YESTERDAY'S NEWS |48
- Gwyneth BarclayKingdom Come
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Dollars : 3044
Messages : 286
Date d'inscription : 12/07/2018
Avatar : Emily Rudd.
Crédits : littlewildling (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Adélaïde Sullivan.
Âge du personnage : Vingt-deux ans. (17/01/2000)
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Family don't end with blood.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Traductrice dans une maison d'édition.
Études (passées ou en cours) : Langues.
Hobby : Changer de couleur et de longueur de cheveux. • Le surf. • Les jeux vidéos.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
CAN YOU FEEL HIS ANGER, HIS FEAR?
Tourner la clé dans la serrure de la porte de la villa était probablement le geste le plus doux que Gwyneth avait eu de la soirée. Ne pas faire de bruit, surtout ne pas faire de bruit. C'était son objectif parce qu'elle avait parfaitement conscience qu'elle était plus qu'en retard. Elle se devait de rentrer avant lui, elle se devait d'être dans son lit à dormir ou au moins à chercher Morphée quand il revenait du boulot. Quand son téléphone s'illuminait pour qu'elle puisse l'utiliser comme lampe torche et éviter d'allumer toutes les lumières, il affichait trois heures et trente-six minutes du matin. Autant dire qu'elle avait largement dépassé l'heure autorisée. Sans compter que, même si ça ne se voyait pas de prime abord, quelques verres d'alcool coulaient dans ses veines. Pas de quoi la rendre ivre mais le sourire niais sur son visage venait très certainement de là. Dans la voiture qui l'avait ramené chez elle, elle était déjà un peu stressée pour la simple raison qu'elle avait complètement ignoré les appels de son oncle. Non pas qu'elle cherchait spécialement à le rendre inquiet ou à l'énerver mais elle qui sortait peu en général avait vu en cette soirée une bonne occasion de s'amuser, oubliant son téléphone dans son sac pour quelques heures. Quelques heures au bout desquelles elle n'avait pas osé le rappeler, de peur, peut-être, de le réveiller et de passer un mauvais quart d'heure au téléphone. Au moins, en rentrant à l'improviste, elle avait une maigre chance - mais chance quand même - de devoir l'affronter que le lendemain, après une bonne nuit de sommeil qui aiderait peut-être à le rendre moins... Barclay.
La porte d'entrée passée, elle marchait à pas de loup dans la maison, presque rassurée de ne rien apercevoir pour le moment. Effet de l'alcool ou simple déni, elle ne l'avait aperçu dans le salon que lorsqu'elle était prête à grimper les escaliers pour l'étage. Son cœur avait bondit dans sa poitrine tant la surprise était grande. Pas au point de la faire sursauter mais le petit mouvement de recul ne manquait pas à l'appel. « T'es con, tu m'as fait peur! » Là par contre, c'était bien l'alcool et l'effet de surprise qui parlaient. Un vocabulaire qu'elle ne réservait, en général, qu'à ses potes, bien loin de ses habitudes avec celui qui s'apparentait à un père pour elle. Instinctivement, elle grimpait les deux-trois premières marches de l'escalier, elle souhaitait probablement être pseudo protégée par la rambarde. Ses iris clairs rivés sur son oncle en train de lire semblaient attendre la sentence. Elle aurait pu rester silencieuse, elle aurait pu ne rien dire et attendre que la leçon de morale lui tombe dessus. Mais n'était-elle pas une Barclay, elle-même? Caractère affirmé, caractère bien trempé, elle ne pouvait pas s'empêcher de l'ouvrir sans qu'on ne lui ait demandé. « Je sais ce que tu vas me dire. Que j'ai plus d'une heure et demie de retard, que j'ai pas répondu à tes appels, que c'est mal, que je devrais obéir quand on pose des règles blablabla. Je le sais tout ça, je suis désolée, d'accord? Pour une fois, je m'amusais, j'ai pas vu le temps passer. Est-ce qu'on peut directement passer à la punition que j'aille me coucher? » Elle minimisait les choses, certainement parce qu'elle n'avait pas conscience du danger qui pouvait la guettait à tout moment, là, dehors, loin de son oncle et de sa protection qu'elle jugeait parfois trop étouffante.
La porte d'entrée passée, elle marchait à pas de loup dans la maison, presque rassurée de ne rien apercevoir pour le moment. Effet de l'alcool ou simple déni, elle ne l'avait aperçu dans le salon que lorsqu'elle était prête à grimper les escaliers pour l'étage. Son cœur avait bondit dans sa poitrine tant la surprise était grande. Pas au point de la faire sursauter mais le petit mouvement de recul ne manquait pas à l'appel. « T'es con, tu m'as fait peur! » Là par contre, c'était bien l'alcool et l'effet de surprise qui parlaient. Un vocabulaire qu'elle ne réservait, en général, qu'à ses potes, bien loin de ses habitudes avec celui qui s'apparentait à un père pour elle. Instinctivement, elle grimpait les deux-trois premières marches de l'escalier, elle souhaitait probablement être pseudo protégée par la rambarde. Ses iris clairs rivés sur son oncle en train de lire semblaient attendre la sentence. Elle aurait pu rester silencieuse, elle aurait pu ne rien dire et attendre que la leçon de morale lui tombe dessus. Mais n'était-elle pas une Barclay, elle-même? Caractère affirmé, caractère bien trempé, elle ne pouvait pas s'empêcher de l'ouvrir sans qu'on ne lui ait demandé. « Je sais ce que tu vas me dire. Que j'ai plus d'une heure et demie de retard, que j'ai pas répondu à tes appels, que c'est mal, que je devrais obéir quand on pose des règles blablabla. Je le sais tout ça, je suis désolée, d'accord? Pour une fois, je m'amusais, j'ai pas vu le temps passer. Est-ce qu'on peut directement passer à la punition que j'aille me coucher? » Elle minimisait les choses, certainement parce qu'elle n'avait pas conscience du danger qui pouvait la guettait à tout moment, là, dehors, loin de son oncle et de sa protection qu'elle jugeait parfois trop étouffante.
- Aeddan BarclayI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 23/04/2018
Avatar : Ben Barnes
Crédits : Moses. (avatar) crack in time (sign)
Autres comptes : Celeste & Freya
Âge du personnage : 39 ans
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Cabaret, art, trafic, machiavélique, violent
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Propriétaire du cabaret le Luxure
Études (passées ou en cours) : Etudes de commerce
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
&
Aeddan
CAN YOU FEEL HIS ANGER, HIS FEAR?
Silence dans la maison quand tu rentres du travail. Elle aurait du être rentrée avant même que tu ne reviennes chez toi. Autorisée à sortir avec pourtant un couvre feu. Ta nièce se la joue rebelle ce soir et tu n’aimes pas vraiment ça et encore plus quand tu sais que certains cherchent à te nuire. Ils pourraient très bien s’en prendre à elle sans même que tu ne le saches. Alors tu préfères l’attendre plutôt que de te coucher, à la fois pour l’engueuler mais surtout pour être rassuré que rien ne lui est arrivé. Bouquin en main, lumière tamisé, te voilà installé dans le salon, réactif aux moindres bruits. L’heure tourne est toujours pas de nièce à l’horizon. Ca te fait lever les yeux au ciel quand tu regardes une énième fois ta montre. C’est bien la fille de son père, toute aussi fêtarde que lui.
