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YESTERDAY'S NEWS |48
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2923
Messages : 544
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : nicolas simoes
Crédits : ASTRA (avatar)
Autres comptes : dora & ansel
Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
follow your fire. @Alice Collins
zeke pressé de passer un appel se trompe de contact et laisse un message vocale à alice et non demi. « hola querida ! je sais qu'il est tôt. plus tôt que d'habitude. mais j'ai eu une longue journée et .. mierda. » il a fait tomber son paquet de clopes dans l’évier et les mets à sécher sur le radiateur.. « mais j'avais vraiment envie de te voir. retrouve moi dans une heure sous l'hollywood sign. je t'ai préparé une surprise. hasta luego demi. »------------------------------------------------------------------------------------------------------
les insultes fusaient de sa bouche. parce que ses clopes étaient trempés, la moitié du paquet au moins. et qu'il avait pas de temps à perdre. levé depuis 4h, ses rares pauses consistaient à fumer, manger, répondre aux messages et fumer encore. il devait faire le tri de centaines de photos, ce matin, il avait parcouru la ville à pied pour des photos de nuit. les cernes éclataient ses yeux. alors quand son paquet de clope s'était retrouvé à baigner dans le lavabo, ses lèvres ne s'étaient pas retenu pour se défouler. l'espagnol devait rejoindre demi plus tard dans la soirée. mais il avait dit stop. tout son boulot était resté en plan sur son bureau. il avait tout repoussé à demain. overdose complète, plus il faisait la liste de ce qu'il avait à faire, plus la fatigue semblait le bousculer. alors clope au bec, il avait gueulé qu'il revenait dans la porte, même si à ce moment là, il ne savais même plus si oui ou non une des filles étaient là. ses jambes dévalèrent les escaliers comme celles d'une personne qui le fait depuis une quinzaine d'année et qui connait chacune des fissures et différentes hauteurs de toutes les marches. il sauta les cinq dernières, son idée l'avait remplit d'une énergie nouvelle qui ne lui servira pas pour bosser.
50 minutes plus tard.
la pierre d'un briquet tourne plusieurs fois avant d'embraser le gaz. la flamme vient lécher le bout de sa cigarette alors qu'il observe surement une des plus belles vue du monde. l'hollywood sign quelques mètres en contrebas, assis sur le capot de sa voiture. il profite de l'instant de pure tranquillité auquel il a le droit, avant de profiter pleinement de la présence de la belle. il avait fait les courses. un pique nique. un semblant de rire traversa sa gorge à cette pensée. trop romantique ? peut-être. mais t'avais besoin de voir demetria. besoin de l'avoir dans tes bras. d'écouter ses mots. le soleil commençait à peine à descendre sur l'horizon, vous aviez encore une ou deux heures de jour avant de devoir apprécier la lumière des étoile et le jugement de la lune. il s'installe plus confortablement. aspirant avec délectation la fumée de sa cigarette. un bruit de moteur emplit peu à peu le silence. il attendit que celui-ci soit éteint à côté de sa voiture pour se retourner. et si ses fesses n'avaient pas été soutenu et ses poumons dans un bon état, il se serait surement écroulé en s'étouffant. « Qué estás haciendo aquí ? » langue qui se mélange la confusion de la voir ici. les neurones ne suivent plus.
alice.
alice, ma chère alice. l'amour d'un appartement. des soirées, des verres et une baignoire partagée. des rires, des pleurs, des emmerdes, des satisfactions. presque une vie de couple, c'est pour ça qu'ils ont gardé cette proximité.
zeke pense enfin à traduire sa pensée. avec tout l'amour du monde il essaie de se faire doux dans sa voix. mais c'est la stupéfaction. « crois moi si je te le dis. je t'adore. mais qu'est ce que tu branles ici collins ? » et il comprends pas. il a pas envie que demi et alice se croisent. alors il espère que la première aura du retard.
mais il a pas à s’inquiéter zeke, parce qu'il a pas encore toutes les cartes en main.
- Alice CollinsMEMBER OF THE MONTH
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Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
Quand Alice, en sortant de sa douche, voit le prénom de son meilleur ami sur l’écran de son téléphone, ses lèvres se hissent en un véritable sourire de bonheur. Elle écoute le message qu’il lui a laissé sur son répondeur et avant même que la voix d’Ezekiel ne s’arrête, Alice s’échappe de la salle de bain en sautillant à moitié. Direction sa garde-robe pleine à craquer, à craquer de tenues qui conviendront très probablement à une telle occasion. Aux hauteurs de Los Angeles, aux étoiles qui brilleront dans le ciel et dans leurs yeux. Elle ne sait pas pourquoi elle est à ce point heureuse. Elle ignore l’origine de ces ailes qui se déploient, dès lors qu’on lui parle de ce garçon. A vrai dire, cette relation qu’elle a tissée avec Ezekiel est encore pleine de mystères, et c’est bien de ça dont elle raffole. L’idée troublante, et grisante de le connaître si bien tout en ayant encore tant de choses à découvrir de lui. Ce qui est sûr, c’est que le prénom du photographe a toujours été synonyme de bons moments, d’une douce euphorie dont il n’est pas possible de se lasser quand on s’appelle Alice Collins.
Evidemment, elle prend le temps de mettre sa penderie sans dessus dessous avant de se décider. Pour quoi, au final ? Une simple robe d’été fleurie lui arrivant au milieu des cuisses, avec une petite veste idéale au cas où les températures chuteraient en haut des collines. Avant de partir, Alice détache ses cheveux et se poudre légèrement le visage. Lorsqu’elle quitte enfin l’appartement, elle se contente de lancer un bref “salut” à ses colocataires.
[...]
Encore une soirée où le temps s’arrêtera.
Elle a hâte, elle ne pense à rien d’autre qu’à cette impatience, à ses yeux qui pétilleront et à ses bras qui l’encercleront.
Ezekiel et tout ce qu’il représente. Le bonheur. La douceur.
L’amitié un peu trop piquante. Mais au diable.
[...]
Il est donc là, assis à son siège de conducteur, une cigarette incandescante au bout des doigts, la fière allure. Alice se gare, coupe le moteur, sort de sa voiture en claquant la porte. Son petit sourire aux lèvres lorsqu’elle s’approche de l’autre véhicule. Mais il y a cette question qui tue. “Qué estás haciendo aquí ?” Qui la stoppe nette dans sa démarche. A cet instant précis, l’envie d’embrasser sa joue mal rasée s’évapore et seul l’amertume se prononce. “crois moi si je te le dis. je t'adore. mais qu'est ce que tu branles ici collins ?” Elle n’est pas idiote, elle comprend de suite. Car les ascenseurs émotionnels chutent aussi vite qu’ils grimpent. La danseuse fronce les sourcils et n’arrive pas à feinter le choc, la contrariété qu’elle ressent. “Attends. Tu me demandes ce que je branle ici ?” Vraiment ? “Si c’est une blague c’est pas drôle, Eastwood.” Le dégout, plus que la déception, s’annonce sur son visage. Ce n’était pas elle, qu’il voulait voir. Il a dû se tromper de fille, et elle était la mauvaise. Cauchemar.
