YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Quoi de mieux qu’une bonne journée pluvieuse pour son jour de congé ? Le seul de la journée. Peut-être même du mois. J’avais rêvé de ce jour pendant des semaines et pourquoi ? Pour voir des trombes d’eau se déverser dans cette foutue ville où il ne pleuvait que cinq jours par an ! C’était bien ma veine !
Le sort avait manifestement décidé de s’acharner contre moi. Ces derniers temps, on m’avait bousculé, frappé, mordu, j’étais passé par une fenêtre, j’avais failli mourir en passant sous un camion et tout ce que je méritais c’était un jour de congé pluvieux ? Seriously ?
J’avais besoin de m’amuser, de faire la fête, mais il était encore trop tôt pour avaler de la Grey Goose comme si c’était le sang du Christ. J’avais besoin de fun, de m’éclater, et accessoirement d’empaler quelqu’un. Sur mon pie, cela allait de soi.
J’étais au volant du monstre qu’on m’avait alloué. La belle Mercedes que je conduisais encore il y a quelques temps a été vendue aux enchères comme le voulait le protocole. Le Bureau récupérait les voitures saisies, nous les utilisions le temps qu’elles soient vendues aux enchères. Les seules dépenses que nous avions étaient de mettre de l’essence dans le réservoir. Dépenses remboursées par le Bureau lorsque nous étions en service, évidemment. Petits privilèges accordés à notre service.
Paresseusement, je roulais tranquillement vers Downtown. Il y avait toujours de l’activité là-bas. C’était cool. Pas mal de gens me connaissaient mais je n’avais jamais eu de problème avec les gangs locaux. Malgré mon job, ceux-ci avaient remarqué que je n’étais pas un flic véreux mais que je n’hésiterais pas à les arrêter si je voyais quelque chose de poudreux s’échanger entre eux. Le quartier était beaucoup plus clean quand j’étais dans les parages. Oui, j’étais devenu mon propre indic, c’était incroyable ce que les racailles pouvaient vous raconter lorsqu’on leur offrait de la bière, ou un quelconque alcool.
Ouais, la racaille s’avait s’amuser. Les flics… un peu moins. Toujours sur le qui-vive, à guetter l’entrée la main pas trop loin de l’arme de service… Bon d’accord, moi aussi je le faisais mais une bande de personnes qui faisaient la même chose, ce n’était pas drôle du tout ! C’était ennuyeux à mourir !
Je vis apparaître la devanture décrépie du Brodway Factory. Nous y avions fait une descente le mois dernier, bon, ça n’avait rien donné. Mais au moins, j’avais découvert un lieu très intéressant.
Je n’étais jamais entré dans un sex shop avant. Ca avait été chouette, même si j’avais failli perdre ma tête car j’avais été le coéquipier du boss et que j’avais été plus intéressé par les articles que la boutique proposait plutôt que de surveiller son cul.
Mon choix fût vite fait. Il pleuvait, je n’avais rien de mieux à faire, donc je pouvais aller visiter l’endroit entièrement de mon plein gré.
Je me garais sur le côté de la rue et sortis en courant du véhicule pour m’engouffrer dans le lieu sans ménagement. En me voyant, le gérant soupira et leva les mains en signe de reddition. Ce qui me fit rire, genre sincèrement. Je lui fis signe de baisser les mains et disparut dans un rayon en haussant les sourcils. Le pauvre, j’allais vraiment lui faire avoir une attaque et vu l’âge que je lui supposai, ce n’était pas une bonne idée.
Il y avait de tout dans cet établissement et je jugeais sans retenue que ce sex shop n’était pas le plus glamour de LA. Franchement, qui achetait des menottes à fourrure et paillettes roses en 2018 ? C’était hideux. Mais en tout cas, il y avait une multitude de films pornos, ceux où il y avait encore des dialogues et un scénario.
