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YESTERDAY'S NEWS |48
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LEONOR T. SKYWALKER
she was chaos and roses untertwined, tornado of roses from divine.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
connaître parfaitement un sujet. pour la perfectionniste que tu es, c'est à la fois le désir absolu, et la chose la plus frustrante du monde. un sujet. tu mérites de tous les connaître absolument, c'est tout. mais quitte à en connaître un, tu aimerais tout savoir des thés. parce que c'est ta boisson préférée, anglaise cliché que tu es. parce qu'on prend pas assez le temps de s'intéresser aux choses simples. connaître toutes les variétés de thés. tous les arômes. toutes les cultures. tous les secrets de fabrication. un thé, c'est comme une danse, comme un ballet. c'est harmonieux et délicat, et un rien peut en troubler l'équilibre. alors toi, tu aimerais bien connaître tous les thés du monde. bien sûr, puisqu'on te restreint la possibilité de tout connaître des courants littéraires, des évolutions historiques du ballet, de chaque note de tchaïkovsky et beethoven.
c'est pas ta faute si le ciel est radin.
c'est pas ta faute si le ciel est radin.
les projecteurs, ils sont braqués sur toi, depuis le début. tu brilles sous leur éclat, et parfois, tu fonds sous leur feu. mais ça, c'était avant. t'étais une danseuse célèbre, dans le milieu, une future étoile. c'était sous la lumière et les regards que tu étais au sommet de ta divinité. la plus belle, la plus brillante. tu te nourrissais de leur admiration, à ces simples mortels. tu t'en gorgeais, ils te faisaient vivre. être une étoile, l'étoile, c'était ton rêve le plus fou. et plus fou encore est ton rêve actuel. tu aimerais effacer le passé, pouvoir tout recommencer, et devenir cette étoile que tu n'as plus le droit d'être.
sinon, tu aimerais bien aussi que la reine d'angleterre te proclame comme étant sa descendante cachée depuis le début, mais tu doutes sincèrement de devenir une windsor dans un futur proche. en plus, le prince harry est fiancé. et baby georges est trop jeune.
sinon, tu aimerais bien aussi que la reine d'angleterre te proclame comme étant sa descendante cachée depuis le début, mais tu doutes sincèrement de devenir une windsor dans un futur proche. en plus, le prince harry est fiancé. et baby georges est trop jeune.
ta recette du bonheur, elle est simple. la danse. juste ça. c'est même pour ça que tu te l'es interdit. la danse, ça te rendait heureuse comme jamais. ça te faisait vibrer, ça te permettait d'extérioriser la moindre de ces émotions que tu étouffes, princesse des glaces. tu n'as jamais été aussi heureuse que lorsque tu virevoltais en tulle sombre sur les planches de l'opéra de paris. la danse, ta seule passion, ton seul amour. désormais, tu te contentes de tasses de thé et de la musique envoûtante sur laquelle tu valsais des heures. tu ne regardes plus de ballets, en revanche. c'est trop douloureux.
l'avantage, maintenant, c'est que tu peux t'enfiler des dizaines d'éclairs au café sans craindre de ne plus rentrer dans ton tutu. vu que tu ne rentres plus dans ton tutu.
l'avantage, maintenant, c'est que tu peux t'enfiler des dizaines d'éclairs au café sans craindre de ne plus rentrer dans ton tutu. vu que tu ne rentres plus dans ton tutu.
ta plus grande réussite à ce jour ?
ambition, c'est ton deuxième prénom. (enfin non, ton deuxième prénom, c'est titania, mais le troisième, admettons). tu veux toujours régner. le problème, c'est que tu as désormais passé l'âge d'être étoile. ça fait trop longtemps que tu n'as plus dansé, et tu as presque atteint la date de péremption des ballerines. cette ambition-là, tu y as renoncé. résultat, désormais, ton ambition suprême, c'est de devenir auteur réputé. une jk rowling nouvelle génération - plus jeune, sans gluten.
et cette ambition-là, elle est si loin des étoiles que ça te déprimerait presque. au fond, tu as toujours le rêve féroce d'écraser le monde sous tes pointes et de devenir la ballerine du siècle. il y a toujours une part de toi qui y croit de toutes ses forces.
comme cette part de toi qui s'est acharnée, des heures durant, jusqu'à réussir la cabriole, cette figure qui te semblait si compliquée. tu l'as plié, ton corps, tu l'as soumis à ta volonté. et tu es devenu petit rat de l'opéra de paris.
