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YESTERDAY'S NEWS |48
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Wolf Maxfield
His eyes could burn down the room, so get out while you can.
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
Peut être le mode d'emploi de la pensée humaine, comment cela se passe-t-il ? Ça m'a toujours fasciné. D'en savoir les moindres connaissances, ainsi qu'en ce qui concerne le corps humain, quelle artère propulse le sang du palpitant jusque dans encéphale. Mais physiologiquement aussi, les émotions, ce qui se passent réellement durant un événement. Juste pour mieux appréhender le monde qui m'entoure et le gérer d'une main de fer.
Peut être bien partir. Retourner dans mon pays d'origine. Faire le tour du monde ?
Apprendre ? Enquêter sur de plus grosses affaires. Pas particulièrement à l'aise. Ce n'est pas une position que je trouve particulièrement agréable, mais plutôt sujet à un certain malaise. Je n'ai jamais été sous les feux des projecteurs, et ce n'est pas pour autant que ce détail m'ait traumatisé. Certains sont littéralement habille pour cela, en ce qui me concerne je préfère le mystère, l'ombre autour de la lumière, la banalité, les choses simples.
La simplicité. Un beau levé de soleil le matin en allant embaucher. Un sourire. Le rire cristallin venant du coeur, la santé, un bon bouquin. Une clope, allongé devant son canapé, les fenêtres grandes ouvertes sur le monde et sa palette de couleur dégoulinantes de jovialité. La vie. Et surtout de s'en contenter. Savoir l'apprécier à sa juste valeur. Ce qui n'empêche pas quelques secrets. Le piquant qu'il nous manque tous.
ta plus grande réussite à ce jour ?
Plutôt grande, j'ai pour objectif de m'élever dans la hiérarchie, d'obtenir le grade de lieutenant et pourquoi pas, un jour, me mettre carrément à mon compte en tant que détective privé. L'enquête est ce que je préfère le plus dans mon boulot, chercher des informations, s'en servir, trouver la faille qui pourrait faire basculer le dossier.. Rien de plus intéressant de sentir ce poids sur ses épaules et de se sentir utile envers les gens qui en ont réellement besoin.
et jusqu’où serais-tu prêt(e) à aller pour la défendre ?
Mon petit frère. La seule personne pour laquelle j'éprouve dans ce monde, un quelconque sentiment d'empathie d'une puissance inexplicable. Je pourrai le protéger au péril de ma propre et misérable vie pour que la sienne continue ne serait-ce que quelques malheureuse secondes en plus. Ce gamin, qui m'avait accueillis avec une douceur innocence que je ne connaissais pas, il représente la personne que j'aurai pu être, que j'aurai aimé être, gardant tout pureté bien visible devant la dureté réaliste de la vie.
qu’as-tu ressenti ?
Peut être. Je peux parfois avoir des penchants dites criminels, des pulsions qui se réveillent doucement, s'invitant de plus en plus souvent dans mes pensées les plus sombres. Je ne parle pas de vol à l'arraché ou bien encore de simples délits commis par quelques imbéciles de bas étage, de parle de plus grande, plus fort, et impressionnant. Un mystère pour tous. Un plaisir pour moi. Mais je le cache, jusqu'à ce qu'un jour peut être, le monde en soit dévoré.
Je laisserai peut être plus libre recours à l'imagination des gens. Que leur âme d'artiste puisse s'exprimer dans les différents domaines. Ainsi que les morgues désemplissent, que les armes soient illégales. Que l'amour règne au sein de cette vaste planète, que les délits et les crimes ne soient que l'ombre d'un passé encore difficile à oublier. Un monde pas de bisounours, c'est meilleur. Que la ville dorme sur ses deux oreilles sans peur, sans peine.
Je suis de ceux qui sont adoptés. Enlevé à leur famille biologique pour des tournées incessantes dans d'autres, d'accueils. J'ai été rapidement placé par chance dans une famille bien sous tout rapport, et avec ça, ai hérité d'un demi-frère. A cet âge, vers une dizaine d'année, j'étais dans un mutisme inexplicable. Dans une bulle, ne sachant que regarder le monde qui m'entourait, parler semblait trop fort, ma voix enfantine trop faible. Je pensais bêtement que tout ce que je pouvais dire pourrait faire basculer ma vie, et celles des autres alors je n'ai jamais rien dit. Parce qu'on me l'avait bien souligner, de ne pas parler de ça. Les mots sont précieux, mais le silence est d'or.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : [ ] It's all my fault [x] I'm a mother fucker. Prénom/pseudo : paperheart (Ninon) Âge : 21 ans.
