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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
JANAE LLOYD-DAWSON
Comme une jeunesse éternelle.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
" Sur l'univers tout entier. Nous les hommes nous nous pensons les plus puissants, seuls êtres à la parole existants. Mais nous sommes que des milliards de pucerons qui vivent sur une ridicule planète, vivant dans un système solaire, et une galaxie. L'univers est plus vaste que ça, et nous avons tant de choses à connaître pour véritablement comprendre notre existence. Et si nous n'étions pas seuls, si les êtres vivants dépassés la Terre ? "
" Rêve irréalisable, mais qui me rappelle également ce que je suis, avoir une enfance non pas parfaite, mais en famille. Avoir vraiment connu une enfance avec sa famille, voilà ce qui me fait rêver. Certains diront que c'est stupide, mais ce n'est pas plus égoïste que de vouloir un pauvre poney. Et être au centre de l'attention, j'adore. Je suis comme un poisson dans l'eau. Je pourrais faire du cabaret rien que pour ça, et ça même si je n'ai aucun sens du rythme. "
" Je ne suis pas vraiment certaine de savoir ce qu'est le bonheur. Je suis une nana à la vie merdique, qui s'enfonce davantage dans ses merdes. Je me plais à ne pas rentrer dans le moule, à ne pas façonner mon image selon les idées et les mœurs de la société. Je dirai donc que le bonheur c'est de pouvoir être soi même, et de ne pas se priver parce que ça ne colle pas au monde qui m'entoure. C'est plus qu'une satisfaction, c'est une réussite qui me fait sourire même dans la pire des situations. "
ta plus grande réussite à ce jour ?
" Mes ambitions montrent que je peux surpasser l'image que l'on me donne et l'avenir que l'on m'a attribué. Elles montrent que personne hormis moi ne peut dicter mon avenir, j'en suis le seul maître. Elles sont grandes, mais à l'image de mon caractère qui est prêt à tout pour parvenir à ses fins. Mais ma plus grande réussite est à mille lieux de tout ça : la famille. Malgré tout ce qui nous est arrivé nous avons su surpasser les événements, et être soudé quoi qu'il arrive. "
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
" Il n'y a rien de plus important que les Weasley, la famille. On n'est pas parfait, mais on a toujours su faire face aux vagues, main dans la main. Il nous a fallu des années pour véritablement nous retrouver, et plus rien ne doit s'interposer entre nous. Si malheur arrivait, je serai prête au pire des crimes. Je n'ai jamais eu peur de me salir les mains, et çe n'est pas un peu de sang qui me ralentira dans ma quête. "
qu’as-tu ressenti ?
" Tout ce qui ne ce sait pas n'est pas illégale, c'était ce que me disait ma mère. Et pour une fois, je suis bien en accord avec ses paroles. Être escorte-girl c'est un métier comme un autre, on s'accorde dessus, mais il arrive que les extra ne peuvent être refusés, mais croyez moi les plus demandeurs sont vite punis. Habitués à ce qu'on leur obéissent au doigt et à l’œil, ils ne se rendent même pas compte que l'esclave les entube dans leur dos. Ils ont tellement de choses et d'argent qu'ils ne savent même plus ce qu'ils possèdent réellement. Et, c'est juste jouissif. Le bas peuple se fout directement de ceux qui les manipulent, y a de quoi être excitant. "
" Je n'en ferai rien. Je ne suis qu'une humaine parmi plus de sept milliards d'hommes. Je ne pense pas être la personne idéale pour refaire le monde. Martin Luther King, Nelson Mandela, Kennedy n'ont rien à voir avec ma personne, ils se souciaient de la société. Alors peut-être que si j'avais ce pouvoir je laisserai ses hommes diriger la terre, et les protégerait de ceux qui leur veulent du mal, ceux qui ont peur de leur génie. "
" J'ai longtemps cru que mon père était le facteur. Je trouvais ça étrange qu'il vienne tous les jours, aux mêmes heures pour porter le courrier à notre boîte aux lettres. Bien que généralement il venait nous annoncer de mauvaises nouvelles, je m’étais mis en tête qu'il avait trouvé un couverture, un moyen pour venir prendre des nouvelles d'Alec et moi-même. La pilule fut dure à avaler, mais non pas surprenante. Ce n’était qu’un simple facteur, rien de plus, rien de moins. "
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [x] I'm a mother fucker Prénom/pseudo : Australia. (mathilde) Âge : 23 ans Anniversaire : 26 août. Localisation : Poitiers, France. Présence : 5/7. Personnage ... [x] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : Via le projet bazzart, mais c'est Amiel qui m'a tiré ici. Et je le trouve : Original et intriguant. Ma plus grande peur : De me perdre dans ma fiche. Un dernier mot ? love.
barbi-palvin.tumblr , lilousilver FEU ARDENT
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
Vivre ; ça doit être une sacrément belle aventure !!
