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YESTERDAY'S NEWS |48
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Moss Maxfield
why breathe air when your gonna die anyway?
Avant de commencer, nous aimerions vous poser quelques questions sur votre personnage, afin d'en savoir davantage sur les motivations qui l'animent.
L'INTERROGATOIRE
Moss c'est un gamin qui ne comprend rien à l'humanité, aux relations que peuvent entretenir les gens. Alors s'il pouvait choisir un sujet, ça serait les humains et comment interagir avec ces derniers. Il ne sait jamais quoi dire, quoi faire. On lui reproche bien souvent de ne pas suivre les étiquettes sociales, de blesser avec ses mots ou ses gestes. Pourtant il ne le fait pas exprès, il tente bien d'assimiler les règles implicites de ce petit jeu. Son manque d'émotion à l'égard de ses compères rend la chose bien complexe. Il ne sait pas vraiment comment l'expliquer, mais à l'intérieur, il sent que son coeur est tout froid, sans vie, vide de sentiments.
Si il le pouvait, le jeune Maxfield lirait tous les livres du monde. Il en avalerait les pages de son regard avide à découvrir les merveilles de l'existence. Le savoir c'est ce qui l'habite le plus. Cette soif de connaissance infinie. Les données c'est fiable, c'est palpable, c'est rassurant. Il arpente tous les jours la bibliothèque municipale ainsi que celle de l'université à la recherche du livre qui fera la différence. Si les livres lui apportent un sentiment de bienveillance, c'est loin d'être le cas de l'attention qu'on peut lui porter. Le jeune homme évite les gens. Il en a peur. Il panique, les mains moites, le corps tremblant. Parfois, il fait des crises d'angoisses et doit respirer bêtement dans son sac comme le pauvre con qu'il est.
La solitude. Être avec lui même. Il ne demande pas grand chose, simplement qu'on lui fout la paix. Il ne recherche pas la présence d'autrui oh ça non. Pour être heureux, il a simplement besoin de temps pour lui. Puis si ça pouvait être du 24h sur 24/7 jours sur 7 ça serait parfait. Il n'en demande pas beaucoup, mais il rajouterait bien un buffet à volonté. De quoi remplir son estomac sans avoir à se préoccuper du reste et des trous dans ses poches.
Sa future plus grande réussite? Réussir à parler à une autre femme que sa mère sans bégayer. Ouai c'est ça moquez vous bien, traitez le de looser, de moins que rien. Chacun ses peurs, chacun ses phobies. Il aimerait bien trouver quelqu'un pour voir ce que ça fait, si il est capable de ressentir quelque chose pour quelqu'un d'autre. Il travaille dessus, doucement mais surement. Sinon le gamin voit grand et loin. Il aimerait se barrer de ce quartier merdique. S'offrir la vie qu'il mérite, mais pour cela il va d'abord falloir obtenir son diplôme et qu'il commence à mettre de l'argent de coté. C'est plus facile à dire qu'à faire, parce qu'avec son visage de bambin et sa timidité omniprésente personne ne veut l'embaucher.
La musique lui donne des frissons, et son casque semble être son seul véritable ami. Alors oui, il serait prêt à crever en son nom. Pas pour n'importe quel cd, un truc classe. Un truc qui marquerait les esprits. Il serait prêt à crever écraser par d'autres personnes lors d'un concert, parce qu'il serait heureux de perdre la vie avec des vibrassions dans les oreilles. Cela semble presque débile, limite puéril. Moss préfère apporter de l'importance à des choses tangibles comme des objets que des humains. C'est la musique qui lui donne l'impression d'être un tout petit peu comme les autres, et ça, cela lui donne de l'espoir. Puis peut-être aussi son frère, enfin le roux qui habite avec lui mais qui ne l'est pas vraiment. C'est pas grave, il le considère comme tel, pas besoin de sang pour faire une famille. Pour lui aussi il sauterait dans le vide. C'est un peu son héros.
