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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
LONE MARSHALL
put some sugar in your salt, you'll be less acid, son. Well father, you put fire on powder, now I'm gonna blow you up.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
Si tu pouvais, si tu avais accès à l'entièreté d'une connaissance, ce serait la connaissance du temps, qui sait, peut-être aurais-tu le contrôle. Du moins presque. C'est peut-être idiot de croire qu'on pourrait contrôler le temps, qu'on pourrait revenir vers l'arrière, mais pour toi c'est presque aussi évidant que l'univers existe. Faut bien rêver comme on le peu. Le temps cache tellement de secrete et les découvrir, tout savoir sur le temps, son fonctionnement, les loupes, les retours dans le passé.
Ton plus grand rêve ? Oh Lone, t'es dans la merde, espérer que ce rêve se réalise, c'est comme pensé qu'on est immortel. Tu as perdu ta femme, ton Amalia et tout ce que tu pourrais demander à ce monde, au ciel, à l'univers, c'est qu'elle te revienne. C'est grâce à elle que tu gardais ton calme face aux gens, dès que tu te retrouves trop entouré, tu paniques. Tu n'aimes pas avoir tout l'attention sur toi, que ce soit volontaire ou non. Avec le boulot que tu as, tu ne peux pas te permettre d'attirer l'attention. Tu es malaisé dès que tu te retrouves être le centre d'attention.
La recette de ton bonheur ? La recette parfaite ? Tu ne la connais pas, tu ne la connaîtras peut-être jamais. Pessimiste comme tu es depuis la dernière année, c'est mortel de croire que tu y arriveras un jour. Tu as cru que ton bonheur c'était Amalia, qu'elle faisait ta vie, mais faut croire que non. Tu vivais sans elle avant et maintenant tu dois vivre sans elle aujourd'hui. Tu ne crois en rien, tu ne crois pas au bonheur, ni même qu'il n'existerait pas. La recette ne te convient pas, cette recette silencieuse et dissimuler dans les lignes de l'univers. C'est si confus.
ta plus grande réussite à ce jour ?
T'es le mec sans ambitions Lone, le genre de mec qui vit que pour vivre, qui ne s'attarde à rien, qui ferme les yeux à l'idée de faire plus grand. Tout ce que tu te contentes de faire, c'est faire ce que tu veux et ce qui rapporte. Ta plus grande réussite se résume à la vie de ton frère. Tu ne sais pas comment, mais tu as su le protéger de tout, le protéger de la vie merdique dans laquelle tu es tombé. Tu lui as permi d'avoir une vie meilleure et c'est bien ce dont tu es fier maintenant. Ce qui te garde la tête hors de l'eau.
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
Sur le moment, là maintenant ? Ton frère est ta seule priorité. Tu pourrais lui foutre ton pied au cul s'il se foutait dans la merde, s'il osait frôler le chemin que tu as emprunté, s'il osait approché le crime. À l'époque, Amalia était ce que tu avais de plus important, il y avait toujours eut ton frère, c'est vrai, mais tu restais loin de lui pour lui donner une chance d'avoir une vie meilleure. Tu avais tout de même tenter de tuer votre père. Ton frère est tout ce dont à quoi tu tiens maintenant, ta vie minable ne représente rien face à la sienne. Tu donnerais ta vie pour lui, mais si tu trouves que ce n'est passez suffisant comme image.
qu’as-tu ressenti ?
L'illégalité ? C'est ton café le matin, ton café le midi et ton verre ce soir. Tu ne saurais plus vivre sans le crime. En fait, tu as déjà essayé et ce mode de vie t'a rattrapé au galop. Tout ce que tu as fait d'illégale dans ta vie ne saurait te revenir en entier à ton esprit. Des vols de voitures par le passé, passages à tabacs, tu as même menacé ton père d'une arme. Tu étais prêt à le tuer, si ça n'avait été que de toi, tu l'aurais fait. Tu en rêves la nuit, simplement appuyer sur la détente. Aujourd'hui, comme par le passé, tu vends des armes. L'adrénaline de ne jamais avoir été prit sur le fait te rend fibreux.
Si tu pouvais refaire le montre, tu ferais quelque chose de bien cruel, du moins pour certain, mais pour toi, ce monde est pourri que vous continuez, ou que vous recommenciez, ce sera toujours la même chose. Tu le ferais cramer et toute la vermine que vous êtes en même temps. C'est brusque, c'est violent et monstrueux, mais c'est ce que tu ferais. Le monde est hideux, l'humain est immonde et toi le premier.
Surprise, surprise, en fait, tu l'as tué ton père. Et ouais, tu as appuyé sur la détente, tu la fais. Du moins c'Est ce que tu crois. Tu n'as aucun souvenir de cet acte, mais te réveiller couvert de son sang, arme à la main et son cadavre à tes côtés voulait tout dire. Tu ne te souviens pas non plus de ce que tu as bien pu faire les heures précédentes. Tu avais ce mal de tête, une ouverture près du cuir chevelu. Tu n'y crois pas, ce meurtre, tu n'aurais pas pu le faire, mais le doute plane malgré tout. Surprise, surprise, l'as-tu vraiment fait.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [x ] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : #monkeyrium. aka Andie. Âge : 24ans. Anniversaire : 25/08. Localisation : Canada. Présence : 3/7. Personnage ... [x] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : par Dylan, ou Hyde. Et je le trouve : mega top génial. Ma plus grande peur : perdre ma fille. Un dernier mot ? je la déteste!.
IMAGES Alaska & tumblr
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FAITS DIVERS
"Heaven's on one shoulder,
But, baby, hell is on the other."
But, baby, hell is on the other."
Chronologie
mille neuf-cent-quatre-vingt-quatre.
Lone Marshall, c’est à ce moment que tu vois le jour, que tu vis et pousse ton premier cri. Tes parents n’étaient pas reconnus pour être un couple charmant qui s’entendait bien. Ta mère pleurait souvent et ton père avait ses crises de colère insupportable. Pourtant, tu es né de cet étrange union, d'une iranienne et un américain.
mille neuf-cent-quatre-vingt-dix.
C’est la première fois que tu subis les supplices de ton père. Arrivé treize minutes plus tard après l’école, il t’attendait de pieds ferment, ceinture à la main. Ce ne fut pas bien long qu’il te balançant la ceinture à la jambe dans un coup de fouet. Il ne s’était pas arrêté là, ne supportant plus la sangle autour de sa main, il s’est mit à frapper de ses mains, aux doigts grands ouverts. C’est à ce moment que ton enfer à commencer.
Mille neuf-cent-quatre-vingt-seize.
Tu as vu ta mère grossir et tu l’as entendu si souvent pleurer et tu as entendu ton père hurler, tellement fort que tu n’en dormais pas la nuit. L’année à mal commencé, en février, ta mère s’est retrouvé d’urgent à l’hôpital pour accoucher de Ario, ton frère, mais elle n’avait que vingt-huit semaines de grossesse de faite. Ton petit frère s’est retrouvé branché à des machines pendant deux mois, même trois.