Il y a des histoire qui commencent bien, et d'autres qui s’enchaînent de mauvaises expériences. La chance n'est pas au rendez-vous. On la cherche encore. Addison Weasley ne l'a plus croisé depuis que la drogue s'est mise en travers de sa route. Jeune fille promise à un grand avenir à Hollywood, elle est devenue cette décharge qui a donné naissance à toute une fratrie, chacun ayant des pères différents, tous portés disparus ou inconnus. Janae, tu n'es pas différente de tes frères. Tu es seulement fille uniquement, si on peut dire, la cadette de la famille avec Alec, ton jumeau. Comme Alec et tes deux autres frères, tu as grandi sans père. Pour autant, ça ne t'a pas empêché de grandir, et de vivre une enfance quasi normale.
TOUS LES ENFANTS GRANDISSENT.
Vivre avec une mère alcoolique et défoncée à longueur de journée, incapable de s'occuper d'elle aurait pu être un cauchemar, d'autant plus si on prend garde à regarder cet appartement miteux dans le quel vous vivez : entre insalubrité et précarité. Mais, il y a bien une chose qu'Addison a toujours su faire, vous donner de l'amour. Cette vie de merde, ça te plaisait, elle faisait partie de toi et t'étais construite autour de ça. Vous étiez là, tous ensemble dans cette même galère que vous appeliez famille. Avec eux, tu te sentais vivante, en toute sécurité et prête à aller à l'aventure. C'est Oliver, l'aîné qui a fait de ton enfance un conte de rêve. Il t'inventait constamment des histoires, t'emmenant à Neverland. Ensemble vous vous inventiez des histoires, une vie qui vous dépassait parfois. Ce bonheur incompréhensible pour d'autres était absolu à tes yeux. Tu voyais plus loin que la faim, la crasse et l'humidité, tu y voyais un chez toi, une solidarité inimitable. Enfant, jusqu'à tes quatre ans, tu ne voyais pas l'état de lequel vivait Addison, Oliver essayait toujours de détourner ton regard de le porter vers quelque chose de positif et d'amusant pour une enfant. Sans lui, ton enfance aurait été aussi catastrophique que l'état du porte monnaie de ta génitrice, alors tu ne cesseras jamais de le remercie pour tout ce qu'il fait, et ça même dans les pires moments.
ANECDOTE : Sur ton chevet repose un livre, celui dont tu ne te sépares jamais. Tu étais qu'une enfant lorsque tu l'as eu entre les mains, que tu en as pris connaissance, que tu y cru dur comme fer. Peter-Pan, ce monde imaginaire dans le quel Oliver t'a emmené pendant de nombreuses années. Ce roman illustré, tu le connais jusqu'à la moindre phrase, et s'est souvent que tu t'y replonges.
ANECDOTE : Sur ton chevet repose un livre, celui dont tu ne te sépares jamais. Tu étais qu'une enfant lorsque tu l'as eu entre les mains, que tu en as pris connaissance, que tu y cru dur comme fer. Peter-Pan, ce monde imaginaire dans le quel Oliver t'a emmené pendant de nombreuses années. Ce roman illustré, tu le connais jusqu'à la moindre phrase, et s'est souvent que tu t'y replonges.
Puis, Addison a disparue. Tu n'avais que six ans, Neverland se dissipa pour devenir l'enfer sur terre, un endroit où la magie semble avoir désertée. Vous, enfants plein de ressources, vous êtes restés des jours sans un adulte sur votre dos. Selon toi, votre débrouillardise a duré des semaines, mais si l'on écoute tes frères elle aurait été de huit jours. Ça aurait pu durer une éternité, la situation vous semblait idéale, même si Addison manquait à l'appelle. « À bientôt mes chéris. » vous y avez cru, c'était dans ses habitudes. D'un « Ouais, ouais ... » général vous l'aviez laisser prendre le large sans un seul regard. Les heures se sont écoulées, et les nouvelles toujours lointaines. Ici, dans un quartier laissé à l'abandon, rien ne se remarque. Et des enfants seuls ça coure les rues, c'est une façon de vivre, une culture, une éducation à des années lumières des autres. Ça aurai pu durer encore longtemps, jusqu'à ce que l'on vous grille avec des céréales et du lait volés, mais c'était sans compter la propagation d'un feu dans l'immeuble. Obligés de sortir de votre île aux trésors, les secours n'ont pu que constater l'absence de ta mère. Seul Oliver comprenait quelle allait être votre issue : la séparation. Tu te souviens parfaitement de ce jour, celui que tu considères comme étant le pire de ta vie. Depuis, tu ne cesses d'avoir de la rancoeur envers Addison, la seule responsable. Tu ne seras lui pardonner, et souhaite ne plus avoir à la croiser. Elle a fait comme chacun de vos père, prendre la fuite sans assumer les conséquences.
