Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
Atlenny broken fate... luleaby | Tell me I'm safe, you've got me now ... L’homme t’intrigue, un peu trop surement, plus qu’un simple inconnue dont ton croise la route par les voie du destin. Perturbé par cet homme au regard qui te transperce de toute part à t’en couper le souffle. Tu tentes de déchiffré ces pensées sans grand succès. Impassible malgré un petit sourire que tu perçois sur son visage. Il s’illumine un quart de seconde assez pour en faire bondir ton palpitant qui s’agite dans ta poitrine. Il semble sincèrement ne pas savoir et tu y trouve là quelque chose que tu apprécies. Il ne sait pas alors il ne te jugera pas. Peut-être même qu’il ne te croirait pas mais ça tu t’en fichais à mesure qu’il te voyait simplement comme tu étais. Là, en face de lui et sans ces idées préconçues que l’on peut voir d’une sectaire. Tu te pris à sourire à sa réplique mais il s’estompa bien vite à mesure que le mot jeune fille dans sa bouche te piqua quelques peu. Allez savoir pourquoi. Envie inexplicable d’être une femme dans ces yeux et pas la gamine qui avait tenté de volé sa voiture. Pourtant c’est comme ça qui avait l’air de te voir. En même temps tu l’étais, tu n’avais rien d’une jeune femme. Tu te trouvais même ridicule. Ridicule cette envie de vouloir ou même d’espérer plaire à un homme qui pourrait surement être ton père. Poudrant il y avait cette sensation étrange qui t’animer. Cette connexion venue d’ailleurs que tu ressentais quand tes yeux se perdaient dans les siens. « C’est vraie que des jeunes femmes comme moi on en croise pas à tous les coins de rues ! J’ai surement l’air d’une folle, vous pouvez le dire !! » Lances-tu en l’observant bien plus attentivement que précédemment. Tes yeux plongés au plus profond des siens comme absorber par une force hypnotique. Absorber par lui. L’inconnu du parking, ton inconnu. « Je voie bien que vous avez des doutes, que vous ne me croyez pas… J’ai l’habitude vous en faites pas !!! Mais je n’ai aucune raison de mentir, dans tous les cas vous allez sois me laisser sur le bas-côté, soit m’emmener au flic… L’issue en est la même… » Continue-tu animer par un feu nouveau. Par un courage que tu ne te connaissais pas. « Vous allez partir, on ne se verra plus jamais et bien vite reprenant votre vie vous aurez oublié la gamine qui à tenter de volé votre voiture ! » Tu lancer avec une pointe d’amertume malgré toi. Tu ne savais pas pourquoi mais tes émotions semblait partir dans tous les sens avec l’homme. Tu ne le connaissais pas et pourtant l’idée de ne plus le revoir te faisais l’effet d’un coup de poing en pleine estomac. « Je ne sais pas, vers le nord, le canada peut-être ?! J’aurais conduit quelques kilomètres avant de changer de voiture surement… C’est un SUV, c’est confortable mais un peu tape à l’œil et pas assez maniable… je n’aurais pas était bien loin… » Tu es bien forcé de le constater. Gêné, tu passes une main dans ta chevelure alors que l’ambiance qui règnes entre vous te mets dans un état que tu ne connais pas. La seule question qui persiste en toi c’est que va-t-il faire de toi maintenant ? @Atlas Saint |
- InvitéInvité
Atlenny broken fate... luleaby | Tell me I'm safe, you've got me now ... Ca y est, tu ne peux plus empêcher d'avoir sur tes lèvres un sourire énigmatique. Un semblant de sourire dont toi même tu ne sais pas s'il est moqueur ou le contraire. Dans tous les cas, sa réponse te fait sourire. Elle t'amuse même. "Folle ? Je n'aurais pas osé ou dit ça comme ça." rétorques-tu pour évoquer le sujet de la folie. Sa folie à elle. Oh non, elle n'avait pas l'air folle pour toi. Bien qu'elle sortait apparemment d'un groupe fou. Une secte était pour tant quelque chose de fou. Ses membres aussi. Et pourtant, t'avais dû mal à considérer la jolie inconnue comme folle. Non, t'en avais clairement pas envie. C'était sans doute toi qui sombrait dans la folie. Ta folie avait commencé avec ton arrêt jusqu'à cet instant. Tu étais fou de voir en elle quelque chose. Tu étais fou de penser ce genre de chose envers elle. Parce qu'elle était trop jeune. Parce qu'elle te semblait fragile. Bien que battante, elle n'en restait pas moins pour toi un oiseau fragile. Et stupidement, t'avais envie de prendre soin de cet oiseau délicat, de cette femme délicate. C'est d'ailleurs pendant que tu étais plongé dans de tel penser qu'elle évoquait les deux alternatives qui vous attendez. La séparation. Sois tu allais la