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YESTERDAY'S NEWS |48
- InvitéInvité
WAYDE LLOYD-DAWSON
Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
Je pense qu'on a beau être professionel dans son métier, il y aura toujours des choses sur lesquels on sera succeptible de buter. Alors si je pouvais avoir des connaissances absolues et parfaites dans un domaine, ça serait dans la communication, la publicité et le management. Mais comme j'ai déjà pas mal de compétences à ce niveau, il serait peut-être plus intéressant de se soucier d'un milieu plus éloigné. Le corps humain par exemple ? L'univers ou la science ? Toutes ses choses qui restent un mystère complet pour moi. Pourquoi, comment, qui ? Je voudrais pouvoir expliquer au monde toutes ses choses qu'on arrive toujours pas à expliquer.
Techniquement, je peux réaliser le plus commun des rêves assez facilement. Disons alors que mon niveau d’exigence est différent d’un individu lambda. C’est quoi le rêve d’un type fortuné au fond ? Trouver une bonne petite femme honnête et sexy ? Maintenir son quota de bénéfice à vie ? Fonder sa vie de famille ? La paix dans le monde peut-être ? Ou alors carrément se retrouver projeter dans le monde de Star Wars ou d'Harry Potter ? Ouais ce sont toutes ses petites choses qui sont, soit impossibles, soit indépendantes de notre volonté.
Il m’arrive souvent d’être au centre des regards, et je tente de l'ignorer. Je suis pas du genre à me la péter, à orner mon visage d’un air supérieur. Le gens me connaissent parce que je traine un peu partout, parce que je suis l’une des richesses de la ville et plutôt sympa à regarder. Les autres, je m'en fiche, je vie pour moi. Alors tout ça, ça m’amuse, simplement.
Ingrédient numéro 1 : réaliser ses rêves. On revient un peu à la question précédente là, non ? Du coup je vais la jouer simple. Divorcer de Janae, ça serait déjà un bonheur jouissif. Si, je fou ça dans une recette bien spécifique parce que c’est ce que tout le monde penserait. Elle est canon, certes, mais ravale ta bave parce que ça ne fait pas tout. Bref, ajoutez de l’argent, de la femme, des passions, de l’alcool et de la weed, et vous aurez ma recette personnelle du bonheur. Cliché hein ? Oui, pourtant tout le monde n'en bénéfice pas.
ta plus grande réussite à ce jour ?
La simple existence de mes ambitions ne fait aucun doute. Non seulement j’ai des désirs forts et des volontés incurables, mais en plus j’ai la détermination de les accomplir. Je ne cherche pas la gloire ou la reconnaissance. Je veux pouvoir prouver à mon père et à moi-même, que moi aussi, je peux réussir. Je veux pouvoir montrer à ce monde de pistonnés qu’on ne fait pas tous parti du même paquet de branleurs. Je veux changer les règles de ce monde qui se barre en vrille, ce monde qui n'a plus aucun sens. La boîte dans laquelle je travail, c’est mon père qui la monter. Il attendait que je termine mes études et que je lui prouve ma valeur avant de faire de moi le co-PDG de son bébé sur béton. Alors ma plus grande réussite ? C’est d’être arrivé là où je le voulais. C’est de continuer à pratiquer ce qui me passionne tout en gagnant si bien ma vie, le nez plongé dans mon propre nombril. Tu sais le petit trou au niveau de mes abdos ? Tu peux venir tâter si tu veux ; c’est tout dure.
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
En dehors de ma carrière bâtit avec ardeur ? Mon entourage, aussi simplement que ça. J'ai beau tenir fortement à ma carrière et me qualifier comme le petit loup solitaire, sans un entourage, on est rien. On a beau avoir toutes les forces qu'il faut pour grimper, si jamais on se pète la gueule un jour, on souhaite vivement que quelqu'un en bas nous tende les bras et nous rattrape. J'ai un comité privé assez restreint, je peux ne pas les voir pendant des mois tellement mes attaches sont fragiles. Mais je les aimes. Je pourrais saigner pour eux. Si je pourrais même me ruiner ? Oui. Enfin, si je suis sûre de pouvoir remonter la pente disons. Il y'a toujours moyen de s'arranger. Anticiper, préparer le terrain, négocier droitement le virage, c'est dans mes cordes. Je trouve toujours un arrangement.
qu’as-tu ressenti ?