Alors que le temps passe, tu te décides vraiment à te plonger dans ton bouquin. Chose bien plus intéressante que de regarder les minutes défilées sur ta montre. Puis enfin le bruit d’un moteur rompt le silence nocturne. C’est elle. Tu l’espères. Tu poses ton livre sur la table basse et attends sagement. Tu cherches déjà ce que tu vas bien pouvoir lui dire voire la punition que tu vas pouvoir lui donner. Surement pas quelque chose de bien méchant, juste de quoi lui faire comprendre qu’elle ne peut pas rentrer aussi tard.
Clé dans la serrure, la porte qui s’ouvre et le petit ange apparait au loin. Sourire qui s’affiche sur ton visage alors que tu joues les fantômes au fond du salon. Tu te doutes qu’elle ne t’a pas remarqué alors qu’elle avance vers les escaliers. La chipie… Elle pense pouvoir se caler dans son lit sans se faire prendre. Puis elle te remarque, tu te mords la lèvre pour éviter de rire. Comment garder son sérieux alors que l’enfant est complètement éméchée. Mais rapidement tu reprends ton sérieux quand Gwyneth se la joue un peu rebelle, cherchant à se sortir de cette situation au plus vite. Elle est fatiguée, toi aussi et vous voulez tous les deux vous mettre au lit. Toutefois, elle attendra un peu. Tu quittes ton fauteuil de roi pour la rejoindre en bas des escaliers, plantant ton regard dans le sien. "Gwyneth…" souffles-tu, d’une voix douce. Tu ne cherches pas à l’engueuler, tout simplement parce que tu n’as jamais aimé ça. "Juste un message pour me dire que tu arriveras plus tard… Ca coute rien, vraiment rien…" Tu lui caresses la joue et soupires."J’ai pas franchement envie de te priver de sortie mais tu me laisses pas vraiment le choix non plus…" Si elle pouvait arrêter de se rebeller, ça serait surement moins compliqué.
Alors que le temps passe, tu te décides vraiment à te plonger dans ton bouquin. Chose bien plus intéressante que de regarder les minutes défilées sur ta montre. Puis enfin le bruit d’un moteur rompt le silence nocturne. C’est elle. Tu l’espères. Tu poses ton livre sur la table basse et attends sagement. Tu cherches déjà ce que tu vas bien pouvoir lui dire voire la punition que tu vas pouvoir lui donner. Surement pas quelque chose de bien méchant, juste de quoi lui faire comprendre qu’elle ne peut pas rentrer aussi tard.
Clé dans la serrure, la porte qui s’ouvre et le petit ange apparait au loin. Sourire qui s’affiche sur ton visage alors que tu joues les fantômes au fond du salon. Tu te doutes qu’elle ne t’a pas remarqué alors qu’elle avance vers les escaliers. La chipie… Elle pense pouvoir se caler dans son lit sans se faire prendre. Puis elle te remarque, tu te mords la lèvre pour éviter de rire. Comment garder son sérieux alors que l’enfant est complètement éméchée. Mais rapidement tu reprends ton sérieux quand Gwyneth se la joue un peu rebelle, cherchant à se sortir de cette situation au plus vite. Elle est fatiguée, toi aussi et vous voulez tous les deux vous mettre au lit. Toutefois, elle attendra un peu. Tu quittes ton fauteuil de roi pour la rejoindre en bas des escaliers, plantant ton regard dans le sien. "Gwyneth…" souffles-tu, d’une voix douce. Tu ne cherches pas à l’engueuler, tout simplement parce que tu n’as jamais aimé ça. "Juste un message pour me dire que tu arriveras plus tard… Ca coute rien, vraiment rien…" Tu lui caresses la joue et soupires."J’ai pas franchement envie de te priver de sortie mais tu me laisses pas vraiment le choix non plus…" Si elle pouvait arrêter de se rebeller, ça serait surement moins compliqué.
CODAGE PAR AMIANTE AVATAR PAR avengedinchains
- Gwyneth BarclayKingdom Come
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CAN YOU FEEL HIS ANGER, HIS FEAR?
Elle espérait se faufiler entre les mailles du filet, gagner quelques heures - notamment d'un précieux sommeil qui, au contraire, promettait d'être agité par l'énervement du coup - mais c'était loupé pour cette fois. Il était bien là, à l'attendre et elle savait qu'elle n'y échapperait pas. Elle était tellement résolue qu'elle avait un nouvel espoir: écourter la discussion, recevoir sa punition et filer dans son lit. Aeddan ne l'entendait pas de cette oreille. Calmement, il approchait. Instinctivement, les iris de la jeune adulte suivaient sa trajectoire. Elle croyait voir son père. Non pas dans le physique parce que c'était une évidence qui serait là toutes leurs vies mais dans sa façon de réagir. Rares étaient les fois où Edern avait levé la voix pour s'adresser à celle qu'il a toujours considéré comme sa fille. En dehors d'un nette différence de couleur de pupilles, Gwyneth avait tout d'une Barclay, à commencer par ce mauvais caractère bien dissimulé sous ses traits angéliques.
Traits qui avaient quelque peu tendance à se froncer quand il l'appelait par son prénom d'usage. Sa voix était douce mais l'emprunt du prénom ne présageait rien de bon. Habituellement il l'appelait par le surnom de Puce et il savait parfaitement qu'elle n'aimait pas spécialement son prénom et qu'elle ne le supportait qu'en de rares occasions. Héritage de sa mère devenu souvenir douloureux parce qu'elle n'aurait plus jamais l'occasion de l'entendre l'appeler. « S'il te plait. » Moue sur le visage, elle ne cherchait pas spécialement à l'attendrir, juste à exposer la simple vérité. « J'étais en train de m'amuser, j'ai vraiment pas vu l'heure passée. S'il te plait, je ferais attention la prochaine fois. » C'était rare qu'elle ne respecte pas les règles imposées par son oncle. Elle ne le disait pas souvent mais elle l'aimait plus que de raison et cherchait davantage sa fierté que sa colère au quotidien.
« Il parait que tu as été jeune toi aussi, tu devrais comprendre. » Son léger rire fendait l'air de sa vérité et de sa sincérité - et probablement un peu de l'alcool aussi. Argument typique qui la faisait rire tant il était ridicule. C'était bien parce qu'il avait été jeune qu'il savait dorénavant distinguer une connerie d'un quotidien normal. « Si tu me prives de sortie, ça sera pendant combien de temps? » Elle allait à la pêche aux renseignements. Elle sentait instinctivement qu'elle pourrait lui sortir tous les arguments du monde qu'il ne lâcherait pas le morceau. C'était Aeddan après tout.
Traits qui avaient quelque peu tendance à se froncer quand il l'appelait par son prénom d'usage. Sa voix était douce mais l'emprunt du prénom ne présageait rien de bon. Habituellement il l'appelait par le surnom de Puce et il savait parfaitement qu'elle n'aimait pas spécialement son prénom et qu'elle ne le supportait qu'en de rares occasions. Héritage de sa mère devenu souvenir douloureux parce qu'elle n'aurait plus jamais l'occasion de l'entendre l'appeler. « S'il te plait. » Moue sur le visage, elle ne cherchait pas spécialement à l'attendrir, juste à exposer la simple vérité. « J'étais en train de m'amuser, j'ai vraiment pas vu l'heure passée. S'il te plait, je ferais attention la prochaine fois. » C'était rare qu'elle ne respecte pas les règles imposées par son oncle. Elle ne le disait pas souvent mais elle l'aimait plus que de raison et cherchait davantage sa fierté que sa colère au quotidien.