Non. Grand Dieu non. La mère Maxfield ne lui pardonnerait jamais. Il veut rester le plus longtemps possible dans ses bonnes grâces après tout c'est elle qui met de la nourriture sur la table et nettoie ses chaussettes sales.Puis il y a aussi son grand frère, Wolf qui est policier. Alors il fait mieux de bien se tenir. Il a entendu bien trop d'histoires pour risquer son avenir et finir derrière les barreaux. Allez savoir ce qu'on lui ferait une fois derrière, c'est jamais des petits cornichons comme lui qui survivent. Pour tout avouer Moss est très à cheval sur les règles. C'est le genre de gamin à apprendre par coeur le règlement intérieur de l'université avant d'aller se coucher.
Il y rajouterait une technologie permettant de lire les émotions et donner des informations sur les gens. Par exemple, rien qu'en regardant sa mère on pourrait lui indiquer qu'elle est triste parce que son boss a été odieux avec elle et que ça serait bien de lui faire un câlin. Ce petit plus qui l'aiderait à savoir quoi dire et faire. Même si au fond c'est une pensée bien égoiste. Il pourrait mettre fin à la faim dans le monde ou la guerre mais non. Après tout on est pas dans un concours de miss usa.
Moss est persuadé que les extraterrestres existent. Il adore les livres et les films sur le sujet, il en a d'ailleurs une sacrée collection. Le jeune Maxfield se dit que ce n'est pas possible d'être complètement les seuls dans ce si vaste univers. Que derrières toutes ses étoiles, il doit y avoir une autre forme de vie. Infime soit-elle. Il a vraiment envie d'y croire,et espère un jour en voir une preuve. Il pense que le gouvernement cache toutes ces informations pour ne pas effrayer la population.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Karma : Its all my fault Prénom/pseudo : HOODWINK/Victoire Âge : 22 ans. Anniversaire : 02/11 Localisation : France je n'ai toujours pas déménagé . Présence : dès que je pourrai, généralement tous les soirs. Personnage ... Personnage invente J'ai connu le forum : bazzart. Et je le trouve : nop toujours aussi parfait. Ma plus grande peur : toujours la même. Un dernier mot ? fhgjgjfjhhg.
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FAITS DIVERS
sorry busy doing nothing
Ses yeux sont grands ouverts. Son corps est somnolant. Cependant, le sommeil ne vient pas. Dormir ne semble encore pas une option ce soir. Pourtant, Moss ne rêve que de ça. Ses yeux sont déjà bleutés par la fatigue. Mais son cerveau est trop préoccupé. Embrouillé par les choses de la vie. Ses idées s’entremêlent. Alors il reste là, allongé dans un lit dix fois trop large. Il observe le plafond, comme si les réponses à ses questions étaient écrites. Il grogne. Il en a marre. Mais sa migraine ne fait que s’amplifier. Bordel. Le jeune Maxfield recherche un certain réconfort dans sa couverture, mais la chaleur de cette dernière ne semble rien faire. Au contraire, il a trop chaud. Il se rend compte qu’il a besoin d’air. De remplir ses poumons. De voir autre chose que ses quatre murs étouffants. Alors, le jeune homme se résigne. Il n’a plus rien à perdre. Jetant un énième coup d’œil à son réveil, il se lève. Il se sent lourd. Lourd d'émotions. Lourd de vide. Lourd de rien. Il se sent juste ainsi. Tout doucement, il marche jusqu'à sa fenêtre. S'il est la seule âme réveillée dans cette maison, il n'en oublie pas qu'il n'est pas le seul. Il ne doit pas faire de bruit. Il se penche pour voir l'extérieur, son épiderme brûlant est apaisé par la brise nocturne.La nuit n'a jamais fait peur à Moss. Bien au contraire, c'est son exutoire. Alors que tout le monde a les yeux fermés, lui explore le monde. Parfois il part se promener. Il vagabonde dans les ruelles. Indécis. Surtout quand il a l'impression que tout s’effondre, que tout s'brise. Ses espoirs, ses sentiments,son p'tit coeur. Son sale cœur un peu trop vide.