laisser ici. Sois tu allais l'emmener au poste. C'était ses mots, pas les tiens. Parce que toi t'avais fini d'envisager la chose depuis un moment déjà, depuis que t'avais plongé ton regard dans le sien. Depuis que tu t'étais laissé atteindre par ses yeux. Et oh que non, ça allait être difficile pour toi d'oublier la gamine qui avait tenté de voler ta voiture. Difficile d'oublier ses traits, d'oublier tes mains sur son corps -même si ce n'était que ses bras, difficile d'oublier ton corps contre le sien quand tu l'avais coincé, difficile d'oublier tout simplement cette inconnue. Ton inconnue. T'avais cette lueur possessif que tu ne comprenais pas. Tu la revendiquais comme un homme des cavernes alors qu'elle n'était qu'un passage dans ta vie, alors que tu ne connaissais même pas son prénom. "Quel est ton prénom ?" Tu t'entends lui demander en même temps que ta pensée te vient, en même temps qu'elle évoque sa fuite. T'avais envie de tout connaître de cette jeune femme. A tes risques et périls. "Il aurait fallu déjà que tu arrives à grimper dedans..." Lances-tu, cette fois-ci taquin. T'oubliais pas la vision de ce petit bout de femme tentant de grimper dans ton véhicule. @Kennedy Greenfield |
- InvitéInvité
Atlenny broken fate... luleaby | Tell me I'm safe, you've got me now ... Plus vous échangiez, plus l’homme t’intriguer. Curiosité piqué au vif dans cet échange dont tu ne voyais pas la fin. Tu avais beau tenté de lire entre les lignes. De décrypté ses ressenties dans le fin fond de ces yeux. Dans ce regard énigmatique qui semblait t’emporter un peu plus à chaque seconde qui s’écouler. Chacune de ces paroles te surprenais un peu plus. Alors que tu pensais comprendre la direction que prenais les choses il te faisait faire un tour à trois cent soixante pour t’emmener sur un autre chemin. A l’image de tes émotions en vrac depuis que tes yeux se sont posé dans les siens. « Vous auriez dit ça comment alors ?! » Lui demandes-tu. Étrangement intéresser par l’image que tu lui renvoyais. Tu avais cette envie presque vitale de savoir ce qu’il pensé de toi, comment il te voyait. Tu voulais lui plaire, tu voulais éterniser ce moment sans en savoir les raisons. Tu en venais presque à avoir peur de ne plus le revoir. Alors, tu laisser ton regard dérivé sur la moindre parcelle de son visage, de ces traits…Son léger sourire, son si doux sourire. De sa bouche fine, entouré d’une barbe qui lui donnait un charme fou. A ce regard si intense, si perçant qui semblait venir piocher à l’essence même de ton être, de ton âme. Tu voulais pouvoir te souvenir de lui quand tu te retrouverais au fond du gouffre. Prisonnière. Bizarrement, tu ne le voyais plus comme l’homme qui aller te privé de ta liberté si durement acquise. Non, tu le voyais comme un vent de fraicheur, un souffle nouveau. Une petite pause dans ta vie qui ne t’appartenais pas. Là, dans ce parking même à sa merci tu te sentais libre. Tu ne t’étais jamais senti aussi libre qu’avec lui. L’homme dont tu ignoré le prénom. L’homme dont tu ignoré tout mais dont tu avais envie de tout connaitre. Comme en écho à tes pensé, à ton désir, l’homme te devanças. Sourire sincère, éclatant qui vient naître sur tes lèvres. Tu n’avais pas sourie ainsi depuis une éternité. Tu ne savais pas pourquoi tu te laissais gagner par cette douce joie, joie de le voir s’intéresser à toi. « Kennedy… » Lances-tu dans un souffle, il t’en faisait perdre tes mots. Tu t’apprêter à lui retourner la question bien qu’il ne te devait rien tu voulais savoir. Mettre un nom sur ce visage, sur cet être quitté était entré en collision dans ta vie et avait mis en vrac toutes tes convictions, plan en un regard, en une poignée de seconde. « Vous moqueriez vous de moi ?! Vous savez, j’y été presque… puis qui laisse sa voiture de luxe ouverte sans espérer se la faire prendre ! Vous avez eu de la chance que je sois une piètre voleuse… » Réponds-tu alors a sa remarque taquine ne pouvant t’empêcher de rigoler. Te reprenant bien vite par peur de dépasser les limites. Tu voulais bien faire, bien faire pour lui. @Atlas Saint |
- InvitéInvité