Mille neuf-cent-quatre-vingt-dix-huit.
Tu fais ta première fugue. Ario a deux ans, ta mère supporte les coups comme elle le peut, tu prends ceux qui théoriquement serait dédié à ton petit frère. Ton père ne supporte pas les pleures du bambin, depuis deux ans, c’est toi qui se lève la nuit pour donner un coup de main à ta mère, c’est toi qui rassure ton frère qui selon toi fait des cauchemars sans arrêt. Ton père à donné des coups de trop qui a fait que tu as foutu le camp. Il t’a mis la police au cul et ils t’on retrouvé au moment ou tu embarquais dans le bus à Dallas. Tu avais fait du pouce pour t’y rendre, mais ils t’on ramené à la maison. Ce n’était que le début d’une longue liste de fugue.
Mille neuf-cent-quatre-vingt-dix-sept.
Tu te retrouves dans les griffes d’un gang de rue, un peu comme une seconde famille, tu t’endurcis grâce à eux, tu deviens d’une certaine façon plus fort. Tu te mets à dealer de la drogue et même à vendre des armes. Qui résisterait à un gamin de quatorze ans, qui croirait qu’il en serait capable, qu’il serait l’outil d’un trafic important. Qu’est-ce qui t’a lancé dans les griffes de cette merde ? Ta mère a foutu le camp, elle est partie, elle vous a abandonné ton frère et toi dans les pattes de ton père.
Deux mille deux.
Fin de l’année deux milles deux, tu as enfin dix-huit ans et tu as sauté sur l’occasion, tu t’es engagé dans l’armé, tout pour t’éloigner de lui et tu as fièrement réussi. D’un côté, ça t’empêche de traîner dans les griffes de ce gang de rue. Tu as foutu le camp sans prévenir, tu es parti avec comme promesse à Ario, que tous les jours vous vous parleriez. Tu l’as toujours respecté.
Deux mille deux.
Fin de l’année deux milles deux, tu as enfin dix-huit ans et tu as sauté sur l’occasion, tu t’es engagé dans l’armé, tout pour t’éloigner de lui et tu as fièrement réussi. D’un côté, ça t’empêche de traîner dans les griffes de ce gang de rue. Tu as foutu le camp sans prévenir, tu es parti avec comme promesse à Ario, que tous les jours vous vous parleriez. Tu l’as toujours respecté.
Deux mille quatre.
T’en as marre de l’armée, t’en a marre de toute cette histoire. Tenir une arme, abattre des gens, tu pouvais en tirer du plaisir, tu pouvais en tirer une satisfaction, mais la liste s’allonge et ça te rend malade plus tu vois le visage de Ario qui te souris de son côté de l’écran. Il ne t’a fallu que le petit déclique, ton frère qui te balance cette simple phrase : Lone, t’a l’air mort. C’est tout ce qui te fallait pour changé de vie. Tu as déserté, ouais, t’es quelqu’un de fier Lone. T’as abandonné ton pays pour ton propre bien. Tu as quitté pour rejoindre le Brésil.
Deux mille six.
Deux ans, tu es au Brésil depuis deux ans et ce boulot de barman, tu t’en es lassé. Ce petit côté criminel de ta personne t’a encore une fois trainé dans les bras du crime et tu t’es coincé dans les bras d’un autre gang pour le trafique d’arme et même quelques vols qualifier, sans jamais te faire prendre, tu quittes le pays pour rejoindre le Botswana, en Afrique, toi, en Afrique, c’est surprenant, mais tu en avais toujours été intrigué.
Deux mille huit.
Tu es guide safari depuis deux ans maintenant et pour une fois, tu aurais envie d’y rester, tu n’as pas envie de quitter ce pays. Tu es si déstabilisé par la culture, par les paysages. Tu y trouves un plaisir fou. Ton côté nomade à prit un drôle de tournant, mais il y a ce groupe de braconnier qui s’attaque aux animaux. Ils ont essayé de s’en prendre à ton campement et c’est bien grâce à toi qu’ils ont pu s’en sortir. Ton expérience avec les armes à soulever des questions.
Deux mille neuf.
Un poids lourd pèse sur tes épaules depuis cet incident au camp et puis vient cette attaque de lion qui t’a dangereusement marqué à vie. Tu as une partie du torse lacéré suite à cet attaque. Tu as trouvé judicieux de quitter le pays, te refaire une vie. Avec toute cet argent que tu as gagné avec les années, tu pouvais bien ce que tu voulais. C’est avec plaisir que tu as pris comme choix l’Égypte.
- Six mois plus tard.
Tu ne supportes pas l’Égypte, le Caire, c’est pas pour toi et encore une fois, tu as su t’attirer les problèmes, les mauvaises graines. Tu t’es retrouvé implanté dans un réseau de trafiquant d’arme. Faut croire qu’avec les années tu as gagné la gueule qui va avec le métier. Il ne t’a fallu que six mois pour te lasser à nouveau et tu as prit l’Avion pour un lieu complètement différent, l’Irlande.
- Six mois de plus.
Tu es en Irlande depuis six mois et merde Lone que tu te fous dans la merde peu importe où tu vas. Tu attires les problèmes, la peste. Tu t’y plais peut-être en fait. Tu t’es retrouvé sous l’aile d’un grand patron de la Mafia Irlandaise, un petit chien de poche si on peut le dire comme ça. Tu passes ta rage que depuis des années tu n’as pas su assouvir. Il t’a mis dans un ring, il t’a parmi de te battre dans des combats loin d’être légaux. Tu frappais comme si ta vie en dépendait. Tu gagnais de l’argent dans des paris. Tu réussissais toujours à bien caché ce qui se passait dans ta vie lors des vidéos conférence avec ton frère, toujours aux États-Unis. Par chance pour toi, tout semblait bien aller pour lui. Tu n’étais pas là pour mettre ton père en colère.
- Six mois, oui encore, plus tard.
L’Irlande d’emmerde, te battre fait du bien, mais merde il te demande de tuer. Depuis que tu as quitté l’armé, tu t’es promis de ne plus le faire. Ce n’est pas pour toi, la mort ne l’a jamais été et elle ne le sera jamais. Comme prochaine destination, tu as choisi la Norvège puisque tu as toujours été intrigué par cet endroit.
Deux mille douze.
Tu te plais en Norvège, tu y as trouvé quelque chose de paisible. Rien ne semble t’atteindre depuis que tu y es. Il n’a fallu que d’un simple appel pour tout changer. C’était l’heure de l’appel quotidien avec Ario et ce petit garçon de seize ans ne semblait pas vouloir répondre. Tu insistais, tu as dû appeler une dizaine de fois avant qu’il ne décroche. Tu as perdu la tête le voir dans cet état et il t’en a fallu pour qu’il t’avoue ce qu’il lui était arrivé. Tu rentrais à la maison pour le sortir de cette merde.
Deux mille quatorze.
