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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
C'est étrange, en réalité. Déroutant, même. Étonnamment, le retour à un semblant de normalité s'est fait sans véritable encombres.
Fabuleux, n'est-ce pas ?
Guidé par cette nouvelle opportunité, je laisse mon quotidien m'emporter vers de nouveaux horizons, conscients de la seconde chance que la vie m'a donné.
Humble.
Ironiquement, c'est l'humilité qui l'emporte sur toutes les autres émotions que tu pourrais ressentir.
Ironiquement, c'est l'humilité qui l'emporte sur toutes les autres émotions que tu pourrais ressentir.
Je n'arrive pas réellement à croire que je suis ici, en réalité, tant cela me semble improbable.
Mais ... quoi ?
Ne te mens pas, tu sais que tu l'es, au fond de toi : kleptomane, et tu voles des choses, des babioles, des objets, voire, même, des opportunités.
Où ai-je cherché à mentir, où ai-je cherché à voler ?
Partout, tes mensonges repeignent les murs de ton hypocrisie maladive.
Quand sonnent seize heures, je me permets de prendre une petite pause, histoire de retrouver mes esprits, histoire de me reposer.
Par le parfum enivrant de ce fade et monotone café
Qui, face à celui de l'Italie, jamais ne pourra rivaliser.
Silencieusement, je me lève de ma chaise avant de me diriger vers le corridor.
De briller, de te faire aduler, d'exhiber ton narcissisme nauséabond
Partout où tu vas ?
...
Un peu plus loin, j'aperçois un visage qui ne m'est pas étranger, et bien qu'il me faut quelques instants pour le re-situer, mon sang se glace lorsque je me rends compte qu'il s'agit de lui.
Violemment, se rejouent dans mon imagination les ébats que nous n'avons jamais eus : vêtements déchirés, baisers enflammés, passions tendres, caresses sauvages.
X, c'est lui, tandis que moi, je suis ...
le I grec, soit l'Italien,
Celui qui charme du regard
Et qui adoucit
À coup de paroles plus belles
Que la huitième merveille du monde.
Zeke est son nom.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
-
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Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
toutes les questions que l'on se pose,
c'est ce qui finit par nous faire pousser des ailes.
moins fragile que celles d'Icare,
elles l'ont soutenu même après avoir passé les portes.
et sa bouche pour parler.
c'était comme passer derrière la caméra.
l'index et le majeur qui font tourner le briquet.
que zeke a envie de le croiser.
il est son fil d'Ariane.
qu'on le fuit ou qu'on le cherche.
c'est ce qui finit par nous faire pousser des ailes.
à force de vouloir des réponses,
on veut se rapprocher du soleil.
les aileson veut se rapprocher du soleil.
moins fragile que celles d'Icare,
elles l'ont soutenu même après avoir passé les portes.
quand ses genoux étaient à la limite de le lâcher.
qu'il lui restait que ses poumons pour fumer,et sa bouche pour parler.
il était perdu,
sa boussole ne lui indiquait plus le nord.
zeke avait échangé de place,sa boussole ne lui indiquait plus le nord.
c'était comme passer derrière la caméra.
on voit le jour nouveau,
les beautés et les faiblesses.
là où les autres ne voient rien.les beautés et les faiblesses.
les réflexes de fumeur prennent le dessus,
ils le reprennent toujours.
cigarette au dessus de l'oreille,ils le reprennent toujours.
l'index et le majeur qui font tourner le briquet.
dans un répétition d'acrobaties que tout le monde connait.
l'imprévu ce n'est pas dans ces jours là,que zeke a envie de le croiser.
mais quand celui-ci s'appelle oscar,
on ne peut plus croire au hasard.
les plumes ont fait faux bond.on ne peut plus croire au hasard.
incapable de s'envoler,
cloué au sol.
la réalité imprimée sur la rétine,cloué au sol.
il est son fil d'Ariane.
« oscar ? je ..
je vais fumer.
tu viens ?»
je vais fumer.
tu viens ?»
une demande non formulée,
qui ne le sera surement jamais.
et pourtant une cigarette tendue vers l'italien.qui ne le sera surement jamais.
et voilà le briquet de l'espagnol qui vient allumer vos cancers
d'une même flamme.
détruire ses poumons à petit feu.d'une même flamme.
une des seules choses dont on connait
les conséquences.
les conséquences.