Alice jette un regard froid à Ezekiel et décide de s’éloigner des voitures, de lui. Elle emprunte le sentier qui la mène jusqu’aux fameuses grandes lettres métalliques, mondialement connues. Cela a un goût d’immensité. Une immensité dans laquelle elle se sent minuscule, ridicule. Non mais, quel abruti. Quel salaud.
Evidemment, elle prend le temps de mettre sa penderie sans dessus dessous avant de se décider. Pour quoi, au final ? Une simple robe d’été fleurie lui arrivant au milieu des cuisses, avec une petite veste idéale au cas où les températures chuteraient en haut des collines. Avant de partir, Alice détache ses cheveux et se poudre légèrement le visage. Lorsqu’elle quitte enfin l’appartement, elle se contente de lancer un bref “salut” à ses colocataires.
[...]
Encore une soirée où le temps s’arrêtera.
Elle a hâte, elle ne pense à rien d’autre qu’à cette impatience, à ses yeux qui pétilleront et à ses bras qui l’encercleront.
Ezekiel et tout ce qu’il représente. Le bonheur. La douceur.
L’amitié un peu trop piquante. Mais au diable.
[...]
Il est donc là, assis à son siège de conducteur, une cigarette incandescante au bout des doigts, la fière allure. Alice se gare, coupe le moteur, sort de sa voiture en claquant la porte. Son petit sourire aux lèvres lorsqu’elle s’approche de l’autre véhicule. Mais il y a cette question qui tue. “Qué estás haciendo aquí ?” Qui la stoppe nette dans sa démarche. A cet instant précis, l’envie d’embrasser sa joue mal rasée s’évapore et seul l’amertume se prononce. “crois moi si je te le dis. je t'adore. mais qu'est ce que tu branles ici collins ?” Elle n’est pas idiote, elle comprend de suite. Car les ascenseurs émotionnels chutent aussi vite qu’ils grimpent. La danseuse fronce les sourcils et n’arrive pas à feinter le choc, la contrariété qu’elle ressent. “Attends. Tu me demandes ce que je branle ici ?” Vraiment ? “Si c’est une blague c’est pas drôle, Eastwood.” Le dégout, plus que la déception, s’annonce sur son visage. Ce n’était pas elle, qu’il voulait voir. Il a dû se tromper de fille, et elle était la mauvaise. Cauchemar.
Alice jette un regard froid à Ezekiel et décide de s’éloigner des voitures, de lui. Elle emprunte le sentier qui la mène jusqu’aux fameuses grandes lettres métalliques, mondialement connues. Cela a un goût d’immensité. Une immensité dans laquelle elle se sent minuscule, ridicule. Non mais, quel abruti. Quel salaud.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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Avec : alice
follow your fire. @Alice Collinsalice. si ses pieds ne touchaient pas le sol, il aurait juré rêver. collins. les engrenages se sont déréglés, c'était pas censé se passer comme ça. c'était pas censé foirer. il avait penser tirer un trèfles à quatre feuilles en venant ici, pas se faire mordre par un serpent. zeke il la regarde avec l'espoir que sa malchance s'arrête. que tout ne soit qu'erreur, rêve.
il la regarde comme si il ne l'avait jamais vu. avec surprise, douceur. un presque sourire sur les lèvres. mais il se rappelle, un instant plus tard, en voyant sa mine défaite. qu'il y a eu un gros malentendu. par sa faute. il pourrait presque s'entendre applaudir intérieurement.
une blague ? oui, il aurait aimé que tout ne soit qu'une vaste blague. que dans moins de quelques minutes, vous rirez à gorge déployée en buvant une bière de la maladresse de l'espagnol.
les sourcils froncés, il fouille son téléphone. vérifie le numéro. et merde. merde. merde. merde. trompé. quelques chiffres, quelques secondes et il allait devoir se faire pardonner pendant tout le prochain siècle. il balance son téléphone par la fenêtre de sa voiture dans la précipitation. « collins ?! putain collins attends. » et l'espagnol il se met à courir, avec un train de retard, derrière collins. il suit comme il peut le chemin en pente. « non .. mais .. laisse moi .. » le pied mal placé. il trébuche à moitié, essaye de garder l'équilibre avec les mains, se rattrape au dernier moment et essaye de continuer sa phrase en étant audible. « t'expliquer .. COLLINS. tu vas m'écouter bordel. » il glisse sur un bon mètre. et passe enfin devant alice. zeke se met devant elle, l'obligeant à s'arrêter. « écoute, je voulais pas te blesser. je me suis trompé de numéro, oui t'étais pas celle que j'attendais de voir. oui, j'ai mal réagi en te voyant. mais pense pas que ça me fait pas plaisir de te voir, au contraire. » sa voix s’emmêle, déraille. cherche des mots justes. qui ne le seront surement jamais. parce que c'était pas elle qu'il avait invité, et elle le savait.
et il s'en voulait. commençait à s'en vouloir.
de pas avoir pensé à elle.
alors que dans cette lumière.
on pourrait presque voir ses ailes.
il pourrait s'excuser cent fois, que ça serait pas suffisant. comment il a pu l'oublier ? celle qui a fait vivre son appartement pendant si longtemps. avait câliner son chat quand il était pas là. même les soirées imprévues, le ménage à se taper, l'appart à ranger, les bières à vider, les coucheries dans son lit. il avait jamais pu réellement lui en vouloir. il pris un temps pour continuer son plaidoirie. alors que ses neurones arrivent pas à se mettre dans l'ordre. les connexions se font mal. « je veux dire, regarde toi, t'es magnifique. pas que tu l'es pas d'habitude. mais je pensais pas que ... bref. » une main tremblante dans les cheveux. tais-toi tu fais qu'empirer les choses. il arrive pas à lire dans ses yeux. il arrive pas à voir ce qu'elle pense. il pourrait pas prédire la baffe sur sa joue, l'éclat de rire ou les mots violents. imprévisible.
- Alice CollinsMEMBER OF THE MONTH
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Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Emily Didonato.
Crédits : lilousilver.
Autres comptes : Aaron Campbell (ft. Henry Cavill) & Andreas Klein (ft. Marcus Hedbrandh).
Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
Pleine de rancœur, Alice fulmine et regrette de ne pas lui avoir balancé son téléphone, ouvert sur la messagerie, afin qu’il se prenne sa connerie en pleine tronche. Désormais elle lui ferait bien avaler son invitation, surtout si elle était destinée à une autre fille qu’elle. Chose surprenante mais complètement liée à son état rancunier, elle ne cherche même pas à savoir à qui ce message vocal était destiné. Elle occulte ainsi un moment qu’il aurait préféré être avec une autre fille pour un pique nique sous les étoiles, et c’est l’égo blessé qu’elle décide de fuir la situation, complètement embarrassée de se retrouver cataloguée de fille “non désirée”. Les appels d’Ezekiel s’envolent dans les airs et ne trouvent refuge dans aucune oreille attentive. Alice bouillonne et filtre les mots qui, de toute façon, sonnent comme une cause perdue. “t'expliquer .. COLLINS. tu vas m'écouter bordel.” Ses paupières s’abaissent, elle prend une grande inspiration puis expire, lentement.
Chasser le négatif pour ne voir que le positif.
Credo d’une fille un peu trop perturbée par ce que ce garçon lui fait ressentir.