(il y a aussi cette fois où tu as réussi à mettre la main sur des bottes pucci à moitié prix, mais ça ne compte pas)
et cette ambition-là, elle est si loin des étoiles que ça te déprimerait presque. au fond, tu as toujours le rêve féroce d'écraser le monde sous tes pointes et de devenir la ballerine du siècle. il y a toujours une part de toi qui y croit de toutes ses forces.
comme cette part de toi qui s'est acharnée, des heures durant, jusqu'à réussir la cabriole, cette figure qui te semblait si compliquée. tu l'as plié, ton corps, tu l'as soumis à ta volonté. et tu es devenu petit rat de l'opéra de paris.
(il y a aussi cette fois où tu as réussi à mettre la main sur des bottes pucci à moitié prix, mais ça ne compte pas)
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
tu te détestes. parce que tu comprends que rien n'a de sens véritable à tes yeux. il y avait la danse, mais tu y as renoncé toi-même. on ne peut pas te la prendre si tu te l'es arrachée toi-même. la seule chose qui compte à tes yeux, c'est toi. leo la lionne, la louve solitaire. une égoïste comme on en fait rarement. et par-dessus tout, c'est ton secret, que tu es prête à protéger à tous prix. tu as quitté paris pour ça, tu as quitté ton continent et ta vie pour le laisser derrière toi, ce secret, et ce n'est pas pour le laisser s'éventer. et tu as peur de ce que tu serais prête à faire pour le protéger. parce que ce secret, c'est que tu es déjà allée trop loin, justement. et t'es pas prête à mettre le cap sur l'asie.
qu’as-tu ressenti ?
la chose la plus illégale que tu aies faite, c'est de griller des stops et des limitations de vitesse. tu conduis un peu vite, d'accord. mais t'as jamais franchi la ligne jaune. enfin, pas vraiment. tu n'as jamais écrasé la loi de tes talons haut. tu la respectes au jour le jour, comme un citoyen lambda. tu ne détournes pas de fonds, tu ne te drogues pas (en exceptant ton petit dérapage d'anabolisants, dans ta jeunesse exigeante), tu ne voles pas les sacs des petites vieilles. mais tu es une vraie garce. et ça, ça t'a poussée au pire des crimes.
t'as tué quelqu'un, après tout.
pas de ta main, mais cette fille, tu l'as tuée.
t'as tué quelqu'un, après tout.
pas de ta main, mais cette fille, tu l'as tuée.
ça ne t'intéresse pas, de refaire le monde. ça fait bien longtemps que tu as compris qu'il est comme il est. de même qu'on ne peut changer le passé, on ne peut changer le monde. tu es assez rationnelle pour ne jamais t'être posé la question. le monde, il te convient. tu te moques des guerres dans le monde, et les gens qui meurent de faim ne te dérangent pas spécialement, tant qu'ils ne s'accrochent pas à tes chevilles. tu participes à la soupe populaire à l'occasion, et tu estimes que ça rachète tes crimes. tu te moques royalement de ce qui se passe en dehors de ta bulle, et tu ne vois aucune raison de le changer. mais si tu pouvais lui ajouter une chose, au monde, ce serait de rendre chacun immortel. parce qu'ainsi, tu n'aurais pas perdu ta mère, cette garce de leia ne serait pas morte de tes mots, et tu pourrais avoir des discussions passionnantes avec mozart et fitzgerald.
