue à sa remarque. Il peut parler lui. T'es peut être la moins pire des trois, ou peut être pas mais bon, il fini aussi minable souvent, d'abord. - Tu peux rien dire... Voilà. Chut. Pff. Tu grimace alors que ton mal de crâne ne s'arrange pas. Puis tu pose le regard sur Loan qui t'as pris pour la boniche de la maison. - t'as cru que j'étais ta boniche ou quoi ? Tu soupires et te réinstalle pour manger tes fraises.
Bien évidemment il faut que Cash se la joue protecteur là et qu'il te demande te rhabiller. Tu lèves les yeux au ciel exaspérée. - Mais vas y on s'en fout y a personne là ! Toujorus à casser l'ambiance celui là, va falloir qu'il se déride. - tu vas avoir des cheveux blanc avant l'heure là, détends toi ouais, tu parle pas forcément comme on devrait parler à son grand frère mais tu t'en tape. Tu souris en coin et prend de la chantilly sur ton doigt pour lui mettre sur les sourcils - woah ça commence déjà fais gaffe ... Tu pouffes de rire, plutôt fière de ta conneries. Tu sens qu'il va se venger mais tu t'en fous. Ou pas trop en fait, tu te relèves rapidement en mangeant ta fraise et recule un peu en te dandinant sur la musique, toujours en culotte, parce que tu compte pas t'habiller, ah ça non.
Bien évidemment il faut que Cash se la joue protecteur là et qu'il te demande te rhabiller. Tu lèves les yeux au ciel exaspérée. - Mais vas y on s'en fout y a personne là ! Toujorus à casser l'ambiance celui là, va falloir qu'il se déride. - tu vas avoir des cheveux blanc avant l'heure là, détends toi ouais, tu parle pas forcément comme on devrait parler à son grand frère mais tu t'en tape. Tu souris en coin et prend de la chantilly sur ton doigt pour lui mettre sur les sourcils - woah ça commence déjà fais gaffe ... Tu pouffes de rire, plutôt fière de ta conneries. Tu sens qu'il va se venger mais tu t'en fous. Ou pas trop en fait, tu te relèves rapidement en mangeant ta fraise et recule un peu en te dandinant sur la musique, toujours en culotte, parce que tu compte pas t'habiller, ah ça non.
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