Ce garçon, un peu trop particulier...
…Qui joue dans la mauvaise cour.
Elle rouvre ses yeux, les lève vers le ciel lorsque de nouveau, la voix derrière elle retentit. “écoute, je voulais pas te blesser. je me suis trompé de numéro, oui t'étais pas celle que j'attendais de voir. oui, j'ai mal réagi en te voyant. mais pense pas que ça me fait pas plaisir de te voir, au contraire.” Sait-il qu’il ne fait qu’empirer son cas en s’enfonçant de la sorte ? Ou va-t-il falloir qu’elle le lui fasse comprendre à la façon Collins ? Elle est blessée. C’est tout. Et Dieu sait de quoi est capable une fille blessée, mais force est de voir qu’il n’a rien à voir avec Dieu, ce crétin. “je veux dire, regarde toi, t'es magnifique. pas que tu l'es pas d'habitude. mais je pensais pas que ... bref.” “Ezekiel… ” Elle se mord la lèvre pour ne pas le blesser, puis réalise que ce serait un juste retour des choses. “Franchement, ta gueule.” Lâche-t-elle alors, en ne le regardant qu'une demi-seconde. Et de suite, elle se sent un peu mieux. Libérée d’une partie du venin qui s’était répandu dans ses veines bouillonnantes.
Les bras croisés sous sa poitrine, l’étudiante prend le temps de retrouver la force. Elle tente de laisser la rancœur de côté pour se focaliser sur elle, sur la façon dont elle va gérer la suite. Les mots affectueux mais maladroits de son ami lui restent en travers de la gorge. Ce n’est pas à elle, qu’il les réservait ce soir, et au final, c’est bien ça qui la dérange le plus dans l’histoire. Comment en est-elle arrivée là ? A se réjouir autant qu’il l’invite pour une soirée intimiste, à le maudire autant qu’il lui préfère quelqu’un d’autre qu’elle ? A l’époque, elle s’est déjà fait prendre au piège par une relation torturée avec un ami très proche, et la voilà qui retombe dans le panneau avec Ezekiel. Et si finalement, c’était elle l’idiote ?
Ce ne sont que quelques secondes de réflexion, évaporées dès lors qu’Alice tourne légèrement son visage vers le photographe, à la recherche de ses prunelles. Mais quand elle croise son regard, elle ne sait plus quoi y chercher. A l’évidence, elle y voit de la sincérité, de la culpabilité. C’est poignant, c’est déstabilisant. Mais c’est surtout pas assez. “Qu’est-ce que tu attends pour renvoyer ton invitation à la bonne personne ?” Finit-elle par dire, en haussant les épaules nonchalamment. Bien sûr, il est impossible de ne pas ressentir la pointe de jalousie qui l’envahit à ce moment. Mais c’est de son ami, dont elle a besoin. De celui qui a appris à la connaître et à la gérer lorsqu’ils vivaient ensemble. De celui qui lui disait tout. “En fin de compte, cet endroit, ce cadre...” Rajoute-t-elle, en faisant quelques pas vers les panneaux, jusqu’à pouvoir en toucher la surface metallique du bout des doigts. “C’est un peu trop romantique pour nous.” Elle réussit presque à se convaincre elle-même. Presque. Ambiguïté qu’elle a ressenti ces dernières minutes, Alice la range raisonnablement au placard. Non sans effort, elle réussit même à adresser un vague sourire en coin vers son ami. “Allez, rappelle-la et je m’en vais.” Qui sait.
Chasser le négatif pour ne voir que le positif.
Credo d’une fille un peu trop perturbée par ce que ce garçon lui fait ressentir.
Ce garçon, un peu trop particulier...
…Qui joue dans la mauvaise cour.
Elle rouvre ses yeux, les lève vers le ciel lorsque de nouveau, la voix derrière elle retentit. “écoute, je voulais pas te blesser. je me suis trompé de numéro, oui t'étais pas celle que j'attendais de voir. oui, j'ai mal réagi en te voyant. mais pense pas que ça me fait pas plaisir de te voir, au contraire.” Sait-il qu’il ne fait qu’empirer son cas en s’enfonçant de la sorte ? Ou va-t-il falloir qu’elle le lui fasse comprendre à la façon Collins ? Elle est blessée. C’est tout. Et Dieu sait de quoi est capable une fille blessée, mais force est de voir qu’il n’a rien à voir avec Dieu, ce crétin. “je veux dire, regarde toi, t'es magnifique. pas que tu l'es pas d'habitude. mais je pensais pas que ... bref.” “Ezekiel… ” Elle se mord la lèvre pour ne pas le blesser, puis réalise que ce serait un juste retour des choses. “Franchement, ta gueule.” Lâche-t-elle alors, en ne le regardant qu'une demi-seconde. Et de suite, elle se sent un peu mieux. Libérée d’une partie du venin qui s’était répandu dans ses veines bouillonnantes.
Les bras croisés sous sa poitrine, l’étudiante prend le temps de retrouver la force. Elle tente de laisser la rancœur de côté pour se focaliser sur elle, sur la façon dont elle va gérer la suite. Les mots affectueux mais maladroits de son ami lui restent en travers de la gorge. Ce n’est pas à elle, qu’il les réservait ce soir, et au final, c’est bien ça qui la dérange le plus dans l’histoire. Comment en est-elle arrivée là ? A se réjouir autant qu’il l’invite pour une soirée intimiste, à le maudire autant qu’il lui préfère quelqu’un d’autre qu’elle ? A l’époque, elle s’est déjà fait prendre au piège par une relation torturée avec un ami très proche, et la voilà qui retombe dans le panneau avec Ezekiel. Et si finalement, c’était elle l’idiote ?
Ce ne sont que quelques secondes de réflexion, évaporées dès lors qu’Alice tourne légèrement son visage vers le photographe, à la recherche de ses prunelles. Mais quand elle croise son regard, elle ne sait plus quoi y chercher. A l’évidence, elle y voit de la sincérité, de la culpabilité. C’est poignant, c’est déstabilisant. Mais c’est surtout pas assez. “Qu’est-ce que tu attends pour renvoyer ton invitation à la bonne personne ?” Finit-elle par dire, en haussant les épaules nonchalamment. Bien sûr, il est impossible de ne pas ressentir la pointe de jalousie qui l’envahit à ce moment. Mais c’est de son ami, dont elle a besoin. De celui qui a appris à la connaître et à la gérer lorsqu’ils vivaient ensemble. De celui qui lui disait tout. “En fin de compte, cet endroit, ce cadre...” Rajoute-t-elle, en faisant quelques pas vers les panneaux, jusqu’à pouvoir en toucher la surface metallique du bout des doigts. “C’est un peu trop romantique pour nous.” Elle réussit presque à se convaincre elle-même. Presque. Ambiguïté qu’elle a ressenti ces dernières minutes, Alice la range raisonnablement au placard. Non sans effort, elle réussit même à adresser un vague sourire en coin vers son ami. “Allez, rappelle-la et je m’en vais.” Qui sait.