Qui n'a pas déjà fait quelque chose d'illégal de nos jours hein ? Ce monde se barre en couille, y'a qu'à foutre le nez dehors pour le sentir. Entre le téléchargement, le trafic de chite, l’infidélité et la tricherie, l'illégalité nous offre un éventail plein et facile de ses nombreuses activités. Oui, j'ai déjà fais chacune de ses choses, de la criminalité vraiment ridicule tant elle est minime et devenue presque naturelle. Mais en toute honnêteté, je suis radin. Je voulais sauver les meubles, alors j'ai déjà détourné de l'argent. Mais surtout, je possède un compte dans un paradis fiscale. Aux Seychelles, si tu veux savoir. Ouais je me suis battu pour monter au sommet, mais le bief ne tombe pas du ciel non plus. Tu te bat toute ta vie, tu sue comme un porc et on te vole comme un chien. J'obtiens assez souvent ce que je veux, pas toujours au plus saint, mais qui s'en carre ? Plus rien n'a de sens aujourd'hui de toute manière.
Rien n'a plus de sens. J'aimerais la jouer égoïste, déclarer que je n'aurais aucune raison de refaire le monde temps que ça marche pour moi. L'illégalité est un cadeau du ciel si vous voulez mon avis. Tout ce qui est illégal, on le fait. On le fait parce que ça nous fait du bien, parce qu'on kiffe ce qui nous est interdit. Aujourd'hui l'homme se sent au dessus des lois. Il méprise la société et efface les règles qui nous empêchent encore de retourner à l'état primaire. Je ne sais pas où on va. Je suis manager et PDG d'une entreprise, pas politicien. Je suis électeur, pas représentant. Je devrais me bouger le cul pour ce monde de merde, mais je suis déjà trop occupé à me gérer moi-même. On peut pas faire vivre une économie et gérer en parallèle une bande de gamins qui transforment le monde en garderie. Chacun son rôle. Refaire le monde ? C'est beau, tentant, excitant, fort et puissant, j'y penserais à l'occasion. Mais pas maintenant.
Il y a des tonnes de choses que vous ignorez encore. Parler de moi, de mon caractère, de mes passions, ça t'intéresse ou tu veux savoir autre chose ? Bref, c'est une partie libre à ce que je sache.
Firstly, je suis un véritable sans gêne. Je n'ai aucun mal à dire ce que je pense et à agir comme ma spontanéité me dit d’agir. Un comportement qui me fait littéralement passer pour un gros, mais c'est un peu ce que je suis au fond. En tout cas, on ne peut pas me reprocher d’être hypocrite, c’est déjà ça. Sans grande générosité, occupé à prendre soin de mon propre cul, l’état des inconnus m'est fortement égal tant que ça n’a aucune influence directe sur moi.
Tout dans les muscles, rien dans le cerveau ? Ce n’est même pas le cas. Je suis terriblement malin, stratège, j'ai plein de contacts et j'apprends plutôt vite. Je n’exprime pas facilement mes sentiments, je suis du genre à m’être endurcit avec le temps, à laissé une part de mystère derrière moi. Du genre solitaire, je peux ne pas donner de nouvelles pendant une semaine, voir plus, mais je serais toujours là à l’arrivée. Comme un loup solitaire toujours et éternellement attaché à sa meute. Présent sur tous les fronts, toujours là où on ne l'attend pas.
Une blonde, une brune, une rousse, peu importe, tant qu’elle me revient. L’amour ? Je pense que ça existe, et pourtant, je n'ai jamais dis à aucun être sur terre que je l'aimais. Pas depuis mes 13 ans en tout cas. C'est superflu.