« qu'est ce que tu fais ici ? »
l'inconnu,qu'on le fuit ou qu'on le cherche.
c'est lui qui a les cartes en mains.
et on ne peut jouer à un jeu.dont on ne connais pas les règles.
- InvitéInvité
Emportés par la foule qui nous traîne
Nous entraîne
Écrasés l'un contre l'autre
Nous ne formons qu'un seul corps
Tout avait commencé avec oune cigarette. Je me souviens de lui, et de sa clope au bec. Il avait un joli briquet que j'aurais bien voulu lui voler. Tiens donc, je me demande s'il l'a
encore, ce joli briquet, d'ailleurs. Mes yeux se baladent sans réelle conviction. Il doit
être caché, s'il l'a encore. Dans sa poche, ou un truc comme ça. Je le contemple,
profitant de chaque instant qui m'est à disposition face à ce beau minois tant
que je le peux encore, sans même m'arrêter un instant pour me demander
ce qu'il peut bien ficher ici. Et pourtant ... La question se pose, n'est-ce
pas ? Qu'est-ce qu'un si bel homme pourrait bien choisir de faire,
céans ? Le centre LGBT de Los Angeles n'est pas le lieu de
prédilection de nombreuses personnes ... Du moins, pas à
ma connaissance. Je me rappelle de cette cigarette qui
nous a unis, le temps d'une soirée. À défaut d'une
union entre nos deux corps, je me suis contenté
d'un échange de paroles, d'un jeu de regards
et des fantasmes qui avaient peuplé mon
imagination débordante durant la nuit.
Et des fantasmes, il y en avait eu.
De moi, de lui. Sens dessus-
dessous, cramponnés au
aux draps, des baisers
enflammés, des mots
doux, des caresses,
de la passion, du
frisson, du sexe,
lui et moi et je
... et je ... et
... je me ...
je me ...
reperds
« oscar ? je ..
je vais fumer.
tu viens ?»
je vais fumer.
tu viens ?»
Je cligne
des yeux. Je
pense que j'ai du
mal à y croire, si je
suis vraiment honnête.
Croire à quoi, exactement ?
Je ne sais pas trop. Que ce soit
lui ? Qu'il soit ici, là, devant moi ?
Mais que diable fais-tu par ici ? Moi
qui croyais que je ne le reverrais jamais,
voilà que je me retrouve étonnamment gâté
par une vie qui, pourtant, d'habitude, ne me fait
pas le moindre quartier. Alors je saisis la cigarette
que tu me tends sans dire un mot et je te suis en silence.
Parce que c'est la vie. Parce que c'est comme ça. Parce qu'on
ne discute pas avec le destin. Tu donnes vie à l'étincelle qui se met
lentement à consumer la cigarette comme j'aimerais te consumer toi.
Ça brille. Ça luit. C'est beau. Tu es beau. Je me perds dans le parfum du
tabac qui grille entre tes dents. Ces dents que j'aimerais sentir briser ma peau.
Tu me poses finalement la question qui te brûle les lèvres comme la flamme brûle
le mégot. Qu'est-ce que je fais ici. Ja travaille. Et toi ? Je t'interroge du regard, car
Nous savons tous deux que ta réponse changera tout. Dis moi qui tu es. Dis moi ce que
tu fais ici. Je veux tout savoir. Dis moi si c'est à moi que tu visites dans tes rêves la nuit.
Et le flot sans effort
des yeux. Je
pense que j'ai du
mal à y croire, si je
suis vraiment honnête.
Croire à quoi, exactement ?
Je ne sais pas trop. Que ce soit
lui ? Qu'il soit ici, là, devant moi ?
Mais que diable fais-tu par ici ? Moi
qui croyais que je ne le reverrais jamais,
voilà que je me retrouve étonnamment gâté
par une vie qui, pourtant, d'habitude, ne me fait
pas le moindre quartier. Alors je saisis la cigarette
que tu me tends sans dire un mot et je te suis en silence.
Parce que c'est la vie. Parce que c'est comme ça. Parce qu'on
ne discute pas avec le destin. Tu donnes vie à l'étincelle qui se met
lentement à consumer la cigarette comme j'aimerais te consumer toi.
Ça brille. Ça luit. C'est beau. Tu es beau. Je me perds dans le parfum du
tabac qui grille entre tes dents. Ces dents que j'aimerais sentir briser ma peau.
