YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Garde du corps, c'était un métier - faux, bien entendu, mais c'était une information qu'il préférait taire - qui n'était pas pour lui déplaire. C'était encore mieux quand c'était de la garde rapprochée. Fallait dire qu'il possédait la carrure pour que personne ne remette son autorité en compte. Et que la déesse sur qui, il s'évertuait à garder un œil, était loin d'être dégueulasse. Pour être exact, et honnête, elle était dans ses priorités. Belle, talentueuse, délectable. Il en aurait fait son quatre heures avec plaisir, si elle ne s'acharnait pas à rester inaccessible. Hors d'atteinte. Et c'était en train de le dévorer. De rallumer une étincelle sauvage au fond de lui. Parce qu'il n'existait en ce monde, aucune femme, en mesure de le repousser. Du moins, c'était la conclusion qu'il s'était faite, à force d'obtenir ce qu'il souhaite sur un plateau. Cette femme allait être pire qu'un trophée, lorsqu'il trouverait son poing faible. Mais lorsqu'il était seul dans la demeure, à l'instar, il s'efforçait d'oublier le corps divin de la jeune femme, pour se concentrer sur la raison primordiale, qui l'avait poussé à venir travailler pour elle. Il fallait qu'il prenne ses marques. Qu'il note, chaque tableau, chaque pièce de valeur. Qu'il les retienne, pour dessiner à la perfection ses plans, lorsqu'il serait tranquille dans son canap. Il fallait qu'il passe à l'action sans tarder. Plus il s'attardait, et plus ça créait des liens qui pourraient l'accabler par la suite. Il devait rester dans l'ombre, c'était d'une importance capitale, s'il ne souhaitait pas se retrouver derrière les barreaux. Il avait frôler la taule de près, à cause d'elle, la dernière fois, il ne devait plus laisser une femme, peu importe son joli déhanché, se mettre en travers de sa route. Il laisse glisser ses doigts sur la toile près de lui. Au vu de la matière, elle coûte un sacré paquet de fric. Son téléphone laisse entendre une rapide sonnerie, signe que quelqu'un cherche à le joindre, et s'il hésite à faire patienter la personne en question, il se décide à l'extirper de sa poche. Besoin de toi. Dans ma chambre. Message signée de la starlette qui se trouve un étage au dessus de lui. Et il n'hésite pas à plaquer sa ronde, et ses repérages, pour monter les escaliers quatre à quatre. Son message n'était rien de très précis, mais elle lui donnait clairement rendez-vous dans sa chambre, c'était une chance qu'il ne pouvait pas laisser filer. Il prend même pas la peine de frapper à la porte. De toute façon, elle devait se douter qu'il ne tarderait pas. Et puis, s'il la retrouve dans une situation gênante, c'est tant mieux pour lui, et tant pis pour elle. « Je te préviens que si tu m'as fais monté pour.. » Il commence à gueuler, sur qu'elle l'a fait bouger pour une broutille, mais lorsqu'elle se retourne dans son sens, et qu'il découvre la robe délicate qu'elle porte, et son corps ainsi mis en valeur, ça lui fait fermer sa gueule, direct. « Whahou » Il n'a rien d'autre à ajouter. Ca décrit assez bien l'effet que ça à pour ses yeux. Mais il est certain qu'il pourrait encore mieux faire passer le message si elle ne gardait pas cette distance interminable entre eux. Distance, qui ne l'a rend que d'avantage désirable, et bandante. Sans compter que si elle reste à distance, elle ne se prive en général pas d'être aguicheuse. « Je savais pas qu'on était de sortie, ce soir ? » Il l'interroge, histoire d'en apprendre plus sur le planning de la soirée. Parce que ça, c'était pas dans les plans, c'est sur.
@Théodora Oleszek
- Théodora OleszekI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 09/03/2018
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Âge du personnage : vingt quatre ans
Nationalité(s) : russe & américaine
Signe astrologique : Verseau
Mon personnage, en 5 mots : blabla
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : pianiste de renom.
