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YESTERDAY'S NEWS |48
- Andreas KleinI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2378
Messages : 73
Date d'inscription : 02/08/2018
Avatar : Marcus Hedbrandh.
Crédits : Moi-même.
Autres comptes : Aaron & Alice.
Âge du personnage : 34 ans (16/03/88).
Nationalité(s) : Anglaise & américaine.
Signe astrologique : Poisson
Mon personnage, en 5 mots : Individualiste. Entreprenant. Vantard. Sportif. Joueur.
Quartier de résidence : Central
Carrière, métier ou job : Enseignant et consultant en marketing.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en marketing à l'UCLA.
Hobby : Le surf / le piano.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
Cette question pourrait sembler intrusive et pourtant, Andreas se sent toute la légitimité de monde de la lui poser. Grace l’a transformé sur bien des aspects, sans même qu’il ne s’en rende compte. Elle lui a appris malgré elle ce que c’est que d’aimer à outrance, jusqu’à s’égarer et ne même plus se reconnaître. S’ils n’ont jamais été très doués pour les mots, leurs actes parlaient toujours pour eux. Alors qu’elle que soit la manière qu’elle adoptera pour lui répondre, il compte sur elle pour désépaissir le brouillard qu’elle a créé. Ce Français était-il mieux que lui, et si oui, à quels égards ? Pourquoi avait-elle accepté cette folle chose que le mariage avec lui ? Il devait être exceptionnel, car Andreas avait cru naïvement, à l’époque, être le seul qui pouvait convenir au tempérament de feu de Grace. Ils avaient beau passer leur temps à se chamailler, ils semblaient presque s’en satisfaire… C’était une chanson endiablée sur laquelle ils dansaient, de façon infatigable. Ou presque.
Il sent son corps se réchauffer doucement lorsqu’elle se rapproche de lui, à la façon d’une mécanique apprise il y a fort longtemps, mais que jamais on n’oublie. Ses prunelles observent la silhouette de Grace dont il a adoré découvrir les moindres recoins, et puis, elles se relèvent vers celles de la brunette quand son geste lui procure une réaction épidermique. Même s’il le voulait, il ne serait pas capable, à cet instant, de la repousser. Il ne sait plus ce qu’il veut, et ce qu’il ne veut pas, ou plus. Cette émotion au creux de ses entrailles a un goût exquis, un goût qu’il a essayé de retrouver ailleurs mais toujours en vain. Elle prononce ces quelques mots, qu’il comprend, aussitôt dits. Peut-être parce que cette réponse fait écho à leur relation si intense et si passionnée qu’elle en devenait parfois destructrice. « Alors tu risques d’épouser beaucoup d’autres hommes » Il la regarde un bref instant, avec un air défiant. Puis sa main vient se poser tendrement sur celle de Grace et il tourne son visage pour effleurer sa paume de ses lèvres. Il songe à ce que cette main a pu apprivoiser pendant ces dernières années ; un autre homme que lui, tristement. Un autre grain de peau, un autre physique. Une autre personnalité, d’autres goûts que les siens. Son autre main force doucement Grace à se rapprocher et bientôt son front se colle au ventre de la jeune femme, se réimprégnant enfin le parfum qui lui a tant manqué. Un instant ses yeux se ferment, appréciant les sensations retrouvées. Ses mains rêvent de relever son t-shirt sur un ou deux centimètres, mais elles se retiennent. C’est avec les paupières toujours closes, qu’il finit par prononcer : « C’est parce qu’il n’est pas moi, que tu es ici ? » La perche, elle était si belle, si parfaite, qu’il ne pouvait pas la manquer.