C’était exactement le genre de chose qui pouvait m’intéresser. J’attrapais un tabouret qui trainait malencontreusement près de moi et m’assis face au rayon, parcourant au hasard les « œuvres » et lisant leur résumé. Il y avait vraiment des choses pas mal et surtout, il y avait de tout. J’étais un homme qui aimait la diversité.
Mon regard fût attiré par un homme au bout du rayon, à l’entrée du magasin, trempé. Et oh ! Il était bizarrement très sexy, son t-shirt mouillé lui collant à la peau et me laissant voir les lignes de son torse si bien sculpté. Finalement, ce n’était pas un si mauvais jour…
Je souris légèrement et reportais mon attention sur le film que j’avais en main : Tête brûlée. Porno gay avec des pompiers. De très beaux pompiers à en juger la couverture. Un signe peut-être. Peut-être que le beau garçon mouillé voulait jouer au pompier avec moi ? J’avais besoin de distraction et je sentais que ce type allait m’en donner une bonne dose, même si il ne finissait pas dans mon lit.
Mon porno sous le bras et un autre que j’attrapais au passage, je marchai droit vers le nouvel arrivant et plaçai les deux films de part et d’autre de ma tête. A gauche, le porno gay à droite le porno hétéro mettant en scène une fabuleuse femme à l’anatomie avantageuse.
« T’es plutôt pompier en chaleur ou minette mouillée ? »
Le sort avait manifestement décidé de s’acharner contre moi. Ces derniers temps, on m’avait bousculé, frappé, mordu, j’étais passé par une fenêtre, j’avais failli mourir en passant sous un camion et tout ce que je méritais c’était un jour de congé pluvieux ? Seriously ?
J’avais besoin de m’amuser, de faire la fête, mais il était encore trop tôt pour avaler de la Grey Goose comme si c’était le sang du Christ. J’avais besoin de fun, de m’éclater, et accessoirement d’empaler quelqu’un. Sur mon pie, cela allait de soi.
J’étais au volant du monstre qu’on m’avait alloué. La belle Mercedes que je conduisais encore il y a quelques temps a été vendue aux enchères comme le voulait le protocole. Le Bureau récupérait les voitures saisies, nous les utilisions le temps qu’elles soient vendues aux enchères. Les seules dépenses que nous avions étaient de mettre de l’essence dans le réservoir. Dépenses remboursées par le Bureau lorsque nous étions en service, évidemment. Petits privilèges accordés à notre service.
Paresseusement, je roulais tranquillement vers Downtown. Il y avait toujours de l’activité là-bas. C’était cool. Pas mal de gens me connaissaient mais je n’avais jamais eu de problème avec les gangs locaux. Malgré mon job, ceux-ci avaient remarqué que je n’étais pas un flic véreux mais que je n’hésiterais pas à les arrêter si je voyais quelque chose de poudreux s’échanger entre eux. Le quartier était beaucoup plus clean quand j’étais dans les parages. Oui, j’étais devenu mon propre indic, c’était incroyable ce que les racailles pouvaient vous raconter lorsqu’on leur offrait de la bière, ou un quelconque alcool.
Ouais, la racaille s’avait s’amuser. Les flics… un peu moins. Toujours sur le qui-vive, à guetter l’entrée la main pas trop loin de l’arme de service… Bon d’accord, moi aussi je le faisais mais une bande de personnes qui faisaient la même chose, ce n’était pas drôle du tout ! C’était ennuyeux à mourir !
Je vis apparaître la devanture décrépie du Brodway Factory. Nous y avions fait une descente le mois dernier, bon, ça n’avait rien donné. Mais au moins, j’avais découvert un lieu très intéressant.
Je n’étais jamais entré dans un sex shop avant. Ca avait été chouette, même si j’avais failli perdre ma tête car j’avais été le coéquipier du boss et que j’avais été plus intéressé par les articles que la boutique proposait plutôt que de surveiller son cul.
