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YESTERDAY'S NEWS |48
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SOHEILE CALABRESE
Tell me who's gon' save me from myself. When this life is all I know. Tell me who's gon' save me from this hell. Without you, I'm all alone.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
si je pouvais, j’aimerais tout connaître de la médecine. Que ce soit la médecine occidentale ou chinoise, j’aimerais réellement tout connaître. Cela n’a rien à voir avec mon boulot ni même avec ma formation universitaire, non. Ça a en fait un rapport avec ma mère et sa mort plus que soudaine. En effet, à cause des agissements de mon père, elle a eu beaucoup de soucis. Cela l’a rendue malade et elle a fini par attraper une pneumonie il y a de cela quelques années maintenant. Peut-être que si j’avais pu avoir toutes ces connaissances, j’aurais peut-être pu la sauver ou au moins tenter quelque chose. Mes parents me manquent et j’ai beaucoup de regrets. j’espère au fond que cela me passera un jour.
Mes rêves les plus fous ? (réfléchit) je pense que j'aimerais pouvoir enfin tourner la page et commencer une vie plus sereine. j'suis pas la plus sage des petites soeurs et mon frère s'en rend bien compte. pourtant, je me sens incapable d'arrêter mon petit trafic et ça, parce que je sais au fond de moi qu'il me surveille. ça me permet de le voir plus souvent aussi. alors oui, mon rêve le plus fou ce serait de voir mon frère mettre un terme à nos vies désastreuses pour que l'on puisse enfin vivre comme tous le monde.
lorsque je suis au centre de tous les regards, je suis à ma place. j'adore être le centre de l'attention et ce, même si je ne suis pas la fille la plus réglo. je joue de mon image et j'en profite aussi. après tout, il faut bien que je m'amuse un peu de temps en temps et toute cette agitation autour de moi me fait souvent sourire. j'y peux rien, j'aime ça.
lorsque je suis au centre de tous les regards, je suis à ma place. j'adore être le centre de l'attention et ce, même si je ne suis pas la fille la plus réglo. je joue de mon image et j'en profite aussi. après tout, il faut bien que je m'amuse un peu de temps en temps et toute cette agitation autour de moi me fait souvent sourire. j'y peux rien, j'aime ça.
ma recette du bonheur ? je dirais une soirée canap' devant un bon film sans avoir à s'occuper des affaires. agrémentez tout ça d'une petite bouteille de vin rouge et de quelques amuses-gueules et là, on a la soirée parfaite. ça m'arrive tellement peu de me poser tranquillement chez moi que je pense au fond que cette image de la soirée parfaite est devenue un rêve pour moi. malgré tout, je pense qu'un peu de bon temps passé en famille ou entre amis autour d'un bon film, il n'y a que ça de vrai.
ta plus grande réussite à ce jour ?
plus jeune, j'étais très ambitieuse. lorsque je suis entrée à la fac, je n'avais qu'une idée en tête, devenir avocate. mes parents me soutenaient, ils étaient fiers de moi et je pouvais compter sur l'appui de mon frangin. pourtant, très vite, j'ai compris que je devrais changer de voie. mes parents sont décédés dans des circonstances mystérieuses et mon frère a du reprendre le flambeau. flambeau qui semblait porter le nom d'une célèbre mafia. même s'il me cachait tout ce qui s'y passait, j'ai fini par le convaincre de me faire entrer dans la combine, abandonnant ainsi mes études. aujourd'hui, je dirige un bar sous couvert de m'occuper de quelques affaires urgentes pour le compte de mon frère et même s'il tient à me laisser un peu à l'écart, je porte tout de même le numéro deux du clan. subtile et presque innocente, je cache bien mon jeu et je n'ai plus besoin de tant d'ambitions puisque j'ai déjà tout ce que je désire et même bien plus encore..
de même, ma plus grande réussite peut se résumer au fait que j'ai su, par mes propres moyens, intégrer le clan familial et ainsi, faire ma place au sein de l'organisation. c'est ma plus grande fierté car je ne dois rien à personne et je sais au fond que tout cela n'était que le destin.
de même, ma plus grande réussite peut se résumer au fait que j'ai su, par mes propres moyens, intégrer le clan familial et ainsi, faire ma place au sein de l'organisation. c'est ma plus grande fierté car je ne dois rien à personne et je sais au fond que tout cela n'était que le destin.