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Avec : alice
follow your fire. @Alice Collinsles cris se perdent dans la vide, ne trouve aucune oreille attentive, encore moins un cœur à toucher. ses yeux, une des premières fois où il est incapable de la fixer. de se noyer dans le bleu de ses pupilles. froide, geler comme la glace. les mouvements se font désordonnés, jamais il n'avait été aussi maladroit. autant ses mots que ses gestes. la paysage se fige, pour ne devenir qu'un champ de mine. et l'espagnol, il se met à courir.
et voilà.
deux mots.
deux simples mots.
le souffle coupé, le cœur blessé. moins que celui d'alice surement. sa propre conscience qui commence à lui bouffer le palpitant. la fatigue semblait avoir disparu, laissant place au désir de se racheter. doucement freiné. attend va pas trop vite non plus. les regrets et les remords, c'est bien. c'est bien de savoir que ce sont les lames dans ses yeux qui lui meurtrissent le cœur. c'est mieux de se rendre compte qu'il lui manque beaucoup de morceaux du puzzle pour comprendre ce qu'il se passe. il la voit se perdre sur son visage. lui aussi, il se perd, essayant de trouver une solution qu'il n'a pas. « rien du tout, je le ferais pas. » pas avant d'avoir arrangé les choses. le téléphone dans le voiture, une excuse en plus. et elle est loin d'avoir tout vu collins. le plus beau il l'avait gardé dans la voiture.
hors de question de l'abandonner. comme si collins ne comptait plus. comme si il lui était aussi facile de tout oublier en un claquement de doigts. l'incompréhension sur le visage, les sourcils froncés, dans une tentative vaine de retrouver les pièces manquantes. qu'il n'aura que si elle lui fait l'honneur de lui donner sur un plateau d'argent. il la vit effleurer le panneau de ses longs doigts. toujours quelques pas derrière elle, les mots lui échappèrent des lèvres dans un naturel surprenant. « c'est ce que tu t'es dis quand t'es monté dans ta voiture pour venir ici ? ou juste l'excuse que tu t'es trouvé quand t'as su que c'était pas pour toi ? » parce qu'elle le savait. elle savait où elle allait et qui elle retrouvait. alors le trop romantique, il l'accepte pas. non, jamais il ne se serait jamais imaginé sous la douceur d'un soleil couchant, près des lettres en fer d'hollywood avec elle.
et pourtant.
le hasard fait pourtant bien les choses.
le hasard il s'était décidé à le faire se planter de quelque touches.
le voilà, qu'il la regarde sans savoir. sans savoir pourquoi son cœur en souffre autant, de la voir dans cet état. cet état ? un mélange entre une sorte de jalousie mal cachée, de rancœur, de dégoût et d'interrogations. « putain alice je comprends pas. pendant la coloc', c'est limite si tu te foutais de ma gueule parce que je ramenais aucune fille à l'appart. et là, quand t'apprends qu'il y en a une, tu me fais quoi .. une crise ? » presque aucune maîtrise dans la voix. alors que c'était pas si difficile, d'avouer que t'étais pas à un connard qui faisait défiler des filles à la pelle dans l'appart, qui enchaînait les coups d'un soir sans espoir de s'attacher. il n'avait jamais voulu être comme ça. demi, c'était l'exception. une des seules qu'il s'était autorisé en vingt six ans d'existence. il leva les yeux au ciel, ne relevant même pas ses dernières paroles. si elle voulait attendre qu'il appelle, elle avait encore du temps à tuer. « on dirait presque que ... que, t'es jalouse. » il l'avait vu dans ses yeux, dans sa voix, dans ses expressions qu'il ne reconnaissait pas. mais l'espagnol, il n'arrivait pas à y croire. alice, jalouse ? jamais.
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Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
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Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
Là-haut sur la colline, les cœurs battent en cacophonie. La confusion des sentiments règne et l’ambiance vire au chaotique, sans que l’un ou l’autre ne daigne y mettre fin. Il devient difficile de deviner s’il s’agit d’une question de fierté ou plus d’une question de réel attachement. Pourtant, les regards d’Alice sur Ezekiel trahissent une certaine blessure que seule la fierté ne saurait combler.
Elle ne sait plus ce dont elle a vraiment envie ; qu’il la rejette complètement pour envenimer les choses ou qu’il la rassure sur leur relation ? Et si le plus dur à digérer dans tout ça, c'était l’ambiguïté qu’elle a elle-même suscité ? Ce n’était pas son intention, de venir mettre le bordel dans leur vie déjà bien pleine, et pourtant, c’est plus fort qu’elle.
Il faut qu’elle fasse des ravages partout où elle va.
Il ne la rappellera pas. L'autre fille. C’est ce qu’il dit. Et finalement, c’est bien ce que la danseuse espérait.
Par un regard furtif vers lui, elle s’assure de l’honnêteté de ses intentions. Égoïstement, à sa façon à elle, elle s’assure que c’est bien elle qu’il veut, à cet instant. Elle et aucune autre. Peu importe comment et pourquoi. Elle veut être la seule qu’il a à l’esprit ce soir. Idée entêtée depuis ce moment où son prénom est apparu sur son téléphone, quelques heures auparavant.
Alice étant Alice.
C’est tout ou rien, Ezekiel.
Mais tout te va se bien, à vrai dire…
Elle feint une vulgaire indifférence pour éviter le piège. Ou bien par manque de maturité, qui sait. Pour seule réponse à la première question de l'Espagnol, elle lève les yeux en l’air et soupire, désabusée. Non mais vraiment, comment peut-il s’imaginer qu’elle attendait de lui qu’il soit romantique avec elle ? Vraiment, qu’on se le dise, c’est stupide…
Quelle amusante créature qu’une Alice renfrognée. Renfrognée de se voir piquer aussi vivement par ce garçon auquel elle tient peut-être, peut-être un peu trop. “Une crise… ?” Qu’elle répète pour elle-même, comme pour être sure d’avoir bien entendu. Et elle n’a pas le temps d’ingérer tout ce qu’il vient de déballer, ses derniers mots ont l’effet d’une bombe en son for intérieur.
On dirait presque que t’es jalouse.
Jalouse. Jalouse. Sa poitrine se serre. Sa mâchoire aussi. Tout devient si inconfortable. “Est-ce que tu peux juste demander à ton ego de se taire, Zeke ?” Qu’elle lui balance à la figure, pleine d’amertume. Comme si ce qu’il venait de dire était follement insensé. Mais ça l’est, non ? “N’importe quelle fille à ma place aurait été blessée par ta connerie !” Elle lève les bras, pour marquer l’évidence même de ses propos. Est-ce qu’il comprend au moins qu’il est le fautif, dans l’histoire ?
Plus ses pas la rapprochent de lui, plus il l’exaspère.
Ses yeux qui semblent voir uniquement ce qu’ils veulent voir.
“Pour être jaloux, il faut être amoureux, non ?” Et la voilà qui fait semblant de connaître quelque chose à l’amour. “Crois-moi tu le saurais si je l’étais de toi. Ce n’est pas au programme et ça ne le sera probablement jamais, tu vois.” Comme un feulement de chaton trop fier pour admettre qu’il a parfois des sentiments. Elle le défie du regard à la manière Collins et ose même un vague sourire forcé. Comprendre qu’elle joue la grande fille forte. “C’est quand même fou. Je te propose de m’éclipser pour que tu profites de ta soirée avec elle et tu refuses pour me taper une pseudo leçon de morale. Franchement, faut savoir ce que tu veux Eastwood. Te faire cette Demi ou m’emmerder ?” Et aussi dingue cela soit-il, Alice s’épuise de cette situation incohérente, désagréable.