Son regard perdu dans les constellations célestes, il se souvient de ce que lui racontait sa mère lorsqu'il était petit. Elle lui disait toujours que le ciel était un voile tout noir, et qu'il y avait des petits trous dedans. Il ne fallait pas s’inquiéter, que c'était normal. À travers ses petits trous on pouvait y voir la lumière provenant du paradis. Parfois si la pluie et l'orage venaient les rejoindre, il ne fallait pas en avoir peur, ils étaient là pour les protéger. Ils chassaient les mauvais rêves. Encore maintenant il trouvait ses mots réconfortants. C'était beau et poétique, bien mieux que ce que son père racontait. Quand il pleut c'est dieu qui nous fait pipi dessus qu'il lui disait toujours surement dans l'espoir de lui arracher un sourire. Les yeux du père Maxfield semblaient toujours s'illuminer. C'est le genre d'homme à toujours sourire. Une esquisse, un croquis sur ses lèvres. Un gribouillage un peu maladroit, mais fait avec beaucoup de tendresse. Moss aimait bien ses parents. Même s'il ne les serrait jamais dans ses bras, à dire des mots doux comme je vous aime ou merci pour ce que vous faites pour moi. Peut-être que c'était parce qu'il avait l'impression de les décevoir bien trop souvent? Sa timidité, son introversion, son bégaiement semblent être ses plus gros défauts. Pointé du doigt par cette société comme un repli sur soi, une certaine forme d'autisme. Parfois il aimerait vivre une version améliorée de sa vie. Une où il ne lirait pas de la pitié dans la prunelle de ses compères. Il veut simplement se sentir normal, avoir l'impression de faire parti de quelque chose de plus grand au lieu de raser les murs. Le jeune homme est conscient des regards appuyés de sa mère. Elle s'inquiète de ne pas le voir trainer avec des gens de son âge, à ne pas tomber amoureux. Cette solitude semble lui être néfaste, mais lui ne le ressent pas comme tel. C'est son moment de paix, parce que les interactions avec les autres c'est bien trop fatiguant. Il n'a pas besoin des autres, il a juste besoin de lui. Puis si elle savait qu'à l'école on lui menait la vie dure à le traiter de gros looser et de monstre, les filles prenant un malin plaisir à se moquer de lui, elle s'en rongerait encore plus les doigts. Heureusement, il cherche un refuge dans ses livres. Dans ses histoires palpitantes, celles d'autres mondes. Son intelligence reste sa force c'est ce qui lui permet de continuer d'avancer.
Puis il y aussi Wolf, ce frère qui n'est pas vraiment le sien. Celui que Moss a tout d'abord perçu comme un intrus voulant prendre sa place. Du haut de ses six ans,il l'avait vu débarquer dans sa maison, lui voler ses parents. C'était son "nouveau frère" qu'on lui avait expliqué, mais il n'avait jamais vraiment compris comment cela était possible. Après tout il n'était pas arrivé avec la cigogne et semblait déjà être bien plus vieux que lui. Trop de questions et de mensonges aux goûts du jeune enfant. Il s'était senti floué, qu'on lui racontait pas tout. De toute façon on lui racontait jamais rien, qui prendrait au sérieux un sale gosse de six ans? Il avait boudé, il avait pleuré, mais rien à faire ses parents voulaient garder Wolf. Apparemment c'était pas comme au supermarché où on pouvait se faire rembourser si ça nous allait pas. Moss l'avait appris durement après une bonne claque sur la joue. Il pouvait parfois encore sentir ce rouge cuisant sur sa peau. C'était la seule fois où sa mère s'était énervée sur lui, et avec le recul Moss comprenait bien pourquoi. Il avait été ingrat et insolent trop obnubilé par son nombril pour se rendre compte que ce nouveau frère semblait tout aussi triste que lui. Il l'évita, le jaugeant de loin. Il en avait presque peur, il semblait tellement fort et intimidant. Alors il lui avait fait des dessins, les glissant sous la porte de sa chambre, comme pour s'excuser. Il lui avait dit qu'ici c'était cool parce qu'on mangeait souvent des pâtes et très peu de légumes. À l'âge de six ans c'était ses meilleurs arguments de vente. C'était sa version du paradis. Puis la curiosité l'emporta. Moss voulait savoir où était ses parents, si il venait d'une autre planète comme superman...C'était un petit merdeux qui marchait sur des mines, ne comprenant pas que c'était des sujets tabous. Manquant de tact et de souplesse dans ses mots, parfois même blessant. Il allait toujours droit au but, ne passant par aucun détour. Il lui demandait par exemple des choses comme pourquoi tes cheveux sont oranges? c'est parce qu'ils sont en feux? moi aussi j'veux les avoir en feux? Deux jours plus tard, le gamin avait volé tous les tubes de peinture orange de son cours d'art plastique et s'en était mis dans les cheveux pour être comme son grand frère. Ils en rigolaient encore maintenant. Cependant, à part sa famille Moss ne laissait personne d'autre rentrer dans son monde. Tout ne tenait que par une fine balance, et il avait peur qu'un rien puisse casser tout ce qu'il possédait.