Atlenny broken fate... luleaby | Tell me I'm safe, you've got me now ... Tu passais ta main contre ton visage, caressant ta barbe que tu entretenais, ton doigt glissant autour de ta bouche, comme si tu réfléchissais. Et c'était vrai, tu réfléchissais. Tu demandais comment tu pouvais la considérer. Comment tu aurais pu la surnommer. Non, tu ne voyais pas en elle une folle. T'en connaissais bien une de folle, ta femme et l'inconnue ne lui ressemblait pas. "Intrigante." Tu sortis ça d'un seul coup, sans réellement peser le pour et le contre. Mais c'était ce dont tu pensais d'elle. Tu n'allais plus le cacher. Ta douce inconnue qui avait essayé de voler ta voiture t'intriguait. Sa beauté d'abord. T'es subjugué par celle-ci, par sa beauté juvénile. Celle que t'aimais bien trop. Tu t'étais jamais vraiment senti attirer par les beaucoup plus jeunes que toi. Tu avais d’ailleurs toujours considéré que c'était mal. Par rapport à ta femme, si belle créature soit-elle, noircie par son ambition, son caractère et son espèce de folie. Et surtout à cause de la différence d'âge. T'avais toujours eu du mal de voir une belle jeune femme avec un vieux, comme dans ces films, comme dans ces milieux étranges. Mais maintenant que ça t'arrivait... Non, n'importe quoi. Tu pensais à ce genre de chose alors qu'elle ne resterait rien qu'une inconnue. Tu en étais sûr... Ou pas, son sourire sincère venait de te scotcher. Sublime. Il venait de balayer les convictions que t'avais essayé de rassembler juste à l'instant. Et tu te pries à aimer son prénom, comme à le répéter pour toi même dans un petit soupir. "Kennedy.." T'avais cette foutue impression que son prénom sonnait parfaitement dans ta bouche. T'avais envie de secouer ta tête pour éliminer tes pensées alors tu détournais la conversation sur sa tentative de voleuse ratée. Elle t'avait fait penser à un petit pomeranian s'attaquant à un plus grand que lui lorsque tu l'avais vu essayer de grimper dans ta voiture. Cette comparaison te plaisait bien... "Encore une fois, je n'aurais pas osé." Tu souriais à présent véritablement en rencontrant son rire. T'aimais la voir rigoler, bien plus que la fatalité que tu avais vu plus tôt. "Tu aurais gagné une belle voiture en plus de fêter ta liberté... Allez viens, je vais t'aider. " Tu posais ta main sur ses reins pour l'emmener, pour faire avec elle le tour de la voiture. Tu comptais l'aider à monter dans ta voiture. Pour quoi faire ? T'en savais rien. Tu savais pas ce que tu foutais. Et t'espérais qu'elle t'en empêche car t'aurais pu être un homme dangereux. Au moins, là t'aurais une bonne raison de t'arrêter, de pas faire cette bêtise. Tu savais que tu en faisais une mais t'avais pas encore de nom à lui donner. @Kennedy Greenfield |
- InvitéInvité
Atlenny broken fate... luleaby | Tell me I'm safe, you've got me now ... Son changement d’attitude net mais imperceptible et les minutes qui passer malgré la notion du temps que tu avais perdue. Tu l’avais bêtement laissé s’échapper à la minute où il t’avait tiré de sa voiture, t’extirpant de ton ticket final pour une vie de liberté. Tu t’étais comme enfermer dans une bulle où le temps n’avait pas sa place, ou seul le regard de l’homme posé dans le tiens compter. Lui, toi et rien d’autre. Le temps avait semblait comme figé, alors que non… Et là, maintenant qu’il te poser des questions sur toi, qu’il constater tu sentais cette fin proche. De ce mot qu’il choisit pour te décrire au souffle de ton prénom dans sa bouche. C’était là vos derniers mots que vous alliez échanger, tu le sentais et tu en avais peur. Paralyser par le retour de la réalité. Il allait te quitter et cela te déchiré le cœur alors que tu ne le connaissais même pas. Tu venais tout juste de le rencontrer dans des circonstances peu flatteuses. Tu te prenais même à prier n’importe qu’elle Dieu, s’il existé d’éternisé le moment. De t’acheter du temps. Ce temps si précieux. Tu en voulais plus, plus avec lui. Tu étais surement gagné par la folie, que te prenais-t-il à vouloir te jeter dans les bras d’un homme dont tu ne connaissais rien. Qu’avait-il en lui qui t’attirer autant, qui t’intriguer autant. Tout était si confus dans ton esprit à cet instant. Tes émotion s’entrechoqué si bien que tu baisser la garde, te prêtant au jeu des taquineries, rigolant même, d’un rire doux, d’un rire léger. Souriant à cet homme qui tenait ton destin entre ces mains. Tu te laissais prendre dans ces filets sans plus te soucier de ce qu’il allait faire de toi. Stupide gamine que tu étais. Tu ne connaissais rien à la vie encore moins au homme et pourtant tu avais cette impression, se profond sentiment qu’il ne te ferait aucun mal. Jamais. Alors, tu en oublié presque que tu avais tenté de le volé même dans ces remarques qui n’était pas là pour te juger mais plutôt pour te taquiné. L’homme méfiant que tua vais senti au début