Cela fait maintenant deux ans que tu as trouvé une nouvelle famille pour ton frère. Tu lui avais juré de toujours débarquer quand il en aurait besoin, que tu lui enverrais de l’argent pour qu’il n’ait aucun problème. Ario tenait à ce que tu restes avec lui, que tu ne repartes pas, mais tu lui avais fait comprendre que c’était la pire des idées. Tu ne pouvais pas lui dire dans ce que tu trempais, tu tenais seulement à le protéger. Toi, tu t’es installé il y a deux ans dans le Maryland à Baltimore. Tu l’as bien choisi ta ville, criminel à souhait.
Deux mille quinze.
Tu tombe sur cette rouquine, ce regard profond et bleu. Elle a ce sourire accrocheur. Elle te rend fou et pourtant, tu sais bien que ce n’est pas une bonne idée de t’amouracher d’une femme et pourtant, elle t’a arraché le cœur au premier regard. Pour elle tu as reprit le droit chemin. Elle est devenue ta kryptonite, elle t’a adouci. Un quartier plus tranquille, un boulot légal, une vie de famille tranquille. Tu n’as même pas attendu la fin de l’année avant de l’épouser sur un coup de tête. Elle représentait tellement pour toi, tu ne pouvais pas la laisser te filer entre les doigts.
Deux mille dix-sept.
Juin deux mille dix-sept, la tragédie frappe à ta porte. Le stationnement de ta maison est indisponible puisque l’asphalte était fraîchement refait. Les voitures devaient se garer dans la rue et comme de fait, Amalia, ta femme, cette rousse aux yeux bleus avait garé sa voiture de l’autre côté de la rue. Un coup de klaxon simplement pour attirer ton attention. Tu es sorti et vision d’horreur, elle se fait faucher par une voiture. Elle est morte dans tes bras et ton cœur en a vécu la pire destruction.
Il y a quelques mois.
Un vieil ami t’a retrouvé. Ce n’est pas compliqué, ton nom s’est remit à circulé dans le milieu, ce n’est pas pour rien qu’il a su retrouver ta trace. Il t’a fait par que Ario s’attirait des problèmes sans même que le gamin ne s’en rende compte. Tu n'avais pas le choix, tu devais régler le problème. Ton père l'avait retrouvé et encore une fois, tu devais le protéger. Tu as retrouvé ton père et sans le vouloir, il est mort. Tu l'as tué, en fait, c'est ce que tu crois. Tu t'es réveillé près de son corps en sang et le tient couvert du sien, mais tu as cette cicatrice qui mène les doutes. Lorsque tu t'es réveillé, cette nuit là, tu t'es pointés chez Ario couvert de sang et désorienté. Encore aujourd'hui, il ignore ce qui c'est passé, il ne sait même pas que votre père le surveillait donc encore moins qu'il est mort.
Lone Marshall, c’est à ce moment que tu vois le jour, que tu vis et pousse ton premier cri. Tes parents n’étaient pas reconnus pour être un couple charmant qui s’entendait bien. Ta mère pleurait souvent et ton père avait ses crises de colère insupportable. Pourtant, tu es né de cet étrange union, d'une iranienne et un américain.
mille neuf-cent-quatre-vingt-dix.
C’est la première fois que tu subis les supplices de ton père. Arrivé treize minutes plus tard après l’école, il t’attendait de pieds ferment, ceinture à la main. Ce ne fut pas bien long qu’il te balançant la ceinture à la jambe dans un coup de fouet. Il ne s’était pas arrêté là, ne supportant plus la sangle autour de sa main, il s’est mit à frapper de ses mains, aux doigts grands ouverts. C’est à ce moment que ton enfer à commencer.
Mille neuf-cent-quatre-vingt-seize.
Tu as vu ta mère grossir et tu l’as entendu si souvent pleurer et tu as entendu ton père hurler, tellement fort que tu n’en dormais pas la nuit. L’année à mal commencé, en février, ta mère s’est retrouvé d’urgent à l’hôpital pour accoucher de Ario, ton frère, mais elle n’avait que vingt-huit semaines de grossesse de faite. Ton petit frère s’est retrouvé branché à des machines pendant deux mois, même trois.
Mille neuf-cent-quatre-vingt-dix-huit.
Tu fais ta première fugue. Ario a deux ans, ta mère supporte les coups comme elle le peut, tu prends ceux qui théoriquement serait dédié à ton petit frère. Ton père ne supporte pas les pleures du bambin, depuis deux ans, c’est toi qui se lève la nuit pour donner un coup de main à ta mère, c’est toi qui rassure ton frère qui selon toi fait des cauchemars sans arrêt. Ton père à donné des coups de trop qui a fait que tu as foutu le camp. Il t’a mis la police au cul et ils t’on retrouvé au moment ou tu embarquais dans le bus à Dallas. Tu avais fait du pouce pour t’y rendre, mais ils t’on ramené à la maison. Ce n’était que le début d’une longue liste de fugue.
Mille neuf-cent-quatre-vingt-dix-sept.
Tu te retrouves dans les griffes d’un gang de rue, un peu comme une seconde famille, tu t’endurcis grâce à eux, tu deviens d’une certaine façon plus fort. Tu te mets à dealer de la drogue et même à vendre des armes. Qui résisterait à un gamin de quatorze ans, qui croirait qu’il en serait capable, qu’il serait l’outil d’un trafic important. Qu’est-ce qui t’a lancé dans les griffes de cette merde ? Ta mère a foutu le camp, elle est partie, elle vous a abandonné ton frère et toi dans les pattes de ton père.
Deux mille deux.
Fin de l’année deux milles deux, tu as enfin dix-huit ans et tu as sauté sur l’occasion, tu t’es engagé dans l’armé, tout pour t’éloigner de lui et tu as fièrement réussi. D’un côté, ça t’empêche de traîner dans les griffes de ce gang de rue. Tu as foutu le camp sans prévenir, tu es parti avec comme promesse à Ario, que tous les jours vous vous parleriez. Tu l’as toujours respecté.
Deux mille deux.
Fin de l’année deux milles deux, tu as enfin dix-huit ans et tu as sauté sur l’occasion, tu t’es engagé dans l’armé, tout pour t’éloigner de lui et tu as fièrement réussi. D’un côté, ça t’empêche de traîner dans les griffes de ce gang de rue. Tu as foutu le camp sans prévenir, tu es parti avec comme promesse à Ario, que tous les jours vous vous parleriez. Tu l’as toujours respecté.
Deux mille quatre.
T’en as marre de l’armée, t’en a marre de toute cette histoire. Tenir une arme, abattre des gens, tu pouvais en tirer du plaisir, tu pouvais en tirer une satisfaction, mais la liste s’allonge et ça te rend malade plus tu vois le visage de Ario qui te souris de son côté de l’écran. Il ne t’a fallu que le petit déclique, ton frère qui te balance cette simple phrase : Lone, t’a l’air mort. C’est tout ce qui te fallait pour changé de vie. Tu as déserté, ouais, t’es quelqu’un de fier Lone. T’as abandonné ton pays pour ton propre bien. Tu as quitté pour rejoindre le Brésil.
Deux mille six.
