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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
LENNON BARETT
Everybody knows I'm a motherfucking monster
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
Depuis tout petit, t’as toujours été passionné d’astronomie. Les étoiles, ça a toujours été ton truc. Ca t’a toujours fasciné, ces petites sphères lumineuses, si proches et si lointaines à la fois. Tu aurais voulu devenir astronaute quand tu étais plus jeune et que le réalisme n’avait pas de prise sur toi. Tu connais encore toutes tes constellations mais tu n’en sais pas assez à ton goût. Il n’est pas grave de te voir, l’œil rivé à ton télescope, à fixer l’infinité étoilée.
Petit, c’était d’être astronaute. Maintenant, tu ne sais pas trop et c’est bien ça le problème. Tu ignores ce que tu veux faire de ta vie maintenant que tu as tout perdu. Tu n’as plus de direction, plus de sens à ta vie. Et c’est bien ça le problème. Tu étais à la dérive. Avec le recul, tu te rends compte que tu aimais vraiment ça, être sous le feu des projecteurs, l’attention du monde, l’adulation, le frisson du money time… Ça te manquait salement maintenant que la lumière s’était éteinte.
Avant, tu ne t’étais jamais vraiment posé la question. La vie était simple, elle n’a jamais été difficile. Tu étais sans doute heureux à cette époque-là, oui. Mais tu n’avais jamais été vraiment malheureux à vrai dire. Tu avais été triste quand votre chien était mort quand tu étais petit. Tu avais été triste quand ta copine t’avait plaqué. Mais tu n’avais jamais connu le vrai désespoir, jusqu’à récemment. Sans doute n’avais-tu jamais été vraiment heureux alors comment en trouver la recette ? Peut-être que tu la trouverais un jour.
ta plus grande réussite à ce jour ?
Un néant. Un gigantesque néant. Depuis ta blessure, tu n’as aucune ambition. Se lever chaque matin est un calvaire en soi. Marcher est une souffrance depuis que tu es sortie du coma. Cette douleur-là, au moins, elle s’apaise. C’est le reste qui est le plus dur à vivre : l’inactivité. Ton passe-temps, c’était ton job. Tu n’avais plus ni l’un ni l’autre. Même le basket c’était même pas ton ambition à la base. C’était celle de ton père, qui t’a aiguillée. Tu n’avais jamais été capable d’avoir de l’ambition par toi-même. Ta seule ambition, c’est de trouver un moyen de maintenir ton niveau de vie parce que c’est tout ce qu’il te reste : ton fric.
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
Ta famille, c’est ce qu’il y a de plus important pour toi. Tu as toujours été altruiste et vous avez toujours été soudés, tous autant que vous êtes. Le stéréotype de la famille parfaite, même si vous aviez vos petits problèmes persos, comme partout, mais il n’y avait rien que tu ne ferais pas pour eux. Tu partais du principe que la famille, c’est le cœur, le noyau de tout. Tu adores tes sœurs, tu aimes tes parents, tu ne serais nulle part sans eux. Ils ont toujours été tes soutiens les plus farouches, tes plus fervents supporters. Ce sont bien les seuls à qui tu démontres de l’affection.
qu’as-tu ressenti ?
L’illégalité ? Non, pourquoi faire ? Tu avais de l’argent plus que d’idées pour le dépenser. Tu ne trouvais rien d’attirant à flirter avec la criminalité. Puis tes parents étant deux figures publiques, il n’était pas question de leur faire de l’ombre, jamais. Ca avait toujours été clair dès ton plus jeune âge. Il fallait toujours être irréprochable, toujours attiré l’œil mais pour de bonnes raisons, il fallait se rendre « aimable ». Puis quand tu as eu ta carrière, il n’était clairement pas question de te faire de mauvaises pubs à toi-même.
