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YESTERDAY'S NEWS |48
- Aaron CampbellI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2587
Messages : 185
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Henry Cavill.
Crédits : Tumblr.
Autres comptes : Alice Collins ft. (Emily Didonato) & Andreas Klein (ft. Marcus Hedbrandh).
Âge du personnage : 39 ans.
Nationalité(s) : Américain.
Signe astrologique : Scorpion
Mon personnage, en 5 mots : Ambitieux. Sociable. Autoritaire. Loyal. Secret.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur d'un musée d'arts.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en photographie et histoire de l'art.
Hobby : Les voyages / les sorties culturelles / le judo / se promener avec Orson, le chien qu'il vient d'adopter / lire son journal avec le verre de whisky le soir quand sa fille est couchée.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Adélaïde Sullivan.
Aaron Campbell
Sans ambition, il n'y a pas de talent.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
Avoir la connaissance absolue ? Même d'un unique sujet, ce doit être d'un ennui ! Car si la curiosité meurt, l'ennui apparaît et quoi de plus horrible que de ne plus rien avoir à découvrir et à apprendre ? Pour autant... Si je devais vraiment choisir, je choisirais l'histoire de la photographie, de sa naissance jusqu'à aujourd'hui. Pour la comprendre encore mieux et m'en éprendre encore plus.
Mes plus grands rêves touchent au voyage et au dépassement de soi. En découvrir toujours plus sur le monde, les autres et par conséquent sur nous-même. Rien ne me rend plus euphorique que de préparer un nouveau voyage et de poser les pieds sur de nouveaux territoires. Aller à l'aventure et à l'encontre des gens, des autres façons de voir le monde. Réaliser que je suis finalement minuscule. Voilà le goût du bonheur. C'est assez étrange, compte tenu de mon béguin et de mon aisance pour les prises de paroles en grand public. Être au centre de tous les regards ne me déplaît pas, bien au contraire. C'est l'essence qui fait tourner le moteur. Mais je suppose que comme toutes les mécaniques, j'ai parfois besoin de décompresser.
C'est, je pense, une recette plutôt simple, à la hauteur de nos ambitions. Le bonheur, ça peut être de se laisser tomber dans un fauteuil le soir et de regarder un un bon feuilleton. Ça peut aussi être de réaliser un rêve. Encore une question piège, donc. Je pense de façon globale que le bonheur appartient à ceux qui se donnent les moyens de réussir et qui n'attendent pas que tout leur tombe dans les mains. Ceux-là n'ont définitivement rien compris.
Il semblerait que j'aie les ambitions d'un trentenaire insatiable. Je ne me cache pas de vouloir que l'on se retourne sur mon passage, que l'on tende l'oreille à l'évocation de mon nom. Mais par dessus tout, je veux que cet intérêt envers ma personne soit honorable et louable. Mon champ de compétence est le domaine artistique, ma réussite ce sont mes entreprises. C'est suffisant ainsi.
Se dépasser pour atteindre ses objectifs c'est important, mais l'essentiel malgré tout, c'est de ne jamais oublier d'où l'on vient. Je ne parle pas forcément du milieu social. Le plus important à mes yeux, c'est de rester toujours fidèle à ceux qui nous soutiennent et qui nous élèvent, jour après jour. Ma famille, les miens de façon plus générale sont ma source d'énergie et oui, à l'évidence, je serais prêt à tout pour les défendre, quitte à devoir attaquer.
Mes valeurs rejoignent le principe du bien commun. Il m'arrive de commettre des infractions, il m'arrive d'avoir de légers écarts de conduite quand on me pousse à bout. Mais je ne suis pas un délinquant et encore moins un criminel. J'ai un énorme respect pour les forces de l'ordre qui ont le mérite de tout donner pour notre sécurité et entre nous, c'est peu de dire qu'elle est mise à mal de nos jours.
Une vie ne suffirait pas pour réfléchir à cette question... C'est le genre de sujet de dissertation impossible à donner et qu'il faudrait diviser en une centaine de parties et sous-parties. Plus sérieusement, je crois que je voudrais un monde plus juste, une humanité plus pacifiste, moins portée sur la religion et une politique bien différente de celle qui nous gouverne. Ceci dit les êtres humains sont tous sauf parfaits et c'est cette imperfection qui est belle. Alors pourquoi vouloir un monde idéal, voire parfait ? A méditer.