« Il parait que tu as été jeune toi aussi, tu devrais comprendre. » Son léger rire fendait l'air de sa vérité et de sa sincérité - et probablement un peu de l'alcool aussi. Argument typique qui la faisait rire tant il était ridicule. C'était bien parce qu'il avait été jeune qu'il savait dorénavant distinguer une connerie d'un quotidien normal. « Si tu me prives de sortie, ça sera pendant combien de temps? » Elle allait à la pêche aux renseignements. Elle sentait instinctivement qu'elle pourrait lui sortir tous les arguments du monde qu'il ne lâcherait pas le morceau. C'était Aeddan après tout.
- Aeddan BarclayI'm a Mother Fucker
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Âge du personnage : 39 ans
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Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Cabaret, art, trafic, machiavélique, violent
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&
Aeddan
CAN YOU FEEL HIS ANGER, HIS FEAR?
Etre à la fois père de substitution et oncle n’est pas tous les jours un rôle facile, surtout quand la demoiselle en question rentre plus tard qu’il ne le faudrait. Tu aurais aimé ne pas l’attendre dans le salon tel le méchant dans les films d’espionnage, a lire ton livre et consulter ta montre toutes les deux minutes. Stressé qui lui arrive quelque chose ? Sans aucun doute. C’est d’ailleurs pour cette raison que tu préfères attendre, assis dans ton fauteuil plutôt que d’aller te coucher alors que la journée a été longue. A l’affut des moindres bruits, tu gardes espoir que ta nièce adorée rentre bientôt. Bien sûr, la demoiselle se prendra un savon pour avoir enfreins la règle que tu lui avais imposé. Elle te prendra surement pour un mec vieux jeu, un mec qui ne sait pas s’amuser et tu la laisseras dire. Tout simplement parce que tu ne peux pas lui dire la vérité, tu ne peux pas lui dire qu’on pourrait s’en prendre à elle juste parce que tu fais partie de ce monde que l’on appelle mafieux.
La porte qui s’ouvre, l’apparition de la petite brune et son prénom siffle entre tes lèvres. Elle n’a jamais aimé ça et tu la vois réagir. Au moins, elle sait à quoi s’attendre quand tu murmures le nom que lui a choisi sa mère. Tu la sens fatiguée et tu comprends bien qu’elle a envie de se coucher, d’ailleurs, elle cherche à tout prix raccourcir ce face à face. Tu ne seras pas long, tu te lui promets silencieusement mais avant tu aimerais entendre ce qu’elle a dire pour sa défense, ce qu’elle va trouver pour peut-être t’attendrir et ainsi ne pas se retrouver punie. Ton regard se plonge dans le sien alors que sa voix vient résonner dans tes oreilles. Elle ne te supplie pas, elle ne crise pas. Elle t’explique juste les faits. Tu soupires légèrement. Pour une fois qu’elle s’amusait, tu viens lui gâcher la fin de sa soirée juste parce que tu aurais avoir de ses nouvelles et surtout qu’elle rentre plus tôt. Oncle chiant. "Je me doute. Tu devais vraiment bien t’amuser." Puis tu tiques. La prochaine fois, elle a prévu de refaire la fête bientôt ? Heureusement que vous êtes en période de vacances sinon, tu lui aurais défendu de sortir à nouveau en plus de la punition. "Tu as une soirée prochainement ?" demandes-tu soudainement. Juste pour te permettre de trouver la meilleure sentence. Juste pour la faire rager un petit peu et lui montrer que c’est encore toi qui commandes dans cette maison.
"En effet, je l’ai été…" Tu dis ça comme si tu avais plus de soixante balais mais tu n’as pas très envie de rigoler avec elle. Tu te doutes bien qu’elle a dit ça sous l’effet d’une soirée bien arrosée et qu’en temps normal, tu aurais pu rire aussi mais non. Là, tu ne ris pas. Elle a désobéi. Et je comprends. On a envie de profiter quand on est jeune. "Mais ce qu’il y a de différent entre toi et moi, c’est que c’est mon père qui venait me chercher." Et tu n’avais pas une minute de plus. "D’ailleurs qui c’est qui t’a ramené ?" Que tu saches si peut faire confiance à la personne qui lui a servie de chauffeur.
Puis vient la question sur la durée de la punition. Ca te fait sourire et passes ta main dans tes cheveux. "Je ne sais pas encore…" lui dis-tu juste pour la rendre un peu impatiente et jouer avec ses nerfs. Oncle indigne. Puis tu te racles la gorge et finis par dire "Surement deux semaines voire plus. Peut-être trois… Ou alors un mois… Qu’est ce qui serait le mieux, tu penses ?" Tu lui demandes son avis juste pour la faire cogiter un peu, juste pour qu’elle te dise ce que vaut l’étendue de sa bêtise.
La porte qui s’ouvre, l’apparition de la petite brune et son prénom siffle entre tes lèvres. Elle n’a jamais aimé ça et tu la vois réagir. Au moins, elle sait à quoi s’attendre quand tu murmures le nom que lui a choisi sa mère. Tu la sens fatiguée et tu comprends bien qu’elle a envie de se coucher, d’ailleurs, elle cherche à tout prix raccourcir ce face à face. Tu ne seras pas long, tu te lui promets silencieusement mais avant tu aimerais entendre ce qu’elle a dire pour sa défense, ce qu’elle va trouver pour peut-être t’attendrir et ainsi ne pas se retrouver punie. Ton regard se plonge dans le sien alors que sa voix vient résonner dans tes oreilles. Elle ne te supplie pas, elle ne crise pas. Elle t’explique juste les faits. Tu soupires légèrement. Pour une fois qu’elle s’amusait, tu viens lui gâcher la fin de sa soirée juste parce que tu aurais avoir de ses nouvelles et surtout qu’elle rentre plus tôt. Oncle chiant. "Je me doute. Tu devais vraiment bien t’amuser." Puis tu tiques. La prochaine fois, elle a prévu de refaire la fête bientôt ? Heureusement que vous êtes en période de vacances sinon, tu lui aurais défendu de sortir à nouveau en plus de la punition. "Tu as une soirée prochainement ?" demandes-tu soudainement. Juste pour te permettre de trouver la meilleure sentence. Juste pour la faire rager un petit peu et lui montrer que c’est encore toi qui commandes dans cette maison.
"En effet, je l’ai été…" Tu dis ça comme si tu avais plus de soixante balais mais tu n’as pas très envie de rigoler avec elle. Tu te doutes bien qu’elle a dit ça sous l’effet d’une soirée bien arrosée et qu’en temps normal, tu aurais pu rire aussi mais non. Là, tu ne ris pas. Elle a désobéi. Et je comprends. On a envie de profiter quand on est jeune. "Mais ce qu’il y a de différent entre toi et moi, c’est que c’est mon père qui venait me chercher." Et tu n’avais pas une minute de plus. "D’ailleurs qui c’est qui t’a ramené ?" Que tu saches si peut faire confiance à la personne qui lui a servie de chauffeur.