Tu me poses finalement la question qui te brûle les lèvres comme la flamme brûle
le mégot. Qu'est-ce que je fais ici. Ja travaille. Et toi ? Je t'interroge du regard, car
Nous savons tous deux que ta réponse changera tout. Dis moi qui tu es. Dis moi ce que
tu fais ici. Je veux tout savoir. Dis moi si c'est à moi que tu visites dans tes rêves la nuit.
Et le flot sans effort
Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux
Et nous laisse tous deux
Épanouis, enivrés et heureux
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
-
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Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : nicolas simoes
Crédits : ASTRA (avatar)
Autres comptes : dora & ansel
Âge du personnage : vingt sept ans
Nationalité(s) : espagnole & américaine
Signe astrologique : Taureau
Mon personnage, en 5 mots : why are you holding back ?
Quartier de résidence : Eastside
Carrière, métier ou job : photographe de presse pour le L.A. Times.
Études (passées ou en cours) : deux ans de philo, puis école d'art, spécialisation photo.
Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
ils se jaugent. pas longtemps.
le temps d'allumer les cigarettes. enfumées les respirations.
mais c'est suffisant, pour qu'ils aient le temps de se poser toutes les questions du monde. celles qui les ramène à ce moment là. pourquoi ? pourquoi maintenant ? pourquoi ici ?
et il a toujours été clair qu'oscar et zeke se placent toujours à l'opposé.
visible pour tous, mais qu'on espère invisible.
où on est incapable de cligner des yeux. où le cœur rate son battement.
la peur le prend par surprise.
lui plante des griffes dans les épaules.
on tire d'un coup sec les rideaux.
on expose les secrets à la vue de tous.
on remet le film sur play.
il inspire la fumée.
entretient son cancer.
faut bien se donner contenance, le temps de trouver les mots. et les bons.
il se surprend à vouloir lui mentir.
comme si oscar ne finirait pas par déceler la vérité. l'imposteur c'est lui ici. si il décide de prononcer ces quelques mots.
s'il décide de se cacher.
lui si.
lui et ses yeux coupables.
la fumée remplit encore ses poumons. les incendie un peu plus. de courage surtout.
le temps d'allumer les cigarettes. enfumées les respirations.
mais c'est suffisant, pour qu'ils aient le temps de se poser toutes les questions du monde. celles qui les ramène à ce moment là. pourquoi ? pourquoi maintenant ? pourquoi ici ?
le destin a jeté les dès et c'est un double six qui est sorti.
il pourra pas faire mieux. ou pire. tout dépend de là où on se place.et il a toujours été clair qu'oscar et zeke se placent toujours à l'opposé.
la volonté de voir l'image dans son ensemble.
pour mieux comprendre les détails.
pour mieux comprendre les détails.
Ja travaille. Et toi ?
c'est l'appui sur le bouton pause. dans ce moment, où on a le mot choqué au marqueur noir sur le front. visible pour tous, mais qu'on espère invisible.
où on est incapable de cligner des yeux. où le cœur rate son battement.
le cœur de zeke, il en a raté trois.
c'est la fin de son cœur. il entend ce bruit de glace qui se brise. la fin de ses secrets.la peur le prend par surprise.
lui plante des griffes dans les épaules.
on tire d'un coup sec les rideaux.
on expose les secrets à la vue de tous.
à sa vue à lui.
il a un panneau fuite qui clignote dans sa tête. on remet le film sur play.
il inspire la fumée.
entretient son cancer.
faut bien se donner contenance, le temps de trouver les mots. et les bons.
il se surprend à vouloir lui mentir.
comme si oscar ne finirait pas par déceler la vérité. l'imposteur c'est lui ici. si il décide de prononcer ces quelques mots.
s'il décide de se cacher.
décider de mentir sur ta putain d'orientation sexuelle devant le centre lgbt ? quel bel hypocrite tu ferais.
c'est tentant. oscar en saurait rien. personne en saura rien.lui si.
lui et ses yeux coupables.
la fumée remplit encore ses poumons. les incendie un peu plus. de courage surtout.
« disons que .. hm ..
j'avais besoin de parler. »
même nager en plein brouillard ça serait moins flou. mâchoire contracté, prêt à continuer. j'avais besoin de parler. »
« de clarifier certaines choses .. »
il abandonne les dernières paroles dans un souffle. « .. à propos de moi. »
libéré.