Il sent son corps se réchauffer doucement lorsqu’elle se rapproche de lui, à la façon d’une mécanique apprise il y a fort longtemps, mais que jamais on n’oublie. Ses prunelles observent la silhouette de Grace dont il a adoré découvrir les moindres recoins, et puis, elles se relèvent vers celles de la brunette quand son geste lui procure une réaction épidermique. Même s’il le voulait, il ne serait pas capable, à cet instant, de la repousser. Il ne sait plus ce qu’il veut, et ce qu’il ne veut pas, ou plus. Cette émotion au creux de ses entrailles a un goût exquis, un goût qu’il a essayé de retrouver ailleurs mais toujours en vain. Elle prononce ces quelques mots, qu’il comprend, aussitôt dits. Peut-être parce que cette réponse fait écho à leur relation si intense et si passionnée qu’elle en devenait parfois destructrice. « Alors tu risques d’épouser beaucoup d’autres hommes » Il la regarde un bref instant, avec un air défiant. Puis sa main vient se poser tendrement sur celle de Grace et il tourne son visage pour effleurer sa paume de ses lèvres. Il songe à ce que cette main a pu apprivoiser pendant ces dernières années ; un autre homme que lui, tristement. Un autre grain de peau, un autre physique. Une autre personnalité, d’autres goûts que les siens. Son autre main force doucement Grace à se rapprocher et bientôt son front se colle au ventre de la jeune femme, se réimprégnant enfin le parfum qui lui a tant manqué. Un instant ses yeux se ferment, appréciant les sensations retrouvées. Ses mains rêvent de relever son t-shirt sur un ou deux centimètres, mais elles se retiennent. C’est avec les paupières toujours closes, qu’il finit par prononcer : « C’est parce qu’il n’est pas moi, que tu es ici ? » La perche, elle était si belle, si parfaite, qu’il ne pouvait pas la manquer.
- Grace W. NolanIt's All My Fault
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Avatar : Alexis Knapp
Âge du personnage : 32 ans
Nationalité(s) : Americaine
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Insaisissable, attrayante, atypique, caracterielle, lunatique.
Quartier de résidence : Northeast
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Études (passées ou en cours) : Architecture
Hobby : Dessin
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Divorcé(e)
Avec : Andreasexuelle
Les battements sont irréguliers, comme son souffle, à dire vrai, elle entend presque un compte a rebours, persuadée qu’il s’amalgame au mot amour. Celui qu’on n’ose pas prononcer à haute voix. Parce qu’il est trop puissant, parce qu’il traverse, les jours, les années, le temps. Se ravive à la force d’un regard, parce qu’Andreas, il a toujours été sa plus belle histoire. Alors elle s’en veut, mais elle espère qu’il comprend. Et oui, bien sur qu’elle lui donnera le droit de la détester encore un peu, s’il accepte de reprendre leur jeu. De n’être plus qu’un, bel et bien deux.
Cette proximité, c’est en train de la rendre dingue, de la bouffer. Peu certaine d’être parfaitement consciente de ce qui est en train de se passer. C’est un de ces rêves, ceux dont on ne voudrait jamais s’éveiller. Elle se meurt dans un désir de le retrouver. « Alors tu risques d’épouser beaucoup d’autres hommes » Son souffle, succinct, il se perd quand il lui lance un regard. Elle n’a pas la force de lui souffler, provocatrice dans l’âme, qu’elle en épouserait des milliers, si c’est pour à nouveau ressentir ce que là, tout de suite, elle ressent. Quand il récupère sa paume avec la sienne, qu’il porte les phalanges de la brune à ses lèvres… Elle est incontrôlable, la fièvre. Si elle pensait que ça ne pourrait pas être plus intense, elle se trompait, car lorsqu’il l’invite à se rapprocher, qu’il pose son visage contre son corps, elle trésaille, paumée dans ses volontés de lui souffler que de lui, elle en veut encore. Si bien qu’elle n’ose pas briser le silence, qu’elle se délecte seulement de sa présence, jusqu’à ce qu’il murmure, les mots s’étiolant sur les murs de l’appartement vidé en une parfaite résonnance. « C’est parce qu’il n’est pas moi, que tu es ici ? » Elle inspire avec profondeur, clôt ses paupières, avant de céder à la faveur de toutes ses personnelles prières. « Oui. » Parce que tu es le seul, tu l’as toujours été. L’unique auquel elle a dit je t’aime même si elle était alcoolisée.
Alors de ses phalanges, elle va à la recherche de son menton, le force à relever ses prunelles en sa direction. Peut-être qu’elle se risque au pire, qu’elle frôle l’aliénation, mais elle ne peut retenir ses mots plus puissants que sa raison. « Andreas… si tu veux me détester, » si c’est ce que tu souhaites, si c’est le sentiment que t’inspire sa silhouette, « fais le demain, » et tous les autres jours après, s’ils doivent à nouveau se séparer vos chemins, ne promets rien, « et aime moi, » au moins un peu, même si vous n'avez jamais voulu avouer que c’est ce que vous faites le mieux, « aime moi, aujourd’hui. » juste ici, maintenant, dans cet appartement, redevenir amants, dans le présent.