Derrière mon apparence d'homme sûr de lui, je dissimule un homme qui doute, tous les jours, et sur des tonnes de choses. Sur les décisions que j'ai prises dans la journée, sur celles que je devrai prendre demain. Sur les choix que j'ai faits pour ma fille. Sur la façon dont je mène ma vie sentimentale. Ce n'est pas facile mais c'est cette éternelle remise en question qui me permet aussi d'avancer plutôt sereinement.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : Im a motherfucker Prénom/pseudo : elea. ge : 26 ans Anniversaire : 5 juillet Localisation : Lyon Présence : 2 à 3 fois par semaine Personnage ... Inventé J'ai connu le forum : Mon petit doigt m'en a parlé Et je le trouve : Not bad Ma plus grande peur : Que les pandas et le chocolat disparaissent Un dernier mot ? #teammojito
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- Aaron CampbellI'm a Mother Fucker
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Date d'inscription : 10/03/2018
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Autres comptes : Alice Collins ft. (Emily Didonato) & Andreas Klein (ft. Marcus Hedbrandh).
Âge du personnage : 39 ans.
Nationalité(s) : Américain.
Signe astrologique : Scorpion
Mon personnage, en 5 mots : Ambitieux. Sociable. Autoritaire. Loyal. Secret.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur d'un musée d'arts.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en photographie et histoire de l'art.
Hobby : Les voyages / les sorties culturelles / le judo / se promener avec Orson, le chien qu'il vient d'adopter / lire son journal avec le verre de whisky le soir quand sa fille est couchée.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Adélaïde Sullivan.
Portrait de la semaine
Aaron Campbell, une fortune de l'ombre.
Il a commencé modestement, en photographiant les grimaces impertinentes de sa sœur cadette. Désormais il tire le portrait de personnalités reconnues dans le monde entier tels que la démocrate Jackie Lacey ou encore, dans un autre genre, la récemment récompensée Frances McDormand pour son rôle dans 3 Billboards – Les Panneaux de la vengeance. L'artiste et entrepreneur Aaron Campbell fait partie de ces hommes à l'ambition infaillible qui appartiennent sans complexe à la catégorie des Américains fortunés et fiers de l'être. L'homme pourtant secret sur sa vie nous ouvre finalement les portes de son studio pour une aparté détendue et intimiste.
On dit de vous que vous êtes le nouveau photographe des stars ; n'est-ce pas réducteur selon vous pour qualifier votre travail ?
Oui et non. C'est une belle partie de mon boulot, mais ça n'est pour autant pas exhaustif. Mes clients ne sont pas que des "stars", il y a aussi des gens qui ne connaissent rien au showbiz et qui franchissent mes portes dans le plus grand anonymat, avec toutes les appréhensions possibles des premières fois en studio. C'est cette polyvalence qui me plaît. D'ailleurs, vous ne devez pas être sans savoir que je ne me dédie pas seulement à la photo.
Ouvrir une galerie d'art est pour vous une consécration ? Plein de gens diront que vous êtes encore jeune, pour vous lancer dans de si grands projets.
C'est une consécration de mes ambitions d'entrepreneur, intimement reliées à mes passions artistiques. Ça ne m'est pas venu tout seul, bien sûr. J'ai rencontré les bonnes personnes, j'ai eu les bonnes opportunités. C'est une partie de chance, assurément. Mais c'est aussi la conséquence d'un travail acharné et d'un goût pour l'effort. On m'a un jour dit d'aller toujours vers l'avant, jamais vers l'arrière. Quitte à se prendre des gamelles, c'est comme ça qu'on apprend et qu'on se relève plus fort. Ce message est poignant et gage de réussite. S'il y a bien une chose que je veux que ma fille retienne de moi, c'est de viser haut et de ne jamais baisser les bras.
L'un de vos rêves est que votre progéniture devienne une redoutable femme d'affaires ?