Tout ce qu’elle voulait en venant ici, c’était de la magie. Celle qui émane de ses yeux de photographe, celle qui se transmet de ses mains d’artiste.
Elle ne sait plus ce dont elle a vraiment envie ; qu’il la rejette complètement pour envenimer les choses ou qu’il la rassure sur leur relation ? Et si le plus dur à digérer dans tout ça, c'était l’ambiguïté qu’elle a elle-même suscité ? Ce n’était pas son intention, de venir mettre le bordel dans leur vie déjà bien pleine, et pourtant, c’est plus fort qu’elle.
Il faut qu’elle fasse des ravages partout où elle va.
Il ne la rappellera pas. L'autre fille. C’est ce qu’il dit. Et finalement, c’est bien ce que la danseuse espérait.
Par un regard furtif vers lui, elle s’assure de l’honnêteté de ses intentions. Égoïstement, à sa façon à elle, elle s’assure que c’est bien elle qu’il veut, à cet instant. Elle et aucune autre. Peu importe comment et pourquoi. Elle veut être la seule qu’il a à l’esprit ce soir. Idée entêtée depuis ce moment où son prénom est apparu sur son téléphone, quelques heures auparavant.
Alice étant Alice.
C’est tout ou rien, Ezekiel.
Mais tout te va se bien, à vrai dire…
Elle feint une vulgaire indifférence pour éviter le piège. Ou bien par manque de maturité, qui sait. Pour seule réponse à la première question de l'Espagnol, elle lève les yeux en l’air et soupire, désabusée. Non mais vraiment, comment peut-il s’imaginer qu’elle attendait de lui qu’il soit romantique avec elle ? Vraiment, qu’on se le dise, c’est stupide…
Quelle amusante créature qu’une Alice renfrognée. Renfrognée de se voir piquer aussi vivement par ce garçon auquel elle tient peut-être, peut-être un peu trop. “Une crise… ?” Qu’elle répète pour elle-même, comme pour être sure d’avoir bien entendu. Et elle n’a pas le temps d’ingérer tout ce qu’il vient de déballer, ses derniers mots ont l’effet d’une bombe en son for intérieur.
On dirait presque que t’es jalouse.
Jalouse. Jalouse. Sa poitrine se serre. Sa mâchoire aussi. Tout devient si inconfortable. “Est-ce que tu peux juste demander à ton ego de se taire, Zeke ?” Qu’elle lui balance à la figure, pleine d’amertume. Comme si ce qu’il venait de dire était follement insensé. Mais ça l’est, non ? “N’importe quelle fille à ma place aurait été blessée par ta connerie !” Elle lève les bras, pour marquer l’évidence même de ses propos. Est-ce qu’il comprend au moins qu’il est le fautif, dans l’histoire ?
Plus ses pas la rapprochent de lui, plus il l’exaspère.
Ses yeux qui semblent voir uniquement ce qu’ils veulent voir.
“Pour être jaloux, il faut être amoureux, non ?” Et la voilà qui fait semblant de connaître quelque chose à l’amour. “Crois-moi tu le saurais si je l’étais de toi. Ce n’est pas au programme et ça ne le sera probablement jamais, tu vois.” Comme un feulement de chaton trop fier pour admettre qu’il a parfois des sentiments. Elle le défie du regard à la manière Collins et ose même un vague sourire forcé. Comprendre qu’elle joue la grande fille forte. “C’est quand même fou. Je te propose de m’éclipser pour que tu profites de ta soirée avec elle et tu refuses pour me taper une pseudo leçon de morale. Franchement, faut savoir ce que tu veux Eastwood. Te faire cette Demi ou m’emmerder ?” Et aussi dingue cela soit-il, Alice s’épuise de cette situation incohérente, désagréable.
Tout ce qu’elle voulait en venant ici, c’était de la magie. Celle qui émane de ses yeux de photographe, celle qui se transmet de ses mains d’artiste.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
follow your fire. @Alice Collinsles dieux, ils ont du fermer les yeux. honteux, gênés. parce que c'était pas encore arrivé. that's what happens when gasoline plays with matches. qu'ils haussent le ton l'un sur l'autre. une première fois à tout apparemment.
les yeux qui roulent dans leur orbites. son égo ? SON EGO ? mais il en a pas d'égo, il l'a abandonné loin derrière, y a qu'une ombre qui le suis là. et l'ombre elle a rien dit quand il est rentré pour trouver une soirée intenable dans son appart' alors qu'il bossait le lendemain. l'ombre elle a rien dit quand il a vu à une certaine soirée qu'on avait couché dans ses draps. l'ombre, elle a rien dit non plus quand alice rentrait à pas d'heure en faisant claquer la porte, chantait sur le chemin de sa chambre et faisait claquer ses talons. l'ombre elle a fermé sa gueule pendant trois ans.
parce que ça a accroché. comme deux pièces de puzzle. ils avaient besoin l'un de l'autre pour pas se sentir vide. parce qu'il avouera jamais qu'il aurait pas pu se passer d'elle. alors quand ça explose pour un simple appel. zeke il est pas d'accord. il accepte pas. et il la laissera pas partir tant qu'ils seront pas en paix. quitte à passer la nuit là haut.
non. n'importe quelle fille aurait été blessé deux minutes pour le principe. l'aurait poussé à bout pour savoir qui était La demoiselle et savoir ce qui se passait réellement entre eux.
non, n'importe quelle fille n'aurait pas craché son venin au visage de son meilleur ami pour si peu. « je te pensais plus douée en théâtre collins. » non, il ne l'avait pas imaginé sa jalousie mal placée. de toute façon il allait lui dire quoi ? alors comme ça je suis pas assez bien pour être aimé ? parce que tu vois toi tu .. quoi eastwood ? elle te plait ? putain c'était une évidence ça. mais quoi alors ? ah oui, tu sais plus. l'espagnol il est perdu. mais il veut pas croire à ce qu'il voit dans ses yeux. il préférait l'époque où il pouvait se perdre dedans sans craindre un malheur, plutôt que de devoir combattre l'épée de glace qui lui fend le cœur. « c'est qui est bien c'est qu’apparemment je fais les deux en même temps. » l'emmerder & coucher avec demi. two birds, one stone. un éclat de rire se coinça dans sa gorge. « une leçon de morale. t'appelles ça une leçon de morale ? mais putain collins, barre toi. casse toi avant que je t'en fasse une. » oui. ces derniers mots il pourrait pas les regretter plus. la respiration qui s'arrête. incompréhension sur le visage.
comment il a pu être aussi violent.
sans hurler.
sans bouger.
la froideur d'une nuit d'hiver.
la tristesse lui bouffant les yeux.
il était même pas en colère. déçu. par lui. par elle. par eux pour pas arriver à communiquer. pour être presque au point de se gueuler dessus pour ce qui est juste une incompréhension de comportements. c'est pas une leçon de morale, c'était une tentative de compréhension raté.
et au final, qu'est ce qu'elle faisait encore là alors qu'elle avait milles occasions de se barrer et de le laisser en plan comme un con. comme il mériterais surement d'après elle.