Deux ans, tu es au Brésil depuis deux ans et ce boulot de barman, tu t’en es lassé. Ce petit côté criminel de ta personne t’a encore une fois trainé dans les bras du crime et tu t’es coincé dans les bras d’un autre gang pour le trafique d’arme et même quelques vols qualifier, sans jamais te faire prendre, tu quittes le pays pour rejoindre le Botswana, en Afrique, toi, en Afrique, c’est surprenant, mais tu en avais toujours été intrigué.
Deux mille huit.
Tu es guide safari depuis deux ans maintenant et pour une fois, tu aurais envie d’y rester, tu n’as pas envie de quitter ce pays. Tu es si déstabilisé par la culture, par les paysages. Tu y trouves un plaisir fou. Ton côté nomade à prit un drôle de tournant, mais il y a ce groupe de braconnier qui s’attaque aux animaux. Ils ont essayé de s’en prendre à ton campement et c’est bien grâce à toi qu’ils ont pu s’en sortir. Ton expérience avec les armes à soulever des questions.
Deux mille neuf.
Un poids lourd pèse sur tes épaules depuis cet incident au camp et puis vient cette attaque de lion qui t’a dangereusement marqué à vie. Tu as une partie du torse lacéré suite à cet attaque. Tu as trouvé judicieux de quitter le pays, te refaire une vie. Avec toute cet argent que tu as gagné avec les années, tu pouvais bien ce que tu voulais. C’est avec plaisir que tu as pris comme choix l’Égypte.
- Six mois plus tard.
Tu ne supportes pas l’Égypte, le Caire, c’est pas pour toi et encore une fois, tu as su t’attirer les problèmes, les mauvaises graines. Tu t’es retrouvé implanté dans un réseau de trafiquant d’arme. Faut croire qu’avec les années tu as gagné la gueule qui va avec le métier. Il ne t’a fallu que six mois pour te lasser à nouveau et tu as prit l’Avion pour un lieu complètement différent, l’Irlande.
- Six mois de plus.
Tu es en Irlande depuis six mois et merde Lone que tu te fous dans la merde peu importe où tu vas. Tu attires les problèmes, la peste. Tu t’y plais peut-être en fait. Tu t’es retrouvé sous l’aile d’un grand patron de la Mafia Irlandaise, un petit chien de poche si on peut le dire comme ça. Tu passes ta rage que depuis des années tu n’as pas su assouvir. Il t’a mis dans un ring, il t’a parmi de te battre dans des combats loin d’être légaux. Tu frappais comme si ta vie en dépendait. Tu gagnais de l’argent dans des paris. Tu réussissais toujours à bien caché ce qui se passait dans ta vie lors des vidéos conférence avec ton frère, toujours aux États-Unis. Par chance pour toi, tout semblait bien aller pour lui. Tu n’étais pas là pour mettre ton père en colère.
- Six mois, oui encore, plus tard.
L’Irlande d’emmerde, te battre fait du bien, mais merde il te demande de tuer. Depuis que tu as quitté l’armé, tu t’es promis de ne plus le faire. Ce n’est pas pour toi, la mort ne l’a jamais été et elle ne le sera jamais. Comme prochaine destination, tu as choisi la Norvège puisque tu as toujours été intrigué par cet endroit.
Deux mille douze.
Tu te plais en Norvège, tu y as trouvé quelque chose de paisible. Rien ne semble t’atteindre depuis que tu y es. Il n’a fallu que d’un simple appel pour tout changer. C’était l’heure de l’appel quotidien avec Ario et ce petit garçon de seize ans ne semblait pas vouloir répondre. Tu insistais, tu as dû appeler une dizaine de fois avant qu’il ne décroche. Tu as perdu la tête le voir dans cet état et il t’en a fallu pour qu’il t’avoue ce qu’il lui était arrivé. Tu rentrais à la maison pour le sortir de cette merde.
Deux mille quatorze.
Cela fait maintenant deux ans que tu as trouvé une nouvelle famille pour ton frère. Tu lui avais juré de toujours débarquer quand il en aurait besoin, que tu lui enverrais de l’argent pour qu’il n’ait aucun problème. Ario tenait à ce que tu restes avec lui, que tu ne repartes pas, mais tu lui avais fait comprendre que c’était la pire des idées. Tu ne pouvais pas lui dire dans ce que tu trempais, tu tenais seulement à le protéger. Toi, tu t’es installé il y a deux ans dans le Maryland à Baltimore. Tu l’as bien choisi ta ville, criminel à souhait.
Deux mille quinze.
Tu tombe sur cette rouquine, ce regard profond et bleu. Elle a ce sourire accrocheur. Elle te rend fou et pourtant, tu sais bien que ce n’est pas une bonne idée de t’amouracher d’une femme et pourtant, elle t’a arraché le cœur au premier regard. Pour elle tu as reprit le droit chemin. Elle est devenue ta kryptonite, elle t’a adouci. Un quartier plus tranquille, un boulot légal, une vie de famille tranquille. Tu n’as même pas attendu la fin de l’année avant de l’épouser sur un coup de tête. Elle représentait tellement pour toi, tu ne pouvais pas la laisser te filer entre les doigts.
Deux mille dix-sept.
Juin deux mille dix-sept, la tragédie frappe à ta porte. Le stationnement de ta maison est indisponible puisque l’asphalte était fraîchement refait. Les voitures devaient se garer dans la rue et comme de fait, Amalia, ta femme, cette rousse aux yeux bleus avait garé sa voiture de l’autre côté de la rue. Un coup de klaxon simplement pour attirer ton attention. Tu es sorti et vision d’horreur, elle se fait faucher par une voiture. Elle est morte dans tes bras et ton cœur en a vécu la pire destruction.
Il y a quelques mois.
Un vieil ami t’a retrouvé. Ce n’est pas compliqué, ton nom s’est remit à circulé dans le milieu, ce n’est pas pour rien qu’il a su retrouver ta trace. Il t’a fait par que Ario s’attirait des problèmes sans même que le gamin ne s’en rende compte. Tu n'avais pas le choix, tu devais régler le problème. Ton père l'avait retrouvé et encore une fois, tu devais le protéger. Tu as retrouvé ton père et sans le vouloir, il est mort. Tu l'as tué, en fait, c'est ce que tu crois. Tu t'es réveillé près de son corps en sang et le tient couvert du sien, mais tu as cette cicatrice qui mène les doutes. Lorsque tu t'es réveillé, cette nuit là, tu t'es pointés chez Ario couvert de sang et désorienté. Encore aujourd'hui, il ignore ce qui c'est passé, il ne sait même pas que votre père le surveillait donc encore moins qu'il est mort.