- InvitéInvité
J'en frémis.
« disons que .. hm ..
j'avais besoin de parler. »
« de clarifier certaines choses .. »
« .. à propos de moi. »
Que dire ? Que faire ? Face à
cet homme qui, bien évidemment,
a toujours tout eu pour plaire.
Je te regarde dans les yeux,
Je te caresse dans mes songes.
Mes lèvres se fendent, sous l'emprise de mes dents,
Face à ces pensées sombres qui me rongent.
L'appel de la chair m'est irrésistible,
et la tienne m'appelle irrésistiblement.
Je ne suis pas sûr de bien avoir entendu
tes mots, mais j'ai envie d'y lire un aveu,
une confession. Et moi, je serai
ton confessionnal. Adresse moi
tous tes péchés.
I want to take a breath that's true
I look to you and I see nothing
I look to you to see the truth
Pêche la pêche des péchés de ton père.
Prêche la paroisse, le curé est ton frère.
Perds toi, oublie toi, dans la douceur du fruit
Aussi poilu et rebondi qu'une paire de belles fesses.
Abandonne toi, prends moi, dans le froid de la nuit.
Enrobe moi d'amour et de tendresse.
_________
Je vois en tes yeux, la bonté d'un homme,
Qui représente tout ce qui est beau, et bon.
Je vois en toi l'innocence et la naïveté
qui s'évaporeront au premier suçon.
Tu frémis et frétilles, de nervosité,
Je te ferai frétiller de joie et de frissons.
Clarifier ... Des choses ?
Je le regarde, avec attention. Sans forcer, sans insister. Je
le regarde, tout simplement. L'encourageant à se livrer à moi
comme le ferait un ami, je joue sur notre passé commun, sans
réellement savoir le poids qu'il détient réellement. Car Zeke et
moi, nous ne remontons pas à très loin. Nos échanges se limitent
à une soirée de silences, une soirée de non-dits, une soirée de regrets,
une soirée terminée sans lui.
J'espère que les choses sont plous claires maintenant, alora.
Je joue l'ignorance, je feins l'indifférence, refoulant les pensées qui me viennent
à l'esprit. Et pourtant, dans mon cerveau, tout tourne en rond. Ça cogite,
ça se retourne, sans dessus dessous, comme lui et moi, dans mes rêves
les plus fous. Ça se mélange, ça s'entrelace, ça s'embrasse, et ça
s'emboite, parmi ces pensées qui se retrouvent un sens commun
à travers leurs confrontations. Est-ce réellement un hasard,
le pur fruit d'une coïncidence ? Ou est-ce plutôt le début
d'une deuxième chance ?
... C'est aussi pour clarifier des choses
que ja souis ici.
Pas les mêmes choses, certes.
Mais cela reste des choses
quand même.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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Hobby : basket, photo, son chat, lire, prendre un café, explorer la ville.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : alice
“I've been working on myself and on my patience
But sometimes that shit don't come easy
And you see i've been tryin my best to give you explanations
But words don't really cut it lately„
But sometimes that shit don't come easy
And you see i've been tryin my best to give you explanations
But words don't really cut it lately„
oscar.
oz.
la magicien d'oz.
une soirée. deux inconnus.
trois verres.
c'est tout ce qu'il avait suffit. on aurait dit, qu'on avait pris son cœur.
pour le passer au mixeur.
un puzzle de mille pièces à reconstituer.
mais pas forcément pour reformer la même image.
être là. prendre soin de ses poumons,mais pas forcément pour reformer la même image.
avec autant de délicatesse qu'une brute.
martyrisé ses neurones en se répétant quatre fois les mêmes choses.
l'espagnol,
tout ce qu'il veut c'est se laisser bercer par l'accent de son voisin.
ne pas se précipiter,
croire que tout arrive pour une raison.
tout ce qu'il veut c'est se laisser bercer par l'accent de son voisin.
ne pas se précipiter,
croire que tout arrive pour une raison.
« sur certains sentiments que j'ai pu avoir,
que je peux avoir,
ou que je pourrais avoir. »
la magnificence de la langue, qui lui permet d'affirmer trois fois la même chose. que je peux avoir,
ou que je pourrais avoir. »
pour rendre ça plus officiel.
ou seulement se rendre compte que c'est vraiment son cœur qui lui dicte ses mots.
mais ne lui suffisait pas d'avoir parler à un conseiller.
il ne suffisait pas d'en parler pour que le monde devienne plus clair.
autant en parler à ton chat.