Études (passées ou en cours) : langues et civilisations étrangères.
Hobby : boxe, sport de combat, violon, champ de tir, danse.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : "the boy next door"
one more time. @Jess W. Sixle parquet craque à l'étage du dessous. il ne semblait jamais tenir en place. il. son garde rapproché. encore aujourd'hui elle se demande pourquoi. mais elle soupçonnait son paternel de lui avoir imposer pour éviter qu'elle ne fasse de conneries, plus que pour sa propre protection. alors quand elle a du trouver qui embaucher. autant choisir quelqu'un qui ravirait ses pupilles.
jess était un de ceux pour qui elle craquerait en un de ses claquements de doigts. un de ceux qui la faisait vibrer. capable de tenir la longueur. un aveux fait entre deux battements de cils. la seule raison de sa retenue, de ne pas avoir l'avoir explorer intimant le premier soir. c'est qu'elle a su en le regardant. l'étincelle de défis dans chacun de leur regard. elle l'a senti s'embraser. la flamme attendant sagement d'être consommée. alors comme si jess était le feu sur lequel elle s'interdisait de se brûler. on se rapproche peu à peu. la main caressant la chaleur, évalue la température. les risques. et on fait deux pas en arrière, les peurs nous rattrapant souvent bien vite. pour faire trois pas en avant le jour d’après, puisqu'on considère que les risques sont acceptables. c'est cela. dora, elle veut rester dans la zone de risque acceptable. une flamme qui vient lécher la peau c'est acceptable. sans se rendre compte, qu'un jour elle y plongera la main entière sans avoir le moindre doute. le moindre remord. le raisonnement ne semblant pas la chambouler. elle comptait pousser, se rapprocher, le faire suer. jusqu'à atteindre la limite de la tension possible.
elle pianote quelques mots sur son téléphone et entend déjà les escaliers vibrer sous la course de jess. son téléphone termine sa route sur son lit. la robe fluide, dans les tons clairs, tombe jusqu'à ses pieds. et c'est bien pour un simple avis qu'elle a fait travailler les jambes du brun. la porte s'ouvre sans cérémonie, d'un mouvement souple elle se tourne vers son jury d'un soir. pour te faire baver ? c'est réussi. sa gueulante arrêtée, elle pourrait presque le voir se mordre la lèvre. « mouai. » toujours pas convaincue, elle n'observe pas plus longtemps son reflet. ses doigts ouvrent avec facilité la fermeture éclaire dans son dos. les bretelles glissent de ses épaules et la robe s'étale sur le sol, la laissant en sous vêtements sous les yeux du brun. elle fait semblant de se détourner, alors que tous ce qui l’intéresse c'est de jeter des coups d’œil à jess dans le miroir. la robe noire rejoint ses mains et elle enfile sans se précipiter. faisant rouler ses hanches en positionnant le tissu. « t'es sûr que celle là est pas mieux ? » dora se retourne une nouvelle fois. observant sa réaction. elle sourit satisfaite, et ne peut s'empêcher de prendre sa plus belle voix pour lui annoncer qu'il n'était pas de la partie. « effectivement, tu vas pouvoir te reposer. puisque Je suis de sortie ce soir. » deux pas en avant, elle arrivait à peine au dessus de son menton. une main en appuie sur son épaule, elle se servit de lui pour enfiler ses escaprins. enfin, on remettait presque les compteurs à zéro. au moins à cette hauteur elle pouvait plonger les yeux dans les siens. « soirée privée au club avalon. » elle prononça ces simples mots comme si ils suffisaient à tout expliquer. la fin de soirée que dora s'imaginait n'avais pas à être explicité pour être compréhensible. jess était hors limite, et pour l'avoir vécu, personne ne semblait vouloir contrarier le brun quand il s'agissait de la demoiselle. si il avait décidé qu'elle passerait la soirée seule. il était capable de tout mettre en oeuvre pour le réaliser. mais elle ne comptait pas se priver d'un bon moment pour les beaux yeux du brun. « je compte rentrer tard. et probablement accompagnée. »