Mon choix fût vite fait. Il pleuvait, je n’avais rien de mieux à faire, donc je pouvais aller visiter l’endroit entièrement de mon plein gré.
Je me garais sur le côté de la rue et sortis en courant du véhicule pour m’engouffrer dans le lieu sans ménagement. En me voyant, le gérant soupira et leva les mains en signe de reddition. Ce qui me fit rire, genre sincèrement. Je lui fis signe de baisser les mains et disparut dans un rayon en haussant les sourcils. Le pauvre, j’allais vraiment lui faire avoir une attaque et vu l’âge que je lui supposai, ce n’était pas une bonne idée.
Il y avait de tout dans cet établissement et je jugeais sans retenue que ce sex shop n’était pas le plus glamour de LA. Franchement, qui achetait des menottes à fourrure et paillettes roses en 2018 ? C’était hideux. Mais en tout cas, il y avait une multitude de films pornos, ceux où il y avait encore des dialogues et un scénario.
C’était exactement le genre de chose qui pouvait m’intéresser. J’attrapais un tabouret qui trainait malencontreusement près de moi et m’assis face au rayon, parcourant au hasard les « œuvres » et lisant leur résumé. Il y avait vraiment des choses pas mal et surtout, il y avait de tout. J’étais un homme qui aimait la diversité.
Mon regard fût attiré par un homme au bout du rayon, à l’entrée du magasin, trempé. Et oh ! Il était bizarrement très sexy, son t-shirt mouillé lui collant à la peau et me laissant voir les lignes de son torse si bien sculpté. Finalement, ce n’était pas un si mauvais jour…
Je souris légèrement et reportais mon attention sur le film que j’avais en main : Tête brûlée. Porno gay avec des pompiers. De très beaux pompiers à en juger la couverture. Un signe peut-être. Peut-être que le beau garçon mouillé voulait jouer au pompier avec moi ? J’avais besoin de distraction et je sentais que ce type allait m’en donner une bonne dose, même si il ne finissait pas dans mon lit.
Mon porno sous le bras et un autre que j’attrapais au passage, je marchai droit vers le nouvel arrivant et plaçai les deux films de part et d’autre de ma tête. A gauche, le porno gay à droite le porno hétéro mettant en scène une fabuleuse femme à l’anatomie avantageuse.
« T’es plutôt pompier en chaleur ou minette mouillée ? »
- InvitéInvité
Ce jour-là, je sortais de ma villa pour me rendre chez mon manager. Au volant de ma Wiesmann Roadster MF5 grise, je laisser les rues de Los Angeles défiler sous un soleil radieux, bien que quelques nuages venaient tâcher le ciel bleu d’un peu de blanc. J’étais vêtu d’un t-shirt marron-orangé et d’un slim noir. Lunette de soleil sur le nez, je laissais le vent s’occuper à son gré de mes cheveux après avoir décapoté mon toit.
Arrivé à l’agence, je parcours les couloirs d’un blanc immaculé que ce soit les murs, le sol carrelé dans lequel on pouvait presque se voir comme dans un miroir, ou encore le plafond. J’attendais sur un canapé moderne que mon agent soit libre pour pouvoir pénétrer dans son bureau. Lorsqu’il ouvrit enfin la porte pour laisser son autre protégé sortir, il me sourit directement et se dirigea vers moi sans plus attendre, m’adressant une accolade familière. Nous entrâmes dans son bureau et nous mîmes à parler du contrat, de son avancée. L’apparition aux Oscars avait fait parler de Coco et de moi et c’était exactement le but de cette apparition en publique. Nos agents étaient très contents de ce retour au vue de ce qu’il me racontait. Les 5 millions pourraient même s’augmenter si notre popularité continuait dans cette voie. Je lui souris et acquiesçai avant de partir après avoir échanger d’autres banalités sur ma carrière, mon faux couple avec Coco Rodhes et ma vie personnelle.