ANECDOTE : S'il y a bien une chose dont tu ne maîtrises pas c'est la cuisine. Le seul plat que tu réussis à la perfection, c'est le bol de céréales au lait. Là, aucune faute n'est possible. Et de temps en temps, tu te permets une petite folie en remplaçant le lait par du jus d'orange. C'est un peu spécial, mais tu en raffoles au petit-déj.
ANECDOTE : S'il y a bien une chose dont tu ne maîtrises pas c'est la cuisine. Le seul plat que tu réussis à la perfection, c'est le bol de céréales au lait. Là, aucune faute n'est possible. Et de temps en temps, tu te permets une petite folie en remplaçant le lait par du jus d'orange. C'est un peu spécial, mais tu en raffoles au petit-déj.
Après l'orphelinat et de multiples retour là-bas, tu as enchaîné les familles d'accueil, avec pour seul compagnon Alec. Selon les services sociaux, ce n'était pas raisonnable de séparer des jumeaux, de jeunes enfants. Ensemble, loin du reste des Weasley, vous avez décidé de devenir des petits monstres, ces enfants que l'on souhaite chasser de chez soi. Tu as toujours su emmener ton jumeau dans tes âneries, mais celles-ci surpassaient vos petits chamailles et les vitres brisées à l'aide de lance pierre. En agissant de cette façon, vous pensez qu'on allait finir par comprendre que vous n'étiez pas cinq enfants, mais un seul, une union, une fratrie qu'il est impossible de séparer. Le message ne semblait pas être clair, ou simplement irréalisable. Après tout, en y réfléchissant bien, qui aurait bien voulu de quatre enfants et ça du jour au lendemain ? Personne. Vous aurez pu trouver votre place au sein d'une famille, comme celle d'Amiel par ou exemple, ou ses riches qui prenaient soin de vous. À vos yeux, elles ne pouvaient être celle que vous désirez, et elles ne pouvaient être à la hauteur des Weasley. Cela commençait à être difficile de vous placer dans des familles. Alec se posait des questions,il se demandait si vous aviez bien agi, et s'il n'était as préférable de faire profil bas.
ANECDOTE : Tu as toujours vécu avec Alec, aujourd'hui encore, et a longtemps partagé une chambre avec lui. Pour toi, il est impensable d'envisager une avenir loin de lui. Tu songes à passer le restant de tes jours à ses côtés, et partir de Los Angeles sans lui t'es tout simplement impossible. Tu suivras chacun de ses pas partout où il ira.
ANECDOTE : Tu as toujours vécu avec Alec, aujourd'hui encore, et a longtemps partagé une chambre avec lui. Pour toi, il est impensable d'envisager une avenir loin de lui. Tu songes à passer le restant de tes jours à ses côtés, et partir de Los Angeles sans lui t'es tout simplement impossible. Tu suivras chacun de ses pas partout où il ira.
Il en aura fallu des fugues, des conneries et des mises en garde à vu pour qu'enfin vous soyez tous réunis, le club des quatre. Oliver, une fois de plus, était ton sauveur, le vôtre, celui qui sait constamment comment résoudre le moindre de vos problèmes. Il n'y avait que lui pour vous réunir, malgré toutes les galères que ça pouvait engendrer. Tu n'étais pas facile, en pleine rébellion, mais avec tes frères tu étais une douce mirabelle. Oliver a peine plus de vingt-et-un ans, venait de vous prendre en charge. C'était courageux de sa part, mais peu importe la vie que vous alliez mener, ça ne pouvait qu'être mieux. Tu avais seize ans, et tu sentais comme une brise te libérer d'un poids. Vous avez enfin eu ce pour quoi Alec et toi vous vous êtes battus pendant des années. On ne pouvait pas mieux faire comme finalité, un rêve de venu réalité. Vous n'êtes pas retourné vivre dans votre appartement d'enfance. Vous n'y voyez plus vraiment d'attache, trop angoissés de recroiser Addison. Vous n'avez jamais reparlé d'elle, ne vous êtes jamais demandé si elle était toujours en vie. Chacun vous mis du coeur à l'ouvrage pour reconstruire un bonheur, une façon de vivre, et son nom ne faisait pas parti du tabloïd.