Si ce n'est la plus redoutable. (Rires) Elle en est encore au stade de l'apprentissage de la parole, alors je laisse mes grands espoirs de père ambitieux au placard. Le plus dur actuellement, c'est d'être assez présent pour elle.
Evidemment, les grandes affaires ne se marient pas facilement avec une vie de famille comblée. D'ailleurs vous êtes très secret sur votre vie privée. Les quelques interviews que vous avez accepté de mener ne font jamais mention d'une vie amoureuse, voire même familiale et votre fille, je suis prêt à parier que peu connaissait son existence. Pourquoi ?
Je considère que cela ne regarde que moi. Mes proches ne sont pas issus de ce milieu à strass qui, on peut le dire, est assez impitoyable. Je suis moi-même toujours partagé entre ce désir d'être dans la lumière et celui d'être en retrait, parce que mon tempérament naturel est loin d'être extravagant. Je ne veux pas être reconnu pour ma personnalité, je veux être reconnu pour mon travail. Ce sont mes services dans le monde artistique qui sont valorisés jusqu'à preuve du contraire.
Vous avez soigneusement évité de nous parler de cette jolie demoiselle apparue à votre bras, il y a quelques mois, lors d'un événement public. Est-ce la mère de votre fille ?
(Rires) Vous connaissez déjà la réponse à cette question, mais s'il faut que je l'assure noir sur blanc alors non, ce n'est pas elle. Cela étant dit, cette jolie demoiselle mériterait que l'on parle d'elle pour bien d'autres choses que ça. Heureusement pour moi, ce n'est pas le point du jour.
Merci pour cette exclu digne des tabloïds. Parlons plus sérieusement. De qui tenez-vous cette ambition infaillible, force de tous vos projets gargantuesques ?
J'aurais aimé vous donner une réponse aussi belle que cliché. Mais mon père est une sorte d'antihéros qui ne m'a enseigné que les pauvres conséquences de la violence et de l'abandon. Les détails de mon enfance n'intéressent personne, j'ajouterai seulement que grandir avec la rancœur et la colère peut dans certains cas être un moteur inespéré d'ambitions. J'avais besoin de donner une force et une trempe à ce nom qui était le sien d'abord, mais aussi et surtout le mien.
C'est une belle leçon. Quelle est la recette du bonheur selon vous ?
L'amour est un ingrédient indispensable. Peu importe la forme qu'il tient dans votre vie. Il donnera quoi qu'il en soit des ailes à celui qui aime. L'envie, celle qui nous pousse à œuvrer et à ne jamais se reposer sur nos lauriers ; l'envie de laisser une trace est plutôt naturelle. Certains n'ont rien, et réussissent pourtant. C'est l'envie de s'en sortir. Si on laisse nos passions nous guider... C'est là qu'on peut s'épanouir pleinement.
Aucune ombre à ce tableau, Aaron ?
(Sourire) Les tableaux ont tous une part d'ombre, mais il n'est pas donné à tout le monde de la voir. Cette interview n'était-elle pas destinée à mettre en avant mes qualités artistiques et entrepreneuriales ?
Touché. D'ailleurs, dites-nous où l'on peut vous retrouver prochainement.
Ici-même, à mon studio de photo situé dans le centre ville de Los Angeles. Pour les plus passionnés des arts, il ne faudra pas hésiter à vous rendre à la Campbell Gallery située au nord de Los Angeles. Vous y trouverez des expositions permanentes et temporaires qui devraient satisfaire toutes les sensibilités artistiques.
Merci pour cette interview Aaron. Je vous souhaite de mener à bien tous vos projets !
Interview d'Aaron Campbell
On dit de vous que vous êtes le nouveau photographe des stars ; n'est-ce pas réducteur selon vous pour qualifier votre travail ?
Oui et non. C'est une belle partie de mon boulot, mais ça n'est pour autant pas exhaustif. Mes clients ne sont pas que des "stars", il y a aussi des gens qui ne connaissent rien au showbiz et qui franchissent mes portes dans le plus grand anonymat, avec toutes les appréhensions possibles des premières fois en studio. C'est cette polyvalence qui me plaît. D'ailleurs, vous ne devez pas être sans savoir que je ne me dédie pas seulement à la photo.