Je n’avais pas fait attention au fait que j’étais resté un bon moment là-bas. Le temps avait réussi à se noircir et la pluie s’écoulait abondamment. Je courus à ma voiture aussi vite que possible pour me dépêcher de rabattre la capote, bien que les sièges étaient déjà bien trempés. Heureusement, comme c’était du cuir de qualité, ils n’absorbaient pas l’eau alors je les ai épongé du mieux que je puisse avec la couverture que j’avais dans mon coffre. Oui j’avais une couverture dans ma voiture et alors ? C’était pour ne pas abîmer le coffre lorsque j’y déposais des choses lourdes pouvant faire des accrocs etc.
Une fois ce malencontreux événements résolu du mieux que je puisse, je repris le volant. Je devais me rendre dans le sex-shop qui appartenait en cachette à ma famille. Ce n’était pas vraiment mon genre d’endroit favori, je considérais les gens se rendant dans ce genre d’endroit comme étant de bons gros obsédés étant trop moche pour se trouver un trou à combler ou bien trop stupides pour acheter comme tout le monde sur internet, comme je le faisais. Toutefois, si je devais m’y rendre, ce n’était pas pour mon plaisir, mais nous devions faire une boîte surprise pour les trente ans d’un ami et qui dit boîte surprise, dit sex-toys et autres imbécillités du genre. Ayant le plus de temps libre du groupe, c’était à moi qu’on avait délégué cette tâche. Si ma famille n’en possédait pas un, j’aurais trouvé un moyen pour ne pas y aller. Après tout, une célébrité dans ce genre d’endroit, surtout à Downtown, cela aurait de quoi entacher une réputation en pleine construction.
Toujours est-il que je pénétrais dans cette boutique, trempé jusqu’aux os, mon t-shirt collant à mon torse et le laissant transparaître. Je saluais affectueusement Nick, le gérant. Je le connaissais depuis ma plus tendre enfance puisqu’il avait été le majordome chargé de veiller sur moi à la grande propriété des Iger. Il avait voulu un travail plus reposant au vue de son âge, mais refusait de quitter la famille qui lui avait tant apporté et qu’il considérait comme la sienne. Alors mon père lui avait trouvé cette place lorsque son cousin avait racheter l’endroit une bouchée de pain à son ancien propriétaire. Nick savait que je devais passer aujourd’hui, alors il me parla brièvement avant de me laisser partir dans les rayons. Cet endroit était vraiment destiné aux vices les plus sordides et étranges. Je ne savais pas vraiment ce que je foutais ici, rien ne m’excitait pour dire la vérité. Enfin rien… disons que le jeune homme qui vient à ma rencontre, le teint hâlé, des yeux clairs où l’on pourrait se noyer et des lèvres sans doutes très agréables à toucher, lui pourrait m’exciter dans d’autres circonstances. Il me demanda ma préférence sur mon choix de films parmi les deux qu’il avait en main. Ne le connaissant ni d’Eve, ni d’Adam, je haussa un sourcil en l’observant. Si cela se trouve, c’était un journaliste près à écrire qu’il m’avait reconnu dans un sex-shop et voulant en savoir plus sur ma vie sexuelle.
« Je n’ai jamais été très fan des uniformes. »
Au moins, cette réponse laissait suspendre le doute sur sa question. Il n’était pas fixé sur un film en particulier, simplement sur le fait que je n’aimais pas les uniformes. A lui d’interpréter cela sur le fait que je préférais l’autre.
« Excuse-moi, mais j’ai des choses à faire. »
Je le contournai et me rendis au rayon des accessoires. Des menottes roses à paillettes affreuses étaient parfaites pour la boîte de connerie que je préparais à mon ami, alors je les pris. Je continuais dans les rayons, jetant des regards furtifs pour voir si l’homme était toujours là, dans les parages. Je me rendis au niveau des dvds et pris là où les acteurs semblaient les plus excitant.