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
la chose la plus importante à mes yeux ? (réfléchit) je dirais mon frère. tout simplement parce que je n'ai plus que lui sur cette terre. il est mon équilibre, mon pilier et s'il venait à disparaître, je pense que je ne pourrais plus vivre sereinement sans lui. on est comme les deux doigts de la main, unis et on se soutient toujours. si quelqu'un venait un jour à lui faire du mal, je pense que je ne répondrais plus de rien, quitte à prendre les armes pour venger sa mort s'il le faut. pour moi, rien ne vaut la présence de mon frère à mes côtés. il est plus important à mes yeux que n'importe qui ou n'importe quoi. je dirais même qu'il est vital pour moi.
qu’as-tu ressenti ?
je pense que cette question est faite pour moi (rires). il m'est arrivé plus d'une fois d'user de mes charmes pour arriver à mes fins. je suis un peu la vitrine de l'organisation, prêtant mon physique avantageux pour mettre en valeur le clan. mon frère tenant à rester dans l'ombre, je suis donc celle qui se déplace en plein jour pour régler différentes soucis liés aux affaires de mon grand-frère. je n'ai peur de rien ou du moins je suis capable de tout si c'est dans l'intérêt de notre clan. en revanche, je garderais pour moi tout ce que j'ai bien pu faire d'illégal car je ne tiens pas à être arrêtée en sortant d'ici, sorry. (rires)
Si je devais refaire le monde, je m’arrangerais pour que les femmes aient les mêmes droits que les hommes. D’abord parce qu’on le mérite et ensuite parce qu’on a droit à la même liberté que les hommes. On devrait pouvoir faire ce que l’on veut de notre corps quand on veut et comme on le veut. Alors oui, je pense que pour commencer, je changerais le statut des femmes dans la société et j’ferais en sorte que l’on soit à notre vraie place. Ensuite, je pense que je demanderais à ce que les guerres s’arrêtent enfin. Il y a trop de victimes collatérales et pour l’avoir vécu, je ne le souhaite à personne, vraiment.
j'étais une élève brillante à qui tout réussissait. on me promettait à un grand avenir lorsque j'ai décidé de tout plaquer pour rejoindre mon frère. j'aurais pu devenir une grande avocate, j'avais d'ailleurs passé haut la main mes examens de fin de deuxième année mais voilà, le destin en a voulu autrement et j'ai fini par oublier mes espoirs et envies de justice.
sinon, quelque chose de plus personnel peut-être. mon prénom est celui de mon grand-père maternel, décédé aujourd'hui. ma mère souhaitant un garçon, elle avait choisi ce prénom à l'avance et l'avait imposé à mon père. manque de bol, je suis une fille (rires) cela ne l'a pas empêchée de m'appeler ainsi. je vois ça un peu comme une saveur cachée et j'aime beaucoup le prénom de mon grand-père. aujourd'hui, je m'y suis habituée et j'adore l'idée d'avoir une partie de lui toujours à mes côtés.
sinon, quelque chose de plus personnel peut-être. mon prénom est celui de mon grand-père maternel, décédé aujourd'hui. ma mère souhaitant un garçon, elle avait choisi ce prénom à l'avance et l'avait imposé à mon père. manque de bol, je suis une fille (rires) cela ne l'a pas empêchée de m'appeler ainsi. je vois ça un peu comme une saveur cachée et j'aime beaucoup le prénom de mon grand-père. aujourd'hui, je m'y suis habituée et j'adore l'idée d'avoir une partie de lui toujours à mes côtés.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : It's all my fault. Prénom/pseudo : jihan. Âge : 23 ans. Anniversaire : le 21 janvier. Localisation : IDF. Présence : 5/7. Personnage ... [x] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : via bazzart, un peu par hasard Et je le trouve : magnifique Ma plus grande peur : les araignées, c'est tellement affreux Un dernier mot ?