- InvitéInvité
Elle était splendide. A couper le souffle. Il n’était pas du genre à s'extasier face au corps d’une femme, mais fallait qu’il admette que celle-ci c’était retrouvé gâter par la nature. Et qu’il n’aurait rien contre l’idée de posséder un peu de cette beauté. La petite robe dans les teintes rosés qu’elle avait enfilé lui offrait une teinte sage, qu’elle était loin d'avoir en toute circonstance. Mais ça avait aussi l’avantage de mettre ces courbes en valeur. Et Jess, il n’était pas du genre à respecter assez la gente féminine pour ne pas mater le spectacle. Faut dire, qu'elle n’essaie pas de se faire pudique. S’il était gentleman, il aurait détourné le regard, aurait peut-être même quitter la pièce, lorsqu’elle fait mine d'ôter sa robe, mais si c’était ce qu’elle cherchait en lui, elle s’était trompée d’homme. Lui, il ne respectait rien. Ni femmes, ni intimité, ni espace de vie. Encore moins lorsqu’on lui offrait une vue aussi admirable. Et comme elle ne cherche pas à l’expédier, il comprend que ce jeu entre eux, ne cessera jamais. La petite fille sage, était en perdition pour laisser place au démon. Mais c’était pas lui qu’allait s’en plaindre. Même si son ego en prenait un coup à chaque fois que ses avances étaient refusés, il devait bien admettre que ce défi entre eux, n’était pas pour lui déplaire. Tant que cela prenait faire un jour. Toute chose agréable a une fin. Contemplant le spectacle offert à ses yeux, s’il n’avait pas encore de l’estime pour son ego, il sait que sa mâchoire se serait décroché. Comme dans les dessins animés. Mais pour garder une image digne de lui, il garde la face. Se contente d’observer une dernière fois ce corps qui appelle à la perdition. De retenir sa pulsion de sauvagerie qui s’empare peu à peu de lui. Un tissu noir recouvre ces hanches, et lorsqu’elle lui fait à nouveau face, il retrouve cette image de petit démon qu'il imaginé bien d'avantage en elle. Et s’il reste scotché, ne trouve pas les mots, il doit admettre qu’il préfère le second choix. Que la teinte sombre rehausse sa poitrine, affine ces hanches. Une silhouette qu'il aurait apprécier suivre du bout des doigts. Qu’il s’imagine un jour caresser sous la couette. Tirer des cris sensuelles de cette bouche qui ne cesse de le provoquer. Il hausse un sourcil, et croise les bras sur sa poitrine. Elle est pas prête d’être de sortie, s’il s’y oppose. « Désolé de te décevoir, mais tu sais comme moi que j’ai ordre de te chaperonner, où que tu ailles. » Ordre du paternel. Où était l’intérêt de devoir la surveiller en permanence, jusque chez elle, si c’était pour la laisser sortir seule ? Aucun. « Est-ce que padre approuve cette petite virée ? » Pour une fois, il espérait que le père de la demoiselle puisse être de son côté. Parce qu’il escomptait bien la pousser à rester. Et s'il fallait pour cela, qu'il invente un tas de raisons farfelues, ce n'était pas ça qui allait l'arrêter. « Va falloir te résoudre à me laisser t'accompagner, ou à rester ici.. » Il possède se sourire malicieux, alors qu'il ne se laisse pas déstabiliser. Il a le sang qui bouillonne, Jess, des provocations de la jeune femme. Qu'elle se donne en pâture, alors qu'elle se refuse à elle, c'est quelque chose que son estime de lui, n'est pas en mesure d'accepter. Qu'elle se tienne si proche de lui, ne l'encourage pas à se tenir comme un gentleman. Il se fait violence, pour ne pas juste l'attraper par la taille, la balancer sur ces draps, et disparaître avec elle pour le reste de la nuit. « Fais pas cette tête, princesse, je suis sans doute bien mieux monté que tous les mecs friqués que t'aurais pu rencontrer là-bas. » Il a se sourire sauvage sur les lèvres. Celui qui dit qu'il est capable du meilleur, comme du pire. « Et en prime, j'ai un tas d'idées pour nous occuper. » Il savait se mettre en valeur, y avait pas à dire. Et il n'en était qu'à la première phase de corruption.