tu détestes star wars. de tout ton coeur et de toute ton âme. probablement à cause de ton nom de famille. tu t'appelles juste skywalker, celle qui marche dans le ciel, et à cause de ça, on t'associe à un type qui embrasse sa soeur et se promène dans une soucoupe volante avec son chien qui braille bizarrement. tu te réjouis que ton père ait raté le phénomène de mode, en revanche. ça t'aurait tuée (de honte) s'il t'avait nommée leia. tu détestes les élèves qui te demandent de signer des trucs juste pour afficher ton nom de famille. et tu hais le type qui t'a surnommée amigdales skywalker. parce que c'est pas drôle.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [x] It's all my fault [] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : sarah (atlantis). Âge : toujours vingt-et-un Anniversaire : toujours le vingt-huit juin Localisation : tatooine Présence : 7/7. Personnage ... [x] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : par lena (HAHAHAHAHA). Et je le trouve : presque aussi beau que moi Ma plus grande peur : les araignées. ça fait peur, les araignées.. Un dernier mot ? BA-RA-CU-DAAAAA.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
got me spinning like a ballerina, feeling gangsta everytime i see ya
leonor (f.) /lənɔːr/ — light, sun, lion. titania (f.) /tɪtɑ́ːnɪjə/ — great one, giant, queen. skywalker (n.) /sgɑ́jwoːkə/ — the one who wanders in the sky.
ANDANTE
Entrechat. Entrechat. Grand jeté. Tu te réceptionnes avec souplesse, effectues une dernière pirouette, et ton corps glisse presque immédiatement en une révérence souple. Ce corps, tu l'as façonné, comme de la terre glaise. Chaque parcelle de ta peau et de tes muscles est douloureuse. Tu ne sais même plus depuis combien de temps tu danses, désormais. Tes petits pieds qui saignent dans les demi-pointes. Des heures que tu évolues sur du Tchaïkovsky. Encore. Et encore. Inlassablement. Comme si tu avais le choix. 'снова' La voix est rauque, le mots glissent difficilement dans cette bouche qui ne la parle pas. Encore. Le russe, c'était la langue de ta mère. Pas celle de ce père britannique et pâle.
Il ne s'en était jamais remis, de ce matin de décembre.
Lorsque ta mère s'était éteinte, doucement, comme l'étoile qu'elle avait toujours été.
Lorsqu'elle était partie, c'était lui, qui avait perdu son soleil. Et toi, tu en payais le prix. Le deuil, qui s'était effacé. Et toi, qui étais apparue à ses yeux. Sa fille. Tout ce qui lui restait de sa seule déesse. Il t'a vue, et il l'a vue en elle.
Tu serais la nouvelle Irina Skywalker. Et pour cela, il t'entraînerait sans relâche.
Alors tu baisses la tête. Tu fuis le regard de ce père qui ne te voit plus vraiment, écrasée que tu es par le fantôme de ta mère. Neuf ans, et chargée de ressusciter la légendaire ballerine russe. Tu fuis son regard, et, en ignorant la douleur qui déchire tes pieds, tu recommences, encore une fois.
Entrechat, entrechat, grand jeté.
ALLEGRO
Tu rejettes tes cheveux en arrière, et les épingles de nacre qui s'y accrochaient encore tombent au sol dans un tintement délicat. Comme une pluie de métal. Tu t'en moques. Tu es une jeune déesse de vingt-cinq ans. Une étoile en formation. Tu as gravi les échelons de l'Opéra. Toujours plus haut, toujours plus loin. La nomination n'est pas loin, tu le sens. Le ciel n'est pas loin.
Seulement, il y a elle.
Leia.
Et ton visage trop fardé s'étire dans une grimace douloureuse. Leia l'ingénue, Leia l'innocente, Leia la douce. Elle est Odette, tu es Odile. Le cygne blanc, le cygne noir. La douce lumière qui se rêve étoile, le trou noir prête à tout engloutir pour l'être. Leia, qui se tient entre ton rêve et toi. Leia, qui danse si bien, et qui t'émeut. Et ça t'énerve, ça te fait rager. Leia, que tu brises de tes mots, que tu écrases sous ta rage. Le simple fait de penser à ta rivale te fait trépigner, et tu piétines tes épingles à cheveux, sans la moindre compassion. Il n'y a de place que pour une seule étoile. Pas deux.