Adepte de la musculation, je pourrais bouffer des tacos et des Burritos tous les jours. Je deviens une véritable tornade lorsque je suis saoul, aussi débile et attardé que Michael Angelo dans les tortues ninjas. Je fume de temps en temps, et de temps à autre je me contente même de quelques joints. Entre potes c'est toujours sympa. Pour finir, je pratique la motocross depuis que j'ai 12 ans, et de la boxe depuis que j'en ai 20.
En plus de diriger une agence de PUB, je suis en parallèle manager de quelques vedettes et petites star en devenir. Des partenariats sympas, j'ai tout sous la main, et c'est totalement à notre avantage. Celle qui fut le tremplin de cette carrière qui m'est propre, ce fut Coco Rhodes. Une enfant à l'époque. Une jeunesse que j'ai pris sous le coude mais que j'ai bêtement perdu. Je voulais la prévenir. Je m'en suis soucié, et elle m'a planté.
Ça va les anecdotes, ou t'as besoin d'en savoir plus ? Non parce que je suis à cours d'idée là. Tu veux pas la taille de mon pénis aussi ?
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [•] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : Léa aka .bipolar Âge : 20 ans. Anniversaire : 21 Décembre, merci de demander Localisation : Mulhouse, en Alsace Présence : 7/7. Personnage ... [•] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : grâce à Luis/Amiel avec qui je vais me faire un plaisir de RP à nouveau. Je vous préviens, on arrive en meute là, je suis que le premier . Et je le trouve : original et très acceuillant . Ma plus grande peur : really ? genre les clowns, ou les vrais gros stress de la vie comme l'échec ? Un dernier mot ? je crois que je connais plus de monde que ce je pensais ici. Love u allready
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
Parce qu'avant de pouvoir marcher vers l'avenir et vivre avec les autres, il faut savoir compter son histoire.
Faits divers... tu compare vraiment ma putain de vie à une page de magasine d'informations là ?
Vous connaissez cette pensée évidente qui nous hante l’esprit à chaque fin de film ? Lorsqu’on se dit que tout ce qu’on vient de voir, ça n’arrive vraiment que dans ses bandes d’images à la con ? Ce moment où on se rend compte que la réalité est toute autre ? Qu’elle soit meilleure ou pire, elle semble soudainement différente, comme si on était passé dans un monde parallèle et que le vrai monde nous rattrapait soudainement. Eh bien je m’étais planté. Entre l’imaginaire et la réalité, il n’y a finalement qu’un pas. T’as hâte de savoir maintenant, hein ?
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« Vegas. Demain. » Avait-il si agréablement déclaré en jetant un dossier sur mon bureau. J’aime mon métier, sincèrement. Et puis je ne crache pas non plus sur autant de dollars par mois. Seulement, il y a des mots pour dire les choses. Mais quand ton patron s'agit être ton père, PDG de l’entreprise de publicité dont tu es le simple co-président, tu te sens légèrement étouffé par la présence familiale massacrante. Se contenter alors de froncer les sourcils et d’offrir une esquisse emmerdée à son paternel, paré malgré tout à répondre aux ordres qui ne laissent aucun choix. "Encore un gosse de riche pistonné, et nia nia nia." Fermes ta gueule, un conseil. J’ai travaillé dure pour en arriver là. J’ai grandis avec un père qui ne fait pas de cadeau, pour qui le succès et l’estime se méritent. J’ai grandis dans une éducation stricte bien qu’on ne manquait de rien. Mais tout avoir ne devrait jamais dispenser un homme de se battre. Des études, des petits boulots, il s’est assuré que rien ne me sois servi sur un plateau. Il ne pourrait pas donner ce job à un incapable, même si son sang coule dans les veines de l’imbécile heureux en question. On s’aime, beaucoup. Et pourtant, je suis en constant conflit avec lui, au centre de cette compétition du plus fort, du plus avenant, du plus combatif, de celui qui aura le mieux réussi sa vie. C’est comme ça depuis que j’ai 16 ans. J’ai pas franchement grandit en me noyant dans l’amour, les Bisounours et à la barbe à papa. Ma vie est une compétition, une détermination, une amibition constante. Ca se ressent dans mon comportement, dans mes traits de caractère. Je montre au monde que je peux faire tout ce dont j’ai envie. Ce que je veux, je l’obtiens, et pas toujours dans la légalité. A la fois puissant et terriblement dégradé, voilà comment je me sens. Par les fortes responsabilités dont je m’imprègne, mais aussi ses conneries qui s’enchaînent les unes après les autres. Une fois qu’on commence, on y prend goût. On s’y frotte, on s’y pique, certes, mais la sensation est magique.