Arrivé à l’agence, je parcours les couloirs d’un blanc immaculé que ce soit les murs, le sol carrelé dans lequel on pouvait presque se voir comme dans un miroir, ou encore le plafond. J’attendais sur un canapé moderne que mon agent soit libre pour pouvoir pénétrer dans son bureau. Lorsqu’il ouvrit enfin la porte pour laisser son autre protégé sortir, il me sourit directement et se dirigea vers moi sans plus attendre, m’adressant une accolade familière. Nous entrâmes dans son bureau et nous mîmes à parler du contrat, de son avancée. L’apparition aux Oscars avait fait parler de Coco et de moi et c’était exactement le but de cette apparition en publique. Nos agents étaient très contents de ce retour au vue de ce qu’il me racontait. Les 5 millions pourraient même s’augmenter si notre popularité continuait dans cette voie. Je lui souris et acquiesçai avant de partir après avoir échanger d’autres banalités sur ma carrière, mon faux couple avec Coco Rodhes et ma vie personnelle.
Je n’avais pas fait attention au fait que j’étais resté un bon moment là-bas. Le temps avait réussi à se noircir et la pluie s’écoulait abondamment. Je courus à ma voiture aussi vite que possible pour me dépêcher de rabattre la capote, bien que les sièges étaient déjà bien trempés. Heureusement, comme c’était du cuir de qualité, ils n’absorbaient pas l’eau alors je les ai épongé du mieux que je puisse avec la couverture que j’avais dans mon coffre. Oui j’avais une couverture dans ma voiture et alors ? C’était pour ne pas abîmer le coffre lorsque j’y déposais des choses lourdes pouvant faire des accrocs etc.
Une fois ce malencontreux événements résolu du mieux que je puisse, je repris le volant. Je devais me rendre dans le sex-shop qui appartenait en cachette à ma famille. Ce n’était pas vraiment mon genre d’endroit favori, je considérais les gens se rendant dans ce genre d’endroit comme étant de bons gros obsédés étant trop moche pour se trouver un trou à combler ou bien trop stupides pour acheter comme tout le monde sur internet, comme je le faisais. Toutefois, si je devais m’y rendre, ce n’était pas pour mon plaisir, mais nous devions faire une boîte surprise pour les trente ans d’un ami et qui dit boîte surprise, dit sex-toys et autres imbécillités du genre. Ayant le plus de temps libre du groupe, c’était à moi qu’on avait délégué cette tâche. Si ma famille n’en possédait pas un, j’aurais trouvé un moyen pour ne pas y aller. Après tout, une célébrité dans ce genre d’endroit, surtout à Downtown, cela aurait de quoi entacher une réputation en pleine construction.
Toujours est-il que je pénétrais dans cette boutique, trempé jusqu’aux os, mon t-shirt collant à mon torse et le laissant transparaître. Je saluais affectueusement Nick, le gérant. Je le connaissais depuis ma plus tendre enfance puisqu’il avait été le majordome chargé de veiller sur moi à la grande propriété des Iger. Il avait voulu un travail plus reposant au vue de son âge, mais refusait de quitter la famille qui lui avait tant apporté et qu’il considérait comme la sienne. Alors mon père lui avait trouvé cette place lorsque son cousin avait racheter l’endroit une bouchée de pain à son ancien propriétaire. Nick savait que je devais passer aujourd’hui, alors il me parla brièvement avant de me laisser partir dans les rayons. Cet endroit était vraiment destiné aux vices les plus sordides et étranges. Je ne savais pas vraiment ce que je foutais ici, rien ne m’excitait pour dire la vérité. Enfin rien… disons que le jeune homme qui vient à ma rencontre, le teint hâlé, des yeux clairs où l’on pourrait se noyer et des lèvres sans doutes très agréables à toucher, lui pourrait m’exciter dans d’autres circonstances. Il me demanda ma préférence sur mon choix de films parmi les deux qu’il avait en main. Ne le connaissant ni d’Eve, ni d’Adam, je haussa un sourcil en l’observant. Si cela se trouve, c’était un journaliste près à écrire qu’il m’avait reconnu dans un sex-shop et voulant en savoir plus sur ma vie sexuelle.