- Andreas KleinI'm a Mother Fucker
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Le parfum de Grace l’enivre plus que de raison. Il a l’impression de vivre un rêve, comme il en a déjà tant faits par manque d’elle. Son corps est encore imprégné de tout ces sentiments si forts qu’elle lui a fait expérimenter. Le désir, l’amour, la jalousie, la rancoeur, la haine. Toute une palette douce-amère d’émotions qui lui permettra de dire un jour à ses enfants et petits-enfants qu’il a vécu, qu’il n’a aucun regret. Et pourtant, il a encore la vie devant lui. Contre cette peau trop douce qu’il a envie de dévorer à la façon d’un boulimique compulsif pour prouver qu’elle est sienne, qu’elle l’a toujours été. Le visage relevé, il n’a d’autre choix que de la regarder, avec toute la hauteur qui est sienne à ce moment et dont elle doit se servir pour prononcer ses prochains mots. Il entend la voix envieuse, un brin avide de Grace. Sa peau frémit instantanément tandis que les mots de son ex résonnent en lui à l’infini. Il oublie aussitôt son planning des prochaines heures et cette blonde qu’il a prévu de revoir. Il se laisse emporter par la frénésie du moment et contre laquelle un homme ne peut absolument rien. Si elle lui donne en plus l’autorisation de la détester demain alors, que risque-t-il à s’abandonner à l’amour aujourd’hui ?
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Andreas l’attire plus bas, contre lui. Il embrasse son cou, sa mâchoire, flirte avec le coin de ses lèvres mais sans franchir le cap du baiser. Ses mains la repoussent et ils se retrouvent au sol, son corps allongé entre les jambes de Grace. Ses yeux la fixent un moment, quand ses mains en profitent pour se faufiler sous son t-shirt, sur cette poitrine affriolante. Il n’a rien oublié, il aurait même pu la dessiner à l’aveugle toute entière, sans se tromper d’un centimètre, et pourtant ça n’a jamais été lui l’artiste. Le t-shirt finalement relevé, le sous-vêtement ôté d’un seul coup de main chanceux, il vient parsemer de baisers ses seins découverts. Etrangement, la pudeur d’Andreas disparait dans cet élan de passion. Il en oublie que la porte d’entrée est toujours ouverte et qu’un individu est susceptible de passer à n’importe quel moment…
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Andreas l’attire plus bas, contre lui. Il embrasse son cou, sa mâchoire, flirte avec le coin de ses lèvres mais sans franchir le cap du baiser. Ses mains la repoussent et ils se retrouvent au sol, son corps allongé entre les jambes de Grace. Ses yeux la fixent un moment, quand ses mains en profitent pour se faufiler sous son t-shirt, sur cette poitrine affriolante. Il n’a rien oublié, il aurait même pu la dessiner à l’aveugle toute entière, sans se tromper d’un centimètre, et pourtant ça n’a jamais été lui l’artiste. Le t-shirt finalement relevé, le sous-vêtement ôté d’un seul coup de main chanceux, il vient parsemer de baisers ses seins découverts. Etrangement, la pudeur d’Andreas disparait dans cet élan de passion. Il en oublie que la porte d’entrée est toujours ouverte et qu’un individu est susceptible de passer à n’importe quel moment…
- PS1:
- Mille excuses pour tout ce temps je suis impardonnable, je m'en veux, et pourtant Dieu sait que je les aime ces deux-là...
- PS2:
- J'ai écrit cette fin pour te laisser la possibilité de choisir un peu la direction du RP, clairement Andreas a pris feu parce que COMMENT DIRE c'était obligé mais tout est possible of course
- Grace W. NolanIt's All My Fault
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L’aimer maintenant, à l’excès. Elle, elle saurait le faire. Elle ne se ferait pas prier. A la faveur des battements de son cœur qui guident ses instincts, de ce regard qu’il pose sur elle qui attise ses besoins. Le manque, le désir, ils sont si intenses que cela lui fait presque mal, car il est le seul capable de lui provoquer des plaies, l’unique qui sait les suturer. C’est à l’encre d’Andreas que Grace, elle est tatouée.
Alors il l’entraîne à elle, répond par la positive à sa demande d’amour, une volonté vive qui brouille le mot toujours. Elle se laisse surprendre par les sensations qui l’animent lorsque sa bouche effleure sa peau, à chaque baiser, elle le jure, il pallie ses maux. Et vient en raviver, la frustrer en se refusant à réellement l’embrasser, c’est la torture la plus douce qu’elle n’ait jamais éprouvé.