Tu ne savais pas vraiment si tu changerais quelque chose. Chaque erreur, chaque faute nous donne matière à réfléchir et au final, on apprend toujours de ces erreurs. Si on gomme une erreur, qui sait ce qui pourrait arriver de pire, parce qu’on aura pas eu l’expérience de ladite erreur pour nous amener à bien raisonner ? Ouais, tu es très profond pour un sportif, ça surprend. Peut-être que tu ferais quelque chose pour la nature cela dit, plus d’écologie, plus de préservation, plus de prises de conscience, plus d’éducation.
Tu adores cuisiner. Ta gourmandise t’a amené dès l’enfance à passer énormément de temps en cuisine à regarder travailler le personnel, à apprendre, à tenter et à te perfectionner. Quand tu vas pas bien, tu cuisines. Quand tu te sens bien, tu cuisines. Quand tu ne sais pas quoi faire, tu cuisines. En fait, tu cuisines pas mal. Tu as énormément de mal avec la malbouffe, tu comprends pas. Tu aimes les produits nobles, issus de cultivateurs soucieux, tu ne laisses jamais rien au hasard et tu n’as aucun problème à payer le prix pour des produits qui valent la peine.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [X] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : Maytherfucker. Âge : 25 yo. Anniversaire : 13 Avril. Localisation : Paris. Présence : 5/7. Personnage ... [X] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : toujours via Bazzart. Et je le trouve : toujours aussi canon. Ma plus grande peur : les clowns. Un dernier mot ? j'vous aime toujours.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
Une citation et/ou une phrase introductive sur ton personnage.
Blabla explicatif ici.
Vous pouvez également ajouter des images à votre guise, grâce aux deux codes fournis ci-dessous.
La vie avait toujours été particulièrement tendre avec toi. Papa et Maman étaient beaux et gentils, riches. Tu n’avais jamais manqué de rien, bien au contraire. Ta sœur et toi aviez vu le jour à quelques minutes d’intervalles. Elle d’abord, puis toi. Elle aimait à dire que c’était elle l’aînée mais tu la contredisais toujours en lui rappelant que le premier jumeau conçu est le deuxième à sortir du ventre de la mère. Ça a toujours été ça entre vous. Une complicité rivale, une rivalité complice. Petits déjà, vous étiez inséparables, un duo redoutable. Vos parents ont très vite été à court d’idées pour contrer vos machinations machiavéliques. Ton calme les inquiétait autant que l’énergie de ta sœur. Son côté extraverti pouvait être aussi dévastateur que ton côté introverti.
Et puis votre petite sœur avait suivi ensuite. Cette petite boule de douceur, tout en roseur et tout en touffes de cheveux éparses. Elle était parfaite à tes yeux, si petite, si fragile. Difficile de ne pas aimer Elsa. Mais tu ne le lui avais jamais vraiment dit, tu n’en parles jamais. Tu n’as jamais été du genre à déballer tes sentiments comme ça, tu es loin d’être un livre ouvert. Même petit, tu étais connu pour être taciturne, auteur de saute d’humeurs à faire trembler les murs de la maison.
Très tôt, tu t’es avéré très doué dans tout ce que tu entreprenais. Mais ce qui intéressait tes parents, c’était de faire de toi un grand sport. Ça coule un peu dans les veines de tout le monde le sport. Au début, t’aimais ça. C’était un jeu pour toi. Tu aimais surfer avec tes sœurs, tu aimais jouer au basket avec tes copains… C’est d’ailleurs le basket qui a eu ta préférence quand il a fallu s’inscrire dans un club. Tu aimais ça et tu étais monstrueusement doué. Et c’est là que les problèmes avaient commencé. Tu avais déjà l’œil de tout le monde du fait de la notoriété de ton père, ton père à qui tu ressemblais tant. Mais le fait que tu sois un petit prodige du basket avait tiré la couverture à toi. On attendait de toi que tu ailles loin, que tu sois le meilleur, que tu ailles en équipe universitaire, que tu joues en NBA… Dès lors, c’était devenu l’objectif ultime : tout faire pour que tu joues en NBA. Mais est-ce que c’était vraiment ce que tu voulais ? Personne n’avait même pensé à te le demander à vrai dire. Idiot, n’est-ce pas ?