AVATARS jihan.GIFS tumblr.
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FAITS DIVERS
When I'm with you, all I get is wild thoughts.
« ça suffit, j’en ai assez maintenant. Si tu ne veux pas te plier à ce que je te dis de faire, tu n’as qu’à te débrouiller toute seule » c’est ainsi que mon père me parlait la dernière fois que je le vis. J’étais fille d’un éminent chef de la mafia italienne et je ne m’étais pas rendue compte que ma vie serait un enfer en quittant l’Arabie.
sólo una borrosa imagen ;
Vous pouvez également ajouter des images à votre guise, grâce aux deux codes fournis ci-dessous.
Je suis née un soir d’été dans la magnifique capitale iranienne, téhéran. Ma mère m’avait toujours voulue elle qui était la seconde femme de mon père. Ma mère, c’était une femme si forte. Mon père l’avait rencontrée en Iran alors qu’il effectuait un voyage d’affaires. Il était littéralement tombé amoureux d’elle et avait voulu s’installer avec elle le plus rapidement possible pour fonder une famille ici, dans le pays d’origine de ma mère. Ma mère, très amoureuse, l’avait alors accepté et avait demandé à mon père de se convertir à l’islam afin de pouvoir m’éduquer comme elle le souhaitait. Lorsqu’elle accouchait, choisir mon prénom fut particulièrement difficile. Mon père voulait un prénom italien et ma mère en voulait un iranien. Ils réussirent à trouver un terrain d’entente en m’accordant le prénom de mon grand-père maternel : Soheile. Je suis donc née dans une famille très pratiquante, je me souvenais que mon père représentait l’autorité à la maison tandis que ma mère représentait quant à elle plutôt la douceur de vivre. Je l’aimais. Elle était tellement belle et intelligente que même lorsque j’étais toute petite, j’aurais aimé lui ressembler en grandissant. J’étais très jeune et pourtant, j’avais déjà des facilités qui me permettaient d’appréhender le monde de manière assez objective. Je n’allais pas à l’école, non non. J’étais une fille et la seule chose à laquelle j’avais droit là-bas, c’était à des cours particuliers ainsi qu’aux anecdotes « croustillantes » de ma très chère mère. La seule chose que j’avais le droit de faire était de sortir pour aller à l’école coranique tous les dimanches et encore, je n’y rencontrais aucun garçon. Ma seule distraction était les filles de mon âge … et ma mère. Oui, parce que vous voyez, mon père était très souvent absent à cause de son travail et je ne le voyais que très peu. Ma mère faisait toute mon éducation tandis que mon père s’occupait de la religion le peu de temps que je pouvais le voir en face de moi. et puis, alors que je grandissais plutôt tranquillement dans un pays qui m’oppressait violemment, ma mère tombait gravement malade. Au départ, nous pensions que ce n’était qu’un rhume mais quelques temps plus tard, nous découvrions que cette pneumonie (car s’en était une …) lui serait fatale. Je me suis donc retrouvée seule à l’hôpital principal de la Capitale à pleurer la mort de ma mère qui était si chère à mon cœur. Mon père n’osait même pas apparaître ce jour-là. Je rentrais chez moi l’esprit vide, le corps laiteux alors que je m’asseyais sans vie dans le canapé familial qui avait bercé tant de fois mes plus tendres moments en sa compagnie. Je pleurais son départ. Je regrettais le peu de temps que j’avais pu la côtoyer, elle qui était mon monde en cette si triste vie. Mon père rentrait quelques temps plus tard après avoir passé quelques semaines chez sa première femme en Italie, comme à son habitude. Lorsqu’il essayait de me prendre dans ses bras, je repoussais violemment son étreinte en lui offrant un regard empli d’une douleur qui ne guérirait sûrement jamais. Je continuais malgré tout de vivre.