Puis vient la question sur la durée de la punition. Ca te fait sourire et passes ta main dans tes cheveux. "Je ne sais pas encore…" lui dis-tu juste pour la rendre un peu impatiente et jouer avec ses nerfs. Oncle indigne. Puis tu te racles la gorge et finis par dire "Surement deux semaines voire plus. Peut-être trois… Ou alors un mois… Qu’est ce qui serait le mieux, tu penses ?" Tu lui demandes son avis juste pour la faire cogiter un peu, juste pour qu’elle te dise ce que vaut l’étendue de sa bêtise.
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Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Family don't end with blood.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Traductrice dans une maison d'édition.
Études (passées ou en cours) : Langues.
Hobby : Changer de couleur et de longueur de cheveux. • Le surf. • Les jeux vidéos.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
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CAN YOU FEEL HIS ANGER, HIS FEAR?
En dehors de s'amuser, Joe n'avait pas vraiment d'excuse à fournir à son oncle. Elle n'était pas spécialement menteuse en terme général et ce n'était pas avec de l'alcool dans le sang qu'elle allait le devenir pour autant. Au contraire, ça avait peut-être même tendance à la rendre davantage honnête. Elle s'amusait, un point c'est tout. Elle n'avait pas d'autres excuses parce que c'était là toute la vérité. En revanche, elle ne pouvait s'empêcher de lui promettre de faire attention la prochaine fois. Comme si cette promesse pouvait effacer cette erreur, cette bêtise. Tout était possible après tout, il pourrait passer l'éponge pour cette fois. Une petite étincelle d'espoir vite éteinte par le protagoniste. A vrai dire elle était carrément noyée sous une question qui faisait froncer les sourcils de la gamine. « Tu m'excuseras, je suis pas assez débile pour répondre à cette question au moment où tu vas me filer une punition. » A vrai dire, sa question de savoir quand était sa prochaine fête, ça avait même plus tendance à l'énerver qu'autre chose et ça s'était entendu dans ses mots. Il le faisait exprès de la titiller, non? Comme si elle allait lui donner une date pour qu'il puisse la punir de telle sorte à ce qu'elle n'y aille pas. C'était peut-être l'alcool qui lui donnait cette impression mais elle n'aimait clairement pas ça, qu'il se joue d'elle ou qu'il la prenne pour plus bête qu'elle n'est, elle ne savait pas trop sur le moment.
Puis il évoquait son père pour notifier l'autorité parentale et le choix qu'il n'avait pas de rentrer immédiatement et de respecter ainsi les horaires imposés. Elle avait presque envie de lui balancer qu'elle ne s'excuserait pas de ne plus avoir le sien, comme pour faire la différence avec lui, comme pour toucher une corde sensible qui leur ferait du mal à tous les deux. Mais elle se taisait et se contentait de croiser les bras sous sa poitrine parce que la vérité voulait qu'une figure paternelle, elle en avait une nouvelle depuis plusieurs années maintenant et que même si aucun gêne ou papier d'adoption ne les liaient, il était son tuteur aux yeux de la loi et un père de substitution à ses propres prunelles et à ce cœur qui l'aimait comme elle avait pu aimer Edern. « Un ami. » Elle n'en restait pas moins en colère et déterminée à lui en dire le moins possible. « Tu le connais pas de toute façon et qu'est-ce que ça change? Il est pas responsable de mon retard et je suis là en un seul morceau. » Au moins il aurait une raison de la punir comme ça, pour son insolence presque silencieuse.
Elle avait alors réellement la sensation qu'il se fichait d'elle. Cette main qu'il passait dans ses cheveux avec son sourire là... elle se faisait peut-être des illusions mais la sensation d'avoir les nerfs en pelote était bien là. Fait exprès ou non, ça l'énervait un peu plus, ça lui donnait envie de le laisser planter là sans aucune réponse. Et c'était presque ce qu'elle faisait. « Si je te dis deux semaines, tu vas me dire que je prend évident le plus court et que pour la peine je serais d'autant plus punie. Si je prend un mois, je me tire une balle dans le pied. » La logique voulait qu'elle dise trois semaines mais... « Tu sais quoi? Laisse tomber, tu me saoules, c'est pas comme si tu me donnais vraiment le choix de toute façon. » disait-elle sans attendre son reste et en montant les escaliers. Parce qu'elle savait que quoi qu'elle dise, il aurait le dernier mot. Elle pouvait bien choisir trois semaines, s'il avait envie de la punir un mois, il le ferait, alors à quoi bon tergiverser à part la mettre sur les nerfs et lui donner une furieuse envie de lui dire littéralement d'aller se faire foutre? Rien, absolument rien. Arrivée en haut des escaliers, elle se retournait une dernière fois vers lui. « Quand tu auras fini de me prendre pour une conne, tu me feras part de ta décision. » Son ton était presque devenu accusateur alors que sa porte claquée sonnait la fin de la discussion, pour elle en tout cas.
Puis il évoquait son père pour notifier l'autorité parentale et le choix qu'il n'avait pas de rentrer immédiatement et de respecter ainsi les horaires imposés. Elle avait presque envie de lui balancer qu'elle ne s'excuserait pas de ne plus avoir le sien, comme pour faire la différence avec lui, comme pour toucher une corde sensible qui leur ferait du mal à tous les deux. Mais elle se taisait et se contentait de croiser les bras sous sa poitrine parce que la vérité voulait qu'une figure paternelle, elle en avait une nouvelle depuis plusieurs années maintenant et que même si aucun gêne ou papier d'adoption ne les liaient, il était son tuteur aux yeux de la loi et un père de substitution à ses propres prunelles et à ce cœur qui l'aimait comme elle avait pu aimer Edern. « Un ami. » Elle n'en restait pas moins en colère et déterminée à lui en dire le moins possible. « Tu le connais pas de toute façon et qu'est-ce que ça change? Il est pas responsable de mon retard et je suis là en un seul morceau. » Au moins il aurait une raison de la punir comme ça, pour son insolence presque silencieuse.
Elle avait alors réellement la sensation qu'il se fichait d'elle. Cette main qu'il passait dans ses cheveux avec son sourire là... elle se faisait peut-être des illusions mais la sensation d'avoir les nerfs en pelote était bien là. Fait exprès ou non, ça l'énervait un peu plus, ça lui donnait envie de le laisser planter là sans aucune réponse. Et c'était presque ce qu'elle faisait. « Si je te dis deux semaines, tu vas me dire que je prend évident le plus court et que pour la peine je serais d'autant plus punie. Si je prend un mois, je me tire une balle dans le pied. » La logique voulait qu'elle dise trois semaines mais... « Tu sais quoi? Laisse tomber, tu me saoules, c'est pas comme si tu me donnais vraiment le choix de toute façon. » disait-elle sans attendre son reste et en montant les escaliers. Parce qu'elle savait que quoi qu'elle dise, il aurait le dernier mot. Elle pouvait bien choisir trois semaines, s'il avait envie de la punir un mois, il le ferait, alors à quoi bon tergiverser à part la mettre sur les nerfs et lui donner une furieuse envie de lui dire littéralement d'aller se faire foutre? Rien, absolument rien. Arrivée en haut des escaliers, elle se retournait une dernière fois vers lui. « Quand tu auras fini de me prendre pour une conne, tu me feras part de ta décision. » Son ton était presque devenu accusateur alors que sa porte claquée sonnait la fin de la discussion, pour elle en tout cas.