Sans un regard pour les épingles au sol, tu entortilles tes cheveux dans un chignon serré, presque douloureux, et tu enfiles tes pointes, dans un geste que tu connais pas coeur.
Mais, lorsque tu entres sur scène pour la générale, tu n'obtiens pas l'admiration que tu attendais. Ce que tu reçois, à la place, c'est un hurlement. Puis deux. Puis dix.
Et tu le vois, le pied, dans sa pointe rose tendre, qui se balance au-dessus du sol. Tu ne comprends pas, tu refuses de comprendre. Et elles s'écartent, les ballerines insignifiantes, et tu le vois, son visage bleui. Ses yeux vitreux qui te fixent. Le ruban autour de son cou. Tu portes la main à ta bouche, sous le choc. Fanny, son beau visage déformé. Tu ne peux pas t'empêcher de t'approcher, de tendre la main vers elle.
Et le papier dans son poing pique la peau tendre de ta paume. Tu les forces à se détacher, ses doigts, et tu t'empares du billet, sans laisser à quiconque la possibilité de le voir.
Et tu recules, tu t'éloignes, tu fuis, presque. Les mots s'accrochent à ta rétine, dans ta course. 'T'as gagné, Leo. Ce sera toi, l'étoile. Je refuse de jouer. J'espère que tu es contente. Amuse-toi bien, en enfer.' Les larmes qui ne coulent pas te brûlent les yeux. Et tu t'enfuies, toujours plus loin.
C'est ta faute.
Tu l'as tuée.
Tu laisses tes pointes derrière toi, tu laisses l'Opéra derrière toi, tu laisses tout derrière toi. Les rêves de ton père et les tiens, tu les jettes aux flammes. Et tu t'en vas, toujours plus loin. Tu ne peux pas rester, tu le sais.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
OUUUULOUULOUUU ! C'EST QUE T'ES PAS TROP MAL TOI
Rebienvenue ici avec ce nouveau bébé ! hâte d'en lire plus en tout cas puis surtout de se trouver un lientordu (la base of course )
Rebienvenue ici avec ce nouveau bébé ! hâte d'en lire plus en tout cas puis surtout de se trouver un lien
- Lysander E. FosterI'm a Mother Fucker
-
Dollars : 2370
Messages : 109
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Aaron Taylor-Johnson
Crédits : nine + tumblr
Autres comptes : Clarence M. Burns
Âge du personnage : 28 ans
Nationalité(s) : Anglaise
Signe astrologique : Gémeaux
Mon personnage, en 5 mots : Miroir, Fatalité, Exubérance, Fragilité,
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Il est avant tout auteur, compositeur et interprète depuis des années. Après s'être fait connaître par le biais de son groupe On the Edge, il chante désormais en solo. Il a également monté T△LENT, son propre label de musique, pour produire d'autre talents.
Études (passées ou en cours) : Il est diplômé en musique, mais également en marketing, depuis trois années maintenant.
Orientation sexuelle : Indécis
MAIS MAIS Léo, LA Léo, LA Cookson, ballerine qui a raté sa chance ?
*meurt de joie*
*meurt de joie*
- InvitéInvité
@jay skellin - TOI NON PLUS T'ES PAS SI MAL
on va se trouver un lien bien bientordu because we're worth it
@moss maxfield, @livia ackerman, @jean walton, @arizona harper-duval - merci beaucouuuuuuuuup
@lysander e. foster - ELLE-MÊME EN PERSONNE j'avais bien dit que je connaissais clay et que je l'aimais d'amour faut que je t'envoie un mp dans la journée darling, ça fait plaisir de te retrouver
@oscar luccheti
on va se trouver un lien bien bien
@moss maxfield, @livia ackerman, @jean walton, @arizona harper-duval - merci beaucouuuuuuuuup
@lysander e. foster - ELLE-MÊME EN PERSONNE j'avais bien dit que je connaissais clay et que je l'aimais d'amour faut que je t'envoie un mp dans la journée darling, ça fait plaisir de te retrouver
@oscar luccheti
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