Ouvrir une galerie d'art est pour vous une consécration ? Plein de gens diront que vous êtes encore jeune, pour vous lancer dans de si grands projets.
C'est une consécration de mes ambitions d'entrepreneur, intimement reliées à mes passions artistiques. Ça ne m'est pas venu tout seul, bien sûr. J'ai rencontré les bonnes personnes, j'ai eu les bonnes opportunités. C'est une partie de chance, assurément. Mais c'est aussi la conséquence d'un travail acharné et d'un goût pour l'effort. On m'a un jour dit d'aller toujours vers l'avant, jamais vers l'arrière. Quitte à se prendre des gamelles, c'est comme ça qu'on apprend et qu'on se relève plus fort. Ce message est poignant et gage de réussite. S'il y a bien une chose que je veux que ma fille retienne de moi, c'est de viser haut et de ne jamais baisser les bras.
L'un de vos rêves est que votre progéniture devienne une redoutable femme d'affaires ?
Si ce n'est la plus redoutable. (Rires) Elle en est encore au stade de l'apprentissage de la parole, alors je laisse mes grands espoirs de père ambitieux au placard. Le plus dur actuellement, c'est d'être assez présent pour elle.
Evidemment, les grandes affaires ne se marient pas facilement avec une vie de famille comblée. D'ailleurs vous êtes très secret sur votre vie privée. Les quelques interviews que vous avez accepté de mener ne font jamais mention d'une vie amoureuse, voire même familiale et votre fille, je suis prêt à parier que peu connaissait son existence. Pourquoi ?
Je considère que cela ne regarde que moi. Mes proches ne sont pas issus de ce milieu à strass qui, on peut le dire, est assez impitoyable. Je suis moi-même toujours partagé entre ce désir d'être dans la lumière et celui d'être en retrait, parce que mon tempérament naturel est loin d'être extravagant. Je ne veux pas être reconnu pour ma personnalité, je veux être reconnu pour mon travail. Ce sont mes services dans le monde artistique qui sont valorisés jusqu'à preuve du contraire.
Vous avez soigneusement évité de nous parler de cette jolie demoiselle apparue à votre bras, il y a quelques mois, lors d'un événement public. Est-ce la mère de votre fille ?
(Rires) Vous connaissez déjà la réponse à cette question, mais s'il faut que je l'assure noir sur blanc alors non, ce n'est pas elle. Cela étant dit, cette jolie demoiselle mériterait que l'on parle d'elle pour bien d'autres choses que ça. Heureusement pour moi, ce n'est pas le point du jour.
Merci pour cette exclu digne des tabloïds. Parlons plus sérieusement. De qui tenez-vous cette ambition infaillible, force de tous vos projets gargantuesques ?
J'aurais aimé vous donner une réponse aussi belle que cliché. Mais mon père est une sorte d'antihéros qui ne m'a enseigné que les pauvres conséquences de la violence et de l'abandon. Les détails de mon enfance n'intéressent personne, j'ajouterai seulement que grandir avec la rancœur et la colère peut dans certains cas être un moteur inespéré d'ambitions. J'avais besoin de donner une force et une trempe à ce nom qui était le sien d'abord, mais aussi et surtout le mien.
C'est une belle leçon. Quelle est la recette du bonheur selon vous ?
L'amour est un ingrédient indispensable. Peu importe la forme qu'il tient dans votre vie. Il donnera quoi qu'il en soit des ailes à celui qui aime. L'envie, celle qui nous pousse à œuvrer et à ne jamais se reposer sur nos lauriers ; l'envie de laisser une trace est plutôt naturelle. Certains n'ont rien, et réussissent pourtant. C'est l'envie de s'en sortir. Si on laisse nos passions nous guider... C'est là qu'on peut s'épanouir pleinement.
Aucune ombre à ce tableau, Aaron ?
(Sourire) Les tableaux ont tous une part d'ombre, mais il n'est pas donné à tout le monde de la voir. Cette interview n'était-elle pas destinée à mettre en avant mes qualités artistiques et entrepreneuriales ?