Quand il entraîne son corps sur le sol, elle ne résiste pas bien au contraire, entre ses cuisses elle accueille le corps d’Andreas. Son être qui épouse parfaitement le sien, tandis qu’il se fait expert à l’aide de ses mains… Elle se meurt sur le tempo de ses caresses, s’égare en soupirs lorsqu’il embrase ses seins. Pour lui, elle s’est damnée, il y a de ça, quelques années, et de cet enfer retrouvé, dans lequel elle adore brûler, elle ne peut que se délecter. Les prémices qu’il imprime sur son être lui font si vite tourner la tête, elle en oublie presque tout ce qu’elle a fait, tout ce qu’elle regrette. « Andreas… » une supplique, un gémissement, l’une de ses mains accroche son t-shirt dans une volonté de se mettre sur un niveau d’égalité, mais surtout de réapprendre de son corps les sillons, les reliefs et tout ce qu’elle a pu un jour connaître et aimer, « Tu… » seulement ses pensées sont entremêlées, et son attention légèrement vacillante faute de ce qui se meut au niveau de sa paume, celle qu’elle a glissé dans le creux de son aine, à la lisière de son pantalon qu’elle aimerait retirer, mais d’un geste habile c’est autre chose qu’elle va récupérer. « Tu vibres. » qu’elle finit par prononcer, lisant malgré elle le prénom qui s’affiche sur l’écran, féminin forcément. Illégitime et pourtant… C’est une affreuse jalousie que Grace ressent. Qui lui donne cette envie de se recouvrir instantanément, de sentir moins vulnérable face à ce moment d’égarement.
- Andreas KleinI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 34 ans (16/03/88).
Nationalité(s) : Anglaise & américaine.
Signe astrologique : Poisson
Mon personnage, en 5 mots : Individualiste. Entreprenant. Vantard. Sportif. Joueur.
Quartier de résidence : Central
Carrière, métier ou job : Enseignant et consultant en marketing.
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Hobby : Le surf / le piano.
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En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Andreas réapprivoise les courbes de ce corps à jamais gravé dans sa mémoire. Sa pensée et sa raison s’ébranlent ; il est pris dans cet élan sauvage qui a toujours rimé avec Grace Nolan, et son corps n’obéit à plus rien si ce n’est à son envie de la faire sienne. Les années passées deviennent alors insignifiantes lorsque leurs deux silhouettes se retrouvent ainsi entrelacées, prouvant à quel point leur attraction est puissante. Rien n’a donc changé avec le temps ?
Ses doigts ont l’intention de déboutonner son jean pour répondre aux suppliques de Grace, et il ne sent même pas son téléphone vibrer. Il est pourtant de cette génération à passer trop de temps dessus, à se relier au monde par tous les biais possibles. Mais comment une machine connectée pourrait-elle importait plus que son amour de jeunesse ? La première lui a toujours donné l’impression d’être vivant, mais la seconde le rend réellement vivant. L’on ne peut se sentir plus en vie que dans un moment pareil. Néanmoins Andreas finit par l’entendre prononcer quelques mots en rapport avec son téléphone. Il aurait pu faire fi de cet avertissement mais c’est sans compter sur le changement brutal d’attitude de Grace. Il la voit en l’espace d’un instant se fermer à lui et rattraper instinctivement son t-shirt. Au même moment ses doigts accrochent son cellulaire et il lit le prénom d’Anna sur l’écran. Brusque retour à la vie normale.
« Salut Anna » Il se sent coupable d’avoir oublié qu’il était censé la voir. Mais le pire, c'est la suite. « Ah tu es en bas ? » Au même moment, il entend des bruits de pas, probablement venant de l’escalier. Ses yeux croisent ceux de Grace, qui doit comprendre, bien malgré elle et à l’expression du jeune homme ce qui est en train de se passer. « Je suis dans l’appart, à tout de suite » Andreas se relève aussitôt et récupère dans un geste précipité le soutien-gorge de Grace, preuve de sa culpabilité, qu’il met dans le carton à côté d’eux avant de le refermer à la va-vite.