« Je n’ai jamais été très fan des uniformes. »
Au moins, cette réponse laissait suspendre le doute sur sa question. Il n’était pas fixé sur un film en particulier, simplement sur le fait que je n’aimais pas les uniformes. A lui d’interpréter cela sur le fait que je préférais l’autre.
« Excuse-moi, mais j’ai des choses à faire. »
Je le contournai et me rendis au rayon des accessoires. Des menottes roses à paillettes affreuses étaient parfaites pour la boîte de connerie que je préparais à mon ami, alors je les pris. Je continuais dans les rayons, jetant des regards furtifs pour voir si l’homme était toujours là, dans les parages. Je me rendis au niveau des dvds et pris là où les acteurs semblaient les plus excitant.
- InvitéInvité
Je regardais fixement mon inconnu jauger les deux films que je tenais en main. Son regard ne fit que glisser sur le porno hétéro tandis que pour le porno gay, il regarda vraiment.
« Je n’ai jamais été très fan des uniformes. »
Vraiment ? Un homme gay, aurait fait une réflexion sur le film mettant en scène cette femme si peu aguichante mais réellement vulgaire, mais lui, il avait fait une remarque sur les uniformes. Notre homme était donc gay comme un phoque. Parfait ! Enfin quelque chose qui m’arrangeai dans cette journée de merde.
Je le laissai me contourner pour aller s’engouffrer dans les rayons. Ce qu’il ne savait, c’était que j’avais décidé de ne pas le lâcher. Mais j’allais toutefois reposer le film que je ne prendrai pas là où je l’avais trouvé et en choisi trois autres : Corones Beach, L’antre du Diable et Docteur Love. Ca ferait entièrement l’affaire pour ce que j’avais prévu.
J’allais au fond de mon rayon et allait me poster… en planque. Oui, encore. Je ne pouvais pas chasser mon naturel, même quand je n’étais pas en service.
De là où je me trouvais, je savais qu’il ne pouvait pas me voir mais moi, j’avais tout le loisir de l’observer et j’aimais beaucoup ce que je voyais. Il est était grand, musclé mais pas d’une musculature imposante. J’imaginais très bien les muscles de ses bras gonfler lorsque je tirais ses bras en arrière pour m’enfoncer lentement en lui… Oui c’était très plaisant.
Je le regardai prendre ces menottes ridicules que j’avais remarqué tout à l’heure. Si il voulait jouer au policier et au voleur, je serais prêt à utiliser mes vrais outils de travail même si c’était interdit.
Il continuait de déambuler dans les rayons, attrapant des objets, le regardant puis les reposant. Un homme indécis donc un homme parfaitement mon genre.
Je m’effaçai avant qu’il ne remarque ma présence et allai du côté des consommables. Je pris soin d’analyser toutes les bouteilles de lubrifiants présentées avant de faire mon choix. Le plus épais, évidemment. Puis j’attrapais un boite de préservatifs Skyn Large et un gel pour masser, aucune idée de comment ça s’appelait, c’était juste marqué « massage » sur la bouteille et c’était tout ce qui m’intéressait.
Mes futurs achats placés dans le petit panier décrépi, je m’en retournais voir mon étalon, le sourire aux lèvres. Pas un très grand sourire, je ne voulais pas lui faire peur. Je pris en main les trois autres dvds que j’avais pris et les lui montrais.