et puis, il y eut ce changement. Mon père devait déménager en Europe afin de développer la branche occidentale de son « entreprise » et lorsqu’il prit la décision de partir, il m’emmena et … me révéla que je devrais supporter sa première épouse accompagnée de leur propre enfant. Je crus que j’allais vomir de dégoût en découvrant que j’allais partager la vie de cette femme et en arrivant à Bagheria, j’avais déjà échafaudé un plan qui allait la rendre folle de rage. Je découvrais une nouvelle culture qui se voulait bizarrement très accueillante et particulièrement ouverte. Je voyais des femmes vêtues très légèrement, qui riaient gaiement avec des hommes tout aussi courtement habillé et c’est ainsi que je découvrais un nouveau monde. Ma première raillerie fut de quitter le voile intégral au profit d’habits occidentalisés. Après tout, ici j’avais le droit d’aller à l’école et ce n’était pas mon père qui me l’interdirait. Je n’avais aucune envie que ce soit cette femme qui continue mon éducation. Je m’inscris donc dans un lycée de la vil’e et je commençais à transgresser certaines règles de ma religion. Le premier soir, cette femme fit un scandale à mon paternel en exigeant de moi que je m’habille « correctement » devant mon frère. Cela ne me fit ni chaud ni froid et mon père m’excusa ce comportement en disant qu’il fallait bien que je « m’adapte » à la société dans laquelle on avait décidé de vivre. Enfin, dans laquelle IL avait décidé de vivre surtout. C’est à ce moment là que je commençais à découvrir le vrai visage de celui qui était mon grand-frère.
MI VIDA EN LÁMINAS ;
ce frère, je le découvrais bien malgré moi. d'abord parce que mon père nous avait imposé un déménagement de plus, ensuite parce que je n'avais aucune envie d'aller à LA et ce, pour toujours. je râlais, découvrant cette nouvelle villa avec un enthousiasme feint alors que je ne cherchais qu'une seule chose; oublier ma vie si désastreuse. mon frère ? je le découvrais également au fil des jours. plus âgé, plus mature aussi; il semblait être un modèle de droiture pour la jeune fille que j'étais devenue. je ne voulais pas le voir ni même le fréquenter alors pendant longtemps, j'ai fait la morte, l'évitant comme la peste car incapable de voir autre chose que le nom de sa mère gravé dans ses veines. pourtant, il a tenté à maintes reprises de m'approcher, de m'apprivoiser aussi. et ce jour arriva. Mateo. c'était son prénom. j'avais enfin accepté d'échanger quelques mots avec celui qui allait désormais faire partie intégrante de ma famille. il me fallait du temps, beaucoup de temps même. mais que dire à un frère qui vient te chercher gentiment à la sortie du lycée avant de t'emmener tranquillement boire un soda avant de rentrer à la maison ? Rien. j'étais totalement perdue. je ne m'étais jamais imaginée qu'il serait aussi doux et attentionné. de même, j'arrivais enfin à pardonner les erreurs de mon père. j'acceptais ce frère qu'il m'offrait et je commençais à passer tout mon temps libre en sa compagnie. compagnie que j'adorais d'ailleurs. c'est à lui que j'avais présenté mon premier mec avant même de le présenter à mon père. j'avais besoin de son avis, de son approbation aussi et ce qu'il disait sur le jeune espagnol me rassurait. pendant quelques temps, je suis restée avec cet homme qui semblait plaire à mon frère. j'étais vraiment heureuse, heureuse comme je ne l'avais jamais été auparavant pourtant, ce bonheur fut éphémère. après tout, ma vie n'était faite que de regrets et cela semblait continuer à l'infini, comme un serpent qui se mord subitement la queue..