Une jeune femme fait son apparition à la porte et s’arrête presque aussitôt, perturbée de trouver Andreas avec une autre femme. Force est de constater, qu'elles sont toutes deux comme le ying et le yang. Opposées dans leur apparence, mais aussi dans leur caractère, dans leur vécu... En tout cas, ça le frappe lui, à cet instant. « Anna. Voici Grace… Elle… est venue visiter l’appartement » Une future potentielle locataire un peu décoiffée, certes. Il regarde d’ailleurs Grace l’air embarrassé par ce mensonge qui le protégera d'une suspicion. Est-ce vraiment utile de présenter Anna ? Grace n’est pas idiote. Anna non plus, mais il espère à cet instant qu’elle n’y verra que du feu. Pour la suite, il devra jouer l’acteur, prétendre qu’il est ravi de la retrouver pour leur second rendez-vous, quand il n’aura à l’esprit que cette brune pulpeuse qui a hanté ses jours et ses nuits des années durant. Il y arrivera, ce ne sera pas la première fois qu’il jouera au gars indifférent et insensible, vierge de toute histoire trop lourde à porter pour pouvoir aimer une seconde fois. « Bonjour » dit Anna, trop polie, avec un mince sourire mais non sans juger un instant la brune « J’attends sur le palier dans ce cas » Et la blondinette aux longs cheveux lisses et aux yeux verts disparait à quelques mètres, hors de leur vue. Le palpitant d’Andreas se calme aussitôt, son regard se raccroche à Grace. Il finit par murmurer « Je suis désolé, j’avais… oublié » Pathétique. Il voudrait lui demander si elle a toujours son numéro, car il pense déjà à la revoir, mais la situation présente est tellement absurde qu’il s’attend à tout venant d’elle...
Ses doigts ont l’intention de déboutonner son jean pour répondre aux suppliques de Grace, et il ne sent même pas son téléphone vibrer. Il est pourtant de cette génération à passer trop de temps dessus, à se relier au monde par tous les biais possibles. Mais comment une machine connectée pourrait-elle importait plus que son amour de jeunesse ? La première lui a toujours donné l’impression d’être vivant, mais la seconde le rend réellement vivant. L’on ne peut se sentir plus en vie que dans un moment pareil. Néanmoins Andreas finit par l’entendre prononcer quelques mots en rapport avec son téléphone. Il aurait pu faire fi de cet avertissement mais c’est sans compter sur le changement brutal d’attitude de Grace. Il la voit en l’espace d’un instant se fermer à lui et rattraper instinctivement son t-shirt. Au même moment ses doigts accrochent son cellulaire et il lit le prénom d’Anna sur l’écran. Brusque retour à la vie normale.
« Salut Anna » Il se sent coupable d’avoir oublié qu’il était censé la voir. Mais le pire, c'est la suite. « Ah tu es en bas ? » Au même moment, il entend des bruits de pas, probablement venant de l’escalier. Ses yeux croisent ceux de Grace, qui doit comprendre, bien malgré elle et à l’expression du jeune homme ce qui est en train de se passer. « Je suis dans l’appart, à tout de suite » Andreas se relève aussitôt et récupère dans un geste précipité le soutien-gorge de Grace, preuve de sa culpabilité, qu’il met dans le carton à côté d’eux avant de le refermer à la va-vite.
Une jeune femme fait son apparition à la porte et s’arrête presque aussitôt, perturbée de trouver Andreas avec une autre femme. Force est de constater, qu'elles sont toutes deux comme le ying et le yang. Opposées dans leur apparence, mais aussi dans leur caractère, dans leur vécu... En tout cas, ça le frappe lui, à cet instant. « Anna. Voici Grace… Elle… est venue visiter l’appartement » Une future potentielle locataire un peu décoiffée, certes. Il regarde d’ailleurs Grace l’air embarrassé par ce mensonge qui le protégera d'une suspicion. Est-ce vraiment utile de présenter Anna ? Grace n’est pas idiote. Anna non plus, mais il espère à cet instant qu’elle n’y verra que du feu. Pour la suite, il devra jouer l’acteur, prétendre qu’il est ravi de la retrouver pour leur second rendez-vous, quand il n’aura à l’esprit que cette brune pulpeuse qui a hanté ses jours et ses nuits des années durant. Il y arrivera, ce ne sera pas la première fois qu’il jouera au gars indifférent et insensible, vierge de toute histoire trop lourde à porter pour pouvoir aimer une seconde fois. « Bonjour » dit Anna, trop polie, avec un mince sourire mais non sans juger un instant la brune « J’attends sur le palier dans ce cas » Et la blondinette aux longs cheveux lisses et aux yeux verts disparait à quelques mètres, hors de leur vue. Le palpitant d’Andreas se calme aussitôt, son regard se raccroche à Grace. Il finit par murmurer « Je suis désolé, j’avais… oublié » Pathétique. Il voudrait lui demander si elle a toujours son numéro, car il pense déjà à la revoir, mais la situation présente est tellement absurde qu’il s’attend à tout venant d’elle...