Touché. D'ailleurs, dites-nous où l'on peut vous retrouver prochainement.
Ici-même, à mon studio de photo situé dans le centre ville de Los Angeles. Pour les plus passionnés des arts, il ne faudra pas hésiter à vous rendre à la Campbell Gallery située au nord de Los Angeles. Vous y trouverez des expositions permanentes et temporaires qui devraient satisfaire toutes les sensibilités artistiques.
Merci pour cette interview Aaron. Je vous souhaite de mener à bien tous vos projets !
IMAGES Photo tirée de The Rake Magazine
- Clarence M. BurnsI'm a Mother Fucker
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Messages : 85
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : Chris Hemsworth
Âge du personnage : 34 ans
Nationalité(s) : Américain
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : Investissement, animalité, protection, communauté, autrui
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Responsable du secteur félin au zoo de L.A.
Études (passées ou en cours) : Diplômé d'un master en Ecology & Evolutionary Biology
Hobby : Surfeur émérite, grand basketteur, toujours partant pour se bouger les fesses, puis les voyages et ses animaux.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Leaven Campbell
Dans mes bras, mon bébé. #BURBELL
- Leaven S. CampbellKingdom Come
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Messages : 288
Date d'inscription : 09/03/2018
Avatar : Bar Refaeli.
Crédits : monroe (ava) • TUMBLR (img sign) • ROGERS. (code sign)
Autres comptes : Adélaïde Sullivan & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : Trente-et-un ans. (05/07)
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Cancer
Mon personnage, en 5 mots : Naturelle • Débrouillarde • Aveugle • Drôle • Engagée • Maman.
Quartier de résidence : Northeast
Carrière, métier ou job : Animatrice Radio sous le pseudonyme de Swaden.
Études (passées ou en cours) : Etudes de communication puis de presse.
Hobby : Association en faveur des animaux.
Orientation sexuelle : Pansexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Clarence Burns depuis le 1er janvier 2014.
Mon frèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèère
Mon amoureux aussi sous une autre tronche.
Trop trop trop trooooop hâte.
Bienvenue à la maison mon chaton.
Mon amoureux aussi sous une autre tronche.
Trop trop trop trooooop hâte.
Bienvenue à la maison mon chaton.
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2595
Messages : 700
Date d'inscription : 12/11/2017
Avatar : Dave Franco
Crédits : smmg bae
Âge du personnage : 27 ans
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
Bienvenue !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche
Bon courage pour la rédaction de ta fiche
- Aaron CampbellI'm a Mother Fucker
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Messages : 185
Date d'inscription : 10/03/2018
Avatar : Henry Cavill.
Crédits : Tumblr.
Autres comptes : Alice Collins ft. (Emily Didonato) & Andreas Klein (ft. Marcus Hedbrandh).
Âge du personnage : 39 ans.
Nationalité(s) : Américain.
Signe astrologique : Scorpion
Mon personnage, en 5 mots : Ambitieux. Sociable. Autoritaire. Loyal. Secret.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : Directeur d'un musée d'arts.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en photographie et histoire de l'art.
Hobby : Les voyages / les sorties culturelles / le judo / se promener avec Orson, le chien qu'il vient d'adopter / lire son journal avec le verre de whisky le soir quand sa fille est couchée.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Adélaïde Sullivan.
Clarence M. Burns a écrit:Dans mes bras, mon bébé. #BURBELL
Ma star. Nos soirées
Leaven S. Campbell a écrit:Mon frèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèère
Mon amoureux aussi sous une autre tronche.
Trop trop trop trooooop hâte.
Bienvenue à la maison mon chaton.
Ma soeur.
Quel décolleté ! Je me retiens de te dire d'aller te rhabiller pour cette fois.
Kennedy Greenfield a écrit:HENRYYYYY
Ouelcome sur IAMF
Je ne connaissais pas ta demoiselle en avatar... Jolis yeux, entre autres choses.
Oscar Luccheti a écrit:*pince ses fesses et repart*
Ouh. C'est tout ?
Merci à tous les copains.
- InvitéInvité
Ça suffit, je pense, non ?
Finis ta fiche et je te pincerai autre chose
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