Anniversaire : 30 juin. Localisation : Dans le 79. Présence : 3/7. Personnage ... [x] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : grâce ou à cause de HOODWINK. Et je le trouve : original dans sa mise en forme, j'aime beaucoup. Ma plus grande peur : l'amor bb Un dernier mot ? la vie est dure.
Anniversaire : 30 juin. Localisation : Dans le 79. Présence : 3/7. Personnage ... [x] inventé [ ] pré-lien. J'ai connu le forum : grâce ou à cause de HOODWINK. Et je le trouve : original dans sa mise en forme, j'aime beaucoup. Ma plus grande peur : l'amor bb Un dernier mot ? la vie est dure.
IMAGES icon: VOCIVUS ; ava: AILAHOZ
- InvitéInvité
FAITS DIVERS
Ses yeux fixent le néant, comme si, le garçon pouvait s'y projeter, se perdant dans la couleur blanche de la table de la cuisine. On le croirait dans un autre monde, perdu dans un univers parallèle, déconnecté de la réalité, mais pas de la sienne. Son mutisme est ingérable, surtout pour ses parents adoptifs, qui n'ont de cessent de s'échanger des regards d'inquiétudes. Il ne prête même pas attention à son déjeuner qui se résumait pourtant à une bonne portion de frite bien croustillante et huileuse, ainsi qu'un burger. Tout ce dont un petit garçon de cet âge, ne refoulerait pas aussi rapidement, d'ailleurs, Moss, lui, semblait vraiment apprécier sa venue à ce moment-là, puisqu'il dévorait son plat avec autant d'appétit qu'un ogre. Mais, cela ne semblait pas satisfaire le nouveau venu qui n'avait pas encore décroché le moindre mot. Muet. C'est ce que les familles d'accueils avant eux n'avaient pas omis de dire ; un garçon calme, silencieux, et très agréable à vivre. Peut être trop ? Son mutisme en avait agacé plus d'un, et le petit blond se souvenait encore très bien des nombreuses fois où il avait été puni injustement, parce qu'il ne voulait pas dire. Mais ce que personne ne savait, c'est qu'on le lui avait interdit. De parler. De prononcer quelques mots sous peine de représailles. Il n'ose pas. Se pince les lèvres, par peur, mais aussi par insécurité. Il ne connait pas ses gens, qui bien que gentil en apparence, n'était pas encore arrivé à gagner sa confiance. Méfiant, il préférait attendre, et scruter cette table d'une couleur qui semblait s'étendre beaucoup plus loin qu'il ne lui paraissait. Une familiarité qui pendant l'espace d'un instant le fit frémir de peur, se rappelant avec peine et souffrance, ce moment. Où il avait cru s'endormir pour toujours, où il sentait l'eau infiltrer ses poumons, où ses larmes se joignaient à celle de la baignoire. Tandis que la main de son père le gardait la tête dans l'étendue d'eau, un sourire des plus machiavélique au bord des lèvres. Une larme coule sur sa joue tendre, les émotions remontent et malgré son refus, des perles nacrées se fondent finalement sur sa peau, les unes après les autres. Et la douleur se lit finalement sur son visage, qui se tord lorsqu'il éclate en sanglot à cette table, où ses occupants finissent par le regarder sans un mot. Et il cri le gamin, il en perd ses poumons dans sa souffrance qu'il exprime pour la première fois, comme s'il voulait recracher toute l'eau de celles-ci que bien trop longtemps on a emplit d'un poison qui le rongeait. Ce jour-là, on avait cru que c'était à cause de changement. Le petit n'avait même pas reçu de correction pour sa peine, mais de tendre câlin et une multitude de bisous dont il ne connaissait pas la signification. Il avait encore tant à apprendre, tant à recevoir et tant à donner. Mais les blessures du passé sont indélébiles, et marque au fer rouge la peau de ses victimes. On n'oublie jamais vraiment, et Wolf du haut de ses dix ans semblait l'avoir compris à ses dépends.