- Grace W. NolanIt's All My Fault
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Andreas… Andreas partout, dans son cœur et ses moindres battements, même lorsqu’elle était avec d’autres, à chaque soupir, dans toutes les caresses. Andreas depuis plus de dix ans. Andreas à travers le temps.
Elle déteste avoir noté la sonnerie de son téléphone, exècre qu’il retire ses mains de son corps quand elle a envie de lui murmurer des encore. Lorsqu’il décroche, c’est dingue ce que ça l’écorche. « Salut Anna » le prénom la rend douloureuse, jusque dans ses entrailles, sur le passé elle n’aurait probablement pas du ouvrir le portail. Pourquoi il faut toujours qu’elle déraille ? « Ah tu es en bas ? » Bordel mais qu’est-ce qu’elle fiche là ? Et évidemment, elle ne pense pas à Anna. C’est bien elle, Grace, qui n’a rien à faire dans cet appartement, à rejouer la débâcle de leurs sentiments.
Alors elle se redresse lorsqu’il envoie valser son sous-vêtement dentelé sur le côté, avec ses doigts, la brune essaie de se repeignait, durant cette courte durée, avant que l’autre femme n’arrive sur la palier. Même si l’autre, ici, c’est elle. Le tout lui semble tant irréel. « Anna. Voici Grace… Elle… est venue visiter l’appartement » Visiter l’appartement… Pourquoi à ses oreilles ça sonne si mal ? Ca rend l’instant d’autant plus gênant ? Qu'est-ce que tu fous ici, Grace, franchement ? « Bonjour » Même sa voix, elle est jolie, et elle en est dégoutée, n’est-ce pas ? « J’attends sur le palier dans ce cas » Non, parce que la place, elle accepte de la laisser, de toutes les façons, elle est incapable de la revendiquer. Cette peureuse qui n’a fait que fuir durant des années.
Si bien qu’elle disparaît, et que lui s’aventure à s’excuser. « Je suis désolé, j’avais… oublié » elle ignore même pourquoi ça l’énerve autant. Pourquoi cette jalousie fait bouillonner son sang. Elle qui s’est mariée à un autre, qui n’a aucune légitimité. « Fallait qu’elle soit blonde. » C’est con, comme certaines rancœurs sont tenaces. Comme ils sont difficiles à effacer, les stigmates de ce foutu passé. Elle en rit, un truc qui sonne faux, qui lui file la nausée. Elle tente de la pallier, une main sur son front, plaquée, « Je vais y aller, » ça faisait longtemps, qu’elle ne s’était pas sentie aussi stupide, vraiment, « t’façon t’es occupé. » Tu sens, Andreas, combien elle se retient pour ne pas s’énerver ? Pour ne pas tomber dans un cliché ? Pour ne pas être la gamine qu’elle a été. « Et l’appartement ne me convient pas. » Quand elle le prononce, elle hausse le ton de sa voix, spécialement pour Anna.
Parce que c’est plus fort qu’elle, elle se rapproche à nouveau de l’homme qu’elle aime, bien sûr qu’elle le sait, c’est ancré en profondeur, dans son intérieur. Malgré toutes ses propres erreurs. De ses lèvres, elle embrasse la commissure des siennes, inspire son odeur, lutte contre la douleur de son cœur. « Au revoir, alors. » Mais les adieux, entre eux, ils n’ont jamais suivi les règles du jeu. Entre l’amour et la haine, elle se perd, prend le chemin de la sortie, de prime abord sans décocher un mot à la raison de son évasion… Seulement docile, elle n’a jamais su l’être, alors avec un faible sourire, elle s’arrête, « Il me doit un soutien-gorge. » Et des milliers de peut-être. Le cœur en bandoulière quand elle respire dehors l’air, à espérer que si c’est ce que réellement il souhaite, il saura la retrouver. Ce n’est pas très difficile de rechercher Grace W. Nolan, architecte.