à ton cactus.
au bloc notes de ton téléphone.
alors on essaye juste de voir ce que ça fait de le dire à voix haute.à ton cactus.
au bloc notes de ton téléphone.
à quelqu'un qui n'entendra pas seulement mais écoutera.
et au final.
on se rend compte. que c'est pas de le dire à voix haute qui compte.
c'est de le dire à la bonne personne.
on se rend compte. que c'est pas de le dire à voix haute qui compte.
c'est de le dire à la bonne personne.
« ils paraissent plus réels.
mais je crois que je dois encore travailler dessus. »
un sourire fugace, discret.mais je crois que je dois encore travailler dessus. »
un sous entendu trop direct.
qui parait bien innocent.
ça veut dire, oscar
peut-être que tu le reverras.
ici.
ou ailleurs.
parce qu'il a besoin de toi.
il a besoin que la bonne personne ça soit toi.ici.
ou ailleurs.
parce qu'il a besoin de toi.
plus rien n'aurait de sens.
et se perdre dans un labyrinthe lui paraîtrait appétissant.
si tu n'étais pas celui pour lequel il passait ses nuits en rêve,
à penser au peut-être.
la possibilité que.
à penser au peut-être.
la possibilité que.
« et sûr quelle chose à tu besoin de mettre des mots ?
moi qui pensais bêtement que tous les italiens étaient sur d'eux
et ne se posaient pas de question. »
rire qui se veut doux.moi qui pensais bêtement que tous les italiens étaient sur d'eux
et ne se posaient pas de question. »
détendre les mots, si ils ont pu le froisser.
ce n'était qu'une phrase mal tournée,
en proie au je voulais changer de sujet et je suis mal exprimé.
- InvitéInvité
Parce qu'il n'y a pas de mots pour décrire ce que je ressens,
Je vais me restreindre et les limiter.
Je vais me restreindre et les limiter.
De quals genres de sentiments est-ce qu'il s'agit ?
Une question innocente posée entre deux regards brûlants. Une lèvre mordue de curiosité par un collier de dents. Une braise incandescente entre les lèvres, l'autre dans le pantalon, accroché à ton regard, j'attends.
Un
instant d'hésitation
se lève
pour mieux
disparaître.
Te faire confiance,
je le peux.
instant d'hésitation
se lève
pour mieux
disparaître.
Te faire confiance,
je le peux.
Ja voulais clarifier mes objectifs. La vie serait triste si on ne sa remettait jamais en question.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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Avec : alice
hésitation trop longue,
la cendre qui se casse la gueule.
dans quelques secondes de plus qu'un flash,
ou moins qu'une page de calendrier.
le temps que ses lèvres italiennes (tentatrices) se délient,
et déverse ses douces paroles,
la cendre qui se casse la gueule.
« je t'en parlerai peut-être plus tard. »
oz,dans quelques secondes de plus qu'un flash,
ou moins qu'une page de calendrier.
l'avenir n'est pas encore peint en aquarelle.
mais à toi seul tu ferais fondre toile et peinture.
une main dans les cheveux,mais à toi seul tu ferais fondre toile et peinture.
le temps que ses lèvres italiennes (tentatrices) se délient,
et déverse ses douces paroles,
« faut trouver une raison de se lever le matin. »
sourire approbateur.
vos lèvres se coordonnent.
vos lèvres se coordonnent.
« combien de temps que tu bosses ici ? »
- InvitéInvité
J'ai un sac de mots, qui limite mes options.
Un ... je ... moi ...
J'en ai cinq ou dix, et quelques "J'". Je ne peux pas trop les utiliser, sinon je ne pourrais plus m'exprimer par la suite. Alors parlons de lui. L'italien chevelu à la dégaine nonchalante. Le bambino exotique aux mains tremblantes. Cigarette au bec, lèvres pincées, dans l'attente d'une réponse qui saura le conforter.
Une main sur l'épaule marque une première approche.
Sourire, dents de perles, dents nacrées, dents ensorcelées.
Il tend le piège, lance le sortilège
Un rire s'échappe, sans qu'il ne le rattrape. Il le laisse s'envoler murmurer des doux secrets à l'oreille de l'hispanique étalon.
On lui demande finalement depuis combien de temps il est là.