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Aeddan
CAN YOU FEEL HIS ANGER, HIS FEAR?
Elle commence vraiment à te connaitre. Elle sent les mauvais plans, sait comment répondre. Et ça te rend fier alors que tu devrais être davantage en colère. Pourtant en tant que Barclay, tu ne vas pas te laisser marcher dessus par ta nièce. C’est encore toi qui commandes dans cette maison. Le regard qui s’assombrit un peu, la jeune femme ose te répondre négativement. Elle veut jouer ? Très bien. Sauf que tu as bien l’intention de gagner. "Hum… Bien… J’espère pour toi qu’elle n’est pas la semaine prochaine." lui réponds-tu plus froidement que tu ne l’aurais imaginé. Tu aimes bien que ta nièce a du répondant mais là, tu commences un peu en avoir marre de ce petit caractère. Tu la dévisages, attendant une réaction bien plus forte venant de sa part mais peut-être qu’elle va se la jouer comme toi et garder son sang froid. Et cela vaudrait mieux pour elle, tu ne souhaites pas que tout le voisinage entende une énième dispute Barclay. Bien sûr, elles ne sont pas régulières mais, quand la tempête s’annone, cela peut durer un moment.
La remarque de ton adolescence, de cette jeunesse où tu étais aussi fêtard que ton frangin, tu ne t’y attendais pas. Tu penses un instant à tous ces moments où ton père venait te chercher, râlant souvent parce qu’avec ton frère vous trainiez des pieds. Mais ça, tu ne le lui dis pas à Gwyneth, préférant garder la face et lui faire signe qu’elle doit répondre à ta question. Tu lèves les yeux au ciel. Elle deviendrait presque qu’arrogante en te répondant de cette façon. "Je n’ai pas dit ça non plus ! Je voulais savoir si tu n’étais pas rentrée toute seule !" Le ton monte légèrement, toujours plus agacer par sa façon de parler. Tu n’as rien contre ta nièce, tu l’adores même mais ce petit côté rebelle est vraiment en trop dans cette conversation. Il faudrait que tu la calmes ou qu’elle se calme toute seule mais avec l’alcool qu’elle a dans le sang, cela serait surement une perte de temps. Et quand tu lui demandes combien de temps sa punition devrait durer, Joe explose, crachant sa colère.
Elle te balance ta tactique à la figure, te faisant comprendre par la même occasion qu’elle n’est plus une enfant mais ça, tu as l’habitude. Tu aurais aimé répliquer mais elle ne t’en laisse pas le temps. C’est la suite qui te déplait, qui te fait sortir de tes gonds. Parce que tu ne le penses pas. Non, tu ne la prends pas pour une conne, tu veux juste lui faire comprendre que ça te tuerait si tu la perdais. Sauf que tu ne sais pas vraiment t’y prendre et faut toujours que cela parte en grand débat avec punition à la clé. Alors la petite Gwyneth a bien raison de se rebeller. "Bordel !! Gwyneth Barclay !" C’en est trop pour elle comme pour toi. Le cœur qui bat la chamade, le regard noir, les sourcils froncés, tu montes les escaliers. Porte qui claque. Elle s’est enfermée. Arrivé devant la chambre, tu frappes et lui lances "Gwyneth ! Arrête de dire des conneries ! Tu crois vraiment que je te prends pour une conne ?! T’es ma nièce ! Je me permettrai pas une chose pareille !" Tu retapes, contre le mur cette fois. "Ouvre cette putain de porte, Joe ! Qu’on finisse cette conversation comme des adultes !" Tu attends une réaction de sa part mais rien ne vient, alors tu continues. "J’étais juste inquiet ! Tu le comprends ça ? Inquiet !" Ta voix déraille légèrement. "Sauf qu’il faut toujours que je fasse le tonton chiant… J’suis désolé… Vraiment…"
La remarque de ton adolescence, de cette jeunesse où tu étais aussi fêtard que ton frangin, tu ne t’y attendais pas. Tu penses un instant à tous ces moments où ton père venait te chercher, râlant souvent parce qu’avec ton frère vous trainiez des pieds. Mais ça, tu ne le lui dis pas à Gwyneth, préférant garder la face et lui faire signe qu’elle doit répondre à ta question. Tu lèves les yeux au ciel. Elle deviendrait presque qu’arrogante en te répondant de cette façon. "Je n’ai pas dit ça non plus ! Je voulais savoir si tu n’étais pas rentrée toute seule !" Le ton monte légèrement, toujours plus agacer par sa façon de parler. Tu n’as rien contre ta nièce, tu l’adores même mais ce petit côté rebelle est vraiment en trop dans cette conversation. Il faudrait que tu la calmes ou qu’elle se calme toute seule mais avec l’alcool qu’elle a dans le sang, cela serait surement une perte de temps. Et quand tu lui demandes combien de temps sa punition devrait durer, Joe explose, crachant sa colère.
Elle te balance ta tactique à la figure, te faisant comprendre par la même occasion qu’elle n’est plus une enfant mais ça, tu as l’habitude. Tu aurais aimé répliquer mais elle ne t’en laisse pas le temps. C’est la suite qui te déplait, qui te fait sortir de tes gonds. Parce que tu ne le penses pas. Non, tu ne la prends pas pour une conne, tu veux juste lui faire comprendre que ça te tuerait si tu la perdais. Sauf que tu ne sais pas vraiment t’y prendre et faut toujours que cela parte en grand débat avec punition à la clé. Alors la petite Gwyneth a bien raison de se rebeller. "Bordel !! Gwyneth Barclay !" C’en est trop pour elle comme pour toi. Le cœur qui bat la chamade, le regard noir, les sourcils froncés, tu montes les escaliers. Porte qui claque. Elle s’est enfermée. Arrivé devant la chambre, tu frappes et lui lances "Gwyneth ! Arrête de dire des conneries ! Tu crois vraiment que je te prends pour une conne ?! T’es ma nièce ! Je me permettrai pas une chose pareille !" Tu retapes, contre le mur cette fois. "Ouvre cette putain de porte, Joe ! Qu’on finisse cette conversation comme des adultes !" Tu attends une réaction de sa part mais rien ne vient, alors tu continues. "J’étais juste inquiet ! Tu le comprends ça ? Inquiet !" Ta voix déraille légèrement. "Sauf qu’il faut toujours que je fasse le tonton chiant… J’suis désolé… Vraiment…"
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Crédits : littlewildling (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Adélaïde Sullivan.
Âge du personnage : Vingt-deux ans. (17/01/2000)
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Family don't end with blood.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Traductrice dans une maison d'édition.
Études (passées ou en cours) : Langues.
Hobby : Changer de couleur et de longueur de cheveux. • Le surf. • Les jeux vidéos.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
CAN YOU FEEL HIS ANGER, HIS FEAR?