« c'est pas ce que je .. merde alice. on peut parler sans s'insulter à moitié por favor ? » comme si son accent espagnol allait régler la question en deux claquements de langue. c'est beau d'espérer. il s'éclaircit la gorge dans un dernier essai d'offrande de paix. « sinon, j'ai des bières et un pique nique qui attendent dans le coffre. »
- Alice CollinsMEMBER OF THE MONTH
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Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
Tu es si froid, si lointain.
L’homme prend le plein pouvoir, se réjouissant presque de déchirer un cœur qui n’en peut déjà plus de s’emballer pour eux, ou pour si peu. Qui sait vraiment ? Si encore, ils savaient sur quelles règles s’aligner. Mais à deux sur ce fil trop instable, cela ne tiendra pas longtemps.
Elle n’en croit pas ses oreilles lorsqu’il l’assène sur ses compétences en théâtre. Elle aurait aimé pouvoir se dire que c’est dérisoire, qu’il n’y a qu’à en rire. Mais elle prend tout trop à cœur. Elle le maudit du regard de ne plus s’arrêter, de ne plus rien lâcher. De vouloir l’abaisser plus bas qu’elle ne se trouve déjà.
Mais tu me m...
La femme prend sur elle tant bien que mal. Elle bouillonne d’une violence insoupçonnée, blessant au passage la paume de ses mains avec ses ongles quand tout ce qu’elle aimerait griffer, c’est la belle gueule de celui qui lui fait face. Avec ses propos malvenus, empoisonnés. Elle encaisse chacun de ses mots sans plus réussir à déterminer ce qui est le pire, dans tout ça. Qu’il se vante de coucher avec cette fille ? Qu’il se complaise avec l’idée de l’emmerder ? Qu’il l’invite à se barrer ?
Atrocement.
L’air s’épuise, là-haut. Autour d’elle, dans ses poumons.
Elle se surprend à désirer partir, disparaître. Elle se surprend du contresens. Et de cette douleur qui est la sienne, qui lui monte aux yeux mais qu’elle fait taire aussitôt, en regardant ailleurs, en serrant les poings. Comment ont-ils pu en arriver là ?
C’est insupportable, de perdre ses repères. Ceux comme Ezekiel, Alice a appris à les chérir. Alors, elle se retrouve perdue, désorientée, le temps de quelques secondes.
Jusqu’à ce qu’il reprenne la parole, posément. Presque trop, d’ailleurs. Avec la douceur et la bienveillance qu’elle lui connaît habituellement, et qui seraient susceptible de l’attendrir, d’ordinaire. Si seulement elle n’avait pas été à ce point chamboulée par ce qui vient de se passer entre eux. “Je n’ai plus faim...” Manger ce qu'il a préparé pour l'autre fille ? Plutôt crever... C'est vrai, elle a eu envie de l’insulter une dernière fois. Mais elle s’est retenue. Et lorsqu’elle retourne son visage pour le regarder, elle se demande si elle a bien fait. Si elle n’aurait pas dû lui en coller une avant de détaler. “Mais boire, pourquoi pas. A notre amitié ?” Ajoute-t-elle enfin, en le défiant du regard un instant court, ou long, peut-être. Jusqu’à ce qu’un infime éclat, presque imperceptible, apparaisse sur ses iris bleutés. Est-ce plus du sarcasme, ou une complicité retrouvée ? Personne ne pourrait le dire.
Elle aurait pu le laisser partir comme ça, sans rien rajouter, ou plutôt sans rien faire de plus. Après tout, l'alcool n'attend que rarement Alice. Mais au lieu de ça, elle ne contrôle pas sa main qui se lève, allant attraper celle du photographe pour le retenir et l’attirer vers elle. Une seconde plus tard, elle se retrouve contre lui, ses bras faufilés sous sa veste pour mieux l’enlacer. Ce geste d’affection lui fait un peu mal, pourtant il est relativement naturel venant d’elle. “C'est vrai, je suis un peu jalouse. Et tu me manques.” C'était pourtant si simple.
L’homme prend le plein pouvoir, se réjouissant presque de déchirer un cœur qui n’en peut déjà plus de s’emballer pour eux, ou pour si peu. Qui sait vraiment ? Si encore, ils savaient sur quelles règles s’aligner. Mais à deux sur ce fil trop instable, cela ne tiendra pas longtemps.
Elle n’en croit pas ses oreilles lorsqu’il l’assène sur ses compétences en théâtre. Elle aurait aimé pouvoir se dire que c’est dérisoire, qu’il n’y a qu’à en rire. Mais elle prend tout trop à cœur. Elle le maudit du regard de ne plus s’arrêter, de ne plus rien lâcher. De vouloir l’abaisser plus bas qu’elle ne se trouve déjà.
Mais tu me m...
La femme prend sur elle tant bien que mal. Elle bouillonne d’une violence insoupçonnée, blessant au passage la paume de ses mains avec ses ongles quand tout ce qu’elle aimerait griffer, c’est la belle gueule de celui qui lui fait face. Avec ses propos malvenus, empoisonnés. Elle encaisse chacun de ses mots sans plus réussir à déterminer ce qui est le pire, dans tout ça. Qu’il se vante de coucher avec cette fille ? Qu’il se complaise avec l’idée de l’emmerder ? Qu’il l’invite à se barrer ?
Atrocement.
L’air s’épuise, là-haut. Autour d’elle, dans ses poumons.
Elle se surprend à désirer partir, disparaître. Elle se surprend du contresens. Et de cette douleur qui est la sienne, qui lui monte aux yeux mais qu’elle fait taire aussitôt, en regardant ailleurs, en serrant les poings. Comment ont-ils pu en arriver là ?
C’est insupportable, de perdre ses repères. Ceux comme Ezekiel, Alice a appris à les chérir. Alors, elle se retrouve perdue, désorientée, le temps de quelques secondes.
Jusqu’à ce qu’il reprenne la parole, posément. Presque trop, d’ailleurs. Avec la douceur et la bienveillance qu’elle lui connaît habituellement, et qui seraient susceptible de l’attendrir, d’ordinaire. Si seulement elle n’avait pas été à ce point chamboulée par ce qui vient de se passer entre eux. “Je n’ai plus faim...” Manger ce qu'il a préparé pour l'autre fille ? Plutôt crever... C'est vrai, elle a eu envie de l’insulter une dernière fois. Mais elle s’est retenue. Et lorsqu’elle retourne son visage pour le regarder, elle se demande si elle a bien fait. Si elle n’aurait pas dû lui en coller une avant de détaler. “Mais boire, pourquoi pas. A notre amitié ?” Ajoute-t-elle enfin, en le défiant du regard un instant court, ou long, peut-être. Jusqu’à ce qu’un infime éclat, presque imperceptible, apparaisse sur ses iris bleutés. Est-ce plus du sarcasme, ou une complicité retrouvée ? Personne ne pourrait le dire.