Un silence s'instale et pèse, tel le poids de mille et une questions, le poids de mille et un secrets, celui de mille milliards de non-dits.
Machinalement,
ou stratégiquement,
il s'assoit
sur le banc
derrière lui.
Un ... je ... moi ...
J'en ai cinq ou dix, et quelques "J'". Je ne peux pas trop les utiliser, sinon je ne pourrais plus m'exprimer par la suite. Alors parlons de lui. L'italien chevelu à la dégaine nonchalante. Le bambino exotique aux mains tremblantes. Cigarette au bec, lèvres pincées, dans l'attente d'une réponse qui saura le conforter.
Une main sur l'épaule marque une première approche.
Une invitation.
Tou n'es pas obligé.
Sourire, dents de perles, dents nacrées, dents ensorcelées.
Il tend le piège, lance le sortilège
pour mieux saisir sa proie
entre les mille mailles de son filet.
entre les mille mailles de son filet.
Un rire s'échappe, sans qu'il ne le rattrape. Il le laisse s'envoler murmurer des doux secrets à l'oreille de l'hispanique étalon.
Aha ... oui, esattamente.
Tu me manques
quand les lumières expirent
pour illuminer tous mes doutes
tire moi vers toi, serre moi fort,
ne me lâche pas, bébé éclaire moi.
quand les lumières expirent
pour illuminer tous mes doutes
tire moi vers toi, serre moi fort,
ne me lâche pas, bébé éclaire moi.
On lui demande finalement depuis combien de temps il est là.
Pas très longtemps. N'est pas plous de un mois en vérité.
Un silence s'instale et pèse, tel le poids de mille et une questions, le poids de mille et un secrets, celui de mille milliards de non-dits.
Tou viens souvent par ici ?
Machinalement,
ou stratégiquement,
il s'assoit
sur le banc
derrière lui.
Ja t'attends.
- Ezekiel EastwoodI'm a Mother Fucker
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Avec : alice
la main sur l'épaule.
well played.
vient humidifier le bord de ses lèvres.
alors que le gris de ses yeux,
n'est là que pour repérer les siennes.
son palpitant reviendra battre par ici.
avec la simple volonté de s'égarer,
pour mieux lui demander son chemin.
un banc.
deux pas pour s'accrocher de nouveau à ses yeux,
ses lèvres.
quoi de mieux pour se concentrer sur sa voix.
well played.
« je sais,
c'est d'autant plus pour ça que j'en ai envie. »
c'est d'autant plus pour ça que j'en ai envie. »
envie de tout t'avouer, avant que je ne défaille.
surement dans le creux de tes bras.
le rouge de sa langue,surement dans le creux de tes bras.
vient humidifier le bord de ses lèvres.
alors que le gris de ses yeux,
n'est là que pour repérer les siennes.
« c'est la première fois. »
et surement pas la dernière.
première pensée à la volée.
aucun regret.
ses pas le guideront vers l'italien.première pensée à la volée.
aucun regret.
son palpitant reviendra battre par ici.
avec la simple volonté de s'égarer,
pour mieux lui demander son chemin.
qu'il soit le phare ou la sirène,
l'espagnol sera le marin
qui se laissera guider par son chant
et sa lumière.
deux pas pour le rejoindre,l'espagnol sera le marin
qui se laissera guider par son chant
et sa lumière.
un banc.
deux pas pour s'accrocher de nouveau à ses yeux,
ses lèvres.
un regard sur les aiguilles à son poignet.
où chaque seconde s'égraine sans l'attendre.
sans attendre personne.
la lune n'a d'obligations que de les suivre.
où chaque seconde s'égraine sans l'attendre.
sans attendre personne.
la lune n'a d'obligations que de les suivre.
« un verre ça te dirais ?
ça serait plus confortable.
si t'as finis le travail bien sûr. »
plus confortable pour qui ?ça serait plus confortable.
si t'as finis le travail bien sûr. »
pour que son cœur se casse pas la gueule.
que ses mots trouvent le bon chemin.
ou simplement noyer les pensées déplacées,
au rythme des verres qu'on vide,
et du brouhaha ambiant. que ses mots trouvent le bon chemin.
ou simplement noyer les pensées déplacées,
au rythme des verres qu'on vide,
quoi de mieux pour se concentrer sur sa voix.
ton accent,
oz.
oz.
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