La clope se réduit, et tout comme elle, Wolf semble s'embrasser. Sa peau est encore chaude, son souffle court, sans parler de l'adrénaline qui court encore dans ses veines, le rendant tout excité encore. Son âme est encore confuse, il venait de recevoir son admission dans la police quelques heures plutôt, et cette nouvelle le rendait d'une extrême jovialité. Avait-il réellement passé le test psychologique sans le moindre problème, il n'arrivait pas vraiment à y croire encore. Pas avec ce qui le hantait depuis plusieurs années à présent. Cette âme de justicier, qu'il avait toujours tant rêvé s'offrait enfin à lui, le poids du bien, dans la balance ou le mal semblait gagner du terrain. Mais il ne renonce pas, Moss le voyait-il pas comme son héro ? Ne l'était-il pas d'avantage à présent ? Peut être qu'il était soulagé quelque part, qu'il ne se sentait pas autant monstrueux qu'il pouvait l'être ou pathétique. Il tire longuement sur la cigarette, pour en recracher le contenu, accoudé à la fenêtre à regarder le paysage devant lui. Une nouvelle vie s'offrait à lui, celle d'une vie un peu plus monotone. Tu crois ? C'est insoutenable pour lui, de l'entendre. Tais-toi. qu'il s'entend répliquer à voix haute sans vraiment le vouloir. Tu le sais, non ? Ce son, imperceptible pour les autres, mais une menace pour lui. Elle rode souvent et attaque quand il ne s'y attend pas. Va te faire foutre ! qu'il réplique en serrant les dents, tout en jetant la fin de son mégot dans le vide séparant son appartement du sol. Sa fenêtre refermée, il tente de garder son calme, il sait comment elle procède, il sait comment la gérer jusqu'alors. Il s’assoit donc un instant, et se concentre pour éliminer ces horribles songes, mais rien n'y fait, elle continue. Bientôt les rats ne te suffiront plus ! Tu es un monstre Wolf. Et ta nature te survivra. Son souffle se fait plus saccadé, plus dur à éprouver, parce qu'il ne voulait pas y croire, il voulait juste oublier, un court instant. Pas son passé. Mais de quoi, il pouvait être capable. Ses longs doigts s'enfilent dans ses cheveux d'un blond cendré, il touche leur douceur, avant de chercher la peau de son crâne pour y enfoncer ses ongles. Tu ne gagneras pas. répondit-il avec véhémence. Parfois, il lui semblait qu'elle arrivait à prendre le dessus, mais aujourd'hui, tout était différent, sa place désormais dans la police, rien ne pouvait l'arrêter, et certainement pas ce genre d’ineptie.
IMAGES FEU ARDENT
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Bienvenue, Môsieur !!
- InvitéInvité
owi ce choix d'ava bienvenue :)
- InvitéInvité
Qu'il est mignon Bienvenue sur IAMF
- Felix E. BlackfieldI'm a Mother Fucker
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Dollars : 2603
Messages : 700
Date d'inscription : 12/11/2017
Avatar : Dave Franco
Crédits : smmg bae
Âge du personnage : 27 ans
Nationalité(s) : Américaine.
Signe astrologique : Lion
Mon personnage, en 5 mots : connard, fêtard, dragueur, infidèle, bagarreur.
Quartier de résidence : Westside
Carrière, métier ou job : hacker pour le FBI et dealer pour la mafia italienne.
Études (passées ou en cours) : Diplômé en robotique.
Hobby : les grosses beuveries bien hardcore et les femmes.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel(le)
Situation sentimentale : C'est ... compliqué
Avec : Arizona et toutes les autres femmes du monde.
Super choix de vava !
Bienvenue sur IAMF, si tu as le moindre souci n'hésite pas !
Bienvenue sur IAMF, si tu as le moindre souci n'hésite pas !
- InvitéInvité
Bienvenue sur IAMF
- InvitéInvité
Thomas B-S
Bienvenue parmi nous.
Bienvenue parmi nous.
- InvitéInvité
C'est donc toi que Victoire a traîné par ici quelle bonne idée tu as eu de la suivre
Bienvenuuuuuuuuuuuue
Bienvenuuuuuuuuuuuue
- InvitéInvité
BIENVENUUUUE SUR IAMF
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