Bref. Cette vision des choses a construit l’homme respectable qu’il est devenu, comme son père avant lui. En vérité, j’ai l’impression de m’être battu toute ma vie par le simple fait d’avoir grandis sans présence féminine. Maman, dont je ne vous ai pas encore parlé visiblement. Maman, le sujet sensible. Anthea Lloyd. C'est de ses racines que je porte ce nom extravagant. C'est en sa mémoire, que j'ai il y a peu, adopté son nom et provoqué cette mixture originale. Une femme pleine de vie et d'optimisme, envolée dès mon plus jeune âge. Partie rejoindre les multiples étoiles recouvrant le ciel. Alors j’ai tendance à ne pas savoir comment agir avec elles. Les Femmes. Séducteur, certes, mais y’a des étapes indispensables et j’ai tendance à les friper comme un vulgaire chiffonnier. Je sais séduire, mais après ? Et si on en parlait de ses étapes ? Si je vous disais que je les ai toutes vécus en une journée top chrono ?
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Vegas. J'étais venu pour le travail, et uniquement pour le travail. D'accord, je m'étais offert une nuit de plus parce que j'avais pensé me faire plaisir. Mais en vérité, c'était la nuit de trop.
Elle était belle, souriante, drôle et cultivée. Elle avait tout pour plaire. Elle vit à LA et connaît mon meilleur ami. Je n'avais jamais eu l'occasion de la voir. J'ai juste vaguement entendu parler d'elle. Alors disons que je l'ai rencontré à Vegas, lors de mon deuxième jour. J'ai littérallement passé ma soirée avec elle. Des heures durant on s'était tous deux embarqués dans les folies festives de Vegas. Je me suis éclaté comme un malade. Mais surtout, je crois n'avoir jamais autant picolé de ma vie. Je ne sais pas ce qu'on a prit, mais il n'y avait certainement pas que de l'alcool dans ses verres. Je me souviens très bien du début de la soirée, quand je l'ai trouvé superbe. En milieu de soirée, je commençais à jouer de mes charmes, j'osais les approches tactiles et je zonais autour de ses sourires aguicheurs. Ça devait être une rencontre banale, un coup d'un soir si ça avait été possible. Mais il fut cette troisième partie de la soirée dont je ne me souviens absolument pas. Un trou noir en ce qui concerne le déroulement des événements, un voile flou en ce qui touche nos actes. Je me souviens juste l'avoir trouvé parfaite, avant de l'avoir emmené dans ma chambre d'Hôtel.
Se réveiller aux côtés d'un jolie femme, espérer pourtant qu'on soit toujours endormis et vivement enfuis dans un rêve et que rien de tout ça ne soit réel. Parce qu'elle était devenue plus que le coup d'un soir. Parce que cette bague qui orna nos deux mains fut le signe d'un engagement bien plus conséquent. Ouais, c'est bien là que je voulais en venir. Quand je parlais de ses films à la con qui s'éloignent de la réalité, de ses publicités que j'orchestre et qui embellissent la vérité. L'imaginaire, la tragi-comédie, l'absurde, quant tout devient aussi réel que ta paire de balls. Ouais j'avais envie de crever. Et je le veux toujours. Elle n'est pas celle que j'avais rencontré. Toujours aussi belle, mais si différente à l'intérieur. J'ai épousé une véritable inconnue alors que je n'étais plus maître de mon corps et de mon esprit. Une inconnue complètement différente de moi. Elle est mon inverse parfait. Un opposé exact avec lequel je me suis empressé de rentrer pour demander le divorce. Une âme contraire dont l'initial orne à présent mon omoplate. J'ai prié pour que ce soit un faux. J'ai voulu pleurer aussi. Mais "J" est inscrit sur ma peau.