avais fait un virement à 360. Tu le lisais dans ces yeux, son regard surement aussi dépassé que toi par la situation. Il luttait contre lui-même cela se voyais sur les trait à la fois fort et délicat de son justesse. Il y avait quelque chose de si délicat chez lui, malgré la force qu’il dégageait. « Ce n’est pas contre vous, pas que votre voiture soit moche mais elle n’a aucun charme… je préfère les anciens modèle, les collector de l’époque de mon grand-père. C’est là des voitures de caractère… » Lances-tu sans réfléchir, livrant une petite part de toi-même, sans pensé, sans analyser tu le suivis. Sa main posé sur tes reins tu n’y parvenais plus… à penser. Penser clairement. Concentrer sur ce contact doux et franc. Presque rassurant. Un klaxon au loin te sortit de ton état second, éclaire de lucidité dans ta petite tête. Qu’étiez-vous en train de faire, qu’étais tu en train de faire ?! Tu te retournas vivement, vers lui. Trop proche de lui. Si proche vos eux corps que tu en sentie son souffle sur ton visage. Pas en arrière que tu manquas de perdre l’équilibre. « Je… vous… Vous n’êtes pas de ces tueurs en série qui amadoue les jeunes fugueuses pour les ramener chez lui et les tuer… Je veux dire, je ne vous connais pas… je viens de tenter de voler votre voiture… Je ne sais même pas comment vous vous appelez… Je veux savoir comment vous vous appelez ?! »Panique dans la voix, détresse dans tes yeux plongé dans les siens« Quoi que vous allez faire de moi… Dites le moi, je peux le supporter !! Je m’en fiche, je veux savoir…. » Ajoutes tu le regardant, ne le lâchant pas. Accrocher à ces yeux tout en nuances, t’y accrochant comme à une bouée de sauvetage. Ton dernier espoir. @Atlas Saint |
- InvitéInvité
Atlenny broken fate... luleaby | Tell me I'm safe, you've got me now ... Et c'est que maintenant, elle osait critiquer ta voiture. Cette même voiture qu'elle allait voler quelques secondes auparavant. Et pourtant, tu t'en offusquais pas. Certes, c'était pas une voiture de sport mais tu t'y sentais bien dans celle-ci. Elle te faisait penser à ces gros blindés. Et il fallait dire que tu l'avais aussi choisi pour ça. Ta femme manigançait quelque chose, tu le savais. Alors, ce genre de voiture avait retenu ton attention. Au moins, si tu devais faire une embardée sur la route à cause d'une voiture qui pourrait te foncer dedans, tu serais moins écraser que dans une petite voiture de sport. Oui, tu pensais à tout. Même à des choses ridicules. Chaque fois que tu prenais le volant, tu passais quelques instants à regarder si tout était OK, niveau moteur et câbles. Sait-on jamais. "C'est plus une question de sûreté mais je vous l'accorde que d'autres voitures ont plus du charme. " Dis-tu en gardant ce même sourire. T'avais aimé qu'elle livre une partie d'elle. Sans le demander, tu en apprenais plus sur elle. T'aimais ça, qu'elle s'intéresse aux voitures. Tu la voyais bien dans cette univers, conduire l'une des voitures dont tu venais de parler. Non pas comme une genre de playmate qui annonçait le départ d'une course. Bien que la vue ne te dérangerait pas... mais plutôt comme celle derrière le volant. Mais en évoquant une question de sûreté, t'espérais qu'elle ne pense pas que tu étais un dangereux individus ou un homme qui attirait le danger. Et bien si, c'est sans doute ce qu'elle put penser parce que maintenant que t'avais posé ta main sur ses reins pour l'accompagner de l'autre côté de la voiture, elle semble se réveiller et s'arrête subitement. Toi aussi dans ce mouvement, dans ce contact chaud, t'étais ailleurs. T'imaginais cette même main sur ses reins sans la barrière de ses vêtements. T'imaginais des choses que tu ne devais pas, surtout avec ce genre de fille, surtout parce que t'étais mariée, même à la plus cruelle et folle des femmes. Son corps s'est arrêté si proche du tien que l'image a du mal à se dissiper, jusqu'à ce qu'elle pose ses questions. Son questionnement, légitime, et son pas en arrière te font hésiter sur ta certitude, sur ta bêtise. Comme si elle avait réussi à te faire ouvrir les yeux. A nouveau, tu ne peux pas t'empêcher, de poser sa main sur elle quand elle perd l'équilibre. Tu devais franchement arrêter de faire ce genre de chose... Tu ressentais juste l'envie de la protéger, surtout quand tu entendais la panique dans sa voix, l'hésitation dans ses yeux. Bon sang, t'avais pas envie qu'elle ressente ça en ta présence. "Non. Non bien sûr que non." Tu t'entends dire, comme si tu