Retour au pays, Hhillsboro,Texas, 2012
Norway to Texas
Tu étais là dans ton petit appartement tranquille. Tu avais les cheveux en bataille, comme si tu venais de te lever avec difficulté. Ce n’est pas toujours facile de garder contact lorsque les fuseaux horaires sont complètement différent. Pour toi, il est près de quatre heures du matin et pour lui, il est près de dix heures le jour même, mais six heures plus tard. Ta main se glisse contre ton visage et tu grognes à entendre cette sacrée sonnerie agressante de skype qui n’engage pas la conversation. Cette absence de réponse, ce lourd silence te pèse sur le cœur. Ton appel est coupé vu ce silence. Tu soupires et te redresse avant de prendre le temps d’enfiler un t-shirt pour revenir devant l’ordinateur. Un coup d’œil par-dessus ton épaule, ta dulciné d’un soir dort encore. Ta main te brûle le visage par une gifle pour te réveiller un peu. Tu relances l’appel à nouveau, toujours sans réponse. Tu sais qu’il est peut-être en cours, ou non, mais Ario n’a jamais manqué un appel, s’il y avait quelque chose, il t’écrivait pour que vous vous parliez plus tard, ce n’était rien de bien compliqué, mais pour une fois, tu commençais à t’inquiéter. Il faut avouer que le voir vieillir à travers un écran, ça te rendait malade. Tu atteins le neuvième appel et ton front se plaque contre le bureau. Tu grognes tu pestes, tu rages, mais pourtant, voilà enfin sa voix qui brise le silence de la pièce et la tension dans tes épaules. « Salut… » Quelque chose dans sa voix te fait mal au cœur. Elle tremble, elle n’a rien d’habituel. Tu lèves les yeux et ton cœur se déchire et tu crois que tout le monde a pu l’entendre dans l’immeuble. Tu caches tes mains hors de l’écran sachant, la rage s’est attaquée à elles et tu ne les contrôles plus, elles tremblent. « Qui t’as fait ça. » Tu avais ta petite idée, tu sautais déjà aux conclusions, hors de question de lui demander comment il va. Tu le vois, bien que ça ne va pas, que quelque chose cloche. Il prend du temps il ne veut pas répondre. Tu fais tout pour garder ton calme. Tu lui avais fait promettre qu’il devait te le dire si votre père osait lever la main sur lui. Tu t’emportes et tu frappes sur le bureau faisait vibrer tout ce qui s’y trouvait de bien proche. « Ario Payam Marshall! PUTAIN! Dis-le moi. » Derrière toi tu entends sursauter et une voix de femme s’élève. Tu n’as pas compris ce qu’elle a dit et tu t’en contrefiches. Tu te lèves et tu la force à partir, sans violence, sans même lui jeter un coup d’œil tu fais les cent pas dans ta chambre jusqu’à ce que sa voix brise le silence qui dure depuis une quinzaine de minutes. « Papa a pété un plomb parce que j’ai eu un B en histoire. » À ce moment, tu avais le dos tourné et s’il avait vu ton visage à ce moment-là, il aurait sûrement eu peur de toi. Tu as pris une grande inspiration et tu as tourné les talons. Sans même lui répondre, sans même lui adresser un regard, tu as abaissé l’écran de ton ordinateur portable ce qui a mit fin à la conversation. Tu avais la rage, tu as récupéré tous tes papiers, que ce soit les vrais ou encore les faux. Tu as récupéré ton argent, et quelques trucs supplémentaires et tu as laissé la porte de l’appartement grande ouverte avant de quitter l’immeuble. Direction l’aéroport. Tu as pris le premier avion pour Dallas. Plus de quatorze heures de vol à ruminer ta rage, à avoir les points serrés. Tu aurais pu dormir, mais non, tu n’y aies même pas arrivé.
Tu rages depuis des heures et enfin l’avion atterrit. Tu n’as pas le temps d’attendre. Dans l’impatience, tu te lèves et passe le premier. Pas le temps d’attendre un taxi, Tu prends les clefs dans les voitures de location et tu roules à toute vitesse. Tu as envie de tout éclater. Tu n’as pas dormi depuis vingt-quatre heures et ta dernière nuit a été plutôt courte, vu que tu ne t’es jamais recouché. La mâchoire bien serrée tu roules à vive allure pour te rendre jusqu’à Hillsboro, Texas, là où se trouve ton frère. Ce n’est peut-être pas la meilleure idée de prendre un vol Oslo, Dallas, mais c’était ce qu’il y avait de plus facile et de disponible dans l’immédiat. Naturellement, c’est une distance qui se fait en une heure et pourtant, tu l’as fait en à peine plus d’une demi-heure. Les deux mains bien ancrées sur le volant, tu ne quittes pas la rues des yeux et chaque possibilité pour raccourcir ton trajet, tu la prends. Virage à droite, virage à gauche et encore à gauche. Tu hurles, tu as laissé faire ça. Tu lui avais pourtant dis de ne jamais toucher à ton frère. Tu as dû faire un arrêt en ville avait de faire le trajet direction la maison de ton enfer. Tu ne prends même pas le temps d’éteindre le moteur. Tes doigts nerveux fourrent les balles dans le chargeur et il tu le plaques avec violence dans ton arme et tu arme la chambre. Tes pieds frappent le bitume plus tu avances avec rage. Tu t’en fiches que la clef se trouve sous une plante morte devant le balcon. Tu gravis les marches et tu t’approches de la porte. Il doit être six heures du matin et déjà, tu l’entends hurler. Tu l’entends clairement de l’extérieur. « T’ES QU’UN MINABLE! T’AURAIS DÛ CREVER AU LIEU DE NAITRE! » Puis vient un bruit qui te retire soudainement toute humanité. D’une force soudaine, tu enfonces la porte sans réfléchir et tu t’enfonces dans la maison. Tu lèves ton arme et tu te retrouves face à une scène que tu n’aurais jamais voulu voir. Lèvre fendue, Ario, déjà en piteuse état, au sol. Le regard de ton père se pose sur toi et tout de suite tu vois la peur s’installer au creux de ces derniers. Il baisse les yeux sur le canon qui est pointé sur lui. Tu n’as jamais été aussi monstrueux, prêt à appuyer sur la détente, le doigt bien appuyé. Des bruits sourds autour de toi, tu n’entends pas sa voix, tu n’entends pas ce que ton père te dit et tu t’en contrefiches. Puis vient cette voix plus tendre à tes fines amies. « Lone… Lone, non. Arrête, fait pas ça, s’il te plait. » Une main sur ton bras qui tire et tente de te faire bouger. Tu baisses les yeux vers ce visage meurtrit qui est celui de ton frère. Tu craches aux pieds de ton père avant de baisser ton arme. « Ario va chercher tes affaires, tu ne restes pas ici. » Tu le repousses avec douceur vers les escaliers et il s’arrête quelques minutes à vous observer. Tu lui donnes sûrement l’impression que s’il part, tu laisseras un bain de sang. Il aurait raison, tu l’aurais tué sur il n’était pas intervenu. « Je te l’avais dit. Touches le et je te tue. Dernière chance. Tu ne l’approches plus, ne le regarde même plus. Ne t’avise même pas lui passer un coup de fil. » Il ose te rire en plein visage. Il empeste l’alcool, merde que t’es con. Tu l’as laissé à ce mec en fermant les yeux. T’es aussi minable que ta mère. Tu caches ton arme à ta ceinture sous ton t-shirt et tu attends que Ario revienne sacs en main. Tu lui en prends un revenant vers la porte avant. Il vous suit et s’adressant à toi. « Mets du sucre dans ton sel, tu seras moins amère. » Tu serres la mâchoire. Cette phrase, il la balançait à ta mère avant de lui faire du mal. Tu te tournes vers lui et ton petit frère s’accroche à ta veste pour que tu ne fasses rien de stupide. Par chance qu’il est là. « Mets le feu aux poudres une fois de plus et je te butte. Ario ou non. » Tu as pris Ario par les épaules pour le traîner jusqu’à la voiture pour l’amener en sécurité.