Je ne l'aime pas, qu'on se le dise. C'est une idiote. Une véritable idiote qui porte mon nom, si elle ne le souille pas carrément. Elle porte le nom de ma défunte mère putain. Je suis dégoûté. Dégoûté que cet enfoiré de juge ai décidé de jouer avec nous plutôt que d'accepter notre demande et d'opérer au divorce. On a fait une connerie monumentale, et comme si nous n'en payions pas assez les frais, il souhaite à ce qu'on soit doublement punit. On doit attendre. Attendre quoi, hein ? Qu'on tombe amoureux et qu'on se marie une seconde fois ? Il est fou. Il veut que ça nous serve de leçon, que plus jamais nous ne baffions à tel point l'engagement important et signifiant qu'est le mariage. Cette union, elle me fou clairement dans la merde. Mon père me tuerait s'il apprenait les conditions de mon mariage. Pire encore, ma notoriété est en jeu, sans oublier celle de l'entreprise. Crédibilité, notoriété, fierté, tout ce que vous voulez, c'est baffoué. Tout ça, c'était il y a quelques semaines à peine. Mon Père ne le sait pas encore, et je ne pourrais le lui cacher bien longtemps. Ce n'est que le début.
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Now a day ? Je suis malheureusement marié à l'invivable, je vie dans un beau loft plutôt luxueux, et je suis toujours co-PDG de l'agence de PUB de mon Père. En parrallèle je n'ai jamais quitté cette fonction de manager à mes heures perdues. Elle me plaît, elle me libère. Toujours flippé à l'idée que ce mariage ridicule foute ma vie en l'air, j'agis comme s'il n'en était rien. Je vie et j'attends bêtement l'accord du procureur. Pourtant je me dois d'agir droitement, d'être au plus cool avec elle. Imaginez qu'elle ne signe jamais les papiers finalement ? Je ne sais pas ce que la vie me réserve encore, et ce que mes conneries vont provoquer. Mais peu importe ce qui se mettra en travers de ma route, je ne cesserais jamais de me battre.
FIRE STARTING IN MY HEART
Vous connaissez cette pensée évidente qui nous hante l’esprit à chaque fin de film ? Lorsqu’on se dit que tout ce qu’on vient de voir, ça n’arrive vraiment que dans ses bandes d’images à la con ? Ce moment où on se rend compte que la réalité est toute autre ? Qu’elle soit meilleure ou pire, elle semble soudainement différente, comme si on était passé dans un monde parallèle et que le vrai monde nous rattrapait soudainement. Eh bien je m’étais planté. Entre l’imaginaire et la réalité, il n’y a finalement qu’un pas. T’as hâte de savoir maintenant, hein ?
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« Vegas. Demain. » Avait-il si agréablement déclaré en jetant un dossier sur mon bureau. J’aime mon métier, sincèrement. Et puis je ne crache pas non plus sur autant de dollars par mois. Seulement, il y a des mots pour dire les choses. Mais quand ton patron s'agit être ton père, PDG de l’entreprise de publicité dont tu es le simple co-président, tu te sens légèrement étouffé par la présence familiale massacrante. Se contenter alors de froncer les sourcils et d’offrir une esquisse emmerdée à son paternel, paré malgré tout à répondre aux ordres qui ne laissent aucun choix. "Encore un gosse de riche pistonné, et nia nia nia." Fermes ta gueule, un conseil. J’ai travaillé dure pour en arriver là. J’ai grandis avec un père qui ne fait pas de cadeau, pour qui le succès et l’estime se méritent. J’ai grandis dans une éducation stricte bien qu’on ne manquait de rien. Mais tout avoir ne devrait jamais dispenser un homme de se battre. Des études, des petits boulots, il s’est assuré que rien ne me sois servi sur un plateau. Il ne pourrait pas donner ce job à un incapable, même si son sang coule dans les veines de l’imbécile heureux en question. On s’aime, beaucoup. Et pourtant, je suis en constant conflit avec lui, au centre de cette compétition du plus fort, du plus avenant, du plus combatif, de celui qui aura le mieux réussi sa vie. C’est comme ça depuis que j’ai 16 ans. J’ai pas franchement grandit en me noyant dans l’amour, les Bisounours et à la barbe à papa. Ma vie est une compétition, une détermination, une amibition constante. Ca se ressent dans mon comportement, dans mes traits de caractère. Je montre au monde que je peux faire tout ce dont j’ai envie. Ce que je veux, je l’obtiens, et pas toujours dans la légalité. A la fois puissant et terriblement dégradé, voilà comment je me sens. Par les fortes responsabilités dont je m’imprègne, mais aussi ses conneries qui s’enchaînent les unes après les autres. Une fois qu’on commence, on y prend goût. On s’y frotte, on s’y pique, certes, mais la sensation est magique.