tentais d'apaiser l'animal blessé. Puis tu fronces les sourcils. "Je ne compte pas te faire de mal." Ca y est, tu détestais vraiment l'idée qu'elle te voit ainsi. Qu'elle puisse penser que tu étais un être dangereux. Mais tu supportais pas du tout ce qu'elle laissait sous-entendre. Comment ça elle pouvait supporter ce que tu pouvais lui faire ? Tu t'inquiétais de ce qu'elle avait pu subir. Et tu la lâchais, montrant tes mains pour prouver tes dires, pour continuer de l'apaiser. "Je sais pas trop ce que j'allais faire à vrai dire. Je comptais juste t'emmener plus loin que ce parking. Surtout si des gens sont à ta recherche." T'eus un rire nerveux. Tu leur aurais roulé dessus à ces mecs en passant, si tu n'étais pas descendu pour leur foutre ton poing dans leurs tronches. "Je m'appelle Atlas. Je suis un ancien pilote de chasse. Tiens, Atlas Saint, c'est écrit ici. Et promis, je suis pas le militaire traumatisé qui est rentré au pays avec cette même violence que sur le terrain et qui est sanguinaire." Sur tes mots, t'avais sorti ton portefeuille de ta poche de pantalon avant de lui tendre ta carte. Si ça pouvait la tranquilliser... "Et tu n'aurais pas de chance, sérieux. Si après avoir réussi à fuir une secte, tu tombes sur un psychopathe. Le karma ne serait vraiment pas avec toi." Tu ris en espérant qu'elle te suive dans cette plaisanterie. "Tu montes ? On pourra y réfléchir à l'intérieur. Si tu veux que je te dépose à un hôtel ou chez quelqu'un." T'ouvres au même moment la portière et lui tends là main pour l'aider. @Kennedy Greenfield |
- InvitéInvité
Atlenny broken fate... luleaby | Tell me I'm safe, you've got me now ... Le réveil fut brutal, se retour à la réalité que tu avais oublié l’espace d’un instant. Perdue dans le flot d’émotions contradictoire provoqué par l’homme en face de toi. L’inconnu du parking, le bel inconnu. Élan de lucidité dans ton esprit alors que tu t’âpreté à monter en voiture avec quelqu’un que tu ne connaissais pas. Étais-ce prudent même si tu n’avais rien à perdre ?! Tu n’en étais pas certaine et ta bouche parlas avant que tu eu le temps de terminé ta réflexion mentale. Gagné par la panique et l’angoisse à en perdre presque l’équilibre tu te laissas de nouveau happé par le brun. Sa poigne qui te retient de tomber sa main qui se dépose au creux de tes reins te laissant imaginé qu’il te prenne un peu plus dans ces bras. Qu’il t’encercle de toute part, qu’il te protège. Ta raison avait beau crier sa peur le reste de ton corps, ton cœur crier tout autre chose. Tu ne pouvais lire dans ces yeux que bienveillance. Tu te sentais étrangement en sécurité ici, avec lui, ou n’importe où qu’il t’emmène. Il avait pris avec tellement de délicatesse ta réaction s’évertuant à vouloir de rassurer comme s’il voulait que tu le voie comme l’homme qui l’était pas comme celui qu’il reflétait. « C’est juste étrange… gentil de votre part de vouloir m’aider alors que je viens d’essayer de vous voler ! » Lances-tu comme si tu avais cette nécessité de lui rappeler le mal que tu avais été sur le point de faire. Tu voulais qu’il oublie ton erreur à tout prix, toi aussi tu voulais qu’il te voie comme celle que tu étais et non celle que tu reflétais. C’était là un tour vicieux de ta raison pour vous ramener à la réalité tous les deux. Puis… Il se livre… Enfin, comme un vent de libération et de soulagement souffle en toi. T’empare et t’emporte dans un doux tourbillon. Son nom qui sonne comme une douceur dans ton esprit et qui raisonne dans ton être tout entier. Que ça lui va bien tu trouves. Il se présente, se justifie et tu aimerais en savoir tellement plus. Habité par une curiosité nouvelle, une curiosité qui lui est uniquement adressé. Lui. Atlas. Sans t’en rendre vraiment compte ton corps tout entier c’est décontracté, soulager presque alors que ce n’était là que des paroles, que tu n’en connais pour autant pas plus sur lui si ce n’est son nom et ce qu’il faisait dans la vie. Pourtant, tu as confiance en lui. Aveuglément confiance et c’est surement ce qui t’effraie le plus. Bien plus que de monté dans sa voiture. « On ne peut pas dire que la chance me suit vraiment depuis ma naissance… Un vrai chat noir… » Plaisantes-tu avec lui alors qu’il te parle de karma et de chance. Oui toute ta courte vie tu avais l’impression que tout était fait pour que tu tombes sans que tu puisses te relever. C’était marrant dans un sens, en prenant du recul. Puis il fallait dire que rigoler te faisais du bien, rigoler