Tu étais là dans ton petit appartement tranquille. Tu avais les cheveux en bataille, comme si tu venais de te lever avec difficulté. Ce n’est pas toujours facile de garder contact lorsque les fuseaux horaires sont complètement différent. Pour toi, il est près de quatre heures du matin et pour lui, il est près de dix heures le jour même, mais six heures plus tard. Ta main se glisse contre ton visage et tu grognes à entendre cette sacrée sonnerie agressante de skype qui n’engage pas la conversation. Cette absence de réponse, ce lourd silence te pèse sur le cœur. Ton appel est coupé vu ce silence. Tu soupires et te redresse avant de prendre le temps d’enfiler un t-shirt pour revenir devant l’ordinateur. Un coup d’œil par-dessus ton épaule, ta dulciné d’un soir dort encore. Ta main te brûle le visage par une gifle pour te réveiller un peu. Tu relances l’appel à nouveau, toujours sans réponse. Tu sais qu’il est peut-être en cours, ou non, mais Ario n’a jamais manqué un appel, s’il y avait quelque chose, il t’écrivait pour que vous vous parliez plus tard, ce n’était rien de bien compliqué, mais pour une fois, tu commençais à t’inquiéter. Il faut avouer que le voir vieillir à travers un écran, ça te rendait malade. Tu atteins le neuvième appel et ton front se plaque contre le bureau. Tu grognes tu pestes, tu rages, mais pourtant, voilà enfin sa voix qui brise le silence de la pièce et la tension dans tes épaules. « Salut… » Quelque chose dans sa voix te fait mal au cœur. Elle tremble, elle n’a rien d’habituel. Tu lèves les yeux et ton cœur se déchire et tu crois que tout le monde a pu l’entendre dans l’immeuble. Tu caches tes mains hors de l’écran sachant, la rage s’est attaquée à elles et tu ne les contrôles plus, elles tremblent. « Qui t’as fait ça. » Tu avais ta petite idée, tu sautais déjà aux conclusions, hors de question de lui demander comment il va. Tu le vois, bien que ça ne va pas, que quelque chose cloche. Il prend du temps il ne veut pas répondre. Tu fais tout pour garder ton calme. Tu lui avais fait promettre qu’il devait te le dire si votre père osait lever la main sur lui. Tu t’emportes et tu frappes sur le bureau faisait vibrer tout ce qui s’y trouvait de bien proche. « Ario Payam Marshall! PUTAIN! Dis-le moi. » Derrière toi tu entends sursauter et une voix de femme s’élève. Tu n’as pas compris ce qu’elle a dit et tu t’en contrefiches. Tu te lèves et tu la force à partir, sans violence, sans même lui jeter un coup d’œil tu fais les cent pas dans ta chambre jusqu’à ce que sa voix brise le silence qui dure depuis une quinzaine de minutes. « Papa a pété un plomb parce que j’ai eu un B en histoire. » À ce moment, tu avais le dos tourné et s’il avait vu ton visage à ce moment-là, il aurait sûrement eu peur de toi. Tu as pris une grande inspiration et tu as tourné les talons. Sans même lui répondre, sans même lui adresser un regard, tu as abaissé l’écran de ton ordinateur portable ce qui a mit fin à la conversation. Tu avais la rage, tu as récupéré tous tes papiers, que ce soit les vrais ou encore les faux. Tu as récupéré ton argent, et quelques trucs supplémentaires et tu as laissé la porte de l’appartement grande ouverte avant de quitter l’immeuble. Direction l’aéroport. Tu as pris le premier avion pour Dallas. Plus de quatorze heures de vol à ruminer ta rage, à avoir les points serrés. Tu aurais pu dormir, mais non, tu n’y aies même pas arrivé.
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Tu rages depuis des heures et enfin l’avion atterrit. Tu n’as pas le temps d’attendre. Dans l’impatience, tu te lèves et passe le premier. Pas le temps d’attendre un taxi, Tu prends les clefs dans les voitures de location et tu roules à toute vitesse. Tu as envie de tout éclater. Tu n’as pas dormi depuis vingt-quatre heures et ta dernière nuit a été plutôt courte, vu que tu ne t’es jamais recouché. La mâchoire bien serrée tu roules à vive allure pour te rendre jusqu’à Hillsboro, Texas, là où se trouve ton frère. Ce n’est peut-être pas la meilleure idée de prendre un vol Oslo, Dallas, mais c’était ce qu’il y avait de plus facile et de disponible dans l’immédiat. Naturellement, c’est une distance qui se fait en une heure et pourtant, tu l’as fait en à peine plus d’une demi-heure. Les deux mains bien ancrées sur le volant, tu ne quittes pas la rues des yeux et chaque possibilité pour raccourcir ton trajet, tu la prends. Virage à droite, virage à gauche et encore à gauche. Tu hurles, tu as laissé faire ça. Tu lui avais pourtant dis de ne jamais toucher à ton frère. Tu as dû faire un arrêt en ville avait de faire le trajet direction la maison de ton enfer. Tu ne prends même pas le temps d’éteindre le moteur. Tes doigts nerveux fourrent les balles dans le chargeur et il tu le plaques avec violence dans ton arme et tu arme la chambre. Tes pieds frappent le bitume plus tu avances avec rage. Tu t’en fiches que la clef se trouve sous une plante morte devant le balcon. Tu gravis les marches et tu t’approches de la porte. Il doit être six heures du matin et déjà, tu l’entends hurler. Tu l’entends clairement de l’extérieur. « T’ES QU’UN MINABLE! T’AURAIS DÛ CREVER AU LIEU DE NAITRE! » Puis vient un bruit qui te retire soudainement toute humanité. D’une force soudaine, tu enfonces la porte sans réfléchir et tu t’enfonces dans la maison. Tu lèves ton arme et tu te retrouves face à une scène que tu n’aurais jamais voulu voir. Lèvre fendue, Ario, déjà en piteuse état, au sol. Le regard de ton père se pose sur toi et tout de suite tu vois la peur s’installer au creux de ces derniers. Il baisse les yeux sur le canon qui est pointé sur lui. Tu n’as jamais été aussi monstrueux, prêt à appuyer sur la détente, le doigt bien appuyé. Des bruits sourds autour de toi, tu n’entends pas sa voix, tu n’entends pas ce que ton père te dit et tu t’en contrefiches. Puis vient cette voix plus tendre à tes fines amies. « Lone… Lone, non. Arrête, fait pas ça, s’il te plait. » Une main sur ton bras qui tire et tente de te faire bouger. Tu baisses les yeux vers ce visage meurtrit qui est celui de ton frère. Tu craches aux pieds de ton père avant de baisser ton arme. « Ario va chercher tes affaires, tu ne restes pas ici. » Tu le repousses avec douceur vers les escaliers et il s’arrête quelques minutes à vous observer. Tu lui donnes sûrement l’impression que s’il part, tu laisseras un bain de sang. Il aurait raison, tu l’aurais tué sur il n’était pas intervenu. « Je te l’avais dit. Touches le et je te tue. Dernière chance. Tu ne l’approches plus, ne le regarde même plus. Ne t’avise même pas lui passer un coup de fil. » Il ose te rire en plein visage. Il empeste l’alcool, merde que t’es con. Tu l’as laissé à ce mec en fermant les yeux. T’es aussi minable que ta mère. Tu caches ton arme à ta ceinture sous ton t-shirt et tu attends que Ario revienne sacs en main. Tu lui en prends un revenant vers la porte avant. Il vous suit et s’adressant à toi. « Mets du sucre dans ton sel, tu seras moins amère. » Tu serres la mâchoire. Cette phrase, il la balançait à ta mère avant de lui faire du mal. Tu te tournes vers lui et ton petit frère s’accroche à ta veste pour que tu ne fasses rien de stupide. Par chance qu’il est là. « Mets le feu aux poudres une fois de plus et je te butte. Ario ou non. » Tu as pris Ario par les épaules pour le traîner jusqu’à la voiture pour l’amener en sécurité.