Non, on s’était évertué à t’offrir toutes les portes pour que tu réalises l’ambition familiale comme tu l’appelais. Et c’est ce qui c’était produit. De joueur vedette au collège comme au lycée, tu étais devenu la coqueluche du championnat universitaire. Ton nom était sur toutes les lèvres quand tu avais été drafté par le club de ton cœur, les Lakers. C’était l’aboutissement du rêve, pas vrai ? Tu étais la star montante du basket US dont la nonchalance et la silhouette faisait baver les femmes, dont le talent et l’arrogance frisaient les moustaches de tes détracteurs. Mais tu étais comme ça, tu t’en moquais. Plus on te faisait de reproches, plus tu étais une caricature de toi-même. Mais tu engrangeais les matchs et les victoires à un rythme effréné, et avec tout ça de belles liasses de billet. Mais tu n’avais jamais l’argent en ligne de mire.
Pourtant tout avait pris un tour dramatique un soir d’hiver. Tu revenais du restaurant avec ta sœur Leonor quand deux types vous avaient braqué en voiture. Tu aurais n’importe quoi pour ne pas qu’il touche à un seul de ses cheveux. Tu leur avais donné tout ce qu’ils voulaient, parce que tout ça n’avait aucune valeur pour toi. Tu pourrais tout racheter. Mais ils avaient été gourmands, ils avaient été violents : un coup vicieux t’avait bousillé le genou à dessein, ils ne voulaient plus de toi sur les terrains, plusieurs autres au crâne t’avait envoyé dans le coma pour plusieurs semaines.
Tu t’étais réveillé dans un corps plus faible que tu n’en avais jamais eu et dans l’incapacité de faire la seule chose que tu saches faire : jouer au basket. Ton genou était fichu, tu ne te remettrais jamais vraiment. Ce n’était même pas ton rêve au final, mais c’était un rêve malgré tout. Maintenant tu n’avais plus rien, plus rien pour te maintenir sur les rails, plus rien pour te lever le matin. Avec ton genou, c’est celui que tu étais qu’on avait bousillé et tu ne savais plus qui tu étais à présent. Tu étais dans un lieu très sombre, le recoin le plus sombre de ton âme, en compagnie des fantômes les plus infâmes. Et tu n’y voulais personne avec toi.
SOUS TITRE SI NÉCESSAIRE
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La vie avait toujours été particulièrement tendre avec toi. Papa et Maman étaient beaux et gentils, riches. Tu n’avais jamais manqué de rien, bien au contraire. Ta sœur et toi aviez vu le jour à quelques minutes d’intervalles. Elle d’abord, puis toi. Elle aimait à dire que c’était elle l’aînée mais tu la contredisais toujours en lui rappelant que le premier jumeau conçu est le deuxième à sortir du ventre de la mère. Ça a toujours été ça entre vous. Une complicité rivale, une rivalité complice. Petits déjà, vous étiez inséparables, un duo redoutable. Vos parents ont très vite été à court d’idées pour contrer vos machinations machiavéliques. Ton calme les inquiétait autant que l’énergie de ta sœur. Son côté extraverti pouvait être aussi dévastateur que ton côté introverti.
Et puis votre petite sœur avait suivi ensuite. Cette petite boule de douceur, tout en roseur et tout en touffes de cheveux éparses. Elle était parfaite à tes yeux, si petite, si fragile. Difficile de ne pas aimer Elsa. Mais tu ne le lui avais jamais vraiment dit, tu n’en parles jamais. Tu n’as jamais été du genre à déballer tes sentiments comme ça, tu es loin d’être un livre ouvert. Même petit, tu étais connu pour être taciturne, auteur de saute d’humeurs à faire trembler les murs de la maison.