Elle aurait pu le laisser partir comme ça, sans rien rajouter, ou plutôt sans rien faire de plus. Après tout, l'alcool n'attend que rarement Alice. Mais au lieu de ça, elle ne contrôle pas sa main qui se lève, allant attraper celle du photographe pour le retenir et l’attirer vers elle. Une seconde plus tard, elle se retrouve contre lui, ses bras faufilés sous sa veste pour mieux l’enlacer. Ce geste d’affection lui fait un peu mal, pourtant il est relativement naturel venant d’elle. “C'est vrai, je suis un peu jalouse. Et tu me manques.” C'était pourtant si simple.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
alekiel
follow your fire
l'espagnol, il avait espéré que la proposition de l'alcool adoucirait les mœurs. il voulait pas remplir la vallée de mots durs et de pensées sans sentiments. du moins négatif. il ne voulait pas se reprendre l'écho des cris dans la gueule. la rareté de leurs disputes ne les rendait que plus violentes. les accords qui brisent les cordes. ne font plus courir les mélodies, mais les arrêtent à l'état de simple notes perdues. seules, sans autres notes à qui s'allier. le sarcasme et l'ironie s'emparent des lèvres de la brune et il ne sait plus que croire. alors que les siennes avaient retrouvées une douceur assumée. dernière rempart avant de perdre complètement ses moyens. il avait l'impression de perdre la seule personne capable de l'aimer réellement. et comme à son habitude, le flou qui se rapprochait dangereusement, il l'éloigna d'un clignement de paupière, d'un poing fermé, d'une mâchoire serré. il n'avait jamais été sûr de la franchir. et avec le point d'interrogation qui prenait lentement la forme de collins. les décisions rationnelles avaient quitté le navire.
deux pas, soulevant la poussière sur son passage. sécheresse insupportable, comme l’absence de larmes. aucune oasis à l'horizon. seule source de liquide, les bières dans le coffre. mais il y a cette main qui attrape la sienne, des phalanges qui s’entrelacent dans un naturel surprenant. deux cœurs qui battent au même rythme, séparés par l'épaisseur de deux tissus. et ses bras la serrent fort contre lui. dans un geste qui lui avait manqué, mais qui était en mémoire jusqu'au fin fond des cellules de ses muscles. cet aveu qui fait redresser ses lèvres dans un sourire soulagé. « fais gaffe. même si c'est mignon, je peux t'assurer que ça te va pas au teint. » faudrait pas qu'elle se laisse noyer dans la jalousie. une goutte ça suffisait. pas tout l’océan. ses lèvres viennent trouver son front, le geste le plus pur qu'il pouvait lui offrir. l'avant dernier à franchir pour se rapprocher de la ligne plus que flou qui les séparait encore.
un murmure qui vient se déposer avec la douceur d'un nuage. « personne ne prendra jamais ta place. » il faudrait lui remplacer le cœur pour éjecter alice du sien. et il préférait mourir avec la certitude de penser à elle, que d'avoir une case vide en plein milieu de la poitrine. son visage attraper entre ses mains, une moue joueuse sur le visage. il lui fais signe d'attendre deux secondes. le temps de monter la pente, bousculer la poussière. déverrouiller le coffre d'une des deux voitures qui les observait de quelques mètres plus haut. le même chemin qu'a l'aller, avec la même glissade non contrôlée. le graal à la main : un pack de bière. « maintenant si ça te dérange pas, on oublie notre gueulante. et on trinque en regardant une des plus belles vues du monde ?! » il a oublié la serviette de pique nique cliché, rouge et blanche à carreau, dans le coffre. mais tant mieux. l'espagnol avait pas forcément envie qu'alice se rende compte qu'il pouvait devenir un cliché permanent. même si elle s'en doutait surement déjà.
briquet à la main, plus vite que lucky luke, les capsules s'envolent loin des bières. collins attrape la sienne. « à nous. » deux gorgées qui disparaissent dans le fond de sa gorge. l'alcool pour faire la paix. la plus vieille ruse du monde. alors il ne peut s'empêcher de déballer une dernière connerie, réalisant ce qu'il aurait du percevoir il y a bien longtemps. bien avant de faire travailler ses cordes vocales sur alice. « maintenant on a la preuve que les plans culs c'est vraiment pas pour moi. »
AVENGEDINCHAINS
@alice norton
l'espagnol, il avait espéré que la proposition de l'alcool adoucirait les mœurs. il voulait pas remplir la vallée de mots durs et de pensées sans sentiments. du moins négatif. il ne voulait pas se reprendre l'écho des cris dans la gueule. la rareté de leurs disputes ne les rendait que plus violentes. les accords qui brisent les cordes. ne font plus courir les mélodies, mais les arrêtent à l'état de simple notes perdues. seules, sans autres notes à qui s'allier. le sarcasme et l'ironie s'emparent des lèvres de la brune et il ne sait plus que croire. alors que les siennes avaient retrouvées une douceur assumée. dernière rempart avant de perdre complètement ses moyens. il avait l'impression de perdre la seule personne capable de l'aimer réellement. et comme à son habitude, le flou qui se rapprochait dangereusement, il l'éloigna d'un clignement de paupière, d'un poing fermé, d'une mâchoire serré. il n'avait jamais été sûr de la franchir. et avec le point d'interrogation qui prenait lentement la forme de collins. les décisions rationnelles avaient quitté le navire.
deux pas, soulevant la poussière sur son passage. sécheresse insupportable, comme l’absence de larmes. aucune oasis à l'horizon. seule source de liquide, les bières dans le coffre. mais il y a cette main qui attrape la sienne, des phalanges qui s’entrelacent dans un naturel surprenant. deux cœurs qui battent au même rythme, séparés par l'épaisseur de deux tissus. et ses bras la serrent fort contre lui. dans un geste qui lui avait manqué, mais qui était en mémoire jusqu'au fin fond des cellules de ses muscles. cet aveu qui fait redresser ses lèvres dans un sourire soulagé. « fais gaffe. même si c'est mignon, je peux t'assurer que ça te va pas au teint. » faudrait pas qu'elle se laisse noyer dans la jalousie. une goutte ça suffisait. pas tout l’océan. ses lèvres viennent trouver son front, le geste le plus pur qu'il pouvait lui offrir. l'avant dernier à franchir pour se rapprocher de la ligne plus que flou qui les séparait encore.
un murmure qui vient se déposer avec la douceur d'un nuage. « personne ne prendra jamais ta place. » il faudrait lui remplacer le cœur pour éjecter alice du sien. et il préférait mourir avec la certitude de penser à elle, que d'avoir une case vide en plein milieu de la poitrine. son visage attraper entre ses mains, une moue joueuse sur le visage. il lui fais signe d'attendre deux secondes. le temps de monter la pente, bousculer la poussière. déverrouiller le coffre d'une des deux voitures qui les observait de quelques mètres plus haut. le même chemin qu'a l'aller, avec la même glissade non contrôlée. le graal à la main : un pack de bière. « maintenant si ça te dérange pas, on oublie notre gueulante. et on trinque en regardant une des plus belles vues du monde ?! » il a oublié la serviette de pique nique cliché, rouge et blanche à carreau, dans le coffre. mais tant mieux. l'espagnol avait pas forcément envie qu'alice se rende compte qu'il pouvait devenir un cliché permanent. même si elle s'en doutait surement déjà.
briquet à la main, plus vite que lucky luke, les capsules s'envolent loin des bières. collins attrape la sienne. « à nous. » deux gorgées qui disparaissent dans le fond de sa gorge. l'alcool pour faire la paix. la plus vieille ruse du monde. alors il ne peut s'empêcher de déballer une dernière connerie, réalisant ce qu'il aurait du percevoir il y a bien longtemps. bien avant de faire travailler ses cordes vocales sur alice. « maintenant on a la preuve que les plans culs c'est vraiment pas pour moi. »
@alice norton
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Autres comptes : Aaron Campbell (ft. Henry Cavill) & Andreas Klein (ft. Marcus Hedbrandh).