avec lui d’autant plus. Alors, sans réfléchir, tu glisses ta main dans la sienne et ce contact te fait un bien fou. Ancré en toi, tu as presque envie de resserrer l’étreinte de ta petite main dans la sienne. Tu te sens comme vulnérable avec lui, dans ces yeux et pourtant la force qu’il te fait ressentir balaye tout tes doutes sur son passage. Il t’aide à monter et de nouveau tu réalises à quel l’avenir reste incertain. T’emmener dans un hôtel ou chez quelqu’un, la vérité c’est que tu n’avais nulle part où aller, personne ne t’attendait. Ta meilleure amie, c’était elle qui avait tout prévue, votre fuite, votre nouvelle vie… et alors qu’elle était restée derrière tu n’étais pas certaines des options que tu avais. Tu avais presque envie de dire à Atlas de te ramener d’où tu venais. Alors qu’il monte en voiture à son tour, toi le regard fixé sur le tableau de bord, devant toi, tu éclates sans explication en sanglot. Qu’es ce que tu allais faire, qu’es ce que tu allais devenir. A croire que le sort s’acharner sur toi. « Ramener moi… ramener moi d’où je viens… c’était, c’était débile de continuer toute seule… » Les mots se perdent à demi dans tes larmes alors que tu te recroquevilles sur toi-même comme pour te rassurer que tout ira bien. « Je n’ai nulle part où aller… je ne sais rien faire… au mieux je… je finirais sur le trottoir dans une semaine… » De nouveau gagner par la fatalité mais c’était là la vérité. A moins que c’était encore une fois les idées de la secte qui te manger l’esprit et qui te laisser croire que tu n’étais capable de rien sans eux.« Je suis tellement désolé… tenté de volé votre voiture c’était ridicule… je vous fait perdre votre temps … » Tu tentes de retrouver un peu de calme avant de te décidais non sans mal à descendre de la voiture pour dire adieu à Atlas et repartir chacun de votre côté comme si jamais rien n’était arrivé. C’était mieux ainsi, non ?! @Atlas Saint |
- InvitéInvité
Atlenny broken fate... luleaby | Tell me I'm safe, you've got me now ... Là tout proche d'elle, tu continuais de l'observer. Comme si précédemment, tu n'avais pas eu assez de temps pour retenir chacun de ses traits. Tu pensais d'ailleurs que tu n'aurais jamais le temps. Tellement elle était unique. Tellement t'aimais ce que tu voyais. Même ta mémoire te faisait défaut. Comme si elle aussi complotait. Elle complotait en faisant semblant de ne pas tout retenir. Juste pour que tu la regardes encore et encore. Encore et encore... "Tu n'allais pas voler ma voiture." T'avais cette petite voix moqueuse, cette voix sûr de toi. Pour la voler, il aurait fallu qu'elle puisse monter dedans. Tu ne lui en tenais pas rigueur. C'était très étrange. T'arrivais pas à faire à l'idée, que cette jeune femme avait tenté de voler ta voiture. Tu devrais être en colère. Tu devais l'envoyer bouler. Quelle trouve une autre voiture, un autre mec à voler, cette voleuse. Mais t'arrivais pas. T'arrivais même pas à ressentir de l'animosité pour elle alors que tu ne la connaissais même pas. Elle t'avait ensorcelé la sorcière, la belle sirène. T'avais tenté de la rassurer. T'étais fou, tu te laissais avoir. Tu lui donnais ton prénom, ton identité. Tu lui aurais tout donné sans aucune raison. Débiles tu étais. Tu t'insultais intérieurement alors que tu continuais de lui sourire. T'arrivais pas à faire autre chose. Elle plaisante et t'adores ça. T'aimes ça la voir moins fataliste, moins sur le qui vive. "Tout le monde n'est pas suspicieux avec le karma, le destin." tu répliques en référence à ce chat noir. Toi, t'étais pas le genre d'homme à changer de rue en voyant un chat noir, tu lançais pas le sel par dessus ton épaule, ni retourner le pain du bon côté sur la table. Et puis, t'aimais bien les chats noirs... Elle était inconsciente comme toi. Ça tombe, c'était toi la future victime. Elle avait tenté de voler ta voiture, qui ne te disait pas qu'elle pouvait être pire ? C'était peut-être elle la meurtrière. Mais encore une fois, tu balayais tout ça et tu te retrouvais avec sa fine main dans la tienne. Et encore plus, t'adorais sentir sa paume dans la tienne. De sa chaleur rencontrant la tienne. T'aimais cette sensation, celui ta main posé sur sa taille à nouveau alors que tu l'aides à monter dans ton monstre de voiture. Tu t'y serais bien attardé mais tu fermes déjà la portière. Tu fais le tour en te répétant que t'es fou avant d'entrer côté conducteur. Et là, tu ne sais pas ce qu'il se passe car la belle fleur, ta belle