Aura pesante. Air électrique. Joe ne l'expliquait pas vraiment. Ça faisait un moment, quelques mois maintenant, qu'ils avaient de plus en plus de mal à se comprendre, à s'entendre. Est-ce que ça venait vraiment de cette tendance à vouloir plus de liberté compte tenu de son âge avancé? Est-ce que ça venait de cette envie d'Aeddan de protéger Gwyneth des dangers qu'elle ignore? Sûrement l'association des deux. Ça ne pouvait pas aller ensemble, il y avait forcément un moment où ça allait coincé, où le rouage de leur relation d'oncle et de nièce, de père et de fille de substitution allait sauter à cause d'un grain de sable qu'on appelait non-dits. Si seulement elle savait, elle comprendrait sûrement mieux les agissements d'Aeddan et ses règles bénignes qui deviendraient capitales à respecter.
En l'état, elle avait seulement la sensation qu'il ne la comprenait pas, qu'il la punissait pour la punir sans comprendre qu'à son regard, ça n'avait rien de grave. Face à ça, à cette incompréhension évidente des deux parties, la colère la poussait dans le silence. Comme un violent retour en arrière, elle trouvait dans le mutisme sa meilleure arme. Ça la démangeait pourtant de lui répondre qu'il était couillon, que la voiture qui l'avait ramené ne se conduisait pas par miracle, qu'elle n'était naturellement pas rentrée seule. Pourtant, elle ne pipait plus un mot quand sa porte de chambre faisait résonner son claquement dans la villa.
Il hurlait son nom entier mais elle ne répondait pas. Il tapait contre la porte mais elle ne répondait pas. Il réitérait contre le mur mais elle ne répondait pas, chassant une perle salée de sa joue tant la colère était montée. Ça faisait mal de ne pas s'entendre avec lui. Ça faisait mal d'être en colère contre le seul membre de sa famille proche. Ça la mettait d'autant plus en rogne de ne pas comprendre pourquoi ça matchait pas, pourquoi leur relation se détériorait doucement mais sûrement. Elle avait tant entendu parler de jeunes adultes qui en venaient à ne plus parler à leurs proches et à attendre impatiemment de pouvoir se barrer que ça lui faisait peur. Elle aimait Aeddan, maladroitement ces derniers temps, mais elle ne voulait pas que leurs colères respectifs, que cette incompréhension évidente, ne viennent à les séparer.
Elle refusait l'idée et c'est finalement ce qui la poussait à ouvrir la porte. Ses grands yeux bleus, mélange doux entre ceux de sa mère et le seul héritage de son père biologique, se braquaient dans les iris brunes de Barclay en dépit leur différence de taille importante. « Et tu pouvais pas le dire avant au lieu de faire tout ton numéro de chiant comme tu dis? » Qu'il était juste inquiet. Elle aurait préféré entendre ça dès le début plutôt que toute cette mascarade ne la mette en colère. Ce sentiment vive n'était pas redescendu aussi facilement alors elle gardait cette distance significative entre elle et lui. Il était aisé de comprendre qu'elle était fermée. Ils n'étaient pas loin l'un de l'autre mais elle avait de nouveau croisé ses bras, elle n'avait pas de sourire fendant son visage, ses iris claires s'étaient assombries. « Pourquoi tu es comme ça? Je comprend pas. » La question claquait l'air. Il avait fait preuve de franchise en lui présentant ses excuses, elle en faisait autant en mettant à plat ce qui la gênait, cette surprotection parfois étouffante, de plus en plus importante au fur et à mesure qu'elle grandissait.
Elle lui tournait un instant le dos pour mieux s'asseoir au bord de son lit, haussant les épaules d'incompréhension. « Je comprend pas. Je ramène de bonnes notes, je loupe aucun cours, j'ai des activités saines, je bois pas à outrance, je fume pas de drogue, je fume même pas tout court. Si tu t'inquiètes que je devienne comme ces filles qui loupent les cours pour aller se défoncer derrière les gradins du stade de la fac et qui finissent en cloque avant la fin de leurs études, c'est pas prévu au programme. » Parce qu'elle ne voyait que ça comme raison valable, cette approche de l'âge adulte qui lui donnait plus ou moins le droit de tout faire et notamment de partir en vrille. Elle ne voyait que ça quand pourtant, comme elle venait de le dire, dans son esprit, ce n'était pas logique qu'il s'inquiète de ça.
En l'état, elle avait seulement la sensation qu'il ne la comprenait pas, qu'il la punissait pour la punir sans comprendre qu'à son regard, ça n'avait rien de grave. Face à ça, à cette incompréhension évidente des deux parties, la colère la poussait dans le silence. Comme un violent retour en arrière, elle trouvait dans le mutisme sa meilleure arme. Ça la démangeait pourtant de lui répondre qu'il était couillon, que la voiture qui l'avait ramené ne se conduisait pas par miracle, qu'elle n'était naturellement pas rentrée seule. Pourtant, elle ne pipait plus un mot quand sa porte de chambre faisait résonner son claquement dans la villa.
Il hurlait son nom entier mais elle ne répondait pas. Il tapait contre la porte mais elle ne répondait pas. Il réitérait contre le mur mais elle ne répondait pas, chassant une perle salée de sa joue tant la colère était montée. Ça faisait mal de ne pas s'entendre avec lui. Ça faisait mal d'être en colère contre le seul membre de sa famille proche. Ça la mettait d'autant plus en rogne de ne pas comprendre pourquoi ça matchait pas, pourquoi leur relation se détériorait doucement mais sûrement. Elle avait tant entendu parler de jeunes adultes qui en venaient à ne plus parler à leurs proches et à attendre impatiemment de pouvoir se barrer que ça lui faisait peur. Elle aimait Aeddan, maladroitement ces derniers temps, mais elle ne voulait pas que leurs colères respectifs, que cette incompréhension évidente, ne viennent à les séparer.
Elle refusait l'idée et c'est finalement ce qui la poussait à ouvrir la porte. Ses grands yeux bleus, mélange doux entre ceux de sa mère et le seul héritage de son père biologique, se braquaient dans les iris brunes de Barclay en dépit leur différence de taille importante. « Et tu pouvais pas le dire avant au lieu de faire tout ton numéro de chiant comme tu dis? » Qu'il était juste inquiet. Elle aurait préféré entendre ça dès le début plutôt que toute cette mascarade ne la mette en colère. Ce sentiment vive n'était pas redescendu aussi facilement alors elle gardait cette distance significative entre elle et lui. Il était aisé de comprendre qu'elle était fermée. Ils n'étaient pas loin l'un de l'autre mais elle avait de nouveau croisé ses bras, elle n'avait pas de sourire fendant son visage, ses iris claires s'étaient assombries. « Pourquoi tu es comme ça? Je comprend pas. » La question claquait l'air. Il avait fait preuve de franchise en lui présentant ses excuses, elle en faisait autant en mettant à plat ce qui la gênait, cette surprotection parfois étouffante, de plus en plus importante au fur et à mesure qu'elle grandissait.
Elle lui tournait un instant le dos pour mieux s'asseoir au bord de son lit, haussant les épaules d'incompréhension. « Je comprend pas. Je ramène de bonnes notes, je loupe aucun cours, j'ai des activités saines, je bois pas à outrance, je fume pas de drogue, je fume même pas tout court. Si tu t'inquiètes que je devienne comme ces filles qui loupent les cours pour aller se défoncer derrière les gradins du stade de la fac et qui finissent en cloque avant la fin de leurs études, c'est pas prévu au programme. » Parce qu'elle ne voyait que ça comme raison valable, cette approche de l'âge adulte qui lui donnait plus ou moins le droit de tout faire et notamment de partir en vrille. Elle ne voyait que ça quand pourtant, comme elle venait de le dire, dans son esprit, ce n'était pas logique qu'il s'inquiète de ça.