Bref. Cette vision des choses a construit l’homme respectable qu’il est devenu, comme son père avant lui. En vérité, j’ai l’impression de m’être battu toute ma vie par le simple fait d’avoir grandis sans présence féminine. Maman, dont je ne vous ai pas encore parlé visiblement. Maman, le sujet sensible. Anthea Lloyd. C'est de ses racines que je porte ce nom extravagant. C'est en sa mémoire, que j'ai il y a peu, adopté son nom et provoqué cette mixture originale. Une femme pleine de vie et d'optimisme, envolée dès mon plus jeune âge. Partie rejoindre les multiples étoiles recouvrant le ciel. Alors j’ai tendance à ne pas savoir comment agir avec elles. Les Femmes. Séducteur, certes, mais y’a des étapes indispensables et j’ai tendance à les friper comme un vulgaire chiffonnier. Je sais séduire, mais après ? Et si on en parlait de ses étapes ? Si je vous disais que je les ai toutes vécus en une journée top chrono ?
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Vegas. J'étais venu pour le travail, et uniquement pour le travail. D'accord, je m'étais offert une nuit de plus parce que j'avais pensé me faire plaisir. Mais en vérité, c'était la nuit de trop.
Elle était belle, souriante, drôle et cultivée. Elle avait tout pour plaire. Elle vit à LA et connaît mon meilleur ami. Je n'avais jamais eu l'occasion de la voir. J'ai juste vaguement entendu parler d'elle. Alors disons que je l'ai rencontré à Vegas, lors de mon deuxième jour. J'ai littérallement passé ma soirée avec elle. Des heures durant on s'était tous deux embarqués dans les folies festives de Vegas. Je me suis éclaté comme un malade. Mais surtout, je crois n'avoir jamais autant picolé de ma vie. Je ne sais pas ce qu'on a prit, mais il n'y avait certainement pas que de l'alcool dans ses verres. Je me souviens très bien du début de la soirée, quand je l'ai trouvé superbe. En milieu de soirée, je commençais à jouer de mes charmes, j'osais les approches tactiles et je zonais autour de ses sourires aguicheurs. Ça devait être une rencontre banale, un coup d'un soir si ça avait été possible. Mais il fut cette troisième partie de la soirée dont je ne me souviens absolument pas. Un trou noir en ce qui concerne le déroulement des événements, un voile flou en ce qui touche nos actes. Je me souviens juste l'avoir trouvé parfaite, avant de l'avoir emmené dans ma chambre d'Hôtel.