inconnue au beau prénom de Kennedy éclate en sanglot. Tu te figes pendant quelques secondes sans comprendre la raison. Puis elle te demande de la ramener d'où elle vient. Où ça ? Dans sa secte ? Jamais de la vie. Ni même ailleurs. De tes mains, tu ne sais pas quoi faire et tu l'approches comme précédemment, comme pour toucher un animal blessé tandis qu'elle se recroqueville en pleurs. Et ça te fait mal t'entendre ce genre de chose, qu'elle n'a nul part d'autre où aller que dans son truc de fou. Et tu ne peux même pas imaginer la voir sur le trottoir. Impossible. Jamais de la vie, encore une fois. Tout s'accélère quand elle s'excuse et quitte la voiture. Tu bouges enfin à cette action, tu ouvres ta portière, redescend et refait le tour. "Eh.." Tu l'appelles doucement alors qu'elle est en train de récupérer son sac. Alors tu fonces, sans réfléchir, tu la tires vers toi. Tu la prends contre toi pour l'apaiser. Parce que tu détestes ses larmes. Parce que tu détestes la voir ainsi. La sentir si seule. "Eh, chut. Du calme. " Ton corps contre le sien que t'apprécies tant, tu passes ta main dans ses cheveux. Tu tentes de l'apaiser en caressant doucement ses cheveux. T'espères qu'elle ne se dégagera pas. Parce que t'es bien là. Parce que tu ne supportes pas de la voir comme ça. "On va trouver une solution, d'accord ? Arrêtes de pleurer Kennedy." Tu parles comme tu pourrais parler à l'un de tes enfants. Comme un paternel. Bon sang, que c'est bizarre. T'es loin de voir la belle Kennedy comme une fille ayant l'âge de tes gosses. Tu recules ton visage et prends son visage en coupe. "On va te trouver quelque chose. Et tu ne retournes pas dans ton machin, OK ? Tu feras pas non plus le trottoir ou quelque chose de ce genre. " Tu sèches de tes pouces ses larmes que tu n'aimes pas voir, ancrant tes yeux dans les siens. Il l’enlèverait si elle retournait dans sa troupe de cirque. Tout comme s'il la voyait sur un trottoir. Rien que d'y penser, ça le foutait en rogne... @Kennedy Greenfield |
- InvitéInvité
Atlenny broken fate... luleaby | Tell me I'm safe, you've got me now ... Il te fait sourire, t’arrache même un rire. Tu te laisses happé guider par l’homme dans cette danse d’un genre nouveau. Il avait raison et il te faisait valser ton cœur. Comme réagissant à l’unisson, se souciant de l’autre. Trop peut-être. Tu te laisser embarquer dans cette étrangeté et cette proximité. Tu te laisser réchauffer par ces mains qui se poser sur toi comme si vos peau attirer comme des aimants avaient du mal à se séparer. Comme vos mains avaient trouvé leur place. Tu te laisses à le suivre dans sa voiture. Tu te laisses conduire par ces mains qui te soulèvent. Ces mains sur ton corps. Ces mains que tu voulais presque plus pressantes alors que tu ne connaissais rien au contact charnel. Il avait raison tu n’étais qu’une gamine et tu t’en détesté presque pour ça. Tu réaliser ta stupidité là, dans l’habitacle de la voiture. Tu te laisses submerger sans contrôle possible par les larmes. Sanglots qui te coupais la respiration et t’assaille de toute part. Chagrin qui semblait inconsolable alors que tu te recroquevillais dans ces bras. Alors que tu tentais de trouver un sens à tes pensé. Remettre de l’ordre dans ton esprit. Tu réalises et tu te sens idiote. Tu voulais fuir, partir sans te retourner malgré la douleur qui t’assaille. Tu ne le connaissais pas et voilà que le quitter laisser un trou béant dans ta poitrine. Dieu que ça faisais mal, une douleur incomparable. Franchir la porte de cette satané voiture t’avais demandé le peu de force qu’il te resté. Vidé, littéralement vidé. Tu avais l’impression d’avoir laissé ton cœur derrière toi. Tu n’avais même pas osé un dernier regard par peur de craquer pour de bon. Robotiquement, luttant contre tes larmes tu attrapes ton sac, ta guitare luttant pour oublier. Oublier ces mains puissantes sur la chute de tes reins, emprisonnant ta main, enroulant tes épaules. Oublier son regard plonger dans le tiens qui décrypté chaque parcelle de ton âme. Oublier sa voix si envoutante et son rire puissant et doux en même temps. Son parfum, son corps… Tout. Surement que ça aurait était plus simple si tu n’avais pas mis un nom sur l’inconnue, ton inconnu. Atlas. Ton être déchiré sans même réfléchir où tu irais bien trop submerger par la douleur, par les larmes. Voix venue d’un autre monde, appel inespéré et ces bras qui t’attires vers lui pour se refermer. C’est volontiers que tu te laisses emprisonner. Instantanément