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Comment expliquer cet air coupable qu'il arbore face à Grace ? Il est pourtant libre de sortir avec qui il veut, n'est-ce pas ? Et si cette Anna est là pour la deuxième fois, c'est bien parce qu'il a suffisamment apprécié la première fois, après tout. Alors pourquoi s'en vouloir autant ? L'air révolté qu'il décrypte sur le visage de la brunette n'aide en rien ce sentiment oppressant qui l'habite. Elle va lâcher une bombe, il le sent et il n'est pas prêt pour ça.
Fallait qu'elle soit blonde. Rien que ça. C'était prévisible, et pourtant il ne s'y attendait pas. Il aurait presque perdu le coup de main sur les jalousies de Grace. Car il ne lui en faut pas plus pour retracer toute sa rancœur et ce, bien qu'elle soit gratuite… Pour sa survie, il se retient de répondre à cette attaque. Il se retient encore plus d'ajouter qu'elles sont presque toutes blondes. C'est étrange, hein. Comme une simple couleur de cheveux peut faire toute une histoire. Il la sent dérailler, puis se reprendre en main, prétextant devoir y aller. Il est occupé, c'est vrai… D'ailleurs s'il n'avait pas oublié son rendez-vous, Dieu sait ce qu'il serait occupé à faire, mais elle l'a sans doute déjà oublié. Andreas la fixe lorsqu'elle prétexte ne pas valider l'appartement. Il se mord l'intérieur de la joue, résistant à l'envie folle de tout foutre en l'air avec Anna pour garder Grace auprès de lui. Pensée intrusive absolument dingue, si peu raisonnable. C'est à se demander comment il n'y succombe pas, lorsque son ex vient l'embrasser sur le coin des lèvres… Andreas reste figé, immobile. Le cœur trop lourd.
…
Quand Anna refait apparition, elle le trouve adossé au mur, l'air absent. Les talons de la jeune femme sur le parquet le ramènent assez vite à la réalité. Il s'apprêtait à faire semblant, bêtement, mais elle le coupe d'une voix décidée. « Sois cette fille est folle. Soit tu es un salaud. » Les deux possibilités le dérangent sur le coup. Il maudit Grace. « Ton silence veut tout dire. N'essaie même pas de me recontacter. » Il la regarde détaler sans rien dire de plus mais dans sa tête, résonne une chanson, sa chanson.
Une de plus, dans l'ombre de Grace.
Fallait qu'elle soit blonde. Rien que ça. C'était prévisible, et pourtant il ne s'y attendait pas. Il aurait presque perdu le coup de main sur les jalousies de Grace. Car il ne lui en faut pas plus pour retracer toute sa rancœur et ce, bien qu'elle soit gratuite… Pour sa survie, il se retient de répondre à cette attaque. Il se retient encore plus d'ajouter qu'elles sont presque toutes blondes. C'est étrange, hein. Comme une simple couleur de cheveux peut faire toute une histoire. Il la sent dérailler, puis se reprendre en main, prétextant devoir y aller. Il est occupé, c'est vrai… D'ailleurs s'il n'avait pas oublié son rendez-vous, Dieu sait ce qu'il serait occupé à faire, mais elle l'a sans doute déjà oublié. Andreas la fixe lorsqu'elle prétexte ne pas valider l'appartement. Il se mord l'intérieur de la joue, résistant à l'envie folle de tout foutre en l'air avec Anna pour garder Grace auprès de lui. Pensée intrusive absolument dingue, si peu raisonnable. C'est à se demander comment il n'y succombe pas, lorsque son ex vient l'embrasser sur le coin des lèvres… Andreas reste figé, immobile. Le cœur trop lourd.
…
Quand Anna refait apparition, elle le trouve adossé au mur, l'air absent. Les talons de la jeune femme sur le parquet le ramènent assez vite à la réalité. Il s'apprêtait à faire semblant, bêtement, mais elle le coupe d'une voix décidée. « Sois cette fille est folle. Soit tu es un salaud. » Les deux possibilités le dérangent sur le coup. Il maudit Grace. « Ton silence veut tout dire. N'essaie même pas de me recontacter. » Il la regarde détaler sans rien dire de plus mais dans sa tête, résonne une chanson, sa chanson.
Une de plus, dans l'ombre de Grace.
FIN
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