Le retour en enfer, Baltimore, Maryland to L.A. 2017/2018
Tu es là, tranquille à la maison, installé sur le divan. Tu sais bien que Amalia, ta femme rentrera bientôt. Elle ne tarde jamais. Depuis que vous attaquiez les rénovations dans la maison, tu passais tes journées à bosser dans la maison. Dans la journée, tu avais fait refaire l’entrée et il était impossible d’y garer une voiture pour les prochains jours. Tu avais pris le temps de garer ta voiture bien loin pour laisser Amalia être près de la maison. Tu avais pris une pause. Tu avais allumé la chaine stéréo, toujours plus agréable que de regarder la télé. Tu n’avais qu’un simple t-shirt dans un sale état et un jean déchiré. Les pieds relevés sur la table de salon tu te concentres sur les vibrations de la musique. Ce calme te va à merveille, qui aurait cru que toi, Lone Isabel Marshall trouverait le calme et que ça lui irait bien. Tu fermes les yeux tentant de t’assoupir un peu et pourtant, à peine la troisième chanson entamée tu entends un klaxon interminable venant de l’extérieur. C’est à hésiter si ça te met en rogne ou si tu es heureux. Tu te lèves d’un bond sans te soucier d’habiller tes pieds. Tu ouvres la porte, pressé par le temps et dévale les escaliers. Tu souris faiblement en glissant ta main sur ta nuque. Son sourire te marque depuis longtemps, mais à tous les jours, ton cœur manque un battement quand ton regard croise le tient. Tu traverses l’herbe fraiche pieds nu en enfouissant tes mains dans tes poches. Tu l’observes sortir de sa voiture avec sa chevelure qui suit le rythme du vent. Tu détournes les yeux un moment te sentant rougir. Elle t’a toujours fait cet effet et ça t’a toujours gêné. Tu sais qu’elle s’en vient. Tu as vu qu’elle avait quelque chose dans les mains sans trop y porter attention. « LOONNEEE!!! » Ce cri de panique. Tu lèves les yeux, un bruit d’accélération et son regard apeuré. Tout s’est passé trop vite. Tu as vu son corps percuter le pare-brise d’une voiture puis elle a roulé sur le toit avant de s’écraser au sol pendant que la voiture continue sa route sans se soucier de sa victime. Tu as figé, elle est là inerte au sol et ton cœur te fait souffrir. Tu n’arrive plus à respirer. Il te fallu un moment avant de courir dans sa direction. Tu as l’impression d’être malade. Tu tombe à genoux à ses côtés. Son corps si frêle immobile et les larmes sur ses joues. Elle t’observe, en larmes. Tu entends les gens autour de toi, des témoins qui sont déjà en train de contacter les secours. Tu la prends dans tes bras et la serre contre ton torse. Tu n’arrives pas à parler, tu hurles le malheur qui vous tombe sur la tête. Elle t’observe sans arriver à bouger. Tu ignores combien de temps c’est produit entre l’accident et l’arrivé des secours.
Tu fais les cent pas dans la salle d’attente, tu es couvert de sang, tu trembles comme si tu n’arrivais à rien. Tes yeux sont vide de vie, tu as cette folle vie de mourir. Ce serait tellement plus simple. Tu fermes les yeux et ton cœur s’arrête un instant. Tu entends des bruits de pas venant du couloir. La porte s’ouvre et tu les observes en silence. Il baisse les yeux au sol et tu comprends tout. Il fait un pas vers toi, mais tu te contente de faire un pas vers l’arrière. Pas de sympathie, tu veux simplement foutre le camp. Tu le contournes, le poussant presque contre le mur avant de disparaitre dans les couloirs pour foutre le camp de cet endroit.
Tu fais les cent pas dans la salle d’attente, tu es couvert de sang, tu trembles comme si tu n’arrivais à rien. Tes yeux sont vide de vie, tu as cette folle vie de mourir. Ce serait tellement plus simple. Tu fermes les yeux et ton cœur s’arrête un instant. Tu entends des bruits de pas venant du couloir. La porte s’ouvre et tu les observes en silence. Il baisse les yeux au sol et tu comprends tout. Il fait un pas vers toi, mais tu te contente de faire un pas vers l’arrière. Pas de sympathie, tu veux simplement foutre le camp. Tu le contournes, le poussant presque contre le mur avant de disparaitre dans les couloirs pour foutre le camp de cet endroit.
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Bouteille de scotch en main, écrasé sur le canapé dans la pièce la plus sombre de l’appartement. Tu as vendu la maison quelques jours après la mort de Amalia pour t’installer dans un appartement miteux dans le quartier le plus dur de Baltimore. Ce soir-là, on a frappé à ta porte. Toi qui était sur la fin de ta bouteille. Tu aurais pu ne pas répondre, tu aurais pu faire le mort, garder le silence, mais on s’acharnait contre ta porte. C’est avec rage que tu t’es levé pour ouvrir à qui compte osait te déranger. La lumière du couloir t’agresse et tu fermes un œil en levant la main. Quelqu’un t’agrippe par le col et te pousse à l’intérieur. Il referme derrière lui et grogne. « Putain Lone, c’est quoi cette odeur, t’empeste l’alcool… » Tes yeux s’adaptent à nouveau et tu croises son visage. Ce vieil ami. Tu croises les bras contre ton torse et tes dents se serrent comme si tu étais loin d’être ravi de le voir. « T’inquiètes pas, je suis pas plus ravi que toi. Avant de foutre le camp tu m’as demandé quelque chose et fait quelques semaines que je te cherche enflure. T’es pas facile à trouver. » Il a attiré ton attention Tu fronces les sourcils et lui donne enfin ce qu’il veut : ton attention. Il glisse une main sur sa nuque avant de te contourner. Il s’éloigne de toi, il sait ce qu’il doit faire, il sait ce qu’il te faut. Il s’éclairci la gorge et te regarde droit dans les yeux. « Ton père est revenu. En fait, Ario est à L.A. et ton père l’a retrouvé. Le gamin sait rien. » Tes mains tremblent et ton regard noirci. Il n’a pas besoin d’en rajouter, il n’a pas besoin de donner des détails. Il fait le tour de la pièce pour rejoindre à nouveau la porte d’entrée. « Il s’est installé dans un motel u bordure de la ville. » Il la ferme derrière lui et tu sais très bien ce que tu as à faire.