apaiser à son contact. Comme si son corps, ces bras avait était fait pour t’accueillir. Réconforté par sa douce chaleur humaine qu’il dégager. Par sa main qui viens caresser tes cheveux. Tu te laisses allée à suivre sa respiration pour calmer les sanglots qui te coupe le souffle. Tu te calme parce qu’il le demande, parce que là, dans ces bras tout semble prendre un sens. Tu te sens à ta place dans les bras de cet homme que tu ne connais pas. La tête enfouie dans ces bras tu te contact d’hocher la tête. Tu veux le croire, croire que tout iras bien. Aveuglément, stupidement tu remets ton destin entre ces mains. Tu lui fais confiance comme si ton cœur crier de la lui donner. Bon de ton palpitant alors qu’il s’carte légèrement pour glisser ces mains de part et d’autre de ton visage. Le souffle coupé par son regard ancré dans le tiens. « Atlas ?!... J’aimerais que tout soit aussi simple, j’aimerais vous croire… J’aimerai me dire que tout vas bien allez, je n’y arrive pas… Je n’ai plus de force… » Dans un souffle, dans un murmure tu oses ouvrir la bouche, livrer ton cœur. Tu te prends à fermer les yeux légèrement alors qu’il vient essuyer les larmes striant ton visage. Tu ne voulais pas bouger. Tu voulais bloquer le temps, resté là, dans ces bras, à jamais. « Votre vie vous attends… et je n’en fait pas partie ! » Cela sonne comme un déchirement ça en es un. Cette constations te crispe de douleur et pourtant c’est la vérité. Tu n’es personne dans la vie de cet homme. Il ne te connaît pas, tu ne le connais pas… pourtant tu avais cette sensation que vous étiez comme destiné. @Atlas Saint |
- InvitéInvité
Atlenny broken fate... luleaby | Tell me I'm safe, you've got me now ... Tes yeux dans les siens, comme toujours depuis que tu l'avais rencontré il y a quelques minutes à peine, tu ne savais pas ce que tu faisais. T'observais ses iris comme si tu pouvais lire au fond de son âme. Comme si ça pouvait t'apporter les réponses à tes questions. Tu savais que t'avais perdu, tu savais que tu ne pouvais plus revenir en arrière. Tu savais que depuis que t'avais son visage en coupe dans tes mains, tu ne pouvais plus t'en aller comme ça. Tu ne pouvais plus l'effacer de ta mémoire. Car si tu la laissais là, tu reviendrais sur ce parking pour la récupérer mais ce serait trop tard. Tu tournerais encore et encore dans les rues pour la retrouver. Tu poserais ta main sur toutes les silhouettes qui lui ressembleraient. Alors qu'évidemment, la sienne était unique. Sa beauté l'était. Tu serais même capable de débarquer dans sa secte. Tu ferais un malheur, jusqu'à la retrouver. Jusqu'à être certain qu'elle n'était pas une nouvelle fois coincée chez ces fous. Tu continuais à sécher ses larmes alors que tu t'entais de l'apaiser. Quel mec faisait ça à une inconnue ? Tu tournais pas rond. Tu savais pas ce que ta femme t'avais administré dans le corps par le biais du médicament mais c'était puissant. C'était assez puissant pour que tu tombes dans la folie, que tu tombes dans les filets de la créature devant toi. Face à elle, t'étais faible. Tu détestais ça mais t'y pouvais rien, merde. Tu secouais la tête de gauche à droit. "Tout ira bien, je te dis." Tu souffles avec douceur alors qu'elle ferme les yeux. "Ma vie est partout, elle ne m'attend nul part. " t'en sortais presque une phrase philosophique, t'étais pas bien. Tu refusais. Tu refusais totalement qu'elle ne fasse pas partie de ta vie. "Je vais t'aider, d'accord ? " dis-tu en regardant ses paupières fermées. "On va aller chez moi, d'accord ? Tu n'as rien à craindre. Tu ne sauras pas toute seule avec moi, si c'est ce qu'il te fait peur. Il y a ma femme, Sasha. Et mes enfants. " tu continues sur ta lancée pour l'apaiser. Tu te sentais obliger de dire ces choses. Au fond, tu n'aimais pas l'idée qu'elle ait peur de toi. Après tout, c'était plausible. T'étais un homme, t'étais un inconnu. Tu détestais encore plus l'idée de parler de Sasha. Pour elle, t'étais même pas sûre que Kennedy soit en sécurité avec elle... Doucement, tu lâchais son visage et tendis une main vers ses affaires pour l'aider. "On va trouver une solution là-bas, tu es d'accord ? Si tu viens de fuir ton truc, y a peut-être encore des mecs à ta recherche et ils pourraient te voir sur ce parking." t'appuyais à nouveau ta cause avec cet argument. C'était mal mais c'était surtout pour sa protection. @Kennedy Greenfield |
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumPage 2 sur 3 • 1, 2, 3
|
|