« Donc, comme tu n’es pas emballé par les uniformes, j’en ai choisi d’autres. Un avec des latinos parce que tous les monde aime les latinos gays, un avec un prêtre et des garçons d’églises… parce que, voilà et puis, un docteur qui ausculte d’une façon assez particulière. »
Pour qui je me prenais ? Adam Ashcraft. Je n’avais que faire de la méfiance, justifié, de mon bel étalon. Il serait ma distraction, parce que je l’avais décidé. Et puis, j’avais un certain pouvoir de persuasion.
Je sortis la cordelette qui retenait mon badge sous mon t-shirt et le laissait retomber sur mon torse, l’air de rien mais en continuant de le fixer.
« C’est pas trop ton truc les uniformes, hein ? Ca tombe bien, je n’en porte pas et… en plus, moi, j’ai de vraies menottes. Ca te tente ? »
« Je n’ai jamais été très fan des uniformes. »
Vraiment ? Un homme gay, aurait fait une réflexion sur le film mettant en scène cette femme si peu aguichante mais réellement vulgaire, mais lui, il avait fait une remarque sur les uniformes. Notre homme était donc gay comme un phoque. Parfait ! Enfin quelque chose qui m’arrangeai dans cette journée de merde.
Je le laissai me contourner pour aller s’engouffrer dans les rayons. Ce qu’il ne savait, c’était que j’avais décidé de ne pas le lâcher. Mais j’allais toutefois reposer le film que je ne prendrai pas là où je l’avais trouvé et en choisi trois autres : Corones Beach, L’antre du Diable et Docteur Love. Ca ferait entièrement l’affaire pour ce que j’avais prévu.
J’allais au fond de mon rayon et allait me poster… en planque. Oui, encore. Je ne pouvais pas chasser mon naturel, même quand je n’étais pas en service.
De là où je me trouvais, je savais qu’il ne pouvait pas me voir mais moi, j’avais tout le loisir de l’observer et j’aimais beaucoup ce que je voyais. Il est était grand, musclé mais pas d’une musculature imposante. J’imaginais très bien les muscles de ses bras gonfler lorsque je tirais ses bras en arrière pour m’enfoncer lentement en lui… Oui c’était très plaisant.
Je le regardai prendre ces menottes ridicules que j’avais remarqué tout à l’heure. Si il voulait jouer au policier et au voleur, je serais prêt à utiliser mes vrais outils de travail même si c’était interdit.
Il continuait de déambuler dans les rayons, attrapant des objets, le regardant puis les reposant. Un homme indécis donc un homme parfaitement mon genre.
Je m’effaçai avant qu’il ne remarque ma présence et allai du côté des consommables. Je pris soin d’analyser toutes les bouteilles de lubrifiants présentées avant de faire mon choix. Le plus épais, évidemment. Puis j’attrapais un boite de préservatifs Skyn Large et un gel pour masser, aucune idée de comment ça s’appelait, c’était juste marqué « massage » sur la bouteille et c’était tout ce qui m’intéressait.
Mes futurs achats placés dans le petit panier décrépi, je m’en retournais voir mon étalon, le sourire aux lèvres. Pas un très grand sourire, je ne voulais pas lui faire peur. Je pris en main les trois autres dvds que j’avais pris et les lui montrais.
« Donc, comme tu n’es pas emballé par les uniformes, j’en ai choisi d’autres. Un avec des latinos parce que tous les monde aime les latinos gays, un avec un prêtre et des garçons d’églises… parce que, voilà et puis, un docteur qui ausculte d’une façon assez particulière. »
Pour qui je me prenais ? Adam Ashcraft. Je n’avais que faire de la méfiance, justifié, de mon bel étalon. Il serait ma distraction, parce que je l’avais décidé. Et puis, j’avais un certain pouvoir de persuasion.
Je sortis la cordelette qui retenait mon badge sous mon t-shirt et le laissait retomber sur mon torse, l’air de rien mais en continuant de le fixer.
« C’est pas trop ton truc les uniformes, hein ? Ca tombe bien, je n’en porte pas et… en plus, moi, j’ai de vraies menottes. Ca te tente ? »
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|