Pas le temps de réfléchir, tu sors de la voiture et t’engage sur le territoire du motel. Grâce à tes petites recherches, tu as su quel était la chambre dans laquelle il créchait. Ton cœur se serre et tes dents grincent. Tes poings se serrent et tu frappes à plusieurs reprises contre la porte. Tes doigts sont nerveux et se plaque contre le manche de ton arme à ta taille. La porte s’ouvre et ton regard croise le sien. Son corps est vieilli, tu ne l’as pas vu depuis quelques années. Faut croire que dès que tu as pu lui arracher Ario des mains, il n’avait plus de raison de s’en prendre à toi. Tu es sûrement le pire de ses fils à ses yeux et tu t’en fiches, avec lui, tu te battrais n’importe quand, jusqu’à la mort s’il le faut. Ton poing te démange et sans retenu tu lui enfonce en pleine gueule. Il recule et s’effondre au sol. Tu entres la rage au ventre. « Qu’est-ce que tu fiches ici. » T’es dangereusement nerveux, un mot mal placé, un mauvais mouvement, tu pourrais le tuer. Il reste au sol à t’observer et tu claques la porte derrière toi. Tu croises bras pour t’empêcher de faire une connerie. Pour Ario tu ne devrais pas le tuer, tu ne devrais pas t’en prendre à lui. « Je t’avais dit de rester loin de lui. Tu le surveilles putain! Qu’est-ce que tu veux lui faire ? » Tu observes les murs tapissés des photos de ton frère. Les nœuds se délient et ta main guide ton arme entre tes doigts prêt à appuyé sur la détente. Il se lève, calme, trop calme. « Tu crois sérieusement que je laisserais mon fils bousiller sa vie comme ça. » Tu éclates de rire et tu fais quelques pas pour le repousser de ton arme. « Comme quoi? Comme un jeune normal? Avec de bonnes études? Loin des problèmes? Tu aurais préféré qu’il devienne comme moi ? » Tu hurles et plaque tes mains sur tes tempes malgré l’arme. Tu t’approche d’un mur et tu l’entends rire dans ton dos. Ton regard tourné vers lui, il tient un couteau entre ses mains. Tu lèves ton arme, prêt à tirer, mais tu reçois un coup à l’arrière de la tête et tout ce dont tu te souviens, c’est un coup de feu.
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Pas le temps de réfléchir, tu sors de la voiture et t’engage sur le territoire du motel. Grâce à tes petites recherches, tu as su quel était la chambre dans laquelle il créchait. Ton cœur se serre et tes dents grincent. Tes poings se serrent et tu frappes à plusieurs reprises contre la porte. Tes doigts sont nerveux et se plaque contre le manche de ton arme à ta taille. La porte s’ouvre et ton regard croise le sien. Son corps est vieilli, tu ne l’as pas vu depuis quelques années. Faut croire que dès que tu as pu lui arracher Ario des mains, il n’avait plus de raison de s’en prendre à toi. Tu es sûrement le pire de ses fils à ses yeux et tu t’en fiches, avec lui, tu te battrais n’importe quand, jusqu’à la mort s’il le faut. Ton poing te démange et sans retenu tu lui enfonce en pleine gueule. Il recule et s’effondre au sol. Tu entres la rage au ventre. « Qu’est-ce que tu fiches ici. » T’es dangereusement nerveux, un mot mal placé, un mauvais mouvement, tu pourrais le tuer. Il reste au sol à t’observer et tu claques la porte derrière toi. Tu croises bras pour t’empêcher de faire une connerie. Pour Ario tu ne devrais pas le tuer, tu ne devrais pas t’en prendre à lui. « Je t’avais dit de rester loin de lui. Tu le surveilles putain! Qu’est-ce que tu veux lui faire ? » Tu observes les murs tapissés des photos de ton frère. Les nœuds se délient et ta main guide ton arme entre tes doigts prêt à appuyé sur la détente. Il se lève, calme, trop calme. « Tu crois sérieusement que je laisserais mon fils bousiller sa vie comme ça. » Tu éclates de rire et tu fais quelques pas pour le repousser de ton arme. « Comme quoi? Comme un jeune normal? Avec de bonnes études? Loin des problèmes? Tu aurais préféré qu’il devienne comme moi ? » Tu hurles et plaque tes mains sur tes tempes malgré l’arme. Tu t’approche d’un mur et tu l’entends rire dans ton dos. Ton regard tourné vers lui, il tient un couteau entre ses mains. Tu lèves ton arme, prêt à tirer, mais tu reçois un coup à l’arrière de la tête et tout ce dont tu te souviens, c’est un coup de feu.
IMAGES tumblr
- InvitéInvité
HONEEYYYYYY.
Contente que t'aies succombé.
Hâte que tout ça prenne forme.
Contente que t'aies succombé.
Hâte que tout ça prenne forme.
- InvitéInvité
Bienvenue. Hate de voir ce que tu vas faire avec ce personnage.
- InvitéInvité
Le pseudo, et Garrett, j'approuve! J'avais joué cet avatar, dans le temps, lorsque j'étais q'un jeune, sage et innocent et que je m’intéressais pas encore à la bargerie et au licorne arc en ciel! Bienvenue parmi nous, bon courage, pour ta fichounette
- InvitéInvité
oh garrett trop bon choix!!
bienvenue
bienvenue
- InvitéInvité
Garrett Hedlund, mama il a cette masculinité alliée à une douceur.
Bienvenue sur le forum et bonne rédaction.
Bienvenue sur le forum et bonne rédaction.
- InvitéInvité
Garrett on le voit trop peu
Bienvenue sur le forum
- InvitéInvité
Heyyy ! Bienvenue sur le forum ! Bon courage pour la suite de ta fiche que j'ai hâte de lire
- LONE MARSHALL ¶ If death is the last appointment Then we're all just sitting in the waiting room
- Owen Marshall ¶ Earth, Wind & Fire in my soul
- Sevastiana Z. Sapovnikova ¶ Freedom is the oxygen of the soul
- SEVASTIANA Z. SAPOVNIKOVA¶ Freedom is the oxygen of the soul
- ARIO MARSHALL ¶ "J’ai besoin de la médiation d’autrui pour être ce que je suis."
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