Âge du personnage : 30 ans (12/08/1991).
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Passionnée. Extravertie. Franche. Joueuse. Manipulatrice.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Chorégraphe en danse contemporaine au Millenium Dance Complex.
Études (passées ou en cours) : Diplômée en danse à l'UCLA.
Hobby : Faire des folies.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Ezekiel.
C’est en s’arrachant une partie d’elle qu’elle réussit à lui avouer sa jalousie. Il pourrait aussi bien s’agir d’une jalousie à l’encontre du monde qui entoure actuellement Ezekiel que d’une jalousie plus centrée sur cette fille qui aurait dû être là, à sa place. Mais est-ce vraiment important, au final ?
L’essentiel figure dans ses mots à lui et dans cette proximité qu’il lui offre, sans vraiment réfléchir. Si Alice prend les choses sans jamais demander la permission, Ezekiel possède quant à lui bien plus de civilité. Pourtant il ne s’offusque plus de sa façon d’être à elle, et lorsqu’ils sont ensemble, que leurs cœurs battent à l’unisson, il semble que rien ne pourrait les perturber. Absolument rien. C’est comme si elle était avec son âme sœur, et qu’avec lui tout était plus fluide.
Deux rivières se rejoignant pour n’en former plus qu’une.
Au confluent de leur existence, l’Américaine sent son cœur se renforcer au contact de l’Espagnol. Comme par magie, la chaleur répare tous les maux qu’il a engendrés par maladresse. Les paupières abaissées, son front contre les lèvres d’Ezekiel, Alice murmure à son tour. « Alors ça ne sera jamais que moi dans tes bras, sous les étoiles. » Avec le cœur battant la chamade. Insensément. Ce qu’elle taira par précaution. Ses yeux se rouvrent sur lui, elle sourit quand il attrape son visage pour le lâcher trop rapidement.
Mais l’heure n’est plus aux plaintes.
Elle n’a plus aucune raison de se sentir orpheline de leur complicité, ni de leur affection infaillible.
[...]
Une bière à la main, ils trinquent à la tempête éloignée. A eux aussi, même si cela coule de source. Assise en tailleur face à la belle et scintillante ville des anges, Alice boit une première gorgée en silence. Simplement admirative de ce qu’elle a sous les yeux et de ce qui impose le mutisme. La voix de son ami sonne alors comme un rappel à l’ordre. L’ordre des priorités. “C’est vrai que j’ai plus de savoir-faire que toi en la matière.” Elle tourne légèrement le visage vers lui et rehausse le menton, l’air quelque peu mutin. Il faut dire qu’Alice a sa réputation de fille séductrice et joueuse en plus de ça ; rien qui n’échappe au photographe depuis toutes ces années d’amitié.
Mais ce soir il flâne dans l’air un parfum particulier qu’aucun d’eux n’avait jamais ressenti avant. Ce serait mentir que de le nier. Sans doute est-ce pour éviter le drame qu’Alice finit par rire de la situation. “Tu comptais l’emballer comment ce soir ? Avec un pique nique que tu me caches et des bougies parfumées ? Ou juste avec de la bière ?” C’est véritablement une Alice curieuse qui l’interrogeait. Avalant une nouvelle et plus généreuse gorgée, elle décide ensuite de s’allonger, posant sa tête sur les cuisses de son meilleur ami. “Si je te promets de ne pas faire de remarque désagréable, tu acceptes de me parler de cette fille ? Tu l’as appelée chérie, quand même. Et puis moi je te raconterai toutes mes histoires du moment après.” C’était une façon de parler qui lui appartenait... A vrai dire, sa vie sentimentale n’était pas tant remplie que ça.
L’essentiel figure dans ses mots à lui et dans cette proximité qu’il lui offre, sans vraiment réfléchir. Si Alice prend les choses sans jamais demander la permission, Ezekiel possède quant à lui bien plus de civilité. Pourtant il ne s’offusque plus de sa façon d’être à elle, et lorsqu’ils sont ensemble, que leurs cœurs battent à l’unisson, il semble que rien ne pourrait les perturber. Absolument rien. C’est comme si elle était avec son âme sœur, et qu’avec lui tout était plus fluide.
Deux rivières se rejoignant pour n’en former plus qu’une.
Au confluent de leur existence, l’Américaine sent son cœur se renforcer au contact de l’Espagnol. Comme par magie, la chaleur répare tous les maux qu’il a engendrés par maladresse. Les paupières abaissées, son front contre les lèvres d’Ezekiel, Alice murmure à son tour. « Alors ça ne sera jamais que moi dans tes bras, sous les étoiles. » Avec le cœur battant la chamade. Insensément. Ce qu’elle taira par précaution. Ses yeux se rouvrent sur lui, elle sourit quand il attrape son visage pour le lâcher trop rapidement.
Mais l’heure n’est plus aux plaintes.
Elle n’a plus aucune raison de se sentir orpheline de leur complicité, ni de leur affection infaillible.
[...]
Une bière à la main, ils trinquent à la tempête éloignée. A eux aussi, même si cela coule de source. Assise en tailleur face à la belle et scintillante ville des anges, Alice boit une première gorgée en silence. Simplement admirative de ce qu’elle a sous les yeux et de ce qui impose le mutisme. La voix de son ami sonne alors comme un rappel à l’ordre. L’ordre des priorités. “C’est vrai que j’ai plus de savoir-faire que toi en la matière.” Elle tourne légèrement le visage vers lui et rehausse le menton, l’air quelque peu mutin. Il faut dire qu’Alice a sa réputation de fille séductrice et joueuse en plus de ça ; rien qui n’échappe au photographe depuis toutes ces années d’amitié.
Mais ce soir il flâne dans l’air un parfum particulier qu’aucun d’eux n’avait jamais ressenti avant. Ce serait mentir que de le nier. Sans doute est-ce pour éviter le drame qu’Alice finit par rire de la situation. “Tu comptais l’emballer comment ce soir ? Avec un pique nique que tu me caches et des bougies parfumées ? Ou juste avec de la bière ?” C’est véritablement une Alice curieuse qui l’interrogeait. Avalant une nouvelle et plus généreuse gorgée, elle décide ensuite de s’allonger, posant sa tête sur les cuisses de son meilleur ami. “Si je te promets de ne pas faire de remarque désagréable, tu acceptes de me parler de cette fille ? Tu l’as appelée chérie, quand même. Et puis moi je te raconterai toutes mes histoires du moment après.” C’était une façon de parler qui lui appartenait... A vrai dire, sa vie sentimentale n’était pas tant remplie que ça.
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