Nostalgique, il soupira. Moss avait tendance à se perdre dans ses pensées, à vivre dans le passé alors qu'il devrait se concentrer sur le présent. Peut-être qu'il fallait rajouter trouble de l'attention à sa longue liste de défauts. S'étirant, il retourna s'affaler sur son lit. 43 minutes s'étaient écroulées, et Moss était toujours là avide de tout et de rien. Attrapant le vieux bouquin qui trônait sur un coin de la couverture, il le serra contre son torse comme un bouclier. Fermant les yeux, il se demanda ce qu'allait lui réserver le reste de la journée.
Son regard perdu dans les constellations célestes, il se souvient de ce que lui racontait sa mère lorsqu'il était petit. Elle lui disait toujours que le ciel était un voile tout noir, et qu'il y avait des petits trous dedans. Il ne fallait pas s’inquiéter, que c'était normal. À travers ses petits trous on pouvait y voir la lumière provenant du paradis. Parfois si la pluie et l'orage venaient les rejoindre, il ne fallait pas en avoir peur, ils étaient là pour les protéger. Ils chassaient les mauvais rêves. Encore maintenant il trouvait ses mots réconfortants. C'était beau et poétique, bien mieux que ce que son père racontait. Quand il pleut c'est dieu qui nous fait pipi dessus qu'il lui disait toujours surement dans l'espoir de lui arracher un sourire. Les yeux du père Maxfield semblaient toujours s'illuminer. C'est le genre d'homme à toujours sourire. Une esquisse, un croquis sur ses lèvres. Un gribouillage un peu maladroit, mais fait avec beaucoup de tendresse. Moss aimait bien ses parents. Même s'il ne les serrait jamais dans ses bras, à dire des mots doux comme je vous aime ou merci pour ce que vous faites pour moi. Peut-être que c'était parce qu'il avait l'impression de les décevoir bien trop souvent? Sa timidité, son introversion, son bégaiement semblent être ses plus gros défauts. Pointé du doigt par cette société comme un repli sur soi, une certaine forme d'autisme. Parfois il aimerait vivre une version améliorée de sa vie. Une où il ne lirait pas de la pitié dans la prunelle de ses compères. Il veut simplement se sentir normal, avoir l'impression de faire parti de quelque chose de plus grand au lieu de raser les murs. Le jeune homme est conscient des regards appuyés de sa mère. Elle s'inquiète de ne pas le voir trainer avec des gens de son âge, à ne pas tomber amoureux. Cette solitude semble lui être néfaste, mais lui ne le ressent pas comme tel. C'est son moment de paix, parce que les interactions avec les autres c'est bien trop fatiguant. Il n'a pas besoin des autres, il a juste besoin de lui. Puis si elle savait qu'à l'école on lui menait la vie dure à le traiter de gros looser et de monstre, les filles prenant un malin plaisir à se moquer de lui, elle s'en rongerait encore plus les doigts. Heureusement, il cherche un refuge dans ses livres. Dans ses histoires palpitantes, celles d'autres mondes. Son intelligence reste sa force c'est ce qui lui permet de continuer d'avancer.