ANECDOTE :Pour ton anniversaire dernier, tes frères t'ont offert ce chat avec qui tu aimes faire des câlin jusqu'à l'overdose. Maurice c'est un chat à connerie, le genre de chaton qui insupporte Alec, mais qui te fait tellement penser à toi. C'est un emmerdeur, et un pure séducteur. Tu lui passes tout, ou presque.
ANECDOTE :Pour ton anniversaire dernier, tes frères t'ont offert ce chat avec qui tu aimes faire des câlin jusqu'à l'overdose. Maurice c'est un chat à connerie, le genre de chaton qui insupporte Alec, mais qui te fait tellement penser à toi. C'est un emmerdeur, et un pure séducteur. Tu lui passes tout, ou presque.
Emmerdeuse de premier ordre ne veut pas dire mauvaise en temps. Tu as des facilité, tu l'as toujours su, et tu as su faire de ça une force qui te propulse aujourd'hui dans les études. Enfant on n'aurait jamais dit de toi que tu allais faire de grandes études. Non, on te voyait bien caissière chez l'épicier du quoi. Tu as bataillé, et montré que toi aussi ta vie ne se résumait pas à ce qu'on te destinait. Grâce à ta persévérance et à une bourse d'étude, tu as pu entrer à l'Université publique de L.A. Voilà que tu brisais les clichés et montrais que toi aussi tu as avais une destinée toute autre. Malheureusement, la vie est loin d'être gratuite, et si tu veux garder ta bourse il te faut des notes excellente. Aucun répi pour toi, tu enchaînes tes journées de boulots, et tes heures de travail en médecine avec un job peu glorieux. Tu n'as peu eu besoin de batailler pour avoir ce post. Une amie te la simplement recommandé, et toi prête à tout tu t'es dit pourquoi pas. Devenir escorte c'était aussi le moyen de se détendre sans rien payer. Toutefois, plus le temps passe, et plus les clients deviennent exigeants. Normalement ton agence interdit à toutes ses filles d'avoir de rapports sexuels avec leurs clients, mais quand ton porte feuille cri tu ne peux passer au dessus de ça. Et puis, il y a Oliver qui tourne au vinaigre. Il a besoin de sa famille. Tu es la seule à lui répondre, à lui donner de l'argent. Alec dit que tu es une imbécile, et il se pose de nombreuses questions avec Simon : « Tu sors où pympée comme ça le soir ? » Tu fais mines d'avoir trouvé un petit job en dehors de l'hôpital, mais tous ces beaux vêtements ne passent pas inaperçues.
ANECDOTE : Sur le mur de ton lit, figure le dessin de l'anatomie complète de l'homme, Eugene. Tout autour, il y a plusieurs schémas détaillés, ce sont tes mémos, là où tu apprends tes cours et revois les différents cas. Remplis de couleurs, tu en ais fière, et pourrais passer des heures à les regarder. C'est le rituel que tu as pris, avant de te coucher.
ANECDOTE : Sur le mur de ton lit, figure le dessin de l'anatomie complète de l'homme, Eugene. Tout autour, il y a plusieurs schémas détaillés, ce sont tes mémos, là où tu apprends tes cours et revois les différents cas. Remplis de couleurs, tu en ais fière, et pourrais passer des heures à les regarder. C'est le rituel que tu as pris, avant de te coucher.