- Aeddan BarclayI'm a Mother Fucker
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Avatar : Ben Barnes
Crédits : Moses. (avatar) crack in time (sign)
Autres comptes : Celeste & Freya
Âge du personnage : 39 ans
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Cabaret, art, trafic, machiavélique, violent
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Propriétaire du cabaret le Luxure
Études (passées ou en cours) : Etudes de commerce
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : Célibataire (par choix)
&
Aeddan
CAN YOU FEEL HIS ANGER, HIS FEAR?
Toute cette mascarade aurait été évitée si tu n’avais joué au con, au tonton chiant comme tu dis. Sauf que tu en as été incapable. Il a fallu que tu t’énerves contre elle, que tu joues avec ses nerfs alors qu’elle n’avait pas besoin. Tonton chiant… Tonton indigne surtout ! Soupire qui s’échappe de tes lèvres, impossibilité de répondre. A part t’excuser, qu’est ce que tu peux dire ? Pas grand-chose. Juste assumer ta connerie. Elle te fixe, te dévisage, surement parce qu’elle tente de comprendre cet excès de colère. Tu soutiens son regard, y découvrant de la tristesse. Eh oui, Barclay, tu as bien merdé ce soir en l’engueulant comme tu l’as fait. Elle t’en veut et tu l’as bien mérité. "J’aurais du… En effet…" Sauf que tu ne peux plus faire machine arrière et tu ne peux que regretter. "Je suis désolé… J’suis sur les nerfs en ce moment et j’aurais pas du réagir ainsi…" Mais ça ne lui suffira pas comme raison, elle voudra savoir plus et tu dois t’y attendre. Sauf que sa question ressemble à une claque. L’incompréhension totale se ressent dans sa voix et ça te déchire le cœur de ne pas lui avouer les véritables raisons de cette engueulade surdimensionnée. Elle n’est pas encore prête pour se retrouver avec un trafic entre les mains, car même si elle a du caractère, cela ne suffit pas.
Elle s’installe sur le lit, te balançant un discours en pleine tronche. Un discours qui pique, qui torture. Elle a raison, elle ne mérite pas tout ces règles, toutes ces histoires que tu peux lui faire juste pour une soirée entre amis. Surtout qu’elle est loin de faire des conneries comme toi, tu as pu faire étant gamin. Alors, bien sûr que tu devrais la laisser vivre, la laisser faire ce qu’elle veut mais tu as bien trop peur qu’on essaie d’attenter à sa vie juste pour te pourrir la sienne. Parce que c’est ça d’être trafiquant, c’est que tu joues aussi avec la vie des gens mais surtout de ceux qui te sont proches.
Tu te permets de rentrer un peu dans sa chambre, tout en prenant conscience de cette colère bien placée. "Je sais Joe… Tu es irréprochable concernant les études, concernant tes activités…" Tu serres les poings, agacé contre toi-même, te trouvant lâche de ne pas lui donner les raisons qui te poussent à faire tout ce cirque. Ta gorge se noue légèrement, avant de lui souffler "J’ai juste pas envie de te perdre… Et j’en crèverais s’il t’arrivait quelque chose…" A cause de tes activités illicites mais ça, tu ne le lui dis pas. Tu t’approches doucement de la jeune femme et viens la serrer contre toi, comme pour tenter de rattraper les choses, comme pour te faire pardonner. Tu ne souhaites pas qu’elle te repousse, qu’elle t’en veuille, ça te ferait mal au cœur sinon. "Promis, je vais faire des efforts… Je vais arrêter d’être chiant et trop protecteur…" Tu déposes un baiser sur son front pour sceller ta promesse.
Elle s’installe sur le lit, te balançant un discours en pleine tronche. Un discours qui pique, qui torture. Elle a raison, elle ne mérite pas tout ces règles, toutes ces histoires que tu peux lui faire juste pour une soirée entre amis. Surtout qu’elle est loin de faire des conneries comme toi, tu as pu faire étant gamin. Alors, bien sûr que tu devrais la laisser vivre, la laisser faire ce qu’elle veut mais tu as bien trop peur qu’on essaie d’attenter à sa vie juste pour te pourrir la sienne. Parce que c’est ça d’être trafiquant, c’est que tu joues aussi avec la vie des gens mais surtout de ceux qui te sont proches.
Tu te permets de rentrer un peu dans sa chambre, tout en prenant conscience de cette colère bien placée. "Je sais Joe… Tu es irréprochable concernant les études, concernant tes activités…" Tu serres les poings, agacé contre toi-même, te trouvant lâche de ne pas lui donner les raisons qui te poussent à faire tout ce cirque. Ta gorge se noue légèrement, avant de lui souffler "J’ai juste pas envie de te perdre… Et j’en crèverais s’il t’arrivait quelque chose…" A cause de tes activités illicites mais ça, tu ne le lui dis pas. Tu t’approches doucement de la jeune femme et viens la serrer contre toi, comme pour tenter de rattraper les choses, comme pour te faire pardonner. Tu ne souhaites pas qu’elle te repousse, qu’elle t’en veuille, ça te ferait mal au cœur sinon. "Promis, je vais faire des efforts… Je vais arrêter d’être chiant et trop protecteur…" Tu déposes un baiser sur son front pour sceller ta promesse.
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Il s'excusait, une nouvelle fois. Assise sur son lit, elle l'observait sans comprendre, sans être capable de deviner pourquoi il avait ce comportement avec elle, pourquoi il lui imposait tant de choses quand bien même elle ne méritait clairement pas tant de fermeté. Elle pouvait entrevoir que sa tendance à se rebeller un peu plus qu'avant face à ce comportement qu'elle trouvait injuste pouvait tout autant le mettre en rogne qu'elle l'était, pouvait aussi lui faire peur qu'elle lui glisse entre les doigts, qu'elle s'en aille. Pourtant, même dans la rébellion, elle l'aimait assez pour ne pas fuir et avoir l'envie de couper les ponts, pour ne pas avoir envie de le faire. Elle pensait sincèrement qu'il la connaissait assez pour le savoir, pour ne pas avoir cette crainte.
Parce qu'elle ne comprenait pas, elle avait simplement posé la question. Et la réponse ne lui suffisait pas. Sur les nerfs, la peur de la perdre. C'était davantage ce qui risquait d'arriver, qu'elle veuille prendre son envol plus rapidement, s'il continuait dans ce sens. « Il n'y a pas de raison qu'il m'arrive quoi que ce soit. Je suis plus responsable que tu ne le crois, je sais prendre soin de moi, je ne suis plus une enfant. » Elle n'était plus cette enfant qu'il avait accueilli chez lui, elle avait grandit, physiquement mais surtout psychologiquement. Elle était plus solide, plus à même de se défendre, moins craintive. Elle en était persuadée que rien ne pouvait lui arriver, pas quelque chose à même de l'éloigner d'Aeddan mais c'était parce qu'elle était ignorante, trop innocente sur toute la face cachée de son oncle. Naturellement, sans cet élément dans l'équation, elle n'était pas capable de le comprendre, elle était incapable d'associer sa crainte à la menace d'un revers de médaille et non à cette croyance factice qu'il continuait de la traiter comme la gamine fragile de treize ans qu'elle avait été.