Très tôt, tu t’es avéré très doué dans tout ce que tu entreprenais. Mais ce qui intéressait tes parents, c’était de faire de toi un grand sport. Ça coule un peu dans les veines de tout le monde le sport. Au début, t’aimais ça. C’était un jeu pour toi. Tu aimais surfer avec tes sœurs, tu aimais jouer au basket avec tes copains… C’est d’ailleurs le basket qui a eu ta préférence quand il a fallu s’inscrire dans un club. Tu aimais ça et tu étais monstrueusement doué. Et c’est là que les problèmes avaient commencé. Tu avais déjà l’œil de tout le monde du fait de la notoriété de ton père, ton père à qui tu ressemblais tant. Mais le fait que tu sois un petit prodige du basket avait tiré la couverture à toi. On attendait de toi que tu ailles loin, que tu sois le meilleur, que tu ailles en équipe universitaire, que tu joues en NBA… Dès lors, c’était devenu l’objectif ultime : tout faire pour que tu joues en NBA. Mais est-ce que c’était vraiment ce que tu voulais ? Personne n’avait même pensé à te le demander à vrai dire. Idiot, n’est-ce pas ?
Non, on s’était évertué à t’offrir toutes les portes pour que tu réalises l’ambition familiale comme tu l’appelais. Et c’est ce qui c’était produit. De joueur vedette au collège comme au lycée, tu étais devenu la coqueluche du championnat universitaire. Ton nom était sur toutes les lèvres quand tu avais été drafté par le club de ton cœur, les Lakers. C’était l’aboutissement du rêve, pas vrai ? Tu étais la star montante du basket US dont la nonchalance et la silhouette faisait baver les femmes, dont le talent et l’arrogance frisaient les moustaches de tes détracteurs. Mais tu étais comme ça, tu t’en moquais. Plus on te faisait de reproches, plus tu étais une caricature de toi-même. Mais tu engrangeais les matchs et les victoires à un rythme effréné, et avec tout ça de belles liasses de billet. Mais tu n’avais jamais l’argent en ligne de mire.
Pourtant tout avait pris un tour dramatique un soir d’hiver. Tu revenais du restaurant avec ta sœur Leonor quand deux types vous avaient braqué en voiture. Tu aurais n’importe quoi pour ne pas qu’il touche à un seul de ses cheveux. Tu leur avais donné tout ce qu’ils voulaient, parce que tout ça n’avait aucune valeur pour toi. Tu pourrais tout racheter. Mais ils avaient été gourmands, ils avaient été violents : un coup vicieux t’avait bousillé le genou à dessein, ils ne voulaient plus de toi sur les terrains, plusieurs autres au crâne t’avait envoyé dans le coma pour plusieurs semaines.
Tu t’étais réveillé dans un corps plus faible que tu n’en avais jamais eu et dans l’incapacité de faire la seule chose que tu saches faire : jouer au basket. Ton genou était fichu, tu ne te remettrais jamais vraiment. Ce n’était même pas ton rêve au final, mais c’était un rêve malgré tout. Maintenant tu n’avais plus rien, plus rien pour te maintenir sur les rails, plus rien pour te lever le matin. Avec ton genou, c’est celui que tu étais qu’on avait bousillé et tu ne savais plus qui tu étais à présent. Tu étais dans un lieu très sombre, le recoin le plus sombre de ton âme, en compagnie des fantômes les plus infâmes. Et tu n’y voulais personne avec toi.
IMAGES FEU ARDENT
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2596
Messages : 700
Date d'inscription : 12/11/2017
Avatar : Dave Franco
Crédits : smmg bae
Âge du personnage : 27 ans
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
Bienvenue !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
- InvitéInvité
J'adoooooore le pseudo, puis Mariano quoi....
Ouelcome sur IAMF
Ouelcome sur IAMF
- InvitéInvité
Merci :3
Fin... c'est Marlon mais c'est pas grave
Fin... c'est Marlon mais c'est pas grave
- InvitéInvité
Ouais Marlon mdrrr
C'est ça quand on se perd dans le Insta de Di Vaio tout en souhaitant la bienvenue à Marlon Teixeira
C'est ça quand on se perd dans le Insta de Di Vaio tout en souhaitant la bienvenue à Marlon Teixeira
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