Puis il y aussi Wolf, ce frère qui n'est pas vraiment le sien. Celui que Moss a tout d'abord perçu comme un intrus voulant prendre sa place. Du haut de ses six ans,il l'avait vu débarquer dans sa maison, lui voler ses parents. C'était son "nouveau frère" qu'on lui avait expliqué, mais il n'avait jamais vraiment compris comment cela était possible. Après tout il n'était pas arrivé avec la cigogne et semblait déjà être bien plus vieux que lui. Trop de questions et de mensonges aux goûts du jeune enfant. Il s'était senti floué, qu'on lui racontait pas tout. De toute façon on lui racontait jamais rien, qui prendrait au sérieux un sale gosse de six ans? Il avait boudé, il avait pleuré, mais rien à faire ses parents voulaient garder Wolf. Apparemment c'était pas comme au supermarché où on pouvait se faire rembourser si ça nous allait pas. Moss l'avait appris durement après une bonne claque sur la joue. Il pouvait parfois encore sentir ce rouge cuisant sur sa peau. C'était la seule fois où sa mère s'était énervée sur lui, et avec le recul Moss comprenait bien pourquoi. Il avait été ingrat et insolent trop obnubilé par son nombril pour se rendre compte que ce nouveau frère semblait tout aussi triste que lui. Il l'évita, le jaugeant de loin. Il en avait presque peur, il semblait tellement fort et intimidant. Alors il lui avait fait des dessins, les glissant sous la porte de sa chambre, comme pour s'excuser. Il lui avait dit qu'ici c'était cool parce qu'on mangeait souvent des pâtes et très peu de légumes. À l'âge de six ans c'était ses meilleurs arguments de vente. C'était sa version du paradis. Puis la curiosité l'emporta. Moss voulait savoir où était ses parents, si il venait d'une autre planète comme superman...C'était un petit merdeux qui marchait sur des mines, ne comprenant pas que c'était des sujets tabous. Manquant de tact et de souplesse dans ses mots, parfois même blessant. Il allait toujours droit au but, ne passant par aucun détour. Il lui demandait par exemple des choses comme pourquoi tes cheveux sont oranges? c'est parce qu'ils sont en feux? moi aussi j'veux les avoir en feux? Deux jours plus tard, le gamin avait volé tous les tubes de peinture orange de son cours d'art plastique et s'en était mis dans les cheveux pour être comme son grand frère. Ils en rigolaient encore maintenant. Cependant, à part sa famille Moss ne laissait personne d'autre rentrer dans son monde. Tout ne tenait que par une fine balance, et il avait peur qu'un rien puisse casser tout ce qu'il possédait.
Nostalgique, il soupira. Moss avait tendance à se perdre dans ses pensées, à vivre dans le passé alors qu'il devrait se concentrer sur le présent. Peut-être qu'il fallait rajouter trouble de l'attention à sa longue liste de défauts. S'étirant, il retourna s'affaler sur son lit. 43 minutes s'étaient écroulées, et Moss était toujours là avide de tout et de rien. Attrapant le vieux bouquin qui trônait sur un coin de la couverture, il le serra contre son torse comme un bouclier. Fermant les yeux, il se demanda ce qu'allait lui réserver le reste de la journée.
IMAGES FEU ARDENT
- InvitéInvité
ORIENTATION SEXUELLE
Hétérosexuel
(Re)Bienvenue sur I.A.M.F. Il me tarde d'en savoir plus sur ton perso
- InvitéInvité
merci tout le monde.
@SILAS CALDWELL t'es toujours aussi bg
@OSCAR LUCCHETI désolée pour toi. mais si ça peut te réconforter le gamin à aussi peur des femmes que des hommes et il va probablement finir sa vie tout seul et puceau voilà. et merci.
@SILAS CALDWELL t'es toujours aussi bg
@OSCAR LUCCHETI désolée pour toi. mais si ça peut te réconforter le gamin à aussi peur des femmes que des hommes et il va probablement finir sa vie tout seul et puceau voilà. et merci.
- InvitéInvité
Ah non je parlais par rapport à Silas moi justement, genre "je te surveille parce que Call Me By Your Name, on l'a tous vus hein " Il a un chat le pauvre au moins ?
Bon courage pour la rédaction de ta fiche du coup
Bon courage pour la rédaction de ta fiche du coup
- InvitéInvité
@OSCAR LUCCHETI j'avais pas pensé au film. mais pour sa défense oliver est vraiment craquant. mais pauvre marzia, ça a été plus difficile pour elle. non mais il a des amis imaginaires c'est mieux. et merci.
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