Ouroboros. et ce fameux jour arriva. celui où, apeurés, nous avions perdu notre père et sa mère dans un cambriolage minable. la rancoeur me martelait le coeur avec force. les larmes roulaient le long de mes joues tandis que je serrais mon frère plus que fortement entre mes bras. je venais de rentrer de la fac. j'avais suivi mes cours de droit, comme d'habitude et malheureusement, je n'avais pas été là pour défendre mon père. triste, presque inconsolable, je m'étais contentée d'apporter une épaule solide à mon frère qui semblait lui aussi plus que dévasté. l'enterrement de notre père se fit en petit comité. nous ne voulions pas d'une émeute ou quoi que ce soit d'autre d'ailleurs. quelques temps plus tard, mon frère fut reconnu comme mon tuteur légal mais ... à partir de ce moment-là, je sentis que mon double s'éloignait de moi et j'en fus profondément blessée. je continuais mes cours, à contre-coeur, fréquentant toujours celui que j'aimais jusqu'à ce qu'un soir, en rentrant de la fac, je surpris une conversation téléphonique entre mon frère et ses employés. choquée de voir que mon père et mon frère n'avaient d'intègre que leur nom, je mis des distances avec celui que j'aimais, délaissant le bel espagnol au profit de mes heures d'espionnage. c'est ce qui eut raison de notre relation d'ailleurs.. cherchant toujours à attirer les faveurs de mateo, je pris un malin plaisir à découvrir toutes sortes de choses illicites. Alors que j’étais en pleine adolescence, je me retrouvais donc seule et pleine de libertés. J’allais en profiter à foison et peut-être aussi … à tort. Je sortais presque tous les soirs, découvrant toutes sortes de drogues et autres alcools dont je me rendais totalement folle. Je rentrais le soir en espérant le croiser, voir son regard me transpercer. J’en venais même à espérer une punition peu m’importait la sentence, pourvu qu’il me montre un peu d’intérêt. Mais ce ne fut jamais le cas. et il rentrait, un peu tard comme à son habitude. Je l’attendais de pied ferme, le regard dur, la tête retournée par un verre de whisky bu quelques temps auparavant. Au départ, il ne me calculait même pas, étant au téléphone avec je ne sais pas qui et ça commençait à me taper sur le système si bien que je pris un vase d’une valeur inestimable et je le fracassais avec force sur le sol pour qu’il daigne enfin tourner la tête vers moi et alors que mon frère commençait à hausser le ton, je lui répondais d’un ton dédaigneux « j’m’en fous de ton vase de merde. C’est quoi tous ces trucs à la tv ? C’EST QUOI CETTE SALE AFFAIRE ? T’AS PENSE A MOI ? » tandis que je me retenais de foutre tout en l’air. quelques heures auparavant, j'avais appris via la tv que mon frère était sous le coup d'une mise en examen pour assassinat. perturbée, perdue, je tentais de savoir ce qu'il se passait, ce qu'il allait faire, en vain. la seule chose que j'obtins de lui fut de travailler pour lui. mon but ? attirer son attention alors oui, j'allais travailler pour lui. j'allais faire le sale boulot et il pourrait enfin m'accorder un peu de temps, à moi, sa soeur. vitrine de son organisation, je m'occupais de régler tous les petits soucis liés à son entreprise, me gardant bien de dire quoi que ce soit de plus. de jour comme de nuit, je gère le bar que m'a offert mon frangin en espérant un jour que toute cette vie se termine bien et qu'on puisse enfin avoir une vie normale, loin de tout ça.
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- InvitéInvité
BIENVENUE SUR IAMF
BONNE CHANCE POUR TA PRES'
BONNE CHANCE POUR TA PRES'
- InvitéInvité
- Kai NortonReserve Unit
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Dollars : 3774
Messages : 1975
Date d'inscription : 09/10/2017
Avatar : Adam Senn
Crédits : romanticlove
Autres comptes : Eden H. Snow & James L. Blackwell
Âge du personnage : 27 (08.01)
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Capricorne
Mon personnage, en 5 mots : Farceur - Sportif - Romantique - Attachant - Bagarreur
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Assistant management general manager Lakers
Études (passées ou en cours) : Diplômé Management + Sport Basket
Hobby : Sportif - Son fils - Ses amis - Sa vodka
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : une pianiste
Bienvenue sur IAMF !!!! :) Si tu as la moindre question, n'hésites pas à venir embêter le staff, on aime plutôt bien ça Bon courage pour ta fiche
- InvitéInvité
@Kai Norton ça roule, je retiens merci encore
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