Se réveiller aux côtés d'un jolie femme, espérer pourtant qu'on soit toujours endormis et vivement enfuis dans un rêve et que rien de tout ça ne soit réel. Parce qu'elle était devenue plus que le coup d'un soir. Parce que cette bague qui orna nos deux mains fut le signe d'un engagement bien plus conséquent. Ouais, c'est bien là que je voulais en venir. Quand je parlais de ses films à la con qui s'éloignent de la réalité, de ses publicités que j'orchestre et qui embellissent la vérité. L'imaginaire, la tragi-comédie, l'absurde, quant tout devient aussi réel que ta paire de balls. Ouais j'avais envie de crever. Et je le veux toujours. Elle n'est pas celle que j'avais rencontré. Toujours aussi belle, mais si différente à l'intérieur. J'ai épousé une véritable inconnue alors que je n'étais plus maître de mon corps et de mon esprit. Une inconnue complètement différente de moi. Elle est mon inverse parfait. Un opposé exact avec lequel je me suis empressé de rentrer pour demander le divorce. Une âme contraire dont l'initial orne à présent mon omoplate. J'ai prié pour que ce soit un faux. J'ai voulu pleurer aussi. Mais "J" est inscrit sur ma peau.
Je ne l'aime pas, qu'on se le dise. C'est une idiote. Une véritable idiote qui porte mon nom, si elle ne le souille pas carrément. Elle porte le nom de ma défunte mère putain. Je suis dégoûté. Dégoûté que cet enfoiré de juge ai décidé de jouer avec nous plutôt que d'accepter notre demande et d'opérer au divorce. On a fait une connerie monumentale, et comme si nous n'en payions pas assez les frais, il souhaite à ce qu'on soit doublement punit. On doit attendre. Attendre quoi, hein ? Qu'on tombe amoureux et qu'on se marie une seconde fois ? Il est fou. Il veut que ça nous serve de leçon, que plus jamais nous ne baffions à tel point l'engagement important et signifiant qu'est le mariage. Cette union, elle me fou clairement dans la merde. Mon père me tuerait s'il apprenait les conditions de mon mariage. Pire encore, ma notoriété est en jeu, sans oublier celle de l'entreprise. Crédibilité, notoriété, fierté, tout ce que vous voulez, c'est baffoué. Tout ça, c'était il y a quelques semaines à peine. Mon Père ne le sait pas encore, et je ne pourrais le lui cacher bien longtemps. Ce n'est que le début.
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Now a day ? Je suis malheureusement marié à l'invivable, je vie dans un beau loft plutôt luxueux, et je suis toujours co-PDG de l'agence de PUB de mon Père. En parrallèle je n'ai jamais quitté cette fonction de manager à mes heures perdues. Elle me plaît, elle me libère. Toujours flippé à l'idée que ce mariage ridicule foute ma vie en l'air, j'agis comme s'il n'en était rien. Je vie et j'attends bêtement l'accord du procureur. Pourtant je me dois d'agir droitement, d'être au plus cool avec elle. Imaginez qu'elle ne signe jamais les papiers finalement ? Je ne sais pas ce que la vie me réserve encore, et ce que mes conneries vont provoquer. Mais peu importe ce qui se mettra en travers de ma route, je ne cesserais jamais de me battre.
IMAGES FEU ARDENT
- Adélaïde SullivanKingdom Come
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Dollars : 3603
Messages : 497
Date d'inscription : 12/03/2018
Avatar : Nina Agdal
Crédits : malbe (ava) • anesidora (code sign)
Autres comptes : Leaven S. Campbell & Gwyneth Barclay.
Âge du personnage : trente-deux ans (21/03/1990)
Nationalité(s) : Américo-Argentine
Signe astrologique : Bélier
Mon personnage, en 5 mots : Honnête • Charismatique • Passionnée • Joueuse • Séductrice
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : directrice générale du Ritz-Carlton de Los Angeles. (papa propriétaire de Marriott International)
Études (passées ou en cours) : Communication Marketing
Hobby : La danse. Le dessin.
Orientation sexuelle : Bisexuel(le)
Situation sentimentale : En couple
Avec : Aaron Campbell, de nouveau, après une séparation d'un an.
*attend la meute qui débarque, ça commence bien déjà.*
Bienvenue à toi, même si c'est louche pour moi de voir Zac, ça reste un excellent choix d'avatar. ça fait plaisir que tu choisisses ce forum pour reprendre le RP.
Bienvenue à toi, même si c'est louche pour moi de voir Zac, ça reste un excellent choix d'avatar. ça fait plaisir que tu choisisses ce forum pour reprendre le RP.