Il y a un mois, tu as accompagné l'un de tes plus riches clients à Vegas. C'était soit disant pour lui faire de la compagnie, mais il voulait surtout te faire voyager, te faire sortir de L.A., ville que tu n'avais jamais quittée. Tu ne comprends toujours pas cette attention, quelque chose d'honnête et sans attente en retour. Tu avais dit oui sans la moindre hésitation. Après tout c'était pas comme si le mec voulait coucher avec toi à longueur de journée, pas comme certains porcs à qui tu as du mal à dire non. Tu pensais aux vacances, et au fric. Y a toujours le mot argent dans tout ce que tu fais. Pourtant ton voyage ne s'est pas vraiment passé comme tu l'entendais, tu n'as même pas gagné un rond, mais une bague en toc. Le début du séjour c'était bien passé, tu avais pris du bon temps avec le client. Tu 'avais accompagné aux jeux, au restaurant, mais sans plus. Le soir, alors qu'il traitait avec du monde pour affaire, tu étais restée dans ton coin -au bar, évidemment. Tu buvais sans la moindre attention de faire des folies. T'es juste une fille qui aime prendre du bon temps avec des verres dans le nez. Puis tu as rencontré ce mec, un Appolon, Wayde. Le courant est bien passé entre vous. Les verres se sont accumulés, jusqu'à ce que le sang en contienne plus que de raison. À partir de là, tout est parti en vrille, et les souvenirs se font rares. Tu as l'impression d'avoir fait le remake de Very Bad Trip et de Jackpot. Tout se mélange, le réveille est brutale et douloureux. Un tatouage et une bague prouvent ton engagement. Tu as l'impression que c'est une caméra cachée, mais tu t'es bien et bel mariée à un véritable inconnu. Le pire dans tout ça ce n'est pas ce papier qui dit que tu t'es casée avec untel, mais c'est cet untel est un véritable con. S'il était marrant, et qu'il était intéressant ça passerait encore, mais là tu te demandes pourquoi ce connerie fatale. Tu retrouves des photos avec Elvis et toi en pauvre robe de mariée. Ça semblait marrant, mais rien ne te revient vraiment, à part ce papier, et ce tatouage écrit en gras sur ton poignet : WAYDE, MY DEAR LOVE.
ANECDOTE : Tu n'as jamais été en couple. L'idée de te mettre dans une case t'effraie et te semble simpliste. C'est surtout un manque de confiance, un très net blocage envers les autres et leur fiabilité à toute épreuve. Ce sentiment que l'on appelle amour, tu l'as déjà connu, mais tu l'as passé sous silence, trop peureuse de l'avenir et de ses conséquences.
ANECDOTE : Tu n'as jamais été en couple. L'idée de te mettre dans une case t'effraie et te semble simpliste. C'est surtout un manque de confiance, un très net blocage envers les autres et leur fiabilité à toute épreuve. Ce sentiment que l'on appelle amour, tu l'as déjà connu, mais tu l'as passé sous silence, trop peureuse de l'avenir et de ses conséquences.
Depuis cette mésaventure rien ne se passe comme tu le souhaites. Avec pas un rond en poche c'est compliqué de divorcer. Mais Wayde semble lui aussi décidé à rompre tout lien entre vous. Ça devient insupportable de porter son nom, de changer Weasley en Lloyd-Dawson sur tous tes papiers administratifs. On te félicite, et tu leur rétorques de se la fermer, y a rien à féliciter, t'as envie de pleurer. Tu en as fait es conneries, mais celle-là c'est la plus scandaleuse. Ta fratrie en rie, tu leur jette un regard noir, et tes livres. Tu n'es pas d'humeur à rire, tu veux en finir au plus vite. Wayde semble bien vouloir avancer l'argent. Il ne pose pas de question, et veut que ça se règle rapidement. Le juge n'est pas du même avis, et vas à l'encontre de vos plans. Il vous torture, souhaite que vous fassiez vos preuves et que vous tirez des leçons de votre ânerie. Tu penses en avoir tiré assez. Alors que toute communication est impossible avec Wayde, vous essayez de rendre votre relation plus cordiale. Malheureusement, vos caractères font que ça devient une véritable bataille navale, quelque chose d'ingérable et d'en même temps rempli de faux semblant. C'est épuisant de devoir se le coltiner régulièrement, la prison ne peut être pire que ça.
ANECDOTE : Tu n'as pas le permis, l'idée ne t'es même jamais venue à l'esprit. C'est jeter de l'argent par la fenêtre, ce que tu ne peux te permettre. Tu préfères te déplacer en vélo. Il t'a coûté pas plus de dix dollars, le prix de la pince qui t'a permis de casser le cadenas.
ANECDOTE : Tu n'as pas le permis, l'idée ne t'es même jamais venue à l'esprit. C'est jeter de l'argent par la fenêtre, ce que tu ne peux te permettre. Tu préfères te déplacer en vélo. Il t'a coûté pas plus de dix dollars, le prix de la pince qui t'a permis de casser le cadenas.
barbarapalvin.tumblr , tumblr FEU ARDENT
- InvitéInvité
Bienvenue Janae, la dame à Wayde :) Bon courage pour terminer la rédaction de ta fiche
- InvitéInvité
J'ai connu le forum : Via le projet bazzart.
MAIS QUI T'AS RÉELLEMENT FAIT VENIR ICI ?
Bienvenue ma mathou
Je suis contente que vous soyez venu me trouver sur IAMF
Hâte qu'on se trouve ce lien mon chat, mais en attendant, je te souhaite bon courage pour ta fiche
- InvitéInvité
j'aime tellement Scarlett bienvenue :)
- InvitéInvité
Bienvenue par ici
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