@Théodora Oleszek
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Hobby : boxe, sport de combat, violon, champ de tir, danse.
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one more time. @Jess W. Sixjess. la beauté volée aux anges. des airs empruntés à lucifer. personne ne pouvait se vanter d'avoir regarder un être céleste en face. elle si.
les bras qui se croisent. elle la connait cette attitude. sûr de lui. l'autorité dans sa voix. elle faillit tiquer légèrement. à chaque seconde. chaque minute. chaque phrase, chaque mimique. chaque impulsion dans la voix, elle craquait un peu plus. se rapprochait dangereusement du point de non retour. seulement, après l'avoir dépassé, elle n'était plus certaine de rien. aucune certitude sur le déroulement des événements. alors elle préférait repousser le moment où elle perdrait totalement pied. et tu sais comme moi que ma sécurité est loin d'être la seule raison pour laquelle tu es là. mais ses mots ne franchir pas sa bouche. ça aurait été comme se jeter en pature au lion. et même si la présence de jess lui faisait souvent perdre en partie toute notion de moralité, il lui restait dans un coin de son cerveau une once de bonne conscience. « qu'il le soit ou pas, je suis une grande fille. » est-ce qu'elle allait devoir lui rappeler qu'elle savait un minimum se défendre et que, dans le pire des cas, elle n'avait qu'à prendre son glock ? non. ça lui servirait d'excuse pour qu'il vienne avec elle plutôt qu'elle emporte une arme. ses pensées se perdirent sur la manière de cacher une arme sur elle, avec une robe pareil. et en oubliant la pochette. un défi à sa hauteur. elle haussa un sourcil, se résoudre à l’accompagner ? « tu parles comme si t'avais déjà gagné. » alors que la partie ne faisait que commencer. et ça elle allait s'en assurer. si il finissait tout de même par apporter tous les arguments convaincants, autant le faire galérer un peu avant de lui accorder la victoire. elle n'avait qu'une envie ce soir. le faire ramer, galérer. même si il décidait de la pousser sur le lit, là, maintenant. et qu'elle crèverait de se perdre dans les draps avec lui, à en oublier le soleil levant, dora trouverait un moyen de se faire violence et de le dégager de son lit. pour la simple et unique raison qu'elle n'avait aucune envie de perdre la partie. elle avait grandement besoin de flatter son ego, et pour ça, jess faisait très bien le boulot. « et qui te dit que la princesse veut rentrer avec un prince ? » son sourire fière illuminerait presque la nuit noire, elle se plaisait à penser qu'il était entrain de l'imaginer avec une autre femme. l'effet que cela lui ferait. jess son sourire, c'est celui qu'elle aimait voir sur son visage. carnassier, sauvage. à faire blêmir les dieux. à faire sourire la russe. à faire rougir le diable. un sourire qui annonce le pire. et c'est ce qu'elle attendait de sa part. alors dora fis la moue en récupérant son téléphone. « mais je t'écoute. t'as moins de deux minutes pour me raconter comment tu comptes me faire rester. » deux minutes, son trajet jusqu'à la porte d'entrée. elle récupéra le manteau long sur son lit et se dirigea vers la porte de sa chambre. sans m'étaler sur le lit, froisser les draps et me déshabiller. pensa-t-elle beaucoup trop fort.
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