- InvitéInvité
BIENVENUE SUR IAMF
BONNE CHANCE POUR TA PRES'
BONNE CHANCE POUR TA PRES'
- InvitéInvité
OUIIIIIIIIII Baby face (cherche pas c'est ton nouveau surnom )
Welcome here !!! Trop contente que vous soyez venu me trouver
Ça sera un plaisir de RP de nouveau avec vous tous
Marié à Janae mh hâte de voir ce que vous allez faire.
Bon courage pour ta fiche babe !
Welcome here !!! Trop contente que vous soyez venu me trouver
Ça sera un plaisir de RP de nouveau avec vous tous
Marié à Janae mh hâte de voir ce que vous allez faire.
Bon courage pour ta fiche babe !
- InvitéInvité
Bienvenue dans ta nouvelle maison
Puisque t'es malheureux dans ton mariage, j'pourrais être ta distraction s'tu veux
Puisque t'es malheureux dans ton mariage, j'pourrais être ta distraction s'tu veux
- InvitéInvité
MAIS.
j'ai su mais si vite que c'était toi au prénom et à l'avatar omg
bienvenuuuuue
j'ai su mais si vite que c'était toi au prénom et à l'avatar omg
bienvenuuuuue
- InvitéInvité
Marié malheureusement
Hâte d'en savoir plus du coup
Bienvenue
Hâte d'en savoir plus du coup
Bienvenue
- InvitéInvité
Adé.
Merci à toi
Oh c'est louche pour moi aussi; de jouer un avatar que je détestais quand j'étais petite, t'inquiète
Nino.
Meeeerci, grâce à toi je vais la gérer ma fiche, c'est sûr maintenant
Amiel.
BABY FACE boah j'aime bien en vrai, ça change pas grandement, c'est mon surnom depuis 5 ans en english version quoi
Je suis trop heureuse de te retrouver en RP la daronne En plus avec cette bouille que tu as Et puis Zayn, ça me rappellera des souvenirs ça
Ouais, je suis marié à l'autre dingue, tu comprendras vite, on va pas la jouer de main morte
Kendra.
Merci jeune fille
Et quelle distraction, je peux pas refuser
Matz.
Toi, tu viens de me perturber à mort. On se connaît ? Je suis sûre qu'on se connaît. J'ai déjà joué Zach y'a un baaail sous ce nom alors oui Éclaire ma lanterne, je vieillis, j'ai la mémoire qui flanche
Myles.
Merci Myles ! J'adore ton ava, tatouages, écarteurs, look bad boy, je kiffe
Arya.
Ahaha je suis marié, mais j'avais pas envie en fait, je me suis trompé, c'est une erreur, venez me kinapper svp
Merci beaucoup
Merci à toi
Oh c'est louche pour moi aussi; de jouer un avatar que je détestais quand j'étais petite, t'inquiète
Nino.
Meeeerci, grâce à toi je vais la gérer ma fiche, c'est sûr maintenant
Amiel.
BABY FACE boah j'aime bien en vrai, ça change pas grandement, c'est mon surnom depuis 5 ans en english version quoi
Je suis trop heureuse de te retrouver en RP la daronne En plus avec cette bouille que tu as Et puis Zayn, ça me rappellera des souvenirs ça
Ouais, je suis marié à l'autre dingue, tu comprendras vite, on va pas la jouer de main morte
Kendra.
Merci jeune fille
Et quelle distraction, je peux pas refuser
Matz.
Toi, tu viens de me perturber à mort. On se connaît ? Je suis sûre qu'on se connaît. J'ai déjà joué Zach y'a un baaail sous ce nom alors oui Éclaire ma lanterne, je vieillis, j'ai la mémoire qui flanche
Myles.
Merci Myles ! J'adore ton ava, tatouages, écarteurs, look bad boy, je kiffe
Arya.
Ahaha je suis marié, mais j'avais pas envie en fait, je me suis trompé, c'est une erreur, venez me kinapper svp
Merci beaucoup
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