Elle se redressait, se blottissait dans ses bras pour éteindre sa peine de ce qu'elle croyait être un manque de confiance, une inconscience de son statut de jeune adulte (alors qu'au contraire, il en était justement plus que conscient). C'était bien le seul à être autant capable de la blesser que de panser ses souffrances. Dans l'étreinte qu'il n'avait aucun mal à lui faire accepter, il scellait une promesse d'un baiser sur le front. « Je vais me faire un plaisir de te la rappeler celle-là. » disait-elle dans un sourire amusé. Une marque d'affection assez rare entre eux, davantage présente quand elle subissait ses crises d'angoisse néanmoins, simplement parce qu'ils n'avaient pas besoin de démonstrations physiques pour avoir connaissance de l'amour qu'ils peuvent se porter. « Est-ce que ta promesse lève la punition? » Quoi? C'était pas interdit de rêver non plus.
Parce qu'elle ne comprenait pas, elle avait simplement posé la question. Et la réponse ne lui suffisait pas. Sur les nerfs, la peur de la perdre. C'était davantage ce qui risquait d'arriver, qu'elle veuille prendre son envol plus rapidement, s'il continuait dans ce sens. « Il n'y a pas de raison qu'il m'arrive quoi que ce soit. Je suis plus responsable que tu ne le crois, je sais prendre soin de moi, je ne suis plus une enfant. » Elle n'était plus cette enfant qu'il avait accueilli chez lui, elle avait grandit, physiquement mais surtout psychologiquement. Elle était plus solide, plus à même de se défendre, moins craintive. Elle en était persuadée que rien ne pouvait lui arriver, pas quelque chose à même de l'éloigner d'Aeddan mais c'était parce qu'elle était ignorante, trop innocente sur toute la face cachée de son oncle. Naturellement, sans cet élément dans l'équation, elle n'était pas capable de le comprendre, elle était incapable d'associer sa crainte à la menace d'un revers de médaille et non à cette croyance factice qu'il continuait de la traiter comme la gamine fragile de treize ans qu'elle avait été.
Elle se redressait, se blottissait dans ses bras pour éteindre sa peine de ce qu'elle croyait être un manque de confiance, une inconscience de son statut de jeune adulte (alors qu'au contraire, il en était justement plus que conscient). C'était bien le seul à être autant capable de la blesser que de panser ses souffrances. Dans l'étreinte qu'il n'avait aucun mal à lui faire accepter, il scellait une promesse d'un baiser sur le front. « Je vais me faire un plaisir de te la rappeler celle-là. » disait-elle dans un sourire amusé. Une marque d'affection assez rare entre eux, davantage présente quand elle subissait ses crises d'angoisse néanmoins, simplement parce qu'ils n'avaient pas besoin de démonstrations physiques pour avoir connaissance de l'amour qu'ils peuvent se porter. « Est-ce que ta promesse lève la punition? » Quoi? C'était pas interdit de rêver non plus.
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Une engueulade, un déchirement dans votre relation juste pour une histoire de trafic, pour une histoire d’ascension dans le monde des mafieux dont tu es obligé de taire pour la protéger. Mais elle n’est pas ignorante la gamine, elle se doute bien que tu lui caches des choses, la vérité finira bien sortir à un moment donné et tu sais déjà que cela sera bien pire que cette engueulade nocturne. Elle te regarde avec ses grands yeux clairs, des yeux remplis d’incompréhension et de doutes. Gwyneth a grandit, connait un peu plus le monde qui l’entoure mais pas assez non plus et c’est cela qui te fait flipper, qui te rend aussi protecteur. Mais bordel, ce n’est pas à elle de faire attention à ce qui se passe autour d’elle, elle pourrait vivre sans se demander pourquoi son oncle la surprotège. Et peut-être que cette engueulade est un signal pour te faire comprendre que tout doit s’arrêter, que tu devrais seulement rester un simple patron de cabaret. Et ta nièce a raison de te souligner qu’elle n’est plus une enfant, il faut que tu comprennes que tu ne pourras pas toujours garder un œil sur elle. Il faut la laisser vivre comme elle l’entend.
Tu passes ta main dans tes cheveux, te sentant presque honteux d’avoir fait tout ce cirque pour une histoire d’horaire non respecté. "Je sais… Je le vois tous les jours…" souffles-tu. Bien sûr que tu le vois tous les jours et ce, depuis ses treize ans. Tu l’as vu grandir, découvrir les joies et les souffrances de l’adolescence et aujourd’hui, il serait peut-être tant d’accepter qu’elle n’est plus une enfant.
Câlin réconciliateur, câlin qui panse tous vos maux, et qu’est ce que ça fait du bien de ne plus entendre de cris ou des mots qui dépassent vos pensées. Non, il n’y a plus de bruit dans cette grande maison, juste un silence qui murmure que vous vous aimez, que vous vous pardonnez. Humour léger qu’elle laisse échapper et ça te fait sourire. Elle est bel et bien une Barclay et tu ne pourras plus te permettre d’être aussi chiant que tu l’as été cette fois. Il faudra que tu veilles sur elle mais en silence. Et puis elle ose la jeune Barclay, elle tente le tout pour le tout. Et elle a bien raison parce qu’au final, il n’y aura pas de punition. Tu te décales un peu, venant la regarder dans les yeux et murmures "Y’a plus de punition." Tu te racles la gorge et rajoutes. "Apparemment, tu n’es plus une enfant alors autant arrêté de te punir comme on l’aurait fait avec un gamin de cinq ans…" Alors qu’elle en profite, qu’elle sorte, qu’elle s’amuse.
Tu passes ta main dans tes cheveux, te sentant presque honteux d’avoir fait tout ce cirque pour une histoire d’horaire non respecté. "Je sais… Je le vois tous les jours…" souffles-tu. Bien sûr que tu le vois tous les jours et ce, depuis ses treize ans. Tu l’as vu grandir, découvrir les joies et les souffrances de l’adolescence et aujourd’hui, il serait peut-être tant d’accepter qu’elle n’est plus une enfant.
Câlin réconciliateur, câlin qui panse tous vos maux, et qu’est ce que ça fait du bien de ne plus entendre de cris ou des mots qui dépassent vos pensées. Non, il n’y a plus de bruit dans cette grande maison, juste un silence qui murmure que vous vous aimez, que vous vous pardonnez. Humour léger qu’elle laisse échapper et ça te fait sourire. Elle est bel et bien une Barclay et tu ne pourras plus te permettre d’être aussi chiant que tu l’as été cette fois. Il faudra que tu veilles sur elle mais en silence. Et puis elle ose la jeune Barclay, elle tente le tout pour le tout. Et elle a bien raison parce qu’au final, il n’y aura pas de punition. Tu te décales un peu, venant la regarder dans les yeux et murmures "Y’a plus de punition." Tu te racles la gorge et rajoutes. "Apparemment, tu n’es plus une enfant alors autant arrêté de te punir comme on l’aurait fait avec un gamin de cinq ans…" Alors qu’elle en profite, qu’elle sorte, qu’elle s’amuse.
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